24/05/2025
Flandre : le Vlaams Belang donné en recul.
Belgique. Flandre. Un sondage RTBF, VRT, De Standaard donne le parti nationaliste flamand N-VA à 25 % et le parti nationaliste flamand Vlaams Belang à 19,1 %.
19:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
60 % des Néerlandais estiment que l'islam n'est pas adapté au mode de vie néerlandais.
Pays-Bas.
Tous
PVV : patriotes anti-islamisation
FVD : patriotes
BBB : agrariens
VVD : libéraux de droite
NSC : nouveau contrat social
CDA : démocrates-chrétiens
SP : gauche de la gauche
D66 : libéraux de gauche
GroenLinks/PvdA : écologistes et socialistes
16:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
23/05/2025
La classification de l'AfD du Brandebourg est suspendue.
Allemagne. Brandebourg. L’Office du Brandebourg de protection de la Constitution suspend provisoirement la classification de l’AfD du Brandebourg en tant que « parti d’extrême droite avéré ».
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/05/20/l-a...)
19:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les Démocrates suédois désirent supprimer les cours en langue maternelle des étrangers.
Suède. Alors que près de 30 % des élèves des écoles primaires ont droit à un enseignement dans leur langue maternelle, les Démocrates suédois désirent supprimer cette possibilité et ne permettre de suivre que des cours en suédois.
14:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Nouvelle initiative européenne sur l’immigration"
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur l'attaque ayant fait deux morts près d'un musée juif de Washington « Horreur antisémite aux Etats-Unis » (Corriere della Sera), « Amérique, une attaque antisémite » (Repubblica), « Diplomates israéliens tués, Netanyahou accuse l’Europe » (Stampa), « Deux diplomates israéliens tués. L’assassin affirme : ‘’je l’ai fait pour Gaza’’ » (Messaggero), « La mèche de la haine » (Avvenire), et sur la décision de la Cour Constitutionnelle reconnaissant les mêmes droits aux deux mères d’un enfant (Corriere, Repubblica).
Les JT couvrent essentiellement, outre les sujets traités par les quotidiens, la décision de la Maison Blanche d’interdire l’accueil des étudiants étrangers à Harvard.
Ukraine. Corriere della Sera : « Il est 20 heures et Giorgia Meloni révèle qu'elle vient d'avoir au téléphone pour la énième fois en quelques jours le président des États-Unis, confirmant que l'Italie reste en première ligne dans les efforts diplomatiques visant à lancer au moins un premier cycle de négociations entre la Russie et l'Ukraine au niveau technique. » Repubblica : « L’option d’organiser les négociations au Vatican s’éloigne, du moins pour le moment. G. Meloni s’entretient avec Trump, elle a ensuite des contacts avec les autres principaux dirigeants : Macron, Starmer et Merz. Il émerge qu’à ce stade, les Occidentaux jugent plus sage de « suspendre » l'option du Vatican, notamment pour la préserver. Car si elle devait échouer, aucune autre voie ne serait envisageable. La présidente du Conseil italienne, qui s'est beaucoup investie dans l'option du Saint-Siège, s'ouvre aussi à d'autres alternatives - « l'important, c'est le résultat » — tout en revendiquant avoir joué le rôle de « pont entre les États-Unis et l'Union européenne ». Pragmatique, elle décide de miser sur le groupe qu’elle joint à nouveau après une longue période de froid avec les « volontaires ». Bien sûr, tout dépend d’une variable inconnue : Poutine ». La Stampa : « Une sorte de double approche semble se dessiner : la première, technique et à un niveau inférieur, pourrait se jouer en Suisse ou en Turquie, tandis que la seconde – si la première s'avérait fructueuse et aboutissait à un cessez-le-feu – aurait davantage de raisons de se dérouler dans un lieu tel que le Saint-Siège. L’option de Genève se concrétise, un lieu fortement soutenu par le président Macron mais pas partagé par Erdogan, ce dernier rappelant qu’Istanbul serait historiquement « davantage appréciée » par Moscou ».
Migrants. Corriere della Sera : « A l’issue de la rencontre avec son homologue danoise, Mme Meloni a annoncé une nouvelle initiative européenne sur l’immigration : une lettre signée par l’Italie, le Danemark, l’Autriche, la Belgique, la République Tchèque, l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie et la Pologne afin d’ouvrir une réflexion sur la convention européenne sur les droits de l’homme (et donc sur l’interprétation des juges de Strasbourg considérée trop biaisée et empêchant les expulsions). Le but revendiqué étant de « rétablir un juste équilibre » sur des conventions « datées d’il y a dix ans face aux défis d’aujourd’hui » ».
Le Premier ministre social-démocrate danois Mette Frederiksen et Giorgia Meloni
La Cour Constitutionnelle sur l’homoparentalité. Corriere della Sera : « La protection des mineurs est un phare pour la magistrature » : « Les deux sentences de la Cour constitutionnelle semblent se contredire. L’une porte sur la reconnaissance de la maternité également de la mère n’ayant pas porté l’enfant en cas de GPA à l’étranger, mettant ainsi fin à une incertitude indigne d’un pays civilisé. En Italie aussi, deux mères pourront être parents. La deuxième sentence à l’inverse rend légitime la GPA seulement pour des couples de sexes différents, excluant ainsi les femmes célibataires. Si la logique doit rester politiquement neutre, il y a bien un problème au niveau des effets des deux sentences : seuls les couples (ou les femmes seules) riches pourront se rendre à l’étranger pour faire aboutir leur désir de maternité. Les femmes les moins aisées devront se plier à la rigidité du système italien. »
StarLink. La Stampa : « Entretien de Andrea Stroppa, bras droit d’Elon Musk en Italie: « Sur Starlink nous sommes prêts depuis des mois pour un accord avec l’Italie mais au sein du gouvernement italien certains bloquent tout ». « Ce n’est pas un hasard si des pays comme les Etats-Unis, le Japon, le Royaume-Uni et même l’Ukraine utilisent Starlink pour des activités délicates liées à la Défense, et également d’autres pays européens qui se gardent bien de le déclarer publiquement. J’ai été frappé ces derniers mois par les déclarations de certains ministres comme Guido Crosetto (Frères d’Italie) et d’autres dirigeants de la Défense qui ont souligné la nécessité et l’urgence de se doter de cette technologie. Leonardo a également dissipé publiquement à plusieurs reprises certains doutes en matière de sécurité nationale. Starlink pourrait être une solution transitoire, en attendant une constellation nationale. L’Italie serait le pays européen le plus avancé en la matière. Elon Musk n’attend rien de Giorgia Meloni, il n’est jamais intervenu directement dans les échanges sur Starlink, il est intervenu seulement pour faciliter les relations institutionnelles entre l’Italie et les Etats-Unis. Des investissements de grande ampleur sont prévus en Europe. L’Italie n’a aucun accord pour le moment avec Starlink ou SpaceX, selon la volonté légitime du ministre Urso et de ses conseillers. »
Le G7 Finance. La Stampa : « Droits de douane, le ministre Giorgetti (Ligue) croit au compromis et évoque une possible ‘entente avec les Etats-Unis pour des tarifs douaniers à 10%’ ». « Sur le dossier des droits de douane entre UE et Etats-Unis, G. Giorgetti s’est toujours voulu optimiste et entrevoit désormais un compromis ‘raisonnable’ semblable à celui passé entre D. Trump et le Royaume-Uni. ‘Les négociations avancent et c’est dans l’intérêt commun’ souligne le ministre de l’Economie. ‘Si l’UE est compétente en matière de commerce extérieure, […] il est évident que l’Italie a la capacité d’arrondir les angles et d’établir des liens. Nous avons un rôle important à jouer pour arriver à un terrain d’entente avec Scott Bessent’ estime-t-il. S’il n’entend pas minimiser l’impact des nouveaux tarifs introduits par Trump, il estime gérables des droits de douane à 10%. Enfin, si le G7 Finances au Canada ‘n’a pas très bien commencé, nous sommes parvenus à trouver des formules de compromis réaffirmant notre position commune sur l’Ukraine et un esprit de collaboration sur les droits de douane’. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
13:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
Trentin : résultats des élections municipales.
Italie. Trentin. Lors de l'élection des maires et des conseillers municipaux, des listes essentiellement locales se sont présentées :
premier tour :
https://www.2025.elezionicomunali.tn.it/index.html
deuxième tour :
02:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
Tyrol du Sud/Haut-Adige : résultats des élections municipales.
Italie. Tyrol du Sud/Haut-Adige. Lors des deux tours de l'élection de maires, le 4 et le 18 mai 2025, le centre droit italophone (Frères d’Italie, Ligue, Forza Italia, …) s’est emparé de Bozen/Bolzano :
http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/05/19/cla...
Les autres maires sont pour la plupart des représentants du parti démocrate-chrétien germanophone Südtiroler Volkspartei SVP :
https://www.gemeindewahlen.bz.it/de/3/mayors
Conseils municipaux :
Résultats de l'élection des conseil municipaux :
01:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
Horst Seehofer estime que l’Office pour la protection de la Constitution n’est pas indépendant.
Allemagne. L’ancien ministre-président social-chrétien CSU de Bavière et ancien ministre fédéral de l’Intérieur Horst Seehofer estime que l’Office pour la protection de la Constitution n’est pas indépendant : « Le discours selon lequel il s’agirait d’une autorité indépendante ne correspond pas du tout à mon expérience. Nous l'avons vu avec M. Maaßen [qui dirigeait l’Office fédéral de protection de la Constitution]. Si l'on peut mettre un fonctionnaire à la retraite à tout moment, on ne peut pas dire qu'il est indépendant. »
00:54 | Lien permanent | Commentaires (0)
22/05/2025
Angela Merkel critique le nouveau gouvernement pour le renforcement des contrôles à la frontière.
Allemagne. L'ancienne chancelière Angela Merkel critique le nouveau gouvernement pour le renforcement des contrôles à la frontière.
23:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
Danemark : le Parlement relève l’âge de la retraite à 70 ans dès 2040.
Danemark. Le Parlement relève l’âge de la retraite à 70 ans dès 2040. La mesure s’appliquera aux personnes nées après 1970. L’âge de départ augmentera progressivement, 68 ans en 2030, puis 69 en 2035.
23:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Alice Weidel demande l'arrêt de l'évacuation vers l'Allemagne d'habitants de Gaza.
Allemagne. La coprésidente du parti patriotique AfD Alice Weidel demande l'arrêt de l'évacuation vers l'Allemagne d'habitants de Gaza.
14:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
Une journaliste patriote autrichienne voit son compte en banque être fermé.
Autriche. La journaliste de la chaîne patriotique de réinformation AUF1 Elsa Mittmannsgruber a vu son compte en banque être fermé sans aucun avertissement.
Elsa Mittmannsgruber
14:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Jenin, tension Italie-Israël"
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour sont consacrées à la situation au Proche-Orient « Gaza, l’attaque de Netanyahu » (Corriere della sera), « Israël tire, Gaza meurt » (Repubblica), « Jenin, tension Italie-Israël" (Stampa), « Crise Israël- Italie » (Giornale).
Ukraine. La Repubblica : « Il ne s’agit pas d’une seule rencontre au Vatican, mais d’une série de pourparlers de paix. En partant d’un format technique, avec des fonctionnaires russes et ukrainiens. Pour ensuite essayer d’élever le niveau aux ministres des Affaires étrangères et, enfin, à V. Zelensky et V. Poutine. À l’issue d’une nouvelle tournée d’appels téléphoniques promue par le Palais Chigi avec les chancelleries occidentales, on aperçoit des fragments d’une toile diplomatique. Même si, il faut le préciser, pour l’instant, le sommet reste avant tout une ambition. Giorgia Meloni y travaille. Conscient que la seule façon de ne pas échouer est de fermer rapidement le jeu. Pour cette raison, l’exécutif souhaiterait annoncer une date de début des négociations d’ici samedi. Et tenir le premier tour la semaine prochaine. C'est un parcours en pente ascendante, on l'a dit. Parce que cela dépend d’une variable ingérable : Moscou. Meloni entrevoit une lueur diplomatique à exploiter, après des semaines difficiles. Et elle a quatre étapes en tête. La première prévoit un nouveau cycle de consultations avec les principales chancelleries occidentales, d’ici demain : avec les grands européens (on attend un entretien avec Emmanuel Macron), Bruxelles, l’Ukraine et d’autres partenaires de l’OTAN comme la Turquie. Le deuxième acte sera un nouvel appel avec Donald Trump. Cela se produira très bientôt, pour boucler la boucle. À ce stade, la Présidente du Conseil mettra à jour le Saint-Siège et officialisera la date et le « format » : qui, en somme, s'assiéra à la table avec la Russie et l'Ukraine. Enfin, Moscou : la dernière étape est d’obtenir le feu vert de Poutine. Et c’est là que tout devient plus flou. ». Corriere della Sera : « Un premier round de négociations qui se tiendraient au Vatican, voici la stratégie de Meloni avec Washington et Bruxelles mais Moscou n’a pas encore donné son accord officiel et s’oppose à une présence des Européens aux pourparlers. Le succès de cette initiative demeure ainsi incertain ». La Stampa « le Vatican et le gouvernement italien se coordonnent : d’abord les aides humanitaires, puis la politique, avec la possibilité d’une paix par étapes. Il est possible de constater cependant les limites évidentes de la stratégie de Meloni : il faudra avant tout des délais longs pour arriver à cela et il est nécessaire de sortir de la logique des déclarations qui a caractérisé jusqu’à présent les efforts diplomatiques ». Messaggero : « La toile tissée par Giorgia Meloni sur l’Ukraine, impliquant aussi R.T. Erdogan” : “La stratégie aurait été évoquée au téléphone avec V. Zelensky lui-même et attribuerait au leader turc un rôle de médiateur. La Turquie reste l’un des seuls pays à avoir maintenu constamment ouvert les canaux diplomatiques avec Poutine comme avec Zelensky, et une position neutre et indépendante. La Turquie est devenue un allié aussi crucial qu’épineux pour Bruxelles, déterminant pour la sécurité du flan oriental. Les contacts entre Kiev en Ankara devraient reprendre bientôt, de même qu’entre la Turquie et l’Italie. Rome et Washington se sont par ailleurs entretenus, Giorgia Meloni faisant part des échanges avec Léon XIV qui accepte d’accueillir les négociations, après en avoir informé le groupe des ‘Volontaires’. Moscou émet des doutes quant aux négociations de paix au Vatican. Les chancelleries européennes craignent que Poutine n’accepte pas d’aller négocier au Vatican. Les prochaines 24 heures seront décisives concernant l’organisation ou non de ces pourparlers. » Quotidiano Nazionale, tribune de Piero Fassino (PD) ancien président de la commission affaires Etrangères « Rome-Paris et ces querelles de provinciaux » : « il y a une nervosité qui risque de perturber des relations qui sont en réalité stratégiques entre les deux pays. La France et l’Italie n’ont un poids en Europe et en politique étrangères que lorsqu’elles collaborent. Cela a été constaté sur le Next Generation EU où l’entente entre Rome et Paris (et Berlin) a surmonté les résistances des pays frugaux. Cela est d’autant plus vrai que l’Europe est appelée à se mesurer face à des défis cruciaux : le système de défense européen, la neutralité climatique, l’économie verte, les règles pour des échanges commerciaux transparents, le multilatéralisme fondé sur la démocratie et les droits, la société numérique et l’Intelligence Artificielle. »
Israël/Gaza. Repubblica : « Jénine, les tirs de l’IDF avec les diplomates en visite, les pays de l’UE furieux. Coups de semonce dans les airs à quelques pas de la délégation La Haute Représentante Kallas dénonce une « violation du droit international ». Parmi les fonctionnaires internationaux, il y avait également le vice-consul italien à Jérusalem, Alessandro Tutino. Une fois de retour au Consulat, il a rapporté les faits au ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani, qui l'avait appelé pour s'assurer de son état et obtenir des éclaircissements sur l'incident. « Les menaces contre les diplomates sont inacceptables. Nous demandons au gouvernement israélien de clarifier », a donc tonné le titulaire de la Farnesina sur X, convoquant immédiatement l’ambassadeur israélien en Italie. Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a fait de même. ». Corriere della Sera : « Un acte délibéré, selon la Palestine, ou un avertissement selon Israël. La double version des faits, mais les témoignages, y compris ceux du vice-consul italien Alessandro Tutino démentent la version de Tel-Aviv. ‘’personne de la délégation ne s’est éloigné du parcours prévu’’ assure le diplomate italien qui se trouvait sur place ». La Stampa : « au sein du gouvernement on ne cache plus l’irritation, le ton est de plus en plus dur mais quand il s’agit de prendre une position politique claire, au Parlement, l’exécutif ne change pas sa ligne et les ministres désertent la motion des oppositions contre Netanyahu ». Corriere della Sera : « « La catastrophe à Gaza enflamme aussi le Parlement italien. L'affrontement a atteint son azimut lorsque les leaders du Pd, Elly Schlein, du M5S, Giuseppe Conte, et du Avs, Nicola Fratoianni, qui avaient signé une motion unitaire condamnant le gouvernement israélien, rejetée par la Chambre, ont accusé Giorgia Meloni de « complicité avec les crimes de guerre et le génocide de Netanyahou ». Ils ont ensuite abandonné les travaux et rejoint la manifestation des associations et mouvements sur la place Montecitorio ». La Stampa « Les ministres du gouvernement désertent la Chambre, le jour où les oppositions présentent une motion unifiée contre B. Netanyahu. La dirigeante du PD E. Schlein dénonce ‘’l’immobilisme de Meloni nous rend tous des complices’’ »
Le rapport ISTAT. Corriere della Sera : « Pour trouver des informations positives, il faut aller les chercher très loin dans les pages du rapport Istat de cette année. Le PIB ralentit, le pouvoir d'achat des salaires réels a baissé de 10,5 % de 2019 à 2024. Un Italien sur quatre est en risque de pauvreté ou d'exclusion. La production industrielle a chuté de 4 % par rapport à 2023, où elle avait déjà baissé de deux points. En positif, il y a la « nette amélioration » des comptes publics avec la baisse de la dette nette de 7,2% à 3,4% du PIB. Il y a aussi l'emploi qui progresse, +1,5% en un an, mais la productivité baisse car il s'agit d'emplois à faible technologie et à forte intensité de main d'œuvre. Huit nouveaux salariés sur dix ont plus de 50 ans. Pour la première fois dans notre pays, le nombre de personnes âgées de plus de 80 ans a dépassé celui des enfants de moins de 10 ans. De peu (4,6 millions contre 4,3), mais c'est un chiffre qui s'ajoute au bilan négatif des naissances (en 2024 seulement 370.000 contre 651.000 décès) et aussi à celui du taux de natalité, 1,18 enfant par femme. ».
Défense. Il Foglio : « Après l’appel du ministre Crosetto (Frères d’Italie) et celui du Chef d’Etat-Major Portolano sur la nécessité de l’Italie de se doter d’un nouveau système antimissile, c’est au tour d’Antonino Minardo (Ligue). Selon le président de la commission parlementaire pour la défense, l’« Iron Dome » est « un projet qui est nécessaire. Pour l’Italie, ce n’est pas un mais une nécessité dans le cadre géopolitique actuel : nous disposons de 5 Samp-T dont 2 seulement sont au service de l’Italie actuellement ». Ce serait ainsi un dispositif de dissuasion aérienne. Minardo rappelle qu’avec l’Iron Dome, ‘’Israël parvient à éliminer toute menace venant du ciel alors que Kiev a des défenses limitées’’. ‘’Cela serait valable aussi pour toute l’Europe, je crois’’ ajoute-t-il ».
Messaggero Antonio Tajani (Forza Italia), ministre des Affaires étrangères et vice-Président du Conseil « Que Benjamin Netanyahou fasse maintenant taire les bombes, oui à une Palestine sans le Hamas. » Q : Le Sommet de Tirana sans l’Italie a fait parler. Macron tente d’isoler Meloni ? L’Italie n’a jamais été exclue, nous sommes considérés par tous comme un interlocuteur clef, à commencer par les Etats-Unis, F. Merz et K. Starmer. Giorgia Meloni et Emmanuel Macron se sont entretenus ensuite. Q : Vous ne craignez donc pas de coup bas de la France ? Il n’est pas possible de faire les choses sans l’Italie. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
13:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
La Cour constitutionnelle rejette la demande de George Simion d'annuler le résultat des élections présidentielles.
Roumanie. La Cour constitutionnelle rejette la demande du nationaliste George Simion d'annuler le résultat des élections présidentielles en raison de l'ingérence française et moldave et de la fraude électorale.
12:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
21/05/2025
L'AfD et le BSW massivement discriminés par la télévision publique.
Allemagne. Le parti patriotique AfD et la gauche anti-immigration BSW sont massivement discriminés par la télévision publique. Entre les élections de février et le 15 mai, l'AfD, arrivée deuxième lors du scrutin, n'est passée qu'une fois dans une émission-débat et le BSW deux fois.
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
Grüne : écologistes
Die Linke : post-communistes
AfD : patriotes
BSW : gauche anti-immigration
FDP : libéraux
18:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD privée de la présidence de la Commission du Budget.
Allemagne. Alors que la présidence de la Commission du Budget revient traditionnellement au premier parti d'opposition, Ulrike Schielke-Ziesing de l’AfD n’a pas été élue car les autres partis ont décidé d’écarter les élus de l’AfD des présidences et des vice-présidences des commissions.
Ulrike Schielke-Ziesing
17:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
Alice Weidel : "Depuis sept ans, la vice-présidence de la Chambre des députés auquel l’AfD a droit lui est refusée."
Allemagne. La coprésidente de l’AfD Alice Weidel : « Depuis sept ans, la vice-présidence de la Chambre des députés à laquelle l’AfD a droit lui est refusée. »
17:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Sommet sur l'Ukraine, Meloni parle au Pape."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur les négociations de paix « Trêve, Poutine résiste à Trump » (Corriere della sera), « Sommet sur l'Ukraine, Meloni parle au Pape » (Repubblica), « Paix en Ukraine, le plan Meloni » (Stampa), « Kiev, Meloni parle au Pape » (Messaggero), « « Une paix juste pour Kiev », le Pape confirme sa disponibilité pour accueillir les colloques de paix » (Avvenire) et les faits divers.
Ukraine. Corriere della Sera : « « La Présidente du Conseil a également eu des contacts téléphoniques directs avec chacun des principaux acteurs impliqués dans les échanges diplomatiques de ces dernières heures : elle s'est entretenue avec Macron, Merz, le Finlandais Stubb, le Premier ministre britannique Starmer et la présidente de la Commission européenne von der Leyen. « Il a été convenu de maintenir une coordination étroite en vue d'un nouveau cycle de négociations pour un cessez-le-feu et un accord de paix en Ukraine », fait savoir le Palais Chigi par le biais d’un communiqué. Maintenant, Meloni est à nouveau au cœur d’un réseau complexe d’efforts diplomatiques. Le Palais Chigi ne cache pas avoir exercé une « moral suasion » sur la Maison Blanche afin d’inclure les sommets de l’UE dans les consultations concernant l’Ukraine ». La Stampa : « Selon notre quotidien, au cours de cet entretien téléphonique [avec Trump], l'Italie, avec le soutien de l'Allemagne, aurait avancé l'idée de créer « une sorte de collège arbitral ». Un organisme chargé d'analyser, sans préjugés idéologiques, le « mémorandum de paix » que Moscou entend mettre sur la table pour relancer le dialogue. L'objectif est toutefois d'examiner les conditions avant qu'elles ne soient soumises à Kiev. Il s'agit d'évaluer au préalable leur acceptabilité et, si nécessaire, de les rejeter, afin d'éviter qu'un éventuel refus ukrainien ne soit mal interprété. En d'autres termes, il faut éviter que Trump y voie la véritable cause de la prolongation du conflit. En somme, il faut un juge. Une figure qui puisse en quelque sorte se dire tierce, capable non seulement de neutraliser les mouvements du Kremlin, mais aussi d'adoucir ou de désamorcer les réactions imprévisibles du magnat américain, qui inquiètent beaucoup la Présidente du Conseil et les autres dirigeants réunis lundi. Mais il est évident que, pour parvenir à un compromis, il faut d'abord réparer la fracture entre Meloni et Macron, qui s'est rouverte avec les accusations de « personnalisation », dans la direction des « Volontaires » adressées au Français, et avec la tentative menée par l'Italienne de délégitimer les actions de la coalition. ». Messaggero : « La Présidente du Conseil accélère maintenant : l’objectif est d’organiser un sommet sur la reconstruction, avec des négociations déjà en cours ». « Après quelques couacs ces dernières semaines dont ont profité les oppositions, Giorgia Meloni est de retour dans le jeu grâce à la main tendue de Donald Trump. La Présidente du Conseil italienne se place désormais fermement à la tête du processus pour la paix, profitant notamment du rôle du Saint-Siège, possible théâtre des négociations entre Moscou et Kiev. Meloni, après avoir encaissé le croche-pied d’Emmanuel Macron - avec une bataille à travers la presse – revendique maintenant le rôle de protagoniste. Et ce rôle d’intermédiaire entre les États-Unis et l’UE sur lequel elle travaille depuis avant même que Trump ne reconquière la Maison Blanche, lorsque la victoire du républicain était déjà dans l’air. Malgré tout, la crainte que V. Poutine puisse tout envoyer en l’air persiste. Toutefois ‘dire non au Pape n’est pas simple, ce serait très compliqué pour Poutine de se défiler’ estiment des sources diplomatiques. Plus de 3000 participants de plus de 90 pays sont attendus à Rome les 10 et 11 juillet pour la Ukraine Recovery Conference. La conférence sera ouverte par Giorgia Meloni, V. Zelensky et U. von der Leyen et la possibilité que D. Trump participe reste sous-jacente. » Messaggero : « Lors de l’entretien téléphonique ce lundi avec Donald Trump, l’UE fait pression : ‘nous aussi nous devons être à la table des négociations’ » : « Lors de l’appel lundi entre D. Trump, Macron, Merz, Meloni et von der Leyen, certains sont décontenancés par le ton employé, complètement différent de la veille. Trump est optimiste, expliquant que Poutine ‘veut négocier’, que ‘sanctionner le Kremlin n’est pas une bonne idée’, d’après Axios. Les Européens ne se démontent pas et la Présidente du Conseil italien propose un cessez-le-feu ‘d’au moins deux semaines’ comme condition préalable aux négociations. Le chancelier F. Merz émet des doutes et éperonne lui aussi le Président américain. Ce qu’a obtenu Trump par téléphone est en réalité un pas en avant mais ne suffit pas. Le visage de V. Zelesnky est fermé, méfiant. D. Trump, déjà irrité, ne veut pas entendre trop d’histoires. Les leaders européens s’accordent sur un point : le Vatican est le lieu adapté pour le prochain round de négociations de paix. L’Italie fait pression en ce sens et Trump accepte volontiers. Sur le reste le flou demeure, notamment sur le rôle de l’Europe à la table des négociations. Si l’Italie a déjà garanti sa place, Macron, Merz et Starmer revendiquent plus que les autres les énormes efforts financiers de soutien à l’Ukraine depuis trois ans. C’est à nouveau Meloni et Merz qui insistent auprès de Trump sur la participation des Européens. ‘Il faut un juge’ insiste Meloni. ». Domani « La chamaillerie entre la Présidente du Conseil et le Chef de l’Elysée n’est que le dernier épisode d’une histoire qui dure depuis longtemps. Malheureusement, Rome et Paris ne s’entendent pas. Rares ont été les moments heureux de collaboration. C’est une forme de compétition politique et diplomatique qu’il serait temps de surmonter »
Déplacement du Chef de l’Etat S. Mattarella à Bruxelles. Corriere della Sera : « Les « conseils » du Président Mattarella, il est crucial pour l’UE de récupérer le lien euro-atlantique. Le président de la République ne voit aucune alternative au « pacte » qui lie depuis des décennies l'Europe aux États-Unis et encourage le renforcement de cet axe historique, que la bataille sur les droits de douane déclenchée par la Maison Blanche semblait avoir mis en péril. En rencontrant le Président du Conseil Européen Costa, Mattarella a appelé à ouvrir des voies d'immigration régulière et à lutter contre les trafiquants d'êtres humains ».
L’Italie et Israël. La Repubblica : « Pour la première fois, l'UE prend ouvertement position contre le gouvernement israélien et surtout contre les attaques, les bombardements et le blocus de l'aide à Gaza entrepris par Netanyahu. C’est toutefois une décision qui divise l’UE. Neuf pays, dont aussi l’Italie, ont voté contre ».
L’Italie et l’OMS : La Stampa : « L’Italie se défile et ne vote pas le plan de l’OMS avec la Russie et l’Iran. Bien que le plan ait été dilué, excluant l’imposition aux pays adhérant d’un confinement en cas de pandémie, l’Italie a décidé de ne pas le voter. Le ministre de la Santé Orazio Schillaci (indépendant) a expliqué cette décision en évoquant la nécessité que ‘’ L'Italie entend réaffirmer sa position quant à la nécessité de réaffirmer la souveraineté des États dans la gestion des questions de santé publique’’. Le message politique que la majorité de droite italienne laisse passer est qu’elle n’a pas confiance en l’OMS. La Ligue contexte ouvertement son rôle et sa légitimité au point de souhaiter une sortie de l’Italie de l’Organisation. Le soupçon, alimenté depuis longtemps par les secteurs anti-Vax et les milieux souverainistes, est que l’accord puisse représenter un cheval de Troie pour « vendre » la souveraineté nationale au nom d’un « gouvernement sanitaire mondial » ». Il Foglio « la piètre figure de l’Italie avec l’OMS. Une décision difficile à expliquer, mais qui n'est pas tout à fait inattendue. Des doutes sur le traité avaient déjà été soulevés à plusieurs reprises au cours de l'année dernière par le gouvernement Meloni. À cela s'ajoutait la forte pression de la Ligue, qui s'était intensifiée ces derniers mois après la décision du président Trump de retirer les États-Unis de l'OMS. À tel point que le parti de Salvini était allé jusqu'à déposer au Parlement des amendements et des propositions de loi visant à faire sortir l'Italie de l'OMS ».
Fin de vie. Sole 24 Ore « La Cour Constitutionnelle intervient pour la troisième fois sur le sujet, en remplissant de fait un vide législatif qui demeure depuis désormais 5 ans. Les juges constitutionnels font pression sur le monde politique pour qu’il intervienne, mais la loi est encore au point mort. ‘’ Il n'est pas contraire à la Constitution de subordonner la non-punissabilité de l'aide au suicide à la condition que le patient ait besoin d'un traitement de maintien en vie. Toutefois, la possibilité d'accéder à l'aide à mourir doit être garantie, même au malade qui refuse les traitements de maintien en vie considérés par les médecins comme nécessaires à l'exercice des fonctions vitales’’ fait savoir la Cour Constitutionnelle ».
Corriere della Sera, Guido Crosetto (Frères d’Italie) ministre de la Défense : « Il faut que l’ONU redevienne centrale si l’on veut éviter que le jeu soit uniquement dans les mains de trois superpuissances : les Etats-Unis, la Russie et Chine. Et c'est une réussite que l'Allemagne propose aujourd'hui un plan qui correspond exactement à ce que nous proposons depuis des mois : il faut impliquer l'ONU, grande absente, et lui redonner son rôle de lieu où l'on se parle et où l'on se confronte tous ensemble. Une force de paix de l'ONU impliquerait et rassurerait tout le monde. […] Pour avoir une Europe de la défense intégrée, il faudra peut-être 7 ou 10 ans mais cela est indispensable. Il faut être en mesure d’agir concrètement et pas uniquement avec les déclarations. Une défense européenne que j’imagine continentale et pas uniquement limitée à 27, élargie à d’autres pays comme par exemple le Royaume-Uni, la Norvège, la Turquie et les Pays Balkaniques, qu’il ne faut pas laisser à la Russie. […] Concernant l’Ukraine : il faut agir avec sang-froid dans l'intérêt de la paix, sans qu'il soit nécessaire de faire une compétition entre les dirigeants pour voir qui franchira la ligne d'arrivée en premier. C'est ce que fait, et bien, Giorgia Meloni dans son rôle de médiatrice avec les États-Unis, se montrant la plus sérieuse de tous, à l'égard de l'Europe, et la moins égoïste. Sur l’engagement à l’égard de Kiev, il existe différentes visions. Macron a la sienne, nous avons la nôtre. Nous pensons que toute l'Europe doit être impliquée, et pas seulement certains pays. En effet, Meloni a favorisé le rapprochement entre Trump et von der Leyen, qui représente l'Europe tout entière. C'est un travail précieux. Tous les pays ont pour objectif la paix entre la Russie et l'Ukraine, qui passe par un cessez-le-feu, un processus de paix et la stabilisation de la paix. Mais restons vigilants. Ce n'est pas parce que les armes se tairont que la Russie cessera d'augmenter sa puissance militaire. […] Quand je parle de défense européenne, je ne parle pas de la création d'une armée ad hoc, mais de l'intégration des forces armées nationales déjà existantes, qui opèrent déjà souvent de concert, mais qui devraient être de plus en plus interconnectées et disposer de leur propre commandement, comme c'est déjà le cas au sein de l'OTAN. Mais avant que cela ne devienne une réalité opérationnelle efficace, toutes les forces doivent être mises en place, de l'armement à la cybersécurité, car aujourd'hui, nous dépendons des États-Unis, qui ont des années-lumière d'avance sur nous. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Saxe : l'AfD rejette la demande d’une procédure d’interdiction à l’encontre de Freie Sachsen.
Allemagne. Saxe. Le groupe des élus du parti nationaliste AfD au Parlement de Saxe rejette la demande d’une procédure d’interdiction à l’encontre du parti nationaliste plus radical Freie Sachsen.
13:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
20/05/2025
Pavel Durov, le fondateur de Telegram, est prêt à se rendre en Roumanie pour témoigner de l’ingérence française dans l’élection roumaine.
Roumanie, France, Russie. Pavel Durov, le fondateur de Telegram, est prêt à se rendre en Roumanie pour témoigner de l’ingérence française dans l’élection roumaine.
23:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
George Simion a officiellement demandé à la Cour constitutionnelle d’annuler les élections présidentielles.
Roumanie. Le nationaliste George Simion a officiellement demandé à la Cour constitutionnelle d’annuler les élections présidentielles, à cause d’interférences étatiques et non-étatiques.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/05/18/le-...)
19:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
La CDU/CSU n'acceptera pas l'élection de candidats de l'AfD à la présidence et à la vice-présidence des commissions de la Chambre des députés.
Allemagne. Le chef du groupe parlementaire des démocrates-chrétiens de la CDU et des sociaux-chrétiens de la CSU annonce que ces deux partis n'accepteront pas l'élection de candidats du parti patriotique AfD à la présidence et à la vice-présidence des commissions de la Chambre des députés.
18:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les plus de 150 députés de l'AfD ont été contraints de se réunir dans une salle trop petite.
Allemagne. Les plus de 150 députés de l'AfD ont été contraints de se réunir, pour la réunion de groupe, dans une salle trop petite, au sein des bâtiments parlementaires, et l'ont donc quittée.
18:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
Alexander Dobrindt qualifie le rapport de l'Office fédéral de protection de la Constitution sur l'AfD d'insuffisant.
Allemagne. Le ministre social-chrétien CSU fédéral de l'Intérieur Alexander Dobrindt qualifie le rapport de l'Office fédéral de protection de la Constitution sur l'AfD d'insuffisant pour une procédure d'interdiction de parti.
16:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
L’AfD du Brandebourg poursuit l’Office du Brandebourg de protection de la Constitution.
Allemagne. Brandebourg. L’AfD du Brandebourg poursuit en justice l’Office du Brandebourg de protection de la Constitution pour l’avoir classée « extrémiste de droite avéré ».
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/05/07/l-a...)
15:58 | Lien permanent | Commentaires (0)