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14/09/2024

Les patriotes de l'AfD sont donnés à 19 % et la gauche anti-immigration BSW à 10 %.

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Allemagne. Les patriotes de l'AfD sont donnés à 19 % et la gauche anti-immigration BSW à 10 %.

(https://www.wahlrecht.de/umfragen/insa.htm)

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SPD : sociaux-démocrates

CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens

Grüne : écologistes

FDP : libéraux

AfD : patriotes

Die Linke : post-communistes

BSW : gauche anti-immigration

Sonstige : autres

Le BSW affirme que de nombreux immigrés intégrés rejettent la politique migratoire actuelle.

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Allemagne. Le co-vice-président du parti de gauche anti-immigration BSW Shervin Haghsheno, originaire d'Iran, estime que de nombreux immigrés intégrés ne sont aussi pas d'accord avec la politique migratoire actuelle.

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L'Allemagne accueillera 250.000 travailleurs kényans.

Allemagne. Deux semaines après leur déroute électorale en Thuringe et en Saxe, les partis du gouvernement fédéral concluent un accord avec le Kenya afin d'accueillir 250.000 travailleurs issus de ce pays.

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13/09/2024

Le Spiegel titre : "Jeunes d'extrême droite. Pourquoi autant de jeunes pensent ethniquement."

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Allemagne.

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"Jeunes d'extrême droite. Pourquoi autant de jeunes pensent ethniquement."

Mecklembourg-Poméranie occidentale : les élus libéraux ne veulent plus siéger à côté de ceux de l'AfD.

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Allemagne. Mecklembourg-Poméranie occidentale. Les élus libéraux du FDP ne veulent plus siéger au sein du Parlement du Mecklembourg-Poméranie occidentale à côté des élus nationalistes de l'AfD.

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Pia Kjærsgaard quittera la Chambre des députés.

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Danemark. La figure de proue et ancienne présidente du Parti populaire danois Pia Kjærsgaard, âgée de 77 ans, ne se présentera pas aux prochaines élections législatives.

"Il est temps d'être, à nouveau, autorisé à s'exprimer librement."

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Allemagne. Brandebourg.

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"Il est temps d'être, à nouveau, autorisé à s'exprimer librement."

"Taux, le gouvernement contre la BCE."

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Italie. Revue de presse.

La presse italienne titre largement sur l'abaissement du taux directeur de la BCE  « Taille dans les taux : baisse de 0.25%"» (Repubblica, Sole, Messaggero), « Taux, le gouvernement contre la BCE : il faut plus de courage » (Stampa, Giornale), l'Ukraine « Plus de missiles à kiev ? Poutine menace: « l'OTAN en guerre » » (Corriere), « mandat d'arrêt de Moscou contre deux journalistes de la Rai à Koursk  » (Repubblica) et la finalisation de la loi de finances (Corriere, Avvenire).

ARTICLE, La Stampa, par F. Goria, « BCE, réduction des taux mais ralentissements sur les prochains objectifs : le gouvernement attaque : « Ce n’est pas suffisant » » : Les réactions s’enchainent au gouvernement. D’après le leader de Forza Italia et ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani, ‘’réduire de 0.25% n’est pas assez, nous devons nous concentrer sur la croissance, l’inflation est en baisse’’ . Il ajoute ‘’La BCE devrait pouvoir en faire plus et je crois que l’on devrait en modifier les statuts pour qu’elle ne soit plus que la gardienne de l’inflation, mais qu’elle puisse intervenir sur les variables monétaires pour soutenir la croissance et l’économie réelle’’. Le ministre Urso a lui suggéré à Lagarde ‘’il faut écouter Draghi, pour qui nous avons besoin de plus de croissance. J’appelle à avoir plus de courage et plus d’efficacité’’  face à une réduction des taux jugée ‘’insuffisante’’. Le président FDI de la commission des Finances Marco Osnato se montre lui plus prudent : ‘’C’est bien que Francfort pense à la croissance, mais il doit créer un cadre de stabilité dans lequel la politique fiscale puisse agir avec succès. Le gouvernement est prêt et continuera à prendre sa part du travail’’. Lagarde n’a pas manqué de recommander aux gouvernements, en s’appuyant sur les conclusions du rapport Draghi/Letta, d’entreprendre ‘’maintenant’’ les réformes pour réduire les déficits budgétaires.  ‘’Les gouvernements devraient entreprendre avec détermination leurs plans à moyen terme pour les politiques fiscales et structurelles’’ ».

COULISSES, Corriere della Sera, de M. Guerzoni, « Le gouvernement n’a pas peur des conséquences et après le changement de ministre de la Culture, la Présidente du Conseil envisage un remaniement » : « A la Présidence du Conseil, ils sont de plus en plus nombreux à penser que plus on en parle de l’affaire Boccia-Sangiuliano, mieux c'est pour le gouvernement, pourvu que cela la discrédite et mette en lumière les mensonges de l'influenceuse. Au Palais Chigi, on est convaincu que plus cette affaire prendra de l’ampleur plus elle sera susceptible d’alimenter leur popularité, ‘’victimes’’ face aux ‘’oppositions médiatiques’’. La Présidente du Conseil a déjà montré qu’elle les craignait bien plus que les oppositions politiques. Par ailleurs, l'affaire Boccia-Sangiuliano ‘’occulte’’ depuis quinze jours les "vrais problèmes du pays", à la satisfaction mal dissimulée de l’entourage de Meloni. On dit que le remplacement éclair du ministre de la Culture a brisé 'le tabou du remaniement' pour Giorgia Meloni. Un mot auparavant imprononçable qu’on entend désormais beaucoup au Palais Chigi. Même si elle a toujours défendu son équipe dirigeante, la leader de Fratelli d’Italia pense à la renforcer, parce qu'à l’usage, tous les choix ne se sont pas révélés adaptés. L'inquiétude concernant un remaniement s'est accrue parmi les ministres. Même ceux qui pensaient que Meloni l'éviterait comme la peste, en raison de son obstination à vouloir arriver à la fin de la législature avec la même équipe, ne se sentent plus en sécurité. La ministre du Tourisme Daniela Santanchè pourrait être visée dans un procès pour fraude présumée. Bien avant cela, il faudra remplacer Raffaele Fitto, sans forcément devoir redemander la confiance au Parlement, d’après les informations des Présidences de la République et du Conseil. Or la Présidente du Conseil n’envisage pas de ‘’gouvernement bis’’, elle tient trop à établir un record, en associant son nom à l'un des gouvernements les plus durables de l'histoire de l'Italie. »

ARTICLE, Il Foglio, E. Antonucci, « Pourquoi le décret de loi sur la sécurité est le fruit du populisme pénal » : « Le décret de loi sur la sécurité, cher à la droite sécuritaire et examiné ces jours-ci à la Chambre, marque le triomphe du populisme pénal. Si l'on lit attentivement le texte, on découvre qu'elle introduit 24 nouveaux délits, des circonstances aggravantes et des peines plus sévères. Vingt-quatre, d'un seul coup. Comme si c’était une urgence nationale. La présidente du Conseil Meloni l’avait en effet annoncé, interviewée il y a une semaine sur Rete 4 : ‘’La sécurité sera ma priorité dans les mois à venir’’. De toute façon, cela ne coûte rien. Il suffit d'insérer une petite clause dans quelques articles du code pénal et le tour est joué. Le tout peut être ainsi offert à l’opinion publique. Mercredi, plusieurs élus de Fratelli d’Italia avaient posté la même image de Meloni rayonnante avec la légende ‘’le texte a été approuvé, prison de 2 à 7 ans’’ pour les squatteurs. Le ministre de la Justice Carlo Nordio n’est pas sur les réseaux sociaux, mais il est facile d’imaginer sa tête, lui, le défenseur de la dépénalisation, qui maintenant se tait et qui doit avaler un énième réforme justicialiste. »

 ARTICLE, Il Foglio, « La décision de Scholz représente une opportunité pour l’Italie » : « Le chancelier allemand Olaf Scholz, aux prises avec la poussée électorale de l'extrême droite, a décidé de durcir sa politique d'immigration. Comment le gouvernement italien doit-il réagir ? Il devrait tout d'abord éviter de suivre la voie indiquée par la Ligue : selon la sénatrice Mara Bizzotto, par ailleurs vice-président de la commission Schengen, ‘’le social-démocrate allemand dit ce que nous, à la Ligue, disons depuis 20 ans’’. Les questions migratoires ne peuvent être abordées dans le cadre d'une logique nationale, qui, en outre, se fait au détriment des pays de première arrivée tels que l'Italie. Au lieu d'une régression de l'initiative européenne, nous devrions pousser à son renforcement, à la recherche de mécanismes plus efficaces pour partager les problèmes continentaux. Ce n’est certainement pas une voie facile mais cela représente la seule alternative aux initiatives du ‘’chacun pour soi’’. Cette initiative devrait venir avant tout des pays les plus exposés à l’immigration irrégulière, comme l’Italie. » 

COMMENTAIRE, La Repubblica, L. Abate « Les responsabilités de Matteo Salvini » : « Le ministre de l'intérieur de l'époque a refusé le débarquement dans un port italien pendant 19 jours aux immigrants secourus par le navire de l'ONG Open Arms, les privant de leur liberté personnelle et abusant de son pouvoir, violant même un certain nombre de lois internationales. Matteo Salvini est aujourd'hui non seulement ministre des Infrastructures et des Transports, mais aussi vice-président du Conseil. Au-dessus de sa tête plane la décision qui sera prise par le tribunal à l'issue des demandes qui seront formulées demain par les procureurs. A part l’aspect juridique, sa décision n'était pas un acte politique du gouvernement. Car, comme l'ont révélé les témoignages, la décision d'interdire le débarquement des migrants n'a pas été partagée avec le reste de son gouvernement. Ce choix était exclusivement celui du dirigeant de la Ligue. Indépendamment de ce que décidera le juge, ce qu'il reste de cette histoire, c'est qu'un dirigeant politique a agi contre des êtres humains faibles et sans défense dans le seul but de recueillir des voix. »

PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de F. Basso, « Les socialistes ne ferment pas la porte à Raffaele Fitto (Frères d’Italie) » : « L'ancien Premier ministre slovène Janez Janša se met à nouveau en travers du chemin de la présidente de la Commission européenne, bien qu'ils appartiennent tous les deux au PPE, au sujet de la commissaire désignée par Ljubljana, risquant de provoquer un nouveau report de la présentation de l’exécutif européen et des différents portefeuilles. Cela poserait également un problème au Parlement européen, qui doit programmer les auditions puis le vote en séance plénière. L’allongement des délais laissent toutefois aux différents groupes davantage de temps pour insister sur leurs demandes respectives, ce qui risque de provoquer un effet d'usure. Hier, les socialistes ont à nouveau insisté sur leurs "priorités", sans pour autant fermer la porte à l'hypothèse d'une vice-présidence exécutive pour Raffaele Fitto, qui devra démontrer son "adhésion aux valeurs européennes". L'hypothèse de confier la vice-présidence au groupe ECR, qui n'a pas voté pour U. von der Leyen, reste "incompréhensible". Ainsi, la vice-présidence de la Commission, bien que contestée par le groupe des socio-démocrates, les Verts et Renew, ne serait pas menacée. R. Fitto serait par ailleurs nommé commissaire à l’Économie et au Plan de Relance, et serait également en charge de la task force sur la relance. Concernant le calendrier, seule l’affaire soulevée par la Slovénie bloque encore. Le candidat slovène initial avait été remplacé par l'ancienne diplomate Marta Kos en réponse à la volonté d‘U. von der Leyen de nommer davantage de femmes. M. Kos doit d'abord passer devant la commission des affaires européennes du Parlement slovène pour devenir officiellement candidate. L'audition était initialement prévue aujourd'hui mais la délégation slovène au sein du S&D a demandé l'accès aux documents afin de connaître la "véritable" raison du retrait de Vesel, le candidat initial. » 

COMMENTAIRE, La Stampa, de M. Sorgi « La fin du double jeu » : « il n’est pas clair si la décision de remplacer Giorgetti et Fontana comme vice-secrétaires de la Ligue servira à donner plus d’autonomie respectivement au ministre de l’Economie et au président de la Chambre. Cela servira plutôt à donner plus de liberté à Salvini de mener sa campagne sur la loi de finances et de lancer des propositions comme un taux d’imposition à 15% pour les professions libérales. Or, le nouveau Pacte de Stabilité réduit les marges de promesses sans couverture financière. Cela augmentera inévitablement les tensions au sein même de la majorité et avec l’opposition. Meloni, pour sa part, espère que les critères du Pacte seront dilués lors des négociations avec Bruxelles (aussi parce que l’Italie fait partie d’un groupe assez large de pays partageant les mêmes problèmes, comme la France et l’Allemagne). Cette négociation retombera aussi sur Fitto. Ce dernier sait très bien que l’Italie fera l’objet d’une attention particulière, en raison aussi du double jeu ‘’européiste-souverainiste’’ inauguré par Meloni au début de la mandature avec le ‘’non’’ au deuxième mandat de von der Leyen et les négociations intenses menées pour faire obtenir à l’Italie un poste dans l’exécutif italien. Bref, avec les nouvelles règles sur la stabilité, Meloni se retrouve face à un dilemme bien avant ses prévisions. »

ARTICLE, Corriere della Sera, par A. Muglia, « Mandat d’arrêt de Moscou contre une journaliste du TG1 après un reportage en Russie » : « Stefania Battistini figure sur une liste de personnes recherchées par le Kremlin pour ‘’avoir illégalement traversé la frontière’’, comme l’a fait savoir le ministre de l’Intérieur russe. Avec le technicien Simone Trani, elle avait été la première à documenter les incursions ukrainiennes en territoire russe en aout dernier. Battistini a été rappelée, courant le risque d’être condamnée à 5 ans d’emprisonnement en Russie. Pourtant, le statut du journaliste sur les zones de guerres est protégé par la Convention de Genève, et même les Russes en admettent parfois certains parmi eux, comme à Marioupol dans le Donbass où le photo-reporter Gabriele Micalizzi avait réussi à pénétrer. La montée des tensions diplomatiques entre l’Italie et la Russie était inévitable, et le ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani a convoqué l’ambassadeur russe en Italie : Alexandre Paramonov devrait être reçu à la Farnesina cet après-midi. Tajani a exprimé sa ‘’surprise’’ par rapport à une ‘’décision singulière’’, une première en presque 3 ans de conflit. La Rai a dénoncé un ‘’acte de violation de la liberté de l’information. La journaliste et le technicien ont accompli de manière exemplaire et objective leur travail de témoignage des évènements’’, peut-on lire dans un communiqué, ‘’La Rai se réserve le droit d’œuvrer en chaque endroit pour dénoncer la décision du gouvernement russe’’. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Alice Weidel exige la mise en place de clôtures frontalières.

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Allemagne. Dans le cadre de la campagne électorale au Brandebourg, la coprésidente de l’AfD Alice Weidel exige la mise en place de clôtures frontalières, des négociations pour la paix en Ukraine et l'arrêt des livraisons d'armes à l’Ukraine.

Le parti écologiste autrichien appelle à l’instauration d’un cordon sanitaire autour du FPÖ.

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Autriche. Le parti écologiste Die Grünen appelle à l’instauration d’un cordon sanitaire autour du parti patriotique FPÖ.

Les Pays-Bas demanderont à l'UE une option de retrait sur la politique d’asile.

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Pays-Bas. Le ministre PVV de l'Asile Marjolein Faber envisage d'utiliser la loi d'urgence pour déclarer une crise légale de l'asile. De plus, le gouvernement demandera la semaine prochaine à l’UE une option de retrait sur la politique d’asile.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/09/11/gee...)

La Suède augmentera fortement la prime pour la remigration.

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Suède. Les Démocrates de Suède qui soutiennent de l’extérieur le gouvernement mettent au point avec ce dernier l’augmentation considérable en 2026 de l’allocation pour la remigration. En même temps, la législation est révisée afin de réduire les fraudes et les abus.

Sahra Wagenknecht et Mario Voigt se sont rencontrés.

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Allemagne. La coprésidente fédérale de l’AfD Sahra Wagenknecht a rencontré à Berlin le dirigeant du parti démocrate-chrétien CDU de Thuringe Mario Voigt.

12/09/2024

Brandebourg : les nationalistes de l'AfD sont donnés à 27 % et la gauche anti-immigration BSW à 13 %.

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Allemagne. Brandebourg. Les nationalistes de l'AfD sont donnés à 27 % et la gauche anti-immigration BSW à 13 % pour les élections pour le Parlement du Brandebourg du 22 septembre. (Seuil à 5 %)

(https://www.wahlrecht.de/umfragen/landtage/brandenburg.htm)

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SPD : sociaux-démocrates

AfD : nationalistes

CDU : démocrates-chrétiens

Grüne : écologistes

Die Linke : post-communistes

Électeurs libres

BSW : gauche anti-immigration

Sonstige : autres

Après avoir présenté 22 candidats, l'AfD n'a toujours pas de vice-président de la Chambre des députés.

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Allemagne. Après avoir présenté 22 candidats depuis 2021, le parti patriotique AfD n'est toujours pas parvenu à faire élire un de ses représentants au poste de vice-président de la Chambre des députés qui lui revient.

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"Une réduction d'impôts pour les parents de famille nombreuse."

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Italie. Revue de presse.

En unes : retour sur le débat entre D. Trump et K. Harris « Harris fait mieux que Trump » (Corriere, Repubblica, Stampa), la loi de finances « Une réduction d'impôts pour les parents de famille nombreuse » (Stampa, Messaggero, Giornale) et enfin les suites de l'affaire Sangiuliano-Boccia « Selon Boccia, Arianna Meloni aurait décidé de son licenciement » (Fatto, Tempo, Repubblica).

ARTICLE, Corriere della Sera, F. Basso « L’opposition à la candidature de Raffaele Fitto (Frères d'Italie) demeure, von der Leyen cherche le dialogue » : « Selon diverses sources européennes, ni les socialistes ni les libéraux n'ont les voix nécessaires pour changer réellement le scénario, en utilisant le levier des auditions parlementaires, les populaires étant déterminants dans cette législature. Ils peuvent toutefois se lancer dans une guérilla d'usure qui mènerait à un allongement du délai. Une guerre dans les auditions ne profite à personne. Si Fitto, défendu par les Populaires, devait tomber, le même traitement serait réservé au libéral Breton et à la socialiste Ribera. En commission, un commissaire a besoin des deux tiers des coordinateurs. S'il est rejeté, après un examen plus approfondi, il est soumis à un vote à la majorité simple en commission : or la gauche, le S&D, les Verts et le Renouveau n'ont pas le nombre de voix requis. »

COMMENTAIRE, Corriere della Sera, de M. Franco « Les nominations européennes soulignent les divisions au sein des partis de gauche » : « Tout semble conspirer pour rendre difficile le chemin pour la nomination de R. Fitto à la vice-présidence de la Commission ou du moins pour affaiblir le rôle de l’Italie en Europe. Ce qui autorise aux oppositions d’évoquer un isolement du gouvernement Meloni. Cette situation pourrait servir d’alibi à ceux qui, au sein même du PD, veulent exploiter le faux pas du Palais Chigi [ne pas avoir voté pour la présidente de la Commission] pour donner au candidat italien des portefeuilles moins importants et de négocier en augmentant le prix de leur consentement auprès de la Commission. On se retrouve ainsi dans une impasse décisionnelle qui semble empêtrer aussi le PD de Schlein. Cette dernière attend les auditions afin de voir si Fitto se montrera suffisamment européen, mais cela apparait comme un prétexte. C’est un jeu dangereux et le véto du PSE rend le terrain glissant pour le PD. Alors que Verdi-Sinistra et le M5S ont déjà dit vouloir rejeter la candidature de Fitto. Le soutien de Weber à Fitto apparait une stratégie d’exploitation. Weber a toujours œuvré pour rapprocher le PPE des partis de droite. C’est une convergence qui a rencontré des obstacles au sein même de la CDU et qui doit maintenant se confronter avec des distances difficilement réductibles en politique étrangère. »

ENTRETIEN, Corriere della Sera, de Nicola Zingaretti, chef de délégation du PD au Parlement Européen « Nous sommes d’accord pour que le commissaire italien ait un rôle important mais il faut un profil européen » : « Il est juste que l’Italie obtienne un poste de relief. Le PD a fortement critiqué la stratégie de FDI de ne pas voter U. von der Leyen : les problèmes actuels sont le fruit de ces erreurs. Nous constatons chez les Conservateurs des tergiversations : faisons-nous un pas en arrière ou avançons-nous dans l'Union ? J'espère que le commissaire Fitto prendra position dans ce sens. Alors, tout deviendra plus simple et plus clair. J'espère que lors de l'audition de R. Fitto, sa forte conviction pro-européenne primera et qu'il pourra se distancier d'un extrémisme dangereux pour l'Italie. L'intérêt national coïncide avec le développement de l'intégration, dont l'Italie a bénéficié ces dernières années. Le cordon sanitaire n’a jamais visé les Conservateurs mais uniquement les extrémistes. Comme l’a dit Draghi, il faut vouloir aller de l’avant. Nous avons besoin d’une Commission qui puisse avancer rapidement. »

ARTICLE, Repubblica, par G. Colombo, « 10 milliards manquent pour équilibrer les comptes : Meloni cherche l’aide de l’Istat » : « savoir patienter, même si l’Europe recommande de ne pas tarder ; c’est la ligne que Giorgia Meloni a transmise à Luca Ciriani, ministre des rapports avec le Parlement, en charge d’imposer un report des discussions parlementaires sur le Plan structurel du budget. La loi donnera la vision que la droite au gouvernement se fait du pays pour les 7 prochaines années et des rapports avec. La doctrine économique suggère de réduire les dépenses publiques ou d’augmenter les impôts, ce que Meloni a du mal à accepter. La majorité place ses espoirs dans la révision des estimations des comptes publics de ces 5 dernières années, que devra rendre l’Istat le 23 septembre. Au Palais Chigi, tous s’attendent à une révision à la hausse du PIB, signal très positif pour la dette. Il s’agirait du premier signe de fiabilité que Meloni voudrait mettre noir sur blanc à l’intérieur du Plan. Au ministère de l’Economie, la prudence est de mise alors que les partis de la majorité ne cessent de réclamer quelque chose de positif à exposer. Pour la présidente du Conseil, l’important est de ne pas s’essayer à des anticipations : quelle que soit sa taille, « l’ajustement » du PIB peut s’avérer utile. Le Parlement devra ainsi attendre la première semaine d’octobre pour examiner le Plan. Avant cela seront connues les nouvelles données de l’Istat et le projet pour les comptes, et la ligne de la majorité aura pu être discutée. Pour Giorgetti, ce calendrier est un signal de précarité sérieuse envoyé à l’Europe. Mais Meloni demeure intransigeante sur ce point, craignant que le Parlement ne se transforme en une arène déchainée contre le gouvernement. Peu importe si cela doit passer par un retard dans la présentation du Plan à Bruxelles. »

ARTICLE, Repubblica, par G. Vitale, « Giuli, réactions sur les nominations de l’ex ministre, G7 confirmé à Pompéi » : « Le G7 de la Culture est un autre problème à résoudre. Mais, comme l’a fait savoir la présidente du Conseil, les choses iront « tout droit ». Le maire de Pompéi Lo Sapio confirme le programme initialement prévu : visite des fouilles, concert dirigé par Béatrice Venezi, déjà conseillère de Sangiuliano pour la musique, et dîner dans le Grand gymnase. »

ARTICLE, Sole 24 Ore, de G. dell’Orefice, « Ministérielle G7 sur l’Agriculture à Ortigia (Sicile) : focus sur la souveraineté alimentaire et la qualité » : « La souveraineté alimentaire et la qualité sont les deux thèmes que la présidence italienne du G7 souhaite amener au cœur de la ministérielle prévue à Ortigia (Syracuse) à la fin du mois. Il s’agira d’un sommet-débat sur l’avenir de l’agriculture mondiale, auquel 10 pays africains participeront également pour un dialogue sur l’agriculture mais aussi sur la pêche. Parmi les 120 rencontres prévues, une place importante sera réservée à la formation et aux jeunes. Une session sera spécifiquement destinée à un sujet sensible pour l’Italie : le développement agricole des régions internes de plus en plus concernées par le recul démographique. Le sommet sera aussi une vaste vitrine pour les produits et les technologies agro-alimentaires made in Italy, notamment avec la ‘’Divinazione Expo 2024’’ et les 600 exposants attendus à travers la vieille ville. ‘’Syracuse porte les traces de toutes les civilisations qui sont passées sur ces terres : des contaminations qui sont aujourd’hui les racines de notre production agroalimentaire unique’’ a expliqué le ministre Francesco Lollobrigida. Les plus hauts membres du gouvernement et du Parlement, ainsi que les présidents des Commissions du Parlement européen relevant du secteur agro-alimentaire (Agriculture, Environnement, Pêche) seront présents à Ortigia. ‘’Nous souhaitons que le document final porte principalement sur la sécurité et la qualité alimentaire, deux volets sur lesquels l’Italie veut avoir un rôle de guide’’ a souligné le ministre italien. ‘’nous pourrons notamment apporter notre expertise aux agriculteurs extra-UE sur les labels AOC et IGP sur lesquels nous sommes leaders en Europe’’. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

11/09/2024

Les députés de Reform UK ont voté contre la décision de réduire les aides au chauffage pour les retraités.

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Royaume-Uni. Les cinq députés de Reform UK ont voté contre la décision du gouvernement travailliste de réduire les aides au chauffage en hiver pour les retraités.

"L'Autriche a un problème massif de sécurité, qui est causé par le cartel des partis du système !"

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Autriche.

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Le président du FPÖ Herbert Kickl "L'Autriche a un problème massif de sécurité, qui est causé par le cartel des partis du système !"

"La nomination de Fitto divise l'UE."

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Italie. Revue de presse.

Le report de la présentation des candidats-commissaires devant le parlement européen, avec notamment les oppositions exprimées sur le candidat italien Fitto (Frères d’Italie), fait la une « Ursula trébuche sur Meloni » (Repubblica), « La nomination de Fitto divise l'UE » (la Stampa), « Commissaires UE, vetos et renvois » (il Messaggero). Parmi les autres Unes, les suites de l'affaire Sangiuliano (Indépendant, autrefois MSI) « Boccia espionnait les députés et la Chambre l'avait bannie » (il Giornale), « Boccia s'échappe de la télévision pour ne pas répondre aux questions » (Libero).

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Maria Rosaria Boccia et Gennaro Sangiuliano

COMMENTAIRE, Corriere della Sera, M. Franco « Un ultimatum qui complique les équilibres de l’Europe » : « Le « non » des socialistes, des verts et des libéraux était hélas prévisible. Cela complique non seulement le choix du ministre Fitto à une vice-présidence, comme cela semble être l’orientation de von der Leyen qui a repoussé d’une semaine la présentation de son équipe. Cela rend plus difficile une ‘’décision sans préjugés’’ annoncée par le Parti démocrate et qui semble ne pas exclure un « oui » à Fitto. Il y a aussi la confirmation que le vote contraire à la Commission de la part de Meloni et des Conservateurs ait été sous-estimée pour ses effets négatifs. Le sentiment est que le "l’affaire Fitto" pourrait être utilisé comme prétexte par une partie du PPE, et en particulier par les socialistes, les libéraux et les verts, pour fermer la porte au dialogue avec la droite et revendiquer une plus grande part de pouvoir dans la répartition des portefeuilles. Prévenir qu'"il serait très difficile, voire impossible, de soutenir les commissaires", comme le font les socialistes, ressemble à un ultimatum. Ne pas avoir voté les sommets de la Commission " par souci de cohérence ", comme l'a dit Frères d’Italie, offre aux opposants le prétexte à une rétorsion qui créerait des problèmes non seulement pour l'Italie, mais aussi pour une Europe incapable de médiation. Cela malgré la ligne prudente du gouvernement sur les comptes publics. »

ARTICLE, Corriere della Sera, M. Guerzoni « UE, le bras-de-fer sur le rôle que jouera Fitto » : « Il y a le sentiment qu'une "victoire importante pour l'Italie" est à portée de main. En même temps, il y a la crainte que la révolte des verts, des libéraux et des socialistes européens contre la droite gagnant de l'espace dans la Commission d'Ursula von der Leyen, fasse sauter les négociations. Au Palais Chigi, ce sont des heures de contacts au plus haut niveau avec Bruxelles, de négociations menées "avec confiance et optimisme" mais aussi de mécontentement et d'inquiétude, que Giorgia Meloni a partagé avec les députés européens et les représentants du gouvernement italien : "Le rôle de notre nation sera reconnu, mais nous devons être vigilants car c'est un passage délicat et tout peut arriver". La dure attaque des socialistes contre R. Fitto a inquiété et irrité la présidente du Conseil. D’une part elle a envoyé un message aux dirigeants du PSE ‘’vos commissaires aussi auront besoin des deux tiers des voix’’, de l’autre elle a demandé aux ténors de son parti de ne pas réagir de manière agressive ‘’ nous devons respecter les difficultés du Pse’’. Le Palais Chigi estime que derrière les déclarations grandiloquentes du Pse ("Si Fitto entre, nous sortons") se cachent des négociations serrées pour des portefeuilles et des délégations plus lourds. Les socialistes veulent aussi éviter que les commissaires soient "soumis" à un vice-président exécutif exprimé par la droite. Raffaele Fitto, précisément. Sa nomination dans l'équipe restreinte de députés de Mme von der Leyen constituerait une victoire personnelle indiscutable pour Giorgia Meloni. Le Palais Chigi compte sur le soutien du chef du PPE Weber, qui continue à formuler des paroles de soutien à l’Italie et au gouvernement. »

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Giorgia Meloni et Raffaele Fitto

COULISSES, La Stampa, A. Barbera « Meloni, prise de court, cherche le soutien de Draghi » : « Mme Meloni ne s’attendait pas à cette levée de boucliers de la part des socialistes, des verts et des libéraux contre l’hypothèse d’une vice-présidence exécutive à Fitto. Le Palais Chigi laisse filtrer que la présidente du Conseil serait ‘’irritée’’ mais qu’elle est persuadée que cela fasse partie d’une ‘’normale dialectique politique’’. Dans ce jeu, les raisons politiques coïncident avec l’intérêt national. Cela explique le paradoxe du fait que les plus intéressés à éviter l’affrontement direct sont respectivement l’allié turbulent (Tajani) et une alliée de von der Leyen (Schlein). Le premier est en train de construire une ceinture de sécurité autour de Fitto, l’autre fait comprendre ‘’qu’il n’y a pas de préjugés mais que l’important est la cohérence’’, ce qui veut dire : oui pour un soutien de Fitto mais pas au point de remettre en discussion la loyauté envers le PSE. »

EDITORIAL, Il Foglio « Le devoir moral du PD de voter pour Fitto » la stratégie des socialistes européens désert l’Italie : « Si Fitto, c'est-à-dire en l'occurrence l'Italie, se voyait refuser une responsabilité à laquelle il a droit (et qui est reconnue comme telle par le Président de la Commission), l'irritation non seulement de la majorité se déverserait contre le PD. Si en revanche un éventuel vote négatif des socialistes n’était pas suffisant pour en empêcher la nomination, ces derniers apparaitraient comme non déterminants. Contrairement aux autres partis de la famille socialiste, le PD est en mesure d’exercer une fonction publique, pouvant tenter de construire une alternative compétitive. Il n’y a aucune nécessité à commettre des gestes désespérés remettant en cause la loyauté nationale. C’est l’heure d’un test de maturité pour un grand parti national. »

ARTICLE, Corriere della Sera, par M. Gergolet, « Varsovie contre Berlin sur les frontières : A Bruxelles, les craintes d’un effet domino » : La décision du gouvernement Scholz de fermer les frontières allemandes a irrité ses voisins, refroidi la Commission européenne et n’a pas raccommodé l’unité nationale allemande. Le président du Conseil polonais Donald Tusk a défini comme « inacceptable » l’extension des contrôles allemands. La Pologne est pour le moment frustrée par la décision de l’Allemagne, la laissant seule face aux flux migratoires en provenance de Biélorussie, organisés par Poutine, et dans le renforcement de la défense à l’est. Réaction froide également de la Commission européenne, qui a demandé à Berlin de respecter le traité de Schengen. Bruxelles craint aussi un effet domino. Si l’extrême-droite remportait les élections de la fin du mois en Autriche, le pays pourrait suivre l’exemple allemand. Cette possibilité n’est pas sans importance pour l’Italie, qui pourrait bien voir « sceller » certaines de ses frontières. Berlin souhaite également accélérer les rapatriements.».

EDITORIAL, Corriere della Sera, par G. Buccini, « Les migrants et les voies possibles » : « Les migrations embrasent de nouveau la politique européenne, et, à une échelle plus réduite, celle de notre pays. » « Le nouveau Premier Ministre français Barnier s’appuie à droite en dialoguant avec Marine Le Pen. Et, surtout, l’affaibli chancelier allemand Scholz blinde son pays pour 6 mois avec des contrôles stricts à se frontières, et rouvre le dossier sur l’expulsion des migrants « dublinois », qui implique directement les états d’arrivée comme l’Italie. »  « Il est évident que notre Europe souffre encore aujourd’hui de vieilles erreurs liées à deux traités fondamentaux. Avec celui de Schengen a été créé un immense espace de libre circulation sans fournir à la défense commune de frontière extérieure et le règlement de Dublin a miné la solidarité dans la gestion des flux d’arrivées. Evidemment qu’un pays comme le nôtre, exposé directement sur la Méditerranée, en supportera le cout le plus élevé. »

PREMIER PLAN, Il Foglio, de C. Cerasa, « Moins d’impôts (et davantage d’incitations fiscales) pour les familles avec enfants ; une information exclusive du Foglio » : « Le ministre de l’Economie Giancarlo Giorgetti a une idée décidément ambitieuse et potentiellement novatrice pour faire face au ‘’drame de la natalité et de la démographie’’. Un point important sur lequel alerte également Mario Draghi dans son rapport sur la compétitivité de l’UE, rapport que le ministre italien de l’Economie aurait beaucoup apprécié. Si elle ne se saisit pas des questions de démographie et de natalité, l’Europe n’a pas d’avenir. Et l’Italie non plus puisqu’au cours des 15 prochaines années la population en âge de travailler se réduira de 5,5 millions de personnes et ce malgré un solde migratoire net de 170 000 personnes par an. Giancarlo Giorgetti voudrait modifier la réglementation des réductions d’impôts afin que les familles avec plus d’enfants à charge payent moins d’impôts, indépendamment de leurs revenus, quitte à supprimer ou réduire certaines détractions pour d’autres catégories de contribuables. Il s’agit en substance d’un ‘’quotient familial pour les réductions d’impôts’’ et le coût de la mesure a déjà été estimé à environ 5 ou 6 milliards d’euros. La Présidente du Conseil a déjà indiqué à plusieurs reprises vouloir ‘’rationnaliser’’ le système des bonus et des réductions d’impôts. En 2023, le bureau parlementaire en charge du budget avait recensé 625 lignes de dépenses fiscales pour un total de 105 milliards d’euros. La révision pourrait être l’occasion d’introduire cette révolution en faveur des ménages avec enfants. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Geert Wilders désire que les Pays-Bas bénéficient, de la part de l’Union européenne, d’une option de retrait en matière migratoire.

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Pays-Bas. Le président du PVV Geert Wilders désire que les Pays-Bas bénéficient, de la part de l’Union européenne, d’une option de retrait en matière migratoire.

Alice Weidel réagit à l'échec du sommet sur les migrations.

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Allemagne. La co-présidente de l’AfD Alice Weidel déclare : « L’échec du nouveau sommet sur les migrations n’est malheureusement pas une surprise. Cela devrait également faire comprendre à chaque citoyen que les anciens partis ne veulent pas et ne peuvent pas résoudre la crise migratoire. […] Leur idéologie est plus importante pour eux que la sécurité de leurs citoyens. »

Vazrazhdane introduit une proposition de loi visant à protéger le pays de l’influence des agents étrangers.

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Bulgarie. Le parti Vazrazhdane (Renaissance) introduit une proposition de loi visant à protéger le pays de l’influence des agents étrangers.

Le dirigeant du BSW du Brandebourg modifie ses positions par rapport à l'AfD.

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Allemagne. Brandebourg. Le dirigeant du parti de gauche anti-immigration BSW dans le Brandebourg Robert Crumbach a pris ses distances par rapport à sa déclaration antérieure demandant l’examen d’une interdiction du parti nationaliste AfD. Il estime désormais qu’une interdiction de l’AfD est une approche erronée. Le BSW pourrait même, selon lui, voter des propositions de l’AfD.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/09/04/le...

Apéritif du Forum voor Democratie en présence d'Éric Zemmour.

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Pays-Bas et France. Le Forum voor Democratie de Thierry Baudet organise le 15 septembre 2024 à Brakel dans la province de Gueldre un apéritif de fin d’été en présence d’Éric Zemmour (Reconquête-France) et d’une délégation de l’AfD.

(https://fvd.nl/events/end-of-summer-borrel-brakel)

10/09/2024

L'association professionnelle des instituts de sondage allemands peut exclure ses membres qui soutiennent l'AfD.

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Allemagne. L'association professionnelle des instituts de sondage allemands ADM a modifié ses statuts : ses membres qui soutiennent l’AfD peuvent désormais être exclus. En conséquence, l’AfD ne pourra peut-être plus commander ses propres enquêtes d’opinion.

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