23/03/2025
Les écologistes font pression sur la future présidente de la Chambre des députés afin qu'elle ne se présente pas devant les élus de l'AfD.
Allemagne. Julia Klöckner du parti démocrate-chrétien CDU est désignée par ce dernier en tant que candidate au poste de présidente de la Chambre des députés. Elle désirait se présenter devant les groupes de députés de chaque parti. Les députés écologistes sont intervenus et ont menacé de l’empêcher de se présenter devant leurs députés si elles se présentait devant ceux du parti patriotique AfD.
12:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
Entretien de Lionel Baland avec Candela Sol Silva qui dirige la Jeunesse de Frères d'Italie en Argentine.
Italie et Argentine. Entretien avec Candela Sol Silva qui dirige la Jeunesse du parti Frères d'Italie du Premier ministre italien Giogia Meloni en Argentine :
https://www.breizh-info.com/2025/03/23/245027/candela-sol...
Candela Sol Silva et Giorgia Meloni
Candela Sol Silva
12:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
22/03/2025
L'Italie interdit le langage "non genré" dans les écoles.
Italie. Le gouvernement interdit le langage « non genré » dans les écoles.
19:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD donnée à 23 % et le BSW à 5 %.
Allemagne. Les patriotes de l'AfD sont donnés à 23 %, à 4 points des conservateurs de la CDU/CSU. La gauche anti-immigration BSW est donnée à 5 %.
(https://www.wahlrecht.de/umfragen/insa.htm)
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
AfD : patriotes
SPD : sociaux-démocrates
Grüne : écologistes
Die Linke : post-communistes
BSW : gauche anti-immigration
FDP : libéraux
Sonstige : autres
17:23 | Lien permanent | Commentaires (0)
21 % des catholiques souhaitent voter pour le parti patriotique AfD.
Allemagne. Selon un sondage INSA, 21 % des catholiques souhaitent voter pour le parti patriotique AfD, ce qui correspond aux résultats du parti auprès de l’ensemble de la population dans les sondages.
16:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
Mette Frederiksen considère la migration de masse comme une menace pour la vie quotidienne en Europe.
Danemark. Le Premier ministre social-démocrate Mette Frederiksen déclare à Politico qu’elle considère « la migration de masse comme une menace pour la vie quotidienne en Europe » et affirme que le vice-président américain JD Vance a raison sur la question de l'immigration et de la limitation de l'arrivée massive d'étrangers.
Mette Frederiksen
13:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
21/03/2025
Le dirigeant des Électeurs libres sauve son emploi car son parti a voté la réforme de la Constitution à propos de l’endettement massif.
Allemagne. Le dirigeant des Électeurs libres avoue que son parti a dû accepter que la Bavière, qui est gouvernée par son parti et les sociaux-chrétiens de la CSU, vote au Sénat pour la réforme de la Constitution fédérale à propos de l’endettement massif, sinon il aurait perdu son poste de vice-Premier ministre de Bavière et de ministre de l’Économie de Bavière.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/03/21/all...)
21:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
La nouvelle Chambre des députés sera constituée mardi, mais l'AfD devrait être privée de postes qui lui reviennent.
Allemagne. La nouvelle Chambre des députés sera constituée mardi. Les patriotes de l’AfD disposeront du deuxième plus grand groupe, mais devraient être privés de postes qui leurs reviennent, comme une vice-présidence. Jusqu’à présent, l’AfD a échoué 26 fois à obtenir cette fonction.
21:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le post-communiste Gregor Gysi présidera la première séance de la Chambre des députés.
Allemagne. Autrefois, le député le plus âgé présidait la première séance de la Chambre des députés. Le règlement a été modifié en 2017 afin d’éviter qu’un élu du parti patriotique AfD ne se trouve dans cette situation. En conséquence, le député le plus ancien et non le plus âgé présidera l’ouverture de la nouvelle Chambre des députés. Le plus ancien député est Gregor Gysi (77 ans), dernier dirigeant du parti communiste d’Allemagne de l’Est et actuel député du parti post-communiste Die Linke, alors que le plus âgé est Alexander Gauland (84 ans) de l’AfD.
17:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Meloni, une nouvelle attaque sur Ventotene."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur le Conseil européen et le plan ReArm EU « Réarmement, l'UE divisée sur la dette » (Corriere della Sera), « Sommet UE, soutien à Kiev mais pas d'unité sur le réarmement », (Repubblica), « Réarmement, Meloni se démarque d'Ursula » (Stampa), « Réarmement, Ursula change de nom. Zelensky : « il faut continuer à nous soutenir » » (Messaggero), sur les droits de douane « Droits de douane repoussés, l'Europe négocie » (Messaggero), et sur les suites de l'intervention de G. Meloni à la Chambre des Députés « Meloni, une nouvelle attaque sur Ventotene » (Repubblica), « Meloni: « La gauche illibérale » » (Giornale).
Le réarmement. Corriere della Sera : « l’Europe avance sur le plan rebaptisé « Readiness 2030 » mais les pays membres se divisent sur l’endettement pour le réarmement européen en raison de sensibilités différentes sur la thématique. La clause de sauvegarde est en effet basée sur la dette nationale et il y a des pays qui, même s'ils utilisaient les instruments mis à disposition par la Commission, auraient des retombées trop lourdes sur leur budget. C'est le cas, par exemple, de l'Italie et de la France qui, pour l'instant, n'ont pas l'intention d'activer la clause de sauvegarde ni d'utiliser les prêts mis à disposition par l'instrument Safe ». Corriere della Sera : « L’un des objectifs de la diplomatie italienne dans les négociations européennes en cours est d’élever la part des dépenses consacrées aux équipements militaires produits dans l’UE, actuellement fixée à 60 %, à un seuil compris entre 80 et 90 %. Aujourd’hui, acheter « européen » revient principalement à acheter en France, en Allemagne ou en Italie, où Leonardo représente un acteur majeur du secteur. Le renforcement du groupe italien permettrait non seulement de consolider l’industrie nationale, mais aussi de générer des retombées financières réinvestissables dans l’effort de défense lié à l’OTAN. Une partie de la production de Leonardo étant située au Royaume-Uni, l’Italie pourrait également bénéficier de l’accord de sécurité militaire entre l’UE et Londres, qui sera discuté tranchée lors du premier sommet UE-Royaume-Uni post-Brexit en mai prochain et qui ouvrirait la possibilité d’intégrer la production britannique dans la clause d’achat « européen ». Ce dossier s’inscrit dans un jeu diplomatique complexe, mené sur plusieurs fronts – à l’OTAN, à la Commission européenne et au sein des gouvernements des États membres – et qui vise notamment à éviter de froisser les institutions et le complexe industriel américain. ». La Stampa : « En principe, tous invitent à faire « avancer les travaux » sur les « récentes propositions de la Commission », comme indiqué dans les conclusions du sommet de l'UE. Mais en ce qui concerne le calendrier, les méthodes, les instruments et même le nom choisi, plus d'un dirigeant a exprimé ses doutes quant au plan « ReArm Europe ». Repubblica : « Les « volontaires » accélèrent les projets militaires pour Kiev. Frictions entre Londres et Paris. Londres n'apprécierait pas que Paris donne la priorité à l'industrie de défense européenne, qui exclurait de fait les Britanniques »
L’Ukraine. La Stampa « Il a été décidé de poursuivre le soutien militaire à l'armée de Kiev - contrairement aux demandes de Poutine - et de parvenir à « la paix par la force ». En revanche, le projet présenté par Kaja Kallas d'une aide militaire de 40 milliards d'euros a été abandonné : il s'agit désormais de livrer deux millions de munitions de gros calibre (valeur totale de 5 milliards d'euros), mais « sur une base volontaire » ».
La bilatérale G. Meloni/U von der Leyen. Il Messaggero : « Meloni peut être soulagée : les contre-mesures européennes aux droits commerciaux de Trump ont été reportées et le nom du plan de réarmement a été changé. Elle peut donc s’en féliciter avec les journalistes, qualifiant le report de « décision lucide » Sole 24 Ore « Meloni peut se réjouir du fait que la proposition italienne sur les garanties européennes sur la base également d’investissements privés a été accueillie favorablement par les autres pays membres. Elle l’a répété lors de son face à face avec la Présidente de la Commission, en restant prudente sur la possibilité d’endettement des Etats, ce qui pourrait ternir leur réputation sur les marchés. Cette crainte a été soulevé par la Ligue et notamment par son Ministre de l’Economie Giorgetti. La présidente du Conseil a rappelé que le ReArm doit financer non seulement l’armement mais aussi tout ce qui sert à assurer la sécurité : allant de la défense des frontières et des infrastructures stratégiques à la cybersécurité. C’est une approche qui aide à baisser la tension sur l’opinion publique ».
La posture des partis au sein de la majorité sur le réarmement. Corriere della Sera « La médiation impossible entre les présidents adjoints du Conseil sur l’Europe » : « L’insistance avec laquelle Tajani (Forza Italia) répète que ‘’si ce gouvernement était contre l’Europe, je n’en ferais par partie’’ apparait comme une invitation destinée à Salvini mais aussi à Meloni à ne pas assumer des positions pouvant faire vaciller le soutien à l’Ukraine en matière d’investissements dans les dépenses militaires. Tajani s’est aussi défilé sur la polémique touchant le manifeste de Ventotene, se bornant à dire que son Europe est celle de De Gasperi et des populaires allemands et français »
La polémique autour des propos de G. Meloni sur le manifeste de Ventotene. La Stampa : « Une délégation de parlementaires et de membres locaux de l’opposition – actuellement issus du Parti démocrate, d’Alliance Verts et Gauche et d’Italie Viva – se rendra demain sur l’île de Ventotene pour un pèlerinage politique sur la tombe d’Altiero Spinelli, l’un des auteurs du Manifeste de Ventotene. L’initiative, portée par la secrétaire régionale du PD dans le Latium, se veut une « défense des valeurs européennes » ( PD) et d’une « Europe fédérale face à la montée des nationalismes » (Più Europa). Les critiques émises par Giorgia Meloni à l’égard du Manifeste à la Chambre des députés ont provoqué une nouvelle polémique au Sénat, où l’opposition a dénoncé une attaque grave contre la démocratie et l’Europe, ainsi qu’une preuve du « désengagement » de la présidente du Conseil vis-à-vis des valeurs de la République et de la Constitution (Parrini, PD). En retour, la majorité a qualifié le texte d’« horriblement antidémocratique » (Borghi, Ligue). Pour l’opposition, cette controverse est avant tout un signe de faiblesse du gouvernement (Bonelli, Avs), qui chercherait à détourner l’attention du plan RearmEurope. À ce sujet, Elly Schlein (PD) met en garde contre les demandes de flexibilité budgétaire de Meloni : « Si les dépenses ne sont pas intégrées dans des projets européens, elles iront à l’encontre des intérêts des Italiens. »
"Manifeste de Ventotene : "Nous avons abattu le dernier mur.""
(Traduction : ambassade de France à Rome)
14:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
Allemagne : la réforme de la Constitution est aussi adoptée par le Sénat.
Allemagne. La réforme de la Constitution est aussi adoptée par le Sénat : le paquet financier pour la défense et les infrastructures a obtenu la majorité nécessaire des deux tiers.
Douze États ont voté au Sénat en faveur de la modification de la Constitution fédérale, les autres États (Brandebourg, Rhénanie-Palatinat, Saxe-Anhalt et Thuringe) se sont abstenus, soit à la demande des libéraux du FDP, soit de la gauche anti-immigration BSW.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/03/18/l-a...)
11:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
20/03/2025
Reform UK devance les travaillistes de 5 points.
Royaume-Uni. Les patriotes de Reform UK dirigés par Nigel Farage sont donnés premiers à 27 %, 5 points devant les travaillistes et 6 points devant les conservateurs.
20:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
George Simion est soutenu par Bart De Wever, Giorgia Meloni et Petr Fiala.
Roumanie et UE. Le candidat nationaliste à l'élection présidentielle en Roumanie George Simion est soutenu par les Premiers ministres de Belgique, d'Italie et de Tchéquie Bart De Wever, Giorgia Meloni et Petr Fiala.
George Simion, Bart De Wever, Giorgia Meloni et Petr Fiala
19:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
André Ventura : "J'ai juste besoin d'une opportunité pour faire le ménage dont le Portugal a besoin !"
Portugal. Le dirigeant de Chega André Ventura estime que les deux partis du système ont passé 50 ans à protéger les bandits et affirme « J'ai juste besoin d'une opportunité pour faire le ménage dont le Portugal a besoin ! »
18:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Meloni répudie l'Europe de Ventotene, chaos à la Chambre."
Italie. Revue de presse.
Les Unes aujourd'hui portent sur l'intervention de G. Meloni à la Chambre des Députés « Bagarre à la Chambre sur l'Europe » (Corriere della Sera), « Meloni contre les pro-Européens » (Repubblica), « L'Europe s'est arrêtée à (manifeste de) Ventotene » (Stampa), « Meloni répudie l'Europe de Ventotene, chaos à la Chambre » (Messaggero), « La vérité sur Ventotene sème la panique à gauche » (Giornale) et sur l'Ukraine « Trump appelle Zelensky, optimisme. Kiev « une paix durable est possible cette année » » (Corriere della Sera), « Coup de téléphone Trump-Zelensky « une paix possible cette année » » (Repubblica), « Zelensky, une paix dans l'année » (Messaggero), « Trump à Zelensky: « nous sommes sur la bonne voie » » (Giornale).
[Ventotene : https://www.agenzianova.com/fr/news/Meloni-cite-le-manife...]
Le manifeste de Ventotene
L'ïle de Ventotene
Les hashtags #Ventotene et #Meloni, en référence aux propos de G. Meloni sur le manifeste de Ventotene lors de ses déclarations devant les Chambres, font tendance.
Déclarations de G. Meloni devant les Chambres avant le Conseil Européen. La Repubblica : « ‘’Ventotene n’est pas mon Europe" Meloni enflamme la Chambre » : « La Présidente du Conseil cible le manifeste de Spinelli et Rossi, lit quelques passages et déclenche les protestations des oppositions. La séance est même suspendue à deux reprises. La résolution du gouvernement sur le réarmement a été adoptée. Schlein dénonce : " c’est un outrage à l’antifascisme. Ils réécrivent l’histoire". Le silence de Mattarella et ce texte qui a toujours été loué. Lors du déjeuner au Quirinal à l’occasion du Conseil européen, il n’y a pas eu de rencontre en tête à tête entre le président de la République Sergio Mattarella et la présidente du Conseil Giorgia Meloni comme cela arrive souvent dans ces situations. Si aucun commentaire n’a été laissé filtrer par le Quirinal, c’est parce que le chef de l’Etat n’intervient pas dans le débat parlementaire. ». Corriere della Sera, « A huis clos, Meloni dit à son entourage qu’elle est convaincue de la cohérence de son discours : elle est bien consciente d’avoir fait tomber un tabou et ne fera certainement pas marche-arrière car cette posture est de fait celle de la droite italienne depuis le vote d’adhésion à la Communauté Européenne. Meloni a voulu ainsi parler à sa base électorale « souverainiste » en réponse de la manifestation à Rome sur la Place du Peuple ». Stampa « C’est une provocation pour fuir la réalité en se cachant derrière l’histoire. C’est une attaque incompréhensible aux piliers de l’Europe et au RearmEU qui s’explique uniquement par le désir d’adresser un message à Trump : c’est un acte de fidélité aux Etats-Unis en attente de sa visite à Washington qui scellera le nouveau positionnement de l’Italie sur l’échiquier international. Le secrétaire d’Etat Mantovano (indépendant, autrefois Alliance nationale) et le sénateur Lucio Malan (Frères d'Italie, autrefois Ligue) seraient les inspirateurs de cette stratégie ». Repubblica : « Tajani (Forza Italia) souligne : « de Forza Italia, Meloni a reçu le mandat de voter oui au Rearm Eu. Point ». La Ligue, quelques heures auparavant, avait soutenu le contraire, par la bouche du chef de groupe à la Chambre, Riccardo Molinari : une sortie tranchante, qui arrive au cœur d’un appel téléphonique entre la présidente du Conseil et l’adjoint de la Ligue. Un appel "tendu", bien que les sherpas de Ligue et de Frères d'Italie le décrivent naturellement comme « cordial et coopératif, comme toujours ». Peu après Salvini ajuste le tir : « Meloni a mandat pour défendre l’intérêt national », c’est la ligne. Avec un ajout : « Je ne crois pas que le Rearm Eu le soit» ». Foglio : « Meloni s’est enfin prononcée sur le Mercosur, en faisant des concessions ‘’oui mais avec équité’’. C’est un pas en avant, un signal politique mais le gouvernement italien, dont le vote sur l’accord sera crucial en Europe, doit encore se prononcer une fois pour toute. On se demande si ce n’est pas encore un exercice d’équilibrisme de la part de l’exécutif de Rome ». Giornale. « Meloni enflamme la Chambre et fait retomber l’attention sur le Rearm Europe et la Défense UE, les critiques de la Ligue passent au deuxième plan. A signaler le mécontentement de Forza Italia pour ce choix de contextualiser le Manifeste de Ventotene. Sans que cela se traduise par des déclarations publiques, Tajani (Forza Italia) clôt la polémique “Meloni n’a pas insulté Spinelli, a juste critiqué certains contenus du manifeste”. Mise de côté la question du réarmement, et notamment les critiques de la Ligue, Meloni a été contente de l’effet de cette improvisation suggérée par Fazzolari mais le problème du réarmement ne peut pas être contourné ».
Chaos à la Chambre
Le RearmEU. Corriere della Sera : « Réarmement, Bruxelles achète européen’’. ‘’Cinq ans pour se préparer au pire : le Livre blanc de la défense européenne d’ici 2030 a pour objectif de réarmer les Etats membres en donnant un nouvel élan à l’industrie européenne de la défense. Que ce soit clair, Bruxelles peut s’occuper d’industrie et de financements, alors que la défense au sens strict reste une compétence nationale. Les leaders européens demanderont aujourd’hui au Conseil européen une accélération ‘sur tous les fronts’ et en particulier sur les ‘différentes possibilités de financements’. Le plan tend à favoriser les projets industriels européens et renforcer les alliances globales avec des partenaires comme le Canada, le Japon… alors que le Royaume-Uni est considéré comme un ‘allié essentiel’. Sur la table, il y a 150 milliards d’euros de prêts garantis, à condition que 65% des coûts des équipements financés proviennent de fournisseurs de l’UE, norvégiens ou ukrainiens. C’est donc la ligne de la France qui a prévalu avec la ‘préférence européenne’. Les industries du Royaume-Uni, des Etats-Unis et de Turquie ne feront pas partie de cet instrument, à moins de signer un accord de sécurité et défense avec l’UE. Les pays nourrissent de nombreux doutes quant au plan de réarmement européen, à commencer par les conditions des prêts garantis. Le plan pour l’Ukraine à hauteur de 40 milliards présenté par la Haute-représentante Kaja Kallas a fait l’objet de critiques de la part de plusieurs pays dont l’Italie, l’Espagne, la France et la Belgique. » Stampa : « L’UE et les armes pour Kiev, ‘ce n’est pas Poutine qui décide’ mais les fonds manquent’’. ‘’Malgré les conditions posées par Vladimir Poutine pour un cessez-le-feu, l’Union européenne n’entend pas interrompre son soutien militaire à l’Ukraine. Ils le réaffirmeront aujourd’hui au Conseil européen, bien que V. Orban ait déjà annoncé son intention de ne pas signer la partie dédiée à Kiev. Kaja Kallas doit composer avec le rejet de son plan pour fournir 40 milliards d’euros d’aides militaires à l’Ukraine, et les résistances en particulier des ministres des affaires étrangères italien, espagnol, français et portugais. La Haute-représentant a dû remanier son plan et drastiquement revoir à la baisse son niveau d’ambition. Concernant le plan de réarmement européen, il y aura certaines exceptions à la préférence européenne, dans certains cas. Mais de nombreux leaders restent toutefois insatisfaits si bien qu’aujourd’hui le Conseil européen demandera de ‘continuer à travailler sur les options de financements possibles’ malgré ‘l’urgence’ reconnue d’approuver les textes de la Commission. Les pays disposant du moins de marges budgétaires, comme l’Italie, la France ou l’Espagne, estiment en effet que les instruments sur la table actuellement ne sont pas suffisants. »
Audition de John Elkann, Président de Stellantis, devant le Parlement. Corriere della Sera: « L’audition de John Elkann, président de Stellantis, devant les commissions du Sénat et de la Chambre des députés visait un double objectif : réparer la rupture créée par l’intervention au Parlement de l’ancien administrateur délégué, Carlos Tavares, en octobre dernier, et retisser les liens avec la politique italienne après le refus initial d’Elkann de s’y présenter. Insistant sur les défis complexes de l’industrie automobile en Europe, Elkann a réaffirmé l’engagement à long terme du groupe en Italie, « sans lequel l’automobile aurait disparu dans le pays », mettant en avant les investissements passés. Pour convaincre les parlementaires du « rôle central de l’Italie » dans la stratégie de Stellantis, il a souligné le succès des modèles hybrides de la Panda, ainsi que le développement des centres de recherche sur l’économie circulaire et les batteries à Turin. Répondant à une question sur la reconversion, Elkann a également précisé que « le futur de l’automobile n’est pas dans l’industrie de l’armement ». Sole 24 Ore : « Les réactions politiques : cinq mois après l’audition de Tavares, qui avait suscité des critiques unanimes, les parlementaires adoptent désormais une posture plus nuancée. Le ministre des Entreprises et du Made in Italy, Adolfo Urso, s’est déclaré satisfait : « Nous sommes sur la bonne voie », un avis partagé par les parlementaires de Fratelli d’Italia. Cependant, en répondant aux questions de ces derniers et de Carlo Calenda (Azione) sur la confirmation des investissements prévus en Italie, Elkann est resté vague, évitant de se prononcer sur l’objectif gouvernemental d’un million de voitures produites par an. « Il est difficile de le prévoir, car cela dépend des ventes », a-t-il expliqué. Au sein de la majorité, la Ligue, malgré une introduction conciliante de son président de la Commission des Activités Productives, a publié un communiqué virulent dénonçant une « honteuse moquerie du groupe Elkann envers les Italiens, grâce auxquels il a prospéré, avant de licencier ici pour embaucher à l’étranger ». Le parti exige que Stellantis « s’excuse auprès des travailleurs italiens et rembourse les milliards reçus de l’État ». Les critiques ont également fusé du côté de l’opposition. Elly Schlein (PD) a pointé l’incertitude qui pèse sur l’avenir des sites italiens après l’expiration des mesures sociales et a dénoncé l’« arrêt incompréhensible » de l’usine de Termoli. Laissant la question ouverte, Elkann a répondu que le dossier était « en cours d’évaluation, en raison des coûts énergétiques élevés et des différences de productivité avec d’autres pays ». Le Mouvement 5 Étoiles a, lui aussi, dénoncé l’absence de garanties concrètes. » Libero: « La « stratégie du Guépard » adoptée par Elkann : inonder les parlementaires de données parfois contestées, sans répondre précisément à leur véritable préoccupation: l’absence d’un plan pour contrer la désertification industrielle, relancer la production et assurer le retour des travailleurs italiens dans les usines. À la place, il offre « une promesse vague, dans un contexte peu rassurant ». »
Corriere della Sera, lettre du ministre de la Défense Guido Crosetto (Frères d’Italie) au directeur : « La défense européenne ne peut pas remplacer l'OTAN ni offrir le même niveau de protection. Le traité de l'UE lui-même prévoit la possibilité d'une politique de défense commune, mais seulement à la suite d'une décision unanime du Conseil européen, ce qui, depuis 1992, ne s'est jamais produit et n'est discuté aujourd'hui par aucun gouvernement ou État membre. Le pacte d'aide et d'assistance mutuelles immédiates des pays de l’OTAN est toutefois fondé sur la capacité militaire, économique, politique et sociale de chaque nation à investir dans des compétences/capacités de défense individuelles, garantissant ainsi l'état de préparation nécessaire contre toute menace extérieure. Dans ce contexte, le seul modèle de défense concret et viable, ici et maintenant, est celui de l'OTAN. Ceux qui critiquent les dépenses pour le réarmement oublient que sans sécurité il ne peut y avoir de liberté ni de développement social. La défense est un pilier essentiel de notre démocratie et de notre crédibilité internationale ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
16:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
19/03/2025
Le gouvernement serbe a démissionné.
Serbie. Le gouvernement serbe, dirigé par le Premier ministre Miloš Vučević, a démissionné.
22:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Anamaria Gavrila se retire de l'élection présidentielle roumaine au profit de George Simion.
Roumanie. La nationaliste Anamaria Gavrila se retire de l'élection présidentielle au profit du nationaliste George Simion.
19:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
La candidature d'Anamaria Gavrila à l'élection présidentielle roumaine est validée.
Roumanie. La Cour constitutionnelle a validé cet après-midi la candidature de l'autre candidate nationaliste à l'élection présidentielle Anamaria Gavrila.
Anamaria Gavrila
16:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
Lionel Baland sur Radio Courtoisie à propos des élections présidentielles roumaines et de la réforme constitutionnelle en Allemagne.
Roumanie. Dans Ligne droite à propos des élections présidentielles roumaines et de la réforme constitutionnelle en Allemagne :
14:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
George Simion sur Radio Courtoisie.
Roumanie. Le président de l'AUR et candidat nationaliste à l'élection présidentielle George Simion dans Ligne droite :
14:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Meloni assure son soutien à Trump et dit non à des représailles sur les droits de douane."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur l'appel entre Trump et Poutine et l'éventuelle trêve « Kiev, la faible trêve de Poutine » (Corriere della Sera), « Sans trêve » (Repubblica), « Trump-Poutine: business sur la paix » (Stampa), « Ukraine, la trêve partielle » (Messaggero), « Appel Trump-Poutine: première trêve en Ukraine » (Giornale) et sur la reprise des frappes israéliennes à Gaza « Israël reprend les attaques: bombes sur Gaza, massacres d'enfants » (Corriere della Sera), « Gaza, le retour de l'horreur » (Stampa), « A Gaza, massacre d'enfants » (Messaggero), « Israël reprend le combat: bombes sur Gaza, 400 morts » (Giornale).
Intervention de G. Meloni devant le Sénat avant le Conseil Européen. Messaggero : « Meloni assure son soutien à Trump et dit non à des représailles sur les droits de douane. Le ReArm UE ? Il faut le changer » : « G. Meloni rejette donc à nouveau la proposition du Royaume-Uni et de la France, « très complexe, risquée et peu efficace » parce qu’il est « naïf » voire « fou » de penser faire sans l’Otan. Au contraire, l’Europe doit se préparer à construire le « deuxième pilier » de l’Alliance et l’Italie fera sa part mais sans « tailler dans les services, l’école, les infrastructures, la santé ou le welfare » ou utiliser les fonds de cohésion. […] "La ligne pour unir les alliés : l’appel téléphonique à Salvini et les concessions à la Ligue : pas de réarmement ni d’envoi de troupes. Les limitations pour le plan von der Leyen : les dépenses du plan doivent être calculées parmi les engagements OTAN ». Repubblica : « Le Sénat a approuvé la résolution de la majorité sur Rearm : "Nom trop voyant". La synthèse avec la Ligue tient. Avec l’Europe mais surtout avec Trump. Les fonds de cohésion ne seront pas utilisés pour la défense. À côté d’elle, Giorgetti (Ligue), sournoisement, acquiesce. La ligne de Paris et de Londres sur les « volontaires », définie comme « complexe, risquée et peu efficace », est rejetée. Deux coups de pied dans les tibias à l’Europe « hyper-régulatrice », « étouffée par ses propres règles », pour arracher autant d’applaudissements du côté souverainiste du Sénat. Toutefois, Meloni confirme la poursuite du soutien à Kiev ». Corriere della Sera : « on constate une lassitude transversale dans le soutien à Kiev, la majorité montre une unité ambiguë, les oppositions se divisent. Les divergences en politique étrangère sont évidentes dans les deux camps ». La Stampa : « Meloni joue les équilibristes (afin de rassurer les observateurs américains) mais l’écart entre les Etats-Unis et l’UE se creuse de plus en plus ». Sole 24 Ore : ‘’Le jeu d’équilibriste de la Présidente du Conseil italien le jour où D. Trump et V. Poutine s’entretiennent’’. ‘’Hier au Sénat Giorgia Meloni a marché sur un fil, parlant du plan RearmEU sans le nommer explicitement, proposant une défense qui renforce les Etats mais mettant un coup de frein, ce qui a plu à Salvini, à l’envoi de troupes en Ukraine et l’utilisation des fonds de cohésion en ce sens et surtout en penchant du côté de D. Trump. Plus que des concessions à la Ligue, elle a eu des attentions envers Washington, sur la défense mais aussi sur les droits de douane sur lesquels ce serait selon elle une ‘erreur’ de ‘céder à des représailles’. L’objectif de Meloni n’était vraiment pas clair quant à l’UE, si sur les deux fronts existentiels de la sécurité et du commerce elle restera solidement du côté de Bruxelles ou si l’attraction vers Trump sera plus forte. Elle a joué jusqu’à maintenant sur un double registre mais se retrouvera rapidement face à un carrefour sur la négociation de la trêve en Ukraine car si les discussions entre Trump et Poutine ne se passent pas comme espéré, l’Europe devra accélérer. Si la Ligue remporte une victoire avec la résolution votée hier, G. Meloni a voulu envoyer un signal clair : ‘je laisse à d’autres la simplification grossière selon laquelle la hausse des dépenses pour la sécurité se ferait au détriment du service public et de la protection sociale. C’est faux et ceux qui l’affirment savent qu’ils trompent les citoyens’. »
Le PD et le réarment européen. Sole 24 Ore : « La secrétaire du Parti démocrate reste sur sa position et appelle à ‘une révision radicale du plan Rearm EU’, et cette fois le courant minoritaire réformiste au sein des démocrates ne la remet pas en cause ». « Elly Schlein affirme que ‘l’UE a besoin de construire une véritable défense commune qui soit dissuasive et d’un parcours d’investissements communs pour la sécurité qui ne se fasse pas au détriment des priorité sociales, de cohésion et de développement de l’UE - et non pas d’une course au réarmement des Etats membres individuellement’. Finalement, la résolution du PD, fruit de longues négociations entre les soutiens de Schlein et le courant réformiste, suit bien la ligne de la secrétaire démocrate. Le parti décide de ne pas réitérer l’éclatante division de la délégation à Strasbourg sur la motion présentée par la majorité PPE-PSE-Libéraux. Il ne s’agit pas non plus d’un non sec au plan d’U. von der Leyen de la part de Schlein. Le spectre d’un congrès anticipé évoqué ces jours-ci et pour lequel le parti ne serait pas prêt semble avoir joué. »
Audition de Mario Draghi devant le Parlement. Repubblica : « Draghi, de retour au Sénat, prévient "Le changement à Washington menace la sécurité de l’UE ». Le discours de l’ancien banquier reçoit un accueil très froid de la part de la Ligue. Corriere della Sera : « Face à la guerre des douanes, Draghi appelle à la création d’un véritable marché européen des services pour 450 millions de personnes ». Stampa : « Draghi critique le plan de réarmement de la Commission : sans un marché commun de la défense, l’UE risque de favoriser les affaires des entreprises américaines ». Il Foglio : « La vision de Draghi a plus de perspective par rapport à ce que prévoit le Livre Blanc sur la défense de von der Leyen. C’est Nathalie Loiseau, parlementaire française en Europe, qui dénonce « c’est un plan sans ambition ni vision, sans mesures claires et fortes » toujours dans son allocution, Draghi a soutenu l’approche prudente de Meloni sur les droits de douane ». Messaggero : « Draghi explique aux parlementaires que la sécurité des Européens est plus incertaine avec l’arrivée Donald Trump. La Ligue, par le biais d’un communiqué au ton dur, réplique : « C’est faux ». « Draghi a montré qu’il ignore la réalité des banlieues des villes italiennes, la menace n’est pas Trump mais les clandestins que l’Europe a laissés entrer chez nous ».
Le réarmement européen. Messaggero « Le long échange téléphonique entre Trump et Poutine n’a pas modifié la rhétorique des institutions européennes. Pourtant, les dirigeants des 27, réunis demain, ne pourront ignorer ce dialogue entre Washington et Moscou, ni la position délicate de l’UE, prise en étau entre deux présidents néo-impérialistes négociant au détriment des Européens. Lors d’une conférence de presse conjointe, Macron et Scholz ont salué le cessez-le-feu limité aux infrastructures énergétiques, espérant qu’il mènera à une « trêve totale ». Cependant, selon Macron, « la paix que nous promouvons depuis toujours ne peut être atteinte sans la participation de l’Ukraine aux négociations ». Poutine exigeant l’arrêt des aides militaires à Kiev comme condition préalable, Paris et Berlin ont réaffirmé leur soutien à l’Ukraine, en ligne avec l’initiative, non sans difficultés, de Kallas visant à financer l’achat de fournitures militaires à hauteur de 40 milliards d’euros. L’UE refuse une trêve de façade qui permettrait à la Russie de renforcer son armée avant de reprendre les combats. » Repubblica : « Deux moments distincts d’une journée clé pour l’Europe : en Allemagne, la levée du frein constitutionnel à l’endettement ouvre la voie à des investissements massifs dans la sécurité et la défense, modifiant en profondeur les équilibres européens. Pendant ce temps, en Italie, le Parlement débat de la position que Meloni portera demain au Conseil européen. Pourtant, le discours de Meloni ne mentionne pas la rupture stratégique de la nouvelle administration américaine et affiche sa conviction selon laquelle le sujet délicat de la défense européenne doit se développer à travers un renforcement du pilier européen de l’OTAN. Une vision qui se heurte frontalement à celle de l’opposition, soulignant l’absence de consensus national sur les questions de sécurité et l'incapacité de l’arc constitutionnel à transcender les clivages partisans, même sur celles-ci. »
Il Foglio, Guido Crosetto (Frères d’Italie), ministre de la Défense (réarmement européen) : « L'Europe est une véritable fenêtre d'opportunité qui nous permet d'investir sérieusement dans la défense. Nous devons avoir la possibilité d'expliquer que le tournant européen n'est pas belliciste, qu'il ne concerne pas seulement les armes, mais tout un secteur, une nouvelle approche, une prise de conscience qui n'est pas seulement technique ou financière, mais aussi politique. Envisager une plus grande défense de l'Italie, et de l'Europe, comme s'il s'agissait d'un tournant anti-pacifiste est tout simplement insensé. Malheureusement, autour de nous, je vois trop de personnes en politique qui soufflent sur les braises afin de monnayer des voix supplémentaires. Quelle que soit l'issue des négociations sur l'Ukraine, la Russie représentera un danger inévitable pour l'Europe. Ne pas comprendre que dans le nouveau monde, la menace russe sera constante, c'est créer les conditions d'une paix non durable. Face au mouvement des pays dits volontaires, parler de solutions militaires avant une négociation ne me semble pas correct. Il faut de la patience, de la clairvoyance, des enjeux clairs, des objectifs concrets. Je suis convaincu qu'il est tout simplement impossible, et profondément erroné, d'imaginer des solutions alternatives à un engagement de l'OTAN en Ukraine. Si l'OTAN est en Ukraine, nous serons tous protégés. Autrement, mais je ne veux pas le croire, nous serons tous moins protégés »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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18/03/2025
Ninove supprime les 20.000 euros annuels de subventions à la coopération au développement.
Belgique. Flandre. Ninove. Le conseil communal de Ninove supprime les 20.000 euros annuels de subventions à la coopération au développement. Ninove est gérée par le Vlaams Belang qui y détient une majorité absolue au sein du Conseil communal sous le nom Forza Ninove.
21:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
Roumanie : la candidature du nationaliste George Simion à l'élection présidentielle est désormais 100 % certaine.
Roumanie. La candidature du nationaliste George Simion à l'élection présidentielle est désormais 100 % certaine.
20:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
"En 1914 comme en 2025, non au crédit de guerre !"
Allemagne. Le parti de gauche anti-immigration BSW dénonce le vote par la Chambre des députés [sortante] de la réforme de la Constitution permettant un endettement massif.
"En 1914 comme 2025, non au crédit de guerre !"
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/03/18/l-a...)
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L'AfD dénonce l'adoption du plus grand paquet de dettes de l'histoire de la République fédérale.
Allemagne. Le parti patriotique AfD dénonce l’adoption par la Chambre des députés [sortante] du plus grand paquet de dettes de l'histoire de la République fédérale, avec les voix des démocrates-chrétiens de la CDU, des sociaux-chrétiens bavarois de la CSU, des sociaux-démocrates du SPD et des écologistes.
Alice Weidel et Tino Chrupalla, les coprésidents du groupe des députés fédéraux de l'AfD
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/03/14/le-...)
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