Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

28/06/2025

"Un groupe de Syriens harcèle sexuellement 9 filles."

AfD.jpg

Allemagne.

AfD 1.png

"Un groupe de Syriens harcèle sexuellement 9 filles. Expulser immédiatement les auteurs des faits !"

27/06/2025

46 % des électeurs de l'AfD et 14 % de ceux du BSW sont pour une forte augmentation des dépenses militaires.

AfD.jpg

BSW.jpg

CSU.jpg

Allemagne. Les électeurs des patriotes de l'AfD, des post-communistes de Die Linke et de la gauche anti-immigration BSW sont les moins favorables à une forte augmentation des dépenses militaires en vue d'atteindre l'objectif des 5 % de l'OTAN.

AfD 1.jpeg

Tous :

Oui

Non

 

Oui :

CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens

AfD : patriotes

SPD : sociaux-démocrates

Grüne : écologistes

Die Linke : post-communistes

BSW : gauche anti-immigration

FDP : libéraux

"Droits de douane, les négociations repartent."

FI-AN.jpg

Ligue.jpg

Italie. Revue de presse.

Les Unes du jour portent sur le Conseil européen et les propos de D. Trump sur les droits de douane « Gaza divise l'UE, sur les droits de douane, maintenant Trump se dit ouvert à un renvoi » (Corriere della Sera), « Droits de douane UE, augmentation repoussée » (Repubblica), « Sanctions contre Israël, l'UE se déchire » (Stampa), « Droits de douane, les négociations repartent » (Messaggero).

Pacte de StabilitéRepubblica : « Pour Giorgia Meloni ‘Pedro Sanchez se trompe’. Quant au Pacte de stabilité, il n’est ‘pas adapté’ ». « Pour la Première ministre italienne, ‘ce serait une énorme erreur de ne pas renouveler les accords de coopération entre Tel Aviv et l’UE’ car Bruxelles se ‘résignerait ainsi à ne pas peser’. Malgré les pressions de plusieurs leaders européens, elle ne prend pas complètement ses distances d’Israël. Sanchez est loin d’être isolé et même la France serait prête à franchir le grand pas. Mais le chancelier F. Merz freine de façon marquée, et Giorgia Meloni aussi. Au Palais Chigi, il est clair que la perception des actions d’Israël est si négative qu’elle met à mal également la popularité de ses soutiens. ‘La situation humanitaire sur la Bande est injustifiable’ ajoute G. Meloni. Mais Rome ne rompra pas avec Tel Aviv, et certainement pas tant que Berlin maintiendra également cette position. Les règles budgétaires sont quant à elles à ‘mettre à jour en tenant compte du contexte géopolitique’ et de la situation des droits de douane. Pour Giorgia Meloni, le mécanisme SAFE prend part à un ‘changement de cap important’ mais ne suffit pas. »

IsraëlCorriere della Sera « l’entente Meloni-Merz pour freiner les pays demandant des sanctions contre Israël » : « le poids spécifique des deux pays fondateurs a été sans doute décisif dans le gel de la proposition espagnole et dans le report de la décision autour de possibles sanctions contre Tel Aviv pour ses actions dans la Bande de Gaza. Meloni a exprimé son désaccord sur l’hypothèse de suspendre l’accord existant entre l’UE et l’Etat Hébreux ‘’cela pourrait contribuer à isoler Israël, ce qui représente l’objectif du fondamentalisme islamique à commencer par le Hamas’’ »

ImmigrationSole 24 Ore : « immigration, l’alliance avec Merz contre la Cour de Strasbourg, l’Allemagne s’ajoute au groupe des pays demandant des « solutions innovatrices » et une confrontation avec la Cour pour des interprétations moins restrictives de la Convention européenne pour les Etats nationaux ». Corriere della Sera : « Lors d’une nouvelle réunion informelle avec les pays les plus impliqués en termes d’immigration, un groupe soutenu par l’Italie et le Danemark, figurait pour la première fois également l’Allemagne ». Stampa « La moitié de l’Europe est avec Meloni » : « La présidente du Conseil a eu le mérite et le réflexe d’avancer des propositions imprudentes, comme la construction de centre en Albanie sur la base d’un accord directe avec Rama, avec des modifications continues du dispositif en raison des objections de la magistrature italienne et en attente que la Cour de Justice européenne se prononce, afin d’obtenir une pleine légitimation. Quelques 14 pays ont participé à la rencontre informelle sur l’immigration, soit la moitié des 27 »  

France. Stampa « Ce rapport amour-haine entre Trump et Macron » « à la fin c’est toujours Macron que Trump cherche quand il veut parler aux Européens. Selon des sources de l’Elysée, les deux dirigeants avanceront avec une « coopération étroite » sur les dossiers Ukraine et Moyen-Orient. Le président français est le seul parmi les 27 à être capable de l'affronter ouvertement et qui mérite donc estime et respect. Un style que Trump semble apprécier, semble-t-il. Alors que le Chancelier allemand Friedrich Merz semble se rallier à Washington et que la présidente du Conseil Meloni est toujours suspendue sur son pont imaginaire qui devrait relier les États-Unis à l'UE, Macron encaisse et répond. Sur les droits de douane, Macron préfère attendre la proposition américaine et l’accord que sera trouvé avec von der Leyen, avant de donner son feu vert. Macron semble représenter, pour Trump qui demande un référent unique dans les négociations et qui déteste les lenteurs bureaucratiques, la meilleure réponse. C’est un rapport, alterné de coups bas et de réconciliations, qui est destiné à durer encore longtemps »  

Réarmement. Corriere della Sera « un coup à hauteur de 450 milliards pour la défense » : « Pour atteindre l’objectif des 5% du PIB, l'Italie devrait augmenter son budget annuel consacré à la défense et à la sécurité, qui passerait ainsi de 46 milliards d'euros actuellement (soit 2 % du PIB) à 110 milliards d'euros. Les dépenses totales consacrées à l'armement au cours de la décennie doubleraient pour atteindre près de 900 milliards. Selon Meloni, cet engagement serait « significatif mais soutenable » tout en assurant que « aucun euro ne sera enlevé aux priorités des Italiens ». C’est une tâche très difficile, car l’impact sur le choix des comptes publics italiens encore fragiles risque d’être lourd. C’est du moins ce qu’estiment la Banque d’Italie, la Cour des Comptes et la BCE. Des inquiétudes partagées aussi par le ministre de l’Economie Giorgetti selon lequel les règles européennes n’aident pas » Selon l’économiste Giulio Tremonti « les émissions européennes sont nécessaires, l’Allemagne aussi aura des difficultés à y arriver toute seule » ». Stampa « L’UE sans troupes et sans défenses aériennes, l’Italie pense recruter 40 000 soldats » : « Pour l'Italie, on envisage le recrutement de 40 000 soldats supplémentaires, hommes et femmes, mais aussi une réserve d'au moins 10 000 anciens militaires, fraîchement formés et rapidement mobilisables en cas de besoin. Pour les équiper correctement, une commande a été confiée à un consortium italo-allemand entre Leonardo et Rheinmetall : 300 chars d'assaut et 1 000 véhicules blindés pour le transport de troupes, qui seront construits dans une usine à La Spezia, pour un coût estimé à environ 10 milliards d'euros répartis sur plusieurs années. » 

Troisième mandat. Messaggero « L'amendement de la Ligue visant à permettre un troisième mandat, notamment pour permettre à Luca Zaia (Vénétie) de se représenter, a été rejeté au Sénat, provoquant de l'amertume parmi les membres du parti. Les tensions au sein de la coalition gouvernementale se sont confirmées, notamment avec Forza Italia, qui s'est opposé à la proposition, et Fratelli d'Italia (FdI), dont la majorité des membres ont également voté contre, malgré quelques abstentions ». Foglio « les conséquences plus larges de cet échec législatif pour l'avenir politique de la Ligue, qui risque de perdre ses ancrages territoriaux. C’est une possible perte d'influence, d’où la nécessité pour le parti de se réinventer : de parti du Nord, désormais la Ligue s’est transformée en un centre de liaison du pouvoir ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Reform UK de Nigel Farage donné à 30 %.

Reform UK.jpg

Royaume-Uni.

Reform UK.jpg

Reform UK : patriotes

travaillistes

conservateurs

libéraux-démocrates

écologistes

SNP : indépendantistes écossais

autres 

Plaid Cymru : indépendantistes gallois

Blocages hongrois et slovaques au sein de l'UE.

Fidesz.png

SMER.jpg

Hongrie et UE. Le blocage hongrois de l'adhésion de l'Ukraine à l'Union européenne n'a pas pu être surmonté lors du sommet européen de ce jeudi. Le 18e paquet de sanctions contre la Russie n'a pas non plus été adopté, car il est boycotté par la Hongrie et par la Slovaquie.

26/06/2025

HC Strache organise une conférence internationale le 5 juillet 2025 à Vienne.

Team HC Strache.png

Autriche. HC Strache organise le 5 juillet 2025 à Vienne une conférence internationale avec des élus et influenceurs issus d'Allemagne, des Pays-Bas, de Belgique, de Hongrie et des États-Unis.

La rassemblement annuel de la Ligue à Pontida aura lieu le 21 septembre 2025.

Ligue.jpg

Italie.

Pontida.jpeg

"Concernant les droits de douane, Meloni affiche un optimisme prudent."

FI-AN.jpg

Ligue.jpg

Italie. Revue de presse.

Les Unes du jour portent sur le sommet de l'OTAN « Oui aux dépenses OTAN, le show de Trump » (Corriere della sera), « Les dépenses militaires doublent » (Repubblica), « OTAN, Trump passe à la caisse » (Stampa), « OTAN, accord sur les armes » (Messaggero), « L'Europe se réarme » (Giornale, Avvenire).

Corriere della Sera « Meloni se dit « fière » du résultat obtenu grâce à l'accord entre les pays de l'OTAN, nie qu'une partie de la majorité, la Ligue en tête, puisse ne pas être favorable à l'augmentation des dépenses militaires (« il me semble que nous étions tous d'accord au Parlement »), mais souligne surtout les aspects géopolitiques du débat qui touche à sa fin : le « message le plus important » qui en ressort est donc celui d'une « alliance compacte » dont les membres « veulent se renforcer ». Selon Meloni, cette nouvelle part des dépenses publiques, qui augmentera progressivement pendant dix ans, aura un effet vertueux : « Une partie importante de ces ressources servira à renforcer les entreprises italiennes, ce qui créera une politique économique expansionniste génératrice de ressources ». Messaggero : « Meloni quitte le sommet OTAN, entre temps, avec un soupir de soulagement. Trump n’a pas fait de scène, comme pourtant on se l’attendait, aussi à Rome. Et il a quitté le sommet avec l’accord italien, un signal fort de solidarité envers Volodymyr Zelensky (…). Durant le conclave des leaders, Meloni s’ancre dans une analyse sur l’évolution des guerres et des menaces. « En Ukraine, nous avons vu des drones à peine développés qui abattent des dispositifs bien plus onéreux, nous devons nous concentrer sur la résilience des infrastructures cyber et des frontières, et sur l’innovation. Les données peuvent être bien plus létales que les projectiles ». Il y a le temps, devant les Alliés, de sonner l’alarme sur le front Sud. « En Afrique, la Chine gagne du terrain et en Libye c’est la Russie. » Quant à la défense européenne, la première ministre freine sur l’activation de la clause de sauvegarde : « Nous ne l’utiliserons pas en 2026, ensuite, nous verrons ». Tout comme le projet d’une défense commune européenne : « nous sommes dans l’OTAN, qui se base sur les armées nationales ». Meloni promet à l’Alliance atlantique que « l’Italie respectera ses engagements ». Et elle cite Thatcher : « la justice de notre cause ne sera pas défendue avec les paroles, mais par la force de notre défense ». »

Stampa « l’augmentation des dépenses de l’Italie commencera en 2027, dans les détails des normes européennes se cache l’alibi pour reporter la décision ».

Foglio « Meloni obtient l’engagement américain pour l’Ukraine et une nomination italienne pour le flanc Sud, À La Haye, l'Italie a de nouveau promu la nomination d'un Italien, qui pourrait se concrétiser, même si l'on ne sait pas encore dans quelle fonction ».

Repubblica : « [G. Meloni] en appelle aux Etats-Unis avec E. Macron : ‘une guerre entre nous n’aurait pas de sens’ ». « Au sujet des droits de douane, les deux leaders et R.T. Erdogan s’adressent à D. Trump en marge du sommet à La Haye pour dire qu’ils ne sont ‘pas des ennemis’. E. Macron s’expose en premier suivi par la Présidente du Conseil italienne, qui s’inscrit sur la même ligne que le président français, à la surprise de certaines chancelleries. D. Trump écoute, pour une fois il se contient, cela aurait pu être pire. L’idée est que ‘les dépenses de 5% du PIB pour la défense et les droits de douane constituent un tout’, à voir si elle est bien passée auprès de D. Trump. E. Macron, qui se pose en chef de file des partenaires européens pour mener la bataille dans les prochaines semaines a l’intention de poser à nouveau le problème en Conseil européen, pointant du doigt l’obstacle : Trump. La tension est très forte, peu parient sur un accord d’ici le 9 juillet. Meloni restera prudente pour préserver la relation avec Washington mais les convergences avec E. Macron sur divers dossiers se multiplient, et elle l’a invité à Rome pour la conférence sur la reconstruction de l’Ukraine, en juillet. A la surprise générale, le président français pourrait accepter. »

Corriere della Sera « Concernant les droits de douane, Meloni affiche un optimisme prudent. Le Message que Meloni veut donner est le suivant « si nous sommes unis sur la défense, il ne peut y avoir de compétition sur les droits de douane ». Trump regarde Giorgia et acquiesce. Heureusement. La Présidente du Conseil déclare qu'en échange, parallèlement à tout cela, l'Europe devra bien sûr jouer son rôle « pour construire un véritable pilier alternatif solide à l'OTAN, avec des instruments financiers ambitieux et innovants ». La posture de Donald se détend encore davantage ».

Messaggero : « Quant à l’Italie, la discussion avec les Etats-Unis est en cours, dit Meloni, confiante sur une entente à l’horizon. Sur le droit de douane à 10%, « je suis assez d’accord – commence-t-elle -, parce que je ne pense pas que pour nous, pour nos entreprises, ce soit particulièrement impactant ». (…) Sur la même longueur d’onde, le ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani qui, fort d’un long appel avec le commissaire européen Maros Sefcovic, voit l’accord à 10% comme « possible » (…). Même la première ministre italienne considère les deux parties - défense et droits de douane- comme un Janus à double front que tout tient ensemble. Voilà pourquoi elle considère l’entente rejointe à la Haye, et qui a mis de bonne humeur Trump, comme décisive pour sceller un accord sur les droits de douane : « le moment est maintenant, il faut battre le fer tant qu’il est encore chaud », raisonne-t-elle avec ses proches. Etant donné que, avec Donald Trump, le vent peut tourner en un instant, avec un retour à la case départ comme un jeu de l’oie infini. »

Stampa « Meloni se plie à Trump : la présidente du Conseil sera ainsi le premier dirigeant européen à se dire favorable à des tarifs commerciaux à hauteur de 5% du PIB ». Meloni dévoile très peu de sa discussion avec Trump de mardi soir, elle se limite à dire que « un dialogue est en cours », en éclatant d'un rire qui trahit toute la difficulté des négociations. Aujourd’hui à Bruxelles se réunira le Conseil Européen et il n’est pas dit que les 27 en sortiront unis. Quant à Emmanuel Macron, il a qualifié la menace de Trump sur l’Espagne d’« aberration » et est revenu sur la nécessité d’arriver à une paix commerciale. Le président français évite, à ce stade, de s’engager comme l’a fait en revanche Meloni : c’est une résistance qui apparait comme une stratégie et qui pourrait aujourd’hui faire converger encore une fois une partie du Conseil Européen ».

MigrationRepubblica : « Fratelli d’Italia conteste les règles européennes sur les rapatriements, l’Allemagne suspend les fonds pour les rapatriements » : « Après avoir dans l’ensemble approuvé la nouvelle proposition de règlement européen pour les rapatriements à la Chambre, la majorité a changé d’avis au Sénat. Pourtant, de nombreuses revendications des gouvernements de droite avaient déjà été prises en compte. Fratelli d’Italia a présenté une résolution pour accélérer les délais de rapatriements et éviter un ‘excès de bureaucratie’. Le même jour, le gouvernement allemand annonce interrompre les financements aux ONG qui secourent les migrants en Méditerranée. G. Meloni s’en félicite, constatant que ‘nous sommes un modèle au niveau international en matière de lutte contre l’immigration’ et que ‘même l’Allemagne suit la ligne du gouvernement Meloni’ en la matière. »

Corriere della Sera : « La majorité reconnait que faire du forçage sur les réformes telles que le Premierato (l’élection directe du président du Conseil) et la séparation des carrières des juges peut représenter un danger et le report de celles-ci des travaux parlementaires éloigne par conséquent aussi les référendums constitutionnels qui dériveront de leur adoption. L’échec des derniers référendums tenus début juin représente un avertissement pour le gouvernement. Sur le Premierato, Meloni a déjà dit que cela existait déjà de fait, en raison de la solidité de sa majorité en tant que garantie de survie »

Stampa : « La coalition de droite est toujours divisée et sur le texte de la Ligue proposant d’élever à trois la limite des mandats des présidents de région, on assiste au dernier acte. Fratelli d’Italia met la Ligue au pied du mur : Donzelli a annoncé en Commission Affaires Constitutionnelle le « coup de frein » de son parti sur le texte de Salvini « nous ne le voterons pas ». En effet, le parti de Meloni, sans un accord préalable entre les deux autres alliés (FI et Ligue) s’oppose de voter l’amendement salvinien. Le rêve de la Ligue est donc voué à l’échec. Salvini ne peut ni contenter l’aile vénitienne de Luca Zaia, président sortant, ni ouvrir publiquement une faille avec sa majorité ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Geert Wilders et Donald Trump.

PVV.jpg

Pays-Bas et USA. Le président du PVV Geert Wilders et Donald Trump se sont rencontrés à La Haye lors du sommet de l'OTAN.

Wilders Trump.jpeg

Geert Wilders et Donald Trump

Pologne : le gouvernement tente de faire annuler la victoire du président élu.

PiS.jpg

Pologne. Depuis trois semaines, le gouvernement tente de faire annuler la victoire du président élu soutenu par Droit et justice (PiS) Karol Nawrocki. Le Premier ministre libéral Donald Tusk exige un recomptage des résultats du second tour.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/06/17/pol...)

Brandebourg : l'AfD est donnée à 32 % et le BSW à 9 %.

AfD.jpg

BSW.jpg

Allemagne. Brandebourg. [Les prochaines élections pour le Parlement du Brandebourg sont prévues en 2029.]

(https://www.wahlrecht.de/umfragen/landtage/brandenburg.htm)

Brandebourg.png

SPD : sociaux-démocrates

AfD : nationalistes

BSW : gauche anti-immigration

CDU : démocrates-chrétiens

Grüne : écologistes

Die Linke : post-communistes

Sonstige : autres

Mari Rantanen : "Notre objectif est zéro demandeur d'asile."

Vrais Finlandais.jpg

Finlande. Le ministre de l’Intérieur du parti patriotique (Vrais) Finlandais Mari Rantanen déclare : « Notre objectif est zéro demandeur d'asile. »

25/06/2025

"Meloni peut se réjouir du fait qu’elle ait été l’un des rares dirigeants européens invités à la table du roi des Pays-Bas, assise à côté de Trump."

FI-AN.jpg

Ligue.jpg

Italie. Revue de presse.

Les Unes du jour portent sur la situation au Moyen-Orient et la trêve obtenue par D. Trump « Israël et Iran : « la guerre est finie » » (Corriere della sera), « Iran-Israël, la trêve règne » (Repubblica), « Téhéran, la trêve fragile » (Messaggero), « la guerre est finie » (Giornale) et le sommet de l'OTAN « Armes, l'UE s'incline devant Trump » (Stampa).

Le sommet de l’OTAN/Trump. Sole 24 Ore : « Le passage le plus significatif est celui sur la défense européenne. Aussi car il arrive à la veille du Conseil européen de demain, juste après le sommet de la Haye. Meloni le rejette : « le système occidental de défense est basé sur l’OTAN où il n’existe pas d’armée mais il y a des armées nationales qui coopèrent entre elles et il serait donc une erreur de penser de construire une défense européenne parallèle à celle de l’OTAN, ce serait une duplication inutile », c’est le verdict de la Présidente du conseil. Quant aux investissements, « je suis pour car les dépenses seront, en priorité, destinées à des entreprises italiennes » (…) Reste le sujet d’où récupérer les ressources. Meloni ne le dit pas, mais elle souligne que, dans tous les cas, « l’on doit tenir compte de toutes les autres priorités du Gouvernement », revendiquant que l’augmentation des dépenses de défense est échelonnée sur dix ans, en adéquation avec les objectifs, elle n’impose pas de parcours annuel rigide et elle prévoit une révision en 2029 (quand Trump ne sera plus à la Maison Blanche) ». Stampa, « Une entente formelle qui ne correspond pas à la réalité » : « Si, d'un côté, le sommet de l'OTAN s'est concentré sur les moyens financiers et matériels, de l'autre, il est resté délibérément silencieux sur les objectifs. Aucune réunion du Conseil OTAN-Ukraine au niveau des dirigeants n'était prévue, mais seulement la présence du président V. Zelensky au dîner organisé par le roi des Pays-Bas. La nouvelle stratégie de l'OTAN à l'égard de la Russie, qui devait être présentée à La Haye, a été gelée. Voici donc une OTAN qui, dans le meilleur des cas, célébrera aujourd'hui de nouveaux objectifs de dépenses ambitieux, sans mentionner explicitement la raison pour laquelle tout cet argent est nécessaire ». Repubblica « il est assez probable que l’on assistera à d’autres pressions sur ceux qui freinent concernant l’augmentation des dépenses en faveur de la défense, dans le cadre d’une menace d’un désengagement américain qui pourrait ne jamais arriver mais qui plane toutefois sur la tête des autres 31 membres. L’affaire « Espagne » inquiète tout le monde ».

Trump.jpeg

le roi et la reine des Pays-Bas et les participants au sommet de l'OTAN

Le sommet de l’OTAN/Italie. Corriere della Sera « Les exigences de Meloni sur les investissements : l’Italie peut faire des sacrifices à condition que chacun en fasse. Il y a un travail conjoint avec le Canada, le Royaume-Uni et la France sur la flexibilité. Meloni peut se réjouir du fait qu’elle ait été l’un des rares dirigeants européens invités à la table du roi des Pays-Bas, assise à côté de Trump ». La Stampa « Flexibilité, gradualité et un brin de ruse. Face à la « taxe de l’ami Trump » – soit l’engagement sur le 5% du PIB pour les dépenses militaires – Meloni mise son va-tout sur le « contrôle technique » de 2029. En effet, dans quatre ans, une « révision » des capacités des différents États a été prévue. Cette date n'a pas été choisie au hasard : d'ici là, Trump pourrait ne plus être à la Maison Blanche, et les exigences imposées par le partenaire majoritaire de l'Alliance pourraient donc disparaître » Sole 24 Ore « Le gouvernement veut inclure dans ses dépenses militaires également l’argent dépensé pour d’autres aspects : la protection civile, la mobilité militaire et toutes les dépenses liées à la sécurité : la lutte contre les cybermenaces, le terrorisme interne et international, la lutte contre la traite des êtres humains. Dans cette liste pourraient aussi figurer le pont sur le détroit de Messine et la protection des câbles sous-marins, le contrôle de la Méditerranée par les garde-côtes et, en théorie, même les coûts de l'opération Albanie (environ 670 millions d'euros estimés sur cinq ans). La seule certitude, à ce stade, est que dans les intentions du gouvernement Meloni, ces dossiers devraient contribuer dans le calcul de l’augmentation de 1,5% du PIB ». 

Trump.jpg

Giorgia Meloni et Donald Trump

L’audition de G. Meloni au Sénat. Domani : « La ligne de la présidente du Conseil demeure celle de la fidélité totale à l’allié américain, dont elle n’a remis en discussion aucun choix. Malgré l’unité lors du vote des résolutions, c’est toujours la posture de la Ligue qui crée la tension au sein de la coalition de droite. Sur le réarmement, Romeo (Ligue) s’est dit favorable ‘’à condition de faire des investissements sur la sécurité et en regardant le front méditerranéen : les infrastructures stratégiques et la lutte contre l’immigration clandestine. Pour le reste, il faut ‘’de la proportionnalité et prendre en considération l’endettement’’. Un raisonnement pas trop différent par rapport à ce qu’on réclamé les 5 Etoiles ».  Sole 24 Ore : « hier nous avons assisté à une posture ambiguë du leader de la Ligue Matteo Salvini : contre le réarmement en Europe mais en faveur d’une hausse des dépenses militaires, c’est un pacifisme assez étonnant. En réalité, Salvini n’a aucun impact en politique étrangère et il s’adresse surtout à ses alliés européens prorusses et à Trump. ».

Le troisième mandat. Messaggero : « Sur la possibilité d’effectuer un troisième mandat [à la tête d’une région], coup de force de la Ligue malgré l’absence d’accord au sein de la majorité mais Forza Italia continue à affirmer qu’ils voteront contre ». « La Ligue a présenté un amendement au Sénat pour permettre à l’actuel président de la région Vénétie, Luca Zaia, de se présenter à nouveau, et qui voudrait donc aussi pour le démocrate [Parti démocrate, de centre gauche] V. De Luca en Campanie. Les alliés sont déstabilisés : Fratelli d’Italia qui avait émis des signes d’ouverture ne se prononce pas encore explicitement mais envisagerait l’abstention alors que Forza Italia répète très clairement son opposition. Italia Viva [centre] serait prêt à voter pour. La Ligue semble déterminée à mener la bataille jusqu’au bout pour son candidat vénitien. Le vote doit avoir lieu jeudi. »

La fin de vie. Corriere : « Le premier jet de la proposition de loi qui traite de la fin de vie est prêt. Hier, au terme d’une réunion en comité restreint, la sénatrice de la Lega Giulia Bongiorno a présenté le texte, appuyé par le centre-droit. Il prévoit l’institution d’un comité éthique qui sera nommé (…) par le Palais Chigi, il exclut que ce soit le service sanitaire qui fournisse la prestation, il dispose de la non-poursuite du soignant et oblige les régions à mettre en place des soins palliatifs (…). L’opposition, cependant, accuse le centre-droit de prévoir des obstacles pour complexifier le recours à cette mesure. Elle conteste la nomination par décret de la Présidence du conseil de médecins, juristes, psychologues du comité éthique. (…) « Les parcours [de soins palliatifs] dans lequel la majorité voudrait insérer les patients n’est pas prévue par l’avis [rendu par la Cour Constitutionnelle] » soutiennent les sénatrices du M5S Marina Castellone et Anna Bilotti. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

24/06/2025

Fêtez le 1er août avec vos élus UDC.

UDC.jpg

Suisse. Fêtez le 1er août avec vos élus UDC :

https://www.udc.ch/wp-content/uploads/sites/2/1-August-Re...

UDC 2.jpeg

Reform UK emporte l’élection locale partielle dans la circonscription d‘Eastfield pour le Conseil du North Yorkshire.

Reform UK.jpg

Royaume-Uni. Lors des élections locales partielles du jeudi 19 juin 2025, Reform UK emporte l’élection locale partielle dans la circonscription d‘Eastfield pour le Conseil du North Yorkshire et arrive en deuxième ou troisième position lors de certaines des autres élections partielles locales.

Les (Vrais) Finlandais militent pour une industrie de défense forte.

Vrais Finlandais.jpg

Finlande. Les (Vrais) Finlandais militent pour une industrie de défense forte en Finlande.

Le BSW se félicite du jugement à propos du magazine Compact et exige la fin du débat sur une procédure d'interdiction de l'AfD.

BSW.jpg

AfD.jpg

Allemagne. Le parti de gauche anti-immigration BSW se félicite du jugement à propos du magazine Compact et exige la fin du débat sur une procédure d'interdiction du parti patriotique AfD.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/06/24/l-i...)

JA21 donné en forte progression.

PVV.jpg

FvD.png

JA21.png

Pays-Bas

NL 1.jpeg

PVV : patriotes anti-islamisation

Groenlinks : écologistes / PvdA : travaillillistes

VVD : libéraux de droite

NSC :  Nouveau contrat social, de  Pieter Omtzigt [autrefois démocrate-chrétien (CDA)]

D66 : libéraux de gauche

BBB : parti des agriculteurs : agrariens de centre-droit

CDA : démocrates-chrétiens

SP : gauche de la gauche

Denk : centre-gauche multiculturaliste

PvdD : parti pour les animaux

FvD : Forum voor Democratie : patriotes

SGP : chrétiens protestants

CU : Christen Unie : sociaux-chrétiens

Volt : pro-européen

JA 21 : patriotes

Christoph Blocher prend la parole à Berne le 5 juillet 2025.

UDC.jpg

Suisse.

(https://www.udc.ch/actualites/agenda/christoph-blocher-se...)

UDC 1.jpeg

"Meloni garde son sang-froid et fait des ouvertures de dialogue aux partis d’opposition."

FI-AN.jpg

Ligue.jpg

Italie. Revue de presse.

Les Unes ce matin sont à nouveau consacrées à la situation au Moyen-Orient « Missiles de l'Iran sur les bases américaines » (Corriere della sera), « Trump, trêve de 12 heures » (Repubblica), « Iran, négociations entre les bombes » (Stampa), « Iran, Trump annonce la trêve » (Messaggero). 

Moyen-Orient/ItalieCorriere della Sera : « L’ouverture de G. Meloni aux oppositions, priorité aux inquiétudes des Italiens et non à la provocation rhétorique. Pour la première fois, il n’y a pas eu un ton exaspéré de la part des dirigeants politiques. Meloni rassure sur le fait que la décision sur l’utilisation des bases italiennes, si les Etats-Unis devaient le demander, passerait nécessairement par le Parlement ‘’contrairement à ce qu’on fait les précédents gouvernements’’. Dans son intervention, Meloni ne cite ni Trump, ni Netanyahu et ne condamne pas l’attaque américaine contre l’Iran. Quand quelqu’un lui rappelle l’exclusion de l’Italie du format E3 (Allemagne, Royaume-Uni, France), elle explique que ce n'est pas la faute de son gouvernement mais celle des précédents, et qu'elle prétend être le dirigeant d'un pays qui fait autorité ». La Stampa : « Malgré ses difficultés et la remise en cause de son rôle de ‘’Pont’’ entre les deux côtés de l’Atlantique, Meloni garde son sang-froid et fait des ouvertures de dialogue aux partis d’opposition. C’est sans doute l’effet de l’appel téléphonique de la veille avec le Président Mattarella ». Sole 24 Ore « Il est bien connu qu'au cours de ces derniers mois, l'effort de communication du Palais Chigi s'est concentré sur la construction d'un récit sur les relations spéciales avec la Maison Blanche, qui, d'un facteur de force, peut devenir un facteur de faiblesse. À tel point qu'aujourd'hui, on craint d'être pris dans la vague d'impopularité qui - même en Italie - monte contre le président américain et qui est alimentée par la peur d'une guerre imputée à l'axe Washington-Israël. Pour la première fois, Meloni a condamné la tragédie humanitaire à Gaza et n’a pas cité le nom de Trump dans son allocution à la Chambre. Il ne s’agit pas d’un changement de posture, mais il est possible de voir un changement d’approche, moins aligné sur le trumpisme ». Il Foglio : « le tournant de Meloni sur le réarmement, contre le pacifisme collectif de droite (Salvini) et de gauche (Conte). La cheffe du gouvernement est finalement sur une ligne plus proche de celle tracée par Macron et Merz dans leur éditorial du Financial Times (« L'Europe s'arme dans un monde instable ») que de celle tracée par Sanchez (‘’il ne faut pas trop augmenter les dépenses militaires’’) ».

Moyen-Orient/oppositionsCorriere della Sera : « Le duel entre la leader de la droite et la future candidate pour le Palais Chigi de centre-gauche, E. Schlein, se déroule à distance et tous deux évoluent dans l'ombre de ce simulacre d'unité nationale esquissé il y a deux jours. En revanche Conte, le dirigeant du M5S, n’a offert aucune main tendue à la présidente du Conseil. Cela prouve que l’unité des oppositions, notamment sur des sujets clivants tels l’Ukraine et Israël, n’est pas crédible. En revanche, le gouvernement peut revendiquer une certaine cohérence. La Ligue se montre attentive à souligner la nécessité de maintenir l’alliance avec les Etats-Unis, sans critique. Le M5S propose le retour au gaz russe, motion non votée par le PD. Cette division devient un sujet. » La Stampa : « Sur Kiev, la coalition « large » du centre gauche s’évapore. Les partis d’opposition ont montré hier qu’ils ne représentent pas une alternative politique, puisqu’ils n’ont pas réussi à présenter une motion commune. Le seul point qu’ils partagent est la demande d’une prise de distance du gouvernement face aux attaques américains en Iran. Bref, Meloni a mis sa veste de présidente du Conseil, les autres ont mis leur veste de chef de parti ». Il Foglio : « Salvini se montre froid sur le réarmement, tandis que le PD montre des ouvertures timides »

Moyen-Orient/FranceRepubblica : « E. Macron et les Etats-Unis : une mission illégale. L’axe Paris-Berlin vacille ». « Emmanuel Macron attaque explicitement Donald Trump en indiquant qu’il ‘n’y a pas de cadre de légalité’ au sujet des raids américains sur l’Iran »

Moyen-Orient/Union Européenne Sole 24 Ore : « Les 37 heures de mission sans escale des B-2, ainsi que les innombrables vols de ravitaillement, montrent que les États-Unis sont en mesure de projeter leur puissance mondiale sans demander la permission ou l'autorisation à leurs alliés d'utiliser leurs bases ou leur espace aérien. Ce sont les bombes que Trump lance de fait sur le multilatéralisme ».

Droits de douaneIl Messaggero : « Le ministre de l’Economie Giancarlo Giorgetti (Ligue) pousse à l’accord : à l’instar du Royaume-Uni, ‘’L’Europe doit se mettre d’accord au plus vite sur les 10%’’ au lieu de laisser de l’espace à l’incertitude. Car, si le dossier relève de la Commission Européenne, ‘’l’UE a du mal à définir des positions communes car ses pays membres ont des intérêts différents’’. Toujours Giorgetti a voulu souligner ‘’l’Italie joue sa part dans l’effort de trouver une position commune européenne et pour garder une ambiance de dialogue constructif avec les contreparties américaines’’ ».

Sécurité/terrorismeCorriere della Sera. « Le ministère de l’Intérieur annonce le tour de vis : plus de contrôles sur le risque de terrorisme. L’attention se concentre sur les personnes à risque de radicalisation. Les craintes portent notamment sur une augmentation du phénomène lié aux manifestations anti-israéliennes et anti-américaines. L'escalade au Moyen-Orient a déclenché une série de mesures affectant non seulement la sécurité intérieure, mais aussi celle des Italiens dans les zones de crise. Y compris le personnel diplomatique. Derrière la hausse des arrivées de migrants depuis la Libye, Rome y voit une responsabilité de la Russie ». Il Foglio : « L’ouverture de l'ambassade à Téhéran est une petite affaire. Car Antonio Tajani (Forza Italia), occupé à Bruxelles avec ses collègues européens chargés des affaires étrangères, voudrait la maintenir ouverte pour protéger les Italiens. Meloni annonce plutôt son intention de la déplacer à Oman, pour une question de sécurité ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

L'interdiction du magazine Compact est annulée.

Allemagne. Le Tribunal administratif fédéral de Leipzig annule l'interdiction prononcée, au cours de l’été 2024, par le ministre social-démocrate SPD de l'Intérieur Nancy Faeser du magazine patriote Compact dirigé par Jürgen Elsässer.

La juridiction estime que le magazine contenait des éléments inconstitutionnels, mais que ceux-ci n'étaient pas suffisamment importants pour justifier une interdiction.

AfD Sommer.jpg

Berlin : les enseignantes seront officiellement autorisées à enseigner en portant le foulard.

Allemagne. État de Berlin. À partir de la rentrée prochaine, les enseignantes seront officiellement autorisées à enseigner en portant le foulard. L’ État de Berlin est gouverné par le parti démocrate-chrétien CDU et par le parti social-démocrate SPD.

La Slovaquie se réserve le droit de décider à quel rythme elle doit augmenter le budget de la défense.

SMER.jpg

Slovaquie. Le Premier ministre social-démocrate souverainiste Robert Fico estime que, alors que la grande majorité des pays membres de l'OTAN sont favorables à une augmentation substantielle des dépenses de défense jusqu'à ce que celles-ci atteignent 5 % du PIB d'ici 2035, la Slovaquie a d'autres priorités pour les années à venir que l'armement et qu'elle doit, à l'instar de l'Espagne, se réserver le droit souverain de décider à quel rythme et dans quelle structure elle est prête à augmenter le budget du ministère de la Défense.

Le BSW dénonce le fait que l’OTAN désire que ses membres consacrent 5 % de leur PIB au réarmement.

BSW.jpg

Allemagne. Le parti de gauche BSW dénonce le fait que l’OTAN désire que ses membres consacrent 5 % de leur PIB au réarmement.

23/06/2025

L'AfD donnée à 23 % et le BSW à 4,5 %.

AfD.jpg

BSW.jpg

CSU.jpg

Allemagne.

(https://www.wahlrecht.de/umfragen/insa.htm)

Allemagne 1.png

CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens

AfD : patriotes

SPD : sociaux-démocrates

Grüne : écologistes

Die Linke : post-communistes

BSW : gauche anti-immigration

FDP : libéraux

Sonstige : autres