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16/10/2010

Geert Wilders extrêmement content.

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Pays-Bas. Geert Wilders, le chef de file du PVV, s’est dit extrêmement content de la décision du ministère public qui estime qu’il ne doit pas être poursuivi pour ses propos. Geert Wilders indique que c’est la deuxième fois que le parquet se prononce en ce sens. La première fois lorsque le parquet a estimé que Geert Wilders ne devait pas être poursuivi et la deuxième fois devant le tribunal correctionnel d’Amsterdam. Geert Wilders a déclaré : « Je n’offense pas, je n’appelle pas à la haine, je ne discrimine pas. La seule chose que je fais et vais continuer à faire est dire la vérité. »

Un député du Jobbik en Turquie.

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Hongrie. Le chef de file des députés du Jobbik Tamás Hegedűs dirige le Comité des amitiés turco-hongroise du Parlement hongrois. Il vient de passer 3 jours en Turquie où il a rencontré des personnes qui ont un rôle officiel et visité des sites célèbres. Le Jobbik est le seul parti de Hongrie à vouloir bâtir des relations avec les pays qui ont des racines communes avec la Hongrie.  

Autriche : les sociaux-démocrates refusent de gouverner avec le FPÖ.

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Autriche. Le Parti social-démocrate (SPÖ) refuse toujours de gouverner avec le FPÖ. Un des principaux dirigeants du SPÖ Günther Kräuter a confirmé que son parti refusait de gouverner avec le FPÖ, tant au sein du Land de Vienne qu’au niveau national.

Le FPÖ deuxième parti d'Autriche dans un sondage.

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Selon un sondage Gallup réalisé pour le quotidien « Österreich » (400 interviews téléphoniques réalisées le 14 et 15 octobre 2010), le FPÖ de Heinz-Christian Strache serait le deuxième parti d’Autriche. En outre, 36% des personnes sondées désirent voir le FPÖ participer à la coalition gouvernementale.

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Gauche de la colonne : sondage du 15 octobre 2010. Droite de la colonne : élections législatives de 2008. La flèche jaune est l'évolution en % depuis un précédent sondage.

Les partis :

SPÖ = Parti social-démocrate

ÖVP = Parti conservateur

FPÖ = Parti libéral (nationaliste) dirigé par Heinz-Christian Strache.

Verts = écologistes

BZÖ = Mouvement pour l'avenir de l'Autriche (Parti national et libéral)

Les résultats du sondage pour les deux partis nationalistes (FPÖ et BZÖ) sont : 31%.

Jan Slota réélu à la tête du SNS.

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Slovaquie. Á la fin du mois de septembre 2010, Jan Slota, le président du SNS, a été réélu à ce poste lors d’un congrès du parti. Sa principale concurrente, Anna Belousova, qui est vice-présidente du parti, a déclaré que les élections ont été manipulées. Jan Slota a démenti catégoriquement.

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Jan Slota dirige le SNS.

Ataka réclame un référendum sur l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne.

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Bulgarie. Ataka  demande l’organisation d’un référendum à propos de  la volonté d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne.  La question doit être « Êtes-vous d’accord avec le fait que la Turquie puisse rejoindre l’Union européenne en tant qu’État membre?» Le Parlement bulgare est tenu d’organiser un référendum si 200.000 personnes apportent leur signature à une demande. Volen Siderov, le dirigeant d’Attaka, a déclaré : « C’est un État qui n’est pas européen, qui est dirigé par des musulmans fondamentalistes et qui sera toujours une menace pour la Bulgarie ». 

Ataka soutient la coalition gouvernementale. Le parti du Premier ministre favorable à l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne, le GERB, dispose de 117 des 240 sièges au sein du Parlement. Il gouverne avec le consentement des 21 députés nationalistes d’Ataka ainsi que 14 membres d’une coalition centriste.

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Volen Siderov et les députés de son parti dans le couloir du Parlement bulgare.

15/10/2010

Tract de pro NRW à Gelsenkirchen : "Non à l'islamisme de l'âge de pierre".

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Allemagne. Le groupe des élus du mouvement de citoyens pro NRW (Pour la Rhénnaie du Nord - Westphalie) au sein du Conseil municipal de Gelsenkirchen diffuse un tract intitulé "Non à l'islamisme de l'âge de pierre".

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Voir le prospectus en allemand : http://www.pro-nrw.net/wp-content/uploads/Salafisten_GE.pdf

Siv Jensen en visite chez un maire de son parti.

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Norvège. Siv Jensen, le leader du Parti du Progrès, a visité la municipalité d’Austevoll (http://fr.wikipedia.org/wiki/Austevoll) dont le Maire, en place depuis 2003, Helge Njåstad est membre du Parti du Progrès. 9 des 21 conseillers municipaux de la localité appartiennent au Parti du Progrès. Le maire a transformé la situation budgétaire de la municipalité en quelques années. Les finances qui étaient dans le rouge sont maintenant excédentaires. Il a également amélioré les services aux personnes âgées et les services publics.

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Helge Njåstad et Siv Jensen.

Le PVV outrepasse l'accord avec les deux partis gouvernementaux.

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Pays-Bas. La Haye. Alors que le nouveau gouvernement néerlandais est à peine installé, le PVV de Geert Wilders va au delà de ce qui est prévu au sein de l’accord entre le PVV et les deux partis du gouvernement minoritaire VVD-CDA. Le Député du PVV Raymond de Roon veut que les personnes qui sont flashées sur l’autoroute entre 120 et 130 km/h ne payent plus d’amendes.

Procès de Geert Wilders : le ministère public demande l'acquittement.

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Amsterdam. Le ministère public a déclaré ce vendredi 15 septembre 2010 devant le tribunal correctionnel d’Amsterdam que Geert Wilders devait être acquitté de tous les chefs d’accusation. 

Le numéro de la revue de l'UDC Suisse est disponible.

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Le numéro du mois d'octobre de Franc-Parler, la revue de l'UDC Suisse, est disponible sur Internet. Voir la revue : http://www.svp.ch/fvxtool/output/PROD/svp_FR/francparler_...

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L’UDC lance sa campagne en vue de la votation "OUI à l'initiative sur le renvoi".

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Voici un communiqué de l'UDC Suisse, premier parti du pays avec 29% des voix : 

L'UDC a aujourd'hui lancé en conférence de presse sa campagne en vue de la votation « OUI à l'initiative sur le renvoi ». De nombreux Suisses et Suissesses ne se sentent plus en sécurité dans leur propre pays. Il n'y a pas que les personnes âgées qui n'osent plus sortir de chez elles le soir : de nombreux jeunes vivent quotidiennement au milieu des incivilités et des bagarres. Presque la moitié de toutes les infractions commises en Suisse sont le fait d'étrangers. L'initiative UDC sur le renvoi permet de renvoyer enfin systématiquement les étrangers qui commettent des crimes graves dans notre pays et de leur infliger au moins cinq ans d'interdiction d'entrer sur le territoire. L'UDC a déposé son initiative sur le renvoi en février 2008, forte de 211'000 signature valables. 

Près de la moitié de tous les auteurs d'infractions sont des étrangers. Des bandes de malfrats, profitant de l'ouverture des frontières, viennent en Suisse commettre des cambriolages en série. Beaucoup de criminels et de criminelles empruntent le chemin de l'asile pour venir s'adonner à leurs activités illégales en Suisse. Il n'est donc pas surprenant que la part de condamnations pénales prononcées contre des étrangers ait augmenté de 65 % au cours des 25 dernières années. Les étrangers représentent ainsi 59 % des personnes condamnées pour homicide volontaire, ce taux atteignant même 62 % pour les viols ! Ce problème apparaît encore plus clairement lorsqu'on examine la proportion d'étrangers dans les prisons : en 2009, 70.2 % de tous les dé-tenus étaient d'origine étrangère. Il y a belle lurette que nos prisons de luxe n'ont plus aucun effet dissuasif !

Le nombre d'étrangers parmi les fraudeurs aux assurances sociales est lui aussi supérieur à la moyenne. Cette situation est une conséquence de l'immigration massive et irréfrénée ainsi que de l'attitude laxiste des tribunaux suisses. L'initiative sur le renvoi répond au besoin des Suisses et Suissesses de vivre dans un pays plus sûr, avec de meilleures frontières et appliquant des mesures efficaces. L'initiative sur le renvoi permet enfin le renvoi systématique des étrangers qui commettent des infractions graves dans notre pays et de leur infliger une interdiction d'entrer sur le territoire de cinq ans au moins. L'Office fédéral des migrations estime le nombre actuel de renvois d'étrangères et étrangers au bénéfice de permis de séjour et d'établissement à environ 400 par année. Avec un OUI à l'initiative, on peut tabler sur un chiffre de près de 1'500 renvois par an.

De peur de voir le OUI à l'initiative sur le renvoi l'emporter, le Parlement y oppose un contre-projet dénué du moindre effet. Celui-ci ne fait qu'ancrer des dispositions de droit international dans la Constitution, les plaçant ainsi au-dessus des lois suisses. Les juges et les avocats pourraient ainsi continuer d'empêcher le renvoi de criminels dangereux. Un article relatif à l'intégration inscrirait même dans notre Constitution une obligation d'intégrer à charge de la Confédération, des cantons et des communes. Il s'agit là d'une approche totalement erronée. L'initiative sur le renvoi veut renforcer la sécurité en permettant de renvoyer de Suisse tous ceux qui ne respectent pas nos lois et commettent des crimes graves. 

Seuls un OUI à l'initiative et un NON au contre-projet constituent une décision sensée, qui renforce la sécurité de tous.

Retrait de retrait de mandat de conseiller municipal pour le président du BZÖ de Styrie.

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Gerald Grosz qui dirige le BZÖ de Styrie est conseiller municipal à Graz, la capitale du Land. Gerald Grosz a quitté son mandat de conseiller municpal suite aux piètres résultats du BZÖ lors des élections pour le Parlement de Styrie. Il a changé d’avis et veut récupérer son mandat. La personne qui l’a reçu ne veut pas le rendre. Gerald Groz veut retirer son retrait de mandat, mais le maire conservateur de Graz doit d’abord mener des recherches afin de savoir si le retrait d’un retrait de mandat est acceptable d’un point de vue juridique.

Italie : le gouvernement du soupçon.

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« Former un gouvernement pour mener à bien la réforme électorale semble difficile » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore)

« Le gouvernement du soupçon » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « Le mécontentement au sein du PdL et parmi les ministres s’explique par les sacrifices voulus par Tremonti, ministre de l’Economie. Berlusconi, convalescent, reste silencieux et ne parvient à éviter la révolte que grâce à la menace du spectre du ‘gouvernement technique’. Dans tout cela, le rôle de la Ligue du Nord au sein du centre droit se fait de plus en plus central, tandis que Gianfranco Fini n’hésite pas à peser de tout son poids de troisième personnage de l’Etat quand il demande à Renato Schifani, Président du Sénat, de transférer à la Chambre les travaux sur la réforme du mode de scrutin. Dans ce duel aigre-doux d’hier, le refus de Schifani a un sens plus politique qu’institutionnel. Pour Fini, l’enjeu est vital : le thème du mode de scrutin est le joker à jouer en cas de crise avec Berlusconi, si un nouveau gouvernement devait se former. FLI, UdC et centre gauche sont persuadés de disposer d’assez de voix pour une majorité alternative à l’axe Peuple de la Liberté-Ligue afin d’éviter les élections. Pari risqué. Pour l’heure, le doute existe dans la majorité. Le plus frappant, c’est que tous disent le gouvernement moribond et le pacte de législature près de s’effondrer. On se prépare à l’‘après’, même si la chute de Berlusconi ne rester qu’une hypothèse. Prudente, la Ligue remet toute décision à un ‘bon moment’ ultérieur. Mais la tension monte entre finiens et ex-AN, et le PdL est en crise. L’absence de Berlusconi après son opération à la main accroît la nervosité. Et la conviction monte que le ‘bon moment’ dont parle Bossi n’ira pas sans quelque traumatisme. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

14/10/2010

Vienne : le dernier comptage des votes par correspondance doit avoir lieu le 18 octobre 2010.

Autriche. Elections pour le Parlement du Land de Vienne. Le deuxième et dernier comptage des votes par correspondance aura lieu le lundi 18 octobre 2010.

Le groupe Europe de la Liberté et Démocratie tient ses journées d'étude d'automne à Chypre.

Le groupe Europe de la Liberté et Démocratie regroupe divers députés patriotes siégeant au sein du Parlement européen (http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_Europe_libert%C3%A9s_d%C3%A9mocratie). Le groupe tient en ce moment ces journées d’étude d’automne à Chypre.

Walter Sonnleitner ne jette pas l’éponge.

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Walter Sonnleitner, la tête de liste du BZÖ lors des élections pour le Parlement du Land de Vienne, a indiqué que le BZÖ poursuit sa tâche à Vienne. Il a déclaré : « On ne peut abandonner lorsque ça n’a pas été une fois». Walter Sonnleitner reste à disposition. La direction du parti doit décider si Walter Sonnleitner, qui n’est pas membre du BZÖ, conduira le parti au sein de la capitale autrichienne.

Le MCG distribue un fascicule à tous les habitants de Genève.

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Le Mouvement des Citoyens Genevois (MCG) distribue un fascicule aux ménages de Genève. Voir l'article de la Tribune de Genève : http://www.tdg.ch/geneve/actu/mcg-envoie-brulot-anti-fron...

HC Strache déçu des premiers contacts avec le maire social-démocrate de Vienne.

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Autriche. Vienne. Heinz-christian Strache, le chef de file du FPÖ, et Herbert Kickl, le secrétaire général du FPÖ, ont rencontré le Maire social-démocrate (SPÖ) de Vienne Michael Häupl ce jeudi 14 octobre 2010 au cours de la matinée. HC Strache a déclaré que cet entretien était décevant. Il a dénoncé le refus du Parti social-démocrate de s’allier avec le FPÖ pour gouverner Vienne et le manque de compréhension par le SPÖ de ce qu’est la démocratie.

Parlement de Vienne : ÖVP, FPÖ et Verts veulent modifier le système de répartition des mandats de député.

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Autriche. Vienne. Le 4 mai 2010, le Parti conservateur (ÖVP), les Verts (Grünen) et le FPÖ ont signé un acte notarié au sein duquel ils s’engagent à mener une réforme du système de répartition des mandats de député au sein du Parlement de Vienne.

Berlusconi, Tremonti, Fini, Bossi : ménage à quatre.

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 « La réélection de Giulia Bongiorno (finienne) à la tête de la commission Justice de la Chambre est un signal politique lancé par le président du Conseil » (Marcello Sorgi, La Stampa) : « La réélection, haut la main (40 voix sur 48), de G. Bongiorno, proche de Fini, à la présidence de la commission Justice de la Chambre mérite un commentaire. Bongiorno a toujours maintenu un profil technique, même si elle siège à la Chambre depuis deux législatures. Connue naguère comme avocate d’Andreotti, elle est désormais la conseillère de Fini en matière de justice. C’est elle qui a mené les négociations sur la loi Alfano, les écoutes et, plus généralement, sur la réforme de la justice avec N. Ghedini, avocat de confiance de Berlusconi. Elle a été la première surprise du compromis de Berlusconi sur les écoutes. Comment donc a-t-elle pu bénéficier d’un vote bipartisan ? En fait, depuis quelques jours, elle était dans le collimateur de Berlusconi, qui aurait voulu trouver quelqu’un d’autre pour cette commission. Cela a poussé le PD et l’UdC à en faire leur candidate ; par voie de conséquence, le PdL a décidé de renoncer à l’ostraciser, afin d’éviter que ne se matérialise un accord transversal PD-UdC-FLI –véritable cauchemar pour le président du Conseil, car l’hypothèse pourrait se répéter, à l’avenir, en faveur d’un éventuel gouvernement d’urgence. » 

« Coup d’arrêt de Schifani : la réforme du mode de scrutin partira du Sénat » (Amedeo La Mattina, La Stampa) : « Au sein de la majorité, le climat se fait plus pesant : déclarations de Fini, bras de fer Tremonti-Gelmini, débat vif entre La Russa et Cicchitto sur la cohabitation au sein du PdL. Et, par-dessus le marché, les manœuvres sur la réforme de la loi électorale voient les finiens travailler à une alliance avec l’UdC et le PD. Bien sûr ces tentatives d’alliance seraient facilitées si le débat sur le mode de scrutin s’engageait à la chambre, où FLI a un groupe plus nombreux et pourrait former une majorité alternative avec l’opposition. Le président du Conseil, qui veut éviter que cela ne se produise, a bloqué la tentative de Fini – qui a écrit à Schifani pour demander que le débat démarre à Montecitorio, la Commission des Affaires constitutionnelles étant déjà surchargée de travail. Mais la réponse du président du Sénat est un non clair et net. La lettre de réponse est déjà prête, confient des sources de la majorité. Bras de fer institutionnel et politique à l’horizon. 

« Le président du Conseil freine les ministres : ‘Giulio est exaspérant mais pas touche’ » (Francesco Verderami, Corriere della Sera) : « Logique politique et logique des chiffres. Jusqu’à hier, comme depuis deux ans, cette ligne séparait Berlusconi de Tremonti. Mais un saut qualitatif s’est produit dans le conflit qui divise le gouvernement. Le problème n’est plus le malaise individuel de Gelmini, Bondi, Prestigiacomo ou Alfano face à la rigueur frappant les crédits de leur ministère. Aux yeux de la majorité des représentants du PdL au gouvernement, l’opération de ‘mise sous tutelle’ des ministères menée par Tremonti devient une sorte de ‘mise sous tutelle’ du président du Conseil lui-même. Tout le monde attendait la rencontre d’hier entre ‘Silvio’ et ‘Giulio’ ; à l’évidence, c’est la ligne Tremonti qui a prévalu. Le Cavaliere a invité au calme les ministres qui l’ont appelé peu après. Plusieurs raisons expliquent pourquoi aujourd’hui Berlusconi ne veut pas entrer en conflit avec Tremonti. La première est dictée par la situation politique : Berlusconi veut éviter que les dissensions avec Tremonti ne fragilisent l’alliance avec Bossi. La seconde tient aux sondages : sur les relevés mensuels d’Ipsos, le ministre de l’Economie obtient une cote de confiance 53 %, bien plus que le président du Conseil (42%). En public, Berlusconi dit que le problème est au PdL, mais en privé il avoue que dans l’exécutif ‘quelque chose ne va pas’, notamment avec Tremonti. Les ministres PdL les plus proches l’exhortent à ‘cesser d’hésiter’, à ouvrir une ‘négociation directe avec Bossi’ d’où il ressorte qu’il revient au chef du gouvernement d’établir la feuille de route et aux ministres, dont Tremonti, de la respecter. Chacun sait que ‘Giulio’ reste intouchable, mais espère que ‘Silvio’ restreindra ses pouvoirs. Ce n’est pas ce qui s’est passé hier. On le verra au Conseil des ministres aujourd’hui. Et demain est un autre jour. »

« La stratégie des ‘futuristes’ risque d’hypothéquer la stabilité du gouvernement » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « La prochaine étape de la prise de distance par rapport au PdL s’amorce déjà, en dépit de démentis embarrassés : l’idée de se présenter aux élections municipales du printemps ‘les mains libres’ suggère à quel point Fini croit peu aux chances de poursuivre sa route avec le centre droit actuel. Certes, c’est comme ultima ratio qu’il a évoqué hier cette hypothèse (si son parti ne parvenait pas à peser sur les candidatures et les programmes), mais le simple fait qu’il envisage des alliances hors de la majorité confirme une distance persistante par rapport à Berlusconi et à la Ligue de Bossi. Il s’agit d’une sérieuse hypothèque sur l’avenir de la législature. En cas d’élections générales au printemps, cette stratégie de ‘mains libres’ de FLI serait un paramètre à prendre en compte. Fini a réitéré hier son refus d’un ‘procès court’ qui privilégierait les seuls intérêts du président du Conseil et la visite au Quirinal de M. Vietti, vice-président du Conseil supérieur de la magistrature, officialise le malaise qui règne au CSM. G. Napolitano l’a assuré de ‘son engagement constant en faveur de l’exercice rigoureux des prérogatives constitutionnelles du CSM’. Autant d’indices qui inspirent au PdL un syndrome d’encerclement. Certes, le vote quasi unanime pour la présidence de certaines commissions est vu comme un signal de détente, mais il pourrait être annonciateur d’alliances autres que celles d’aujourd’hui. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

13/10/2010

Gábor Staudt, ancien candidat du Jobbik à la mairie de Budapest, exclu d'un comité parlementaire.

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Hongrie. Les conservateurs et les socialistes bloquent la participation de Gábor Staudt, membre du Jobbik, aux travaux du Comité de sécurité nationale du Parlement hongrois. Raison invoquée : étant un des fondateurs de la Garde nationale hongroise, il représente un risque pour la sécurité. Gábor Staudt a introduit un recours, devant ce Comité de sécurité nationale, qui a été rejeté.

Patrik Brinkman prépare la manifestation du 7 mai 2011 à Cologne.

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Afin d’amener un maximum de participants lors de la « Marche pour la Liberté » le 7 mai 2011 à Cologne, le Représentant de LVCI (http://lvci.hautetfort.com/) en Allemagne et richissime Patrik Brinkman se rendra la semaine prochaine en France et en Belgique afin d’affréter des bus pour le 7 mai 2011. Il se rendra également au Royaume-Uni et en Irlande.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2010/09/23/col...)

Le FPK en conclave.

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Autriche. Le FPK, qui gouverne la Carinthie avec le Parti conservateur (ÖVP), est réuni en conclave. Le FPK veut maintenir le système de la somme d’argent que reçoit un jeune pour commencer dans la vie ainsi que la compensation pour l’augmentation du coût de la vie. Le FPK veut modifier la loi électorale afin de s’assurer que tous les votes par correspondance pris en considération soient arrivés avant le jour des élections.

Le débat entre Filip Dewinter du Vlaams Belang et Abu Imran de l'organisation islamiste "Sharia4Belgium" à propos de l'islam aura lieu devant une caméra.

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Belgique. Flandre. Le 22 septembre 2010, nous parlions sur ce site de l’impossibilité d’organiser un débat à propos de l'islam entre Filip Dewinter du Vlaams Belang et Abu Imran de l'organisation islamiste "Sharia4Belgium" au sein de deux universités. Le débat aura cependant lieu, mais au sein d’un studio de télévision. La vidéo sera ensuite placée sur Youtube.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2010/09/22/deu...)