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27/06/2010

Les délégués de l'UDC Suisse se sont réunis à Delémont.

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Lors de la réunion des délégués de l'UDC Suisse, Yvan Perrin et Oskar Freysinger étaient absents.

Voici un communiqué ATS :

A une année et demi des élections fédérales, l'UDC relance l'un de ses principaux chevaux de bataille, l'Union européenne. Christoph Blocher appelle les Suisses à s'opposer à tout rapprochement avec Bruxelles. Il a ensuite dénoncé la gestion de la crise libyenne par Berne.

Le vice-président de l'UDC a dressé devant les délégués le portrait d'une Union européenne (UE) en pleine déroute avec une monnaie qui perd de sa valeur et des Etats confrontés à d'importants déficits. «Cette UE est condamnée à l'échec. Non pas l'Europe, mais l'UE», a déclaré avec virulence Christoph Blocher.

Pour la figure charismatique de l'UDC, la Suisse se trouve dans une situation bien plus enviable que d'autres pays européens grâce à la démocratie directe. Christoph Blocher estime que la Suisse ne doit plus conclure de nouveaux accords avec l'Union européenne pour préserver sa souveraineté.

Conseil fédéral fustigé

Comme le président du parti Toni Brunner, Christoph Blocher a dénoncé la gestion de la crise libyenne par le Conseil fédéral, parlant d'amateurisme. Il s'en est pris tout particulièrement à la conseillère fédérale socialiste Micheline Calmy-Rey.

«Nous ne voulons pas d'une armée qui fasse des engagements à l'étranger», a lancé sous les applaudissements Christoph Blocher. L'ancien conseiller fédéral a estimé qu'une action militaire suisse à l'étranger pour libérer les deux otages aurait pu déclencher des actions de représailles.

Sans surprise, l'UDC se présente comme le seul parti politique à même de défendre ces valeurs. «La majorité du Conseil fédéral, de l'administration et du Parlement veut toujours entrer dans l'UE malgré le désastre évident de cette organisation». Le parti dit être prêt à se battre tout seul si nécessaire.

26/06/2010

Manifestation à Strasbourg pour la Garde Hongroise et la libération de György Budaházy.

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Ce jeudi, une manifestation a eu lieu à Strasbourg devant le bâtiment de la Cour Européenne des Droits de l’Homme. Le Député du Jobbik au Parlement Hongrois Tamás Gaudi-Nagy et la Député du Jobbik au Parlement Européen Krisztina Morvai étaient présents.

Voir l'article du HVIM France sur le sujet :

http://hvim-france.hautetfort.com/actualites_du_hvim_france/

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Geert Wilders se demande si les Pays-Bas sont encore une démocratie.

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Pays-Bas. Geert Wilders dénonce le fait que son parti, le PVV, se trouve en dehors des négociations pour la formation d’un gouvernement. Il se demande si les Pays-Bas sont encore une démocratie.

Le nouvel informateur Tjeenk Willink reçoit lundi l’ancien informateur Uri Rosenthal et et les président du VVD, PvdA, CDA, D66 et GroenLinks.

25/06/2010

Geert Wilders ignoré par la Reine Béatrix.

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Le chef de file du PVV, Geert Wilders, dénonce le fait que la Reine Béatrix ait invité seulement les présidents des groupes parlementaires du VVD, PvdA, CDA, D66 et de GroenLinks.

Le PVV, qui a gagné les élections, se retrouve placé hors-jeu.

Italie : la révolte des gouverneurs divise le PdL et la Ligue.

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« La révolte des gouverneurs divise le PdL et la Ligue » (Marcello Sorgi, La Stampa) :

« La protestation des Régions contre le gouvernement, qui décharge sur les administrations locales le poids le plus important de la loi de finances rectificative, prend des allures de révolte. Les présidents menacent de renoncer à leurs compétences dans de nombreuses matières où le pouvoir central n’intervient plus depuis longtemps. L’explication, donnée au nom de tous par le président de la Conférence Etat-Régions, V. Errani, est qu’en coupant les fonds prévus pour une série de services, la manœuvre empêche de les continuer à les garantir, à moins de mettre en place de nouveaux impôts locaux pour les financer. Tout ça était assez prévisible : dès que la manœuvre a été expliquée, l’affaire du gouvernement de Rome qui se vante de ‘ne pas mettre la main aux poches des Italiens’ mais oblige les administrations locales à le faire était claire. Dans notre pays, plus que dans d’autres, coupes budgétaires et impôts sont équivalents. Comme les maires qui, mercredi, avaient appris par la presse l’éventuelle création d’une nouvelle taxe communale – pour remplacer l’ICI, abolie en 2008, et jamais réintégrée avec transferts de fonds du gouvernement – aujourd’hui, les présidents de régions aussi voudraient savoir ce qui les attend. Dans ce cadre général, où la discussion sur le fédéralisme a été submergée, celle sur le fédéralisme fiscal en particulier redevient dramatiquement d’actualité, et ce n’est pas un hasard si U. Bossi a été en parlé avec G. Napolitano au Quirinal. La sensation est qu’un gouvernement aux caisses vides, avec une capacité famélique de couper les fonds aux régions et aux communes, n’est pas du tout prêt à renoncer au centralisme des impôts. La tension politique entre PdL et Ligue semble en passe de s’accroître sur un des points-clefs qui cimentent le pacte entre les deux partis. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

24/06/2010

Le PNR et Nationaldemokraterna rejoignent l'Alliance européenne des mouvements nationaux.

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L’Alliance européenne des mouvements nationaux, un groupe de partis patriotiques européens dont le président est Bruno Gollnisch (et dont les trois principales composantes sont le FN, le BNP et le Jobbik) a accueilli en son sein deux nouveaux partis : le PNR (Partido Nacional Renovador – Portugal) et Nationaldemokraterna (Suède).

Patrik Brinkmann sera présent lors de la manifestation de pro NRW à Dortmund-Hörde.

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L’entrepreneur germano-suédois Patrik Brinkmann a annoncé qu’il sera présent à la manifestation organisée par pro NRW (Pour la Rhénanie du Nord – Westphalie) à Dortmund-Hörde le 17 juillet 2010. Il tiendra un discours lors de cette manifestation.
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Le même jour, pro Berlin tiendra à Berlin-Schöneberg un congrès. Parmi les invités se trouvetont Filip Dewinter du Vlaams Belang et Jacques Cordonnier d'Alsace d'abord.

Gerald Grosz sera désigné samedi prochain tête de liste du BZÖ en Styrie.

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Le Président du BZÖ de Styrie, Gerald Grosz, sera désigné en tant que tête de liste pour les élections pour le Parlement de Styrie, lors d’un congrès du parti du Land, le 26 juin 2010.

Le Parti du Peuple danois fête les jours les plus longs de l'année.

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Les pays nordiques fêtent le solstice d’été. Á l’occasion des feux de la Saint-Jean, Pia Kjærgsgaard, la présidente du Parti du Peuple danois, a tenu un discours dans un champ agricole près de Roskilde. Il y a eu des chansons, de la musique et un pique-nique.
 
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Pia Kjærgsgaard

Le FPÖ et les partis patriotiques en Europe.

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Vienne. Le FPÖ voit, suite à la victoire de différents partis patriotiques en Europe, une percée des partis patriotiques qui seront, dans le futur, un grand facteur de la politique en Europe. C’est ce qu’ont déclaré aujourd’hui, lors d’une conférence de presse à Vienne, le Député européen du FPÖ Andreas Mölzer et le chef de file du FPÖ Heinz-Christian Strache. Andreas Mölzer a souligné le développement de relations entre différents partis patriotiques européens et le FPÖ.
 
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Andreas Mölzer et Heinz-Christian Strache

Heinz-Christian Strache a, de nouveau, réclamé l’expulsion de la zone euro des pays qui ont des problèmes financiers (Grèce, Italie, Espagne, Portugal).

Les deux représentants du FPÖ ont dénoncé la politique pratiquée par l’Union européenne dans la question du Kosovo. Le FPÖ est favorable à la Serbie. 

Le FPÖ entretient de bons contacts avec les partis appartenant à deux groupes différents au sein du Parlement européen

Groupe Europe de la liberté et démocratie :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_Europe_libert%C3%A9s_d%C3%A9mocratie

http://www.efdgroup.eu/

Groupe des conservateurs et réformistes européens :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Conservateurs_et_r%C3%A9formistes_europ%C3%A9ens

23/06/2010

Le BZÖ de Styrie délivre des médailles "Jörg Haider".

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Sept médailles « Jörg Haider » devraient être remises par le chef du BZÖ de Carinthie, Gerald Grosz, lors de la convention du BZÖ de Styrie, samedi prochain, à l’hôtel de ville de Graz.

Trois des personnes concernées ont été des proches de Jörg Haider au cours de sa carrière politique et les quatre autres ont été actives d’un point de vue politique en Styrie.

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La médaille Jörg Haider.

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Gerald Grosz, invitation à la convention du BZÖ de Styrie.

Bossi : "La Padanie, c’est 10 millions de personnes prêtes à se battre".

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« Bossi à l’attaque : ‘La Padanie, c’est 10 millions de personnes prêtes à se battre’ et ‘au Mondial, l’Italie achète les matches’ » (Carmelo Lopapa, La Repubblica) :
« Le cœur du problème, ce ne sont pas les sorties de Bossi sur la fédération italienne de football qui ‘achèterait les matches’, mais plutôt son affrontement avec Fini. 3 ans après son mémorable ‘300.000 hommes en armes’ prêts à faire valoir leurs droits au Nord, le chef léghiste réplique à la thèse finienne – ‘la Padanie n’existe pas’ – en annonçant qu’il y a ‘environ10 millions de personnes prêtes à se battre’ – c’est-à-dire ‘la Padanie existe bel et bien’. Fini relève le défi et relance : ‘j’ai eu l’occasion de dire ce que pense beaucoup de monde, même au Nord ; la Société géographique italienne l’a elle-même rappelé : la Padanie n’existe pas’ ; ‘ce qu’il faut au Nord, c’est moins d’impôts, moins de bureaucratie, pas des drapeaux verts [de la Ligue]’. L’équipe berlusconienne s’est rangée aux côtés de son plus fidèle allié alors qu’au sein de la majorité, les voix divergent : ‘au-delà des polémiques, notre alliance avec la Ligue est solide et sûre’ a déclaré le porte-parole Bonaiuti. Bossi est revenu sur la nomination de Brancher, faisant savoir qu’il n’acceptait pas d’ingérence sur le fédéralisme : ‘ils lui donneront des attributions sur la décentralisation’ a-t-il dit, en vue du Conseil des ministres de demain. »

« Ecoutes : le Cavaliere bat en retraite » (Ugo Magri, La Stampa) : « Berlusconi, ses valises prêtes pour une tournée sud-américaine – et, de ce fait sans doute, d’humeur radieuse – renvoie vers ses hommes les problèmes à affronter : le budget ? ‘Parlez-en à Tremonti’, les écoutes ? ‘Voyez vous-même’, Fini ? ‘Faites ce que vous voulez mais laissez-moi en-dehors de ça’. Ses proches s’inquiètent de cette nouvelle façon de faire, un laissez faire berlusconien totalement inédit pour le champion de l’activisme. Certains parlent de ‘réalisme’, estimant que Silvio ne peut empêcher Bossi et Fini de se disputer, que si Tremonti insiste sur certains points du texte budgétaire, c’est que le cadre général n’est pas rassurant et, sur les écoutes, il ne peut forcer Napolitano à signer des lois contraires à la Constitution. Cette lente dérive fataliste, zen pour ainsi dire, résume le déjeuner à sa résidence romaine de Palais Grazioli avec les coordinateurs Bondi, La Russa, Verdini, les chefs de groupe Cicchitto, Gasparri et le n°2 Quagliariello, Alfano et Ghedini, Letta et Bonaiuti. Sur les écoutes par exemple, on approche de la retraite, l’objectif devenant : ‘faire passer la loi le plus vite possible’ en acceptant les corrections. L’interlocuteur, comme suggéré par Bossi, sera le Quirinal. Alfano traitera donc avec la Présidence de la République, en toute discrétion. Silvio, distrait et déçu, l’admet : l’important désormais est de ‘sauver ce qui peut l’être’. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Patrik Brinkmann ne mènera pas la campagne du PRO à Berlin.

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L’homme d’affaire suédois Patrik Brinkmann déclare qu’il n’est plus disponible pour occuper un poste au sein de la direction de pro Deutschland (Pour l’Allemagne).

Selon Patrik Brinkmann, l’Allemagne a besoin d’un mouvement patriotique semblable au PVV de Geert Wilders ou au Vlaams Belang de Filip Dewinter. Il veut que pro Deutschland devienne un parti pro-israélien opposé à l’islamisation de l’Allemagne et de l’Europe.

Si pro Deutschland prenait cette direction, Patrik Brinkmann serait prêt à mener la campagne du parti à Berlin.

Il souhaite une bonne continuation à pro Deutschland.

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Patrik Brinkmann

22/06/2010

Oskar Freysinger dénonce l'attitude de son parti lors de l'accord UBS.

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Suisse. Autre conséquence des prises de position de l’UDC lors de l’accord UBS, l’écrivain et Député de l’UDC Oskar Freysinger annonce qu’il va créer à l'intérieur du groupe parlementaire de l’UDC « un courant qui ne transige pas sur certains points ». Raison invoquée : « à l'UDC Suisse, les décisions élémentaires sont prises par un groupe qui ne recoupe pas les instances démocratiquement élues ». Selon Oskar Freysinger, ce groupe se trouve à Zurich et son fonctionnement est nébuleux.
 
Plus d'infos sur la position de l'UDC : http://www.lenouvelliste.ch/fr/news/suisse/les-perdants-e...

Accord UBS: Yvan Perrin, furieux contre l'UDC, renonce à la vice-présidence du parti.

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Voici un communiqué ATS :

Berne (awp/ats) - Yvan Perrin jette l'éponge: le vice-président de l'UDC a annoncé à la direction du parti son intention de démissionner de son poste. En cause, le zigzag de l'UDC dans l'accord UBS. "Un autre que moi devra jouer le rôle d'alibi en Suisse romande", a déclaré le Neuchâtelois.

Très fâché, le conseiller national a confirmé dimanche dans l'hebdomadaire "Sonntag" son intention déjà évoquée vendredi à la Radio suisse romande. Sa colère trouve ses racines dans les volte-face de l'UDC - un "slalom" selon lui - au sujet de l'accord d'entraide administrative avec les Etats-Unis.

"Même si on m'assure que le slalom des dernières semaines n'est pas un problème en Suisse alémanique, en Suisse romande, c'en est un", assure-t-il.

"L'UDC s'est battue pour une commission d'enquête parlementaire, nos conseillers aux Etats se sont prononcés contre elle. L'UDC était contre l'accord, puis a soudain donné son aval, avant de s'abstenir de voter. Comment est-ce que je peux expliquer cela aux gens?", a déclaré Yvan Perrin, l'un des cinq vice-présidents de l'UDC.

Dans l'interview parue dimanche, le Neuchâtelois laisse libre cours à sa colère. "Après cette session, c'était définitivement clair pour moi. Je n'investis pas du temps et de l'argent en faveur de mon parti, pour ensuite me faire traiter d'idiot à l'interne".

Yvan Perrin a indiqué avoir refusé l'accord avec les Etats-Unis et donné son aval à une commission d'enquête parlementaire. Il a voté oui jeudi à la question du référendum facultatif, malgré la consigne écrite d'abstention reçue le matin du vote et signée du président du parti Toni Brunner et du chef du groupe Caspar Baader.

Interrogé par l'ATS, son collègue fribourgeois Jean-François Rime n'a "rien à dire" sur cette affaire. Porteur de la parole du parti en Suisse romande sur l'accord UBS, il n'a pas non plus souhaité préciser s'il serait candidat à la succession d'Yvan Perrin.

Caspar Baader a indiqué pour sa part ne rien savoir d'une notification formelle de cette démission, ni que quiconque ait traité M. Perrin d'idiot. Il entend maintenant prendre langue avec les parlementaires mécontents, le Valaisan Oskar Freysinger ayant également exprimé un certain courroux.

A la télévision alémanique SF et la TSR, Toni Brunner a déclaré qu'Yvan Perrin lui a annoncé sa démission la semaine dernière. Il est parti du principe que le Neuchâtelois allait revenir sur sa décision une fois les esprits calmés: "Je vais chercher le dialogue avec lui", a-t-il promis.

Un député UDC prépare la "Grande Suisse".

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Suisse. Le Député de l’UDC Suisse Dominique Baettig a déposé une motion au Parlement national en vue de «créer un cadre constitutionnel et légal permettant d'intégrer, en tant que nouveau canton suisse, des régions limitrophes dont une majorité de la population en ferait la demande ».

Élections présidentielle en Pologne : le candidat du PiS en deuxième position.

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Pologne. Jarosław Kaczyński, candidat du parti politique Droit et Justice (PiS), a obtenu 6128255 votes, soit 36,46% des suffrages exprimés,lors du premier tour des élections présidentielles de ce dimanche. Les meilleurs résultats de Jarosław Kaczyński ont été obtenus à Łomża (58,23%), à Nowy Sącz (57,87%) et à Rzeszów (56,48%).

Jarosław Kaczyński – 6128255 votes – 36.46 %
Bronisław Komorowski – 6981319 votes – 41,54 %
Grzegorz Napieralski – 2299870 votes – 13,68 %
Janusz Korwin-Mikke – 416898 votes – 2,48 %
Waldemar Pawlak – 294273 votes – 1,75 %
Andrzej Olechowski – 242439 votes – 1,44 %
Andrzej Lepper – 214657 votes – 1,28 %
Marek Jurek – 177315 votes – 1,06 %
Bogusław Ziętek – 29548 votes – 0,18 %
Kornel Morawiecki – 21596 votes – 0,13 %

Jarosław Kaczyński, le frère du président défunt, affrontera Bronisław Komorowski lors du deuxième tour.

Autriche : les milieux patriotiques sont réunifiés.

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L’accord de coopération entre le FPÖ et le FPK est signé.

Le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache, le Président du FPK Uwe Scheuch et le responsable du FPÖ de Carinthie Christian  Leyroutz ont signé ce mardi, à Klagenfurt en Carinthie, l’accord de coopération entre le FPÖ et le FPK.

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Christian  Leyroutz, Heinz-Christian Strache et Uwe Scheuch.

Cette accord régit la coopération entre le FPÖ et le FPK depuis le plus haut niveau jusqu'au domaine municipal.

Le Parti conservateur menace de rompre la coalition en Carinthie

Le Président du Parti conservateur (ÖVP) de Carinthie Josef Martinz menace de rompre la coalition FPK-ÖVP qui gouverne la Carinthie si HC Strache intervient dans la gestion du Land.

Le FPÖ de Carinthie

Le FPÖ de Carinthie ne va pas disparaître. Les deux structures vont rester indépendantes, mais l’objectif à long terme est bien la fusion du FPK et du FPÖ de Carinthie.

Dans le futur, trois membres du FPÖ de Carinthie siègeront au sein de la direction du FPK : le président du FPÖ de Carinthie, le vice-président du FPÖ de Carinthie et le Député européen Andreas Mölzer. Heinz-Christian Strache sera coopté au sein de la direction du FPK. En contre-partie, Uwe Scheuche et le Gouverneur FPK de Carinthie Gerhard Dörfler feront leur entrée au sein de la direction nationale du FPÖ.

Les trois députés du FPK au Parlement national resteront cependant au sein du groupe parlementaire du FPK et ne rejoindront pas le groupe parlementaire du FPÖ.

Futures listes électorales

Le modèle du « fermoir éclaire » (un candidat FPK, un candidat FPÖ, un candidat FPK) n’a pas été adopté. Strache et Scheuch ont déclaré qu’ils voulaient placer les meilleurs des deux partis sur les listes.

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Uwe Scheuch et HC Strache à Klagenfurt, capitale de la très nationaliste Carinthie.
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L'application du modèle de la CDU-CSU ?

Depuis des années, la réunification de la famille nationale-libérale en Autriche a été envisagée sur le modèle allemand de l'Union, où la CSU se présente en Bavière et la CDU dans le reste de l'Allemagne, les deux partis coopérant au niveau national. 

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Au premier rang : Christian  Leyroutz, Heinz-Christian Strache et Uwe Scheuch. Au deuxième rang : Kurt Scheuch qui dirige les élus du FPK au sein du Parlement de Carinthie, le Secrétaire général du FPÖ Herbert Kickl, Christian Ragger, le maire de Klagenfurt, Harald Dobernig

Le BZÖ est devenu un parti libéral

Le « Troisième camp », ou famille nationale-libérale est réunifiée. Il reste cependant le BZÖ, qui a pris un tournant libéral et ne s’inscrit plus dans la ligne nationale. Les dirigeants du BZÖ ont été durant de nombreuses années des proches de Jörg Haider. Stefan Petzner, le fils spirituel de Jörg Haider, spécule sur un « soulèvement de la base du parti » au sein du FPÖ de Carinthie. Il ne désire cependant pas tenter d’attirer le Président du FPÖ de Carinthie qui vient de démissionner Harald Jannach, car le BZÖ n’est plus idéologiquement sur la même longueur d’onde. Le BZÖ est devenu un parti authentiquement libéral.

L’ombre de la superstar de la politique Jörg Haider, décédé en octobre 2008, continue de planer sur la mouvance nationale-libérale autrichienne.

Fini et la Ligue : affrontement sur la Padanie.

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« Fini et la Ligue : affrontement sur la Padanie » (Ugo Magri, La Stampa) :
« Alors que le Cavaliere se prépare à partir 12 jours outre-Atlantique, Fini a déjà laissé entendre qu’il allait mener la danse. Il commence par la Ligue ‘qui s’amuse à provoquer’, qu’il ne faut pas trop prendre au sérieux etc. Ensuite, gageons qu’il s’occupera de toutes les questions laissées en plan par Berlusconi. En attendant, il se fait l’interprète du PdL et attaque la Ligue : ‘il faut arrêter ces provocations séparatistes qui risquent d’affaiblir l’unité nationale.’ Au séminaire de FareFuturo et de la fondation Spadolini, il insiste sur ‘l’urgence d’une action pédagogique pour renforcer l’unité nationale’. Il dénonce les ‘inventions publicitaires’ comme la ‘Padanie’, le Sole delle Alpi et Va’ pensiero changé en hymne séparatiste, qualifiés d’‘idioties’, de ‘blagues de potaches’. Est-ce un hasard si, pour la première fois depuis des mois, Fini minimise ses différends avec le président du Conseil (‘des problèmes surmontables’), selon un journal israélien. Trois tests : le texte budgétaire, avec les amendements présentés par les finiens qui, à moins de réponses rapides, pourraient finir par voter avec la gauche ; la loi sur les écoutes : le Cavaliere semble prêt à écouter le Quirinal, mais les finiens veulent d’autres changements ; enfin, l’organisation du PdL et les assurances à donner aux minoritaires en vue du congrès. De tout cela on parlera aujourd’hui au déjeuner du Cavaliere. Puis Silvio partira et on affichera sur la porte du Palais Chigi ‘Réouverture le 4 juillet’. »

Entretien avec Umberto Bossi, chef de la Ligue, dans La Repubblica – « Gianfranco a peur de ceux qui travaillent, payent leurs impôts et votent pour nous et non pour lui » :
« U. Bossi répond durement à Fini, pour qui la Padanie est ‘une pure invention publicitaire de la Ligue’. ‘Le peuple de Padanie a un fort sentiment d’appartenance et c’est lui qui soutient l’Italie grâce à son travail’. Selon lui, l’ex-chef d’AN craint la décentralisation, après l’idée lancée par Bossi à Pontida de ‘déplacer les ministères’ dans les villes plus représentatives ‘comme Milan, Turin et Venise’. ‘La Padanie n’existe tellement pas qu’elle a voté pour nous. Fini vit loin d’ici, il ne connaît pas ce territoire. Avec lui, on est parvenu à un accord au sujet des écoutes. Si Berlusconi nous laisse faire, elle passera. J’irai moi-même en parler à Napolitano. Il faudra faire des concessions mais c’est la seule façon de la faire passer.’ »

« La Padanie, patrie imaginaire » (Ilvo Diamanti, La Repubblica) :
« ‘La Padanie n’existe pas’, a dit hier Fini, après la réunion de Pontida, capitale symbolique de la patrie ‘padane’. Plus que jamais, la Ligue joue un rôle politique et culturel central dans ce pays désorienté. Son vocabulaire irrigue un débat politique dominé par l’appartenance et l’identité. Fini parlait à un colloque sur ‘patriotisme républicain et Unité italienne’, Unité devenue thème politique central en vue des 150 ans – comme, pour l’Etat, le fédéralisme. L’Italie est devenue un laboratoire avancé du réformisme – verbal : on lance la course au fédéralisme en asphyxiant communes et régions, on confie le sujet à 3 ministres (Bossi, Calderoli, Brancher). Et ce pays désormais divisé politiquement entre Nord, Centre et Sud bien plus qu’entre droite et gauche se retrouve à discuter de Padanie, patrie imaginaire mais existant bel et bien comme ‘invention’, comme opération marketing. Les polémiques confirment l’importance de la Ligue comme acteur politique et – je le redis, quitte à faire sourire – culturel. Problème : le succès croissant de ses mythes et de ses mots peut lui nuire, la priver d’une certaine agilité politique. Par le passé, l’invention de la Padanie, après de premiers succès, devint un poids pour la Ligue. Inventée comme nation distincte en 1996, elle lui valut un triomphe. Mais dès qu’on parla sécession, il y eut reflux : les électeurs la voulaient défenseur du Nord à Rome et non mouvement irrédentiste d’une patrie indéfinie. En 1999, Bossi s’allia à nouveau à Berlusconi, parlant de fédéralisme et non plus de sécession, la Padanie devenant un mythe à célébrer une fois l’an. La Ligue, qui nous a imposé de réfléchir à notre identité nationale, se voit (ironie de l’histoire) confrontée à la même question : ‘cesser d’être padane’ ? Et devant dire clairement aux électeurs : Italie ou Padanie, fédéralisme ou sécession, opposition ou gouvernement ? »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

21/06/2010

Le chef de file du FPÖ de Carinthie se retire.

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Autriche. Harald Jannach a annoncé aujourd’hui qu’il quittait sa fonction de président du FPÖ de Carinthie.

La raison de son retrait réside dans le fait qu'il ne se sent plus soutenu par la direction du FPÖ de Carinthie lors des négociations en vue d'une collaboration avec le FPK. Il a communiqué sa décision lors d’une réunion avec le Président national du FPÖ Heinz-Christian Strache. La direction du FPÖ de Carinthie est favorable à l’accord alors que Harald Jannach ne le trouve pas particulièrement bon.

Harald Jannach va se concentrer sur sa fonction de député national et de porte-parole du FPÖ pour les questions agricoles. Cet événement n’affecte pas la poursuite des négociations entre le FPÖ et le FPK. Le Vice-président du FPÖ de Carinthie Christian Leyroutz assure l’intérim.

Les dirigeants du FPÖ et du FPÖ de Carinthie sont unanimes : les négociations avec le FPK doivent se poursuivre. Harald Jannach voulait organiser un congrès du FPÖ de Carinthie afin que celui-ci se prononce sur l’accord avec le FPK. Il voulait que le FPÖ de Carinthie continue à exister et était opposé à une unification. Une dissolution du FPÖ de Carinthie n’était pas envisageable pour Harald Jannach.

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Harald Jannach

Deux dirigeants de pro NRW présents lors du congrès du FPÖ de Vienne.

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Allemagne et Autriche. Le Président de pro NRW (Pour la Rhénanie du Nord – Westphalie) Markus Beisicht félicite le Président national du FPÖ (Autriche) Heinz-Christian Strache pour sa réélection à la présidence du FPÖ de Vienne.

Lors du congrès du FPÖ de Vienne ce dimanche à Vienne, la chef de file des élus de pro Köln (Pour Cologne) au sein du Conseil municipal de Cologne, Judith Wolter, et le secrétaire général de pro NRW, Markus Wiener, étaient présents.

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Judith Wolter présente les salutations de pro NRW.

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Le Président du FPÖ HC Strache et Judith Wolter.

Umberto Bossi à Pontida : "le fédéralisme, c'est moi".

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« Un portefeuille ‘symbolique’ pour masquer les difficultés du fédéralisme » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore de samedi) :
 
« La nomination d’Aldo Brancher comme ministre sans portefeuille pour le fédéralisme, inattendue, a suscité de nombreuses critiques. L’embarras était perceptible jusque dans le commentaire de Tremonti, qui a tenu à préciser que c’était un portefeuille ‘low cost’ – économique pour le gouvernement dans des temps de restrictions budgétaires. Pourquoi Berlusconi a-t-il voulu alourdir ainsi l’équipe gouvernementale au moment où il aurait fallu l’alléger ? L’argument de l’opposition – il souhaiterait protéger Brancher des affaires judiciaires dans lesquelles il est impliqué – ne convainc pas totalement, même s’il contient peut-être un fond de vérité. Cette nomination semble plutôt répondre à une exigence politique, bien qu’elle soit le reflet d’une faiblesse de l’exécutif. Selon toute probabilité, le nouveau ministre, étant donné la situation économique actuelle, devra se limiter à réaffirmer le sérieux de l’engagement fédéraliste du gouvernement. La majorité veut accomplir un geste symbolique pour impressionner l’opinion publique, surtout au Nord, où le fédéralisme est très attendu. Brancher, ministre ‘low cost’ selon Tremonti, peut incarner à la perfection un rôle symbolique. A dater d’aujourd’hui, il est la garantie vivante que le fédéralisme, tôt ou tard, se réalisera, dès que la conjoncture le permettra en tout cas, donc que les citoyens soient patients. On peut douter que le nouveau ministre ait beaucoup à faire en substance. Ce qu’il est réellement possible de faire dépend de Bossi et de Tremonti, c’est-à-dire de la politique et des finances publiques. Le reste est une mise en scène pour l’électorat. »

« Bossi à Pontida rassure son électorat : ‘le fédéralisme, c’est moi’ » (Rodolfo Sala, La Repubblica) :

« A Pontida, face à un auditoire scandant des slogans sécessionnistes, U. Bossi a clamé : ‘il y a un seul ministre pour le fédéralisme, c’est moi ; la nomination de Brancher n’a rien changé : on est passé du fédéralisme à la décentralisation’. Le chef de file de la Ligue veut rassurer son électorat, inquiet de la nomination d’A. Brancher comme ministre sans portefeuille pour le fédéralisme, vécue comme une mise à l’écart de la Ligue. Il faut rester avec le Cavaliere, il n’existe pas d’autre option sinon celle, catastrophique pour la Ligue, d’élections anticipées. Sous les drapeaux léghistes, le scepticisme est de mise : ‘sécession, sécession’, les cris continuent. Bossi rectifie : ‘liberté, liberté’, et pour calmer les rumeurs sur les divisions au sein du groupe dirigeant (un axe Calderoli-Tremonti en faveur de Brancher) il précise : ‘nous ne sommes pas comme les autres partis qui se chamaillent’. Du côté du PD, les réactions sont à l’unisson : ‘même Bossi envoie au diable le médiateur Brancher, en revendiquant son propre rôle sur le fédéralisme’. Pour Casini, le fédéralisme, ‘à commencer par les provinces, prévoit de nouveaux gaspillages et non des coupes’ et F. Rutelli (API) qualifie d’‘insupportable’ ‘le chantage sécessionniste de la Ligue’. »

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Le rassemblement annuel de la Ligue du Nord à Pontida a eu lieu ce dimanche 20 juin 2010.

« Le Cavaliere convoque les siens et travaille à un pacte en trois points-clefs pour la ‘trêve’ avec Fini » (Paola Di Caro, Corriere della Sera) :

« Au-delà de la loi sur les écoutes, où Berlusconi a du faire un n-ième pas en arrière après avoir dit qu’on ne changerait ‘rien’, un autre problème doit être réglé, d’une façon ou d’une autre : la relation avec Fini. Berlusconi a beau, en effet, toujours jurer que sa relation avec la Ligue est idyllique, la nomination de Brancher comme ministre pour la mise en œuvre du fédéralisme vise à ‘verrouiller’ une relation qui en a besoin. Avec le président de la Chambre, c’est bien plus compliqué ; mais Berlusconi est pragmatique et, bien qu’il ait des doutes sur la possibilité d’une paix avec Fini, il sait qu’il ne peut avancer ‘avec le Sénat qui fait les lois et la Chambre qui les défait : l’avenir de la législature est en jeu’. Bossi aurait donné cet argument à Berlusconi après un tête-à-tête ‘très utile’ avec Fini. Le bureau de présidence du PdL vérifiera à cet effet si les négociations toujours en cours entre les deux parties (avec d’un côté Bocchino et Augello pour Fini et, de l’autre, Alfano et Ghedini pour Berlusconi, plus les coordinateurs, et Cicchitto et Quagliariello) peuvent réellement mener à une normalisation entre majorité et minorité du PdL. Trois points sont sur la table pour une entente éventuelle : un parcours menant rapidement à un congrès (un an et demi maximum) avec des garanties pour la minorité, la création d’une commission interne au parti sur le fédéralisme et sa mise en œuvre, la présence de finiens dans les organes statutaires, pour que leurs instances soient écoutées sans qu’il faille à chaque fois négocier ou se disputer par quotidiens interposés. Nombreux sont ceux, au sein du PdL, qui sont en faveur de relations plus apaisées. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Le PVV de Geert Wilders en deuxième position dans un sondage.

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Pays-Bas. Un sondage sur les intentions de vote des Néerlandais vient d’être réalisé. Les négociations en cours entre les partis politiques du pays en vue de former un gouvernement  ont amené une partie des électeurs à modifier leurs intentions de vote. 15% des personnes interrogées voteraient autrement, si des élections avaient lieu maintenant.

Selon ce sondage Maurice de Hond publié dimanche , le Parti libéral (VVD) arriverait toujours en première position avec 29 sièges. Le PVV de Geert Wilders serait juste derrière en récoltant 28 sièges. Le PvdA (Parti socialiste / social-démocrate) arriverait en troisième position avec 27 sièges et le CDA (Parti démocrate-chrétien) en quatrième position avec 19 sièges.

Lors des élections pour la Deuxième chambre des Pays-Bas au début du mois de juin 2010, le VVD a obtenu 31 sièges, le PvdA 30 sièges, le PVV 24 sièges et le CDA 21 sièges. 

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Geert Wilders

Le Vlaams Belang propose Bart Laeremans en tant que sénateur coopté.

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Belgique. Le Conseil de parti du Vlaams Belang a décidé ce dimanche de proposer Bart Laeremans en tant que sénateur coopté. Il est à la tête du centre de connaissance du Vlaams Belang et est un spécialiste de la justice. Jusqu’aux élections du 13 juin 2010, il était député au Parlement national en tant que représentant de l’arrondissement électoral de Bruxelles-Halle-Vilvoorde.

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Bart Laeremans

(Rappel: la désignation des sénateurs de communauté par les Conseils flamand et wallon doit respecter les rapports de force politique révélés par les résultats des élections sénatoriales directes qui viennent de se tenir. Ainsi, un parti représenté dans un Parlement de communauté, s'il a obtenu des sièges lors de l'élection directe, a le droit de nommer des sénateurs de communauté au prorata de son score à l'élection sénatoriale directe. Sa proportion de sénateurs au sein du groupe des sénateurs de Communauté est ainsi la même que la proportion de sénateurs qu'il a obtenue au sein du groupe des sénateurs élus directement.) 

20/06/2010

BZÖ : pas de mesures qui portent atteinte à la génération suivante.

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Autriche. Pour le BZÖ, les dettes faites sur le dos de la jeunesse doivent être interdites. Les politiciens ne doivent pas prendre de décisions qui portent atteinte à la génération suivante. Le BZÖ veut inscrire cette idée dans la constitution autrichienne.