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14/01/2025

L'AfD de Karlsruhe distribue des billets d'expulsion.

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Allemagne. Bade-Wurtemberg. Karlsruhe. L'AfD distribue un tract dans les boîtes-aux-lettres qui est un « billet d'expulsion pour les immigrés illégaux issus de pays d'origine sûre » avec la mention : « Seule la remigration peut encore sauver l'Allemagne. Chez soi, c'est bien aussi. »
 

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13/01/2025

Reform UK de Nigel Farage est donné à 25 %.

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Royaume-Uni. Grande-Bretagne. Le parti patriotique Reform UK de Nigel Farage est donné deuxième à 25 % au sein d'un sondage YouGov, juste derrière les travaillistes.

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travaillistes

patriotes

conservateurs

libéraux-démocrates

écologistes

Tensions entre la Styrie et la Slovénie.

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Autriche (Styrie) et Slovénie. La Styrie, dont le gouverneur est depuis peu Mario Kunasek du FPÖ, à la tête d’un gouvernement réunissant son parti et les sociaux-chrétiens/conservateurs de l’ÖVP, désire protéger constitutionnellement l'hymne national styrien « Dachsteinlied ».

Le gouvernement slovène appelle le nouveau gouvernement de l'État autrichien de Styrie à être « prudent », car dans la chanson datant du XIXe siècle, certaines parties du territoire slovène actuel sont décrites comme étant styriennes.

[Le massif du Dachstein est une chaîne de montagne.]

"Nous devons enfin refouler les immigrés illégaux !"

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Allemagne.

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Alice Weidel : "Nous devons enfin refouler les immigrés illégaux !"

Le FPÖ et l'ÖVP se mettent d'accord sur le budget.

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Autriche. Dans le cadre des négociations, en vue de former un gouvernement fédéral, entre le parti patriotique FPÖ et le parti social-chrétien/conservateur ÖVP, les deux partis se sont mis d'accord sur le budget.

"Nordio libère Abedin."

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Italie. Revue de presse.

Les Unes du jour portent sur la libération de l'ingénieur iranien détenu en Italie « Affaire Sala, Abedini libéré » (Corriere della Sera), « Nordio (Frères d’Italie) libère Abedini » (Repubblica), « Abedini libre, les sombres secrets nucléaires » (Stampa), « Abedini relâché et déjà en Iran » (Messaggero) et les faits divers « Vérité pour Ramy, pas de vengeance » (Repubblica).

Les JT couvrent essentiellement, outre les sujets traités par les quotidiens, le décès du photographe Oliviero Toscani, et les incendies à Los Angeles.

La libération de l’ingénieur iranien. Repubblica : « Le gouvernement décide d’accélérer et après la libération de la journaliste Cecilia Sala de l’Iran, Mohammad Najafabadi Abedini a également quitté la prison hier. Trois jours avant la décision de la Cour d’appel de Milan, fixée au 15 janvier, Carlo Nordio a ordonné la libération immédiate de l’ingénieur iranien, détenu depuis le 16 décembre à la demande des États-Unis. Une fois la demande de révocation reçue, un collège de la cinquième cour d’appel s’est réuni en urgence à l’aube et a ratifié l’acte, comme le prévoit la loi »." Corriere della Sera : « Le ministre Nordio clôture l’affaire Sala car, selon lui, ‘’les conditions n’étaient pas réunies pour permettre l’extradition aux Etats-Unis’’. Pour la première fois, un ministre décide de libérer un détenu étranger faisant l’objet d’une demande d’extradition. Les inconnues au sujet de la décision qui serait prise par les juges de la Cour d’Appel de Milan, les mêmes qui s’étaient vus visés par une inspection au lendemain de la polémique autour de la libération du magnat russe Urs, ont poussé Carlo Nordio à intervenir ». Il Messaggero : « Une éventuelle décision des juges de confirmer l’arrestation de l’Iranien aurait confirmé les soupçons des Etats-Unis. Raison pour laquelle, entre le ministère de la Justice et le Palais Chigi il y a eu la volonté de faire vite et de justifier la décision sur la base d’une motivation juridique. Le mot d’ordre du gouvernement est ‘’il est interdit de parler d’échange de détenus’’ ». Corriere della Sera : « Washington a choisi la solution du consentement tacite, au moment du « grand déménagement » en vue de l’investiture de D. Trump du 20 janvier. Quant à Téhéran, pour les autorités iraniennes ‘’c’est un malentendu qui a été résolu’’. Les Ayatollahs sont satisfaits de cette nouvelle ; les dissidents hurlent en revanche leur colère et considèrent Abedini un véritable « terroriste » ». Il Foglio : « L’Iran n’a pas gagné : le régime des ayatollahs demeure fragile même avec la libération d’Abedini. L’affaire Sala a dévoilé que le responsable initial du conflit au MO a été l’Iran, qui a voulu transformer sa guerre contre Israël en un conflit global. »

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Carlo Nordio

La libération de la journaliste Cecilia Sala. Sondage paru samedi 11 janvier dans La Stampa : ‘’La libération de la journaliste Cecilia Sala profite à la popularité de Giorgia Meloni mais les relations avec Elon Musk inquiètent les Italiens’’. ‘’60% des Italiens estiment que la Présidente du Conseil a joué un rôle décisif dans les négociations pour la libération de la journaliste Cecilia Sala qui était détenue en Iran. 32% pensait que l’ingénieur iranien Mohammed Abedini [arrêté et détenu en Italie] serait libéré aussi [ndlr : il a été libéré et a regagné l’Iran dimanche]. 47% des Italiens ne sont pas favorables à une alliance entre le gouvernement et Elon Musk pour déployer la technologie satellite Starlink en Italie pour les communications sensibles. 31% se disent favorables. 51% des citoyens voit son ingérence dans les affaires nationales d’un mauvais œil’’. ‘’L’affaire Cecilia Sala a montré à l’international l’action diplomatique et l’engagement du gouvernement italien, dirigé par Giorgia Meloni, pour la protection de ses concitoyens à l’étranger, soulignant sa capacité à agir rapidement et dans une situation de forte tension internationale. La détention de Cecilia Sala a attiré l’attention sur les risques auxquels les journalistes font face dans les théâtres de conflits et de répression, sa libération représentant une petite victoire pour la liberté de la presse. 47% d’Italiens soupçonnent toutefois qu’il y a eu un prix encore inconnu à payer en échange’’. ‘’Les quatre réformes prioritaires émergeant de ce sondage sont : la réforme fiscale (souhaitée par 36%) et la réforme de la justice (30%) au détriment de l’autonomie régionale différenciée (7%) et du premierato (5%). »

Mort de Ramy Elgaml/ violences à Bologne. Repubblica : « La ville de Bologne est sous le choc suite aux violences qui ont éclatées ces derniers jours, la communauté hébraïque a également été visée’’. ‘’Le bilan des affrontements urbains entre les forces de l’ordre et les manifestants demandant justice pour Ramy Elgmal, jeune égyptien de 19 ans décédé à Milan en novembre dernier à l’issue d’une course poursuite avec la police, est lourd’’. ‘’Le préfet dénonce des ‘violences gratuites’. On déplore également des heurts, avec une cinquantaine de jeunes, aux abords des lieux de la communauté hébraïque de Bologne, qui suscitent la polémique. Des tags ‘’Ramy Justice’’ et ‘’Free Gaza’’ sont apparus sur les murs, dans le centre des vitrines ont été saccagées et des poubelles ont été incendiées. Deux Italiens ont été arrêtés et libérés, tous deux déjà identifiés lors de précédentes manifestations. Le maire de Bologne a condamné la violence et exprimé sa solidarité envers les forces de l’ordre, les commerçants et la communauté juive pour ‘les actes de vandalisme et les menaces contre la Synagogue’. Le représentant de la communauté juive demande au maire de retirer le drapeau palestinien hissé sur la mairie. Matteo Salvini évoque des ‘criminels d’extrême-gauche s’en prenant aux forces de l’ordre et à la Synagogue’, la secrétaire du Parti démocrate Elly Schlein s’est dit ‘opposée à toute forme de violence’, alors que le réseau des Patriotes annonce déjà la bataille, déclarant qu’ils seraient ‘’samedi prochain dans les rues de Bologne pour empêcher que certains épisodes se répètent’. »

La limite du troisième mandatRepubblica : « Le dernier sondage réservé de la Ligue en Vénétie table la liste de Luca Zaia à 40% des intentions de vote pour les prochaines élections régionales. Ce sont des chiffres qui d’une part consolent les léguistes mais ne font d’autre part qu’alimenter leur colère. Ils ne peuvent plus supporter les convoitises de la présidente du Conseil Meloni sur la Vénétie. Ils reprochent également à Salvini de ne pas avoir fait entendre sa voix et d’avoir déserté le dernier conseil des ministres qui a de fait sonné le glas pour le troisième mandat des présidents de région. Du coup, la Ligue vénitienne, la « Liga », menace de se présenter seule aux élections régionales. »

Ingérences d’E. Musk en Europe/StarlinkStampa : « Meloni-Musk, Paris vaut-il encore une messe ?’’. ‘’Forts d’une agressivité hypnotique, Donald Trump et Elon Musk incarnent une tendance à succès : la fin des inhibitions du pouvoir. Et donc le contraire de la démocratie. C’est le grand moment de Giorgia Meloni mais aussi le plus périlleux. Le coup de maître de la libération de Cecilia Sala risque d’être anéanti pour les nouveaux équilibres internationaux à partir du 20 janvier. Dans quelle mesure la nouvelle Amérique derrière ‘MAGA’ (Make America Great Again) et la Veille Europe, contrainte de s’aligner ou de devenir un obstacle à abattre, sont-elles compatibles ? G. Meloni tentera-t-elle de maintenir les liens entre les deux rives de l’Atlantique ou éloignera-t-elle l’Italie de l’Europe pour embrasser Mar-a-Lago ? Mais est-on sûr que ’Paris’ vaille cette messe satellitaire ?’’. ‘’Donald Trump ne peut pas tout contrôler mais il peut en tous cas contrôler beaucoup de choses. Et pour ce qui est hors de sa portée, c’est Elon Musk qui entre en scène. Nous sommes dans une phase où les règles sont tombées et où les peuples s’en remettent à des personnes qui sont au-dessus des règles. La démocratie remplacée par la domination virile qui fascine la droite depuis toujours, le contraire de la civilisation occidentale, européenne et plus particulièrement post-guerres mondiales, et le début du chaos. Sur les satellites, dont il a pour ainsi dire le monopole en Occident, Meloni lui fait confiance, Crosetto lui fait confiance. Dans le doute, il a passé un rapide coup de fil à Roberto Cingolani, le PDG de Leonardo qui raisonne ainsi : ’il n’y a pas d’accord à l’heure actuelle car Leonardo le saurait, les satellites sont nécessaires, Musk en a alors que l’Europe est en retard à cause de procédures complexes’ (ce qui signifie ‘nous avons des capacités mais n’investissons pas assez et sommes étouffés par la bureaucratie’) et ‘l’alternative serait renoncer à relever le défi’. Il serait donc possible d’utiliser les satellites de Musk le temps nécessaire, préparer nos constellations et qu’ensuite chacun suive sa route. Mais que fera Meloni dans la pratique, jusqu’où poussera-t-elle l’accord et nous livrera-t-elle, de quel côté nous placera-t-elle ? »

La Verità, Giovanni Donzelli, coordinateur national de Frères d’Italie « Starlink ? non n’acceptons pas de leçons de la part des démocrates [Parti démocrate, PD], qui sont toujours prêts à vendre l’intérêt national au plus offrant. Au contraire, c’est pour le bien du pays [« nation » dans le texte] qu’il faut discuter des nouvelles technologies et comprendre ce dont l’Italie a vraiment besoin, sans avoir de préjugés idéologiques. Dire qu’il y a des accords secrets avec Musk est de la désinformation. C’est une fausse nouvelle qui a déjà été démentie. Si Musk est prêt à vendre ses satellites à l’Italie, nous devons évaluer de manière sereine la meilleure des offres, en gardant en tête l’intérêt national. La gauche est nerveuse en raison de son approche trop idéologique et peu pragmatique. Sur plusieurs aspects, je ne suis pas d’accord avec Musk, comme sur son style de vie. Il exprime tout simplement ses idées, ne cache rien, et sur sa plateforme X il refuse toute sorte de censure. La vraie « ingérence » est celle de Soros qui soutient des campagnes électorales et des politiciens de manière incorrecte. Quant aux bonnes relations entre Meloni et D.Trump, comme ailleurs dans le monde, cela représente une ressource précieuse pour l’Italie et pour l’Europe. Comme par exemple sur le front ukrainien, l’Europe a pu prendre des décisions importantes grâce au canal de dialogue ouvert entre Orban et Giorgia Meloni ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

"Être enfin autorisé à dire à nouveau ce qu'on veut."

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"Être enfin autorisé à dire à nouveau ce qu'on veut. Temps pour l'Allemagne."

12/01/2025

Manifestation de l'AUR à Bucarest.

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Roumanie. De nombreuses personnes ont pris part ce dimanche à la manifestation organisée à Bucarest par le parti nationaliste roumain AUR en faveur de la reprise des élections présidentielles annulées.

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(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/01/03/rou...)

Linz : le candidat du FPÖ se qualifie pour l'élection directe du maire.

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Autriche. Haute-Autriche. Linz. Lors du premier tour de l’élection directe du maire de la capitale de la Haute-Autriche, le candidat du parti social-démocrate SPÖ et celui du parti patriotique FPÖ Michael Raml se qualifient pour le second tour. [Linz est un bastion rouge.]

Dietmar Prammer (SPÖ, social-démocrate) : 40%

Michael Raml (FPÖ, patriote) : 20%

Martin Hajart (ÖVP, conservateur/social-chrétien) : 18%

Eva Schobesberger (Grüne, écologistes) : 13%

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L'AfD dissout la Junge Alternative.

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Allemagne. Lors du congrès de l’AfD, les délégués ont voté la dissolution de l’organisation de jeunesse du parti Junge Alternative (JA). Une nouvelle association pour les jeunes verra le jour et sera intégrée directement dans le parti. Ceux qui en feront partie seront automatiquement membres de l’AfD. [Des militants étaient membres de la Junge Alternative et pas de l'AfD.]

"Temps pour de l'énergie à prix favorable."

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Allemagne.

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"Temps pour de l'énergie à prix favorable. Temps pour l'Allemagne."

Le BSW désire restreindre quasi complètement le droit d'asile.

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Allemagne. Le parti de gauche anti-immigration BSW a tenu son deuxième congrès fédéral à Bonn, en Rhénanie du Nord-Westphalie. Le BSW propose d’acheter du gaz russe, d’augmenter le salaire minimum à 15 euros, de restreindre quasi complètement le droit d'asile (« Toute personne arrivant d'un pays tiers sûr n'a pas le droit de rester. Quiconque n'a pas le droit de rester n'a pas droit à une procédure d'asile et aux prestations sociales. »), une pension minimale, une politique étrangère qui s'appuie sur la diplomatie plutôt que sur les armes, un cessez-le-feu en Ukraine, la création d'une commission d'enquête Corona à la Chambre des députés, un plafonnement des loyers.

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La coprésidente Amira Mohamed Ali (slogan sur le pupitre : "Notre pays mérite plus.")

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Oskar Lafontaine et sa femme, la coprésidente Sahra Wagenknecht

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11/01/2025

Alice Weidel utilise le terme "remigration".

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Allemagne. La candidate du parti patriotique AfD à la Chancellerie Alice Weidel déclare, à propos de la politique migratoire restrictive qu’elle prône : « Si cela est censé s’appeler une remigration, alors cela s’appelle une remigration. »

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Tino Chrupalla, Alexander Gauland et Alice Weidel

Le président du PiS Jarosław Kaczyński reçoit le président de l'AUR George Simion.

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Roumanie et Pologne. George Simion et Dragos Moldoveanu du parti nationaliste roumain AUR ont été reçus au siège du PiS (Droit et justice) par le président de ce parti Jarosław Kaczyński. L'AUR et le PiS sont dans le groupe ECR (Conservateurs et réformistes européens) au Parlement européen.

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Jarosław Kaczyński et George Simion

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Jarosław Kaczyński du PiS et, en face, George Simion et Dragos Moldoveanu de l'AUR 

L'AfD monte encore.

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Allemagne. Le parti patriotique AfD est donné à 22 % et la gauche anti-immigration BSW à 6 % pour les élections législatives du 23 février 2025. (Seuil électoral : 5 % ou trois mandats directs)

(https://www.wahlrecht.de/umfragen/insa.htm)

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SPD : sociaux-démocrates

CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens bavarois

Grüne : écologistes

FDP : libéraux

AfD : patriotes

Die Linke : post-communistes

BSW : gauche anti-immigration

autres

Alice Weidel est la candidate de l'AfD à la Chancellerie.

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Allemagne. Le parti patriotique AfD a désigné, lors d'un congrès, Alice Weidel comme candidate du parti au poste de chancelier d'Allemagne à l'issue des élections législatives du 23 février 2025.

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Alice Weidel

10/01/2025

Thierry Baudet a une fille : Penelope.

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Pays-Bas. Le dirigeant du Forum voor Democratie Thierry Baudet a une fille, Penelope Ariane Mazarine, avec sa femme Davide. Le couple a déjà un fils.

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Davide, Thierry et leur fille Penelope

Suède : taux d'immigration d'asile le plus faible depuis 40 ans.

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Suède. Le pays dirigé par un gouvernement de centre droit soutenu de l’extérieur par le parti patriotique Démocrates suédois connaît le taux d'immigration d'asile le plus faible depuis 40 ans, soit une diminution de 42 % par rapport à 2022.

Le parti patriotique FPÖ est donné à 39 % !

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Autriche. Le parti patriotique FPÖ est donné à 39 % !

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FPÖ : patriotes

ÖVP : sociaux-chrétiens/conservateurs

SPÖ : sociaux-démocrates

Neos : libéraux

Grüne : écologistes

KPÖ : communistes

Autres

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/01/09/lio...)

"Temps pour notre culture. Temps pour l'Allemagne."

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"Temps pour notre culture. Temps pour l'Allemagne."

Le BSW désire que l’Allemagne achète à nouveau directement du gaz russe.

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Allemagne. Les deux coprésidentes du parti de gauche anti-immigration BSW Sahra Wagenknecht et Amira Mohamed Ali désirent que l’Allemagne achète à nouveau directement du gaz russe, qui est meilleur marché.

"Conférence de presse de début d'année de Giorgia Meloni."

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Italie. Revue de presse.

Les Unes du jour portent sur la conférence de presse de début d'année de Giorgia Meloni et ses propos sur Elon Musk « Musk et les impôts, les défis de Meloni » (Corriere della Sera), « Musk n'est pas un danger » (Repubblica, Messaggero), les incendies aux États-Unis « Les flammes et la terreur, la grande fuite de Los Angeles » (Corriere della Sera), « Dans l'enfer de Los Angeles » (Repubblica), « Hollywood brûle, la fuite des stars » (Messaggero) et la libération de Cecilia Sala « En cellule, l'ennemi est le silence. J'ai ri et j'ai pleuré quand j'ai vu le ciel » (Corriere della Sera), « J'entendais les hurlements des autres détenus. 20 jours de terreur en prison » (Stampa), « Je pensais à mourir. Interrogée tous les jours » (Messaggero).

Les JT couvrent essentiellement, outre les sujets traités par les quotidiens, la visite du président ukrainien V. Zelensky à Rome et le déplacement du chef de la diplomatie A. Tajani (Forza Italia) en Syrie.

Politique intérieure : conférence de presse annuelle de début d’année de G. Meloni, affaire Sala, limite du troisième mandat pour les élections régionales, nomination du nouveau responsable du Département pour les Services de renseignement.

La conférence de presse annuelle de G. Meloni

  • L’agenda politique

Sole 24 Ore : « Plus de politique étrangère, moins de réformes, pourrait-on dire après avoir écouté les réponses de Meloni lors de la conférence de presse d'hier. Le « premierato », soit la « mère de toutes les réformes » de la législature semble enterré, il y a beaucoup de prudence, de réalisme, ‘’on pourrait s’interroger sur l’actuel système électoral’’, comme si c’était une sorte de plan B. Les autres réformes demeurent sur la table, mais sans aucune urgence. C'est comme si Meloni avait mis à jour son agenda en déplaçant son cap en dehors des frontières nationales, car c'est en grande partie là que se décide la force d'un chef de gouvernement. Et l'activisme de Meloni à Bruxelles et à Washington confirme les dossiers stratégiques : des règles fiscales de l'UE aux négociations sur le PNR (et son éventuel report), en passant par les choix sur l'industrie de l'UE. Quant aux prévisions économiques du gouvernement, malgré la bonne évolution de l'emploi, alors que le déclin de la production industrielle se poursuit. Les ficelles, en somme, doivent être tirées de l'extérieur. Par ailleurs, Meloni a vérifié combien la représentation du pouvoir a besoin d'un contexte à la hauteur que seule la scène internationale peut lui donner. »

  • Elon Musk et D. Trump

Repubblica : « Défense absolue de son ami Elon Musk. Pas de conclusion d'un accord italien avec Starlink. Adhésion totale à la ligne de Donald Trump. Émotion pour la libération de Cecilia Sala et doutes sur l'hypothèse de se présenter à nouveau comme présidente du Conseil dans deux ans. Froissement à l'égard de Matteo Salvini. C'est la conférence de presse du début d'année pour Giorgia Meloni. Elle parle d'Elon Musk comme d'un « ami ». Surtout, elle le défend envers et contre tout : « Je ne reçois pas d'argent de lui et il n'est pas un danger pour la démocratie ». Elle jure qu'il ne semble pas s'immiscer dans la politique d'autres pays, car il ne finance pas de partis, ‘’contrairement à ce que fait George Soros’'. ‘’Le problème est-il que Musk est un particulier ou qu'il n'est pas de gauche ?’’ répond-elle aux journalistes. Il n'y a pas de contrat avec Starlink pour fournir à l'Italie les satellites de Musk, assure-t-elle, mais seulement un ‘’dialogue normal’’. Elle n'en a pas discuté avec Trump ni même ‘'personnellement'’ avec Musk, jure-t-elle. ‘’Utiliser le public pour favoriser des amis n'est pas dans mes habitudes’’. Elle soulève alors le dilemme : s'en remettre à une partie privée ou renoncer à des communications sécurisées ? sur cela, elle assure ne pas avoir d’approche idéologique. Quant à l’inauguration de Trump du 20 janvier ‘’je verrai selon la disponibilité de mon agenda, si j’y arrive, volontiers’’ ». Il Foglio : « Meloni tente de se montrer pro-Trump sans se faire submerger par le trumpisme et se lance dans l’exercice difficile de traduire le langage du Tycoon en tentant de trouver un équilibre entre l’administration Trump et l’UE, tout en rassurant sur la menace des droits de douane’’ Il n'est pas nouveau que les administrations américaines soulèvent la question de l'excédent commercial ‘’. Bonne chance, Mme Meloni ! »

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Affaire Cecilia Sala Repubblica : « Une valise de pleine de secrets sur les drones [iraniens] aurait convaincu les Etats-Unis de débloquer les négociations’’. ‘’Mohammed Abedini, l’homme des drones iraniens arrêté en décembre à Milan juste avant l’arrestation de Cecilia Sala, détenait avec lui des puces et des cartes SD contenant des informations sur les engins kamikazes, des contenus très précieux pour les services de renseignements occidentaux et en particulier américains qui se trouvent depuis entre les mains de l’Italie’’. ‘’Cela aurait pesé dans les négociations pour libérer la journaliste italienne’’. ‘’Les Etats-Unis se seraient laissés convaincre d’accepter la non-extradition d’Abedini vers le Massachussetts’’. ‘’Pour rétablir les canaux diplomatiques entre Rome et Téhéran rompus suite à la double arrestation, c’est le directeur de l’Agence d’Informations et de Sécurité extérieure (AISE), Giovanni Caravelli, qui est intervenu en vertu de la collaboration de longue date avec des interlocuteurs iraniens pour rassurer Téhéran sur le cas d’Abedini. L’Iran a fait confiance à l’Italie, un interlocuteur occidental trop important et l’un des rares pays en Europe à ne pas avoir rompu le dialogue avec le régime iranien. Une idée que partage de nombreux pays de la région, à commencer par le Qatar qui avait offert sa médiation dans l’affaire Sala. »

Limite d’un troisième mandat pour les présidents de région Messaggero : « Giorgia Meloni a annoncé hier, jour du premier Conseil des ministres de l’année, qu’il ne serait en aucun cas possible de se présenter pour un troisième mandat consécutif pour les présidents de régions, ce qui n’est pas une surprise. De façon plus inattendue, elle a aussi renvoyé au Conseil des ministres la question du referendum sur l’autonomie, notamment la question de l’admissibilité ou non du référendum et la possibilité d’intervenir auprès de la Cour constitutionnelle. Les membres de la Ligue ne cachent pas leur mécontentement. Le ministre léghiste Roberto Calderoli, chargé des Affaires régionales et de l’autonomie, souligne la divergence de positions au sein de la majorité sur ces questions. Le président de la région Campanie, De Luca (Parti démocrate), est directement concerné par la question du troisième mandat et annonce déjà qu’il contestera la décision en s’appuyant sur le précédent d’Alberto Cirio, ancien gouverneur Forza Italia du Piémont. Toutefois, l’équipe de Luca Zaia (Ligue), président de la Vénétie, estime que la décision vise précisément à le mettre hors-jeu et ne cache pas son agacement. Ils envisagent une liste ‘Zaia’ avec un candidat soutenu par le président sortant en vue des prochaines élections. Giorgia Meloni indique quant à elle que ‘’en Vénétie, l’option Fratelli d’Italia n’est pas à exclure.’’ »

Rencontre entre V. Zelensky et G. Meloni à Rome. Fatto Quotidiano : « La plus grande inconnue qui entoure Zelensky lors de cette mission de début d'année à Rome est le changement à la Maison-Blanche, où Donald Trump prendra ses fonctions dans dix jours. Le milliardaire a maintes fois exprimé sa conviction qu'une paix rapide en Ukraine est possible, laissant entendre un certain désengagement militaire”. “C'est pourquoi Zelensky cherche à renforcer son partenariat avec Meloni, considérée comme un intermédiaire pour persuader Trump de ne pas affaiblir l'Ukraine”. “La Première ministre l’a rassuré sur le soutien italien ». Repubblica : « Meloni est convaincue qu’avec Trump, une pression pour mettre fin au conflit est envisageable, mais que le président-élu des États-Unis ne retirera pas rapidement son soutien à Kiev. Selon elle, il continuera à agir sur deux fronts, alternant « diplomatie et dissuasion ». Les deux dirigeants ont aussi discuté des « garanties de sécurité » demandées par Zelensky, jugées « fondamentales » par Meloni, pour éviter que Poutine, après un cessez-le-feu, ne relance un conflit dans les années à venir ».

Syrie. Repubblica : « Meloni est également occupée par le dossier syrien. Le président turc, Recep Tayyip Erdoğan, lui a demandé hier par téléphone de soutenir en Europe la levée des sanctions contre Damas. Une mesure pour laquelle, avec précaution, le ministre des Affaires étrangères italien, Antonio Tajani, a ouvert la porte lors d’un sommet du format « Quint » (avec États-Unis, France, Allemagne et Royaume-Uni). Tajani se rendra aujourd’hui en Syrie pour rencontrer le nouveau leader al-Jolani ». Sole 24 Ore : « L’Italie bénéficie d’une position considérée comme plus forte que celle d’autres pays européens (notamment la France et l’Allemagne, dont les ministres ont effectué une visite récemment), car elle a rouvert son ambassade il y a longtemps – laquelle n’avait, en réalité, jamais été fermée. L’objectif italien est d’être parmi les leaders des programmes de reconstruction après plus de dix ans de guerre ». Messaggero : « ‘’La situation dans le pays a changé’’, a souligné Tajani, ‘’et il faut donc voir s’il est temps de changer également l’attitude de l’Union européenne’’. Tajani a par ailleurs commenté les spéculations autour d’une éventuelle intervention turque dans le nord-est syrien : ‘’Il me semble très prématuré de parler d’une telle incursion’’ , a-t-il déclaré. Cependant, il a ajouté : ‘’Si les milices kurdes sont intégrées dans l’armée syrienne, la situation sera certainement plus calme’’ ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

09/01/2025

"Temps pour une vie normale."

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"Temps pour une vie normale."

"Trump exige 5 % pour l'armement. Que disent ses amis de l'AfD à ce propos ?"

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Allemagne. Le parti de gauche anti-immigration BSW à propos du parti patriotique AfD :

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"Trump exige 5 % pour l'armement. Que disent ses amis de l'AfD à ce propos ?"

Jusqu'à 150 fonctionnaires européens suivront le débat sur Twitter (X) entre Alice Weidel et Elon Musk.

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UE et États-Unis. Jusqu'à 150 fonctionnaires européens suivront le débat sur Twitter (X) entre Alice Weidel de l'AfD et Elon Musk, ce soir à 19 h, afin d'examiner si des propos ne constitueraient pas une violation de la législation.