31/03/2025
Viktor Orbán : "Je suis Marine."
France et UE. Les partis politiques alliés du Rassemblement national au sein du groupe et du parti Patriotes pour l’Europe (PfE) apportent leur soutien à Marine Le Pen à la suite de la condamnation de cette dernière dans l’affaire des assistants parlementaires. Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán écrit sur Twitter « Je suis Marine ».
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Vous méritez une infirmière parlant le finnois.
Finlande. Les (Vrais) Finlandais estiment que lorsque vous avez passé votre vie à construire la Finlande, vous méritez une infirmière parlant le finnois.
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District de Jerichower Land : les bâtiments publics doivent arborer le drapeau allemand.
Allemagne. Saxe-Anhalt. District de Jerichower Land. Le conseil du district de Jerichower Land a adopté, avec les voix des démocrates-chrétiens de la CDU, une motion du parti nationaliste AfD stipulant que les bâtiments publics doivent arborer le drapeau allemand tous les jours de l'année. Les bâtiments scolaires sont aussi concernés par cette mesure.
15:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Salvini, "non au réarmement de l'UE"."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur les négociations entre V. Poutine et D. Trump « Ukraine, Trump défie Poutine » (Corriere della Sera, Repubblica), « Trump-Poutine, la guerre froide » (Stampa), « « Très en colère contre Poutine », ultimatum de Trump sur Kiev » (Messaggero), « Trump défie Poutine: « trêve ou droits de douane » » (Giornale) ainsi que sur les attaques de la Ligue contre l'UE « La Ligue contre l'UE » (Repubblica), « Salvini attaque l'UE, duel avec Tajani (Forza Italia) » (Corriere della Sera), « Le réarmement brise le gouvernement » (Stampa), « Salvini, « non au réarmement de l'UE ». Tajani, « stop à la casse » » (Messaggero).
Le réarmement. Corriere della Sera : « La nouvelle attaque de la Ligue de Salvini contre le gouvernement européen est accompagnée d'un communiqué officiel : « La Ligue est prête à proposer aux alliés des Patriotes une initiative visant à inviter la présidente allemande de la Commission à revoir le projet de 800 milliards d'euros pour la défense. Les citoyens européens méritent des investissements dans l'emploi, la santé et la sécurité intérieure, et non dans un plan de réarmement déjà mort-né ». Entretemps, le dirigeant de Forza Italia, Antonio Tajani, déclarait « On peut critiquer l'Europe, mais pas la détruire. Au contraire, il faut la construire. Nous n'avons pas besoin de démolisseurs, mais de femmes et d'hommes sensés qui font une bonne politique pour protéger les intérêts d'un demi-milliard de personnes, dont nous faisons partie. ». La Stampa : « La querelle entre les deux vice-présidents du conseil met Meloni en difficulté aussi sur le plan international : des prises de position aussi distantes nuisent à l’image du gouvernement ». Il Foglio « Salvini représente un problème surtout pour son parti et pour ses électeurs, avec le choix suicidaire d’être pro-Trump. Il ne représente plus la nouvelle peau de la Ligue composée de dirigeants locaux valides et d’une classe productive qui nécessite de réassurances quant au spectre des droits de douane ». Repubblica : « Réarmement, la trêve est finie. Tajani se lance contre Salvini "Assez de démolisseurs" critiquant l’allié au niveau européen et sur les droits de douane. Or, le leader léguiste relance : "Je ne m’arrête pas". Entretemps, Giorgia Meloni reporte son voyage aux Etats-Unis ». Messaggero : « Nouveau duel à distance sur la défense commune entre les deux vice-présidents du Conseil. Des tensions qui montent en vue aussi de la motion du M5S contre le réarmement, qui sera votée au Parlement ».
Matteo Salvini
Le décret sur la sécurité. La Stampa : « le décret sur la sécurité est enlisé depuis sept mois, après son adoption à la Chambre. Le Quirinal insiste sur la nécessité de modifications de certaines parties du texte pour des raisons de constitutionnalité. Cela va de la détention en prison pour les femmes enceintes à l'interdiction de vendre des cartes téléphoniques aux migrants et à la liste des travaux publics sur lesquels le délit de manifestation est étendu, comme les gares. Forza Italia a immédiatement donné sa disponibilité, en tant que parti modéré peu favorable à suivre ses alliés sur ces normes punitives. Fratelli d’Italia fait des ouvertures. Le parti de Meloni craint que le Quirinal puisse rejeter le décret de loi. Or, la Ligue n’a aucune intention de revenir en arrière et de diluer le texte. C’est le chef de groupe de la Ligue au Sénat, M. Romeo qui l’a précisé ‘’le DDL doit être adopté en l’état’’ ».
Le congrès national d’Azione (libéral) de C. Calenda. Il Messaggero: « Depuis le Congrès d’Azione, Carlo Calenda plaide pour une “coalition des volontaires”, inspirée du modèle international de soutien à l’Ukraine, mais appliquée à la politique italienne. Son objectif : créer une alliance capable de dépasser le clivage gauche-droite et de marginaliser Giuseppe Conte et Matteo Salvini, qu’il qualifie de « supporters du duo Trump-Poutine ». Conscient du peu de chances de succès, il cherche néanmoins à mettre en lumière les contradictions internes des deux principales coalitions. Ce projet s’inspirerait des grandes lignes de la majorité qui gouverne l’UE et du gouvernement Draghi – sans la Ligue. Cependant, la minorité du PD, ainsi que Forza Italia, semblent fermer la porte à cette proposition. Malgré une certaine alchimie avec Giorgia Meloni, Calenda ne semble pas inclure Fratelli d’Italia dans son projet. Reste cependant la possibilité d’un accord électoral au niveau régional. Après le rôle clé d’Azione dans la victoire du centre-droit en Basilicate, le schéma pourrait se reproduire dans les Marches, où le gouverneur sortant de Fratelli d’Italia, Acquaroli, talonné dans les sondages par le candidat du PD, ouvre au dialogue avec Calenda. Un scénario similaire est envisagé en Campanie. »
Sondage sur l’envoi de soldats italiens en Ukraine. Stampa : « Un Italien sur dix se dit favorable à Vladimir Poutine, 40% ne se prononce pas et seulement 6% envisagent un envoi de troupes’’. ‘’A peine deux interrogés sur dix jugent efficace la réponse du gouvernement italien au conflit. S’agissant de trouver une solution permettant de mettre fin au conflit, la confiance en Donald Trump est faible (34%) mais aussi vis-à-vis de l’UE (15%) mais 66% des interrogés ont confiance en la diplomatie’’. ‘’Pour l’électorat de centre-droit la paix semple plus proche alors que l’électorat de centre-gauche est plus sceptique’’. ‘’Indépendamment de toute appartenance politique, 64,5% de l’opinion publique italienne est convaincue que l’UE ne travaille pas efficacement à la résolution de la guerre en Ukraine’’. ‘’La plupart des Italiens sont favorables à l’envoi d’aide humanitaire à l’Ukraine (37,5%) mais un Italien sur deux exprime de la réticence quant à l’envoi d’armes. »
Immigration. Messaggero : « Transferts vers l’Albanie depuis les centres italiens pour le rapatriement : priorité aux individus violents ». « Les transferts des CPR italiens vers les centres albanais pourront commencer dès la semaine prochaine. Il s’agit donc du plan B du gouvernement italien concernant l’usage attribué aux centres réalisés en accord avec Tirana, en attendant le verdict de la Cour de Justice européenne sur la possible détention de migrants secourus en mer. Les opérations de transferts sont déjà préparées en coulisses : les premières personnes concernées seront les individus jugés ‘violents’ et socialement dangereux ainsi que les personnes dont la procédure de rapatriement est prévue sous quelques semaines. Une bonne centaine d’individus ont déjà été identifiés à ce stade. Il s’agit de libérer les centres italiens des éléments créant souvent de l’agitation mais aussi de rassurer le président albanais, qui fait face à des problématiques de politique intérieure, puisque les individus qui transiteront feront l’objet d’une expulsion rapide. Edi Rama et Giorgia Meloni se sont entretenus à plusieurs reprises pour la révision de l’accord et Rama a été rassuré : les fondements du protocole d’accord restent inchangés. »
Corriere della Sera, Tommaso Foti (Frères d’Italie), ministre pour les Affaires européennes et le PNRR : « il existe au sein de la coalition des sensibilités et des langages différents mais ce qui compte ce sont les faits et sur cela la coalition de droite ne s’est jamais divisée. Ensuite, ce qu'il faudra faire concrètement reste à définir, l'Europe ne devra pas nécessairement dépenser 650 milliards pour le plan de « réarmement », comme il avait été malencontreusement appelé. Chaque État pourra déterminer le montant à investir dans la défense. En matière de politique de défense, la majorité a une vision partagée : ne pas envoyer de contingent italien en Ukraine avant un accord de paix et uniquement sous l’égide ONU, tout comme l’extension de l’article 5 de l’OTAN également en Ukraine. Concernant les droits commerciaux, ce n'est pas vrai que les États-Unis sont mauvais parce qu'il y a Trump ou bons quand il y avait Biden. Ils restent un allié fondamental. Sur le réarmement, il ne s’agit pas d’acheter des blindés mais de cybersécurité, d’innovation. Passer à 2% du PIB sur la défense est objectif qui a été accepté par tous, à commencer par le gouvernement Conte. Et puis c’est Trump qui le demande. Sur les droits de douane, c’est une arme de négociation typique chez Trump. Garder son sang-froid sur ce sujet ne signifie pas être faible. »
Il Messaggero, Matteo Piantedosi (indépendant), ministre de l’Intérieur : « Avec le nouveau décret sur l'immigration, les migrants seront transférés dans les centres de rétention italiens en Albanie. Il n’y aura aucun bouleversement. Nous avons ajouté des possibilités supplémentaires pour l'exercice de fonctions déjà prévues et pour lesquelles les centres en Albanie sont déjà équipés. En outre, sans que les centres ne changent aucun autre aspect de leur fonctionnalité d'origine, qui, dans les prochains mois, devrait reprendre à plein régime. Concernant l’offre de StarLink, il s’agit d’une opportunité qu’il faut l’évaluer sans de préjugés idéologiques et dans l’intérêt public exclusif. Comme toute autre offre, elle sera évaluée sur la base de la convenance, la rentabilité par rapport à d’autres options que l’on pourrait choisir ».
La Stampa, Giuseppe Conte, dirigeant du Mouvement 5 Etoiles : « Concernant la posture de la Ligue sur la paix, ce qui compte ce ne sont pas les slogans mais comment l’on vote au Parlement. Salvini est rigoureusement aligné à la majorité dans une perspective belliciste. Je l’invite alors à soutenir dans l’hémicycle notre motion contre le plan de réarmement européen. L’Europe semble parfois boycotter les tentatives de négociations sur l’Ukraine. Comme le disait Erasme de Rotterdam « il est préférable avoir une paix injuste par rapport à une guerre juste ». Concernant le Parti démocrate, Schlein est en train d’invertir la direction de son parti par rapport à des courants qui font pression en faveur du réarmement. Notre manifestation du 5 avril est ouverte à tous les partis, à toutes les forces sociales, à toutes les associations voulant la paix et protester contre ce gouvernement qui reporte sur la société le coût d’un réarmement »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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30/03/2025
Face à la pression douanière des États-Unis, Sahra Wagenknecht désire un rapprochement avec la Russie.
Allemagne.
Sahra Wagenknecht, coprésidente du parti de gauche anti-immigration BSW : « La meilleure réponse à la guerre douanière avec les États-Unis serait la levée des sanctions inutiles contre la Russie et une réparation de[s deux gazoducs] Nordstream. »
22:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD massivement discriminée par les chaînes publiques de télévision ARD et ZDF.
Allemagne. Alors que le parti patriotique AfD est arrivé deuxième lors des élections législatives avec 20,8 %, un de ses représentants a été invité une seule fois depuis le scrutin aux émissions de débats politiques des chaînes publiques de télévision ARD et ZDF.
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
Grüne : écologistes
Die Linke : post-communistes
FDP : libéraux
AfD : patriotes
16:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
29/03/2025
Berlin : un élu de l'AfD compare la violation des droits de l'opposition en Turquie et en Allemagne.
Allemagne. État de Berlin. Le député du parti patriotique AfD au Parlement de Berlin Hugh Bronson est intervenu à propos des appels à la solidarité avec le maire d'Istanbul Ekrem Imamoğlu en affirmant que les autres partis politiques allemands ne devraient pas passer trop de temps à condamner la violation de la démocratie et de l'État de droit en Turquie, alors que les normes démocratiques sont violées en Allemagne dans la manière dont ils traitent l'AfD.
20:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD de Berlin contrainte de délocaliser son congrès.
Allemagne. Alors que chaque parti est tenu légalement d’organiser des congrès afin d’élire sa direction, l’AfD de l’État de Berlin ne peut trouver à Berlin une salle pour son congrès et devra le tenir à Jüterbog dans l’ État du Brandebourg.
18:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les délégués de l’UDC défendent une Suisse neutre.
Suisse. Lors de leur assemblée à Puidoux, les délégués de l’UDC Suisse ont exigé des contrôles aux frontières, l’expulsion immédiate des criminels étrangers et une armée forte placée sous le signe de la neutralité armée.
17:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
La fondation politique du parti patriotique d'opposition AfD se voit refuser depuis des années les fonds auxquels elle a droit.
Allemagne. Les organisations non gouvernementales sont subventionnées par l’État à coups de milliards pour lutter contre l’opposition. La fondation politique du parti patriotique d'opposition AfD se voit refuser depuis des années les fonds auxquels elle a droit.
La dirigeante de la fondation de l'AfD Erika Steinbach
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/02/23/le-...)
13:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
28/03/2025
Giorgia Meloni déclare que les critiques de Donald Trump visent la classe dirigeante.
Italie et États-Unis. Le Premier ministre italien Giorgia Meloni a déclaré que les critiques de Donald Trump ne visent pas les peuples européens, mais la « classe dirigeante » des pays d'Europe.
22:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
Allemagne : le futur gouvernement désire fortement combattre la désinformation et la diffusion de fausses nouvelles.
Allemagne. Le futur gouvernement désire fortement combattre la désinformation et la diffusion de fausses nouvelles.
21:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le gouvernement de Thuringe tombera-t-il ?
Allemagne. Thuringe. La figure de proue du parti de gauche anti-immigration BSW Sahra Wagenknecht attribue la responsabilité du fait que son parti a échoué, de peu, à entrer à la Chambre fédérale des députés aux compromis acceptés par le BSW dans la politique gouvernementale de Thuringe. Sa principale cible est le ministre des Finances de Thuringe Katja Wolf.
Selon les rumeurs, le comité exécutif fédéral du BSW continue d'infiltrer dans l'association d'État de Thuringe du BSW des membres qui s'opposent à la participation au gouvernement de Thuringe du BSW.
Le BSW de Thuringe pourrait décider en avril, lors d’une conférence du BSW de Thuringe, de se retirer du gouvernement de Thuringe auquel il prend part aux côtés des démocrates-chrétiens de la CDU et des sociaux-démocrates du SPD.
Katja Wolf et Sahra Wagenknecht
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/10/28/thu...)
16:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
Thuringe : le BSW et le SPD ne sont pas d’accord entre eux sur la manière dont ils doivent traiter les élus de l'AfD.
Allemagne. Thuringe. Les partis qui gouvernent la Thuringe ne sont pas d’accord entre eux sur la manière dont ils doivent traiter les élus du parti nationaliste AfD. Le parti de gauche anti-immigration BSW désire des relations normales avec les élus de l’AfD, alors que les sociaux-démocrates du SPD y sont opposés.
[Le gouvernement de Thuringe est composé des démocrates-chrétiens de la CDU, du SPD et du BSW.]
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"Meloni a réaffirmé que l’Italie n’enverra pas de troupes en Ukraine."
Italie. Revue de presse.
Toutes les Unes du jour sont consacrées à la réunion d'hier à Paris sur l'Ukraine « Macron, les accusations contre Moscou » (Corriere della Sera), « Volontaires mais divisés » (Repubblica), « L'OTAN européenne, le plan de Macron » (Stampa), « Kiev, la mission franco-britannique » (Messaggero), « Ukraine, l'Europe en ordre divisé » (Giornale), « Les sanctions contre Moscou demeurent, divisions sur l’envoi de soldats » (Avvenire).
Le sommet de Paris sur l’Ukraine/Italie. Corriere della Sera : « La réunion des 30 pays hier à l'Élysée a montré plus clairement qu'il existe différents niveaux d'engagement en faveur de l'Ukraine. » Repubblica : « Meloni a réaffirmé lors du sommet des volontaires – avec le soutien de Salvini depuis Rome – que l’Italie n’enverra pas de troupes en Ukraine. En tout état de cause, elle refuse de le faire pour suivre le « protagonisme » de Paris et Londres. L’appel à l’ONU apparaît comme une façon de gagner du temps. L’impression qui domine est que la ligne du gouvernement – considérant qu’il est prématuré de parler d’un déploiement de troupes tant que le cadre des négociations reste trop flou – n’aurait pas changé même si Fratelli d'Italia avait été au pouvoir seul. ». La Stampa : « Le chemin devient de plus en plus étroit pour Meloni : la présidente du Conseil est consciente du fait que ce que propose Poutine (de fait, la reddition de l’Ukraine), bloque le plan de paix de Trump ». La Stampa : « l’Italie a tout intérêt à entrer dans le groupe des volontaires puisque les Etats-Unis ne sont plus des partenaires fiables. En Italie, on observe du scepticisme, de la critique et une tentative répétée de qualifier cet effort d'irréaliste, inutile voire contre-productif. Mais l'abstrait devient lentement plus concret et le moment viendra où le train quittera la gare. Ce sera le moment de voir si, même en troisième ligne, en reniflant et en faisant la moue, l'Italie sera là ou si elle choisira de rester à la traîne. (N. Tocci) ». Il Messaggero : « La journée parisienne de Giorgia Meloni passe également par la demande de « soutenir les efforts de paix du président Trump », afin de réduire la fracture entre les deux rives de l'océan en des semaines où - en raison du jeu des droits de douane - les distances semblent sidérales. Pour Meloni, il y a des pas en avant : ‘’On ne parle plus de « boots on the ground », mais de troupes de dissuasion’’, soulignent ses collaborateurs sur le dossier. Et le fait que les ‘’Britanniques soient à bord, en tant que copilotes’’, est considéré comme ‘’rassurant, étant donné le canal privilégié de Londres avec les États-Unis’’. Le fait que le président Macron ait demandé un approfondissement technique pour la proposition italienne (celle d’étendre l’article 5 de l’OTAN à l’Ukraine sans que celle-ci fasse partie de l’Organisation) représente pour Meloni la reconnaissance d’une bonne intuition ». Sole 24 Ore : « Antonio Tajani (Forza Italia) se dit satisfait : « L'Europe est unie dans son soutien à l'Ukraine agressée », souligne le vice-président du Conseil et ministre des Affaires étrangères, en mettant l'accent sur les sanctions confirmées et sur l'ouverture à l'extension de l'article 5 de l’OTAN. Les conclusions du sommet sont également utiles pour apaiser les tensions au sein de la majorité ». Domani : « Quant à l’Italie, ce sommet a confirmé son positionnement en retrait. Alors que les pays européens cherchent confusément à s’ériger en protagonistes, le communiqué de Palais Chigi laisse entendre que la participation de Meloni au sommet relevait davantage d’une visite de courtoisie. De fait, l’Italie reste en dehors de la « coalition des volontaires », quelle que soit la forme que celle-ci prendra. La droite au pouvoir se satisfait de cette posture, bien que personne ne s’attribue explicitement ce choix ».
Le Quirinal. Corriere della Sera « Ce n’est pas une coïncidence si au moment où à Paris l’on discutait sur l’Ukraine, à Rome le Chef de l’Etat se prononçait sur la situation internationale en prônant l’Europe ‘les décisions concernant la défense ne peuvent plus être reportées’’ évoquant aussi ‘’les menaces sans scrupules pour dominer l’espace’’, faisant ainsi allusion à certains techno-milliardaires (comme Musk et son réseau satellitaire StarLink) dont l’influence aussi politique inquiète énormément le président ».
Le PNRR. Sole 24 Ore : « Le PNRR, à la veille de son quatrième anniversaire, avance péniblement. Et la nouvelle révision annoncée ces derniers mois par le ministre Tommaso Foti prend forme dans les nombreuses pièces d'une mosaïque. Si officiellement le gouvernement se félicite de ‘’la primauté de l’Italie dans la réalisation’’ des projets, il y a aussi la facette concernant l’avancement financier qui nous dit que les paiements effectifs à hauteur de 63,9 milliards d’euros, ne représente qu’une avancée de 18,3 milliards par rapport à il y a un an. Il reste 130,5 milliards à dépenser en deux ans ». Stampa : « Le bras de fer sur la prorogation : l’UE gagne du temps, le Conseil des ministres adopte un nouveau décret pour accélérer les projets. Pour obtenir une prorogation, il faut un accord des 27. Le commissaire R. Fitto est contraint de jouer les médiateurs »
Le réarmement. Il Messaggero : « Lors de son audition au Parlement sur les missions internationales, le ministre de la Défense Guido Crosetto (Frères d’Italie) a réaffirmé hier qu’il n’existe aucune volonté de réarmement, mais plutôt celle d’assurer que l’Italie dispose « d’un instrument de défense efficace ». Soulignant les profonds changements en cours, impliquant une augmentation des effectifs, un renforcement de leur formation et des investissements accrus dans le secteur. Parmi les propositions avancées, il y a notamment la création d’une réserve militaire auxiliaire destinée à intervenir dans des situations de crise grave, comme une guerre ou une urgence internationale. Crosetto a aussi commandé une étude afin d’identifier les priorités d’investissement permettant d’améliorer les capacités actuelles, même s’il reste encore trop tôt pour déterminer un calendrier précis de mise en œuvre. »
Les droits de douane. Corriere della Sera « Salvini reconnait que les droits de douane imposés par Trump constituent un problème mais ‘’il faut l’éviter par le biais de négociations commerciales. J’ai pleinement confiance en Meloni qui a d’excellents rapports avec Washington et Bruxelles. Toutefois, si l’Europe est celle de von der Leyen et de Kallas, il est préférable se mettre à l’abri et agir en solitaire’’ ». Stampa « la réponse dure de l’UE à Trump. Le secteur automobile cherche un plan de repli basé essentiellement sur des alliances et des rachats pour limiter l’impact de la guerre commerciale ». Sole 24 Ore : « la filière de l’automobile est en alerte : 3,2 de milliards sont en danger. Pour sa part, le groupe Stellantis minimise l’impact sur l’Italie : ‘’ce sont surtout le Canada et le Mexique qui seront visés’’ ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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27/03/2025
Un avion chargé de 190 Afghans atterrit à Hanovre.
Allemagne. Un avion chargé de 190 Afghans atterrit à Hanovre, pendant que des retraités allemands ramassent des bouteilles pour retoucher la consigne et que des écoles tombent en ruine.
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Autriche : le FPÖ n'aura que 3 sièges au sein du conseil d'administration de l'ORF.
Autriche. Alors que le parti patriotique FPÖ a gagné les élections, une réforme modifie la répartition des sièges au sein du conseil d'administration de la radio-télévision publique ORF afin de léser le FPÖ, qui n'aura que 3 sièges.
(% lors des élections/sièges à l'ORF)
FPÖ : patriotes
ÖVP : sociaux-chrétiens / conservateurs
SPÖ : sociaux-démocrates
NEOS : libéraux
Grüne : écologistes
16:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
La fondation de l'AfD n'obtient pas l'argent auquel elle a droit.
Allemagne. Alors que, en 2023, la Cour constitutionnelle fédérale a jugé que l’AfD avait été désavantagée de manière inconstitutionnelle car sa fondation, la Fondation Desiderius Erasmus, n’avait reçu aucun financement de l’État, tout versement rétroactif est refusé.
[En novembre 2023, la Chambre des députés avait réagi à l'arrêt : une fondation politique doit désormais, entre autres, garantir qu’elle « défend l’ordre fondamental démocratique et libre et l’idée d’ouverture aux autres peuples » si elle souhaite recevoir le soutien de l’État.]
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/02/23/le-...)
14:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
George Simion demande au président par intérim de ne pas engager la Roumanie dans l’envoi de troupes ou d’armes en Ukraine.
Roumanie. Le candidat nationaliste à l’élection présidentielle George Simion demande au président par intérim Ilie Bolojan de ne pas engager la Roumanie dans l’envoi de troupes ou d’armes en Ukraine.
13:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Le couperet de Trump: droits de douane à 25% sur l'automobile."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur les droits de douane sur l'automobile annoncés par D. Trump « Droits de douane sur l'automobile: l'estocade de Trump » (Corriere della Sera), « Trump, droits de douane de 25% sur l'automobile, nous encaisserons jusqu'à un trillion » (Repubblica), « Trump: droits de douane sur l'automobile à 25% » (Stampa), « Droits de douane, Trump frappe l'automobile » (Messaggero), « Le couperet de Trump: droits de douane à 25% sur l'automobile » (Giornale) et le scandale du Chatgate « Maison Blanche : les accusations du chat-gate » (Repubblica).
La réunion de majorité en vue du sommet de Paris sur l’Ukraine. Corriere della Sera : « Meloni met en sécurité sa majorité et fixe un point ferme ‘’pas de troupes italiennes en Ukraine’’, même si l’on ne précise pas quelle pourrait être la contribution italienne à cette mission jusqu'ici seulement hypothétique. Le communiqué diffusé par le Palais Chigi souligne « L'engagement a été réaffirmé de construire, avec les partenaires européens et occidentaux et avec les États-Unis, des garanties de sécurité solides et efficaces pour l'Ukraine qui trouvent leur fondement dans le contexte euro-atlantique. » […] « La coalition tente de s’unir mais les failles demeurent sur le réarmement européen en fonction antirusse. Nous avons assisté à un simulacre d’unité ». La Stampa : « Chacun des alliés reste sur ses propres positions, le but de la réunion étant essentiellement de baisser d’un cran le ton de ces derniers jours. » Sole 24 Ore « avec son communiqué diffusé à la fin de la réunion, la majorité veut afficher, du moins à l’extérieur, son unité ». Il Foglio « Meloni calme ses alliés en vue du sommet de Paris mais n’évoque pas les droits de douane par peur de s’exposer ». Repubblica : « La présidente du Conseil sait que Salvini a son congrès dans moins de 10 jours. Il doit donc élever un peu le ton. Mais sans excès, c’est le message répété hier. Exemple : « On ne peut pas donner l’impression d’être fou à un chef d’État de l’UE », référence à Emmanuel Macron, ainsi défini par le leader de la Ligue. Ce n’est pas que Meloni soit soudainement devenue macronienne, tout le contraire : elle reste très distante du projet des "volontaires". Le point est un autre : « Nous devons dialoguer avec les autres pays de l’Union européenne. ». Il Messaggero : « Pendant au moins une heure le "capitaine" Salvini pose son casque, après des semaines d’incursions médiatiques continues sur des questions diplomatiques même délicates. L’une d’elles a failli déclencher une crise formelle avec Paris, car il n’est pas tous les jours qu’on qualifie le président français de "fou". Une ligne rouge, comme le fait remarquer entre les lignes Meloni au sommet. Après une heure, tout le monde est libre. Salvini s’offre aux caméras de la Chambre : «Ça s'est très bien passé» assure-t-il. Salvini épargne un instant Macron – une sorte de beau geste vis-à-vis de la présidente du Conseil qui décolle dans la soirée vers la Ville Lumière – et se lance alors contre son autre cible favorite, Ursula von der Leyen ». Fatto Quotidiano: « Officiellement, la réunion convoquée hier matin par Giorgia Meloni avec ses deux vice-présidents avait pour objectif de préciser la position que le gouvernement italien défendra aujourd’hui au sommet de Paris. En réalité, toutefois, malgré les démentis de Palais Chigi, la Présidente du Conseil a exigé de ses alliés qu’ils clarifient leurs différends et cessent de s’affronter ouvertement sur la politique étrangère, afin de ne pas offrir un avantage aux oppositions ni affaiblir la position de l’Italie sur la scène internationale. En plus de rappeler à Matteo Salvini – qui a pourtant défendu la pertinence de son appel au vice-président américain Vance – que la politique étrangère relève exclusivement des compétences du Palais Chigi, de la Farnesina et du ministre Crosetto (Frères d’Italie), Meloni lui a imposé de mettre un terme à ses attaques contre la France et son Président Emmanuel Macron. Celles-ci ont en effet suscité des tensions diplomatiques avec Paris. »
Réarmement. La Stampa : « Le Mouvement 5 Etoiles prend de court le PD et dépose à la Chambre comme au Sénat une motion dans laquelle il est demandé au gouvernement de « ne pas poursuivre le soutien au plan de réarmement européen ». Et de s'efforcer de le « remplacer intégralement » par un plan de soutien aux investissements dans les domaines de la santé, de l'éducation, de l'écologie et des filières de production. « Le Parlement doit voter sur ce plan de réarmement, prévient-il. Ils ne peuvent pas nous mener à une économie de guerre sans même le vote des citoyens. Et nous voulons un débat public et que les nombreux citoyens opposés aient leur mot à dire ». C’est une initiative utile pour donner un coup d'accélérateur à la manifestation du 5 avril organisée par le M5S, sur laquelle Conte mise beaucoup pour relancer l'action politique du parti et élargir son bassin électoral ».
La réunion de Paris sur l’Ukraine. Corriere della Sera : « Toute hypothèse diplomatique se heurte au fait que la guerre en Ukraine se poursuit, car la Russie ne montre aucun signe de diminution des attaques et des bombardements, comme le reconnait le président Macron. Les présidents français et ukrainien sont tombés d’accord sur une « diplomatie de la force » car « la Russie ne comprend aucun autre langage ». Macron annonce deux milliards supplémentaires d'aide militaire de la France à l'Ukraine « avec des missiles de défense sol-air Mistral, des chars AMX-10 RC et des munitions », et demande à la Russie d'accepter un « cessez-le-feu de 30 jours sans conditions préalables ». La « force de garantie » dont il sera question aujourd'hui n'entrera en action qu'après l'entrée en vigueur du cessez-le-feu. L'option préconisée par la présidente du Conseil italienne Giorgia Meloni, à savoir une extension à l'Ukraine de l'article 5 du Traité de l'OTAN comme garantie de sécurité après une éventuelle fin des combats, reste sur la table et semble recueillir un nouveau soutien. Macron n'est pas opposé à remettre les Nations unies au centre du jeu, mais insiste sur la nécessité d'utiliser un ton ferme avec Moscou ». Stampa : « Lancé il y a un mois avec beaucoup d'élan, le plan Starmer-Macron a un peu perdu de son énergie en raison des difficultés des négociations à trois entre Trump, Poutine et Zelensky, et du décalage entre les paroles et les actes lorsqu'il s'agit d'envoyer des soldats dans une zone encore instable, avec des risques évidents. […] Macron freine sur l’envoi de troupes, d’où l'hypothèse d'envoyer les soldats européens uniquement en 2e ligne ». Sole 24 Ore : « L'idée de base semble maintenant être de ne pas miser immédiatement sur le déploiement de forces sur le terrain. Il s’agit peut-être d’un pas en arrière temporaire. Macron invite la Russie à accepter un cessez-le-feu inconditionné comme l’a fait l’Ukraine au sommet de Djedda ». Il Foglio : « Zelensky demande des réponses mais le contingent de soldats européens a déjà été déclassé à « force de dissuasion », comme nous l’explique une source de l’Elysée. Cela servira à démontrer que les volontaires sont aux côtés de l'Ukraine, mais suffisamment loin de la ligne de front pour ne pas courir le risque de devoir répondre à une agression de la Russie. Cela devrait servir de « soutien à l'armée ukrainienne » et de « signal à la Russie pour montrer que nous sommes solidaires envers l'Ukraine », a expliqué l'Élysée. Un contingent avec des fonctions de formation et d'assistance sur certaines capacités militaires. Une éventuelle zone démilitarisée devrait être surveillée par des avions, des drones et des satellites. Certains insistent pour qu'une force de maintien de la paix des Nations unies soit créée, ce qui a peu de chances d'aboutir étant donné le droit de veto de la Russie au Conseil de sécurité. L'Élysée estime qu'il devrait y avoir une troisième ligne, celle du « filet de sécurité » américain. Mais l'administration Trump ne semble pas disposée à protéger les Européens en cas d'attaque russe ». Domani : « Le Pacte Zelensky-Macron scellé à l'Elysée. À la veille du sommet de Paris, le Président français Emmanuel Macron a précisé que, contrairement à la demande de « soldats prêts à se battre » exprimée peu auparavant par des conseillers ukrainiens, les « volontaires » en cours d’organisation constitueront des « forces de garantie de deuxième plan destinées à servir de réserve stratégique dissuasive. Concernant l’armement, le secrétaire général de l’OTAN Mark Rutte, depuis Varsovie, a tenu à dissiper les ambitions françaises sur le rôle du parapluie nucléaire européen en déclarant : « Rien ne peut remplacer la protection des États-Unis » ».
La réunion de Paris sur l’Ukraine/la position du gouvernement italien. Repubblica : « Meloni avec les volontaires à Paris pour renforcer les bases en Roumanie. La présidente aujourd’hui au sommet de l’Élysée : ligne souple vis à vis des USA et utilisation des soldats seulement sous le parapluie des Nations unies. Mépris pour l’activisme franco-britannique. Une fois de plus, elle sera le leader européen le plus proche des positions de Washington. Ou du moins le moins éloigné. C’est pourquoi Giorgia Meloni, se présentant ce matin à Paris pour le sommet des "volontaires" mobilisés par Emmanuel Macron, continuera d’insister sur un point : Il faut une mission internationale de paix - si possible sous le drapeau de l’ONU - pour pousser l’Italie à envoyer ses propres hommes pour veiller à la fin des hostilités en Ukraine. C’est une position tactique, parce qu’il est évident que même Paris et Londres ne peuvent pas défier Moscou en envoyant des soldats sans le consentement du Kremlin." ». Il Messaggero : « « C’est tôt, on joue trop en avance ». Une fois de plus, c’est la conviction qui anime le gouvernement italien, avec la présidente du Conseil Giorgia Meloni qui s’est rendue à Paris hier soir - c’est la deuxième fois en un mois - pour participer à la réunion des "volontaires" convoquée par Emmanuel Macron. La ligne italienne n’a pas bougé entre-temps d’un millimètre, et c’est avec cette certitude qui frôle presque la présomption, que la Présidente du Conseil participera aujourd’hui à la réunion convoquée à 9h15 et qu’elle verra également assis à la table le leader ukrainien Zelensky, hier invité à dîner chez Macron. Aucun désaveu de la part de la Présidente du Conseil, soyons clairs : le gouvernement italien reste fermement aux côtés de Kiev. (...) Pour Rome, la condition sine qua non reste l’égide des Nations unies, indispensable pour raisonner sur une présence qui veille sur le respect du cessez-le-feu, quand et si jamais on arrivera à une trêve. Parce que le chemin à parcourir est encore long, et certaines fuites en avant - reste la conviction de la première ministre, dans le collimateur une fois de plus de Macron - ne conduisent à rien, si ce n’est un retour d’image personnelle. Bref, peu de choses ont changé par rapport à février dernier, lorsque Meloni est arrivée à Paris sans cacher sa nervosité envers le président français. » La Stampa : « La présidente du Conseil n'a jamais caché sa réticence à participer aux initiatives de son homologue français, mais elle est la première à savoir qu'elle ne peut pas provoquer une rupture avec ses partenaires, au risque de s'isoler, ce qui ne suivrait aucune logique diplomatique ».
Les droits de douane. Il Foglio : « L’automobile représente 40 milliards d’euros d’exportations de l’UE vers les États-Unis, l’Italie et l'Allemagne étant les économies les plus exposées à cette hausse tarifaire. Une telle augmentation entraînerait, selon Oxford Economics, une chute des exportations de 6,6 % pour l’Italie et de 7,1 % pour l’Allemagne, sans compter les répercussions plus larges sur l’économie européenne en cas de mesures de rétorsion de la part de la Commission européenne. » Il Foglio : « Le président des industriels piémontais de Confindustria, Andrea Amalberto, ne cache pas son inquiétude ‘’nous sommes inquiets et choqués par cette imposition de droits commerciaux. Je souhaite qu’il y ait un sursaut d’orgueil et d’unité de la part de l’Europe, qui doit se réveiller et répondre avec une stratégie partagée aux menaces de Trump’’. Quant au rôle que pourrait jouer Mme Meloni ‘’il est difficile qu’elle parvienne à elle seule à négocier avec l’Amérique. L’essentiel est de rester unis au niveau européen’’ ». Domani : « l’UE mise sur la visite, aujourd’hui, du Commissaire au commerce Maroš Šefčovič en Chine pour tenter de restaurer le dialogue sur les véhicules électriques et convaincre les États-Unis d’ouvrir des négociations ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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26/03/2025
L'AfD compte le plus de députés entrepreneurs.
Allemagne. Le parti patriotique AfD compte 17 députés fédéraux entrepreneurs.
"Nombre d'entrepreneurs dans les groupes à la Chambre des députés"
AfD : patriotes
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
Grüne : écologistes
Die Linke : post-communistes
18:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
Sahra Wagenknecht dénonce le fait que l'AfD n’a pas obtenu un poste de vice-président à la Chambre des députés.
Allemagne. La coprésidente du parti de gauche anti-immigration BSW Sahra Wagenknecht dénonce le fait que le parti patriotique AfD n’a pas obtenu un poste de vice-président à la Chambre des députés. Elle estime que cela bénéficiera électoralement à l’AfD.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/03/25/le-...)
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Alice Weidel demande la relance du nucléaire.
Allemagne. La coprésidente de l’AfD Alice Weidel demande la relance du nucléaire.
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L'AfD monte encore !
Allemagne. Les patriotes de l'AfD sont donnés à 24 % et la gauche anti-immigration BSW à 5 %.
(https://www.wahlrecht.de/umfragen/yougov.htm)
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
AfD : patriotes
SPD : sociaux-démocrates
Grüne : écologistes
Die Linke : post-communistes
BSW : gauche anti-immigration
FDP : libéraux
Sonstige : autres
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Lidewij de Vos dénonce les discriminations dont les Néerlandais sont victimes dans leur propre pays.
Pays-Bas. Le député Lidewij de Vos du Forum voor Democratie estime, dans le cadre du débat à propos de la discrimination sur le marché du logement, qu’il est scandaleux que les étudiants internationaux et les demandeurs d’asile titulaires d’un droit de séjour bénéficient dans de nombreux cas d’une priorité par rapport aux ressortissants néerlandais.
16:15 | Lien permanent | Commentaires (0)