08/06/2025
Zia Yusu reste finalement au sein de Reform UK et s’occupera de la version britannique du DOGE.
Royaume-Uni. Zia Yusu reste finalement au sein de Reform UK et s’occupera de la version britannique du DOGE.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/06/06/zia...)
16:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le gouvernement de Rhénanie-Palatinat souhaite créer la possibilité de supprimer les financements publics pour les employés anticonstitutionnels des députés ou groupes parlementaires.
Allemagne. Rhénanie-Palatinat. Le gouvernement de Rhénanie-Palatinat souhaite créer la possibilité de supprimer les financements publics pour les employés anticonstitutionnels des députés ou des groupes parlementaires. Le projet de loi prévoit la vérification future de la fiabilité de tous les employés des groupes parlementaires et des députés représentés au Parlement de Rhénanie-Palatinat.
À cette fin, des informations seront obtenues auprès du Registre central fédéral des affaires criminelles, ainsi qu'auprès de l'Office d'enquête criminelle de Rhénanie-Palatinat et de l'Office de protection de la Constitution de Rhénanie-Palatinat.
Toute personne ayant été condamnée pour une infraction à la sécurité de l'État, telle que l'espionnage, ou appartenant ou ayant appartenu à une organisation interdite est considérée comme non fiable. Toute personne refusant de se soumettre à une vérification des antécédents est également considérée comme non fiable. Le groupe parlementaire ne recevra alors plus de financement pour cet employé.
Les députés et les groupes parlementaires du Parlement de Rhénanie-Palatinat emploient actuellement environ 500 personnes.
15:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
Geert Wilders affirme qu'il sera Premier ministre.
Pays-Bas.
"Je reviendrai."
14:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
07/06/2025
Le Forum voor Democratie est déçu de la chute du gouvernement.
Pays-Bas. Le Forum voor Democratie de Thierry Baudet est déçu que le PVV de Geert Wilders ait quitté la coalition gouvernementale, ce qui a pour conséquence que le gouvernement démissionnaire est plus à gauche, et estime que Geert Wilders a raté l’occasion de mettre fin à la politique d’immigration de masse.
15:27 | Lien permanent | Commentaires (0)
Annabel Nanninga estime que la chute du gouvernement néerlandais est particulièrement irresponsable.
Pays-Bas. Annabel Nanninga de JA21 estime que la chute du gouvernement néerlandais, due au départ du PVV de Geert Wilders, est particulièrement irresponsable car cela plonge à nouveau les Pays-Bas dans un processus électoral, avec une possibilité d'avoir un futur gouvernement de gauche.
15:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD donnée à 23 %.
Allemagne.
(https://www.wahlrecht.de/umfragen/insa.htm)
CDU / CSU : démocrates-chrétiens / sociaux-chrétiens bavarois
AfD : patriotes
SPD : sociaux-démocrates
Grüne : écologistes
Die Linke : post-communistes
BSW : gauche anti-immigration
FDP : libéraux
autres
14:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
Styrie : suppression de l'écriture inclusive dans des textes de loi.
Autriche. Styrie. Le gouvernement dirigé par Mario Kunasek du FPÖ et composé des patriotes du FPÖ et des conservateurs/sociaux-chrétiens de l’ÖVP a décidé de retirer l’écriture inclusive des textes de législation adoptés dans le passé.
13:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie : le centre droit recommande de ne pas voter lors des référendums de dimanche et lundi.
Italie.
13:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
06/06/2025
Reform UK obtient 26 % lors d'une élection partielle pour le Parlement d'Écosse.
Royaume-Uni. Écosse. Lors de l’élection partielle dans la circonscription de Hamilton, Larkhall and Stonehouse pour le Parlement écossais, le candidat de Reform UK arrive troisième avec 26,1 %.
Travaillistes
indépendantistes écossais
patriotes
conservateurs
écologistes
libéraux-démocrates
19:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
Krzysztof Bosak rencontre et félicite Karol Nawrocki.
Pologne. Le coprésident du parti nationaliste Konfederacja Krzysztof Bosak a rencontré et félicité le candidat soutenu par les conservateurs de Droit et justice (PiS) et élu à la présidence de la République Karol Nawrocki.
Karol Nawrocki et Krzysztof Bosak
16:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pays-Bas : les élections législatives anticipées auront lieu le mercredi 29 octobre 2025.
Pays-Bas. Les élections législatives anticipées auront lieu le mercredi 29 octobre 2025.
16:23 | Lien permanent | Commentaires (0)
Kostadin Kostadinov déclare que la Bulgarie n'entre pas volontairement dans la zone euro.
Bulgarie. Le président de Vazrazhdane (Renaissance) Kostadin Kostadinov déclare que la Bulgarie n'entre pas volontairement dans la zone euro, mais y est contrainte, contre la volonté du peuple.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/06/06/la-...)
15:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
La Commission européenne a donné son feu vert pour une entrée de la Bulgarie au sein de la zone euro.
Bulgarie et UE. La Commission européenne a donné son feu vert pour une entrée de la Bulgarie au sein de la zone euro à compter du 1 janvier 2026. Cette décision devra être entérinée par les 27 États membres début juillet.
15:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
Zia Yusuf démissionne de son poste de président de Reform UK.
Royaume-Uni. Zia Yusuf démissionne de son poste de président de Reform UK :
https://www.dhnet.be/dernieres-depeches/2025/06/05/demiss...
15:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
Fête de la Victoire le 9 juin.
UE.
13:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Meloni et le référendum : "Le non-vote est un droit"."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur les relations entre D. Trump et E. Musk « Trump et Musk, disputes et menaces » (Corriere della sera), « Trump et Musk, c’est la guerre » (Repubblica), ainsi que sur les référendums de ce week-end en Italie « Référendum : Meloni freine. Schlein : « elle devrait avoir honte » » (Stampa), « Meloni et le référendum : « le non-vote est un droit » » (Messaggero).
La visite du Chancelier allemand à la Maison Blanche : Corriere della Sera « Le Chancelier passe le test américain. L’objectif principal était de mettre Trump au cœur de tous les sujets et le garder lié à l’Europe. C’était sa mission. Un test d’équilibre. Il a invité le président américain à exercer son pouvoir pour mettre fin à la « terrible » guerre. Comme il l'avait promis au début, Merz a peu parlé, s'est efforcé de rester assis de manière détendue, a beaucoup observé comment Trump utilisait le temps pour parler de l'Autopen de Biden et écarter Elon Musk. Un bon second rôle dans un spectacle qui était destiné à autre chose et qui aurait en effet fait les gros titres. Cela en dit long, peut-être, sur la place que Trump accorde aux relations avec l'Europe dans son agenda ».
La visite du secrétaire américain à la Défense Pete Hegseth au siège de l’OTAN. Corriere della Sera : « Un accord a été trouvé sur l'objectif en matière de dépenses militaires : 5 % du produit intérieur brut. Les négociations sur le calendrier nécessaire pour y parvenir vont maintenant commencer. Il s'agit du premier résultat concret obtenu par l'administration Trump en matière de relations avec l'Europe. Cependant, de nombreux États, comme l'Italie, doivent également voir cela en considérant aussi des ressources budgétaires limitées. C'est pourquoi, une fois l'objectif de dépenses fixé à 5 %, on travaille désormais à l'élaboration d'un plan économique durable. Tout d'abord, les Américains ont accepté de répartir les investissements : environ 3,5 % pour les armes et 1,5 % pour les infrastructures à double usage civil et militaire, telles que les aéroports, les ports maritimes, les réseaux satellitaires, etc. De cette manière, les gouvernements pensent, ou espèrent, rendre plus acceptable pour l'opinion publique le transfert d'importantes ressources financières vers la défense. L'Italie, par exemple, devrait passer d'environ 32 milliards à plus de 100 milliards (à valeur du PIB plus ou moins constante). Est-ce possible ? Pour le ministre de la Défense, Guido Crosetto (Frères d'Italie), « 5 % est impossible pour nous à l'heure actuelle ; cela peut être une perspective si les dirigeants la fixent à long terme ; l'Italie peut atteindre 3,5 % et les 1,5 % restants, qui doivent être dissociés des investissements purs dans la défense, d'ici 2035 ». Voilà le problème à résoudre d'ici le sommet de La Haye ». Corriere della Sera : « La posture du gouvernement Meloni est la suivante : négocier sur le pourcentage du PIB et sur les délais pour atteindre les objectifs, en vue du sommet de l’Otan de fin juin. Le gouvernement italien n’utilisera pas les fonds du ReArm en raison des différentes positions au sein de la majorité, bien sûr, mais aussi pour ne pas avoir des retombées sur la dette, comme l’a rappelé récemment le ministre de l’Economie Giorgetti (Ligue). L’Italie devrait augmenter chaque année d’environ 3 voire 4 milliards ses dépenses militaires. Domani : « La répartition annoncée par Rutte correspond à ce qu'a déclaré Guido Crosetto lors de la réunion ministérielle de l'OTAN : le ministre de la Défense a fait référence à « 1,5 % supplémentaire à consacrer à des investissements non strictement militaires mais à double usage », dont l'utilisation ou les retombées peuvent être tant civiles que militaires ».
Propos de G. Meloni à la fête du quotidien La Verità : Repubblica : « Attaque, défense, contre-attaque. Une Giorgia Meloni en version boxeuse part à l’assaut des oppositions pour expliquer le choix de (non) vote aux référendums. Face à l’auditoire amical de La Verità, le quotidien de droite dirigé par Maurizio Belpietro qui la caresse de ses questions, la présidente du Conseil se moque du rendez-vous électoral. « Si j’ai dit que j’irais au bureau de vote et que je ne retirerais pas le bulletin de vote », commence-t-elle, « c’est parce que je pense qu’il est juste de donner un signal de respect pour les urnes et la consultation référendaire, mais je n’en partage pas, avec des nuances différentes, le contenu. Ne pas voter est une option, c’est mon droit », scande-t-elle. « Un droit de tous, des travailleurs et des non-travailleurs » ». Corriere della Sera : « Meloni a aussi expliqué que le résultat des prochaines élections régionales en automne n’aura aucun impact sur la tenue du gouvernement, elle a également démenti le récit des oppositions selon lesquelles l’Italie serait « isolée » en politique étrangère, ainsi qu’en Europe, soulignant ses excellentes relations avec Merz et Macron. L’Italie, assure-t-elle, n’est pas un « partenaire junior » de la France et de l’Allemagne. Sur l’Ukraine, Meloni a affirmé qu’elle soutiendra Trump dans ses efforts pour trouver une trêve entre Kiev et Moscou. Enfin sur les droits de douane, elle revendique le travail diplomatique de l’Italie ».
Débat sur la limite du troisième mandat. Il Messaggero : « Le coordinateur de Fratelli d’Italia, Giovanni Donzelli, assure qu’il y aura au sein de la majorité une « discussion laïque » sur la limite du troisième mandat. Même s’il est difficile que cela sera adopté avant la prochaine séquence d’élections régionales à partir de l’automne. L’hypothèse d’un décret de loi est écartée, le Quirinal ne pouvant pas autoriser un tel instrument en l’absence de la condition d’urgence. La seule issue serait celle d’un projet de loi. Or, pour cela il faudrait compter au moins deux mois, comme le prévoit le règlement parlementaire pour l’examen des textes en commission. Ce qui veut dire que s’il était adopté, le projet de loi ne viendrait pas en aide de Zaia dans sa nouvelle course pour la Vénétie. En revanche, cela aiderait Fedriga dans le Frioul et Marsilio dans les Abruzzes, puisque les élections, dans ces régions, se tiendront plus tard. Il y a enfin l’idée d’insérer le troisième mandat dans la prochaine loi électorale. Mais il y aurait l’inconnue des voix, puisque Forza Italia a déjà exprimé une position défavorable, en bloc avec les partis d’opposition. ». Sole 24 Ore : « La volte-face de Meloni sur les régions » « Après avoir contesté la loi de Campanie, puis celle de Trento sur le troisième mandat [régional], le parti de Meloni change d’idée. C’était un sujet de fracture avec Salvini, mais il semblerait que la présidente du Conseil ait fait marche arrière. Meloni souhaite « garantir la ‘stabilité’ du Gouvernement », alors que « la relation avec Salvini a été complexe, et pas seulement sur la question du troisième mandat. Elle pourrait davantage se complexifier à l’approche du sommet de l’OTAN fin juin, lors duquel l’augmentation des dépenses militaires et l’activation d’instruments financiers européens seront décidées. À l’automne, cinq régions iront voter et la droite craint de perdre des positions dans le Sud, surtout en Campanie où le Gouverneur avait allumé la mèche du troisième mandat en adoptant ad hoc une loi régionale. En réalité, il ne s’agit pas d’une volte-face, mais d’un élargissement de la réflexion à toutes les régions. Il n'y a pas d'obstacle idéologique à aborder la question si elle serait posée par les régions. Ce qui va suivre n’est pas clair étant donné que, suite au recours du Gouvernement, la Cour Constitutionnelle avait jugé que les mandats ne pouvaient dépasser la limite de deux consécutifs. L’intervention légale sera-t-elle assez rapide, avant les élections régionales en automne ? Entre temps, la déchirure avec la Lega semble réparée, comme le montrent les déclarations satisfaites de ce parti, et celles prudentes de Forza Italia ».
Les référendums. Corriere della Sera : « Climat tendu sur le référendum au sein du Parti démocrate, entre la majorité et le courant réformiste ». « Le PD [Parti démocrate, de centre gauche] se divise à grand bruit au sujet des différentes questions référendaires qui seront soumises aux Italiens ce week-end. L’ancien premier ministre et commissaire européen P. Gentiloni parle de règlement de comptes en famille, des députés européens, à l’ancien ministre du travail en passant par des conseillers régionaux. Le Jobs Act est particulièrement controversé, il serait un retour en arrière sur les droits des travailleurs pour certains, un instrument pour rétablir la compétitivité des entreprises, source de salaires justes et dignes pour d’autres. Le président des sénateurs PD F. Boccia tente une médiation encourageant à participer au référendum qui porte aussi sur l’obtention de la nationalité. Il ne donne pas pour acquis que le quorum sera atteint, mais estime que cela n'est pas nécessaire pour remporter une victoire significative : ‘si le nombre de votants dépasse celui de ceux qui ont soutenu le centre-droit, ce serait une forme de censure contre le gouvernement Meloni’. »
Le réarmement. Corriere della Sera : « Défense, non aux fonds du programme européen ReArm, des ‘solutions internes’ pour financer les nouvelles dépenses » : « L’Italie n’utilisera pas les fonds mis à disposition par Bruxelles à travers le plan ReArmEU : pour financer les nouvelles exigences en matière de défense ‘des solutions seront trouvées en interne’ indique une source proche du gouvernement qui précise ‘en attendant de faire de nouvelles considérations en septembre’. Cela ne signifie pas que l’exécutif se prépare à changer de ligne. Pour l’instant, ce sont sans aucun doute des raisons de politique intérieure qui prévalent, avec notamment le refus réitéré de la Ligue de créer un nouvel écart budgétaire pour financer ce secteur, mais aussi parce que la Présidente du Conseil n’entend pas prêter le flanc aux ‘faux-pacifistes’ de l’opposition. Le ministre Giorgetti (Ligue) ne veut par ailleurs pas compromettre la ‘position vertueuse’ de l’Italie conquise en Europe et sur les marchés. ‘Nous voulons éviter une loi de Finances des plus austères peu avant les élections’ explique l’exécutif. Pour le ministre de la Défense, l’important est de recevoir des garanties sur la disponibilité des fonds afin de respecter les engagements pris dans le cadre de l’OTAN. Lors du Sommet à la fin du mois, G. Meloni négociera sur le pourcentage de PIB et les délais. Le fait est qu'à Bruxelles, le sujet ne sera pas abordé avant six mois, notamment en raison des positions divergentes au sein de l'Union, à commencer par celles de Paris et de Berlin. Macron, qui doit gérer en France une situation budgétaire pour le moins difficile, fait pression pour une intervention économique européenne. Tandis que Merz, qui vient de lancer en Allemagne un vaste plan d'investissements internes pour la défense, prend son temps car il n'est pas favorable à cette solution. La Présidente du Conseil doit donc pour l'instant se débrouiller seule. »
Il Foglio, Antonio Costa, Président du Conseil Européen : « A. Costa considère la rencontre entre Meloni et le président français Emmanuel Macron comme « un pas en avant positif », car « nous devons tous travailler ensemble ». Le moment est délicat et Trump représente le défi immédiat pour l'UE. « Il est désormais clair que renforcer un pilier européen de l'OTAN, œuvrer pour la défense européenne et garantir l'autonomie stratégique est le meilleur moyen de préserver et de renforcer notre alliance transatlantique ». Mais « nous devons éviter d'introduire des difficultés dans cette vision commune de notre avenir », prévient M. Costa : « En créant des problèmes dans notre base économique ou dans celle des États-Unis, nous rendons difficile la mise en place d'une base économique solide pour soutenir cette transition ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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05/06/2025
Lionel Baland dans le JT de TV Libertés à propos de la chute du gouvernement néerlandais.
Pays-Bas. Reportage de Nicolas de Lamberterie à propos de la chute du gouvernement néerlandais (de 11’03’’ à 16’38’’) :
18:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
Süd-Tiroler Freiheit appelle à voter "Non" lors du référendum sur l'accès à la nationalité.
Italie. Le parti germanophone du Tyrol du Sud/Haut-Adige Süd-Tiroler Freiheit appelle à voter « Non » lors du référendum qui se tient dans toute l’Italie le 8 et le 9 juin 2025 et portant sur la réduction de 10 à 5 ans du nombre d’années nécessaires de séjour dans le pays afin de pouvoir devenir italien.
16:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD désire mettre fin à l’augmentation automatique des salaires des députés.
Allemagne. Le parti patriotique AfD désire mettre fin à l’augmentation automatique des salaires des députés.
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"Le décret sur la sécurité a été définitivement approuvé."
Italie. Revue de presse.
Les Unes portent sur l'Ukraine et les échanges entre V. Poutine et le Pape ainsi que les propos de D. Trump ("Poutine à Trump : je frapperai l'Ukraine" Corriere della sera, "Poutine à Trump et au Pape : "pas de paix" Repubblica, "Poutine appelle le Pape : non à la paix" Stampa, "Ukraine, Poutine appelle le Pape; mais pour Trump: il prépare une contre-attaque" Messaggero).
Les JT couvrent essentiellement, outre les sujets traités par les quotidiens, l’interdiction d’accès au territoire américain pour les ressortissants de douze pays annoncée par Donald Trump, l’approbation hier au Sénat du décret-loi sécurité.
Sur X, le hashtag #Brusca fait tendance, au sujet de la libération de Giovanni Brusca, condamné notamment pour l’assassinat du juge sicilien anti-mafia Giovanni Falcone.
France-Italie. Corriere : « ‘Il y a de fortes convergences avec Macron’ et le président français remercie Meloni pour ‘l’excellent sommet’ ». « Au sein du gouvernement on note la froideur de la Ligue. Sur l’espace l’hypothèse anti-Starlink a été évoquée mais Rome reste plus que prudente. » « Les prochaines décisions sur l’Ukraine, alors que la perspective de paix s’éloigne, étaient au centre de l’échange entre G. Meloni et E. Macron. Le lendemain, Meloni a réuni au gouvernement les deux vice-présidents du Conseil ainsi que les ministres de la défense, des Entreprises et de l’économie, pour une réunion sur l’OTAN. Elle a en outre affirmé que la ‘rencontre avait été très utile pour renforcer le dialogue et la coordination entre l’Italie et la France face aux défis communs croissants’. A l’issue de la rencontre, Crosetto (Frères d’Italie) et Tajani (Forza Italia) ont exprimé des avis positifs et la présidence du Conseil italien laisse filtrer que ‘cela s’est bien passé, les positions peuvent être différentes mais les désaccords doivent rester limités’. Alors qu’une certaine froideur de la Ligue, toujours prête à attaquer Macron, ne surprend pas. » La Stampa : « Meloni-Macron, pacte sur l’automobile et la défense. Craintes autour du désengagement Etats-Unis dans les pays baltes » Repubblica : « Le cauchemar d’un possible désengagement des alliés ; Meloni et Macron travaillent à un pacte avec la Maison Blanche. Rome et Paris sont donc en phase. L’objectif est de négocier avec Trump avec une approche d’ensemble : si, par exemple, l’Europe devait compenser le retrait américain en augmentant ses contingents sur le front Est, elle ne pourrait pas assurer un engagement immédiat de soldats en Ukraine pour un cessez-le-feu. C’est une logique décidée lors des échanges avec Macron et dont Meloni a informé Antonio Tajani, Matteo Salvini, Guido Crosetto et Adolfo Urso (Frères d’Italie) lors d’un mini-sommet convoqué hier. Au sujet des systèmes satellitaires, le Palazzo Chigi n’a pas fermé l’option d’un consortium européen, alternatif à Starlink. Les membres de son exécutif expriment des lignes divergentes : Urso est favorable au projet continental – encore en phase de conception - Iris 2. Tajani est neutre. Guido Crosetto, quant à lui, insiste sur un point : « Choisir le système le plus sûr et le plus performant. Et, en attendant, travailler à une alternative au monopole d’un seul homme ». »
Repubblica : « Meloni, Macron et Merz, de nouveaux équilibres à droite » : « Jusqu’à il y a peu, la France jouissait d’un rôle privilégié dans le réseau des alliances européennes, en particulier avec les pays du Sud de l’Europe. C’est au sein de ce schéma que s’est inséré le ‘pacte du Quirinal’ qui, selon la vision française, se voulait presque le symétrique du rôle hégémonique de l’Allemagne vis-à-vis de l’Europe du Nord-Est. Aujourd’hui, l’Allemagne de Merz s’est posée en leader des défenseurs de l’Ukraine et du réarmement européen, et son premier allié dans ce ‘néo-européisme’ est la France d’E. Macron. Toutefois l’un entame à peine son mandat alors que l’autre termine son second mandat à l’Elysée sachant qu’il ne pourra pas se représenter, ce qui offre un avantage de leadership européen à Merz. Mais Berlin et Paris ont un problème : l’avancée de l’extrême-droite. On a compris qu’isoler l’Italie de Meloni n’était utile à personne et fragilisait l’UE, et l’Italie n’a rien à tirer de l’isolement si bien que Meloni s’est efforcée de l’éviter. Cela ne veut pas dire que l’Italie de Meloni veuille faire partie des ‘volontaires’ mais qu’un lent rapprochement vers les deux principaux pays, France et Allemagne, est en cours. Ces derniers s’attendent à ce que l’Italie n’encourage pas une montée de l’extrême-droite au point de renverser les équilibres actuels, et l’Italie à être impliquée dans les stratégies de l’UE. »
Décret-loi sécurité. Sole 24 Ore : « Le décret sur la sécurité a été définitivement approuvé hier à 109 voix pour et 69 voix contre après que le gouvernement ait engagé la confiance sur le texte. Au sénat, la séance a été particulièrement houleuse avec un sit-in des oppositions et les députés ont failli en venir aux mains. La nouvelle loi introduit 14 nouveaux délits et 9 circonstances aggravantes, au terme d’un parcours parlementaire initié en novembre 2023 par le gouvernement Meloni et parsemé d’obstacles. La production et la vente de cannabis light est désormais interdite. »
Antonio Tajani, vice-président du Conseil et ministre des Affaires étrangères, à La Stampa : « Prêt à dire oui à de nouvelles sanctions contre Moscou, l’Italie doit étudier le plan de l’Union européenne pour la Défense. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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04/06/2025
Fernand Kartheiser est exclu du groupe ECR.
Luxembourg, UE et Russie. Le député européen luxembourgeois Fernand Kartheiser est exclu du groupe des conservateurs et réformistes européen (ECR) pour s'être rendu en voyage à Moscou et y avoir été reçu par des représentants officiels.
Fernand Kartheiser
22:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le BSW doit s'adresser à une commission qui n'existe pas encore.
Allemagne. Afin de demander un recomptage des voix, le BSW doit s’adresser à la Commission de contrôle électoral au sein de la Chambre des députés, mais cette commission n’a pas encore été élue, plus de trois mois après le scrutin, par la Chambre des députés.
De plus, les députés n’ont pas intérêt à ce qu’un recomptage ait lieu, car, si le BSW entrait à la Chambre des députés, des élus d’autres partis perdraient leur siège.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/06/03/all...)
14:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
"États-Unis et Kiev, pacte Meloni Macron"
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour sont consacrées à la visite du Président de la République à Rome ("Meloni et Macron : en avant ensemble" Corriere della sera, "Unis sur la défense européenne" Repubblica, "États-Unis et Kiev, pacte Meloni Macron" Stampa, "Italie-France, le dégel et l'entente" Messaggero, "Trêve Meloni-Macron, 3 heures sur les droits de douane et l'Ukraine" Giornale).
Les JT couvrent essentiellement, outre les sujets traités par les quotidiens, les droits de douane de 50% sur l’acier et l’aluminium introduits à partir d’aujourd’hui par les Etats-Unis, le taux d’emploi en Italie, le référendum ce week-end et l’attaque russe sur Kharkiv.
Rencontre entre Emmanuel Macron et Giorgia Meloni. Corriere della Sera : « La ‘paix’ Meloni-Macron. » « Ce rendez-vous était crucial, ce dont les deux leaders sont conscients ». « Il y a eu une volonté commune de mettre un terme aux divisions qui, jusqu’à présent, n’ont pas manqué. » « L’un des points évoqués, le cadre financier pluriannuel est particulièrement délicat politiquement compte tenu des approches clairement différentes des alliés au sein du gouvernement [italien] vis-à-vis de l’UE. Le prochain sommet bilatéral a été annoncé pour 2026 en France. » « Tout en reconnaissant les différences, Giorgia Meloni avait récemment minimisé [les tensions entre les deux pays] : ´On fait beaucoup de bruit à ce sujet’. Quoiqu’il en soit, il était nécessaire que l’Italie et la France fassent en sorte de ne pas apparaître (ou de ne pas être) divisés. ». Corriere : « Une coopération d’égal à égal et les relations avec les Etats-Unis, les règles et les limites de la nouvelle alliance ». « Une rencontre longue, cordiale, marquée par l’impératif commun de dépasser les frictions et unir les forces dans l’intérêt des deux pays. Giorgia Meloni s’est dit ‘satisfaite’ à l’issue. ». « Emmanuel Macron aurait rassuré la Présidente du Conseil sur le fait que ce ne sont pas les différents formats des sommets qui comptent mais l’entente sur les questions fondamentales, toutefois Rome sera davantage impliquée. Il aurait en outre reconnu la relation privilégiée avec Trump et le rôle de médiatrice revendiqué par Meloni entre l’UE et les Etats-Unis ». « Sur l’envoi d’un contingent militaire européen en Ukraine, si Macron insiste, Meloni affirme que la ligne italienne ne changera pas ». « L’espace est un autre domaine où l’Italie et la France devaient apparaître unies et une coopération avec l’Allemagne sur les satellites a été évoquée hier. ». « On peut considérer que l’objectif d’un réalignement franco-italien a été atteint. » Il Foglio : « Longue vie à l’agenda Macroni ». « Une rencontre très utile pour comprendre les domaines sur lesquels l’Italie et la France pourront tenter d’améliorer leurs relations ». « La position pro-européenne adoptée par l’un comme par l’autre les rapproche plus que ce qu’ils veulent parfois admettre ». « On observe de la part de la France la volonté de faire un pas vers l’Italie mélonienne ». « L’objectif est de maintenir l’Europe unie lors du G7 au Canada. Sur le dossier migratoire on voit qu’un axe anti-Le Pen pourrait naître entre Macron et Meloni. » Messaggero : « Le dégel Meloni-Macron : accord sur l’Ukraine et l’espace ». « Un sommet de trois heures en tête-à-tête entre les leaders français et italien débouchant notamment sur un accord pour faire front commun sur Kiev au niveau du G7. L’Italie, la France et l’Allemagne réfléchissent à une alternative aux satellites d’Elon Musk. » Messaggero : « Des désaccords à "on est presque amis", la paix au nom de Donald Trump ». « C’est l’intervention du président américain qui a ramené la Présidente du Conseil italienne à la table des « volontaires » aux côtés de F. Merz et K. Starmer. L’Élysée affirme de son côté qu’il ‘n’y a pas d’ostracisme’ vis-à-vis de l’Italie ». « Donald Trump aurait joué un rôle décisif [dans ce rapprochement], bien qu’à son insu. En effet, le président américain aurait fait éclater l’étincelle entre Emmanuel Macron et Giorgia Meloni, avec une série de mouvements sur la scène internationale qui auraient fini par faciliter la tâche pour la Présidente du Conseil. » Repubblica : « Le nouveau pacte entre Giorgia Meloni et Emmanuel Macron pour ‘défendre l’Europe ensemble’». « Il a été précédé de déclarations de ses conseillers pour détendre les tensions. Le président français a demandé et obtenu la rencontre. L’échange a porté sur de nombreux dossiers. Le principal nœud reste la gestion des relations avec Washington. Le communiqué conjoint est déjà un résultat pas évident mais il n’y a eu aucune conférence de presse ou déclaration à l’issue. Certaines fractures, telles que la rivalité stratégique en Libye ou le contentieux autour de STMicroelectronics, mais il y a une volonté de rétablir des échanges pragmatiques ». « Les deux leaders sont bien d’accord sur un point : le sommet de l’OTAN à La Haye pourrait tourner au cauchemar. Donald Trump risque de se défiler et l’Europe de se retrouver seule. Il n’y a pas d’autre solution : il faut renforcer le pilier européen de l’OTAN en montrant que les principales capitales travaillent ensemble lorsque c’est nécessaire. Il y a 50% de probabilité que la Présidente du Conseil se rende à Nice le 10 juin prochain. Autre point sensible : la sécurité spatiale. Depuis plusieurs mois le Palais Chigi aurait des contacts également avec la française Eutelsat comme alternative européenne à Space X. Un pas supplémentaire est fait avec un possible triangle incluant l’Allemagne. » La Stampa : « Pacte Meloni-Macron sur les Etats-Unis et Kiev ». « Le dégel entre Rome et Paris pour une Europe plus forte ». « C’est un nouveau chapitre des relations France-Italie marquée par les tensions de ces derniers mois. Les deux leaders sont prêts à travailler « pour une Europe plus souveraine ». « Le gouvernement italien n’est pour le moment pas aligné sur la proposition de Macron pour la reconnaissance de la Palestine, [toutefois] c’est un pas en avant qui pourrait pousser certains pays à en faire autant ». « La force d’un leader réside dans sa capacité de dialoguer [même si en l’occurrence] G. Meloni et E. Macron ne s’entendent pas sur le plan personnel. »
Emmanuel Macron et Giorgia Meloni
Les référendums des 8 et 9 juin. La Repubblica : La circulaire de l’entreprise Rai invitant ses employés et collaborateurs à prendre un congé ou une autorisation d’absence pour aller voter a été jugée « discriminatoire » par le tribunal de Busto Arsizio. L’entreprise a soutenu que ces dispositions, déjà contenues dans de précédentes circulaires, ne constituent pas une obligation, contrairement à ce qui a été retenu par le tribunal. Dario Carotenuto, député du M5S et membre de la commission « Vigilance des services radiotélévisés », a annoncé qu’une interrogation ad hoc sera tenue pour déterminer les « responsabilités de ce qu’il s’est passé ». L’enjeu des prochains référendums est celui de la participation, qui devra atteindre le « quorum » de 50+1% d’électeurs inscrits ayant effectivement voté. Alors que le centre-droit a appelé à ne pas voter, les partis de l’opposition ainsi que plus de 170 organisations civiles ont multiplié les consignes de vote. Cheval de bataille de Forza Italia au Parlement, la question de la nationalité pourrait enregistrer un plus haut niveau de participation.
Guido Crosetto (Frères d’Italie), ministre de la Défense, à La Stampa : « L’occupation à Gaza est dangereuse, Netanyahou fait croitre le nombre de terroriste ». « Nous restons amis de l’Etat et du peuple d’Israël ». « La reconnaissance d’un Etat palestinien proposée par E. Macron est seulement symbolique. Nous visons une résolution de l’ONU pour la solution ‘deux peuples, deux Etats’. » « Une seule personne a la main pour mettre fin à la crise [en Ukraine], c’est V. Poutine. C’est lui qui a initié la guerre, c’est lui qui poursuit l’offensive sur le terrain, il ne semble pas enclin à de véritables négociations. Il augmente la production militaire et annonce une nouvelle campagne de recrutement, ce qui n’est pas compatible avec l’hypothèse d’une trêve. Cela confirme ce que je pense depuis trois ans : c’est le siècle des grandes puissances et pas des grandes démocraties. C’est pour cela que la sécurité doit être une priorité pour l’Europe. Je suis convaincu que Trump ne voulait pas légitimer Poutine, mais l'inciter à négocier, selon ses propres modalités. Il ne fait aucun doute que sa priorité géostratégique est l'Indo-Pacifique et que le bras de fer des États-Unis, dans les prochaines décennies, se jouera avec la Chine. Mais je ne pense pas que Trump puisse risquer l'ouverture d'un front européen plus vaste encore que celui qui existe aujourd'hui. Concernant les pays dits ‘volontaires’, nous en avons toujours fait partie, et ce à tous les niveaux. J'ai moi-même envoyé nos militaires. Et nous avons toujours dit qu'il était inutile de planifier des missions sur le sol ukrainien tant qu'il n'y aurait pas de trêve. Lorsque la question d'une mission de paix se posera, notre position est qu'il n'est pas logique de la confier uniquement à ceux qui ont soutenu l'Ukraine : elle devra être élargie et placée sous l'égide de l'ONU. La rencontre Meloni-Macron est une étape importante non seulement pour les relations entre l'Italie et la France, mais aussi pour l'Europe. Il me semble évident que pour aborder la question de la défense et de la dissuasion, il faut réunir les plus grandes nations sur le plan militaire, à savoir l'Allemagne, la France et l'Italie. De même, une consultation préventive entre l'Italie et la France peut permettre de désamorcer de nombreux problèmes à la veille de la prochaine réunion de l'OTAN ».
Luca Ciriani (Frères d’Italie), ministre pour les Relations avec le Parlement, à La Stampa : « [Le referendum] est un vote pour ou contre le leadership de Maurizio Landini [Secrétaire général de la Confédération générale italienne du travail], une question interne au centre-gauche ». « Il est tout à fait légitime de s’abstenir. Pour ma part je ne participerai pas au référendum, bien que je participe toujours aux élections. Les cinq questions posées sont complexes, techniques, difficiles à comprendre, ils risquent de vider de son sens l’instrument qu’est le référendum. Concernant les manifestations de vendredi et samedi contre l’action d’Israël à Gaza organisées par les oppositions, la majorité n’y participera pas. La position de Giorgia Meloni et Antonio Tajani est claire : ce qu’il se passe est inacceptable. Mais le gouvernement fait de la politique alors que la rue est le territoire des oppositions. Concernant la proposition d’E. Macron de reconnaître l'État palestinien, cela dépend de l'effet que l'on souhaite obtenir. Mais quel État palestinien reconnaîtrions-nous ? La Cisjordanie de l'Autorité palestinienne ou la bande de Gaza, dominée par le Hamas, une organisation terroriste ? Si ce point n'est pas clarifié, le risque est de faire un geste symbolique qui ne contribue pas à la résolution du conflit. L'Italie et la France sont des alliés historiques. Les relations doivent rester solides, et l'Élysée le reconnaît également. Les tensions, qui peuvent exister naturellement, font plus les gros titres des journaux que les dossiers politiques réels. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Giorgia Meloni reçoit Robert Fico.
Italie. Le Premier ministre nationaliste italien Giorgia Meloni a reçu à Rome le Premier ministre social-démocrate souverainiste slovaque Robert Fico.
Giorgia Meloni et Robert Fico
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Les 60 députés de Chega.
Portugal.
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