02/05/2025
La dirigeante des élus de Die Linke à la Chambre des députés désire que tout soit fait afin qu'une procédure d'interdiction soit lancée à l'encontre de l'AfD.
Allemagne. La dirigeante du groupe des élus du parti post-communiste Die Linke à la Chambre des députés désire que tout soit fait afin qu'une procédure d'interdiction soit lancée à l'encontre du parti patriotique AfD.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/05/02/l-a...)
15:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
"La croissance économique italienne s'accélère mais l'inflation aussi repart à la hausse."
Italie. Revue de presse.
En raison de la fête du Premier Mai, les quotidiens italiens ne sont pas sortis ce matin. Leurs principaux sites d’information mettent en Unes : « Waltz chassé par Trump, la confirmation : « il sera Ambassadeur à l’ONU ». Rubio prend sa place » (Corriere), « Médias : Trump débloque l’envoi d’armes pour la défense de l’Ukraine pour 50 millions de dollars » (Repubblica), « Ukraine, Trump prépare le premier paquet d’aides à hauteur de 50 millions : l’effet de l’accord sur les terres rares » (Messaggero), « Droits de douane, négociation Chine-USA » - « Les bourses remontent en mai avec la tentative d’accord entre la Chine et les Etats-Unis » (Stampa, Sole).
Célébrations du 1er mai et sécurité au travail. Corriere della Sera du 01.05.2025: « Travail, l’annonce de Giorgia Meloni : ‘davantage de fonds pour la sécurité’ ». « La Présidente du Conseil cite les propos du président Sergio Mattarella qualifiant d’intolérable l’indifférence et la résignation face aux accidents du travail mortels. A la veille du 1er mai, elle annonce 1,2 milliards d’euros pour améliorer la sécurité des travailleurs. Giorgia Meloni énumère les chiffres positifs en matière d’emploi : plus d’un million d’emplois créés en deux ans et demi, un record du taux d’emploi, notamment pour les femmes, une dynamique des salaires à la hausse meilleurs que la moyenne européenne depuis octobre 2023 [date de son arrivée au gouvernement]. La ministre italienne du Travail a annoncé une réunion le 8 mai entre les institutions, les syndicats et les associations représentants les employeurs. L’opposition accuse toutefois Giorgia Meloni de ‘mentir’ sur les chiffres, alors que les syndicats acceptent l’invitation du gouvernement tout en restant sceptiques sur l’issue de la réunion et les fonds annoncés. En janvier et février 2025, 138 personnes ont déjà perdu la vie suite à un accident du travail, soit 16% qu’en 2024 sur la même période. »
Enseignement. La Stampa du 01.05.2025: « Pour les cours d'éducation sexuelle au lycée, l'approbation des parents sera nécessaire ; des peines de prison prévues pour les [élèves] qui frapperont des enseignants ». « En Italie, les cours d'éducation sexuelle à l’école ne sont pas encore obligatoires mais le gouvernement souhaite rendre plus contraignante l’organisation de ces activités hors programme. Le décret-loi présenté prévoit ‘le consentement préalable et éclairé des familles concernant les activités scolaires liées à la sexualité’. Les parents auront en outre un droit de regard sur les textes proposés et les intervenants sur ce que le ministre de l’Education qualifie de ‘sujets sensibles’. En élémentaire et au collège, les cours s’en tiendront aux programmes de biologie. Le projet de loi devra être examiné au Parlement, alors que les oppositions pointent l’entrave à l’autodétermination des jeunes et rappellent que ‘l’éducation sexuelle n’est pas une opinion, or l’école a le devoir d’éduquer tous les élèves indépendamment de la famille d’origine’. »
Les données Istat sur l’économie. La Stampa du 01.05.2025 : « La croissance économique italienne s'accélère mais l'inflation aussi repart à la hausse. »
Adnkronos, Giorgia Meloni, présidente du Conseil des ministres : « Q. Sur les droits de douane, quelle devrait être la réponse de l’UE ? « Les discussions se poursuivent au niveau technique et je me réjouis que ma rencontre avec Trump ait contribué à créer les conditions politiques propices à l'ouverture d'un dialogue plus concret. L'Italie s'efforce de rapprocher les deux rives de l'Atlantique, car nous croyons en l'Occident en tant que système de valeurs, d'alliances internationales et de relations économiques et commerciales. C'est ce que j'ai résumé lors de ma rencontre à la Maison Blanche par le slogan Make the West great again. Nos positions en tant qu'Union européenne doivent naturellement partir de la défense des intérêts des citoyens, sans jamais oublier que ce n'est qu'ensemble, Europe et Amérique, que nous pourrons être forts dans un contexte mondial de plus en plus complexe. […] » Q. Et avec le président de la République française, Emmanuel Macron ? « Nous représentons deux grandes nations européennes, amies et limitrophes, avec beaucoup d'intérêts communs mais aussi une compétition saine dans de nombreux secteurs. Nous représentons également deux familles politiques ayant des sensibilités culturelles différentes. Nos relations sont le fruit de toutes ces nuances mais aussi, désormais, d'une certaine habitude qui nous amène à collaborer sur de nombreux dossiers. Comme on l'a peut-être déjà compris, j'ai une approche très pragmatique en matière de relations internationales, je suis attentive aux résultats concrets or, dans plusieurs domaines, l'Italie et la France sont alliées. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
13:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
Andrea Jenkyns de Reform UK est élue maire du Greater Lincolnshire.
Royaume-Uni. Andrea Jenkyns de Reform UK est élue maire du Greater Lincolnshire.
12:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD classée "cas d’extrême-droite avéré".
Allemagne. L'Office fédéral de protection de la Constitution a décidé de classer le parti patriotique AfD en tant que « cas d’extrême-droite avéré ».
12:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
Reform UK a remporté l’élection législative partielle à Runcorn and Helsby.
Royaume-Uni. Reform UK de Nigel Farage a remporté, avec six voix d’avance, l’élection législative partielle à Runcorn and Helsby.
Nigel Farage et la candidate élue Sarah Pochin
patriotes
travaillistes
conservateurs
écologistes
libéraux-démocrates
libéraux
indépéndant
11:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
01/05/2025
Dracula et George Simion
Roumanie.
Dracula et George Simion, le candidat nationaliste à l'élection présidentielle
17:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
Flux électoraux lors des élections pour le Parlement de l'État de Vienne.
Autriche. État de Vienne. Lors des élections pour le Parlement de l'État de Vienne/Conseil municipal de Vienne du 27 avril 2025, les patriotes du FPÖ ont pris des voix aux sociaux-démocrates du SPÖ, aux sociaux-chrétiens de l'ÖVP et aux patriotes de la Team Strache (HC).
SPÖ : sociaux-démocrates
ÖVP : sociaux-chrétiens/conservateurs
Grüne : écologistes
NEOS : libéraux
FPÖ : patriotes
KPÖ : communistes
HC : Team Strache : patriotes
Sonstige : autres
01:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
Résultats des élections pour le Parlement de l'État de Vienne/Conseil municipal de Vienne depuis 1945.
Autriche. État de Vienne. Résultats des élections pour le Parlement de l'État de Vienne/Conseil municipal de Vienne depuis 1945 :
SPÖ : sociaux-démocrates
ÖVP : sociaux-chrétiens/conservateurs
Grüne : écologistes
NEOS : libéraux
FPÖ : patriotes
01:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
État de Vienne : le FPÖ obtient 22 mandats sur 100.
Autriche. État de Vienne. Lors des élections du 27 avril 2025, les patriotes du FPÖ ont décroché 22 mandats sur 100. La Team Strache n'obtient pas de mandat.
SPÖ : sociaux-démocrates
ÖVP : sociaux-chrétiens/conservateurs
Grüne : écologistes
NEOS : libéraux
FPÖ : patriotes
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/04/28/eta...)
01:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
30/04/2025
Sławomir Mentzen à Wrocław.
Pologne. Rassemblement électoral du candidat nationaliste à l'élection présidentielle Sławomir Mentzen à Wrocław :
Sławomir Mentzen
Krzysztof Bosak
22:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
État de Vienne : les électeurs d'origine yougoslave et turque surreprésentés dans le vote patriote.
Autriche. État de Vienne. Les patriotes du FPÖ ont obtenu 25 % auprès des électeurs originaires de l'ex-Yougoslavie et 21 % auprès de ceux nés en Turquie. (contre 20,35 % auprès de l'ensemble des électeurs).
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/04/28/eta...)
(https://www.heute.at/s/analyse-zeigt-dominik-nepp-punktet...)
16:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
"La Hongrie se retire de la CPI, coup de froid entre Salvini et Tajani."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur les salaires en Italie « Salaires, le signal d'alarme de Mattarella » (Corriere della sera), « Salaires trop bas » (Repubblica), « Morts au travail et salaires, Mattarella accuse » (Stampa), la guerre en Ukraine « Tajani : « la paix d'ici la fin de l'année » » (Stampa), les droits de douane « Sur les étiquettes, le coût des droits de douane. La Maison Blanche : « Amazon est hostile » » (Corriere della sera), « Trump, dispute avec Amazon et moins de droits de douane pour les voitures » (Repubblica), « Trump-Amazon, dispute sur les droits de douane » (Messaggero), la visite du Président Erdogan en Italie (Messaggero, Giornale) et les élections au Canada (Corriere della sera, Repubblica).
La visite de R. Erdogan à Rome. Messaggero : « Rapprochement de G. Meloni et R. T. Erdogan sur l’immigration et la Défense, ‘des échanges à hauteur de 40 milliards’ ». « L’Italie et la Turquie visent d’élever les échanges commerciaux à 40 milliards d’euros, soit 10 milliards de plus qu’actuellement. Le président turc était hier à Rome pour renforcer l’axe avec Rome. Neuf accords ont été signés et il y a eu une déclaration conjointe. Erdogan a loué ‘l’approche courageuse et déterminée’ de la Présidente italienne du Conseil. Il rappelle que l’Italie est le premier partenaire économique turc en Méditerranée et ouvre grands les portes de la Turquie aux entreprises italienne ‘y compris comme porte d’accès à l’Asie, au Moyen-Orient et à l’Afrique’. Il insiste sur la ‘nécessité de mettre à jour les accords douaniers entre la Turquie et l’Europe’ dans le contexte de tensions avec l’administration américaine, misant sur l’approche italienne pour un ‘accord gagnant-gagnant’. La Turquie est devenue un pion fondamental dans l’échiquier international. Erdogan est également revenu sur son attachement à ‘l’intégrité territoriale de l’Ukraine’. Le journal allemand Bild a décrit Giorgia Meloni comme la ‘leader secrète d’Europe’. ». Messaggero : « Alliance entre Ankara et Rome sur les drones ; des accords aussi sur les réseaux, le gaz et les infrastructures ». « Des accords de coopération dans des pays tiers ont été signés hier. Ne serait-ce que la société italienne d’assurance des entreprises SACE a signé des accords pour 1 milliard et Cassa Depositi e Prestiti pour 50 millions, outre la plateforme d’échanges entre les entreprises des deux pays lancée au début du mois. Le point culminant de la rencontre bilatérale a été l’annonce de la joint-venture entre Leonardo et Baykar pour la production de drones destinés à l’armée italienne et à l’exportation. La bureaucratie européenne sera allégée pour le partenaire turc. Le partenariat en matière de télécommunications s’appuie sur le mémorandum ente Sparkle et Turkcell pour un câble sous-marin qui partira d’Izmir. Enfin, G. Meloni a promis ‘un approfondissement en matière de matières premières rares’, notamment avec le développement du gisement de gaz de Sakarya où l’Italie est au premier rang. »
Le PPE. Il Foglio « Naissance d’un axe entre Tajani et Merz » : « le dirigeant de Forza Italia veut une alliance encore plus étroite avec la CDU, cela afin de relancer son parti et aussi pour tenter de rapprocher le parti de Meloni de la famille européenne des populaires. L’article très flatteur d’hier du Bild sur Meloni n’est pas un hasard. Dans la nouvelle Europe, le PPE de Merz pourrait jouer les médiateurs entre Macron et Meloni, favorisant une entente à trois ». Sole 24 Ore : « Manfred Weber réélu, le PPE vise à imposer à l’Union un tour de vis sur l’immigration irrégulière et soutient le modèle albanais lancé par l’Italie pour gérer ce phénomène ». Il Giornale : « dans un entretien accordé à ce quotidien, le président du PPE M. Weber expose ses propositions pour renforcer l'Union européenne. Il met en avant quatre priorités : la croissance économique, la compétitivité, la sécurité et la lutte contre l'immigration illégale. Weber insiste sur la nécessité de réduire la bureaucratie, de soutenir l'innovation et d'investir davantage dans la défense commune, avec un plan de 800 milliards d'euros pour créer un "bouclier de sécurité" unissant l'Europe et garantissant la paix. Sur l'immigration, il plaide pour une position plus ferme, notamment en protégeant les frontières et en collaborant avec les pays tiers pour contrôler les flux migratoires. Weber salue également le rôle central de l'Italie, citant le pacte sur l'immigration et l'asile comme exemple de coopération européenne. Il remercie Giorgia Meloni et Antonio Tajani pour leur collaboration avec Ursula von der Leyen et lui-même, soulignant l'importance de l'Italie dans une Europe unie et prospère. Enfin, il mentionne le modèle albanais comme exemple de réussite dans la gestion des flux migratoires, tout en insistant sur la nécessité d'une approche européenne coordonnée ».
La CPI et la Hongrie. Repubblica : « La Hongrie se retire de la CPI, coup de froid entre Salvini et Tajani ». « Le leader de la Ligue qualifie de ‘choix de justice et de liberté, de souveraineté et de courage’ la décision de Viktor Orban. ‘C’est son opinion, et je ne la partage pas. L’Italie ne fera pas de même’ précise le ministre des Affaires étrangères. L’irritation se fait sentir également au sein de Fratelli d’Italia avec toutefois pour indication de rester en dehors de la polémique. Les commentaires hors micros indiquent que ‘c’est une chose de critiquer un organisme qui a démontré son mauvais fonctionnement’ mais c’en est une autre de ‘clamer un retrait du reste très difficile à mettre en pratique’. Mais les frictions avec La Haye sont bien là, l’Italie faisant l’objet d’une procédure d’infraction suite à l’affaire Almasri. Par ailleurs, si Vladimir Poutine s’était rendu en Italie pour les funérailles du Pape, il n’aurait pas été arrêté car le mandat d’arrêt n’a pas été transmis par le ministre Carlo Nordio au Procureur général, contre l’avis de son cabinet. De son côté, l’opposition remue le couteau dans la plaie. »
Salaires et emploi. La Repubblica « Le président Sergio Mattarella a souligné hier que les salaires en Italie sont ‘’insuffisants et inadéquats’’, un problème qui affecte particulièrement les jeunes et les migrants. Il a également appelé à renforcer la sécurité au travail, dénonçant les nombreuses morts sur les lieux de travail comme une "plaie inacceptable". En effet, le pouvoir d'achat des Italiens a fortement baissé par rapport à d'autres pays européens, avec des salaires réels inférieurs à ceux de 2008, malgré une reprise économique à partir de 2024 ». La Stampa : « Les syndicats, comme la CGIL et la UIL, reprochent au gouvernement de ne pas les avoir consultés et de ne pas avoir pris de mesures concrètes pour augmenter les salaires ou renforcer la sécurité au travail. L'opposition, notamment Elly Schlein (PD), demande l'instauration d'un salaire minimum pour lutter contre l'exploitation ». Repubblica : « Dans un entretien accordé à ce quotidien, Elly Schlein, secrétaire du Parti démocrate (PD), dénonce l'inaction du gouvernement Meloni face à la crise salariale en Italie. Selon elle, 9 % des travailleurs à temps plein vivent dans la pauvreté, une situation aggravée par des inégalités croissantes et des salaires inférieurs à ceux d'autres pays européens. Schlein critique vivement le refus de la majorité d'introduire un salaire minimum, une mesure soutenue par 70 % des Italiens. Elle accuse également le gouvernement de précariser le travail et de ne pas soutenir suffisamment les familles et les entreprises face à l'inflation et aux coûts énergétiques élevés ». Corriere della Sera : « Le gouvernement de Giorgia Meloni prévoit de débloquer des fonds (entre 600 millions et 1 milliard d'euros) pour améliorer la sécurité au travail, notamment en renforçant la formation des travailleurs et en intensifiant les contrôles. Ces mesures seront discutées avec les syndicats et les associations d'employeurs, bien que ces derniers critiquent le manque de dialogue préalable ». Foglio : « le gouvernement cherche désespérément de l’argent pour ce faire et se concentrera surtout sur les mesures pour la sécurité au travail »
Les Banques. Corriere della Sera : « Concernant l’OPS de Mediobanca sur Generali et la possibilité d’une utilisation du Golden power, le gouvernement Meloni jugera sur la base de la tutelle des économies des Italiens. Ce sera la ligne rouge à ne pas franchir. L’impression est que l’exécutif veuille comprendre les possibles évolutions et les retombées d’un mouvement banquier difficile à interpréter et qui voit d’une part Fdi et Ligue hostiles et d’autre part FI favorable ou du moins neutre ». Stampa : « La fièvre du Risiko bancaire : la Bourse de Milan salue les derniers mouvements du groupe de Nagel avec une pluie d’achats primant notamment Mediobanca au lendemain de son offre à hauteur de 6,3 milliards pour Banca Generali. Il s’agit d’une part d’une stratégique d’attaque, pour créer une société leader dans la gestion patrimoniale, mais aussi défensive afin de rendre plus compliquée l’escalade lancée par BMPS. Plus les actions de Mediobanca montent, plus il sera difficile pour la banque de Sienne ne pas penser à revoir son offre initiale ».
Le Conclave. Certains articles rapportent une rivalité présumée entre Giorgia Meloni et Emmanuel Macron à l’occasion du conclave pour l'élection du nouveau pape. « Le gouvernement italien, notamment via le sous-secrétaire Alfredo Mantovano, soutient des candidats conservateurs comme Pietro Parolin ou Giuseppe Betori, tandis que Macron est soupçonné de favoriser le Cardinal Matteo Zuppi, proche de la communauté de Sant'Egidio » (Il Fatto Quotidiano). « La droite italienne accuse Macron de vouloir influencer le conclave, alimentant des théories de complots français. Ces tensions reflètent des divergences politiques et idéologiques, avec Meloni opposée aux positions progressistes de Zuppi. La presse de droite italienne critique vivement l'ingérence supposée de Macron, qualifiant le conclave de "complot international". Les relations entre la France et l'Italie sont toutefois jugées meilleures que ce qui est souvent rapporté, malgré des tensions économiques et politiques » (Il Foglio).
La Stampa, entretien de Antonio Tajani (FI), ministre des Affaires étrangères : « La trêve de Poutine n'est qu'un bluff, il ne s’agit pas d’un véritable cessez-le-feu. C'est à Poutine de faire le premier pas. Il doit donner une réponse à Trump, qui n'est pas encore arrivée, contrairement à celle de Zelensky. Les négociations repartiront sur de nouvelles bases. Chacun dira ce qu'il a à dire, puis on cherchera une médiation. […] Concernant le plan franco-britannique des Volontaires, cela est prématuré, mais nous sommes prêts à faire notre part, toujours sous l’égide de l’ONU. Nous sommes en train d’organiser à Rome une conférence pour la reconstruction de l’Ukraine. Il y a déjà eu un événement préparatoire à Bruxelles et il y en aura un à Vérone. Je suis convaincu que la guerre en Ukraine prendra fin cette année. […] G. Meloni était sur la place Saint-Pierre, elle a participé aux obsèques du Pape, elle a rencontré les dirigeants à leur arrivée. Quant à la rencontre entre Trump et Zelensky, cela s’est fait en forme privée, il n’y a pas besoin d’y attribuer d’autres significations. Concernant la rencontre à Rome entre les délégations iraniennes et américaines ce samedi, je m’attends à des signaux importants. Le choix de Rome est déjà en soit symbolique, cela signifie que l’Italie est crédible. Nous pouvons contribuer [à ce dialogue]. L’Europe doit se remettre sérieusement à s'occuper des grandes questions : l'immigration, la défense et la politique industrielle. Il faut une véritable application du principe de subsidiarité et un système qui impose moins de règles. J'ai proposé, et le PPE a accepté, d'adopter la règle « une nouvelle règle, deux abrogées » afin d'alléger la bureaucratie. Nous proposons également : la fusion des fonctions de président du Conseil européen et de président de la Commission ; l'élection directe de ce nouveau président ; plus de pouvoirs au Parlement européen. Il faut également remettre en question le principe de l'unanimité, afin de parvenir à dépasser le droit de veto. Quant à la clause de sauvegarde pour le réarmement, nous verrons. Le choix de l’Allemagne est courageux, cela marque une rupture. L’Italie n’a pas encore tranché. La confrontation interne est naturelle mais, à la fin, ce sera le sens de responsabilité qui s’imposera. […] Au cours de ces 100 jours, Trump a eu un mérite : il a secoué l'Europe. Il nous a fait comprendre que nous devons compter davantage sur nous-mêmes. Toujours au sein de l'alliance atlantique, mais nous devons faire notre part. Nous, en tant qu’Italie, nous allons annoncer l’objectif des 2% du PIB pour la défense. L’essentiel, c’est que l’Europe et les Etats-Unis se parlent ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
15:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les relations entre le Hongrie et la Slovaquie sont les meilleures qui aient jamais été.
Hongrie et Slovaquie. Le Premier ministre démocrate-chrétien souverainiste hongrois Viktor Orbán a rencontré le Premier ministre social-démocrate souverainiste slovaque Robert Fico et a affirmé que les relations entre les deux pays sont les meilleures qui aient jamais été.
00:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
29/04/2025
Vazrazhdane et Russie Unie signent un accord.
Bulgarie et Russie. Une délégation du parti nationaliste bulgare Vazrazhdane (Renaissance) a signé à Moscou un accord de coopération et de partenariat avec le parti au pouvoir en Russie, Russie Unie. L'accord prévoit l'échange d'expériences, d'idées et de pratiques politiques entre les deux organisations et représente une étape positive importante vers le rétablissement de relations bulgaro-russes à part entière.
20:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
George Simion quitte le débat tétévisé pour l'élection présidentielle.
Roumanie. Le candidat nationaliste George Simion s’est présenté au débat électoral télévisé pour l’élection présidentielle, a offert des fleurs à la présentatrice, a réitéré l'illégalité de l'annulation des élections initiales, a affirmé que Călin Georgescu aurait dû être ici à sa place, a déclaré qu'il préférait passer du temps avec le peuple roumain plutôt que d'échanger des accusations dans un débat, puis est parti.
20:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
Geert Wilders en Lituanie.
Pays-Bas et Lituanie. Le président du PVV Geert Wilders s’est rendu en Lituanie où il a rencontré des responsables politiques lituaniens et des militaires néerlandais déployés dans ce pays.
20:34 | Lien permanent | Commentaires (0)
Tino Chrupalla a participé à la réunion stratégique du groupe ENS à Paris.
Allemagne et UE. Le coprésident du parti patriotique allemand AfD Tino Chrupalla a participé à la réunion stratégique du groupe Europe des Nations souveraines (ESN) à Paris.
Tino Chrupalla et Éric Zemmour
20:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
Afroditi Latinopoulou a 34 ans.
Grèce. Afroditi Latinopoulou, la dirigeante du parti Foní Logikís, a 34 ans.
Afroditi Latinopoulou
18:41 | Lien permanent | Commentaires (0)
La carrière politique d'HC Strache est-elle terminée ?
Autriche. Les élections pour le Parlement de l’État de Vienne/Conseil municipal de Vienne, qui ont vu la Team Strache obtenir des résultats très faibles, marquent probablement la fin de la carrière politique de l'ancien vice-chancelier FPÖ et ex-président du FPÖ Heinz-Christian Strache.
HC Strache
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/04/28/eta...)
18:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD donnée première à 2 points de la CDU/CSU !
Allemagne. Le parti patriotique AfD est donné à 26 % et le parti de gauche anti-immigration BSW à 4 %.
(https://www.wahlrecht.de/umfragen/forsa.htm)
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
AfD : patriotes
SPD : sociaux-démocrates
Grüne : écologistes
Die Linke : post-communistes
BSW : gauche anti-immigration
FDP : libéraux
Sonstige : autres
15:27 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Giorgia Meloni devra faire face à cet énorme dilemme comptable et politique."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur la coupure massive d’électronique en Espagne et au Portugal « Le black-out paralyse l’Espagne et le Portugal, vols et trains à l’arrêt, les villes dans le chaos » (Corriere della Sera), « En Espagne dans l’obscurité » (Repubblica), « Espagne et Portugal, un jour dans l’obscurité » (Messaggero), « Black-out sur l’Europe, cauchemar du terrorisme » (Giornale), sur la trêve annoncée par V. Poutine pour le 8 mai « Poutine : 3 jours de Trêve mais pour Trump cela ne suffit pas » (Repubblica), « Etats-Unis : « la trêve doit être durable » » (Stampa) et sur le conclave à venir, prévu le 7 mai « Un conclave jamais vu » (Stampa), « Plus de temps pour le conclave » (Messaggero).
La diplomatie et le conclave. Il Messaggero : « Parce que Trump, Macron et d’autres grands (très discrètement même Poutine, à travers l’Église orthodoxe qui lui est fidèle et dotée de relations avec un grand nombre de cardinaux) activent leurs canaux pour comprendre qui deviendra pape et orienter le choix. (...) Attention à Macron. C’est le plus actif de tous en vue de la fumée blanche. Il vise l’élection, après 650 ans, sur le trône de Pierre, d’un compatriote. Un rêve cultivé à table au cours d’un déjeuner, à la Villa Bonaparte, ambassade auprès du Saint-Siège, avec 4 des 5 cardinaux électeurs français : Philippe Barbarin, Christophe Pierre, François-Xavier Bustillo et Jean-Marc Aveline. Ce dernier est précisément l’homme sur lequel Macron mise pour ramener la papauté à un Français (après Grégoire XI il n’y en a plus eu). La candidature de l’archevêque de Marseille est en forte croissance depuis quelques heures et a réussi à gagner les cardinaux électeurs qui soutiennent la nécessité de ne pas archiver la phase synodale ouverte par François. S’il réussit avec Aveline, ce serait pour Macron un extraordinaire coup de soft power. Que les leaders rivaux, gênés par l’hyper-activisme de l’Élysée, essaieront d’éviter. ». La Stampa « le réseau du secrétaire d’Etat Mantovano (indépendant, autrefois Alliance nationale) pour le conclave avec les cardinaux Bagnasco, Piacenza et Ruini, tous misant sur Betori. Ce dernier avait critiqué la ligne de François sur les migrants. Voilà pourquoi Meloni souhaite l’élection d’un pape conservateur. Ainsi Mantovano souhaite jouer le rôle jadis assuré par Andreotti, soit celui de « l’Italien au Vatican » »
Ukraine. La Stampa : « c’est sur le principe de l’intégralité territoriale de l’Ukraine (y compris la Crimée), sur la satisfaction prudente pour le dialogue entre Trump et Zelensky » et enfin sur l’axe retrouvé avec le Royaume-Uni que l’UE tente de rester unie. Il faut voir si dans les prochaines heures les 27 resteront unis ou s’il faudra encore faire face aux prises de distances de la Hongrie. Le président français E. Macron, pour sa part, revendique un succès auprès des Américains sur la possibilité d’une escalade contre le Kremlin ‘’c’est moi qui les ai convaincus ; dans les 8-10 prochains jours les pressions sur la Russie augmenteront’’, fait-il savoir ». Il Messaggero : « Meloni-Erdogan, « ponts » sur Kiev. Le oui à dix accords commerciaux. Aujourd’hui un sommet se tient à la Villa Pamphili : le rôle d’Ankara dans la coalition des volontaires et la médiation avec Poutine seront abordés. Au Business Forum, plus de 500 entreprises sont présentes. Accords sur l’énergie, la défense, les transports, les infrastructures et l’espace. ».
Droits de douane/les 100 jours de D. Trump à la Maison Blanche. Repubblica « Selon le sondage Ispi réalisé par Ipsos dans le cadre de l'Observatoire « Italiansight – L'Italie dans le monde », 66 % des Italiens ont une opinion négative sur D. Trump (41 % d'entre eux la qualifiant même d'extrêmement négative), contre seulement 16 % d'opinions positives. Il s'agit d'un rejet bipartisan (85 % des personnes interrogées sont orientées à gauche et 60 % à droite) et d'une situation nettement détériorée par rapport à décembre. On constate également un fossé générationnel dans les réponses : parmi les personnes âgées de plus de 60 ans, ce pourcentage atteint 66 %, tandis que chez les moins de 28 ans, il tombe à 43 %, ce qui correspond à d'autres études qui révèlent une nette baisse de la confiance des jeunes dans les institutions démocratiques et, par conséquent, une moindre préoccupation face aux attaques de Trump contre les juges, l'opposition et les médias ».
Le réarmement. La Repubblica : « Avant la mi-juin, Giorgia Meloni devra faire face à cet énorme dilemme comptable et politique. Et décider d’accéder à la clause de sauvegarde européenne, qui lui permettrait de dissocier les dépenses de défense sans qu’elles soient comptabilisées comme déficit. Un tournant inévitable, surtout après que l’Allemagne a officialisé hier son adhésion à l’opportunité offerte par le ReArm. Un terrain glissant, qui déchire l’exécutif, comme le prouve hier le duel entre les deux vice-premiers ministres. Celui qui pousse certainement à exploiter la possibilité offerte par Bruxelles est le ministre de la Défense Guido Crosetto. A Repubblica, il livre sa ligne. Et à la question sur l’opportunité de demander la dérogation au pacte de stabilité, option prévue par les nouvelles règles, le ministre répond : « Je présenterai ce que selon la Défense il faut pour faire face aux scénarios susceptibles de se produire. Puis le gouvernement et le parlement décideront. J’estime qu’il est nécessaire et utile d’exclure de la dette et du déficit les investissements dans la défense au cours des prochaines années ». » Sole 24 Ore : « Hier, face à la demande de l'Allemagne d'activer la clause de sauvegarde du pacte de stabilité européen pour les dépenses liées au réarmement, le centre-droit s'est à nouveau exprimé en deux langues différentes, celle du vice-président du Conseil de Forza Italia Tajani (‘’le plan d’Ursula va dans la bonne direction, il faut dissocier les dépenses pour la défense du pacte de Stabilité’’) et celle de l'autre vice-président et ministre Salvini (‘’la politique UE du réarmement est une folie. Je m’oppose à l’idée de devoir acheter des chars et des missiles à Paris ou à Berlin’’). Meloni et Giorgetti décideront s'il convient d'activer, également pour l'Italie, cette même clause européenne. Pour l'instant, ce n'est pas le cas. Cela a été confirmé par le ministère de l'Économie, mais ce dernier avait déjà fait savoir que la décision ne serait prise qu'à l'issue du sommet de l'OTAN qui se tiendra fin juin. C’est à ce moment qu’il y aura un règlement de comptes au sein de la majorité. Il est improbable que Tajani fasse machine-arrière, puisque Meloni a gardé jusque-là une ligne atlantiste. Le dirigeant léguiste continue pour sa part de jouer les pacifistes, un espace vide à droite mais qui ne se traduit pas gain de popularité, au vu des sondages. L’offensive de Salvini ne fait vraiment pas peur »
Migrants. Domani « Le mystère des seize migrants présents dans les Cpr en Albanie qui ont disparu. Ce sont deux parlementaires du Parti démocrate qui ont soulevé le sujet, soulignant que ‘’aucune information officielle n’a été fournie en réponse à nos questions’’. Selon l’Intérieur, sans toutefois donner de communications officielles, ‘’certains migrants ont été rapatriés et d’autres ont été renvoyés pour des raisons sanitaires, d’autres encore ont demandé la protection internationale’’. Ainsi 16 migrants sur les 41 portés à Gjadër manquent à l’appel. Arrivés le 11 avril dernier, les migrants avaient été escortés, les mains liées, par les forces de l’ordre italiennes, soulevant les critiques de la part des partis d’opposition et des associations en défense des droits humains. »
Banques. Corriere della Sera : « À la surprise générale, Mediobanca a annoncé hier son intention d'acheter Banca Generali pour 6,3 milliards d'euros afin de créer un grand groupe spécialisé dans la gestion de patrimoine pour le compte de clients fortunés. Mediobanca n'offre en réalité pas d'argent comptant aux actionnaires de l'établissement dirigé par Gian Mario Mossa, mais un échange : 1,7 d’actions d'Assicurazioni Generali pour chaque titre de Banca Generali en leur possession. Mediobanca détient en effet 13,1 % d'Assicurazioni Generali, une participation qui sera entièrement mise au service de la proposition. Après l'acquisition de Banca Generali et son départ d'Assicurazioni Generali, Mediobanca se concentrera désormais sur la gestion de grands patrimoines. Le conseil d'administration du « Lion » de Trieste s'est limité hier à prendre acte de l'offre de Mediobanca, reportant son examen à une prochaine réunion ». Repubblica : « Ce mouvement dérange le gouvernement. Des contre-mesures sont ainsi à l'étude. Des contacts entre le Palais Chigi et l’économie ont eu lieux hier. A l’instar de Meloni, le ministre de l’Economie Giorgetti (Ligue) est pris de court, face à la décision de l’AD Nagel. Pour sa part, le dirigeant de Forza Italia, Tajani, toujours fidèle au principe du libre marché, freine sur le recours au golden power et tient à souligner : "moins la politique intervient, mieux c’est" ». La majorité est prudente, l’activation des pouvoirs spéciaux pourrait soulever d’autres critiques, après la décision prise à l’égard d’Unicredit. »
Corriere della Sera, Giorgia Meloni, présidente du Conseil : « Je n'ai jamais considéré les funérailles du Pape comme une occasion de réunir tel ou tel dirigeant. Je n'aurais jamais voulu de passages ou de sommets politiques qui auraient détourné l'attention de ce qui était un événement très important pour la communauté chrétienne et catholique, et pour le monde entier. […] La rencontre en tête-à-tête entre Trump et Zelensky dans la basilique Saint-Pierre ? Je n'y serais jamais allée. Nous, les autres dirigeants, n'avions rien à faire là-bas. Je ne sais pas si certains ont pensé qu'ils devaient être présents, mais pas moi. Je pense que ce fut un moment magnifique et, d'après ce que m'ont dit les protagonistes, cela pourrait même avoir marqué un tournant. C’est peut-être le dernier cadeau du Pape François à nous tous. […]. Je pense qu'il faut rapprocher les États-Unis et l'Union européenne, notamment parce que d'autres puissances s'affirment actuellement pour prendre le dessus dans l'équilibre mondial, et je ne pense pas que cela soit dans l'intérêt ni de l'Europe ni des États-Unis. La rencontre à la Maison Blanche a été une discussion franche et approfondie. Il ne fait aucun doute que nos relations personnelles sont très bonnes, ce qui a certainement facilité les choses. Nous sommes deux dirigeants qui se respectent et se comprennent, même lorsque nous ne sommes pas tout à fait d'accord. Je peux dire qu'il n'a pas été facile d'aborder la question des relations avec l'Europe et de l'intérêt mutuel à maintenir des relations solides, car l'image qui prévaut est celle d'une Union européenne comme un bloc bureaucratique consolidé. Il y aura beaucoup à faire dans ce domaine. Je pense que l'Italie a pour vocation de travailler à rapprocher autant que possible les deux rives de l'Atlantique afin de renforcer l'Occident, entendu comme une civilisation et non comme un simple espace géographique ou un ensemble d'intérêts. Cela ne sera pas facile, car il existe des points de vue divergents sur certaines questions, mais en abordant ces questions de manière concrète, je pense que des progrès importants peuvent être réalisés. Depuis longtemps, les États-Unis se plaignent d'un excédent commercial européen, mais il faut dire qu'il existe également un excédent américain dans la balance des services avec l'Europe, sans compter que les Européens investissent davantage aux États-Unis qu'ils ne le font ici. C'est pourquoi je suis convaincue qu'un terrain d'entente est possible et nécessaire. […] En ce qui concerne la rencontre qui pourrait avoir lieu entre Trump et les dirigeants européens, je pense que plus les travaux techniques avancent pour comprendre les marges d'un éventuel accord, plus la possibilité d'une rencontre politique se rapproche. Nous n'avons jamais donné de date. Nous y travaillons, mais cela ne dépend évidemment pas seulement de nous. Pour que les rencontres aboutissent à des résultats, il faut du temps, il faut les préparer soigneusement, elles ne doivent pas être formelles, mais substantielles. Aujourd'hui, le moment n'est pas encore venu. Certes, il y a la suspension des droits de douane pendant 90 jours, il y a des échéances, mais ce qui m'importe, c'est d'obtenir un accord réel qui serve en premier lieu à l'Italie, ainsi qu'à l'Europe et aux États-Unis. Sans précipitation, mais bien fait. Rome peut être le lieu idéal, car notre pays est considéré comme un pays ami et, d'une certaine manière, comme un siège européen mais pas comme une « contrepartie ». Je pense que ce sera une grande reconnaissance. Mais même si cela se passait ailleurs, à Bruxelles ou ailleurs — je l'admets —, je pense pouvoir dire que j'aurai quand même eu le mérite d'y contribuer. […] Nous soutenons désormais les efforts de Trump et nous nous réjouissons que Zelensky se soit déclaré prêt à un cessez-le-feu inconditionnel, démontrant ainsi que l'Ukraine souhaite également la paix. C'est désormais à la Russie de faire de même. Car la trêve de trois jours, annoncée par Poutine pour l'anniversaire de la victoire dans la Seconde Guerre mondiale, est une chose différente, et nettement insuffisante. Et la paix devra être juste et durable. Cela signifie avant tout des garanties solides en matière de sécurité. L'Italie a depuis longtemps fait sa proposition : il faut une solution inspirée de l'article 5 du Traité de Washington, même en dehors du Traité de l'OTAN ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
15:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
28/04/2025
Mecklembourg-Poméranie occidentale : l'AfD donnée à 29 % et le BSW à 6 %.
Allemagne. Mecklembourg-Poméranie occidentale. Les nationalistes de l'AfD sont donnés à 29 % et la gauche anti-immigration BSW à 6 % pour les élections pour le Parlement du Mecklembourg-Poméranie occidentale de l'automne 2026.
(https://www.wahlrecht.de/umfragen/landtage/mecklenburg-vo...)
SPD : sociaux-démocrates
AfD : nationalistes
CDU : démocrates-chrétiens
Die Linke : post-communistes
Grüne : écologistes
BSW : gauche anti-immigration
Sonstige : autres
23:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le nationaliste George Simion est donné vainqueur de l'élection présidentielle roumaine de mai 2025.
Roumanie. Le président du parti nationaliste roumain AUR George Simion est donné vainqueur des élections présidentielles du 4 et du 18 mai 2025 au sein d'un sondage FlashData.
George Simion
22:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
État de Vienne : les patriotes du FPÖ augmentent fortement leur score lors de l'élection des conseils d'arrondissements.
Autriche. État de Vienne. Lors de l’élection [au cours de laquelle les Autrichiens et les ressortissants de pays membres de l’Union européenne ont pu voter, alors que lors de l’élection le même jour pour le Parlement de l’État de Vienne/Conseil municipal de Vienne, seuls les Autrichiens étaient autorisés à voter], ce dimanche 27 avril 2025, des conseils d’arrondissements, le FPÖ obtient, au total des conseils d'arrondissements, 18,84 % (soit +11,09 points). La Team Strache décroche 0,96 % (soit -1,86 point) :
https://www.wien.gv.at/wahlergebnis/de/BV251/index.html
[cliquer sur la carte pour les résultats de chacun des arrondissements]
Le FPÖ n’arrive premier dans aucun des arrondissements. Le FPÖ n’obtient pas de présidence d’arrondissement.
19:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les parents de Matteo Salvini fêtent leur 56 ans de mariage.
Italie. Les parents de Matteo Salvini fêtent leur 56 ans de mariage.
Matteo Salvini et ses parents
18:49 | Lien permanent | Commentaires (0)