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13/05/2025

HC Strache accepte son mandat au sein du conseil de district de Floridsdorf.

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Autriche. Vienne. District de Floridsdorf. L’ancien vice-chancelier Heinz-Christian Strache accepte son mandat au sein du conseil de district de Floridsdorf, obtenu lors du scrutin du 27 avril 2025.

La polémique interne au sujet de l’absence de Giorgia Meloni à Kiev.

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Italie. Revue de presse.

Les Unes du jour portent sur les possibles négociations de paix en Ukraine « Trêve : Trump convoque Poutine » (Corriere della Sera), « Trêve, le bougé de Trump » (Repubblica), « Trump convoque Poutine et Zelensky » (Stampa), « Istanbul, Trump invite Poutine » (Messaggero), « Ukraine, Poutine échappe à la paix » (Giornale), la libération de l'otage israélo-américain (Corriere, Repubblica) et les droits de douane entre la Chine et les États-Unis (Messaggero, Corriere, Repubblica).

L’UkraineLa Stampa : « Les contremesures des Volontaires de l’UE : des sanctions contre la Russie » « pour être efficace, cette initiative devra être accompagnée d'une action similaire de la part des États-Unis qui semblent toutefois s'être légèrement écartés de la position européenne, selon laquelle le cessez-le-feu est une condition préalable à la reprise éventuelle des pourparlers entre Poutine et Zelensky ». Il Foglio « le ministre français Jean-Noël Barrot a énuméré les « sanctions particulièrement puissantes et massives » qui devraient convaincre Poutine d'accepter le cessez-le-feu. Ces mesures devraient viser « les secteurs énergétique et financier », en particulier « le pétrole, qui représente 25 % du budget de la Russie », avec un droit de douane de 500 % imposé par les États-Unis aux pays qui importent du pétrole brut russe », a expliqué M. Barrot ». Domani « Sceptique sur le plan des Volontaires et silencieuse sur ce qui se passe à Gaza, Meloni semble faire une allergie aux scénarii incertains. Du coup, la présidente du Conseil semble être dans une zone d’ombre. Si la politique internationale est une vitrine importante, il est vrai aussi que cela n’est pas perçu immédiatement par les électeurs italiens. Selon un récent sondage Tecné, 43% des sondés estime n’être ni du côté de Kiev ni du côté de Moscou »

L’absence de G. Meloni à Kiev. La Stampa : « Il y a eu sans doute une erreur d’évaluation de la part de Meloni (attendre la réaction de Trump sur une telle initiative qui s’est ensuite révélée positive au vu d’un soupirail de négociation entre les parties en guerre) et décider de participer uniquement en visioconférence à la réunion tenue à Kiev. Mais derrière cela se cache aussi la crainte de voir une Europe contrainte d’intervenir directement et déployer une force internationale de paix ; chose qui représenterait pour Meloni un problème non seulement du point de vue d’un envoi de soldats italiens mais aussi de devoir affronter l’allié Salvini, désormais engagé dans une campagne pacifiste sur les mêmes positions de Marine Le Pen ». Foglio : « C'est probablement un certain désintérêt, pour ne pas dire une certaine irritation, à l'égard de l'activisme du président français qui l'a poussée à faire ce choix. Nul peut douter de la fermeté de Meloni sur l’Ukraine mais la politique se nourrit aussi d’images, et sur le plan médiatique, l’absence de Meloni a eu des retombées. On a pu voir une rétrocession, du moins médiatique, de l’Italie et de Meloni sur l’échiquier international. Une erreur reste une erreur ».   Sole 24 Ore « Avec des partis d’opposition divisés, Meloni peut gérer facilement le rapport avec les leaders européens à sa manière, soit opportuniste, selon la contingence du jour et à sa convenance. Faisant toutefois attention à ne pas soustraire de l’espace à l’allié Trump. Il y a toutefois un autre allié qu’il faut regarder de près : le Chancelier Merz, que Meloni ne peut pas laisser entièrement à Macron. En effet, l’axe franco-allemand n’a jamais été propice pour l’Italie et il serait prudent d’essayer de ne pas rester exclus ». 

Cérémonie d’installation à venir du PapeMessaggero : « Les yeux de la présidente du Conseil sont fixés sur les colonnes de la Place Saint-Pierre où dimanche prochain, à la cérémonie d’installation du Pape Léon XIV, et sur la place où ils feront leur apparition plusieurs leaders mondiaux : le vice-président Usa Vance, le Premier ministre canadien Carney, l’Allemand Merz à ses débuts en Italie et probablement l’homme sous les projecteurs du monde, Zelensky. Au Palais Chigi, ils espèrent que les routes de la diplomatie mèneront encore une fois à Rome. Peut-être en détournant les polémiques des oppositions pour les photos de groupe manquées ces dernières semaines ». Foglio : « Comme lors des funérailles de François, même si elles seront plus modestes, les délégations des chefs d'État et de gouvernement du monde entier sont attendues. Et donc, en marge de la cérémonie (qui est devenue historique), un autre match parallèle se jouera peut-être. Composé, mais ponctuel : celui de la diplomatie. On sait déjà, par exemple, que le Chancelier allemand Friedrich Merz sera à Rome pour l'occasion et rencontrera, pour la première fois, la présidente du Conseil ».

Sole 24 Ore : « Lors du sommet de l'Eurogroupe, le Mécanisme Européen de Stabilité (MES) est revenu sur le devant de la scène et le ministre Giorgetti (Ligue), représentant le gouvernement, a de nouveau été interrogé sur l'intention de Rome concernant la ratification du traité, qui est toujours en suspens. Il semble que le ministre de l'Économie ait répondu qu'il n'était « pas optimiste », étant donné qu'un vote du Parlement est nécessaire et qu'il n'y a pas de majorité en raison de l'opposition de la Ligue et du FdI. Inutile de rappeler que notre pays est le seul à ne pas avoir approuvé le MES et que cela bloque la possibilité d'accès à cet instrument financier pour tous les autres États, même à des fins telles que celles dont il est question ces dernières semaines, à savoir la défense commune européenne ».

Foglio, Galeazzo Bisignani, chef de groupe de Fratelli d’Italia à la Chambre : « Les résultats sont plus importants qu’un selfie. Parfois, il faut aussi savoir être présent sans paraître. Giorgia Meloni n'était pas absente. Elle était présente, mais en visioconférence. En réalité, le choix du président du Conseil a coïncidé avec le point d'équilibre le plus sage et le plus concret qui pouvait être adopté. À Kiev, il y avait les membres de la coalition des « volontaires », dont l'Italie ne fait pas partie. La présence physique de Meloni aurait donc été incongrue. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

12/05/2025

Mecklembourg-Poméranie occidentale : l’AfD se qualifie pour le second tour dans trois districts.

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Allemagne. Mecklembourg-Poméranie occidentale. Lors du premier tour de quatre élections directes d’administrateurs de districts, les candidats de l’AfD se qualifient pour le second tour dans les trois districts dans lesquels l’AfD a présenté un candidat.

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CDU : démocrates-chrétiens

AfD : nationalistes

SPD : aociaux-démocrates

parteilos : sans parti

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(https://www.faz.net/aktuell/politik/inland/landratswahlen...)

Le Royaume-Uni désire réduire l'immigration.

Royaume-Uni. Alors que le parti patriotique Reform UK de Nigel Farage a le vent en poupe, le Premier ministre travailliste Keir Starmer promet de « reprendre enfin le contrôle » des frontières du pays et dévoile de nouvelles mesures pour réduire l’immigration légale.

(https://www.7sur7.be/monde/au-royaume-uni-starmer-sous-pr...)

L’AfD du Brandebourg a envoyé une mise en demeure judiciaire au ministère de l’Intérieur du Brandebourg.

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Allemagne. Brandebourg. L’AfD du Brandebourg a envoyé une mise en demeure judiciaire au ministère de l’Intérieur du Brandebourg, suite au fait que l’AfD du Brandebourg est désormais classée par l’Office de protection de la Constitution du Brandebourg en tant que cas d’« extrême-droite avéré ». L'AfD du Brandebourg estime que ce classement est injustifié.

Entretien exclusif de Lionel Baland avec George Simion, le candidat nationaliste au deuxième tour de l'élection présidentielle roumaine.

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Roumanie. Entretien exclusif avec George Simion :

https://www.breizh-info.com/2025/05/12/246900/george-simi...

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Ana Maria Gavrilă, Călin Georgescu, George Simion

Pia Kjærsgaard se présentera aux prochaines élections législatives dans la région de l’Est.

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Danemark. L’ancienne présidente du Parti du Peuple danois Pia Kjærsgaard se présentera aux prochaines élections législatives dans la région de l’Est en tant que candidat de tête.

"Giorgia Meloni s'est connectée par vidéoconférence, elle était donc présente [à Kiev]."

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Italie. Revue de presse.

Les Unes du jour portent sur l'Ukraine et les possibles négociations à venir « Zelensky-Poutine, oui au sommet » (Corriere della Sera), « Zelensky ouvre la porte à Poutine » (Repubblica), « Paix : Zelensky défie Poutine » (Stampa), « Zelensky : « je rencontrerai Poutine » » (Messaggero), « Ukraine, l'heure de la vérité » (Giornale) et à la première messe du Pape Léon XIV « L'appel du Pape pour la paix » (Repubblica), « « Arrêtez les guerres » » (Messaggero), « Léon comme François, « plus jamais la guerre » » (Il Fatto).

Les JT couvrent essentiellement, outre les sujets traités par les quotidiens, le Proche-Orient, la visite à Rome de Marine Le Pen, et les droits de douane entre les Etats-Unis et la Chine.

Ukraine. L’ensemble des quotidiens analyse la situation internationale, changée en raison de plusieurs facteurs : l’autosuffisance militaire de l'Ukraine : « L'Ukraine a renforcé sa capacité militaire, notamment dans les domaines des drones et de l'artillerie, ce qui lui donne plus de confiance pour négocier » (La Stampa) ; le soutien européen « Les pays européens, notamment la France, l'Allemagne, la Pologne et le Royaume-Uni, ont formé un noyau de soutien à l'Ukraine, en travaillant sur des plans pour une force de dissuasion européenne » (La Stampa), la diplomatie internationale : « Les efforts diplomatiques de Trump, Macron, et d'autres dirigeants ont permis de mettre la pression sur Poutine pour qu'il accepte des négociations sérieuses (La Repubblica, La Stampa) et enfin l’action du Saint-Siège « L'appel à la paix du Pape Léon XIV a ajouté une dimension morale et spirituelle aux efforts de paix, en insistant sur la nécessité de justice » (Il Tempo).

L’absence de l’Italie lors de la réunion à Kiev est soulevée par les partis d’opposition, accusant l’exécutif d’avoir perdu un rôle de premier rang dans l’échiquier international. « Le PD critique sévèrement l'absence de Meloni à Kiev, la qualifiant de "grave". Giuseppe Conte, président du M5S, critique également cette absence, la qualifiant de "triomphe de l'hypocrisie". Il déclare : ‘’Le fait que Meloni se connecte à distance confirme une stratégie désastreuse’’. Matteo Renzi, chef d'Italia Viva, utilise les réseaux sociaux pour souligner l'absence de l'Italie dans le groupe de tête. Il affirme : ‘’Avec Meloni, l'Italie s'est perdue : nous ne sommes plus dans le groupe de tête’’ » (Repubblica). L’analyse des principaux quotidiens est assez dure à l’encontre de l’Exécutif. « L’absence de Meloni à Kiev est perçue comme un isolement de l'Italie. La chaise vide, l'Italie isolée, le gouvernement est en difficulté » (Corriere della Sera, 11.05.2025). « L’absence de Meloni pourrait nuire à l'image de l'Italie. Elle avait été invitée par les autres dirigeants européens à Kiev. Le fait de ne pas y aller a été un choix politique. Un choix qui n’est pas sans répercussions, au vu des polémiques soulevés par les partis d’opposition » (Repubblica, 11.05.2025). « Cette fois-ci dans le train pour Kiev l’Italie était absente et cela n’est pas une belle chose. La photo de Macron est une image forte représentant les principaux leaders européens, avec la volonté de donner un message d’unité et de solidarité à Kiev » (Quotidiano Nazionale). La stratégie du Palais Chigi est également expliquée : « Meloni insiste sur le fait que "les photos ne comptent pas, mais la substance". Elle souligne que sa présence physique n'est pas nécessaire pour montrer le soutien de l'Italie à l'Ukraine. En revanche, Meloni souligne l'importance de la conférence de reconstruction prévue à Rome en juillet, à laquelle Trump pourrait participer (Corriere della Sera 11.05.2025). « Meloni a adopté une stratégie de communication sociale en évitant de publier des photos avec Zelensky pour ne pas irriter Trump et éviter de perdre son soutien (Il Fatto Quotidiano).

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La visite de Marine Le Pen à Rome. « Enhardis par le cyclone Trump, les « patriotes pour l'Europe » sentent que le vent de l'histoire souffle en leur faveur. Marine Le Pen, invitée à l'école de formation politique de la Ligue, le dit clairement en conclusion de son discours au palais Rospigliosi : ‘’la mission de notre génération est de ramener la souveraineté nationale en Europe’’ » (Repubblica). « Le Pen se rend à Rome mais ne rencontre pas Meloni. La dirigeante du RN est invitée par M. Salvini, les deux « patriotes » sont de plus en plus liés. Devant les léguistes, Marine Le Pen, saluée comme une vedette, s’en prend au président français « je me demande si Macron veuille vraiment la paix, son comportement est ambigu ». Son intervention est pleine de piques lancées contre l’Europe, qualifiée de « antidémocratique » et qui « prive les nations souveraines d’utiliser leurs pouvoirs » (Stampa). « L’axe entre Marine Le Pen et Matteo Salvini « Macron veut la guerre » : le duo décide de viser le président français mais aussi les institutions européennes. Ils adoptent le même langage. Le couple souverainiste est contre Macron et son plan des Volontaires » (Il Messaggero).

Sondages. « Selon un sondage conduit par Euromedia Research, 62% des Italiens critiquent l’action de Trump depuis sa prise de pouvoir. Selon l’orientation politique des électeurs, ce pourcentage toutefois change, notamment à gauche. En effet, pour les électeurs du PD, d’AVS et d’Azione figurent parmi les plus critiques (en moyenne 90%), les moins exigeants sont les électeurs du M5S (66%) et d’Italia Viva (61%). A droite, les différences sont moins marquées. Les électeurs de Forza Italia sont divisés en deux : 47,2% sont critiques, 49% saluent l’action de Trump. Auprès de Fratelli d’Italia, 43,3% sont critiques et 35,9% favorables. Les léguistes sont les plus trumpiens des électeurs orientés à droite : 56,5% voient positivement la politique de Trump. Enfin, concernant l’Ukraine, 54,5% des Italiens sont pessimistes quant à la possibilité d’arriver à une paix à court terme » (La Stampa).

Corriere della Sera, Antonio Tajani (Forza Italia), ministre des Affaires Etrangère et vice-président du Conseil : « Q. Vous ne pensez pas que la Première ministre aurait dû être présente à Kiev ? « Giorgia Meloni s'est connectée par vidéoconférence, elle était donc présente. Ce qui compte, c'est la présence dans la substance. L'Italie, le gouvernement, la présidente en personne sont présents dans tous les aspects des négociations ». Q. L'opposition n'a-t-elle pas raison lorsqu'elle vous accuse de « nuire à l'Italie » et décrit un pays isolé, en marge de l'Europe ? « Non. Nous organisons la grande conférence internationale pour la reconstruction de l'Ukraine, prévue à Rome les 10 et 11 juillet. Demain (aujourd'hui, ndlr), je serai à Vérone pour la troisième et dernière étape de la préparation de l'événement, avec 450 entrepreneurs de petites et moyennes entreprises et représentants des collectivités locales. Les oppositions nous reprochent d’abord de trop parler avec Trump, puis de ne pas assez parler avec Trump. L'Italie est redevenue un acteur majeur de la politique étrangère, notre crédibilité au niveau européen et international est élevée. Le résultat obtenu par Forza Italia lors du congrès du PPE est emblématique de la considération dont jouit le gouvernement. Nous avons également participé à la médiation qui a permis de renouer le dialogue entre l'Inde et le Pakistan. » Q. Meloni affirme que L'Italie « doit rester fermement ancrée dans l'UE ». Confirmez-vous ? « Bien sûr. L'Italie était présente à Kiev et l'Italie est présente en Europe. La preuve en est la réunion prévue demain matin (aujourd'hui, ndlr) à Londres avec les dirigeants de l'UE, parmi lesquels les ministres des Affaires étrangères de France, d'Allemagne, d'Italie, de Pologne, d'Espagne et du Royaume-Uni. Le groupe de Weimar discutera des scénarios de crise et fera le point sur les efforts visant à instaurer un cessez-le-feu entre Moscou et Kiev. ». Q. Il s'agit d'une réunion importante, mais ce n'est pas un sommet entre dirigeants... « Que ce soit la Présidente du Conseil ou des ministres, cela ne fait aucune différence, l'essentiel est que nous apportions notre contribution. Le soutien italien à l'Ukraine s'élève à environ 2,5 milliards d'euros, hors aide militaire et contributions européennes. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

George Simion a obtenu près de 75 % des voix en Allemagne, en Italie et en Espagne.

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Roumanie. Un chiffre clé du premier tour des élections présidentielles roumaines est celui-ci :

«  À l’étranger, Simion a remporté 61 % des votes exprimés, avec jusqu'à près de 75 % des voix en Allemagne, en Italie et en Espagne. » [contre 41 % au total des votes].

Des pays qui accueillent l'immigration de travail roumaine sont les bastions de George Simion. Ce phénomène est courant dans l'Est de l'Europe : la diaspora vote plus nationaliste (alors que les expatriés originaires de l'Europe de l'Ouest qui vivent dans le Monde ont tendance à voter moins nationaliste que la moyenne).

Marine Le Pen apporte son soutien à George Simion.

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France et Roumanie. Marine Le Pen apporte son soutien à George Simion, le candidat nationaliste au deuxième tour de l'élection présidentielle roumaine. 

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Slovénie : invalidation de la nouvelle loi sur les retraites complémentaires des artistes primés.

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Slovénie. Le peuple a décidé par référendum d’invalider la nouvelle loi sur les retraites complémentaires des artistes primés. Cela constitue une victoire pour le SDS de Janez Janša, qui a fait campagne contre l'« art dégénéré ». En effet, depuis février 2025, des affiches et des panneaux d'affichage accrochés dans les villes du pays présentent une image de l'artiste slovène Maja Smrekar allaitant un chien, accompagnée du slogan : « Changement pour le peuple, prestige pour l'élite ».

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11/05/2025

Des manifestations contre l'AfD ont eu lieu dans une soixantaine de villes allemandes.

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Allemagne. Des manifestations contre l'AfD ont eu lieu dans une soixantaine de villes allemandes, sous le slogan « Plus d'excuses, interdisons l'AfD maintenant ! »

Marine Le Pen a pris la parole à l'école de formation politique de la Ligue.

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Italie et France. Marine Le Pen a pris la parole à l'école de formation politique de la Ligue.

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Marine Le Pen

George Simion déclare être favorable à la réinstauration de la monarchie.

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Roumanie. Le candidat nationaliste à l’élection présidentielle George Simion déclare être favorable à la réinstauration de la monarchie.

Sławomir Mentzen au centre de refoulement de demandeurs d'asile à Eisenhüttenstadt.

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Pologne et Allemagne. Le candidat nationaliste à l’élection présidentielle polonaise Sławomir Mentzen s’est rendu à Eisenhüttenstadt en Allemagne, dans le Brandebourg, à la frontière polonaise où se trouve un centre allemand de refoulement de migrants vers la Pologne afin d’expulser vers ce pays les demandeurs d’asile qui sont entrés, en passant par ce pays, en Allemagne et devaient, en vertu du règlement de Dublin, demander l’asile en Pologne. Sławomir Mentzen s'oppose à ces expulsions vers son pays.

(https://www.bmi.bund.de/SharedDocs/kurzmeldungen/DE/2025/...)

(https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A8glement_Dublin_III)

(https://www.youtube.com/watch?v=b2tvbArCZUg)

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Le centre de refoulement de demandeurs d'asile à Eisenhüttenstadt

Björn Höcke demande un recomptage des voix des élections législatives afin de déterminer si le BSW n'a pas atteint le seuil électoral des 5 %.

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Allemagne. La figure de proue de la tendance nationaliste de l'AfD Björn Höcke demande un recomptage des voix des élections législatives afin de déterminer si le parti de gauche anti-immigration BSW de Sahra Wagneknecht n'a pas atteint le seuil électoral des 5 %.

Le chef de file des élus de l'AfD au Parlement européen René Aust soutient expressément la demande de Björn Höcke de recompter les voix des élections législatives.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/04/24/le-...)

10/05/2025

Le président de Vox Santiago Abascal prendra part à la fête organisée par le RN.

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Espagne et France. Santiago Abascal, le président du parti nationaliste espagnol Vox et le président du parti européen Patriots for Europe, prendra part à la fête organisée par le Rassemblement national.

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(https://my.weezevent.com/la-fete-de-la-victoire)

Pologne : le candidat de la Plateforme civique à l'élection présidentielle donné vainqueur.

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Pologne. Un sondage Pollster donne le candidat libéral et démocrate-chrétien de la Plateforme civique (PO) Rafał Trzaskowski vainqueur au deuxième tour de l'élection présidentielle du 1 juin 2025, avec 55 %, face au candidat indépendant soutenu par les conservateurs de Droit et justice (PiS) Karol Nawrocki, donné à 45 %. [Le premier tour a lieu le 18 mai.]

41 % des Allemands sont favorables à l'interdiction de l'AfD et 45 % y sont opposés.

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Allemagne. Une enquête d’opinion INSA, conduite auprès de plus de 1.000 personnes représentatives, montre que 41 % des Allemands sont favorables à l'interdiction de l'AfD et 45 % y sont opposés. Les autres sont indécis.

Robert Fico et Aleksandar Vučić à Moscou.

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Russie, Slovaquie et Serbie. Le Premier ministre social-démocrate souverainiste slovaque Robert Fico et le président serbe Aleksandar Vučić ont assisté, à Moscou, au défilé du 9 mai commémorant la victoire soviétique sur l'Allemagne en 1945.

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Aleksandar Vučić et Robert Fico

09/05/2025

Les résultats du premier tour des élections présidentielles roumaines sont approuvés.

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Roumanie. La Cour constitutionnelle a approuvé ce jour les résultats du premier tour des élections présidentielles. Le second tour aura lieu le dimanche 18 mai 2025.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/05/05/lio...)

Lionel Baland dans le reportage de TV Libertés sur les persécutions des services secrets allemands contre l'AfD.

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Allemagne. Reportage de Nicolas de Lamberterie sur les persécutions des services secrets allemands contre le parti patriotique AfD (0’54 à 6’40’’) :


Viktor Orbán déclare que, si le candidat nationaliste roumain George Simion est élu, la Hongrie ne soutiendra aucune forme d’isolement politique de la Roumanie ou de ses dirigeants.

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Hongrie et Roumanie. Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán déclare que, si le candidat nationaliste roumain George Simion est élu, la Hongrie ne soutiendra aucune forme d’isolement politique de la Roumanie ou de ses dirigeants.

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Viktor Orbán

(https://x.com/i/status/1920836788798566711)

Le parquet de Dresde a demandé la levée de l'immunité de Maximilian Krah.

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Allemagne. Le parquet de Dresde a demandé la levée de l'immunité du député fédéral de l’AfD Maximilian Krah, dans le contexte de l'affaire d'espionnage présumé en faveur de la Chine. En outre, une enquête préliminaire est en cours sur de prétendus paiements russes à Maximilian Krah.

Thuringe : modification des règles de composition de la Commission parlementaire de contrôle de l'Office de protection de la Constitution.

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Allemagne. Thuringe. Le gouvernement de Thuringe, composé des démocrates-chrétiens de la CDU, des sociaux-démocrates du SPD et du parti de gauche anti-immigration BSW, désire exclure l'AfD des mécanismes de contrôle de l'Office de Thuringe de protection de la Constitution qui surveille l’AfD.

En conséquence, les trois partis du gouvernement CDU-SPD-BSW et les post-communistes de Die Linke ont modifié les règles de composition de la Commission parlementaire de contrôle. Au lieu d’une majorité des deux tiers, seule une majorité simple est désormais nécessaire pour envoyer un député à la Commission parlementaire. Il n’est plus nécessaire que cette dernière soit composée de cinq membres, comme auparavant, mais elle peut en compter de trois à six. Or, la loi stipule que « l’opposition parlementaire au parlement de l’État doit être représentée au sein de l’organe proportionnellement à sa force ».

Toutefois, étant donné que la commission peut désormais être composée de moins de cinq membres, le parlement du Land a pu décider à la majorité simple que la commission ne serait composée que de quatre membres. Et si Die Linke obtient deux de ces sièges, la Commission de contrôle parlementaire sera à moitié occupée par l’opposition.