12/06/2025
L'AfD estime que si l'aile pacifiste l'emporte au sein du SPD, une coalition entre ces deux partis sera possible.
Allemagne. Le coprésident du parti patriotique AfD Tino Chrupalla salue le manifeste de nombreux responsables politiques du parti social-démocrate SPD appelant à une réorientation de la politique envers la Russie, à de nouveaux pourparlers de paix avec ce pays et rejetant catégoriquement une augmentation des dépenses militaires.
(https://agauche.org/2025/06/12/allemagne-la-gauche-du-spd...)
Il estime que si l’aile pacifiste s’imposait au sein du SPD, cela rendrait ce parti compatible pour la formation d’une future coalition gouvernementale avec l’AfD.
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"Dépenses militaires dans le cadre de l’OTAN relevées à 5%."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur la situation aux États-Unis « États-Unis, la révolte se propage » (Corriere della sera), « Trump déploie les Marines » (Repubblica), « Trump : « qui proteste est un animal » » (Stampa) et la fin de vie « Premier suicide assisté avec la loi de Toscane » (Repubblica), « Euthanasie, premier cas en Italie » (Giornale).
Affaire Guantanamo. Repubblica : « Aucun italien ne finira dans la prison de Guantanamo » affirme, sans craindre d’être démenti, le ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani (Forza Italia). [...] Mais c'est aussi l’affirmation qui est arrivée hier des États-Unis à la fin d'une journée complexe sur le plan diplomatique et du renseignement entre l'Italie et les États-Unis.»
Les droits de douane. Repubblica : « L’UE parle d’une ‘bonne nouvelle’ mais l’idée de taux zéro des deux côtés est écartée ». « L’accord en matière de droits de douane entre les Etats-Unis et la Chine a tout de suite été examiné de près par les fonctionnaires de Bruxelles chargés de négocier avec la Maison Blanche, pour voir s’il était possible de maintenir l’actuel status quo. Toutefois la proposition européenne pour une annulation réciproque des droits de douane apparait définitivement écartée. Pour l’exécutif européen, bien que tous les détails de l’accord ne soient pas encore connus, l’idée est que celui-ci servira de base à un accord américano-européen qui se fait encore plus urgent car le Vieux Continent semble désormais isolé. Mais il est difficile que Bruxelles et Washington trouvent une solution concrète avant le G7 la semaine prochaine ou même avant le sommet de l'OTAN. Si Trump a inclus les terres rares dans l'accord avec la Chine, il voudra inclure un élément similaire dans les négociations avec l'Europe : les armes et le gaz. Au sein de l’UE, une voix critique demeure, celle de la Hongrie. »
Libye. Messaggero : « Matteo Piantedosi (indépendant) attend Saddam Haftar, le fils du maréchal Khalifa Haftar, bras droit de Kadhafi qui gouverne la Libye de l’Est depuis des années. […] En fond, la préoccupation liée à la présence militaire russe croissante dans l’Est du pays. L’aide italienne – c’est le message envoyé à Haftar et à son fils – doit passer par la promesse d’une diminution du lien avec la Russie. Piantedosi a fait inscrire le dossier [ libyen ] dans le programme du Conseil de Justice et des Affaires intérieures programmé demain ».
Espace. Messaggero : Le Ddl espace devient loi : oui aux entreprises de l'UE et de l'OTAN (y compris les satellites de Musk) : Une obligation d’autorisation et d’assurance pour les activités spatiales, un plan national pour l’économie de l’espace et un fonds pour financer les activités du secteur, avec un regard particulier sur les start-up et les PME auxquelles une part des marchés sera réservée. Ce sont quelques-unes des nouveautés contenues dans le projet de loi sur l’économie spatiale approuvé hier définitivement par le Sénat, avec 76 voix pour (57 contre).
Dépenses militaires. Repubblica : « Dépenses militaires dans le cadre de l’OTAN relevées à 5%. L’Italie envisage une dépense à hauteur de 113 milliards. Les fonds pour le pont sur le Détroit de Messine pourraient être inclus. »
Matteo Salvini et le projet du pont
La fin de vie. Corriere della Sera : « Il s'agit du premier cas de suicide médicalement assisté en Toscane après la loi approuvée le 11 février par le conseil régional, qui réglemente les questions et les modalités d'accès à la fin de vie. La règle, rédigée à partir du texte de la proposition de loi de l'association Luca Coscioni, a été contestée par le gouvernement le 9 mai mais n'a pas été suspendue : elle reste donc en vigueur au moins jusqu'à l'avis de la Cour Constitutionnelle, que le chef de groupe de Forza Italia en Toscane, Marco Stella, considère comme encore plus urgent, citant les mots du vice-premier ministre Tajani selon lesquels « le suicide n'est pas un droit ». La mort de cet homme a relancé le débat sur la fin de vie, déjà animé par les intentions de la majorité de légiférer sur le sujet d'ici l'été, notamment pour éviter les lois régionales n’agissent en ordre dispersé : la discussion débute au Sénat le 17 juillet ».
La Stampa, Ignazio La Russa (Frères d’Italie), président du Sénat : « Il faut adopter une loi sur la fin de vie, c’est juste, cela relève du Parlement. Je suis fier, après tous mes efforts, qu'une date ait été fixée à laquelle la question commencera à être abordée au Sénat. Je suis également convaincu qu'un texte pourra être approuvé d'ici la fin de la législature. Il y a des sujets, comme les prisons et la fin de vie, sur lesquels il faut un débat serein, sans polémique politique, et sur lesquels je souhaite un vote uni. Ce sont vraiment des sujets sur lesquels le Parlement doit se prononcer librement. Il faut trouver des limites, éviter les abus et les fuites en avant, mais ce choix, qui n'est pas un "suicide", est autre chose. »
Corriere della Sera, Giuseppe Conte (M5S), dirigeant du Mouvement 5 Etoiles : « Pour moi, plus de 12 millions de citoyens exigeant plus de protection au travail est un fait politique important, que le gouvernement ferait bien de ne pas négliger. L'arrogance avec laquelle la majorité a célébré le résultat du référendum est embarrassante. Un gouvernement qui se réjouit parce que les gens ne se rendent pas aux urnes devrait avoir honte. Concernant les élections régionales, le dialogue avec le PD et AVS est sur une bonne voie pour un projet unitaire qui soit clair. Il est encore trop tôt, toutefois, pour décider qui sera le candidat pour le Palais Chigi. Concernant la proposition sur la citoyenneté « Ius Scholae », j’invite à aborder la thématique sérieusement. Notre projet se base sur un parcours de 5 ans. Concernant les données sur le travail, le bureau parlementaire pour le budget a certifié l’échec de ce gouvernement concernant les politiques sur l’emploi ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Les autres partis du gouvernement néerlandais se partagent les compétences des ministres PVV.
Pays-Bas. Les trois partis restants au sein du gouvernement démissionnaire minoritaire, le parti libéral de droite VVD, le parti des agriculteurs BBB et le Nouveau contrat social (NSC) de Pieter Omtzigt, se sont partagé les postes ministériels abandonnés par le parti patriotique anti-islamisation PVV de Geert Wilders. La compétence portant sur la Migration a été partagé entre les trois partis.
00:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
11/06/2025
Sahra Wagenknecht estime que le gouvernement de Thuringe doit gouverner avec des "majorités changeantes".
Allemagne. La figure de proue du parti de gauche anti-immigration BSW Sahra Wagenknecht estime que le fait que le gouvernement de Thuringe, auquel prend part la CDU, le SPD et le BSW, dépende des voix du parti post-communiste Die Linke est une erreur.
[Le gouvernement CDU-SPD-BSW dispose de 44 sièges sur 88 et dépend de Die Linke qui a 12 sièges.]
Selon elle, c'est une « erreur » que la coalition « s'enchaîne uniquement à Die Linke au lieu de gouverner avec des majorités changeantes », donc aussi avec le seul parti non-cité qui est la formation politique nationaliste AfD qui dispose de 32 sièges.
Die Linke : post-communistes
AfD : nationalistes
CDU : démocrates-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
BSW : gauche anti-immigration
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/04/26/kat...)
19:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
Résultats des élections municipales en Lettonie.
Lettonie. À Riga, lors des élections municipales du samedi 7 juin 2025, le parti populiste de droite Lettonie d'abord obtient 18,2 % et arrive premier. Les nationaux-conservateurs de l’Alliance nationale obtiennent 14 %. Les populistes de droite de Tauta. Zeme. Valstiskums décrochent 0,4 %.
(https://dati.cvk.lv/PV2025/en/velesanu-rezultati/riga/riga/)
Autres municipalités :
14:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le gouvernement de l’État de Berlin continuera de dissimuler les prénoms des suspects de délits ayant la nationalité allemande.
Allemagne. État de Berlin. Le gouvernement de l’État de Berlin a annoncé qu'il continuera de dissimuler aux députés de l'AfD les prénoms des suspects de délits ayant la nationalité allemande, alors que, la semaine dernière, la Cour constitutionnelle de l’État de Berlin a ordonné de communiquer à un député de l’AfD les vingt prénoms les plus courants des suspects d'attaques au couteau en Allemagne. Le gouvernement de l’État de Berlin craint que la publication de cette liste conduise à des interprétations erronées.
13:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
"L’Italie contre l’arrivée de migrants : message à l’UE."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur les suites du référendum sur l’emploi et la citoyenneté « Tensions après le référendum » (Corriere della sera), la situation en Californie « Révoltes américaines, le poing serré de Trump » (Repubblica, Domani) et la fusillade dans un lycée à Graz (Stampa, Messaggero).
La fiscalité. Messaggero : « Giorgia Meloni poursuit sur sa trajectoire en matière d’impôts, les classes moyennes sont désormais concernées, le ministre Giorgetti (Ligue) dicte le calendrier » : « La Présidente du Conseil a fait une intervention surprise lors des Etats généraux des experts-comptables, confirmant que le gouvernement poursuivra sa réforme fiscale avec des réductions d’impôts également pour les classes moyennes. Celles-ci représentent 11,2% des contribuables et payent pourtant 36% de l’impôt sur le revenu prélevé, une situation qualifiée d’insoutenable par le secteur. Le vice-ministre de l’économie, M. Leo, approuve tout en appelant à la prudence. Le gouvernement a été récompensé de ce point de vue avec un recul du spread arrivé hier à 90 points. Ces Etats généraux rouvriront probablement le débat sur la prochaine Loi de Finances. Les ressources sont faibles et il faudra financer la hausse des dépenses militaires décidée lors du prochain sommet de l’OTAN. Antonio Tajani a revendiqué le blocage de la norme qui prévoyait des contrôleurs du ministère de l’Economie au sein des sociétés privées bénéficiant de fonds publics. Forza Italia se pose en défenseur des classes moyennes et pour l’allègent de la bureaucratie. Matteo Salvini insiste sur la paix fiscale et les ‘millions de procédures [pour impayés] qui bloquent l’économie du pays. »
La fin de vie. Messaggero : « Entente pour une loi sur la fin de vie » : « Lors de la réunion des quatre leaders du centre-droit, des ministres de la Justice, de la Santé et de la Famille et du secrétaire à la Présidence du Conseil Alfredo Mantovano (indépendant, autrefois Alliance nationale), tout le monde semble s’accorder sur la nécessité d’une loi sur la fin de vie, notamment après le précédent de la loi régionale de la Toscane. L’examen du projet de loi sur la fin de vie est prévu au Sénat le 17 juillet. Pour la Présidente du Conseil, une loi venue du centre-droit permettrait certaines garanties, tenant compte de l’avis du monde catholique. Compte tenu des réserves en particulier d’Eugenia Roccella (Frères d'Italie) et d’Alfredo Mantovano, on ne peut pas dire qu’un accord ait toutefois été trouvé sur le fond. La prochaine loi de finances pourrait prévoir des fonds pour garantir l’accès aux soins palliatifs. Un comité éthique spécifique pourrait être créé pour examiner chaque cas individuellement selon des critères définis par un décret. La question du rôle du système de santé public reste centrale et Fratelli d’Italia exprime le plus de craintes. »
Les référendums. Corriere della Sera : « Le vote dans les grandes villes, moteur du centre-gauche, l'abstentionnisme du centre-droit, les divergences sur la question relative à la citoyenneté : plusieurs facteurs ont influencé le vote référendaire. L'Institut Cattaneo dresse un bilan qui fait état d'une « stabilité substantielle » avec « les alignements électoraux enregistrés lors des élections politiques de 2022 et des élections européennes de 2024 ». Selon l'analyse du centre d'études bolognais, « les légères augmentations par rapport à leur électorat historique enregistrées sur la position référendaire soutenue par le PD, l'AVS et le M5S sont contredites par les pertes importantes subies sur la question de la citoyenneté ». Selon l'Institut, le nombre de votes favorables a été influencé par le manque de soutien de la partie libérale-réformiste, par celui de la majorité de l'électorat du Mouvement 5 étoiles et enfin par le vote contraire d'un pourcentage compris entre « 15 et 20 % des électeurs du Parti démocrate ». Corriere della Sera : « Elly Schlein imagine d’anticiper le congrès de son parti en janvier 2026. Le but serait d’isoler les réformistes, qui ont déjà levé leurs boucliers après l’échec des référendums, et de les isoler. L’un des pères nobles du PD, Pierluigi Castagnetti, poste sur les réseaux sociaux « que quelqu’un prévienne Schlein, même de manière discrète, que continuer sur cette voie nous conduira droit contre un mur ». Au sein des partis d’opposition, une autre faille s’ouvre. Giuseppe Conte, dirigeant du M5S, a critiqué « concernant le référendum proposé par Magi de +Europa, la bataille était juste mais l’instrument utilisé était erroné » ».
Elections régionales. Corriere della Sera « Il n’est pas anodin si lors de la réunion de majorité le gouvernement ait évité d’aborder le sujet des élections régionales. Les trois principaux partis sont sur des positions différentes. La Ligue est favorable à hausser la limite à un troisième mandat, ce qui éliminerait des problèmes internes à Salvini, notamment en ouvrant la voie à la candidature de Luca Zaia (Ligue) en Vénétie. Fratelli d’Italia semble la soutenir ; Forza Italia s’y oppose toujours. La majorité est enlisée sur ce point et n’arrive pas à sortir de ce piège. Cela bloque toute hypothèse d’un accord sur quel candidat opposer aux partis d’opposition. Ce dossier peut représenter un pari risqué pour la majorité. Les élections en mai ont déjà montré les limites de candidatures choisies au rabais et montré l’incapacité de la droite d’offrir une classe dirigeante partagée et de haut niveau ».
L’immigration. Repubblica : « L’Italie contre l’arrivée de migrants : message à l’UE ». « Une réunion sur le cadre financier européen s’est tenue à Palais Chigi. Le gouvernement a fixé ses priorités pour la « liste des courses » de Bruxelles. « L’attention portée à l’immigration doit être renforcée » affirme Giorgia Meloni. « Une approche basée sur le remplissage de certains critères peut fonctionner pour les pays candidats - notent des sources du gouvernement – mais cela ne devrait être étendu aux partenariats stratégiques internationaux, en particulier dans le voisinage méridional ou en Afrique ». Meloni exige de von der Leyen et du Conseil Européen une nouvelle approche sur les financements versés aux pays tiers. Dans le passé, les négociations avec la Tunisie de Kais Sayed ont échoué à plusieurs reprises à cause des diktats européens. Avec une impitoyable realpolitik, l’Italie s’apprête cette fois-ci à obtenir des avancées, en demandant de survoler les nombreux problèmes (aussi sur les droits humains) des pays africains qui servent de mur aux flux migratoires vers l’Europe. » Lors de cette réunion, « un thème qui divise la majorité et l’opposition a fait son apparition : le réarmement de l’UE. Le scénario est complexe. Certes, Trump et l’Amérique demandent de doubler voire tripler les fonds pour l’OTAN et la défense. Mais – et c’est le cœur du discours – les finances européennes battent de l’aile. Ce sont surtout les remboursements de la relance européenne [suite au Covid-19] qui pèsent sur le budget communautaire. Que faire ? « Je suis favorable aux Eurobonds » soutient le vice-premier de Forza Italia Antonio Tajani. Matteo Salvini répond à tour de bras : « évitons de créer une autre dette en Europe, qui risque de nous coûter plus que celle italienne ». L’impasse du gouvernement, pour le moment, sur le réarmement européen est ainsi prononcée. Les nœuds à démêler sont nombreux. Le ministre Giorgetti a aussi mis en avant celui de la digital service tax européenne : le ‘couteau’ du fisc européen contre la big tech américaine. Trump la considère comme une injustice et menace des droits de douanes sans précédents. « Il faut en discuter » avance le ministre de la Ligue. Et dans les plus brefs délais. »
Corriere della Sera, Matteo Salvini (Ligue), vice-président du Conseil et ministre des Infrastructures : « La loi sur la citoyenneté actuellement en vigueur convient telle qu’elle est. Le résultat du référendum est éclatant, il serait erroné d’imaginer des escamotages pour la modifier. C’est la raison pour laquelle je ne comprends pas l’insistance de Forza Italia sur ce point. Concernant la fiscalité, la Ligue propose toujours le moratoire fiscal, c’est un instrument qui fait du bien aux caisses de l’Etat et je rappelle que c’était d’ailleurs une idée de Berlusconi. Pour ce qui est de la fin de vie, l’objectif est de trouver un équilibre entre la garantie des soins et le choix libre des individus. Sur l’Ukraine, nous avons toujours été du côté de Kiev. L’UE adopte le 18e paquet de sanctions mais la Russie continue son avancée : j’ai l’impression que c’est une mauvaise stratégie. Nous sommes catégoriquement contre les armées et les endettements européens pour acheter des armes. En tant que responsable de la Garde Côtière, si je peux, je dépenserais pour avoir plus d’agents ou pour acheter des navires, mais envoyer mon fils faire le militaire pour Macron, ça non. L’interdiction des voitures diesel Euro 5 dans les grandes villes ? il est hors de question, nous préparons une contre-mesure dans le prochain décret infrastructure. Enfin, concernant le meeting des Patriotes à Paris, nous avons constaté une croissance constante de nos partis et, dans quelques mois, nous espérons que notre allié Andrej Babiš remportera la victoire en République tchèque. Avec un impératif avant tout : mettre fin à la folie du Green Deal, qui démontre l'échec idéologique total d'une Union menée par Greta Thunberg. ».
Il Tempo, Antonio Tajani (Forza Italia) vice-président du Conseil et ministre des affaires étrangères : « La priorité est la réduction du taux d’imposition, car il s’agit d’un choix stratégique et pas d’une mesure adoptée de manière non structurelle. Je suis contre l’idée d’un moratoire fiscal, il faut baisser les charges salariales, car c’est un message clair qu’il faut adresser à la classe moyenne. Concernant les limites de mandat, aux Etats-Unis le maximum est de deux mandatures. En Italie, un président de région a plus de pouvoir qu’un président du Conseil : trois mandats risqueraient des incrustations de pouvoir trop lourdes. Quant à la proposition de Forza Italia sur le « Ius Scholae », c’est une proposition plus stricte que la loi en vigueur car elle prend en considération également les résultats scolaires et cela n’implique pas les migrants irréguliers. C’est une proposition pour rendre sérieux l’obtention de la citoyenneté. Concernant le Proche-Orient, nous avons toujours adressé des messages très clairs, mais l’impression est que Netanyahu n’écoute personne, ni les Etats-Unis, ni l’ONU. Nous condamnons ce qui est en train de se passer tout comme nous condamnons le Hamas. Ce n’est pas uniquement un problème humanitaire mais aussi une question politique. Par exemple, nous accueillons le petit palestinien Adam pour le soigner : il n’est pas possible d’obtenir cela sans un accord politique. Seules de nouvelles sanctions peuvent pousser Poutine à ne pas payer des salaires aussi importants à ses soldats ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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10/06/2025
Le groupe UDC rejette les pactes européens sur la migration et l'asile.
23:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le congrès fédéral du FPÖ est reporté à l'automne.
Autriche. Le 35e Congrès fédéral du FPÖ, qui devait avoir lieu le samedi 14 juin 2025 à Kitzbühel, a été reporté à l'automne en raison de la fusillade de Graz.
23:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Pour le village de Blatten : 5 millions de francs suisses. Pour l'Ukraine : 4.370 millions de francs suisses."
Suisse.
"Pour le village de Blatten [disparu après l'effondrement d'un glacier] : 5 millions de francs suisses. Pour l'Ukraine : 4.370 millions de francs suisses. Notre peuple d'abord !"
23:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
David Bull est le nouveau président de Reform UK.
19:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le PVV de Geert Wilders est donné premier.

PVV : patriotes anti-islamisation
Groenlinks : écologistes / PvdA : travaillillistes
VVD : libéraux de droite
NSC : Nouveau contrat social, de Pieter Omtzigt [autrefois démocrate-chrétien (CDA)]
D66 : libéraux de gauche
BBB : parti des agriculteurs : agrariens de centre-droit
CDA : démocrates-chrétiens
SP : gauche de la gauche
Denk : centre-gauche multiculturaliste
PvdD : parti pour les animaux
FvD : Forum voor Democratie : patriotes
SGP : chrétiens protestants
CU : Christen Unie : sociaux-chrétiens
Volt : pro-européen
JA 21 : patriotes
19:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un écrivain patriote allemand empêché de devenir avocat, juge ou procureur.
Allemagne. L’écrivain patriote John Hoewer est empêché d’avoir accès au stage ouvrant la voie vers la profession d’avocat, de juge ou de procureur à cause d’écrits qu’il a réalisés et de son rôle au sein des organisations classées, par l'Office fédéral de protection de la Constitution, « avérées d’extrême droite » Ein Prozent et Junge Alternative [l’organisation de Jeunesse de l’AfD].
John Hoewer
17:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Flop du référendum, pas de quorum."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur les référendums qui se sont tenus dimanche et lundi « Référendum : seulement 30% sont allés voter » (Corriere della Sera), « Echec du référendum « mais le défi continue » » (Repubblica), « Loin du quorum, dispute sur les 14 millions de votes » (Stampa), « Flop du référendum, pas de quorum » (Messaggero), le déploiement par D. Trump de la garde nationale en Californie (Repubblica, Stampa) et les faits divers.
Les référendums. Repubblica : « Echec du referendum, c’est l’abstention qui l’emporte, seulement 30% des Italiens se sont rendus aux urnes » : « Cela représente 14 millions d’électeurs. Le syndicat CGIL soutenu par le PD, AVS et le M5S ne met pas en difficulté le gouvernement qui avait appelé à l’abstention. Sur les cinq questions posées, quatre portaient sur la protection des travailleurs et une sur l’obtention de la nationalité italienne. Cette dernière a obtenu le plus faible consensus, 65% ont voté pour. Les Italiens ont davantage voté au Nord qu’au Sud, avec des pics atteints à Florence et Bologne. La mobilisation n’a pas eu lieu. Le virus de la désaffection [pour la politique] a corrodé les fondements de la participation citoyenne. La droite a fait campagne pour que les gens partent en week-end et envisage maintenant de réformer le système référendaire en relevant de 500 000 à 1 million le seuil de voix à obtenir pour changer la règlementation, notamment sur proposition d’Antonio Tajani. ». Repubblica : « Un double-échec sur l’obtention de la nationalité, le Mouvement 5 Etoiles s’en prend aux promoteurs ». « Plus d’un votant sur trois s’est prononcé contre la proposition d’abaisser de 10 à 5 ans la durée de la résidence en Italie pour les ressortissants étrangers souhaitant obtenir la nationalité italienne, laissant entendre que, même à gauche, l’électorat est divisé sur ce point. Entre les leaders politiques qui ont promus le referendum, les critiques fusent. +Europa regrette que le soutien du Mouvement 5 Etoiles ait fait défaut mais se félicite que la question ait été remise au centre du débat et mobilisé les associations et citoyens. Pour le M5S, il faut travailler sur l’intégration sociale à travers le ius scholae, c’est-à-dire l’éligibilité à la nationalité pour les enfants ayant suivi leur scolarité en Italie même sans y être nés. Nombre de leaders de gauche ont exprimé leur déception face à ce résultat sur l’immigration. » Repubblica : « ‘C’est un cadeau fait à la Présidente du Conseil’, les réformistes lancent le débat au sein du Parti démocrate ». « Les résultats du référendum mettent à mal l’unité au sein du PD, une partie des réformistes formulant des critiques contre la tête du parti. Ce serait une des plus grosses défaites de la gauche et un cadeau fait à Giorgia Meloni qui a joué au mieux ses cartes. L’idée d’une nouvelle direction donnée au secrétariat du parti plane pour corriger la trajectoire. Pina Picierno se pose en cheffe de file du mécontentement, contre un soutien au syndicat CGIL qui n’aurait pas dû prendre cette forme. Certains tentent de relativiser soulignant que 14 millions d’Italiens se sont mobilisés, ce qui est supérieur aux 12,3 millions de voix obtenues par le centre-droit lors des élections de 2022. » Repubblica : « Pour le centre-gauche, ces résultats devraient inciter à une réflexion approfondie et autocritique. L'idée que les référendums aient été utilisés principalement pour faire trébucher Giorgia Meloni et démontrer un mécontentement général envers le gouvernement actuel n'est pas soutenue par les résultats. Les votes en faveur du "oui" ne se traduisent pas automatiquement en une victoire électorale future. Elly Schlein et les initiatives du mouvement pourraient potentiellement raviver les espoirs électoraux du centre-gauche, mais la route reste longue. Le Parti Démocrate (PD) pourrait être contraint de rouvrir le dialogue avec les "réformistes" qui ne soutiennent pas une alliance étroite avec Maurizio Landini, le leader de la CGIL. Une réflexion sérieuse et prolongée de la part des partis d’opposition s’impose, en évitant de voir dans les manifestations et les référendums un substitut à un débat interne approfondi et nécessaire ». Corriere della Sera : « La politique migratoire demeure le talon d’Achille du centre-gauche, mais la droite ne peut certainement pas exulter ni discréditer ces 14 millions d’électeurs qui sont aller voter, dont sans doute aussi ceux de son propre électorat ». Libero « C’est un flop voulu à tout prix par les partis d’opposition et la CGIL qui a coûté 350 millions d’euros aux contribuables italiens ».
Le meeting des « Patriotes » à Paris. Sole 24 Ore : « Depuis la tribune de la Fête de la Victoire des Patriotes de l'UE, animée par Orban et Marine Le Pen, Salvini est revenu à la charge contre d'éventuelles nouvelles sanctions contre Moscou (« elles éloignent la paix »). Salvini a ensuite affirmé que pour l'Europe, « le danger vient des immigrés clandestins, pour la plupart musulmans, et non pas d'éventuels chars russes », avant de conclure par un « Non à une dette européenne pour acheter des armes, comme le dit Macron ». Trois prises de position qui contrastent avec la ligne de Giorgia Meloni et du ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani. La présidente du Conseil, qui s'apprête à partir pour le G7, rencontrera jeudi le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, en vue du sommet du 24 juin à La Haye. A cette occasion, il faudra établir l’objectif de la dépense sur la défense qui doit commencer au moins d’un 3.5% du PIB. Cet objectif du gouvernement Meloni (et pas uniquement de Macron) a comme but de mutualiser la dépense pour les armements afin qu’il ne retombe pas sur les budgets nationaux ». Il Foglio : « Les Patriotes influencent de plus en plus l’agenda d’Ursula. »
Il Foglio, Paolo Stroppa, représentant de SpaceX Italie : « Ce n’est pas vrai que le ministère de la Défense ne prend pas en considération, de manière sérieuse, l’offre de StarLink. A ce que j’en sais, je ne crois pas que Crosetto (Frères d’Italie) s’oppose à StarLink. Plusieurs représentants des forces armées ont, de manière plus ou moins explicite, affirmé qu’ils étaient favorables à StarLink. L’Italie risque de perdre une technologie qui lui sert. Voilà pourquoi cela est demandé directement par les forces armées, il y a des exigences opérationnelles qui ne peuvent plus être reportées. L'Italie ne possède aucune entreprise fabriquant des drones, et il n'existe aucun plan d'investissement dans ce domaine. Quant à Eutelsat, c’est une réalité qui n’existe pratiquement pas : il utilise des lanceurs russes et des hardwares produits en Asie, cela pose des problèmes de sécurité évidents... »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
14:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
Reform UK emporte 4 des 8 sièges lors des élections locales partielles.
Royaume-Uni. Lors des élections locales partielles du jeudi 5 juin 2025, Reform UK de Nigel Farage a remporté 4 des 8 sièges.
02:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pays-Bas : le VVD exclut un futur gouvernement avec le PVV.
Pays-Bas. Le président du parti patriotique PVV Geert Wilders dénonce le fait que la dirigeante du parti libéral de droite VVD Dilan Yesilgöz refuse un futur gouvernement avec le PVV. Il l'accuse de promouvoir un futur gouvernement dirigé par le travailliste du PvdA Frans Timmermans.
Le dirigeant du parti démocrate-chrétien CDA Henri Bontenbal avait auparavant exclu le PVV d’une coalition avec son parti.
02:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le parti européen Patriotes a tenu un congrès puis un rassemblement en France.
France et UE. Le parti européen Patriotes a tenu un congrès puis un rassemblement en France.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/06/06/fet...)
01:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
09/06/2025
Italie : les 5 référendums n'obtiennent pas la participation nécessaire.
Italie. Les 5 référendums sont invalides, car le taux de participation de 30 % est inférieur aux 50 % requis. Les partis du gouvernement de centre droit (Frères d’Italie, Ligue,…) avaient appelé au boycott des référendums.
19:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Parti du Peuple danois est favorable à la remigration.
Danemark. Le Parti du Peuple danois affirme que, en 2096, il y aura plus d'étrangers que de Danois au Danemark. En conséquence, il demande la remigration.
19:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
Reform UK désire réindustrialiser le Pays de Galles.
Royaume-Uni. Pays de Galles. Reform UK désire réindustrialiser le Pays de Galles.
19:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Vienne doit devenir une capitale de l'expulsion."
Autriche. Le FPÖ de l’État de Vienne déclare que « Vienne doit devenir une capitale de l'expulsion. »
18:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
"250.000 nouveaux Allemands en seulement un an !"
Allemagne.
"Stopper immédiatement la naturalisation de masse. 250.000 "nouveaux Allemands" en seulement un an !"
15:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les électeurs du VVD préfèrent un gouvernement de centre droit et ceux du CDA du centre.
Pays-Bas. Les électeurs du parti libéral de droite VVD préfèrent une coalition de centre droit alors que les démocrates-chrétiens du CDA préfèrent une coalition du centre.
Pays-Bas/VVD/CDA (geen voorkeur = pas de préférence)
PVV : patriotes anti-islamisation
VVD : libéraux de droite
CDA : démocrates-chrétiens
BBB : agrariens
JA21 : patriotes
GroenLinks/PvdA : écologistes et travaillistes
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"Référendum, un taux de participation bas."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur les référendums de ce week-end « Peu de gens aux urnes pour les référendums, le quorum est loin » (Corriere della sera), « 22% votent au référendum » (Repubblica), « Référendum, vers un flop » (Giornale), la politique de D. Trump envers les migrants « Immigrants, Trump utilise l'armée » (la Stampa).
Les référendums. Corriere della Sera : « Référendum, un taux de participation bas : 22,7% pour le premier jour. L’objectif d’atteindre le quorum pour les bulletins concernant l’emploi et la citoyenneté est en doute. Florence (36%) et Bologne (37%) sont les villes avec le taux de participation le plus élevé ; en revanche, dans le sud les taux sont les plus bas, aussi en Campanie et dans les Pouilles ou le centre-gauche est majoritaire. Le PD de Schlein vise à atteindre au moins un taux de participation entre 30 et 35% afin de contenir les plaies d’une défaite politique cuisante. Les réformistes du PD sont désormais sur le pied de guerre avec la direction « l’alliance avec le M5S et AVS n’est pas suffisant ». Messaggero : « Mattarella vote à Palerme, Schlein au quartier romain de Testaccio. La présidente du Conseil Meloni se présente au bureau de vote mais refuse de retirer les bulletins des référendums. Aujourd’hui, les urnes sont ouvertes jusqu’à 15 h ». Repubblica : « Hier à 23 heures, un peu plus d’un électeur sur cinq s’était rendu aux urnes. Meilleure participation des grandes villes, effondrement de la participation dans le Sud et dans les îles. Le gouvernement Meloni mise sur l’échec de ce rendez-vous électoral afin de hausser le nombre de signatures nécessaires pour obtenir un référendum, avec un seuil qui pourrait passer de 500 000 à un million de signatures ». Giornale : « Comment les dirigeants de l’opposition pouvaient penser que les référendums – inutiles et coûteux, proposés par le syndicat GGIL de Landini – auraient pu invertir la tendance politique d’un pays ? Peu d’électeurs se sont rendus aux bureaux de vote, sans conviction mais par esprit de service, surtout pour aller contre l’invitation du gouvernement à déserter les urnes. Cela ne pouvait pas marcher, c’était évident ». Domani : « le geste de Meloni de se présenter au bureau de vote sans retirer les bulletins référendaires n’est pas anticonstitutionnel. C’est plutôt un geste grotesque. C’est comme si quelqu’un décidait de se rendre dans un café pour annoncer qu’il ne consommera rien du tout. Cela est un manque de respect à l’égard des institutions. »
Les manifestations pro-Gaza de samedi. Repubblica : « Le centre-gauche uni exulte après la manifestation à Rome. L’appel des dirigeants au lendemain de la manifestation en faveur de Gaza avec 300 000 participants « il faut les écouter ». Il a fallu beaucoup de temps, beaucoup de ténacité et une patience infinie, un exercice dans lequel la secrétaire du PD est devenue championne du monde. Mais l'image de la place San Giovanni bondée comme on ne l'avait pas vue depuis des années, l'appel à l'unité crié par les 300 000 personnes convoquées à la dernière minute et un brin de risque dans la mobilisation pour Gaza, ont redonné aux quatre leaders du camp progressiste le sentiment que le moment est venu de passer aux choses sérieuses ».
La Stampa de samedi, Adolfo Urso (Frères d’Italie), ministre des Entreprises et du Made in Italy : « Il faut éviter les répercussions négatives des mesures douanières et agir pour éviter une guerre commerciale. Le gouvernement a promis 25 milliards d'euros aux entreprises pour faire face aux conséquences des droits de douane. Nous sommes convaincus que les négociations avec Bruxelles aboutiront, comme celles de 2023, lorsque nous avons réussi à allouer 14 milliards d'euros supplémentaires au système des entreprises. Cette fois-ci, l'objectif est plus ambitieux. L'énergie est un autre thème fondamental pour la compétitivité. En ce qui concerne le nucléaire de nouvelle génération, nous avons présenté au Parlement un projet de loi visant à autoriser la production dans notre pays et Nuclitalia, une start-up dirigée par Enel, Ansaldo Nucleare et Leonardo, a vu le jour afin d'étudier de nouvelles solutions technologiques adaptées au marché italien. Il est nécessaire d'apporter des réponses structurelles pour modifier le mix énergétique et le rendre durable ».
La Repubblica, Edmondo Ciriani (Frères d’Italie), vice-ministre des affaires étrangères : « Tajani, Meloni et Crosetto (Frères d’Italie) ont tous trois déclaré à plusieurs reprises qu'Israël devait parvenir à un cessez-le-feu. L'Italie a suspendu la vente d'armes à Tel Aviv. Cela dit, nous reconnaissons le droit d'Israël à se défendre, nous savons qu'il existe à Gaza un régime criminel qui se livre au terrorisme. Israël a pleinement le droit de mener une action militaire pour renverser le Hamas. L'action militaire est légitime. Les instances compétentes détermineront ensuite s'il y a eu ou pas des crimes de guerre individuels. Il est toutefois évidant que de nombreux civils meurent, c'est pourquoi l'Italie fait pression pour un cessez-le-feu ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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08/06/2025
Saxe : l'AfD est donnée à 35 % et le BSW à 11 %.
Allemagne. Saxe. Le parti nationaliste AfD est donné à 35 % et le parti de gauche anti-immigration BSW à 11 %.
(https://www.wahlrecht.de/umfragen/landtage/sachsen.htm)
CDU : démocrate-chrétiens
AfD : nationalistes
BSW : gauche anti-immigration
SPD : sociaux-démocrats
Grüne : écologistes
Die Linke : post-communistes
Sonstige : autres
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