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15/09/2010

Italie : supplétifs méridionaux et léghistes.

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« Dilemme pour Silvio : faire digérer à Bossi l’arrivée des ‘supplétifs méridionaux’ » (Amedeo La Mattina, La Stampa) : « Le ‘groupe des 20’ mené par Nucara, annoncé hier, est vu comme un ‘bluff’ par bon nombre à la Ligue et même au PdL, et Fini est convaincu que les députés de son groupe FLI seront essentiels pour le gouvernement lors du vote de confiance. Quoi qu’il en soit, l’opération conçue par Berlusconi ne doit surtout pas irriter Bossi : les nouvelles têtes ne seront pas censées ‘remplacer’ les finiens mais ‘s’y ajouter’ ; il ne pourra donc pas dire que la majorité sortie des urnes a changé – au contraire, elle sera renforcée et élargie. Certes, tous les nouveaux arrivants sont du Sud mais ils ne visent pas à contrebalancer la Ligue dans un sens polémique. Dans l’esprit de Berlusconi, bon nombre d’entre eux seront persuadés de la bienveillance de l’action du gouvernement à l’égard de leurs régions. Le mot magique serait ‘plan pour le Sud’ auquel travaille le ministre Fitto – qui, comme par hasard, a rencontré hier les 5 députés de Noi Sud à enrôler dans l’opération ‘grande majorité’. »

« L’activisme de Berlusconi suggère qu’on peut changer de majorité » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « A ce stade, la dernière chose à souhaiter est une bagarre de deux semaines autour du seuil des 316 voix à la Chambre, ballet exténuant où, chaque jour, on compte combien de députés se rapprochent de Berlusconi et combien s’en éloignent. Quiconque veut nuire à l’image du gouvernement a intérêt à persévérer dans ce jeu qui rappelle des pratiques révolues. Le président du Conseil devrait être le premier à se garder des divagations sur la ‘légion étrangère’ et à se concentrer sur l’action. Le centre droit n’aura pas de problème numérique à la Chambre : les finiens de Futuro e Libertà devraient suivre le gouvernement, ce qui rend vaine la polémique sur la nécessité de rendre leurs voix ‘superflues’. La question est ailleurs. En partant à la recherche d’une autre majorité sans FLI, Berlusconi et les siens montrent que le bipolarisme intransigeant (ou on reste fidèle à la coalition sortie des urnes ou on retourne voter) n’est plus de mise. Le fameux ‘groupe des 20’ de Nucara – visiblement voué à l’échec – en est déjà un démenti. Et voici que le chef de l’Etat, sur un ton d’ironie polémique inhabituel, se réjouit de la stabilité retrouvée. En août, dit-il, on lui reprochait de ‘ne pas tenir son stylo prêt à signer le décret de dissolution’ et maintenant on s’ingénie, sous l’impulsion du président du Conseil, à permettre au gouvernement d’avancer, acceptant même comme légitimes les voix de tel ou tel parlementaire élu sur des listes d’opposition (dont l’UdC). Cela confirme qu’il serait du devoir du chef de l’Etat, en cas de crise, de vérifier l’existence d’une autre majorité au Parlement. Sans doute est-ce à cela que pensait Napolitano quand il a eu recours à l’ironie sur la volte-face de Berlusconi à propos des élections. »

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

René Stadtkewitz fonde le parti "Die Freiheit".

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Allemagne. Berlin. Ce vendredi 10 septembre 2010, René Stadtkewitz a fondé un nouveau parti, dont le nom est « Die Freiheit. Partei für mehr Freiheit und Demokratie“ (La Liberté. Parti pour plus de liberté et de démocratie). Ce parti va tenter d’entrer en 2011 au Parlement du Land de Berlin. Die Freiheit a pour objectif de capter une partie de l’électorat conservateur et libéral, ainsi que des abstentionnistes. Deux autres personnes font partie des membres fondateurs : un ancien dirigeant du parti des pirates et un membre de la CDU (Parti conservateur) de Berlin.

Site du nouveau parti : http://www.diefreiheit.org/

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14/09/2010

Suisse : le Conseil des États autorise les sans-papiers à faire un apprentissage professionnel.

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(Le Conseil des États est la chambre haute du Parlement Suisse. Une sorte de Sénat au sein duquel chaque canton suisse délègue deux conseillers.)

Voici un communiqué de l’UDC, premier parti de Suisse, 29% :

Le Parlement mine l'État de droit

L'UDC est choquée par la décision prise aujourd'hui par le Conseil des Etats d'autoriser les sans-papiers à faire un apprentissage professionnel. Le Parlement fait ainsi un pas de plus vers la légalisation de personnes séjournant illégalement en Suisse. Cette décision mine l'Etat de droit et rend absurde tout effort de mener une politique de migration crédible. La responsabilité de cette erreur politique fondamentale incombe aux partis du centre qui ont apporté leur soutien à la gauche. L'UDC n'accepte pas que l'Etat de droit soit ainsi bafoué. Elle déposera des interventions parlementaires pour demander une analyse détaillée des conséquences de ce choix intolérable et combattra si nécessaire par référendum le projet de loi que le Conseil fédéral a été chargé de préparer.

L'UDC combat avec véhémence les tentatives de tolérer l'immigration clandestine. Les personnes qui entrent illégalement en Suisse violent notre Etat de droit. Par sa décision d'aujourd'hui le Parlement méprise le régime légal suisse et trompe de surcroît tous les étrangers qui font l'effort d'obtenir légalement un droit de séjour en Suisse. En soutenant cette proposition, les partis du centre tournent définitivement le dos à une politique de migration crédible. Ils tolèrent une immigration incontrôlée et devront assumer la responsabilité des problèmes qui en résultent.

Le PVV de Geert Wilders opposé à l'entrée de la Croatie au sein de l'Union européenne.

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Le PVV de Geert Wilders reste opposé à l’élargissement de l’Union européenne. Par conséquent, le parti ne votera pas en faveur de l’entrée de la Croatie au sein de l’Union européenne. Le vote devrait intervenir au sein du Parlement néerlandais en 2011.

Manifestation pour la libération du prisonnier politique György Budaházy.

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Hongrie. Ce 13 septembre 2010, 1000 personnes ont manifesté devant le Parlement à Budapest afin de réclamer la libération de György Budaházy et des autres prisonniers politiques hongrois. Des élus du Jobbik étaient présents.

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 "Liberté pour les prisonniers politiques!"

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Le Député du Jobbik Tamas Gaudi, avocat de György Budaházy.

(Voir la vidéo en hongrois de JobbikTv : http://www.youtube.com/watch?v=623mnT1o8VY&feature=pl...#!)

Rappelons que j’ai réalisé, cet été, l’interview de la femme et de la mère de György Budaházy (http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2010/08/11/int...)

Le modèle Ligue a contaminé les chefs et les partis.

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« Annonce en temps réel pour décourager les tentations de crise » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « L’annonce de la création d’un groupe mené par Nucara (PRI) pour soutenir le gouvernement s’est faite de façon singulière. Son promoteur, secrétaire de ce qui reste du Parti républicain, l’a révélé après avoir rencontré Berlusconi, tout en nimbant la liste d’un halo de mystère. En théorie, une majorité renforcée est une bonne nouvelle ; en pratique, cette hâte semble dictée par la crainte qu’ici ou là dans la majorité, la tentation de la crise n’augmente. L’annonce semble un antidote contre l’envie léghiste d’élections, la preuve que le problème de la stabilité de l’exécutif est réglé. L’idée de transférer trois ministères au Nord, le lyrisme de La Padania sur le fédéralisme tout proche, la compétition avec Tremonti, la polémique ouverte avec les ministres PdL : autant d’indices du souhait d’élections proches, à rebours du mot d’ordre berlusconien sur la poursuite pour 3 ans de la législature. Au moment même où le président du Conseil redit qu’il n’est pas question d’élections, L. Zaia, gouverneur léghiste de Vénétie, affirme qu’au Parlement il faut ‘au moins autant’ de voix qu’‘au premier jour de la législature’, ou bien ‘ce serait signe d’agonie’ – donc 346 et non 316. Selon La Russa aussi, la majorité ‘ne peut être suspendue à un fil’. Avertissement lancé au président de la Chambre pour qu’il soutienne le programme du gouvernement, mais aussi indice des tentations de la Ligue d’élections anticipées au printemps 2011. De leur côté, Berlusconi et certains ministres PdL organisent ce week-end une rencontre à Cortina, initiative au parfum électoral visant à tout le moins à expliquer les motifs qui militent contre la dissolution – et, en tout état de cause, à endiguer les ambitions de la Ligue. » 

« L’émergence du ‘parti-paroisse’ » (Lina Palmerini, Il Sole 24 Ore) : « Peu à peu, la politique italienne se ‘léghise’ : les couleurs nationales s’estompent au profit de la défense d’intérêts territoriaux. Selon le politologue Sartori, le modèle Ligue a contaminé les chefs et les partis, qui tendent à se renfermer sur la défense de ‘leur troupeau’ – leurs électeurs. Au Nord, la Ligue commande avec le PdL, lequel risque de perdre du terrain au Sud où l’UdC confirme sa place et où croît la séduction ‘méridionaliste’ de Fini. Au Centre, le PD, héritier des bastions du PCI, les tient, mais n’arrive pas à s’élargir au Nord et perd du terrain au Sud. Le Sud, déterminant aux prochaines élections, voit monter des forces comme le MpA de Lombardo ou Io Sud d’A. Poli Bortone, réactions ‘anti-Bossi’. Selon Campi, de la fondation finienne FareFuturo, les ‘partis-syndicats’ sont ‘les porte-parole d’intérêts territoriaux, prisonniers d’un électorat dont ils n’ont plus le contrôle’, dans une société sans mobilité sociale ni géographique. Le dilemme de Fini sera, selon lui, de parvenir à incarner les intérêts du Nord. Selon Pombeni, la prochaine campagne ne sera pas ‘pour ou contre Berlusconi’ mais plutôt ‘pour ou contre le fédéralisme’, comme un derby Nord-Sud. ‘Chaque chef de parti protège son électorat, et perd la portée nationale au profit d’une portée ‘paroissiale’. S’il veut reconquérir le Sud, Berlusconi aura face à lui des leaders ‘territoriaux’ : Casini, Fini, Bersani, Vendola. Selon le député-sociologue Parisi (PD), ‘la fragmentation sera consommée si les dirigeants politiques cèdent aux poussées centrifuges ; le risque se muera en tragédie si la politique tombe dans cette ornière’ ; à ses yeux, la réponse à ce phénomène est dans une réforme institutionnelle dans un sens présidentiel qui favorise la synthèse nationale. La chasse à la ‘légion étrangère’ au Parlement s’explique, selon Campi, par ce bipolarisme sans partis. »

(Traduction : ambassade de France à Rome.) 

Siv Jensen croise Margaret Thatcher.

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La présidente du Parti du Progrès de Norvège, Siv Jensen, était ce vendredi 10 septembre et samedi 11 septembre 2010 à Londres. Elle a assisté à une conférence organisée par l’association Tax payer Alliance. Elle a croisé Margaret Thatcher, la dame de fer et ancien Premier ministre britannique.

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Margaret Thatcher, 85 ans.

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A gauche : Siv Jensen. Ce lundi 13 septembre 2010, Siv Jensen, de retour en Norvège, a visité une entreprise située dans le Sud du pays.

13/09/2010

Affiche du Jobbik attaquée au couteau.

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Un homme a attaqué au couteau une affiche du candidat du Jobbik à la mairie de Budapest, Gábor Staud.

 

HC Strache en Styrie.

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HC Strache a tenu ce 12 septembre 2010 un meeting électoral à Graz, en Styrie.

Exposition Jörg Haider : 10.300 visiteurs.

L’exposition consacrée à Jörg Haider, qui se déroule à Klagenfurt en Carinthie, a reçu la visite de 10.300 personnes. Elle se termine le 2 octobre 2010. Selon la municipalité, les coûts d’organisation de cette exposition sont couverts par les recettes.

UDC Suisse : renvoyer enfin systématiquement les étrangers criminels.

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Voici un communiqué du Secrétaire général de l'UDC Suisse Martin Baltisser :

 

Une statistique de la Confédération, qui dresse la liste des délits commis en fonction de la nationalité du délinquant, a fait des gros titres dans les médias le weekend dernier. Ces chiffres indiquent que certains groupes d'étrangers tombent beaucoup plus souvent dans la criminalité que les Suisses et d'autres étrangers vivant dans notre pays. L'urgence de renvoyer systématiquement les étrangers criminels s'avère donc une fois de plus. Or, cela n'est possible que grâce à l'initiative UDC sur le renvoi.

 

"A notre avis, il faudrait aussi renvoyer plus systématiquement les étrangers criminels. Mais il existe de trop nombreuses voies de recours dans la pratique", déclare Heinz Buttauer, président de l'Association suisse des fonctionnaires de police, en commentant aujourd'hui dans les médias la statistique de la criminalité étrangère publiée par l'Office fédéral de la statistique. Ces chiffres indiquent que des ressortissants d'Angola, du Nigéria ou d'Algérie tombent six fois plus souvent dans la délinquance que les Suisses. D'autres groupes d'étrangers suivent. Conclusion: il y a beaucoup trop d'étrangers qui viennent Suisse pour y commettre des crimes et le nombre d'étrangers criminels expulsés est beaucoup trop faible. Or, c'est exactement à ce niveau qu'intervient l'initiative UDC sur le renvoi en exigeant que les étrangers criminels soient enfin systématiquement renvoyés.

 

Cette nouvelle statistique est intéressante à plus d'un titre et infirme bon nombre d'arguments des adversaires de l'initiative. Premièrement, elle atteste que la criminalité étrangère est un authentique problème; un nombre disproportionné d'assassins, de violeurs et autres criminels violents sont d'origine étrangère; la place de ces gens n'est pas en Suisse. Deuxièmement, cette statistique confirme que des mesures d'intégration prises par l'Etat sont inefficaces. Les étrangers qui veulent s'intégrer font eux-mêmes l'effort nécessaire. Ainsi, de nombreux étrangers - également d'origines accusant un fort taux de criminalité - sont parfaitement intégrés en Suisses: ils travaillent, leurs enfants vont à l'école et ils se comportent correctement. Celles et ceux qui refusent de s'intégrer et qui tombent dans la délinquance n'ont pas leur place chez nous et doivent rentrer dans leur pays. Les mesures d'intégration décrétées par l'Etat n'y changent rien.

 

Les craintes avancées par certains élus du centre politique, selon lesquels un renvoi systématique d'étrangers criminels pourrait poser des problèmes avec l'accord de libre circulation des personnes, sont également infondées. Cette statistique nous apprend en effet que la grande majorité des criminels dangereux à renvoyer ne proviennent pas des Etats UE. De surcroît, l'accord de libre circulation des personnes prévoit lui aussi la possibilité d'expulser des individus qui menacent l'ordre et la sécurité publics.

 

La situation actuelle nous montre combien il est important que le renvoi des étrangers criminels soit obligatoire. Il faut mettre fin à la pratique laxiste des autorités dans ce domaine. Mais pour que la situation actuelle se détériore encore plus, il suffirait d'approuver le contreprojet à l'initiative sur le renvoi. Ce texte donne aux avocats et aux juges une foule d'instruments pour empêcher efficacement un renvoi en exploitant n'innombrables voies de recours. Le contreprojet constituerait donc clairement un pas en arrière par rapport au régime légal actuel. La référence au droit international et à une intégration prétendument insuffisante ne permettra sans plus de renvoyer les malfaiteurs étrangers. Il faut donc déposer dans l'urne le 28 novembre prochain un OUI convaincu à l'initiative sur le renvoi et un NON tout aussi clair au contreprojet. Voilà la seule manière d'apporter une contribution efficace à la lutte contre la criminalité étrangère en Suisse.

Emission "Le grand oral" avec Eric Stauffer, le président du MCG.

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Suisse. Eric Stauffer, le président du Mouvement des Citoyens Genvois, passe dans l'émission "Le grand oral"  : http://vimeo.com/14884191

Suède. Les Démocrates suédois face à la terreur de l’extrême-gauche.

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Au cours des derniers jours, des militants du parti patriotique Démocrates suédois ont subi des attaques en provenance des milieux de l’extrême-gauche criminogène. Des réunions publiques du parti ont du être arrêtées et la voiture d’une candidate du parti a été cassée.

 

Á Malmö, dans le Sud du pays,  David von Arnold, 24 ans, qui participe pour la première fois à une campagne électorale a été attaqué à son domicile et torturé. Une croix gammée a été gravée sur son front à l’aide d’un couteau. Un ordinateur et de l’argent lui ont été dérobés.

Journée de la famille du Vlaams Belang.

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Belgique - Flandre. Ce dimanche, le Vlaams Belang a organisé sa journée de la famille au village de cow-boy « El Paso ». 200 personnes étaient présentes.

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12/09/2010

Autriche : les patriotes donnés à 32 % dans un sondage.

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Autriche. Le FPÖ, dirigé par Heinz-Christian Strache, est donné à 24% dans un sondage réalisé pour le Standard par le Linzer Institut.

Le Parti conservateur (ÖVP) obtient 25 %.

Le Parti social-démocrate (SPÖ) obtient 27 %.

Les Verts (Grüne) obtiennent 11%.

Le BZÖ décroche 8 %.

Le BZÖ est en mauvaise forme dans les sondages. Il est perçu en tant que parti ayant un programme qui n’est pas clair, disposant de peu de spécialistes et n'ayant pas de cadres avec lesquels la base du parti peut s’entretenir.

Le FPÖ, par contre, marque des points parce qu’il est perçu comme ayant une direction forte et un ligne politique claire.

Au total, le FPÖ et le BZÖ obtiennent 32% des intentions de vote.

Autriche : le jeu anti-minarets provoque des défections au sein du FPÖ de Styrie.

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Autriche. Styrie. Le jeu anti-minarets qui a été placé sur le site du FPÖ de Styrie, puis interdit par la justice, provoque le départ d’élus du FPÖ. Trois maires et une section locale du FPÖ quittent le parti. Ils reprochent au FPÖ d’être trop orienté contre l’immigration et de ne pas mettre en avant d’autres thèmes.

Horst Prodinger, qui deviendra en 2013 maire à mi-mandat de Predlitz-Turrach, Reinhardt Racz, maire de Neumarkt, et Walter Markolin, maire de Zeutschach, ainsi que la section du FPÖ de Predlitz-Turrach qui compte 25 membres, quittent le parti.

Gerhard Kurzmann, qui dirige le FPÖ de Styrie, a parlé d'une tempête dans un verre d’eau venant de personnes déçues de ne pas avoir eu une place sur la liste.

New York : Geert Wilders met en garde contre la nouvelle Mecque.

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New York. Geert Wilders, le président du PVV néerlandais, a déclaré ce samedi 11 novembre 2010 durant la manifestation contre l’ouverture d’un centre islamique près de Ground Zero : « New York ne doit jamais être changée en nouvelle Mecque ».

Voir la vidéo de Geert Wilders (discours en anglais) http://www.youtube.com/watch?v=y_t6ZlIDNkA&feature=player_embedded#!

11/09/2010

Le BNP obtient 21% lors d'une élection partielle au sein d'une municipalité.

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Royaume-Uni. Spennymoor. Élections parielles. Ce jeudi 9 septembre 2010, des élections partielles ont eu lieu à Spennymoor afin de mettre fin à la vacance de deux sièges au sein du Conseil municipal. (Un siège était libre suite à un décès et l’autre suite à une démission pour cause de maladie grave).

 

Circonscription électorale de Middlestone Moor :

 

Mr Nelson (travailliste) 358 voix.

Eddie Rhodes (libéral-democrate) 202 voix.

Julie Snaith (British National Party) 47 voix.

 

Circonscription électorale de Spennymoor :

 

Mr Ord (libéral-democrate) 494

Pat Walton (travailliste) 422

Adam Walker (British National Party) 264. Soit 21% des voix. Le BNP se présentait pour la première fois au sein de cette circonscription municipale.

Harold Pattison (indépendant) 53

Bruxelles : manifestation du 11 septembre 2010.

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Belgique. Bruxelles. Malgré l'interdiction d’organiser une manifestation ce 11 septembre 2010 contre la construction d’une mosquée à « Ground Zero » à New York, plus de 200 membres et sympathisants du Vlaams Belang se sont réunis sur la Place Madou.

Une minute de silence a été observée en hommage aux victimes.

Filip Dewinter a tenu un discours devant les personnes présentes : « Le Président américain Barak Obama, ou dois-je dire Barak Hussein Obama, comme son nom complet semble l'indiquer, défend la construction de cette megamosquée à Ground Zero. Obama a déclaré que Ground Zero est certainement un lieu sacré mais que notre attachement à la liberté de culte doit être inébranlable. Á ce propos, je dis : liberté de religion : oui . Mais cette liberté de religion ne donne pas à chacun le droit de construire comme cela de tels bâtiments religieux n’importe où ».

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"Pas de mosquée à Ground zero!"

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Filip Dewinter

Vidéos de l'incroyable meeting électoral de HC Strache à Vienne.

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Voici le début et la fin du meeting que le président du FPÖ, HC Strache, a donné ce jeudi 9 septembre 2010 à Vienne.

5000 personnes étaient présentes.

 

10/09/2010

Meeting de HC Strache à Vienne.

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Autriche. Ce jeudi 9 septembre 2010, Heinz-Christian Strache, tête de liste du FPÖ pour l’élection du Parlement du Land de Vienne et président du FPÖ, tenait un meeting électoral à Vienne. Plusieurs milliers de personnes, probablement 5.000, ont assisté au rassemblement qui avait lieu sur la Viktor-Adler-Markt.

Heinz-Christian Strache a parlé durant une heure. Au centre de son discours se trouvait la dénonciation de la politique d’immigration des sociaux-démocrates (SPÖ). Selon HC Strache, toute discussion sur ce sujet est évacuée par les dirigeants politiques. Il a évoqué le cas de Thilo Sarrazin (social-démocrate allemand qui dans un livre dénonce l’immigration musulmane en Allemagne). HC Strache a déclaré que Thilo Sarrazin est victime de persécutions politiques dans son pays et que l’Autriche doit lui offrir l’asile politique.

HC Strache a également dénoncé la politique sociale du SPÖ à Vienne qui a pour conséquence la paupérisation d’une partie de la population. La situation s’est aggravée suite à l’augmentation du coût des loyers, taxes et impôts. 100.000 habitants de la capitale autrichienne vivent en dessous du seuil de pauvreté. 

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Heinz-Christian Strache

Jeu tactique à fronts renversés entre Bossi et Fini.

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« Jeu tactique à fronts renversés entre Ligue et ‘futuristes’ » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « Le président du Conseil (Berlusconi) veut démontrer qu’il fait tout pour éviter des élections ; la tentative de calmer la frénésie électorale de la Ligue s’inscrit dans cette logique. L’hommage à la stabilité est quasi-général (d’Alfano à Frattini et Tremonti, de Maroni à Bossi même qui réitère son soutien au ‘chef’) mais il s’accompagne d’un ultimatum de la Ligue : faute de majorité suffisante au Parlement, on ira aux élections. Quelque chose cloche si Bossi parle d’élections quand Fini affiche son soutien à Berlusconi. Comme on ne peut imaginer que Bossi veuille la tête de Berlusconi ni que Fini souhaite qu’il reste à vie au Palais Chigi, tout porte à croire qu’il s’agit d’un jeu tactique. Berlusconi le joue en cherchant à récupérer le maximum de députés, Bossi le suit, sceptique vu la faible marge de manœuvre, souhaitant brûler les étapes et encaisser un triomphe pour la Ligue. Calderoli propose au Quirinal de dissoudre au moins la Chambre présidée par Fini, jugé délégitimé – provocation qui confirme la guérilla en cours avec les finiens, Fini n’ayant pas désamorcé la méfiance. La dissolution en octobre semble s’éloigner, sans disparaître tout à fait. Le report à fin septembre est éloquent. Au-delà des ‘cinq points’, l’objectif semble être d’éviter une crise en octobre et de décourager l’idée d’un gouvernement de transition en cas de chute de Berlusconi. La législature reste suspendue à un fil très ténu, mais que rend résistant, pour l’heure, la force du désespoir. »

« Le Président du Conseil à la chasse de la ‘légion étrangère’ » (Ugo Magri, La Stampa) : « Voici que soudain, après tant de luttes, Berlusconi pense avoir assez de députés pour avancer : ‘Aucun problème, le Parlement nous donnera la confiance, nous poursuivrons les réformes’. Chez ses amis, on dit plutôt ‘la situation est grave, mais pas désespérée’. En fait, il manquerait 4 ou 6 voix pour arriver à 316, la majorité absolue à la Chambre. Verdini, coordinateur du PdL, aurait identifié 20 députés ‘contactables’ pour former, dit Berlusconi, ‘la légion étrangère’ – un peu dans l’opposition (on cite même un député IdV), mais surtout chez les finiens – on cite 10-12 ‘repêchables’. Berlusconi recommence, en douce, à négocier avec l’ennemi, mais de façon indirecte : Berlusconi et Fini ne se parlent plus, mais des médiateurs œuvrent à une trêve avant que Bossi ne fasse tout sauter. Sur des sujets concrets : comment organiser un parti avec deux groupes parlementaires, répartir début octobre les places en commissions, résoudre l’incompatibilité entre appartenance à FLI et responsabilités au PdL. Les ex-‘colonels’ Gasparri et La Russa se défendent d’être un obstacle au rapprochement et se disent prêts à céder leur place, si cela peut aider. Bien sûr, le chapitre justice sera central dans la négociation : on parle d’une forme de ‘bouclier’ pour Berlusconi qui pourrait avoir l’aval de Fini. Pour certains, le Quirinal pourrait jouer un rôle : Alfano dément tout ‘triangle’, mais son collègue Frattini, bien vu au Quirinal, prend une place grandissante dans l’entourage du Cavaliere, avec Mmes Brambilla, Carfagna et Prestigiacomo, contrepoids aux ‘amazones guerrières’ de Mme Santanchè. Selon Bonaiuti, porte-parole de Berlusconi, ‘les esprits sont en train de s’apaiser’ : ‘les gens nous demandent de continuer, comme le prouvent les derniers sondages’. Mais l’épée de Damoclès reste Bossi, qui aurait tout à gagner à des élections. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Démocrates suédois donnés en forte progression à 6% des voix suite à l'interdiction du clip vidéo.

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Suède. Le dernier sondage DN Synovate donne les Démocrates suédois à 6%. Il y a un peu moins d’un mois, le parti se trouvait en dessous de la barre des 4%, score  nécessaire à l’obtention de députés (en cas de non franchissement de cette barre des 4% au niveau national, un parti peu cependant obtenir un mandat direct au sein d’une circonscription). Cette forte progression est due essentiellement à la publicité faite autour du clip vidéo du parti qui a été censuré par TV4, une chaîne de télévision suédoise. En cas d’élections, les Démocrates suédois obtiendraient 21 sièges de député.

Tim Rait, du BNP, et Hilde De Lobel, du Vlaams Belang, ont pris la parole lors de l'université d'été du MNR.

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Lors de l’université d’été du MNR,  qui a eu lieu à Saintes Charente-Maritime du 3 au 5 septembre 2010, Tim Rait du British National Party (BNP – Royamu-Uni) et Hilde De Lobel du Vlaams Belang (Flandre - Belgique) ont pris la parole.

09/09/2010

Marie-Rose Morel de nouveau atteinte par la maladie.

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Marie-Rose Morel a joué un rôle dirigeant au sein du Vlaams Belang. Suite à des désaccords politiques, elle a mis fin à son appartenance à ce parti à la fin du mois de juillet 2010.

Elle avait surmonté le cancer de l’utérus dont elle souffre, mais elle est de nouveau atteinte par la maladie.