22/02/2025
"Temps pour l'énergie à prix favorable."
Allemagne.
"Temps pour l'énergie à prix favorable. Temps pour l'Allemagne."
20:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
"L'argent public pour la formation plutôt que pour des bombes !"
Allemagne.
"Voix pour la paix. L'argent public pour la formation plutôt que pour des bombes !"
20:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
Kostadin Kostadinov : « Des millions d’Européens regardent, plein d’espoir, vers l’Alternative pour l’Allemagne et attendent d’elle qu’elle combatte pour l’avenir. »
Allemagne et Bulgarie. Le dirigeant du parti nationaliste bulgare Vazrazhdane Kostadin Kostadinov déclare : « Des millions d’Européens regardent, plein d’espoir, vers l’Alternative pour l’Allemagne et attendent d’elle qu’elle combatte pour l’avenir. »
Kostadin Kostadinov
17:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les patriotes de l'AfD sont donnés à 21 % et la gauche anti-immigration BSW à 5 %.
Allemagne. Sondage pour les élections législatives de demain : les patriotes de l'AfD sont donnés à 21 % et la gauche anti-immigration BSW à 5 %. [seuil électoral : 5 % ou 3 mandats directs]
(https://www.wahlrecht.de/umfragen/insa.htm)
SPD : sociaux-démocrates
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
AfD : patriotes
Die Linke : post-communistes
BSW : gauche anti-immigration
Sonstige : autres
16:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Stop à la migration illégale grâce à des contrôles frontaliers et à des refoulements conséquents."
Allemagne.
"Stop à la migration illégale grâce à des contrôles frontaliers et à des refoulements conséquents."
15:54 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Temps pour une armée forte."
Allemagne.
"Temps pour une armée forte."
12:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
21/02/2025
Le FPÖ donné à 34 %.
Autriche.
FPÖ : patriotes
ÖVP : sociaux-chrétiens / conservateurs
SPÖ : sociaux-démocrates
NEOS : libéraux
Grüne : écologistes
KPÖ : communistes
autres
21:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
Manifestation de gauche dans le village d'Alice Weidel.
Suisse. Canton de Schwyz. La police a approuvé la manifestation « Contre le virage à droite » de ce 22 février 2025 à Einsiedeln, le lieu où vit la candidate du parti patriotique allemand AfD à la Chancellerie Alice Weidel, mais pas la contre-manifestation de l'organisation patriotique suisse Mass-voll!.
21:17 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Notre plan : économiser chez les migrants plutôt que chez les retraités !"
Autriche.
"Notre plan : économiser chez les migrants plutôt que chez les retraités !"
20:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Temps que notre pays fonctionne à nouveau."
Allemagne.
"Temps que notre pays fonctionne à nouveau. Temps pour l'Allemagne."
17:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Delmastro condamné." ; "Il restera en poste."
Italie. Revue de presse.
Les quotidiens partagent leurs Unes entre la condamnation du secrétaire d’Etat à la Justice Andrea Delmastro (Frères d’Italie) à 8 mois de réclusion avec sursis « Delmastro condamné » (La Repubblica), « Meloni se dit déconcertée », (La Stampa), « « Il restera en poste », dit Meloni » (Corriere della Sera, Messaggero), et les deux grands sujets de politique internationale avec l’Ukraine « L’axe Trump-Poutine se renforce » Corriere della Sera, « Trump met Kiev dos au mur » (La Stampa), « La paix de Trump déchire le gouvernement et l’opposition » (Il Fatto quotidiano) et le Proche-Orient avec la restitution des corps d’otages israéliens « Hamas, un show macabre avec les cercueils en direct à la télévision » (Corriere della Sera), « La honte du Hamas sur les cercueils de la famille Bibas » (Repubblica), « Hamas Horror Show » (La Stampa).
Les JT couvrent essentiellement, outre les sujets traités par les quotidiens l’état de santé du Pape François et les faits divers.
Le « coup de froid » entre l’Amérique et l’Ukraine. Messaggero : « Washington opère un tournant diplomatique. Les États-Unis ont refusé d’être co-auteurs d’un projet de résolution de l’ONU marquant le troisième anniversaire de la guerre, soutenu par une cinquantaine de pays. De plus, Selon des sources diplomatiques, ils ne signeront pas les résolutions de l’ONU et du G7 qui qualifient la Russie d’"agresseur » – La Repubblica « la déchirure de Washington. L’impression est que, dans le but de porter Poutine à la table des négociations, la Maison Blanche est déjà en train de concéder un peu trop à la Russie ». – La Stampa « Trump met Zelensky au pied du mur. La rencontre entre Kellog et Zelensky n’aboutit à rien et la conférence de presse est annulée ». – Foglio « Trump isole de plus en plus l’Ukraine et l’Europe a dû mal à accepter une Amérique hostile » – Domani « les terres rares et les pactes avec Poutine, les vrais objectifs de Trump en Ukraine : il veut un général à la place de Zelensky, Valery Zaluzhny, ancien chef des forces armées ukrainiens » – Stampa « Trump crée le chaos et la confusion avec pour objectif une rapide conclusion du conflit russo-ukrainien pour se concentrer sur le vrai rival : la Chine »
La réponse européenne. – Corriere « Le plan franco-britannique prévoit le déploiement d’environ 30 000 soldats mais loin de la frontière. Le plan repose sur une condition préalable : qu’il y ait un filet de sécurité américain sous forme de couverture aérienne. C’est toutefois un engagement qui n’est pas acquis, et c’est pour cela que Macron puis Starmer se rendront à Washington afin d’obtenir le feu vert de Trump. Il ne s’agirait pas d’une force d’interposition mais d’un contingent en défense des sites cruciaux ukrainiens : les villes, les ports et les centrales ». – Stampa : « Nous assistons à une Europe à la merci de la loi du plus fort et qui semble encré à un monde qui n’existe plus. Comme l’objectif d’une « paix juste », principe noble mais qui risque de se réduire à un slogan vide puisque le droit international semble tragiquement impuissant » - Domani « Le cyclone Trump s’abat sur Kiev. L’Union Européenne est encore sous le choc mais Macron et Starmer gardent les canaux ouverts avec Washington ».
La position du gouvernement italien. – Corriere della Sera « L’équilibre difficile de Meloni entre Trump et Zelensky » : « Pour rompre le silence gêné qui durait depuis des jours et qui avait suscité de nombreuses discussions, Giorgia Meloni a choisi la voie la plus discrète possible : le communiqué avec lequel elle rend publique son échange avec Trudeau, deux lignes bien mesurées soulignant la tentative de rappeler le soutien à l’Ukraine sans toutefois courir le risque de décevoir ou d’irriter le locataire de la Maison Blanche. Ce n’est pas un hasard si le nom de Zelensky n’y figure pas. L’Italie reste aux côtés de l’Ukraine mais le ton est bien plus prudent et moins passionné. Car la tentative est de garder un équilibre, de plus en plus difficile, entre l’amitié avec Zelensky et le rapport privilégié avec Trump » – Messaggero : « Meloni, éclipsée par Macron, prépare son plaidoyer pro-OTAN pour la CPAC, sans évoquer directement la guerre en Ukraine. Elle n’assistera pas à la visioconférence du G7 pour le troisième anniversaire du conflit mais, en échange avec Trudeau, elle réaffirme son soutien à Kiev ». – Corriere « Emmanuel Macron, qui à ce stade est plus un adversaire qu'un allié pour Meloni, atterrira à Washington lundi. La présidente du Conseil, convaincue que « l'Europe doit donner une idée d'unité », estime également que « cela n'aurait pas de sens de faire la course à celui qui arrivera le premier à la Maison Blanche ». C’est la raison pour laquelle elle participera au meeting du Cpac juste en visioconférence, demain à 19h, avant la prise de parole de Trump ». – Repubblica « Le coup le plus dur reste toutefois la visite imminente d'Emmanuel Macron à Washington. Un « dépassement » qui a laissé des traces, notamment parce que le Français brûle tout le monde sur la vitesse. Meloni, de son côté, continue de garder son équilibre. Elle ne participera pas au G7 pour des raisons d’agenda, fait-elle savoir à Trudeau. Des sources gouvernementales affirment que l'Italie a tenté de demander le report du sommet de quelques heures, sans succès. ». – Stampa « ’Giorgia Meloni participera finalement à la Conservatrice political action conference’’ aux cotés de Milei, Farage, Vox, Bardella… Il est probable que Giorgia Meloni exprime officiellement ses réserves quant au sommet de Paris sur l’Ukraine à cette occasion. En revanche, elle ne participera pas aux prochaines réunions ou initiatives européennes sur l’Ukraine »
La France. Corriere della sera : « Macron répond en direct sur les réseaux sociaux « nous sommes en guerre » : « Macron s'est exprimé clairement, désireux d'expliquer aux Français que « nous sommes en guerre, d'une certaine manière », comme nous l'étions en 2020 contre le Covid. Cette fois, la menace est la Russie, « une puissance militaire dangereuse et impérialiste » Macron a expliqué que nous entrions dans une nouvelle ère, sans le « parapluie » de protection américain et que l’Europe doit par conséquent augmenter sensiblement ses dépenses militaires par le biais de la dette commune. Macron se rendra chez Trump pour lui dire de ne pas se montrer faible devant Poutine alors qu’il devra affronter la Chine ; Le président a aussi insisté sur l’importance de la dissuasion nucléaire française qui défend les intérêts vitaux » – Sole 24 Ore « Hier le président Macron a réussi à obtenir un accord de principe de la part des partis politiques – à l’exception de l’embarras du RN, dont le président Bardella est à Washington pour le meeting des conservateurs – pour un plein soutien à l’Ukraine. Il a parlé aussi de « non alignement » entre la Russie et les Etats-Unis. – La Stampa « C’est depuis lundi que le président Macron est en train de travailler pour favoriser une coordination européenne. Enfin hier, il a décidé de se s’adresser directement aux citoyens européens lors d’une discussion en direct sur les réseaux sociaux. Il l’a fait pendant plus d’une heure, en répondant aux questions sur la situation actuelle. La thématique la plus sensible a été l’envoi de troupes françaises en Ukraine. Le président français a confirmé que la France veut participer à une mission de paix qui soit de dissuasion, afin d’éviter les erreurs commises avec les accords de Minsk après la première invasion de 2014 »
Affaire Cospito. Messaggero : « le secrétaire d’Etat à la justice A. Delmastro a été condamné en premier degrés de jugement à huit mois de prison pour divulgation d’informations sous secret professionnel à Donzelli Giovanni (Frères d’Italie), député Frères d’Italie. La peine est suspendue, et le secrétaire d’Etat reste en poste. Pour Meloni, "le verdict est déconcertant". Le ministre de la Justice Nordio (Frères d'Italie) le défend : "Nous continuerons à travailler ensemble". Le gouvernement estime que le procès est une "farce", mené par des magistrats issus du courant "Magistratura Democratica", réputé hostile aux réformes gouvernementales. L’opposition, dénonçant des "propos subversifs", exige sa démission. Contrairement à Delmastro, Santanchè est en position plus fragile : Meloni aurait confié en privé que son cas est d’une "nature différente" ». – Foglio « C’est la première vraie crise de Meloni: l’affaire Delmastro représente le dernier faux pas. De l'affaire Almasri aux services secrets, de Santanché (Frères d'Italie) à la guerre contre les magistrats jusqu'à son plus gros problème : Trump. La présidente du Conseil se sent prise d'assaut. Chronique d'une forteresse assiégée »
Andrea Delmastro et Giorgia Meloni
Il Messaggero, Matteo Renzi, dirigeant d’Italia Viva et ancien président du Conseil : « nous aurons affaire à Trump pendant les quatre prochaines années. Si l’Europe n’accepte pas cela et ne se réveille pas, elle est condamnée. Si nous nous n’unissons pas, nous serons balayés. Il faut un pacte entre l’Allemagne, la France et l’Italie : créer un noyau européen restreint en mesure de rester uni face aux défis majeurs. Il faut un patriotisme européen et être en mesure de s'asseoir à la table avec tout le monde, à commencer avec les Américains. Meloni se retrouve dans une impasse. En politique internationale, maintenant que Trump est arrivé, elle se retrouve entre l'enclume et le marteau. Meloni navigue à vue. »
Il Messaggero, Matteo Salvini, dirigeant de la Ligue et vice-président du Conseil : « Trump fait une grande chose en amenant la Russie et l'Ukraine à la table des négociations pour la première fois. Mme Von der Leyen, quant à elle, ne semble pas avoir résolu grand-chose ces dernières années. Ira-t-elle à Kiev ? Qu'elle aille où elle veut. Je suis convaincu que Trump réussira à apporter la paix, ce que ni Biden ni l'UE avec von der Leyen n'ont fait ces dernières années ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
14:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
20/02/2025
"Après les élections : 700 milliards pour l'Ukraine ! Et pour nos retraites ?"
Allemagne. Le parti de gauche anti-immigration BSW appelle à un référendum sur le soutien allemand à l'Ukraine. Il est apparu que les Occidentaux désirent mettre en place un important programme de financement de l’Ukraine. La candidate du BSW à la Chancellerie Sahra Wagenknecht déclare : « « 700 milliards pour l’armement de l’Ukraine et le déploiement de troupes de la Bundeswehr ? Nous exigeons un référendum sur la politique allemande à l’égard de l’Ukraine. »
"Après les élections : 700 milliards pour l'Ukraine ! Et pour nos retraites ?"
22:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le FPÖ désire soumettre une motion demandant l’organisation d’élections législatives anticipées.
Autriche. Le FPÖ désire soumettre une motion demandant l’organisation d’élections législatives anticipées.
22:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
Avec 25 % des sièges, l'AfD pourrait créer des commissions d'enquête.
Allemagne. Avec 25 % des sièges, le parti patriotique AfD peut, à lui seul, créer des commissions d'enquête à la Chambre des députés : sur le coronavirus, l'explosion de Nord Stream, la migration, …
22:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
Oskar Lafontaine estime que des frontières ouvertes pour tout le monde et un État providence fort ne vont pas ensemble.
Allemagne. Le mari de la figure de proue du parti de gauche anti-immigration BSW Sahra Wagenknecht, Oskar Lafontaine, estime que des frontières ouvertes pour tout le monde et un État providence fort ne vont pas ensemble.
Oskar Lafontaine et Sahra Wagenknecht
22:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
"5 bonnes années pour Vienne. Sécurité, impartialité. Maintenant plus que jamais."
Autriche. État de Vienne. Le FPÖ de Vienne basera sa campagne électorale pour les élections du 27 avril 2025 pour le Parlement de l'État de Vienne/Conseil communal de Vienne sur l'impartialité et la sécurité.
"Notre ville. Nos règles."
"5 bonnes années pour Vienne. Sécurité, impartialité. Maintenant plus que jamais."
21:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD donnée à 21 % et le BSW à 5 %.
Allemagne.
(http://wahlrecht.de/umfragen/insa.htm)
SPD : sociaux-démocrates
CDU/CSU : démocrates-chrétiens / sociaux-chrétiens bavarois
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
AfD : patriotes
Die Linke : post-communistes
BSW : gauche anti-immigration
Sonstige : autre
21:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les Démocrates suédois estiment que la Suède doit être suédoise.
Suède. Les Démocrates suédois estiment que la Suède ne doit pas être multiculturelle, mais doit être suédoise.
21:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
lon Musk critique le président de la Cour constitutionnelle roumaine Marian Enache.
États-Unis et Roumanie. Elon Musk critique le président de la Cour constitutionnelle roumaine Marian Enache pour avoir rejeté l'appel du gouvernement américain à des élections équitables en Roumanie : « Ce type est un tyran, pas un juge. »
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/02/19/c%C...)
20:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Nous sommes le pays de l'automobile et voulons le rester."
Allemagne.
18:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
"La présidente du Conseil choisit la stratégie du silence, elle est la seule leader européenne à ne s’être exprimée publiquement sur les déclarations de Trump."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour sont consacrées aux déclarations de D. Trump sur V. Zelensky « L’attaque de Trump contre Zelensky » (Corriere della Sera), « Trump insulte Zelensky », (Repubblica) « Trump déclare la guerre à Zelensky » (Stampa), « « Trump-Zelensky, l’affrontement » (Messaggero), « Le camouflet infligé à l’Ukraine » (Avvenire), « Trump réduit Zelensky en miettes » (Giornale). Le prochain déplacement du Président de la république aux Etats-Unis est cité en Une de Libero « Mission avec Starmer, le plan de Macron : des troupes européennes pour assurer la trêve à Kiev » et dans les pages intérieures des principaux quotidiens.
Les JT couvrent essentiellement, outre les sujets traités par les quotidiens, le Moyen-Orient, avec la libération de nouveaux otages israéliens, la visite à Rome du président israélien I. Herzog et l’audition du ministre de la justice Nordio sur l’affaire Paragon.
Réactions aux déclarations de Trump sur Zelensky. – Repubblica « L’Italie et l’Europe se retrouvent à un carrefour qui décidera des nouveaux équilibres occidentaux. Cela concerne l’OTAN et les relations avec les Etats-Unis et la Russie. C’est un terrain inexploré pour Meloni, tout comme pour ses adversaires politiques au niveau national et international ». – Messaggero « le camouflet de Trump à Zelensky retentit jusqu’au Palais Chigi et laisse G. Meloni consternée, elle qui a toujours été aux côtés du président ukrainien. L’équipe de Meloni appelle au calme : ‘’quand il y aura un accord, nous ferons des déclarations’’ » – Repubblica « sondages, 52,1% des Italiens critiquent Trump, 7 jeunes sur 10 le considèrent comme dangereux. 56,9% considèrent que l’Europe a encore besoin de la défense et de la présence des Etats-Unis et de l’OTAN ». – Corriere della Sera « Bazooka et mensonges, le spectacle de Trump qui chamboule la réalité contre l’ancien allié ». – La Stampa « Kiev trahie et abandonnée par son ancien allié »
La France et l’UE – Repubblica « L'idée d'une armée commune de l'Union européenne sert avant tout les intérêts politiques de la France, pays très éloigné du souverainisme de la droite melonienne, plutôt encline à réintroduire une version actualisée de l'ancien schéma euro-atlantique ». Stampa (N. Tocci) : « L’Union européenne doit faire preuve de courage et envoyer des troupes en soutien à Kiev ». – Corriere della Sera « les Européens ne renoncent pas à la solution du dialogue. Le président Macron, qui a convoqué une seconde réunion européenne, se rendra à Washington où est prévu un tête-à-tête avec Trump. – Sole 24 Ore : « Le président français Emmanuel Macron maintient l'initiative diplomatique sur l'Ukraine avec le deuxième sommet en deux jours convoqué hier à Paris, après le sommet de lundi avec sept pays et les chefs des institutions de l'UE. Entre-temps, comme l'a annoncé hier le conseiller américain à la sécurité nationale Mike Waltz, Macron se prépare à rendre visite au président américain Donald Trump la semaine prochaine à Washington, en compagnie du Premier ministre britannique Keir Starmer ». – Domani : « Emmanuel Macron cherche à s’imposer comme « metteur en scène et médiateur», multipliant les canaux de communication, y compris avec Moscou « quand le moment sera opportun». Il avait déjà accueilli Donald Trump il y a deux mois pour retisser des liens avec la future administration américaine, mais, après ses attaques répétées contre Zelensky, l’Élysée peine à décrypter la logique de Washington ». – Il Foglio : « Face aux résistances de l’Allemagne, de l’Italie et de l’Espagne pour un déploiement de troupes européennes en Ukraine, en raison de l’absence d’un filet de sécurité américain, utilisé comme excuse, Emmanuel Macron a expliqué qu'il existait des options plus limitées, telles que l'envoi d'instructeurs ou d'experts militaires loin de la ligne de front. En réalité, les Européens ont la force de compenser le désengagement américain en Ukraine, il faudrait un peu plus de courage ».
L’Italie. – Stampa « la présidente du Conseil choisit la stratégie du silence, elle est la seule leader européenne à ne s’être exprimée publiquement sur les déclarations de Trump ». – Repubblica « Le ministre Crosetto (Frères d’Italie) n’a pas tort quand il dit que « Trump doit imposer la paix à Poutine mais ne doit pas négocier en position d’infériorité » et c’est là le noyau de la ligne italienne par rapport à celle de l’allié américain. Le gouvernement italien est pris de court, certes, mais la présidente du Conseil n'a pas confiance dans les initiatives de Macron, même si elle ne peut pas le dire. Au lieu de cela, elle tente de sauver tout ce qu'elle peut de l'ancienne relation établie avec les États-Unis (et avec Kiev), tout en étant consciente que le scénario a radicalement changé ». – Il Messaggero « L’interprétation du Palais Chigi est que Trump est en train de privilégier les rapports de force et qu’il accueille ceux qui ont dit être disposés à envoyer des soldats en Ukraine dès maintenant. Corriere « ‘’Il est normal que Starmer et Macron aillent en premier’’, aurait dit Meloni , ‘’Grande-Bretagne et France étant membres du conseil de sécurité de l’ONU’’, mais elle n’approuve toujours pas l’idée d’envoi de troupes. Les oppositions demandent qu’elle dise ce qu’elle pense des sorties de Trump. Cependant dans un moment si compliqué pour elle n’a pas intérêt à répliquer coup sur coup à ses adversaires politiques ». – Repubblica « une visioconférence de Meloni à l’occasion du meeting du CPAC de Washington était imaginée ces derniers jours. Or, l’annonce de la visite de Macron et Starmer à la Maison Blanche embarrasse. Voilà pourquoi Meloni serait tentée par un coup de tête : se rendre physiquement au meeting américain. C’est un proche de Meloni, Italo Bocchino, qui laisse filtrer un indice : interviewé à une émission sur LA7, il laisse comprendre qu’une « surprise » américaine de Meloni serait en train d’arriver ». – Domani : « Ce rôle d’ «envoyé fantôme» d’une Europe en quête de leadership irrite Giorgia Meloni, qui aspire elle-même à être le pont entre Bruxelles et Washington et redoute une compétition interne. »
La position des partis italiens sur l’Ukraine et la Russie. Corriere della Sera : « ‘Trump pense comme nous’, ‘il a déjà accompli davantage que Joe Biden’ : l’escalade dans les propos de Giuseppe Conte (M5S) et Matteo Salvini (Ligue) qui adhèrent publiquement à la ligne trumpienne sur la guerre en Ukraine. L’axe entre les deux partis de l’ancien gouvernement M5S-Ligue refait surface. ‘’ ‘J’ai une très grande estime pour Donald Trump, qui œuvre dans l’intérêt de tous, à commencer par celui de l’Occident et donc le nôtre’ commente Matteo Salvini qui amène tout son parti à prendre position : lors de la réunion de direction de la Ligue ‘le plein soutien à l’engagement de Donald Trump pour mettre fin aux conflits’ a été souligné. ‘’ Trump démasque toute la propagande belliciste de l’Europe et dit une vérité que nous soutenons depuis trois ans : battre militairement la Russie n’est pas réaliste’ dit quant à lui le leader du M5S, Giuseppe Conte, qui attaque par ailleurs Zelensky pour ne pas avoir accepté l’accord proposé deux mois après l’invasion russe. Le Parti démocrate se retrouve dans l’embarras et l’eurodéputé Pina Picierno est la plus dure, évoquant une ‘limite à tout’. ». – Messaggero : « Suite à l’offensive de Trump contre Zelensky, la Ligue a gardé le silence radio et la compétition avec Giorgia Meloni pour savoir qui est le plus trumpien au sein du centre-droit est lancée. Giuseppe Conte et Matteo Salvini partagent la volonté de représenter une part de l’électorat lasse de la guerre. Ainsi, les grandes lignes de la politique italienne sont appelées à se redéfinir. Le retour de flamme semble éloigner -définitivement ? – les 5 Etoiles du PD. Les démocrates ne participeront finalement pas à la manifestation unitaire de toutes les oppositions lancées par le M5S. Pour des raisons de stabilité politique la Ligue a continué à voter en faveur des aides militaires à l’Ukraine au Parlement mais elle n’en peut plus».
Foglio – « Un espoir arrive de l’Allemagne dans le tsunami de pessimisme qui nous entoure : entre autres, Merz, hostile aux extrémistes de droite, a répondu de manière virulente à Trump e Vance qui s’en prenaient à l’Europe, il a dit clairement qu’il était inacceptable que la Russie et les US négocient sans l’Ukraine et l’Europe. Nous croisons les doigts pour qu’il soit élu : ce serait une splendide nouvelle pour l’Europe ».
Il Giornale, Tommaso Foti (Frères d’Italie), ministre chargé des Affaires Européennes et du PNRR : « « Hier, il y a eu une autre réunion où le Président Macron a dialogué avec les autres pays qui n’avaient pas été impliqués à celle de lundi. Il est clair que de cette manière l’on risque de générer de la confusion. Il aurait été préférable d’impliquer dès le début tous les États européens, y compris les Balkans occidentaux et le Royaume-Uni. L’UE doit dialoguer avec Washington, mais d’une seule voix. Quant à un éventuel « engagement direct » évoqué par la France, une mission de maintien de la paix ne pourrait être envisagée que sous un mandat onusien. L’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN dépendra du rôle qu’on souhaite lui attribuer. »
Il Foglio, Francesco Lollobrigida (Frères d’Italie), ministre de l’Agriculture : « ’Nous sommes pour une Europe plus politique et moins bureaucratique, et pour moins de réglementation. Le gouvernement travaille à cet objectif. Dans tous les domaines. Dans le domaine de l’agriculture, par exemple, tout est en train de changer. [La Commission européenne a présenté les nouvelles lignes directrices de la politique agricole européenne], marquant une nette discontinuité avec le passé et faisant siennes les requêtes, idées et propositions italiennes (simplification des normes, réduction des charges pour les agriculteurs, lutte contre les pratiques déloyales, réciprocité des règles pour les pays tiers avec des standards plus sévères sur les pesticides et la sécurité alimentaire). Ce traité est une opportunité pour nous, car il permettrait d’avoir un accès plus facile au marché que représente le MERCOSUR. Nous exportons beaucoup, donc nous sommes toujours intéressés à un marché ouvert. Toutefois, notre vote favorable sera conditionné par des garanties indispensables pour nous : qu’il n’y ait pas de victimes sacrifiées ou de secteurs pénalisés. Le commissaire européen à l'Agriculture et au Développement rural Christophe Hansen sera en visite à Rome le 25 mars prochain. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
12:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
19/02/2025
Herbert Kickl appelle les Allemands à voter pour l'AfD.
Autriche et Allemagne. Le président du parti patriotique d'Autriche FPÖ Herbert Kickl appelle les Allemands à voter pour le parti patriotique allemand AfD lors des élections législatives de ce dimanche. [L'AfD et le FPÖ siègent dans deux groupes différents au Parlement européen.]
20:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD donnée à 20% et le BSW à 4 %.
Allemagne.
(https://www.wahlrecht.de/umfragen/gms.htm)
SPD : sociaux-démocrates
CDU/CSU : démocrates-chrétiens / sociaux-chrétiens bavarois
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
AfD : patriotes
Die Linke : post-communistes
Électeurs libres
BSW : gauche anti-immigration
Sonstige : autre
15:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
Călin Georgescu poursuivra, pour haute trahison, les magistrats qui ont annulé le premier tour des élections présidentielles.
Roumanie. Si le candidat nationaliste à la présidence de la République Călin Georgescu accède finalement à cette fonction, il poursuivra, pour haute trahison, les magistrats qui ont annulé le premier tour des élections présidentielles. Une commission sera mise en place à cette fin.
14:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Pas de citoyenneté autrichienne pour les demandeurs d'asile."
Autriche.
Le président du FPÖ Herbert Kickl : "Pas de citoyenneté autrichienne pour les demandeurs d'asile !"
14:40 | Lien permanent | Commentaires (0)