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30/06/2025

Sylvi Listhaug à cheval.

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Norvège. La présidente du Parti du Progrès Sylvi Listhaug à cheval.

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Le BSW dénonce la volonté du SPD de faire interdire l'AfD.

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Allemagne. Le parti de gauche anti-immigration BSW dénonce la volonté du parti social-démocrate SPD de faire interdire le parti patriotique AfD.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/06/29/le-...)

"Chaque enfant sait qui est Höcke."

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Allemagne. Une institutrice d'école primaire déclare lors d'une émission-débat : « Chaque enfant sait qui est [Björn] Höcke. »

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La Finlande ne s'engagera plus dans la coopération au développement avec les pays qui n'acceptent pas de reprendre leurs citoyens.

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Finlande. Le pays ne s'engagera plus dans la coopération au développement avec les pays qui n'acceptent pas de reprendre leurs citoyens expulsés de Finlande.

Harald Vilimsky sera au festival MCC à Esztergom.

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Hongrie et Autriche.

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"Après les critiques sur le texte du décret Sécurité, la Cour de cassation s'en prend à nouveau au protocole Italie-Albanie sur la rétention des migrants."

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Italie. Revue de presse.

Les Unes du jour portent sur l'Ukraine « Poutine, l'attaque la plus dure » (Corriere della Sera), « Ukraine, missiles et mines » (Repubblica), « Cauchemar venu du ciel sur Kiev, la paix toujours plus loin » (Stampa) et le Moyen-Orient « A Gaza, raids et ordres d'évacuation, mais Trump pousse encore pour une trêve » (Repubblica), « Nouvelle guerre des colons » (Stampa).

Droits de douaneCorriere della Sera : « « Commerce et web-tax, le ministre Giorgetti (Ligue) un accord avec les Etats-Unis « il faut garder le canal du dialogue ouvert ». Tôt ou tard, quelqu'un viendra frapper à notre porte pour discuter de la taxe sur le numérique, cette taxe sur les services numériques adoptée par l'Italie et quelques autres pays de l'OCDE, qui frappe durement les géants américains de l'internet et que Trump a dans le collimateur. « C'est un sujet qui est sur la table », affirme-t-on au ministère ». La Stampa : « Selon Giacomo Ponti, président de Federvini (association italienne des producteurs de vin), ‘’il faut que la diplomatie vise à obtenir zéro tarif entre les Etats-Unis et l’Europe. L’hypothèse d’un tarif à 10% serait un problème, il est difficile de quantifier l’impact sur nos ventes’’ ».

MigrationsCorriere della Sera : « Après les critiques sur le texte du décret Sécurité, la Cour de cassation s'en prend à nouveau au protocole Italie-Albanie sur la rétention des migrants. Un double coup dur qui met le gouvernement en colère et attise le conflit avec la magistrature, alors même que le Sénat vote la réforme de la justice. La Cassation a soulevé « de nombreuses » doutes quant à la « compatibilité avec la Constitution et le droit international » du protocole conclu entre les gouvernements italien et albanais. À commencer par « une possible contradiction avec l'article 3, premier alinéa, de la Constitution » sur la définition des « étrangers » et des « migrants », qui génère « une confusion », et le droit à la santé serait également violé par le transfert vers un pays dont les normes sont inférieures aux nôtres ». Repubblica « Aujourd’hui le Conseil des ministres devrait adopter par décret le nombre de flux des travailleurs extracommunautaires sur trois ans (de 2026 à 2028), à hauteur de 500 000 places, juste 50 000 de plus par rapport à la précédente période de trois ans. Cependant, le patronat Confindustria et les associations des secteurs impliqués demandent à modifier le système du « click-day » et de prévoir plutôt des tranches le long de l’année, selon les vrais exigences saisonnières »

RéarmementAffari&Finanza : « Les entreprises – et notamment Fincantieri et Leonardo – se préparent à la nouvelle ère avec le soutien des marchés qui sont optimistes malgré les contraintes budgétaires UE. Face à l’engagement de réarmement pour l’OTAN, Paris et Rome demandent plus de flexibilité, même si Meloni a déjà annoncé une augmentation des dépenses annuels de 3,2 milliards.  Une analyse de Morningstar prévoit que des acteurs tels que Rheinmetall et Leonardo attireront entre 30 et 50 % des contrats nationaux supplémentaires. Aujourd'hui déjà, le duo italien Leonardo-Fincantieri réalise un chiffre d'affaires annuel de 16 milliards d'euros dans le secteur de la défense. Le premier avec des hélicoptères, des avions et de l'électronique ; le second avec des navires militaires et des sous-marins. Corriere della Sera : « le président des entreprises du secteur de la sécurité, Giuseppe Cossiga, lance l’alarme « trop de bureaucratie, le risque est de devoir acheter aux Etats-Unis. La dépense prévue est de 10 milliards par an ». La Stampa « Selon le dirigeant du M5S, Giuseppe Conte, ‘’ La seule option politique sensée consiste à accélérer la défense européenne. C'est la seule façon de rationaliser les dépenses et d'éviter des coûts supplémentaires en faisant un bond en avant sur le plan politique. Et c'est la seule façon pour l'Europe de regagner le terrain perdu en matière de leadership.’’. Accusé d’antimilitarisme par les partis de majorité, il tient à souligner ‘’Je rappelle que moi aussi, lorsque j'étais au gouvernement, j'ai augmenté les dépenses militaires de 1,2 % à 1,4 %. Mais pour un peu plus d'un milliard d'augmentation des dépenses militaires, nous avons alloué 12 milliards à la santé et 8,5 milliards à l'éducationLa contraposition entre la défense et les politiques sociales est évidente’’

La Stampa, Tommaso Foti (Frères d’Italie), ministre des Affaires européennes : « Trouver un accord entre Washington et Bruxelles avant le 9 juillet est fondamental » car « depuis trop longtemps, nous naviguons dans l'incertitude ». « Conclure à 10 % serait une nette amélioration par rapport au point de départ ». Comme la France, « tous voudraient descendre en dessous de 10%, mais il est maintenant important de franchir la ligne d’arrivée ». (…) « La décision de l’Allemagne de participer à la réunion informelle sur l’immigration illégale convoquée par Meloni aux marges du dernier conseil européen, où siègent désormais 14 pays en plus de la Commission, est la preuve que les idées du gouvernement Meloni sont majoritaires en Europe. ». Concernant l’objectif de 5% de dépenses militaires, « nous évaluerons la meilleure option. Il y a des échéances longues, car l'objectif doit être atteint d'ici 2035, avec une vérification en 2029. Il y a d’importantes marges de flexibilité qui permettent de programmer des dépenses (…) Nous parlons de 30 milliards annuels qui sont pour la plupart des investissements, pas des dépenses courantes ». (...) Enfin, sur la Hongrie, Foti adopte une position prudente : « tous les pays européens ne franchissent pas le cap au même moment, il faut faire preuve de patience avec ces pays en retard, et chercher le dialogue, pas la confrontation ».

La Stampa, Matteo Piantedosi (indépendant), ministre de l’Intérieur : « La Cour de cassation est trop idéologique concernant le décret Sécurité » : « Je n’ai pas eu le temps de lire le rapport de la Cour constitutionnelle mais il me semble être marqué par une forte posture idéologique plus que par des considérations purement légales. Les principes constitutionnels que le décret violerait m’échappent. Je maintiens la plus totale confiance vis-à-vis des forces de police italiennes. Je suis favorable à la proposition de Matteo Salvini de délimiter le délit de torture et de doter la police pénitentiaire de taser tant que cela se fait dans un cadre légal. Concernant la Gay Pride en Hongrie, j’ai pour ma part préféré rentrer dans ma région d’origine pour un congrès dédié à Aldo Moro. Sur l’affaire Almasri j’ai répondu à quatre reprises au Parlement en soulignant les raisons relevant de l’intérêt national ». 

Repubblica, Elly Schlein, secrétaire du Parti démocrate : « Cette droite fait la guerre aux droits. Le silence de Giorgia Meloni est grave » : « Le défilé de samedi à Budapest à l’occasion de la Gay Pride est avant tout une victoire des Hongrois face à l’autoritarisme de V. Orban. Nous étions présents en solidarité, au nom du PD et au sein d’une délégations des Socialistes et Démocrates. L’interdiction du Pride constituait une discrimination institutionnelle et une violation du droit européen. Ces droites nationalistes, dont Giorgia Meloni fait partie, ont pour obsession d’effacer les différences. Toutes les familles doivent être défendues. Au lieu de combattre la pauvreté, ils combattent les libertés individuelles. D’après le rapport ILGA-Europe, l’Italie est 35ème sur 42 dans la défense des droits des personnes LGBTQIA+. Je pense qu’il était important d’être présents avec nos alliés (Azione, Italia Viva), il y a de nombreux points sur lesquels construire une convergence. Nous attendons de l’UE, à commencer par la Commission européenne, qu’elle fasse respecter les traités européens et les principes de l’Etat de droit. La Hongrie ne peut pas prétendre aux fonds européens et ensuite violer les droits fondamentaux. Les voix des socio-démocrates au Parlement européen ne peuvent être données pour acquises. Il n’est pas possible de voir les Populaires flirter avec l’extrême-droite. Il faut un signal clair quant au périmètre [politique] de référence. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Reform UK emporte 3 élections locales partielles.

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Royaume-Uni. Lors des 10 élections locales partielles du jeudi 26 juin 2025, Reform UK arrive premier dans 3 élections et deuxième dans 5.

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29/06/2025

Le SPD a approuvé, à l'unanimité, la demande de préparation d'une procédure d'interdiction du parti patriotique AfD.

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Allemagne. Lors de son congrès fédéral à Berlin, le parti social-démocrate SPD a approuvé, à l'unanimité, la demande de préparation d'une procédure d'interdiction du parti patriotique AfD.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/06/23/lar...)

28/06/2025

Les Démocrates suédois présentent leurs excuses à propos du passé du parti.

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Suède. Les Démocrates suédois ont présenté un document réalisé, à la demande du parti, par un chercheur sur le passé idéologique des Démocrates suédois. Le parti présente ses excuses à propos de son passé.

Sahra Wagenknecht est opposée à toute nouvelle participation de son parti à des gouvernements dans des États fédérés.

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Allemagne. La coprésidente du parti de gauche anti-immigration BSW Sahra Wagenknecht est opposée à toute nouvelle participation de son parti à des gouvernements dans des États fédérés. [Le BSW prend part aux gouvernements de Thuringe et du Brandebourg.]

Elle recommande au parti démocrate-chrétien CDU de Saxe-Anhalt d’établir une coalition avec les nationalistes de l'AfD, qualifiant le pare-feu anti-AfD de « stupide » : « Nous ne sommes pas disponibles au sein d'une coalition multipartite anonyme dont le seul dénominateur commun est l'opposition à l'AfD. »

"Un groupe de Syriens harcèle sexuellement 9 filles."

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Allemagne.

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"Un groupe de Syriens harcèle sexuellement 9 filles. Expulser immédiatement les auteurs des faits !"

27/06/2025

46 % des électeurs de l'AfD et 14 % de ceux du BSW sont pour une forte augmentation des dépenses militaires.

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Allemagne. Les électeurs des patriotes de l'AfD, des post-communistes de Die Linke et de la gauche anti-immigration BSW sont les moins favorables à une forte augmentation des dépenses militaires en vue d'atteindre l'objectif des 5 % de l'OTAN.

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Tous :

Oui

Non

 

Oui :

CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens

AfD : patriotes

SPD : sociaux-démocrates

Grüne : écologistes

Die Linke : post-communistes

BSW : gauche anti-immigration

FDP : libéraux

"Droits de douane, les négociations repartent."

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Italie. Revue de presse.

Les Unes du jour portent sur le Conseil européen et les propos de D. Trump sur les droits de douane « Gaza divise l'UE, sur les droits de douane, maintenant Trump se dit ouvert à un renvoi » (Corriere della Sera), « Droits de douane UE, augmentation repoussée » (Repubblica), « Sanctions contre Israël, l'UE se déchire » (Stampa), « Droits de douane, les négociations repartent » (Messaggero).

Pacte de StabilitéRepubblica : « Pour Giorgia Meloni ‘Pedro Sanchez se trompe’. Quant au Pacte de stabilité, il n’est ‘pas adapté’ ». « Pour la Première ministre italienne, ‘ce serait une énorme erreur de ne pas renouveler les accords de coopération entre Tel Aviv et l’UE’ car Bruxelles se ‘résignerait ainsi à ne pas peser’. Malgré les pressions de plusieurs leaders européens, elle ne prend pas complètement ses distances d’Israël. Sanchez est loin d’être isolé et même la France serait prête à franchir le grand pas. Mais le chancelier F. Merz freine de façon marquée, et Giorgia Meloni aussi. Au Palais Chigi, il est clair que la perception des actions d’Israël est si négative qu’elle met à mal également la popularité de ses soutiens. ‘La situation humanitaire sur la Bande est injustifiable’ ajoute G. Meloni. Mais Rome ne rompra pas avec Tel Aviv, et certainement pas tant que Berlin maintiendra également cette position. Les règles budgétaires sont quant à elles à ‘mettre à jour en tenant compte du contexte géopolitique’ et de la situation des droits de douane. Pour Giorgia Meloni, le mécanisme SAFE prend part à un ‘changement de cap important’ mais ne suffit pas. »

IsraëlCorriere della Sera « l’entente Meloni-Merz pour freiner les pays demandant des sanctions contre Israël » : « le poids spécifique des deux pays fondateurs a été sans doute décisif dans le gel de la proposition espagnole et dans le report de la décision autour de possibles sanctions contre Tel Aviv pour ses actions dans la Bande de Gaza. Meloni a exprimé son désaccord sur l’hypothèse de suspendre l’accord existant entre l’UE et l’Etat Hébreux ‘’cela pourrait contribuer à isoler Israël, ce qui représente l’objectif du fondamentalisme islamique à commencer par le Hamas’’ »

ImmigrationSole 24 Ore : « immigration, l’alliance avec Merz contre la Cour de Strasbourg, l’Allemagne s’ajoute au groupe des pays demandant des « solutions innovatrices » et une confrontation avec la Cour pour des interprétations moins restrictives de la Convention européenne pour les Etats nationaux ». Corriere della Sera : « Lors d’une nouvelle réunion informelle avec les pays les plus impliqués en termes d’immigration, un groupe soutenu par l’Italie et le Danemark, figurait pour la première fois également l’Allemagne ». Stampa « La moitié de l’Europe est avec Meloni » : « La présidente du Conseil a eu le mérite et le réflexe d’avancer des propositions imprudentes, comme la construction de centre en Albanie sur la base d’un accord directe avec Rama, avec des modifications continues du dispositif en raison des objections de la magistrature italienne et en attente que la Cour de Justice européenne se prononce, afin d’obtenir une pleine légitimation. Quelques 14 pays ont participé à la rencontre informelle sur l’immigration, soit la moitié des 27 »  

France. Stampa « Ce rapport amour-haine entre Trump et Macron » « à la fin c’est toujours Macron que Trump cherche quand il veut parler aux Européens. Selon des sources de l’Elysée, les deux dirigeants avanceront avec une « coopération étroite » sur les dossiers Ukraine et Moyen-Orient. Le président français est le seul parmi les 27 à être capable de l'affronter ouvertement et qui mérite donc estime et respect. Un style que Trump semble apprécier, semble-t-il. Alors que le Chancelier allemand Friedrich Merz semble se rallier à Washington et que la présidente du Conseil Meloni est toujours suspendue sur son pont imaginaire qui devrait relier les États-Unis à l'UE, Macron encaisse et répond. Sur les droits de douane, Macron préfère attendre la proposition américaine et l’accord que sera trouvé avec von der Leyen, avant de donner son feu vert. Macron semble représenter, pour Trump qui demande un référent unique dans les négociations et qui déteste les lenteurs bureaucratiques, la meilleure réponse. C’est un rapport, alterné de coups bas et de réconciliations, qui est destiné à durer encore longtemps »  

Réarmement. Corriere della Sera « un coup à hauteur de 450 milliards pour la défense » : « Pour atteindre l’objectif des 5% du PIB, l'Italie devrait augmenter son budget annuel consacré à la défense et à la sécurité, qui passerait ainsi de 46 milliards d'euros actuellement (soit 2 % du PIB) à 110 milliards d'euros. Les dépenses totales consacrées à l'armement au cours de la décennie doubleraient pour atteindre près de 900 milliards. Selon Meloni, cet engagement serait « significatif mais soutenable » tout en assurant que « aucun euro ne sera enlevé aux priorités des Italiens ». C’est une tâche très difficile, car l’impact sur le choix des comptes publics italiens encore fragiles risque d’être lourd. C’est du moins ce qu’estiment la Banque d’Italie, la Cour des Comptes et la BCE. Des inquiétudes partagées aussi par le ministre de l’Economie Giorgetti selon lequel les règles européennes n’aident pas » Selon l’économiste Giulio Tremonti « les émissions européennes sont nécessaires, l’Allemagne aussi aura des difficultés à y arriver toute seule » ». Stampa « L’UE sans troupes et sans défenses aériennes, l’Italie pense recruter 40 000 soldats » : « Pour l'Italie, on envisage le recrutement de 40 000 soldats supplémentaires, hommes et femmes, mais aussi une réserve d'au moins 10 000 anciens militaires, fraîchement formés et rapidement mobilisables en cas de besoin. Pour les équiper correctement, une commande a été confiée à un consortium italo-allemand entre Leonardo et Rheinmetall : 300 chars d'assaut et 1 000 véhicules blindés pour le transport de troupes, qui seront construits dans une usine à La Spezia, pour un coût estimé à environ 10 milliards d'euros répartis sur plusieurs années. » 

Troisième mandat. Messaggero « L'amendement de la Ligue visant à permettre un troisième mandat, notamment pour permettre à Luca Zaia (Vénétie) de se représenter, a été rejeté au Sénat, provoquant de l'amertume parmi les membres du parti. Les tensions au sein de la coalition gouvernementale se sont confirmées, notamment avec Forza Italia, qui s'est opposé à la proposition, et Fratelli d'Italia (FdI), dont la majorité des membres ont également voté contre, malgré quelques abstentions ». Foglio « les conséquences plus larges de cet échec législatif pour l'avenir politique de la Ligue, qui risque de perdre ses ancrages territoriaux. C’est une possible perte d'influence, d’où la nécessité pour le parti de se réinventer : de parti du Nord, désormais la Ligue s’est transformée en un centre de liaison du pouvoir ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Reform UK de Nigel Farage donné à 30 %.

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Royaume-Uni.

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Reform UK : patriotes

travaillistes

conservateurs

libéraux-démocrates

écologistes

SNP : indépendantistes écossais

autres 

Plaid Cymru : indépendantistes gallois

Blocages hongrois et slovaques au sein de l'UE.

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Hongrie et UE. Le blocage hongrois de l'adhésion de l'Ukraine à l'Union européenne n'a pas pu être surmonté lors du sommet européen de ce jeudi. Le 18e paquet de sanctions contre la Russie n'a pas non plus été adopté, car il est boycotté par la Hongrie et par la Slovaquie.

26/06/2025

HC Strache organise une conférence internationale le 5 juillet 2025 à Vienne.

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Autriche. HC Strache organise le 5 juillet 2025 à Vienne une conférence internationale avec des élus et influenceurs issus d'Allemagne, des Pays-Bas, de Belgique, de Hongrie et des États-Unis.

La rassemblement annuel de la Ligue à Pontida aura lieu le 21 septembre 2025.

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Italie.

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"Concernant les droits de douane, Meloni affiche un optimisme prudent."

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Italie. Revue de presse.

Les Unes du jour portent sur le sommet de l'OTAN « Oui aux dépenses OTAN, le show de Trump » (Corriere della sera), « Les dépenses militaires doublent » (Repubblica), « OTAN, Trump passe à la caisse » (Stampa), « OTAN, accord sur les armes » (Messaggero), « L'Europe se réarme » (Giornale, Avvenire).

Corriere della Sera « Meloni se dit « fière » du résultat obtenu grâce à l'accord entre les pays de l'OTAN, nie qu'une partie de la majorité, la Ligue en tête, puisse ne pas être favorable à l'augmentation des dépenses militaires (« il me semble que nous étions tous d'accord au Parlement »), mais souligne surtout les aspects géopolitiques du débat qui touche à sa fin : le « message le plus important » qui en ressort est donc celui d'une « alliance compacte » dont les membres « veulent se renforcer ». Selon Meloni, cette nouvelle part des dépenses publiques, qui augmentera progressivement pendant dix ans, aura un effet vertueux : « Une partie importante de ces ressources servira à renforcer les entreprises italiennes, ce qui créera une politique économique expansionniste génératrice de ressources ». Messaggero : « Meloni quitte le sommet OTAN, entre temps, avec un soupir de soulagement. Trump n’a pas fait de scène, comme pourtant on se l’attendait, aussi à Rome. Et il a quitté le sommet avec l’accord italien, un signal fort de solidarité envers Volodymyr Zelensky (…). Durant le conclave des leaders, Meloni s’ancre dans une analyse sur l’évolution des guerres et des menaces. « En Ukraine, nous avons vu des drones à peine développés qui abattent des dispositifs bien plus onéreux, nous devons nous concentrer sur la résilience des infrastructures cyber et des frontières, et sur l’innovation. Les données peuvent être bien plus létales que les projectiles ». Il y a le temps, devant les Alliés, de sonner l’alarme sur le front Sud. « En Afrique, la Chine gagne du terrain et en Libye c’est la Russie. » Quant à la défense européenne, la première ministre freine sur l’activation de la clause de sauvegarde : « Nous ne l’utiliserons pas en 2026, ensuite, nous verrons ». Tout comme le projet d’une défense commune européenne : « nous sommes dans l’OTAN, qui se base sur les armées nationales ». Meloni promet à l’Alliance atlantique que « l’Italie respectera ses engagements ». Et elle cite Thatcher : « la justice de notre cause ne sera pas défendue avec les paroles, mais par la force de notre défense ». »

Stampa « l’augmentation des dépenses de l’Italie commencera en 2027, dans les détails des normes européennes se cache l’alibi pour reporter la décision ».

Foglio « Meloni obtient l’engagement américain pour l’Ukraine et une nomination italienne pour le flanc Sud, À La Haye, l'Italie a de nouveau promu la nomination d'un Italien, qui pourrait se concrétiser, même si l'on ne sait pas encore dans quelle fonction ».

Repubblica : « [G. Meloni] en appelle aux Etats-Unis avec E. Macron : ‘une guerre entre nous n’aurait pas de sens’ ». « Au sujet des droits de douane, les deux leaders et R.T. Erdogan s’adressent à D. Trump en marge du sommet à La Haye pour dire qu’ils ne sont ‘pas des ennemis’. E. Macron s’expose en premier suivi par la Présidente du Conseil italienne, qui s’inscrit sur la même ligne que le président français, à la surprise de certaines chancelleries. D. Trump écoute, pour une fois il se contient, cela aurait pu être pire. L’idée est que ‘les dépenses de 5% du PIB pour la défense et les droits de douane constituent un tout’, à voir si elle est bien passée auprès de D. Trump. E. Macron, qui se pose en chef de file des partenaires européens pour mener la bataille dans les prochaines semaines a l’intention de poser à nouveau le problème en Conseil européen, pointant du doigt l’obstacle : Trump. La tension est très forte, peu parient sur un accord d’ici le 9 juillet. Meloni restera prudente pour préserver la relation avec Washington mais les convergences avec E. Macron sur divers dossiers se multiplient, et elle l’a invité à Rome pour la conférence sur la reconstruction de l’Ukraine, en juillet. A la surprise générale, le président français pourrait accepter. »

Corriere della Sera « Concernant les droits de douane, Meloni affiche un optimisme prudent. Le Message que Meloni veut donner est le suivant « si nous sommes unis sur la défense, il ne peut y avoir de compétition sur les droits de douane ». Trump regarde Giorgia et acquiesce. Heureusement. La Présidente du Conseil déclare qu'en échange, parallèlement à tout cela, l'Europe devra bien sûr jouer son rôle « pour construire un véritable pilier alternatif solide à l'OTAN, avec des instruments financiers ambitieux et innovants ». La posture de Donald se détend encore davantage ».

Messaggero : « Quant à l’Italie, la discussion avec les Etats-Unis est en cours, dit Meloni, confiante sur une entente à l’horizon. Sur le droit de douane à 10%, « je suis assez d’accord – commence-t-elle -, parce que je ne pense pas que pour nous, pour nos entreprises, ce soit particulièrement impactant ». (…) Sur la même longueur d’onde, le ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani qui, fort d’un long appel avec le commissaire européen Maros Sefcovic, voit l’accord à 10% comme « possible » (…). Même la première ministre italienne considère les deux parties - défense et droits de douane- comme un Janus à double front que tout tient ensemble. Voilà pourquoi elle considère l’entente rejointe à la Haye, et qui a mis de bonne humeur Trump, comme décisive pour sceller un accord sur les droits de douane : « le moment est maintenant, il faut battre le fer tant qu’il est encore chaud », raisonne-t-elle avec ses proches. Etant donné que, avec Donald Trump, le vent peut tourner en un instant, avec un retour à la case départ comme un jeu de l’oie infini. »

Stampa « Meloni se plie à Trump : la présidente du Conseil sera ainsi le premier dirigeant européen à se dire favorable à des tarifs commerciaux à hauteur de 5% du PIB ». Meloni dévoile très peu de sa discussion avec Trump de mardi soir, elle se limite à dire que « un dialogue est en cours », en éclatant d'un rire qui trahit toute la difficulté des négociations. Aujourd’hui à Bruxelles se réunira le Conseil Européen et il n’est pas dit que les 27 en sortiront unis. Quant à Emmanuel Macron, il a qualifié la menace de Trump sur l’Espagne d’« aberration » et est revenu sur la nécessité d’arriver à une paix commerciale. Le président français évite, à ce stade, de s’engager comme l’a fait en revanche Meloni : c’est une résistance qui apparait comme une stratégie et qui pourrait aujourd’hui faire converger encore une fois une partie du Conseil Européen ».

MigrationRepubblica : « Fratelli d’Italia conteste les règles européennes sur les rapatriements, l’Allemagne suspend les fonds pour les rapatriements » : « Après avoir dans l’ensemble approuvé la nouvelle proposition de règlement européen pour les rapatriements à la Chambre, la majorité a changé d’avis au Sénat. Pourtant, de nombreuses revendications des gouvernements de droite avaient déjà été prises en compte. Fratelli d’Italia a présenté une résolution pour accélérer les délais de rapatriements et éviter un ‘excès de bureaucratie’. Le même jour, le gouvernement allemand annonce interrompre les financements aux ONG qui secourent les migrants en Méditerranée. G. Meloni s’en félicite, constatant que ‘nous sommes un modèle au niveau international en matière de lutte contre l’immigration’ et que ‘même l’Allemagne suit la ligne du gouvernement Meloni’ en la matière. »

Corriere della Sera : « La majorité reconnait que faire du forçage sur les réformes telles que le Premierato (l’élection directe du président du Conseil) et la séparation des carrières des juges peut représenter un danger et le report de celles-ci des travaux parlementaires éloigne par conséquent aussi les référendums constitutionnels qui dériveront de leur adoption. L’échec des derniers référendums tenus début juin représente un avertissement pour le gouvernement. Sur le Premierato, Meloni a déjà dit que cela existait déjà de fait, en raison de la solidité de sa majorité en tant que garantie de survie »

Stampa : « La coalition de droite est toujours divisée et sur le texte de la Ligue proposant d’élever à trois la limite des mandats des présidents de région, on assiste au dernier acte. Fratelli d’Italia met la Ligue au pied du mur : Donzelli a annoncé en Commission Affaires Constitutionnelle le « coup de frein » de son parti sur le texte de Salvini « nous ne le voterons pas ». En effet, le parti de Meloni, sans un accord préalable entre les deux autres alliés (FI et Ligue) s’oppose de voter l’amendement salvinien. Le rêve de la Ligue est donc voué à l’échec. Salvini ne peut ni contenter l’aile vénitienne de Luca Zaia, président sortant, ni ouvrir publiquement une faille avec sa majorité ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Geert Wilders et Donald Trump.

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Pays-Bas et USA. Le président du PVV Geert Wilders et Donald Trump se sont rencontrés à La Haye lors du sommet de l'OTAN.

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Geert Wilders et Donald Trump

Pologne : le gouvernement tente de faire annuler la victoire du président élu.

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Pologne. Depuis trois semaines, le gouvernement tente de faire annuler la victoire du président élu soutenu par Droit et justice (PiS) Karol Nawrocki. Le Premier ministre libéral Donald Tusk exige un recomptage des résultats du second tour.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/06/17/pol...)

Brandebourg : l'AfD est donnée à 32 % et le BSW à 9 %.

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Allemagne. Brandebourg. [Les prochaines élections pour le Parlement du Brandebourg sont prévues en 2029.]

(https://www.wahlrecht.de/umfragen/landtage/brandenburg.htm)

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SPD : sociaux-démocrates

AfD : nationalistes

BSW : gauche anti-immigration

CDU : démocrates-chrétiens

Grüne : écologistes

Die Linke : post-communistes

Sonstige : autres

Mari Rantanen : "Notre objectif est zéro demandeur d'asile."

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Finlande. Le ministre de l’Intérieur du parti patriotique (Vrais) Finlandais Mari Rantanen déclare : « Notre objectif est zéro demandeur d'asile. »

25/06/2025

"Meloni peut se réjouir du fait qu’elle ait été l’un des rares dirigeants européens invités à la table du roi des Pays-Bas, assise à côté de Trump."

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Italie. Revue de presse.

Les Unes du jour portent sur la situation au Moyen-Orient et la trêve obtenue par D. Trump « Israël et Iran : « la guerre est finie » » (Corriere della sera), « Iran-Israël, la trêve règne » (Repubblica), « Téhéran, la trêve fragile » (Messaggero), « la guerre est finie » (Giornale) et le sommet de l'OTAN « Armes, l'UE s'incline devant Trump » (Stampa).

Le sommet de l’OTAN/Trump. Sole 24 Ore : « Le passage le plus significatif est celui sur la défense européenne. Aussi car il arrive à la veille du Conseil européen de demain, juste après le sommet de la Haye. Meloni le rejette : « le système occidental de défense est basé sur l’OTAN où il n’existe pas d’armée mais il y a des armées nationales qui coopèrent entre elles et il serait donc une erreur de penser de construire une défense européenne parallèle à celle de l’OTAN, ce serait une duplication inutile », c’est le verdict de la Présidente du conseil. Quant aux investissements, « je suis pour car les dépenses seront, en priorité, destinées à des entreprises italiennes » (…) Reste le sujet d’où récupérer les ressources. Meloni ne le dit pas, mais elle souligne que, dans tous les cas, « l’on doit tenir compte de toutes les autres priorités du Gouvernement », revendiquant que l’augmentation des dépenses de défense est échelonnée sur dix ans, en adéquation avec les objectifs, elle n’impose pas de parcours annuel rigide et elle prévoit une révision en 2029 (quand Trump ne sera plus à la Maison Blanche) ». Stampa, « Une entente formelle qui ne correspond pas à la réalité » : « Si, d'un côté, le sommet de l'OTAN s'est concentré sur les moyens financiers et matériels, de l'autre, il est resté délibérément silencieux sur les objectifs. Aucune réunion du Conseil OTAN-Ukraine au niveau des dirigeants n'était prévue, mais seulement la présence du président V. Zelensky au dîner organisé par le roi des Pays-Bas. La nouvelle stratégie de l'OTAN à l'égard de la Russie, qui devait être présentée à La Haye, a été gelée. Voici donc une OTAN qui, dans le meilleur des cas, célébrera aujourd'hui de nouveaux objectifs de dépenses ambitieux, sans mentionner explicitement la raison pour laquelle tout cet argent est nécessaire ». Repubblica « il est assez probable que l’on assistera à d’autres pressions sur ceux qui freinent concernant l’augmentation des dépenses en faveur de la défense, dans le cadre d’une menace d’un désengagement américain qui pourrait ne jamais arriver mais qui plane toutefois sur la tête des autres 31 membres. L’affaire « Espagne » inquiète tout le monde ».

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le roi et la reine des Pays-Bas et les participants au sommet de l'OTAN

Le sommet de l’OTAN/Italie. Corriere della Sera « Les exigences de Meloni sur les investissements : l’Italie peut faire des sacrifices à condition que chacun en fasse. Il y a un travail conjoint avec le Canada, le Royaume-Uni et la France sur la flexibilité. Meloni peut se réjouir du fait qu’elle ait été l’un des rares dirigeants européens invités à la table du roi des Pays-Bas, assise à côté de Trump ». La Stampa « Flexibilité, gradualité et un brin de ruse. Face à la « taxe de l’ami Trump » – soit l’engagement sur le 5% du PIB pour les dépenses militaires – Meloni mise son va-tout sur le « contrôle technique » de 2029. En effet, dans quatre ans, une « révision » des capacités des différents États a été prévue. Cette date n'a pas été choisie au hasard : d'ici là, Trump pourrait ne plus être à la Maison Blanche, et les exigences imposées par le partenaire majoritaire de l'Alliance pourraient donc disparaître » Sole 24 Ore « Le gouvernement veut inclure dans ses dépenses militaires également l’argent dépensé pour d’autres aspects : la protection civile, la mobilité militaire et toutes les dépenses liées à la sécurité : la lutte contre les cybermenaces, le terrorisme interne et international, la lutte contre la traite des êtres humains. Dans cette liste pourraient aussi figurer le pont sur le détroit de Messine et la protection des câbles sous-marins, le contrôle de la Méditerranée par les garde-côtes et, en théorie, même les coûts de l'opération Albanie (environ 670 millions d'euros estimés sur cinq ans). La seule certitude, à ce stade, est que dans les intentions du gouvernement Meloni, ces dossiers devraient contribuer dans le calcul de l’augmentation de 1,5% du PIB ». 

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Giorgia Meloni et Donald Trump

L’audition de G. Meloni au Sénat. Domani : « La ligne de la présidente du Conseil demeure celle de la fidélité totale à l’allié américain, dont elle n’a remis en discussion aucun choix. Malgré l’unité lors du vote des résolutions, c’est toujours la posture de la Ligue qui crée la tension au sein de la coalition de droite. Sur le réarmement, Romeo (Ligue) s’est dit favorable ‘’à condition de faire des investissements sur la sécurité et en regardant le front méditerranéen : les infrastructures stratégiques et la lutte contre l’immigration clandestine. Pour le reste, il faut ‘’de la proportionnalité et prendre en considération l’endettement’’. Un raisonnement pas trop différent par rapport à ce qu’on réclamé les 5 Etoiles ».  Sole 24 Ore : « hier nous avons assisté à une posture ambiguë du leader de la Ligue Matteo Salvini : contre le réarmement en Europe mais en faveur d’une hausse des dépenses militaires, c’est un pacifisme assez étonnant. En réalité, Salvini n’a aucun impact en politique étrangère et il s’adresse surtout à ses alliés européens prorusses et à Trump. ».

Le troisième mandat. Messaggero : « Sur la possibilité d’effectuer un troisième mandat [à la tête d’une région], coup de force de la Ligue malgré l’absence d’accord au sein de la majorité mais Forza Italia continue à affirmer qu’ils voteront contre ». « La Ligue a présenté un amendement au Sénat pour permettre à l’actuel président de la région Vénétie, Luca Zaia, de se présenter à nouveau, et qui voudrait donc aussi pour le démocrate [Parti démocrate, de centre gauche] V. De Luca en Campanie. Les alliés sont déstabilisés : Fratelli d’Italia qui avait émis des signes d’ouverture ne se prononce pas encore explicitement mais envisagerait l’abstention alors que Forza Italia répète très clairement son opposition. Italia Viva [centre] serait prêt à voter pour. La Ligue semble déterminée à mener la bataille jusqu’au bout pour son candidat vénitien. Le vote doit avoir lieu jeudi. »

La fin de vie. Corriere : « Le premier jet de la proposition de loi qui traite de la fin de vie est prêt. Hier, au terme d’une réunion en comité restreint, la sénatrice de la Lega Giulia Bongiorno a présenté le texte, appuyé par le centre-droit. Il prévoit l’institution d’un comité éthique qui sera nommé (…) par le Palais Chigi, il exclut que ce soit le service sanitaire qui fournisse la prestation, il dispose de la non-poursuite du soignant et oblige les régions à mettre en place des soins palliatifs (…). L’opposition, cependant, accuse le centre-droit de prévoir des obstacles pour complexifier le recours à cette mesure. Elle conteste la nomination par décret de la Présidence du conseil de médecins, juristes, psychologues du comité éthique. (…) « Les parcours [de soins palliatifs] dans lequel la majorité voudrait insérer les patients n’est pas prévue par l’avis [rendu par la Cour Constitutionnelle] » soutiennent les sénatrices du M5S Marina Castellone et Anna Bilotti. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

24/06/2025

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