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02/06/2010

Vienne. Nouvelle affiche de HC Strache.

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Voici une nouvelle affiche de HC Strache, le président du FPÖ, en vue des élections au Parlement de Vienne.
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 "Il amène ce dont nous avons besoin. Enfin des chances. Dis "Oui" à HC Strache."

Italie : la loi de finances rectificative divise par deux le coup de massue sur la Culture

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 « La loi de finances rectificative divise par deux le coup de massue sur la Culture » (Carlo Bertini, La Stampa) :
« ... en attendant, la loi de finances subit un changement notable : la liste des 232 établissements culturels censés perdre toute subvention publique disparaît ; les crédits sont tout de même divisés par deux mais la question est confiée à S. Bondi, ministre de la Culture, qui avait protesté pour n’avoir pas été consulté. Une victoire, donc, pour le ministre, à qui incombera néanmoins la lourde tâche de décider où s’appliqueront les coupes. Cicchitto, président du groupe PdL à la Chambre, explique que mieux vaut faire les coupes dans le secteur culturel ‘au bistouri plutôt qu’à la hache’. La Ligue elle aussi peut crier victoire, une fois obtenue la confirmation que le texte définitif ne prévoit plus l’élimination des ‘mini-provinces’ de moins de 220 000 habitants, autre mesure qui avait provoqué un tollé. Mais Fini pose une question douloureuse pour la Ligue : ‘si nous sommes dans une situation financière exigeant rigueur absolue et maîtrise des dépenses, le lancement du fédéralisme fiscal est-il compatible avec l’équilibre des comptes ?’. Autre épine pour le gouvernement : la grêve des magistrats annoncés par Palamara, président de l’ANM, au sortir d’une rencontre avec Gianni Letta ; dans le texte budgétaire, disent-ils, ‘la volonté de punir la magistrature italienne est visible’. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome) 

Gerald Grosz conduira la liste du BZÖ lors des élections pour le Parlement de Styrie.

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Gerald Grosz sera le candidat de tête du BZÖ lors des élections pour le Parlement de Styrie qui auront lieu en automne 2010.

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Gerald Grosz est vice-président du BZÖ national, dirigeant du BZÖ en Styrie, député au Parlement autrichien et conseiller municipal à Graz. Il veut quitter ses activités au niveau national afin de se consacrer à la politique en Styrie.

    

 Le BZÖ a pour objectif d’entrer au Parlement de Styrie.  

 

Gerald Grosz sera désigné tête de liste du BZÖ pour les élections du Parlement de Styrie lors d’un congrès le 26 juin 2010.

 

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Gerald Grosz

UDC Suisse : les conditions pour soutenir l'accord UBS ne sont pas remplies.

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% des voix :
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Le groupe parlementaire UDC a réaffirmé aujourd'hui qu'il ne soutiendra l'accord sur l'entraide administrative avec les Etats-Unis qu'à deux conditions: premièrement, l'assemblée fédérale n'approuve pas de nouveaux impôts sur les entreprises; deuxièmement, elle veille à ce que le Conseil fédéral ne puisse plus recourir à des pratiques illicites comme dans le cas de l'accord UBS. Les compétences du gouvernement en matière de traités de droit public doivent donc être adaptées. Pour le moment, ces deux conditions ne sont pas remplies. Si cela reste ainsi, l'UDC combattra l'accord UBS.

01/06/2010

Henry Nitzsche invité au congrès de la DSU.

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Allemagne. Le Président du mouvement « Arbeit Familie Vaterland » (Travail, Famille, Patrie) Henry Nitzsche a  tenu un discours lors du congrès de la DSU ce dimanche soir.

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Henry Nitzsche parle. A droite, la direction de la DSU.

Suisse : initiative sur le secret bancaire rejetée.

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 Suisse. Le Parlement a rejeté par 102 voix contre 78 (2 abstentions) l’initiative de l’UDC visant à ancrer le secret bancaire au sein de la Constitution.

Video du congrès du VB.

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Belgique. La vidéo du congrès du Vlaams Belang, ce dimanche à Anvers, est disponible : http://www.filipdewinter.be/bekijk-hier-het-extra-campagn...

Royaume-Uni : un syndicat nationaliste.

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Solidarity est le syndicat des travailleurs britanniques. Voir le site internet en anglais : http://www.solidaritytradeunion.org/

31/05/2010

Reporter sans frontières dénonce les pratiques de la télévision d'Etat belge francophone.

Selon Reporter sans frontières, les pratiques de la radiotélévision publique belge francophone ne sont pas compatibles avec les standards démocratiques européens.

 

Voir l'article du journal belge Le Soir : 

http://www.lesoir.be/actualite/belgique/elections_2010/2010-05-31/debat-national-rsf-demande-a-la-rtbf-de-revenir-sur-sa-decision-773535.php

Italie : le paradoxe fédéraliste.

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« Avec la loi de finances rectificative, la Ligue fait face au ‘paradoxe fédéraliste’ » (Stefano Folli, Il Sole de samedi) : « Dans un entretien à La Repubblica, Formigoni avoue clairement que le fédéralisme fiscal coûte cher et que la réforme devient de fait impossible si les ressources nécessaires sont mobilisées en réponse aux exigences européennes. Le fédéralisme reste pour la Ligue, et officiellement pour tout le gouvernement, la priorité de la législature. Mais même Bossi se laisse parfois aller à reconnaître que la situation est difficile. Cela étant, le seul espoir de maintenir en vie le rêve fédéraliste est justement la rigueur de Tremonti et son aptitude à tenir les comptes. Le pacte implicite entre le léghisme et le ministre de l’Economie est le suivant : plein soutien à la politique actuelle du gouvernement en échange de la garantie que la perspective de la réforme sera sauvegardée. En attendant, on ressasse le slogan pour le bon peuple : ‘le fédéralisme ne coûte rien’. Dans La Stampa, L. Ricolfi explique clairement le paradoxe vers lequel Bossi risque d’aller : ‘si les sacrifices demandés à la Lombardie et à l’Emilie-Romagne, les deux régions les plus ‘fourmis’ devaient équivaloir à ceux demandés à la Calabre et la Sicile, les plus ‘cigales’, alors s’imposerait une amère conclusion : le fédéralisme est mort avant de naître, par le fait non de ses ennemis historiques mais d’un gouvernement dont la Ligue est une composante fondamentale’. Telle est la contradiction qui pèse sur l’axe Tremonti-Bossi et dont Berlusconi devra tenir compte. »

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(Traduction : ambassade de France à Rome)

Le Grand Conseil genevois balaie une réforme du système électoral

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Voici un communiqué ATS :

 

A Genève, le système d'élection au Conseil d'Etat ne sera pas réformé. Le Grand Conseil a balayé un projet de loi UDC demandant des élections au système majoritaire. Le texte avait pour objectif de favoriser les candidats hors alliances.

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Soutenu par le Mouvement Citoyens genevois, le projet de loi voulait interdire les bulletins de partis, d'associations et de groupements. "L'élection à l'exécutif est un vote de dupes. Les partis veulent nous faire croire qu'ils partagent des unités de vues alors que ce n'est pas le cas", a fait valoir Mauro Poggia, député MCG.

 

Et de rappeler que le MCG, qui compte 17% d'élus au parlement, n'a aucun représentant au gouvernement. "Est-ce légitime? Il faudra bien réfléchir à un changement de système", a-t-il mis en garde.

 

Ce projet de loi a été déposé par Yves Nidegger, ex-député de l'Union démocratique du centre et candidat malheureux à l'exécutif genevois en novembre dernier. Pour la majorité des députés, les électeurs sont bien informés, et le système leur permet de choisir librement, éventuellement en remplissant un bulletin électoral vierge.

Judith Wolker de pro NRW en Espagne.

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Espagne. Judith Wolter, de pro Köln (Pour Cologne) et pro NRW (Pour la Rhénanie du Nord – Westphalie), a tenu un discours devant 600 partisans du mouvement régional catalan  Plataforma per Catalunya (Plateforme pour la Catalogne).
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Judith Wolter à la tribune.

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Josep Anglada, le dirigeant de la Plateforme pour la Catalogne.

Rencontre entre pro NRW et les Republikaner.

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Allemagne. La fin de semaine passée, les directions de pro NRW et des Republikaner se sont rencontrées en vue de parler de coopération future entre les deux partis. Les présidents des deux partis, Rolf Schlierer et  Markus Beisicht, ont déclaré : « au vu de la dérive vers la gauche de l’Union (CDU/CSU), les temps sont mûrs  pour un parti conservateur et libéral qui se distancie des  positions d’ultra-droite. C’est pourquoi le rapprochement entre les forces et partis démocratiques de droite sont à l’ordre du jour. Pro NRW et les Republikaner doivent lancer un signal clair et conduire ensemble des actions et des organisations d'événements. D’autres réunions seront organisées. »
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Le site en français de Rolf Schlierer : http://www.rolfschlierer.de/fr/index.htm

30/05/2010

Élections au Burgenland : le FPÖ gagne deux sièges.

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Autriche. Ce dimanche, les élections pour le Parlement du Burgenland ont vu le FPÖ augmenter son score de 3,6 % et atteindre 9,3%. Le parti double son nombre de sièges au sein du Parlement du Burgenland en passant de 2 à 4 députés. Le FPÖ a subi la concurrence de la Liste Burgenland (LBL) qui s'oppose, elle aussi, au système de la carte de parti (politisation des nominations).

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Le Parti social-démocrate (SPÖ) perd sa majorité absolue en chutant à 48,55% des voix. Les écologistes, ne passant pas la barre des 4%, n'obtiennent pas de mandats. (Ils en détenaient deux).

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Résultats sans la comptabilisation des votes par correspondance.
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SPÖ : Parti social-démocrate
ÖVP : Parti conservateur
FPÖ : Parti national-libéral
Grüne : Parti écologiste (Verts) 
LBL : Liste Burgenland

Congrès électoral du VB à Anvers.

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Cet après-midi, le congrès électoral du Vlaams Belang en vue des élections législatives du 13 juin 2010 a eu lieu à Anvers. La salle était pleine.

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Anke Van dermeersch a tenu le discours de bienvenue. « Si vous allez voter le 13 juin, vous votez pour ou contre vous-même, vous votez pour ou contre votre pays, vous votez pour ou contre votre peuple, vous votez pour ou contre votre avenir. »

 

Les candidats ont apporté les salutations des différentes provinces. Gerolf Annemans, Joris Van Hauthem, Alexandra Colen et Nele Janseghers ont ensuite tenu un discours.

 

Filip Dewinter a présenté les faits criminels qui ont défrayés la chronique, au cours de ces derniers temps, à Anvers. Il a déclaré « Ce n’est pas le peuple qui est protégé contre les criminels. Ce sont les criminels qui sont protégés contre le peuple. »

 

Le Président du parti Bruno Valkeniers a déclaré que « le vote pour le Vlaams Belang est la meilleure garantie que votre voix soit prise en considération, aussi après le 13 juin » et « une voix pour le Vlaams Belang reste aussi après le 13 juin une voix pour la Flandre et pour les Flamands d’abord ».

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Anke Van dermeersch

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Filip Dewinter (en haut) et Bruno Valkeniers (en bas)

Henry Nitzsche participe à un congrès des Burschenschaften.

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Allemagne. Le 27 mai 2010, Henry Nitzsche, ancien député national de la CDU et président du mouvement « Arbeit-Familie-Vaterland » (Travail-Famille-Patrie), était l’invité du congrès des Burschenschaften (association d’étudiants nationalistes qui existent depuis le début du XXème siècle) à Eisenach. Il a déclaré « Les Burschenschaften sont les porteurs de bannières de la vertu allemande ». Il a été fortement applaudi par les 150 personnes présentes, ce qui démontre qu’il a touché l’âme de ces combattants de la liberté.
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Deux membres de Burschenschaften et Henry Nitzsche

29/05/2010

BNP : 14.000 membres.

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Royaume-Uni. Pour la première fois de son histoire, le BNP atteint les 14.000 membres.

Filip Dewinter : « An-Sofie est la charmante version féminine de moi-même ».

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Filip Dewinter a donné une interview au Nieuwsblad. La figure de proue du Vlaams Belang possède une vingtaine de bouteilles de Whisky dans sa salle de séjour. Il les a obtenues lors de l’ouverture du Parlement écossais. Á peine 5.000 de ces bouteilles ont vu le jour.

Le chien Ako pose pour la photo au côté de Filip Dewinter qui déclare en riant : « Si tu veux des amis en politique, prends donc un chien. »

Filip Dewinter est marié et a trois filles. Il essaye de parler le moins possible de politique à la maison. Cependant, il leur présente les actions politiques et campagnes prévues en premier, afin de connaître leurs premières impressions.

 

La deuxième des filles de Filip Dewinter,  An-Sofie (19 ans), est la plus active en politique. An-Sofie fait attention aux détails lorsque son père passe à la télévision ou à la radio :  « Je l’observe. S’il utilise des mots trop difficiles, je le lui dis. Si ces habits ne sont pas beaux ou ses cheveux pas bien coiffés, je le lui dis aussi.»

 

En plus des éléments physiques, il y a d’autres ressemblances entre le père et la fille : « Je suis têtue et exprime volontier mon opinion. Je supporte difficilement les critiques ». Filip Dewinter ne le dément pas : « An-Sofie est la charmante version féminine de moi-même ».

 

Est-ce que dans le futur An-Sofie Dewinter figurera sur une liste ? Elle ne le sait pas encore. Elle doit d’abord terminer ses études.

 

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Filip Dewinter et sa fille An-Sofie
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An-Sofie Dewinter

Manifestation de pro NRW à Dortmund le 17 juillet 2010.

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Pro NRW organise une manifestation le 17 juillet 2010 à Dortmund-Hörde. Le parti attend jusqu’à 200 participants. Les habitants du quartier seront prévenus lors une distribution de tratcs dans les boîtes aux lettres.

Le président du FPK siégera au sein de la direction du FPÖ.

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Autriche. Lors de la prochaine réunion de la direction du FPÖ, le président du FPK, Uwe Scheuch, siégera au sein de l’instance dirigeante du FPÖ. Un traité de coopération sera signé entre les deux partis. Des règles vont également être établies afin de réguler la constitution des listes électorales lors des élections pour le Parlement de Carinthie.

 

Le FPK dirige la Carinthie avec le Parti conservateur (ÖVP). L’ÖVP de Carinthie a réagi à cette annonce. Le travail du gouvernement de Carinthie doit se poursuivre sans influences du FPÖ national et de son président Heinz-Christian Strache. Si tel n’était pas le cas, l’ÖVP de Carinthie en tirerait les conséquences.

 

Uwe Scheuch a rassuré l’ÖVP de Carinthie en déclarant que personne ne viendrait s’immiscer dans la ligne politique du FPK. Le FPK garde sa pleine indépendance. D’un autre côté, le FPK aura son mot à dire sur la scène politique nationale grâce à l’entrée de Uwe Scheuch au sein de la direction du FPÖ.

 

Stefan Petzner, qui dirige le BZÖ en Carinthie, a déclaré que Uwe Scheuch s’est agenouillé devant Heinz-Christian Strache et que la constitution de listes FPK/FPÖ lors des élections pour le Parlement de Carinthie aura pour conséquence de nombreuses pertes de mandats pour les cadres du FPK.

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Uwe Scheuch, le président du FPK, siégera au sein de la direction du FPÖ.

Suisse : l'UDC était dès le départ pour soumettre l'accord UBS au référendum facultatif.

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Voici un communiqué de l'UDC :

Plusieurs médias ont analysé hier et aujourd'hui la nécessité de soumettre ou de ne pas soumettre au référendum facultatif l'ccord d'entraide administrative conclu avec les Etats-Unis dans l'affaire UBS. L'UDC avait demandé dès le début de cette discussion que cet accord soit soumis au référendum facultatif conformément à la Constitution fédérale qui l'exige pour les traités internationaux contenant des dispositions fixant des règles de droit (art. 141 cst.). Elle avait rappelé cette exigence le 14 avril 2010 déjà, jour où le Conseil fédéral avait adopté son message. Le communiqué de l'UDC était intitulé "L'accord doit être soumis au référendum". L'UDC a également défendu ce point de vue dans les commissions parlementaires préparatoires.

Pour l'UDC, il s'agit dans cette affaire d'une question de principe, indépendamment du fait que l'on soit pour ou contre l'accord UBS. La Constitution fédérale prescrit expressément que les traités de droit public doivent être soumis au référendum s'ils contiennent des dispositions fixant des règles de droit ou si leur application exige l'adoption de lois fédérales. Il est incontestable que l'accord UBS contient des dispositions fixant des règles de droit, si bien que ce traité doit être soumis au référendum facultatif dans le respect de la démocratie directe.

28/05/2010

Hémorragie à la CDU.

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Allemagne. Rhénanie du Nord - Westphalie. Lors des dernières élections pour le Parlement de Rhénanie du Nord – Westphalie, la CDU d’ Angela Merkel a perdu 1.014.770 voix par rapport aux mêmes élections en 2005. Le nombre de membres de la CDU a chuté de 20% en 10 ans. Les cadres et militants qui quittent la CDU se retrouvent sans parti.
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Pro NRW espère recruter un certain nombre de ces personnes. Le départ de Roland Koch (http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2010-05-25/roland-koch-baron-de-la-cdu-se-retire-de-la-politique/924/0/458947), un représentant de la droire conservatrice de la CDU qui n'hésitait pas à utiliser le populisme, va affaiblir encore plus la CDU. Au cours du mois de mai, 120 personnes sont devenues membre de pro NRW. Certaines viennent de la CDU.

Le retour aux affaires de Christoph Blocher.

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Le quatidien suisse Le Temps consacre un article à Christoph Blocher. Lien vers l'article : http://www.letemps.ch/Page/Uuid/8554e730-69cd-11df-b127-44fc5dc45bfa/Le_retour_aux_affaires_de_Christoph_Blocher

Berlusconi veut redessiner aux yeux de ses électeurs son image de patron absolu du gouvernement.

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Voici un communiqué de l’AFP :

 

Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a justifié jeudi son rapport au pouvoir par une référence historique inhabituelle au dictateur fasciste Benito Mussolini.

 

Interrogé lors d'une conférence de presse à Paris sur le risque que le plan d'austérité adopté par son gouvernement ne lui fasse perdre de futures élections, il a fait une digression sur son rapport au pouvoir.

 

«J'ose vous citer une phrase de celui qui était considéré comme un dictateur, un grand et puissant dictateur, c'est-à-dire Benito Mussolini: «Ils disent que j'ai du pouvoir. C'est faux. Peut-être que les hiérarques en ont, mais je n'en sais rien. Je sais que je peux seulement ordonner à mon cheval d'aller à droite et à gauche et je dois m'en réjouir»«, a-t-il déclaré.

 

«Donc le pouvoir, s'il existe, n'appartient pas à ceux qui dirigent les gouvernements des différents pays», a conclu Silvio Berlusconi, souvent accusé par l'opposition et les intellectuels italiens de mettre en place un régime rappelant le fascisme.

 

«Je suis au service de tout le monde et tout le monde peut me critiquer, voire m'insulter», a-t-il assuré, aux côtés d'autres dirigeants, dont le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, présents à Paris pour une réunion de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

 

Et voici un article de La Stampa :

 

« Les sacrifices et les deux visages du Cavaliere » (Marcello Sorgi, La Stampa) :

 

« Paradoxe apparent que de voir Berlusconi prendre ses distances par rapport au collectif budgétaire voulu par son gouvernement. C’est pourtant ce qu’il fait publiquement depuis 2 jours face à des salles étonnées par ses déclarations – comme, hier, de citer Mussolini pour expliquer son impuissance face à un tournant de la rigueur excessif à son goût. En réalité, sa stratégie de communication est très claire et bâtie sur les réactions, mesurées par les sondages, à la loi de finances rectificative. Premier signal en réponse aux doutes de son électorat : la conférence de presse de mercredi, où il n’a pas nié les divergences avec Tremonti – investi du rôle du ‘méchant’ – comme pour dire ‘si je n’avais pas tenu bon, ça aurait pu finir plus mal encore’. Mais ne risque-t-il pas, ce faisant, de délégitimer le plan de redressement aux yeux de l’Europe ? C’est possible, même si pour les observateurs ce sont les faits et les chiffres qui comptent, avec Tremonti en sentinelle sur la frontière de l’Union. A moyen terme, Berlusconi veut redessiner aux yeux de ses électeurs son image de patron absolu du gouvernement. Dans l’ignorance où l’on se trouve de la façon dont les choses vont évoluer pour l’Italie, l’euro et l’Europe ces prochains mois, le Cavaliere veut suggérer qu’il continue à faire tout ce qu’il peut, mais que si le vent demeure contraire, alors il faudra se préparer à des temps plus durs. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Belgique : débats électoraux à la télévision.

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La Belgique est un pays divisé en zones linguistiques. Au sein de la partie de langue néerlandaise (Flandre) règne une certaine démocratie. L’ensemble des partis politiques a accès aux médias, bien que certains partis soient néanmoins parfois discriminés.
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Dans la partie francophone du pays, la démocratie est quasi-inexistante. Seuls quatre partis politiques ont accès à la télévision d’État, la RTBF.

 

La chaîne de télévision publique néerlandophone et francophone devaient organiser un débat en commun, mais la présence du Vlaams Belang au sein du débat posait problème à  la télévision francophone. Deux débats séparés seront donc organisés. Un par la chaîne francophone et l’autre par la chaîne néerlandophone.

 

Voir un article du journal belge La Dernière Heure : http://www.dhnet.be/infos/elections-2010/article/312721/pas-de-debat-commun-rtbf-vrt.html