16/09/2024
"Il est temps d'avoir une énergie abordable."
Allemagne. Brandebourg.
"Il est temps d'avoir une énergie abordable."
14:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Le spectre d’une condamnation pour Matteo Salvini."
Italie. Revue de presse.
En Une ce matin, le procès contre M. Salvini pour l’affaire « Open Arm » « Les magistrats contre le gouvernement dans l'affaire Salvini » (Corriere della Sera, Domani), « La droite s’en prend aux juges enquêteurs » (Repubblica), « Le gouvernement intensifie sa lutte contre les migrants » (la Stampa), et la tentative d'attentat contre Donald Trump « « Il voulait tuer Trump » » (Il Messaggero).
ARTICLE, La Stampa, F. Olivo « Le spectre d’une condamnation pour Matteo Salvini » : « A part Matteo Salvini, la plus effrayée par le jugement sur l’affaire « Open Arms » est Giorgia Meloni. La mission du Palais Chigi ces jours-ci est claire : le vice-président du Conseil doit être soutenu mais surtout géré. Car le dirigeant de la Ligue ne fait pas mystère de sa volonté d'exploiter au maximum son affaire judiciaire, en axant tout l'agenda des prochains jours sur l'immigration et la justice. Meloni a donné un soutien total à son allié et doit maintenant le poursuivre sur un terrain d'entente. Un durcissement des règles sur l'immigration était déjà à l'ordre du jour, mais elle devient maintenant une urgence. Il s’agit de décider de la nouvelle gestion d’entrées (non plus avec la procédure en ligne dite « click-day » mais par quotas régionaux ou territoriaux, ainsi que de prévoir plus de contrôles auprès des entreprises embauchant ces immigrés car ‘’il y aurait un écart important entre le nombre d’entrées pour des raisons de travail et les contrats réellement signés’’. L’autre pilier de cette stratégie concerne l’Albanie. Les nouveaux centres où placer les migrants secourus en mer près des côtes italiennes sont presque prêts, ‘’il s’agit d’attendre quelques semaines’’ explique-t-on au gouvernement. Fratelli d'Italia est conscient que le fait d'avoir donné un large soutien à Salvini lie en quelque sorte les mains de la Présidente du Conseil. Non seulement il sera difficile, voire impossible, de demander un recul du ministre en cas de condamnation en première instance, mais il sera compliqué de devoir cohabiter avec un Salvini belliqueux. Par ailleurs, la décision des juges sur Salvini pourrait coïncider avec un possible renvoi en justice de la ministre pour le tourisme Santaché pour sa société Visibilia. La ligne de FDI était de demander sa démission en cas de procès. Il sera toutefois difficile de convaincre Santanché si Salvini, condamné, devait rester à sa place. »
ARTICLE, Il Messaggero, par F. Bechis, « Starmer et le modèle italien : visite au centre anti-débarquement » : « Contre toute attente, un premier ministre britannique socialiste consulte la leader de la droite italienne pour savoir quoi faire contre l’immigration illégale. Keir Starmer rencontrera Giorgia Meloni à Rome, à la Villa Doria Pamphilj. Une autre rencontre doit se tenir un peu plus tôt, dans le quartier de l’Eur, au sein du Centre national de coordination pour l’immigration. Il visitera aux côtés du ministre de l’Intérieur Matteo Piantedosi les salles de surveillance scrutant la Méditerranée à la recherche d’embarcations illégales, une première pour un premier ministre étranger. Cette rencontre sera l’occasion pour Meloni de relancer la ligne dure anti-débarquements, au lendemain de la réquisition de 6 ans de prison contre le ministre Salvini. Hier encore, Starmer se disait « intéressé » par l’accord entre l’Italie et l’Albanie, et pourrait être tenté de le répliquer si les conditions le permettent. Pour ce dernier, les flux migratoires illégaux dans la Manche deviennent un problème de plus en plus important. En Méditerranée, le scénario s’est inversé depuis quelques mois. Hier, le Viminal avait annoncé à Meloni qu’aucune embarcation n’avait tenté de gagner les côtes italiennes dans la journée. Les accords avec la Tunisie, l’Algérie, l’Egypte et les autres pays nord-africains pour diminuer les départs portent leurs fruits. La rencontre avec Starmer doit également porter sur la possibilité pour l’Ukraine d’utiliser les armes occidentales en Russie, sujet sur lequel les deux leaders ne sont pas d’accord. ».
ARTICLE, Il Messaggero, par A. Bas, « Moins de dépenses et plus de réformes : le plan pour réduire la dette » : Le Plan structurel du budget, le nouveau document prévu par le Pacte de stabilité, sera approuvé demain en Conseil des ministres. Le document pourrait être approuvé avec la mention « sauf accord préalable », notamment puisque les chiffres cruciaux du document, sur le PIB, le déficit et la dette, ne pourraient être obtenues dans leur version finale qu’après le 23 septembre, à l’occasion de la publication des révisions des données de l’Istat. Le document pourrait donc être approuvé par les ministres le 24 septembre, pour une discussion au Parlement le 25, et enfin transmis à la Commission européenne début octobre. Parmi les réformes que l’Italie présentera à la Commission se trouveront certainement des mesures sur la concurrence, avec une ouverture des marchés, la fonction publique (réforme de la carrière des fonctionnaires) et la justice (une accélération des procédures). Le ministre de l’Economie, G. Giorgetti (Ligue), a déjà fait savoir à ses collègues du gouvernement qu’il ne sera pas possible de financer des mesures en s’appuyant sur le déficit, une logique qui devra aussi s’appliquer aux amendements parlementaires. Le budget se fondera sur une réduction des contributions sociales à hauteur de 11 milliards, et sur une réduction du taux de l’impôt sur le revenu. Pour le reste, 10 milliards doivent encore être trouvés.»
ARTICLE, La Repubblica, C. Tito « Le pari risqué d’U. von der Leyen pour nommer Fitto (Frères d’Italie) vice-président au risque de susciter des frictions » : « Ursula serait prête à jouer son va-tout et à défier les socialistes, les libéraux et les verts. Elle souhaiterait en effet confirmer demain à Strasbourg la vice-présidence de la Commission à Raffaele Fitto. La présentation de l’équipe, prévue pour mardi, pourrait cependant être reportée, la Slovénie devant encore présenter sa candidate. La présidente de la Commission, malgré le fait d’avoir été votée par une majorité composée par le PPE, le PSE, les Libéraux et les Verts, a décidé d’élargir la coalition à droite, en incluant l’ECR. Pour ce faire, elle est décidée à indiquer le nom de Fitto comme un de ses six vice-présidents exécutifs. Elle sait qu’elle peut compter sur le soutien des populaires mais qu’elle doit aussi affronter l’hostilité des trois autres groupes. A part les Verts qui, n’ayant pas de représentants, sont opposés à l’idée d’impliquer l’ECR, les autres partis sont traversés par des divisions et des tensions au niveau national. Au sein des socialistes, par exemple, le PD aurait une position possibiliste sur le ministre mélonien (par crainte d’être accusé ensuite d’antipatriotisme) ainsi que la délégation espagnole, qui veut obtenir le portefeuille de la transition écologique pour Teresa Ribera. La présidente de la Commission, misant sur une implication de l’Italie afin d’augmenter sa centralité dans les dynamiques européennes, serait en train d’envisager de rééquilibrer le rapport avec le PSE et Renew en renforçant les portefeuilles de leurs représentants. En même temps, cette solution provoquerait un déplacement à droite de l’UE. Si ce pari risqué devait être accompagné d’un bras-de-fer, le scrutin final dans l’hémicycle pourrait se révéler plutôt dangereux. »
ENTRETIEN, Corriere della Sera, d’Antonio Tajani (Forza Italia), vice-président du Conseil et ministre des Affaires étrangères, « L’envoi et l’usage de missiles [en Ukraine] est à la discrétion de chaque pays ; il faut maintenant organiser une conférence de paix » : « Chaque pays décide comment ses livraisons d’armements à l’Ukraine peuvent être utilisées, à travers un dialogue bilatéral avec Kiev. Au sein de l’OTAN, il existe une position selon laquelle l’Alliance n’est pas impliquée dans la guerre et les Américains semblent très prudents. L’Italie a fourni à Kiev une aide militaire, civile, financière et ce sans aucune réserve. Nous nous apprêtons à envoyer la deuxième batterie de Samp-T afin de défendre la population ukrainienne. Le président Zelensky n’a jamais demandé plus que ce que nous faisons. J’espère qu’une sérieuse conférence de paix pourra être organisée d’ici la fin de l’année. Un communiqué du G7 condamne fermement les actions de l’Iran et la livraison d’armes à Moscou qui constitue une violation du droit international et une menace pour la sécurité européenne. Nous adressons ce message également à la Chine, lui demandant de ne fournir ni armes ni technologies à la Russie. Concernant la visite à Rome du ministre chinois du Commerce extérieur, nous voulons travailler à un plan commercial égalitaire, nous demandons un accès équitable de nos produits sur leurs marchés, nos entreprises doivent être soumises aux mêmes conditions de concurrence. Nous sommes pour cela favorables aux frais de douanes proposés par la Commission européenne afin de protéger la compétitivité de nos entreprises. Nous voulons une réciprocité réelle et un climat de collaboration positive. Cela n’enlève rien à nos bonnes relations, comme le montrent la visite de Giorgia Meloni en Chine et celle à venir, à la fin de l’année du Président Sergio Mattarella, à laquelle je participerai également. [Aujourd’hui Keir Starmer et Giorgia Meloni évoqueront entre autres les centres pour les migrants en Albanie], les Britanniques ont toujours été intéressés à notre projet qui est sur le point d’être lancé. »
SONDAGES, La Repubblica, d’I. Diamanti, « Sur l’envoi d’armes à l’Ukraine, les plus défavorables sont parmi les électeurs de la Ligue, de Fratelli d’Italia et du Mouvement 5 Etoiles » : « Depuis le début de la guerre en Ukraine il y a plus de deux ans, l’opinion publique a évolué dans le temps, notamment sur l’envoi d’armes par Kiev. Le consensus concernant les aides militaires livrées à l’Ukraine est en recul constant depuis un an et on assiste même à un effondrement de l’opinion ces derniers mois. D’après un sondage Demos, 29% des interrogés se disent aujourd’hui favorables au soutien militaire à l’Ukraine, contre 47% en septembre 2023. A l’inverse, ceux qui se déclarent ‘’contre’’ les aides militaires sont devenus majoritaires, avec plus de 40% d’avis contraires. On observe la même tendance concernant la hausse des dépenses militaires de façon générale, le consensus étant passé de 33% en septembre 2022 à 19% actuellement. Cela s’explique d’abord par la globalisation et l’augmentation des conflits et des tensions dans le monde qui fait que les citoyens, notamment italiens, ne se concentrent plus sur un seul front. Ensuite, les conflits, très médiatisés et montrés, influencent le sentiment des citoyens, y compris sur le plan politique, et il y a une normalisation de la peur. L’opinion favorable à l’envoi d’armes à l’Ukraine est plus forte parmi les électeurs potentiels des partis de ‘’centre-gauche’’ (56 % pour +Europa, Azione, 55% pour Italia Viva et 44% Parti démocrate) mais aussi ceux de Forza Italia (48%). A droite, le consensus est plus bas : avec 40% d’avis favorables parmi l’électorat de la Ligue et de Fratelli d’Italia, et seulement 33% pour le Mouvement 5 Etoiles. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
14:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
Mecklembourg-Poméranie occidentale : 80 % des jeunes Tunisiens sont suspects de délit(s) de violence.
Allemagne. Mecklembourg-Poméranie occidentale. 80 % des jeunes Tunisiens sont suspects de délit(s) de violence.
14:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
15/09/2024
Viktor Orbán reçoit Arnold Schwarzenegger.
Hongrie. Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a reçu l'acteur et homme politique Arnold Schwarzenegger.
Viktor Orbán et Arnold Schwarzenegger
23:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
Suède : la prime à la remigration sera de plus de 30.000 euros par personne.
Suède. Les migrants qui n’ont pas réussi à s’intégrer recevront plus de 30.000 euros par personne afin de retourner dans leur pays.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/09/13/la-...)
23:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le BSW a fondé ses sections de l’État de Brême et de celui de Basse-Saxe.
Allemagne. Le parti de gauche anti-immigration BSW a fondé aujourd’hui ses sections de l’État de Brême et de celui de Basse-Saxe.
23:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
Éric Zemmour et Sarah Knafo reçus par le Forum voor Democratie.
Pays-Bas et France. Éric Zemmour et le député européen de son parti Reconquête Sarah Knafo ont pris part à un événement organisé aux Pays-Bas par le Forum voor Democratie de Thierry Baudet.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/09/11/ape...)
22:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
Vorarlberg : le FPÖ est donné à 28 %.
Autriche. Vorarlberg. Le FPÖ est donné à 28 % pour les élections du 13 octobre 2024 pour le Parlement du Vorarlberg.
(gauche : sondage / droite : élections de 2019)
ÖVP : sociaux-chrétiens/conservateurs
Grüne : écologistes
FPÖ : patriotes
SPÖ : sociaux-démocrates
NEOS : libéraux
Sonstige : autres
21:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Une étude de l’Université d’Amsterdam montre que le coût net de l'immigration a été de 400 milliards d'euros pour l'économie publique néerlandaise, entre 1995 et 2019.
Pays-Bas. Une étude de l’Université d’Amsterdam montre que le coût net de l'immigration a été de 400 milliards d'euros pour l'économie publique néerlandaise, entre 1995 et 2019. Elle prévoit que, sur la période 2020-2040, le coût sera de 600 milliards d’euros.
L'étude fait référence au prix Nobel américain Milton Friedman, qui a déclaré que l'immigration libre et l'État-providence sont incompatibles.
(https://demo-demo.nl/wp-content/uploads/2023/06/Borderles...)
15:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
Brandebourg : simulation d'élections : l'AfD obtient 29 % et le BSW 8,5 % chez les jeunes de moins de 16 ans.
Allemagne. Brandebourg. 4.189 jeunes de moins de 16 ans ont pris part à une simulation d’élections. Les nationalistes de l’AfD décrochent 29 % et la gauche anti-immigration BSW 8,5 %.
(https://u16-brandenburg.de/vorlaeufige-ergebnisse-u16-lan...)
15:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pays-Bas : les patriotes donnés à 42 sièges sur 150.
(Sondage 14 septembre/sondage 6 juillet/différence entre 14 septembre et 6 juillet/législatives/différences avec les législatives)
PVV : patriotes anti-islamisation
PvdA : travaillillistes / Groenlinks : écologistes
VVD : libéraux de droite
CDA : démocrates-chrétiens
D66 : libéraux de gauche
BBB : parti des agriculteurs : agrariens de centre-droit
NSC : Nouveau contrat social, de Pieter Omtzigt [autrefois démocrate-chrétien (CDA)]
SP : gauche de la gauche
Volt : pro-européen
PvdD : parti pour les animaux
SGP : chrétiens protestants
PvdD : parti pour les animaux
Denk : centre-gauche multiculturaliste
CU : Christen Unie : sociaux-chrétiens
FvD : Forum voor Democratie : patriotes
JA 21 : patriotes
14:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les procureurs ont requis une peine de six ans de prison à l'encontre de Matteo Salvini pour avoir empêché des migrants de débarquer.
Italie. Les procureurs ont requis une peine de six ans de prison à l'encontre de Matteo Salvini, le dirigeant de la Ligue, pour avoir, en tant que ministre, empêché des migrants de débarquer dans un port italien en 2019.
14:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
14/09/2024
Sahra Wagneknecht présente son projet pour les négociations pour la paix en Ukraine.
Allemagne. La figure de proue du parti de gauche anti-immigration BSW Sahra Wagneknecht présente son projet pour les négociations pour la paix en Ukraine : proposer un arrêt des livraisons d'armes à l'Ukraine si les Russes acceptent un cessez-le-feu immédiat sur la ligne de front actuelle ; un référendum sous la supervision de l’ONU dans la partie de l’Ukraine contrôlée par la Russie ; l’Ukraine doit être prête à un compromis sur sa volonté d’adhésion à l’OTAN.
20:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
Edeka, qui a fait campagne contre l'AfD, a reçu des millions d'euros de l'État.
Allemagne. La chaîne de supermarchés Edeka, qui a fait campagne contre le parti patriotique AfD, a reçu, au cours des dernières années, des millions d'euros de l'État dans le cadre de la politique d'efficience énergétique et d'utilisation de véhicules électriques.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/08/30/la-...)
17:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les patriotes de l'AfD sont donnés à 19 % et la gauche anti-immigration BSW à 10 %.
Allemagne. Les patriotes de l'AfD sont donnés à 19 % et la gauche anti-immigration BSW à 10 %.
(https://www.wahlrecht.de/umfragen/insa.htm)
SPD : sociaux-démocrates
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
AfD : patriotes
Die Linke : post-communistes
BSW : gauche anti-immigration
Sonstige : autres
17:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le BSW affirme que de nombreux immigrés intégrés rejettent la politique migratoire actuelle.
Allemagne. Le co-vice-président du parti de gauche anti-immigration BSW Shervin Haghsheno, originaire d'Iran, estime que de nombreux immigrés intégrés ne sont aussi pas d'accord avec la politique migratoire actuelle.
17:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'Allemagne accueillera 250.000 travailleurs kényans.
Allemagne. Deux semaines après leur déroute électorale en Thuringe et en Saxe, les partis du gouvernement fédéral concluent un accord avec le Kenya afin d'accueillir 250.000 travailleurs issus de ce pays.
16:17 | Lien permanent | Commentaires (0)
13/09/2024
Le Spiegel titre : "Jeunes d'extrême droite. Pourquoi autant de jeunes pensent ethniquement."
Allemagne.
"Jeunes d'extrême droite. Pourquoi autant de jeunes pensent ethniquement."
22:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
Mecklembourg-Poméranie occidentale : les élus libéraux ne veulent plus siéger à côté de ceux de l'AfD.
Allemagne. Mecklembourg-Poméranie occidentale. Les élus libéraux du FDP ne veulent plus siéger au sein du Parlement du Mecklembourg-Poméranie occidentale à côté des élus nationalistes de l'AfD.
18:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pia Kjærsgaard quittera la Chambre des députés.
Danemark. La figure de proue et ancienne présidente du Parti populaire danois Pia Kjærsgaard, âgée de 77 ans, ne se présentera pas aux prochaines élections législatives.
18:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Il est temps d'être, à nouveau, autorisé à s'exprimer librement."
Allemagne. Brandebourg.
"Il est temps d'être, à nouveau, autorisé à s'exprimer librement."
18:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Taux, le gouvernement contre la BCE."
Italie. Revue de presse.
La presse italienne titre largement sur l'abaissement du taux directeur de la BCE « Taille dans les taux : baisse de 0.25%"» (Repubblica, Sole, Messaggero), « Taux, le gouvernement contre la BCE : il faut plus de courage » (Stampa, Giornale), l'Ukraine « Plus de missiles à kiev ? Poutine menace: « l'OTAN en guerre » » (Corriere), « mandat d'arrêt de Moscou contre deux journalistes de la Rai à Koursk » (Repubblica) et la finalisation de la loi de finances (Corriere, Avvenire).
ARTICLE, La Stampa, par F. Goria, « BCE, réduction des taux mais ralentissements sur les prochains objectifs : le gouvernement attaque : « Ce n’est pas suffisant » » : Les réactions s’enchainent au gouvernement. D’après le leader de Forza Italia et ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani, ‘’réduire de 0.25% n’est pas assez, nous devons nous concentrer sur la croissance, l’inflation est en baisse’’ . Il ajoute ‘’La BCE devrait pouvoir en faire plus et je crois que l’on devrait en modifier les statuts pour qu’elle ne soit plus que la gardienne de l’inflation, mais qu’elle puisse intervenir sur les variables monétaires pour soutenir la croissance et l’économie réelle’’. Le ministre Urso a lui suggéré à Lagarde ‘’il faut écouter Draghi, pour qui nous avons besoin de plus de croissance. J’appelle à avoir plus de courage et plus d’efficacité’’ face à une réduction des taux jugée ‘’insuffisante’’. Le président FDI de la commission des Finances Marco Osnato se montre lui plus prudent : ‘’C’est bien que Francfort pense à la croissance, mais il doit créer un cadre de stabilité dans lequel la politique fiscale puisse agir avec succès. Le gouvernement est prêt et continuera à prendre sa part du travail’’. Lagarde n’a pas manqué de recommander aux gouvernements, en s’appuyant sur les conclusions du rapport Draghi/Letta, d’entreprendre ‘’maintenant’’ les réformes pour réduire les déficits budgétaires. ‘’Les gouvernements devraient entreprendre avec détermination leurs plans à moyen terme pour les politiques fiscales et structurelles’’ ».
COULISSES, Corriere della Sera, de M. Guerzoni, « Le gouvernement n’a pas peur des conséquences et après le changement de ministre de la Culture, la Présidente du Conseil envisage un remaniement » : « A la Présidence du Conseil, ils sont de plus en plus nombreux à penser que plus on en parle de l’affaire Boccia-Sangiuliano, mieux c'est pour le gouvernement, pourvu que cela la discrédite et mette en lumière les mensonges de l'influenceuse. Au Palais Chigi, on est convaincu que plus cette affaire prendra de l’ampleur plus elle sera susceptible d’alimenter leur popularité, ‘’victimes’’ face aux ‘’oppositions médiatiques’’. La Présidente du Conseil a déjà montré qu’elle les craignait bien plus que les oppositions politiques. Par ailleurs, l'affaire Boccia-Sangiuliano ‘’occulte’’ depuis quinze jours les "vrais problèmes du pays", à la satisfaction mal dissimulée de l’entourage de Meloni. On dit que le remplacement éclair du ministre de la Culture a brisé 'le tabou du remaniement' pour Giorgia Meloni. Un mot auparavant imprononçable qu’on entend désormais beaucoup au Palais Chigi. Même si elle a toujours défendu son équipe dirigeante, la leader de Fratelli d’Italia pense à la renforcer, parce qu'à l’usage, tous les choix ne se sont pas révélés adaptés. L'inquiétude concernant un remaniement s'est accrue parmi les ministres. Même ceux qui pensaient que Meloni l'éviterait comme la peste, en raison de son obstination à vouloir arriver à la fin de la législature avec la même équipe, ne se sentent plus en sécurité. La ministre du Tourisme Daniela Santanchè pourrait être visée dans un procès pour fraude présumée. Bien avant cela, il faudra remplacer Raffaele Fitto, sans forcément devoir redemander la confiance au Parlement, d’après les informations des Présidences de la République et du Conseil. Or la Présidente du Conseil n’envisage pas de ‘’gouvernement bis’’, elle tient trop à établir un record, en associant son nom à l'un des gouvernements les plus durables de l'histoire de l'Italie. »
ARTICLE, Il Foglio, E. Antonucci, « Pourquoi le décret de loi sur la sécurité est le fruit du populisme pénal » : « Le décret de loi sur la sécurité, cher à la droite sécuritaire et examiné ces jours-ci à la Chambre, marque le triomphe du populisme pénal. Si l'on lit attentivement le texte, on découvre qu'elle introduit 24 nouveaux délits, des circonstances aggravantes et des peines plus sévères. Vingt-quatre, d'un seul coup. Comme si c’était une urgence nationale. La présidente du Conseil Meloni l’avait en effet annoncé, interviewée il y a une semaine sur Rete 4 : ‘’La sécurité sera ma priorité dans les mois à venir’’. De toute façon, cela ne coûte rien. Il suffit d'insérer une petite clause dans quelques articles du code pénal et le tour est joué. Le tout peut être ainsi offert à l’opinion publique. Mercredi, plusieurs élus de Fratelli d’Italia avaient posté la même image de Meloni rayonnante avec la légende ‘’le texte a été approuvé, prison de 2 à 7 ans’’ pour les squatteurs. Le ministre de la Justice Carlo Nordio n’est pas sur les réseaux sociaux, mais il est facile d’imaginer sa tête, lui, le défenseur de la dépénalisation, qui maintenant se tait et qui doit avaler un énième réforme justicialiste. »
ARTICLE, Il Foglio, « La décision de Scholz représente une opportunité pour l’Italie » : « Le chancelier allemand Olaf Scholz, aux prises avec la poussée électorale de l'extrême droite, a décidé de durcir sa politique d'immigration. Comment le gouvernement italien doit-il réagir ? Il devrait tout d'abord éviter de suivre la voie indiquée par la Ligue : selon la sénatrice Mara Bizzotto, par ailleurs vice-président de la commission Schengen, ‘’le social-démocrate allemand dit ce que nous, à la Ligue, disons depuis 20 ans’’. Les questions migratoires ne peuvent être abordées dans le cadre d'une logique nationale, qui, en outre, se fait au détriment des pays de première arrivée tels que l'Italie. Au lieu d'une régression de l'initiative européenne, nous devrions pousser à son renforcement, à la recherche de mécanismes plus efficaces pour partager les problèmes continentaux. Ce n’est certainement pas une voie facile mais cela représente la seule alternative aux initiatives du ‘’chacun pour soi’’. Cette initiative devrait venir avant tout des pays les plus exposés à l’immigration irrégulière, comme l’Italie. »
COMMENTAIRE, La Repubblica, L. Abate « Les responsabilités de Matteo Salvini » : « Le ministre de l'intérieur de l'époque a refusé le débarquement dans un port italien pendant 19 jours aux immigrants secourus par le navire de l'ONG Open Arms, les privant de leur liberté personnelle et abusant de son pouvoir, violant même un certain nombre de lois internationales. Matteo Salvini est aujourd'hui non seulement ministre des Infrastructures et des Transports, mais aussi vice-président du Conseil. Au-dessus de sa tête plane la décision qui sera prise par le tribunal à l'issue des demandes qui seront formulées demain par les procureurs. A part l’aspect juridique, sa décision n'était pas un acte politique du gouvernement. Car, comme l'ont révélé les témoignages, la décision d'interdire le débarquement des migrants n'a pas été partagée avec le reste de son gouvernement. Ce choix était exclusivement celui du dirigeant de la Ligue. Indépendamment de ce que décidera le juge, ce qu'il reste de cette histoire, c'est qu'un dirigeant politique a agi contre des êtres humains faibles et sans défense dans le seul but de recueillir des voix. »
PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de F. Basso, « Les socialistes ne ferment pas la porte à Raffaele Fitto (Frères d’Italie) » : « L'ancien Premier ministre slovène Janez Janša se met à nouveau en travers du chemin de la présidente de la Commission européenne, bien qu'ils appartiennent tous les deux au PPE, au sujet de la commissaire désignée par Ljubljana, risquant de provoquer un nouveau report de la présentation de l’exécutif européen et des différents portefeuilles. Cela poserait également un problème au Parlement européen, qui doit programmer les auditions puis le vote en séance plénière. L’allongement des délais laissent toutefois aux différents groupes davantage de temps pour insister sur leurs demandes respectives, ce qui risque de provoquer un effet d'usure. Hier, les socialistes ont à nouveau insisté sur leurs "priorités", sans pour autant fermer la porte à l'hypothèse d'une vice-présidence exécutive pour Raffaele Fitto, qui devra démontrer son "adhésion aux valeurs européennes". L'hypothèse de confier la vice-présidence au groupe ECR, qui n'a pas voté pour U. von der Leyen, reste "incompréhensible". Ainsi, la vice-présidence de la Commission, bien que contestée par le groupe des socio-démocrates, les Verts et Renew, ne serait pas menacée. R. Fitto serait par ailleurs nommé commissaire à l’Économie et au Plan de Relance, et serait également en charge de la task force sur la relance. Concernant le calendrier, seule l’affaire soulevée par la Slovénie bloque encore. Le candidat slovène initial avait été remplacé par l'ancienne diplomate Marta Kos en réponse à la volonté d‘U. von der Leyen de nommer davantage de femmes. M. Kos doit d'abord passer devant la commission des affaires européennes du Parlement slovène pour devenir officiellement candidate. L'audition était initialement prévue aujourd'hui mais la délégation slovène au sein du S&D a demandé l'accès aux documents afin de connaître la "véritable" raison du retrait de Vesel, le candidat initial. »
COMMENTAIRE, La Stampa, de M. Sorgi « La fin du double jeu » : « il n’est pas clair si la décision de remplacer Giorgetti et Fontana comme vice-secrétaires de la Ligue servira à donner plus d’autonomie respectivement au ministre de l’Economie et au président de la Chambre. Cela servira plutôt à donner plus de liberté à Salvini de mener sa campagne sur la loi de finances et de lancer des propositions comme un taux d’imposition à 15% pour les professions libérales. Or, le nouveau Pacte de Stabilité réduit les marges de promesses sans couverture financière. Cela augmentera inévitablement les tensions au sein même de la majorité et avec l’opposition. Meloni, pour sa part, espère que les critères du Pacte seront dilués lors des négociations avec Bruxelles (aussi parce que l’Italie fait partie d’un groupe assez large de pays partageant les mêmes problèmes, comme la France et l’Allemagne). Cette négociation retombera aussi sur Fitto. Ce dernier sait très bien que l’Italie fera l’objet d’une attention particulière, en raison aussi du double jeu ‘’européiste-souverainiste’’ inauguré par Meloni au début de la mandature avec le ‘’non’’ au deuxième mandat de von der Leyen et les négociations intenses menées pour faire obtenir à l’Italie un poste dans l’exécutif italien. Bref, avec les nouvelles règles sur la stabilité, Meloni se retrouve face à un dilemme bien avant ses prévisions. »
ARTICLE, Corriere della Sera, par A. Muglia, « Mandat d’arrêt de Moscou contre une journaliste du TG1 après un reportage en Russie » : « Stefania Battistini figure sur une liste de personnes recherchées par le Kremlin pour ‘’avoir illégalement traversé la frontière’’, comme l’a fait savoir le ministre de l’Intérieur russe. Avec le technicien Simone Trani, elle avait été la première à documenter les incursions ukrainiennes en territoire russe en aout dernier. Battistini a été rappelée, courant le risque d’être condamnée à 5 ans d’emprisonnement en Russie. Pourtant, le statut du journaliste sur les zones de guerres est protégé par la Convention de Genève, et même les Russes en admettent parfois certains parmi eux, comme à Marioupol dans le Donbass où le photo-reporter Gabriele Micalizzi avait réussi à pénétrer. La montée des tensions diplomatiques entre l’Italie et la Russie était inévitable, et le ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani a convoqué l’ambassadeur russe en Italie : Alexandre Paramonov devrait être reçu à la Farnesina cet après-midi. Tajani a exprimé sa ‘’surprise’’ par rapport à une ‘’décision singulière’’, une première en presque 3 ans de conflit. La Rai a dénoncé un ‘’acte de violation de la liberté de l’information. La journaliste et le technicien ont accompli de manière exemplaire et objective leur travail de témoignage des évènements’’, peut-on lire dans un communiqué, ‘’La Rai se réserve le droit d’œuvrer en chaque endroit pour dénoncer la décision du gouvernement russe’’. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Alice Weidel exige la mise en place de clôtures frontalières.
Allemagne. Dans le cadre de la campagne électorale au Brandebourg, la coprésidente de l’AfD Alice Weidel exige la mise en place de clôtures frontalières, des négociations pour la paix en Ukraine et l'arrêt des livraisons d'armes à l’Ukraine.
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Le parti écologiste autrichien appelle à l’instauration d’un cordon sanitaire autour du FPÖ.
Autriche. Le parti écologiste Die Grünen appelle à l’instauration d’un cordon sanitaire autour du parti patriotique FPÖ.
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Les Pays-Bas demanderont à l'UE une option de retrait sur la politique d’asile.
Pays-Bas. Le ministre PVV de l'Asile Marjolein Faber envisage d'utiliser la loi d'urgence pour déclarer une crise légale de l'asile. De plus, le gouvernement demandera la semaine prochaine à l’UE une option de retrait sur la politique d’asile.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/09/11/gee...)
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