11/01/2025
Le président du PiS Jarosław Kaczyński reçoit le président de l'AUR George Simion.
Roumanie et Pologne. George Simion et Dragos Moldoveanu du parti nationaliste roumain AUR ont été reçus au siège du PiS (Droit et justice) par le président de ce parti Jarosław Kaczyński. L'AUR et le PiS sont dans le groupe ECR (Conservateurs et réformistes européens) au Parlement européen.
20:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD monte encore.
Allemagne. Le parti patriotique AfD est donné à 22 % et la gauche anti-immigration BSW à 6 % pour les élections législatives du 23 février 2025. (Seuil électoral : 5 % ou trois mandats directs)
(https://www.wahlrecht.de/umfragen/insa.htm)
SPD : sociaux-démocrates
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens bavarois
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
AfD : patriotes
Die Linke : post-communistes
BSW : gauche anti-immigration
autres
17:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
Alice Weidel est la candidate de l'AfD à la Chancellerie.
Allemagne. Le parti patriotique AfD a désigné, lors d'un congrès, Alice Weidel comme candidate du parti au poste de chancelier d'Allemagne à l'issue des élections législatives du 23 février 2025.
Alice Weidel
17:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
10/01/2025
Thierry Baudet a une fille : Penelope.
Pays-Bas. Le dirigeant du Forum voor Democratie Thierry Baudet a une fille, Penelope Ariane Mazarine, avec sa femme Davide. Le couple a déjà un fils.
Davide, Thierry et leur fille Penelope
19:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
Suède : taux d'immigration d'asile le plus faible depuis 40 ans.
Suède. Le pays dirigé par un gouvernement de centre droit soutenu de l’extérieur par le parti patriotique Démocrates suédois connaît le taux d'immigration d'asile le plus faible depuis 40 ans, soit une diminution de 42 % par rapport à 2022.
19:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le parti patriotique FPÖ est donné à 39 % !
Autriche. Le parti patriotique FPÖ est donné à 39 % !
FPÖ : patriotes
ÖVP : sociaux-chrétiens/conservateurs
SPÖ : sociaux-démocrates
Neos : libéraux
Grüne : écologistes
KPÖ : communistes
Autres
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/01/09/lio...)
19:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Temps pour notre culture. Temps pour l'Allemagne."
Allemagne.
"Temps pour notre culture. Temps pour l'Allemagne."
16:54 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le BSW désire que l’Allemagne achète à nouveau directement du gaz russe.
Allemagne. Les deux coprésidentes du parti de gauche anti-immigration BSW Sahra Wagenknecht et Amira Mohamed Ali désirent que l’Allemagne achète à nouveau directement du gaz russe, qui est meilleur marché.
16:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Conférence de presse de début d'année de Giorgia Meloni."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur la conférence de presse de début d'année de Giorgia Meloni et ses propos sur Elon Musk « Musk et les impôts, les défis de Meloni » (Corriere della Sera), « Musk n'est pas un danger » (Repubblica, Messaggero), les incendies aux États-Unis « Les flammes et la terreur, la grande fuite de Los Angeles » (Corriere della Sera), « Dans l'enfer de Los Angeles » (Repubblica), « Hollywood brûle, la fuite des stars » (Messaggero) et la libération de Cecilia Sala « En cellule, l'ennemi est le silence. J'ai ri et j'ai pleuré quand j'ai vu le ciel » (Corriere della Sera), « J'entendais les hurlements des autres détenus. 20 jours de terreur en prison » (Stampa), « Je pensais à mourir. Interrogée tous les jours » (Messaggero).
Les JT couvrent essentiellement, outre les sujets traités par les quotidiens, la visite du président ukrainien V. Zelensky à Rome et le déplacement du chef de la diplomatie A. Tajani (Forza Italia) en Syrie.
Politique intérieure : conférence de presse annuelle de début d’année de G. Meloni, affaire Sala, limite du troisième mandat pour les élections régionales, nomination du nouveau responsable du Département pour les Services de renseignement.
La conférence de presse annuelle de G. Meloni
- L’agenda politique
Sole 24 Ore : « Plus de politique étrangère, moins de réformes, pourrait-on dire après avoir écouté les réponses de Meloni lors de la conférence de presse d'hier. Le « premierato », soit la « mère de toutes les réformes » de la législature semble enterré, il y a beaucoup de prudence, de réalisme, ‘’on pourrait s’interroger sur l’actuel système électoral’’, comme si c’était une sorte de plan B. Les autres réformes demeurent sur la table, mais sans aucune urgence. C'est comme si Meloni avait mis à jour son agenda en déplaçant son cap en dehors des frontières nationales, car c'est en grande partie là que se décide la force d'un chef de gouvernement. Et l'activisme de Meloni à Bruxelles et à Washington confirme les dossiers stratégiques : des règles fiscales de l'UE aux négociations sur le PNR (et son éventuel report), en passant par les choix sur l'industrie de l'UE. Quant aux prévisions économiques du gouvernement, malgré la bonne évolution de l'emploi, alors que le déclin de la production industrielle se poursuit. Les ficelles, en somme, doivent être tirées de l'extérieur. Par ailleurs, Meloni a vérifié combien la représentation du pouvoir a besoin d'un contexte à la hauteur que seule la scène internationale peut lui donner. »
- Elon Musk et D. Trump
Repubblica : « Défense absolue de son ami Elon Musk. Pas de conclusion d'un accord italien avec Starlink. Adhésion totale à la ligne de Donald Trump. Émotion pour la libération de Cecilia Sala et doutes sur l'hypothèse de se présenter à nouveau comme présidente du Conseil dans deux ans. Froissement à l'égard de Matteo Salvini. C'est la conférence de presse du début d'année pour Giorgia Meloni. Elle parle d'Elon Musk comme d'un « ami ». Surtout, elle le défend envers et contre tout : « Je ne reçois pas d'argent de lui et il n'est pas un danger pour la démocratie ». Elle jure qu'il ne semble pas s'immiscer dans la politique d'autres pays, car il ne finance pas de partis, ‘’contrairement à ce que fait George Soros’'. ‘’Le problème est-il que Musk est un particulier ou qu'il n'est pas de gauche ?’’ répond-elle aux journalistes. Il n'y a pas de contrat avec Starlink pour fournir à l'Italie les satellites de Musk, assure-t-elle, mais seulement un ‘’dialogue normal’’. Elle n'en a pas discuté avec Trump ni même ‘'personnellement'’ avec Musk, jure-t-elle. ‘’Utiliser le public pour favoriser des amis n'est pas dans mes habitudes’’. Elle soulève alors le dilemme : s'en remettre à une partie privée ou renoncer à des communications sécurisées ? sur cela, elle assure ne pas avoir d’approche idéologique. Quant à l’inauguration de Trump du 20 janvier ‘’je verrai selon la disponibilité de mon agenda, si j’y arrive, volontiers’’ ». Il Foglio : « Meloni tente de se montrer pro-Trump sans se faire submerger par le trumpisme et se lance dans l’exercice difficile de traduire le langage du Tycoon en tentant de trouver un équilibre entre l’administration Trump et l’UE, tout en rassurant sur la menace des droits de douane’’ Il n'est pas nouveau que les administrations américaines soulèvent la question de l'excédent commercial ‘’. Bonne chance, Mme Meloni ! »
Affaire Cecilia Sala Repubblica : « Une valise de pleine de secrets sur les drones [iraniens] aurait convaincu les Etats-Unis de débloquer les négociations’’. ‘’Mohammed Abedini, l’homme des drones iraniens arrêté en décembre à Milan juste avant l’arrestation de Cecilia Sala, détenait avec lui des puces et des cartes SD contenant des informations sur les engins kamikazes, des contenus très précieux pour les services de renseignements occidentaux et en particulier américains qui se trouvent depuis entre les mains de l’Italie’’. ‘’Cela aurait pesé dans les négociations pour libérer la journaliste italienne’’. ‘’Les Etats-Unis se seraient laissés convaincre d’accepter la non-extradition d’Abedini vers le Massachussetts’’. ‘’Pour rétablir les canaux diplomatiques entre Rome et Téhéran rompus suite à la double arrestation, c’est le directeur de l’Agence d’Informations et de Sécurité extérieure (AISE), Giovanni Caravelli, qui est intervenu en vertu de la collaboration de longue date avec des interlocuteurs iraniens pour rassurer Téhéran sur le cas d’Abedini. L’Iran a fait confiance à l’Italie, un interlocuteur occidental trop important et l’un des rares pays en Europe à ne pas avoir rompu le dialogue avec le régime iranien. Une idée que partage de nombreux pays de la région, à commencer par le Qatar qui avait offert sa médiation dans l’affaire Sala. »
Limite d’un troisième mandat pour les présidents de région Messaggero : « Giorgia Meloni a annoncé hier, jour du premier Conseil des ministres de l’année, qu’il ne serait en aucun cas possible de se présenter pour un troisième mandat consécutif pour les présidents de régions, ce qui n’est pas une surprise. De façon plus inattendue, elle a aussi renvoyé au Conseil des ministres la question du referendum sur l’autonomie, notamment la question de l’admissibilité ou non du référendum et la possibilité d’intervenir auprès de la Cour constitutionnelle. Les membres de la Ligue ne cachent pas leur mécontentement. Le ministre léghiste Roberto Calderoli, chargé des Affaires régionales et de l’autonomie, souligne la divergence de positions au sein de la majorité sur ces questions. Le président de la région Campanie, De Luca (Parti démocrate), est directement concerné par la question du troisième mandat et annonce déjà qu’il contestera la décision en s’appuyant sur le précédent d’Alberto Cirio, ancien gouverneur Forza Italia du Piémont. Toutefois, l’équipe de Luca Zaia (Ligue), président de la Vénétie, estime que la décision vise précisément à le mettre hors-jeu et ne cache pas son agacement. Ils envisagent une liste ‘Zaia’ avec un candidat soutenu par le président sortant en vue des prochaines élections. Giorgia Meloni indique quant à elle que ‘’en Vénétie, l’option Fratelli d’Italia n’est pas à exclure.’’ »
Rencontre entre V. Zelensky et G. Meloni à Rome. Fatto Quotidiano : « La plus grande inconnue qui entoure Zelensky lors de cette mission de début d'année à Rome est le changement à la Maison-Blanche, où Donald Trump prendra ses fonctions dans dix jours. Le milliardaire a maintes fois exprimé sa conviction qu'une paix rapide en Ukraine est possible, laissant entendre un certain désengagement militaire”. “C'est pourquoi Zelensky cherche à renforcer son partenariat avec Meloni, considérée comme un intermédiaire pour persuader Trump de ne pas affaiblir l'Ukraine”. “La Première ministre l’a rassuré sur le soutien italien ». Repubblica : « Meloni est convaincue qu’avec Trump, une pression pour mettre fin au conflit est envisageable, mais que le président-élu des États-Unis ne retirera pas rapidement son soutien à Kiev. Selon elle, il continuera à agir sur deux fronts, alternant « diplomatie et dissuasion ». Les deux dirigeants ont aussi discuté des « garanties de sécurité » demandées par Zelensky, jugées « fondamentales » par Meloni, pour éviter que Poutine, après un cessez-le-feu, ne relance un conflit dans les années à venir ».
Syrie. Repubblica : « Meloni est également occupée par le dossier syrien. Le président turc, Recep Tayyip Erdoğan, lui a demandé hier par téléphone de soutenir en Europe la levée des sanctions contre Damas. Une mesure pour laquelle, avec précaution, le ministre des Affaires étrangères italien, Antonio Tajani, a ouvert la porte lors d’un sommet du format « Quint » (avec États-Unis, France, Allemagne et Royaume-Uni). Tajani se rendra aujourd’hui en Syrie pour rencontrer le nouveau leader al-Jolani ». Sole 24 Ore : « L’Italie bénéficie d’une position considérée comme plus forte que celle d’autres pays européens (notamment la France et l’Allemagne, dont les ministres ont effectué une visite récemment), car elle a rouvert son ambassade il y a longtemps – laquelle n’avait, en réalité, jamais été fermée. L’objectif italien est d’être parmi les leaders des programmes de reconstruction après plus de dix ans de guerre ». Messaggero : « ‘’La situation dans le pays a changé’’, a souligné Tajani, ‘’et il faut donc voir s’il est temps de changer également l’attitude de l’Union européenne’’. Tajani a par ailleurs commenté les spéculations autour d’une éventuelle intervention turque dans le nord-est syrien : ‘’Il me semble très prématuré de parler d’une telle incursion’’ , a-t-il déclaré. Cependant, il a ajouté : ‘’Si les milices kurdes sont intégrées dans l’armée syrienne, la situation sera certainement plus calme’’ ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
12:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
09/01/2025
"Temps pour une vie normale."
Allemagne.
"Temps pour une vie normale."
19:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Trump exige 5 % pour l'armement. Que disent ses amis de l'AfD à ce propos ?"
Allemagne. Le parti de gauche anti-immigration BSW à propos du parti patriotique AfD :
"Trump exige 5 % pour l'armement. Que disent ses amis de l'AfD à ce propos ?"
19:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
Jusqu'à 150 fonctionnaires européens suivront le débat sur Twitter (X) entre Alice Weidel et Elon Musk.
UE et États-Unis. Jusqu'à 150 fonctionnaires européens suivront le débat sur Twitter (X) entre Alice Weidel de l'AfD et Elon Musk, ce soir à 19 h, afin d'examiner si des propos ne constitueraient pas une violation de la législation.
18:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Mass-Voll est opposé au fait que les référendums et les initiatives ne pourront être signés qu'avec une carte d'identité électronique.
Suisse. Mass-Voll récolte 50.000 signatures avant le 19 avril 2025 afin d’obtenir que le peuple soit consulté sur le fait [que les récoltes de signatures pour] les référendums et les initiatives ne pourront être signés qu'avec une carte d'identité électronique, ce qui signifie que la participation à cette forme de démocratie n’est plus possible sans smartphone.
17:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Ce n’est simplement pas assez de fermer les frontières, nous devons commencer les expulsions de masse."
Royaume-Uni. UKIP : « Ce n’est simplement pas assez de fermer les frontières, nous devons commencer les expulsions de masse. »
17:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
Lionel Baland dans Ligne droite à propos de l'avènement du FPÖ en Autriche.
Autriche. Dans Ligne droite, sur Radio Courtoisie :
15:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
"La libération de la journaliste italienne emprisonnée en Iran et son retour en Italie."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur la libération de la journaliste italienne emprisonnée en Iran et son retour en Italie « « Salut, je suis rentrée » » (Corriere della Sera, Stampa, Messaggero), « L'étreinte à Cecilia » (Repubblica), « Chef d'œuvre Meloni » (Il Giornale) et les incendies aux États-Unis (Messaggero, Repubblica, Stampa).
La libération de la journaliste italienne C. Sala domine les Unes et les pages intérieures des principaux quotidiens. Le gouvernement. Corriere della Sera, éditorial « il faut reconnaitre que nos services de renseignements et le gouvernement ont réussi un véritable miracle. Meloni a montré encore une fois sa surprenante habilité internationale. Elle a su prendre des risques : elle s’est rendue en Floride chez Trump malgré une décision pas très protocolaire au point de l’avoir gardée secrète jusqu’au dernier moment, ne sachant pas si cela aurait été un succès ou un échec ». La Stampa : « Une série de coïncidences favorables ont aidé l’Italie : le président sortant Biden ne voulait pas prendre en main ce dossier épineux, tandis que Trump a donné son feu vert à Meloni pour se démarquer de la ligne de son prédécesseur et souligner en même temps un geste d’ouverture à son alliée qu’il considère comme précieuse sur l’échiquier européen ». L’Iran. Corriere dellla Sera : « Les Ayatollahs ont besoin d’un « soutien » italien également dans le rôle d’interlocuteur politique. Rome, en raison des relations fortes entre Trump et Meloni, comme cela a été vu lors de la visite de la présidente du Conseil à Mar-a-Lago, peut ainsi dire à Téhéran « vous voyez, nous sommes des interlocuteurs fiables » ». Foglio : « L’Iran, affaibli et désespéré, a besoin de bonnes relations avec l’UE ». La Repubblica « pour l’Iran, c’est aussi un succès pour les modérés. Une dialectique interne sans précédent au sein du système de la République islamique a également pesé, avec des modérés liés au président Pezeshkian et des diplomates dirigés par Abbas Araghchi, déterminés à renverser une décision prise par l'appareil de sécurité et à clore le dossier avant les pourparlers de Genève avec le groupe E3, la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne, prévus pour lundi prochain ». L’ingénieur iranien arrêté en Italie. Repubblica : « le ministre de la Justice Carlo Nordio (Frères d’Italie) sait bien que l’affaire n’est pas clôturée et que c’est par son ministère que passent les garanties que le gouvernement a données aux autorités iraniennes. Le ministre serait prêt à ne pas autoriser l’extradition de l’ingénieur Abedini aux Etats-Unis. Washington accuse Abedini d’exportation de matériel technologique américain en Iran et d’avoir soutenu les Gardes révolutionnaires, considérées comme une association terroriste. L’intéressé espère sortir de prison, les juges de la Cour d’Appel se prononceront mercredi sur la possibilité d’une assignation à résidence. Si les juges décident qu'il doit rester en prison, le Département de la Justice entrera en jeu, et devra examiner « selon des paramètres légaux », comme l'explique Nordio, la demande d'extradition, pour laquelle des documents sont attendus des Etats-Unis, ou décider de la libération de l'ingénieur iranien. En excluant la première hypothèse, parce qu'elle est la pierre angulaire de l'accord avec l'Iran, il reste la libération, qui doit cependant intervenir avant le 20 janvier »
L’accord présumé entre le gouvernement et SpaceX sur le système satellitaire Starlink. Corriere della Sera : « Le ministère de la Défense pousse pour des négociations entre l’Italie et Starlink pour les communications militaires et diplomatiques du pays, afin de faire face aux scénarios de guerre moderne, comme l’a fait comprendre le ministre Guido Crosetto (Frères d’Italie) lors de son intervention à la Chambre’’. ‘’L’Europe a beaucoup de retard sur ce front et le programme Iris² ne sera pas opérationnel avant 2030’’. ‘’D’où les négociations avec Starlink pour une solution au moins provisoire’’. ‘’Starlink offre déjà un service commercial en Italie et devrait participer au marché public en Lombardie pour la couverture internet satellitaire’’. ‘’Les polémiques de ces derniers jours concernant les communications cryptées naissent toutefois du manque d’information sur des questions fondamentales et jusqu’à présent la société Leonardo, qui devrait être impliquée, a été tenue à l’écart’’. ‘’Tout contrat avec l’homme le plus riche du monde, entrepreneur aussi génial qu’excentrique, devrait contenir des clauses très solides. »
Repubblica : « Le ministre Guido Crosetto affirme devant le Parlement que les ‘satellites de basses orbites comme ceux de Starlink sont nécessaires pour la Défense’, ‘il n’y a pas encore d’accord mais c’est la seule option pour les Forces Armées dans l’attente du projet européen’ ‘’. ‘’La question est en cours d’examen par l’Agence spatiale italienne qui étudie ‘toutes les solutions de connectivité disponible dans le monde’. Le Comité présidé par le ministre des Entreprises Adolfo Urso envisage également un consortium italien comme ‘pilier stratégique’, soulignant des nuances au sein même du gouvernement’’. ‘’On savait déjà que la Défense italienne soutenait une entente avec Starlink face à l’évolution de la guerre connectée. Crosetto avait déjà visité le siège italien et rencontré la direction. Leonardo voit d’un bon œil l’intégration de ces systèmes digitaux pour le cryptage des données. Mais un tel accord, que l’Italie serait le premier pays UE à passer, serait un choix partial vis-à-vis des Etats-Unis de D. Trump et E. Musk qui affaiblirait les projets européens. Si la Commission européenne a dit que ce n’était pas incompatible avec Iris², Paris s’irrite déjà. »
La réforme de la justice. Corriere della Sera : ‘’La réforme constitutionnelle sur la séparation des carrières est soumise à un premier vote à la Chambre mais reste rejetée par le Conseil supérieur de la magistrature’’. ‘’Les magistrats alertent notamment sur le fait que le texte ‘véhicule l’idée d’un manque d’impartialité’ des juges’’. ‘’A ce stade le texte a été rejeté par 165 voix’’ . ‘’Mais le gouvernement poursuit sa route sans changement, ‘nous devons respecter le vote des électeurs’ souligne le ministre de la Justice Carlo Nordio à l’issue d’une journée tendue […] marquée également par les polémiques concernant l’application pour la numérisation des procès pénaux qui compliquerait le travail au lieu de le simplifier. Un système adopté par la ministre Cartabia est conditionnant les fonds du Plans de Relance mais abandonné par certains Parquets qui retournent au papier.’’
Corriere della Sera : ‘’Le holà de la France et de l’Allemagne rappelant que ‘les frontières de l’Europe sont inviolables’ ‘’. ‘’Alors que Trump a dit vouloir recourir à la ‘force économique s’agissant du Canada, il n’a pas exclu un recours à la force militaire dans les cas du Panama et du Groenland’’. ‘’C’est ‘un territoire de l’Union européenne. Il n’est pas question que l’UE laisse d’autres nations du monde quelles qu’elles soient s’en prendre à ses frontières souveraines’ a tonné le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot. Ce dernier ne pense pas que les Etats-Unis envahiront le territoire autonome du Danemark mais il estime qu’il faut ‘’avant tout se réveiller, se renforcer dans un monde dominé par la loi du plus fort, dans le domaine militaire et de la compétitivité’. La porte-parole du gouvernement français a dénoncé une forme d’impérialisme’’. ‘’Le chancelier Olaf Scholz est également intervenu faisant part de la stupeur des leaders européens avec lesquels il a échangé’’. ‘’Le secrétaire d’Etat sortant, Antony Blinken, a tenté de relativiser les déclarations de Trump’’. ‘’Sur le volet migratoire, un des thèmes ayant permis la victoire électorale de Trump, même les Démocrates ont durci leurs positions au Congrès. » Il Foglio : « ’La stratégie d’Ursula von der Leyen vis-à-vis de D. Trump et E. Musk est de rester immobile’’. ‘’Des menaces de Trump à la campagne de déstabilisation de Musk de certaines démocraties européennes, la Commissaire européenne a choisi de faire l’autruche’’. ‘’C’est pourtant bien un état membre de l’UE qui est pris pour cible par Trump’’. ‘’Sur le plan géopolitique et économique, le Groenland est un territoire stratégique’’. ‘’Von der Leyen ne veut pas prendre au sérieux les propos de Trump ni le danger que représente Musk sur X qui fait campagne en faveur de l’AfD en Allemagne’’. ‘’Une enquête contre X et son algorithme a été ouverte en 2023 pour violation du Digital Services Act, la phase technique serait presque conclue mais U. von der Leyen aurait congelé la décision. La Commission se refuse jusqu’à présent d’utiliser contre Musk les mesures provisoires prévues’ ’’Les divisions internes à l’UE sur le duo Musk-Trump, la crise de leadership de certains Etats Membres, les élections anticipées dans une Allemagne en difficulté poussent U. von der Leyen à mettre la tête dans le sable. Ses commissaires sont faibles et ne veulent pas la défier’’. ‘’En campagne électoral, Scholz a décidé de ce présenté en chancelier prudent et ne veut pas effrayer les électeurs avec des scénarios de conflits’’. ‘’La France a demandé à la Commission de répondre aux menaces de Trump et à la campagne de Musk. Jusqu’à présent, elle n’a pas été écoutée. L’irritation de Paris est évidente. »
Corriere della Sera, Antonio Tajani (Forza Italia), ministre des Affaires Etrangères « il y a eu un travail d’équipe, entre le gouvernement, les services de renseignement, la diplomatie et aussi la famille de la journaliste qui a bien géré la situation tout en respectant le silence avec la presse. Il y a eu un engagement direct de la Présidente du Conseil, qui a été présente à toutes les réunions. Les efforts de la Farnesina ont été importants, comme pour tout citoyen italien. Cette affaire était plutôt délicate. Le fait d'être un pays comme le nôtre qui entretient des relations avec tous les pays de la région du Moyen-Orient, même ceux dont il ne partage pas les politiques et les actions, permet d'agir efficacement même face à de grandes difficultés. Ce n'est pas un hasard si nous avons gardé ouvertes les relations politiques avec l'Iran, si nous avons gardé ouverte l'ambassade en Syrie, où je me rendrai demain après la réunion du Quint. Je répéterai à cette occasion aux autorités syriennes l’importance d’un processus politique inclusif garantissant les libertés fondamentales. L’affaire Sala et l’affaire Abedini sont traitées séparément, comme l’ont expliqué aussi les autorités iraniennes. La visite de Meloni chez Trump, en Floride, n’a pas eu une implication directe avec la libération de Sala mais a eu toutefois un effet politique, général, construit afin de faire comprendre que l’Italie dialoguait avec les Etats-Unis. Concernant le système satellitaire « Starlink » : il s’agit d’un choix que doit faire l’Etat italien. Je n'ai pas d'a priori, une chose est Musk, une autre est son entreprise. S'il peut fournir les meilleurs services, pourquoi dire non a priori ? Nous verrons, il y aura des évaluations, le meilleur sera choisi pour garantir les services nécessaires à nos administrations. L'Europe et les États-Unis sont les deux faces d'une même pièce, l'Occident. Ils ont des intérêts communs et doivent avoir des objectifs communs si nous ne voulons pas être affaiblis : nous travaillerons bien avec l'administration Trump. L'Europe et l'Amérique doivent rester alliées : c'est notre destin, c'est notre force. »
Stampa, Carlo Nordio (Frères d’Italie), ministre de la Justice « La situation du citoyen iranien Abedini est uniquement juridique, elle est complexe et doit être étudiée. il est encore trop tôt pour parler d’extradition, notamment parce que la demande formelle de la part des Etats-Unis n’est pas encore parvenue à notre ministère. Concernant la réforme sur la séparation des carrières dans la magistrature, nous écoutons avec beaucoup de respect et d'intérêt tout ce que dit le Conseil Supérieur de la Magistrature. Mais le Conseil supérieur de la magistrature doit aussi écouter ce que veulent les électeurs. Ils nous ont donné le mandat de procéder à cette réforme, et nous le ferons. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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08/01/2025
Süd-Tiroler Freiheit félicite Herbert Kickl.
Italie et Autriche. Le parti germanophone du Tyrol du Sud/Haut-Adige Süd-Tiroler Freiheit félicite le président du FPÖ Herbert Kickl pour le fait qu’il a reçu la mission de former le futur gouvernement autrichien.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/01/06/aut...)
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Suède : démarrage de la construction d’un nouveau réacteur nucléaire.
Suède. Le pays, dont le gouvernement de centre droit est soutenu de l’extérieur par le parti patriotique Démocrates suédois, démarre la construction d’un nouveau réacteur nucléaire, ce qui n’est plus arrivé depuis 40 ans. Le projet est un réacteur d'essai qui marque le début d'une nouvelle ère de petits réacteurs modulaires.
16:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Temps pour notre essor économique."
Allemagne.
"Temps pour notre essor économique. Temps pour l'Allemagne."
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La journaliste italienne Cecilia Sala, qui était détenue en Iran, a été libérée.
Italie. La journaliste italienne Cecilia Sala, qui était détenue en Iran, a été libérée.
"Cecilia Sala libérée. Succès de Giorgia Meloni."
13:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Le Pen, l'homme qui a dédouané les populistes."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur les propos de D. Trump « Trump menace : « j'utiliserai la force » » (Corriere della Sera), « Les menaces de Trump » (Repubblica), « Trump, jeux dangereux » (Stampa), « Trump montre les muscles » (Messaggero), la journaliste italienne emprisonnée en Iran « Cecilia Sala, sortie de l'isolement. Téhéran : « à présent accélérons » » (Stampa) et la mort de Jean-Marie Le Pen « Le Pen, une vie à l'extrême droite » (Corriere della Sera), « Mort de Le Pen, le fondateur de l'ultra droite française » (Repubblica), « Jean-Marie Le Pen, fin d'un négationniste » (Stampa), « Le Pen, l'homme qui a dédouané les populistes » (Messaggero).
Les JT couvrent essentiellement, outre les sujets traités par les quotidiens, le débat politique autour de l’accord présumé entre le gouvernement et SpaceX sur les satellites Starlink, le Proche-Orient et la hausse des prix de l’énergie.
L’accord présumé entre le gouvernement et SpaceX sur les satellites Starlink est encore largement traité. Il Foglio : « Les doutes sur Starlink concernent surtout celui qui contrôlera les données sensibles. La question-clé concerne donc le cryptage : le gouvernement sera-t-il le seul à posséder la clé de décryptage ou celle-ci sera-t-elle partagée avec Musk ? Le problème existe en général, surtout lorsqu'il s'agit d'un monopole unique, et encore plus lorsque le mécène est quelqu’un qui s'est lancé dans la politique et poursuit un objectif explicite. Reste à savoir dans quelle mesure le groupe Leonardo, qui joue avec Telespazio un rôle important dans le projet européen Iris² (qui, cependant, comme tous les projets européens, a démarré tardivement), sera lésé. La responsabilité en incombe à Giorgia Meloni et au secrétaire d’Etat Alfredo Mantovano (indépendant, autrefois Alliance nationale), les seuls, semble-t-il, à savoir ce qui se prépare au cours de ces dernières semaines. ». Corriere della Sera : « La prudence du gouvernement italien, il n’y a pas de feu vert à un accord » : « Les partis d’opposition accusent Meloni de transformer l’Italie en un « pays vassal » et de mettre en danger la sécurité nationale. La présidente du Conseil, pour sa part, estime ne pas devoir s’expliquer devant les Chambres, à partir du moment où le gouvernement n’a signé aucun accord. La polémique a cependant atteint un tel niveau que la présidence du Conseil semble vouloir freiner. Aujourd’hui à 15h, le ministre de la Défense Guido Crosetto (Frères d’Italie) répondra à la Chambre lors d’une séance question-réponse et, selon des sources du gouvernement, démentira la nouvelle selon laquelle la Défense aurait donné son feu vert à un accord à hauteur de 1,5 milliards d’euro avec la société de l’homme le plus riche de la Planète et désormais bras-droit de Donald Trump. » Stampa : « Malgré le démenti arrivé lundi de la présidence du Conseil, Musk lui-même, suivi par Matteo Salvini, ont confirmé que l’affaire est bien en cours, Salvini la qualifiant de « grande opportunité pour le pays ». Musk, quant à lui, a salué cette déclaration, affirmant que « d’autres pays en Europe demanderont également à adopter ce système ». Forza Italia, en revanche, s’est à nouveau démarquée du leader de la Ligue, ravivant les tensions au sein de la majorité. Raffaele Nevi (Forza Italia) : ‘’Sur ces questions, il faut être très prudent et bien évaluer nos intérêts et la confidentialité des données sensibles’’ ».
Rapport de l’Istat sur le chômage : Stampa : « L'ISTAT : En novembre, le taux de chômage était de 5,6%. Le chômage continue de diminuer, au plus bas depuis 2004. Selon la ministre du travail Calderone il s’agit d’un ‘’résultat historique que le gouvernement revendique’’. Ce niveau est inférieur à la moyenne de l'UE de 5,9%. Plus précisément, cette baisse a concerné les employés à durée déterminée, principalement des hommes et des jeunes de moins de 35 ans. Les femmes, les personnes ayant des contrats permanents et celles de plus de 35 ans enregistrent une augmentation. Cependant, le taux de chômage des jeunes augmente à 19,2 %, en hausse de 1,4. Le total par rapport à l'année précédente est positif avec 328 000 emplois supplémentaires”. “Bien que reconnaissant qu’’il reste encore beaucoup à faire pour l'emploi des femmes et surtout des jeunes’’, Calderone se dit satisfaite de ‘’l'augmentation des contrats stables et de la diminution des contrats temporaires’’ ».
Ukraine. Il Messaggero : « Biden, Zelensky et Meloni vers une réunion à Rome sur l’avenir de l’Ukraine. Le leader de Kiev fait pression pour rencontrer le président sortant des Etats-Unis Joe Biden dans la capitale et mise sur la médiation de la présidente du Conseil avec Trump. Les pressions pour obtenir de nouvelles armes. Le Palais Chigi ne confirme pas, mais des sources proches du dossier expliquent que Meloni aurait accepté l'arrivée du chef de la résistance ukrainienne. La nouvelle, divulguée hier soir, a été gardée secrète jusqu'à la fin. Peut-être parce que le point fort de la rencontre Meloni-Biden du week-end n'était pas censé être l'Ukraine. Le président sortant, prêt à céder sa place à Donald Trump à partir du 20 janvier, avait prévu ce voyage en Rome principalement pour rencontrer le Pape avec sa famille. Une cérémonie d'adieu était prévue avec Meloni, avec un regard sur les relations bilatérales et l'aventure italienne du G7 qui vient de s'achever. »
L’affaire de la journaliste Cecilia Sala arrêtée en Iran. Messaggero : « Depuis le début, le gouvernement italien se tourne vers les États-Unis pour faire sortir Cecilia de sa prison et obtenir le feu vert pour la libération de Mohammed Abedini, l'ingénieur iranien arrêté le 16 décembre à l'aéroport milanais de Malpensa, que Téhéran veut échanger contre Sala et sur lequel la demande d'extradition des Américains est en suspens. Après la visite-éclair chez Trump en Floride (cela aura-t-il agacé son grand rival Biden ?), Meloni et l'ensemble du gouvernement, les services de renseignement en tête, négocient avec l'administration sortante pour voir les marges de manœuvre pour un troc sans encourir de lourdes représailles. Le dossier devrait atterrir sur la table des négociations bilatérales samedi matin lors de la rencontre Biden-Meloni ».
Le décès de Jean-Marie Le Pen. Sole 24 Ore : « Le dirigeant sulfureux, qui a mis l’immigration au centre du débat politique français, est mort à 96 ans. Marine, la fille, n'a que partiellement réussi à défaire les nœuds que son père avait noués. Elle n'a pas surmonté la tendance centralisatrice, aujourd'hui quelque peu érodée par les succès de Jordan Bardella, le jeune visage de la dédiabolisation. Elle n'a pas non plus réussi à enraciner le parti, qui a obtenu plus de 10 millions de voix aux législatives mais n'a pas de maires dans les villes de plus de 30 000 habitants, ni de présidents de régions et de départements. Avec une conséquence de taille : le RN n'a pas de candidats qui puissent se présenter et se faire élire, presque toujours dans le sillage de Marine Le Pen et de Bardella ».
Corriere della Sera, Steve Bannon, responsable de la campagne électorale de D. Trump en 2016 « Je ferai en sorte qu'Elon Musk soit mis à la porte avant l'inauguration du 20 janvier. Il n'aura pas de laissez-passer bleu lui permettant d'accéder à la Maison Blanche. Il sera comme tout le monde. C'est une personne vraiment maléfique, je le connais bien, il ne veut que s’enrichir. Musk ne fait pas partie de ce gouvernement, il rédige un rapport d'efficacité pour nous aider à construire l'État administratif. Il n’était donc pas présent à Mir-à-Lago lors de la rencontre entre Trump et Meloni : il aurait été inapproprié qu'il soit présent. Le président Trump a une haute opinion de Meloni et je suis sûr que cette dernière lui a parlé de la situation en Ukraine. Je sais qu'il y a la question iranienne, mais l'Ukraine est l'une des choses les plus urgentes. J’espère que Meloni a vraiment changé d’avis sur l’Ukraine et compris ses erreurs. Au nom de l’extrême droite américaine, je lui dirais : s’il vous plait, aidez le président à mettre fin à cette guerre et à se mettre à la table des négociations. Elle pourrait jouer un rôle d’intermédiaire et remédier à ses erreurs dans les deux dernières années de sa mandature. »
Repubblica, Thierry Breton, ancien commissaire européen et père du règlement européen sur le numérique (DSA) : « Soyons clairs sur un point : Si E. Musk écrit une tribune dans un quotidien, cela relève de la liberté d’expression. Mais si ces mêmes opinions de Musk sont diffusées sur son réseau social X, soumis aux règles de la DSA, l’Europe a le devoir de veiller afin d’éviter des manipulations de contenu. Il s'agit de protéger nos citoyens et nos démocraties des effets amplificateurs de plateformes comptant plus de 45 millions d'utilisateurs et capables d'amplifier des messages à une échelle sans précédent dans l'histoire de nos démocraties. En tant que commissaire de l’UE, je me suis battu pour lancer Iris², le système satellitaire intégrant des technologies de cryptographie quantique pour garantir des communications ultra-sécurisées. Tous les pays de l'UE ont soutenu le lancement d'Iris². L'Italie y a également participé et je pense qu'elle s'en est bien sortie car il s'agit d'un élément très important de notre souveraineté de cryptographie quantique pour garantir des communications ultra-sécurisées. Tous les pays de l'UE ont soutenu le lancement d'Iris². L'Italie y a également participé et je pense qu'elle a eu raison car il s'agit d'un élément très important de notre souveraineté. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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"Hystérie climatique : temps pour les faits."
Allemagne.
"Hystérie climatique : temps pour les faits ! Temps pour l'Allemagne."
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07/01/2025
Björn Höcke demande que les infractions pénales d’incitation à la haine contre les autres peuples et d'utilisation de symboles d'organisations anticonstitutionnelles soient abolies.
Allemagne. La figure de proue de l’AfD de Thuringe Björn Höcke demande que les infractions pénales d’incitation à la haine contre les autres peuples et d'utilisation de symboles d'organisations anticonstitutionnelles soient abolies ou limitées à « quelques groupes de cas ». Il désire que cette idée soit inclue dans le programme électoral de l’AfD au niveau fédéral.
23:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
Călin Georgescu annonce une manifestation massive le 10 janvier 2025 devant la Cour constitutionnelle.
Roumanie. Le candidat nationaliste indépendant arrivé premier lors du premier tour de l’élection présidentielle annulée Călin Georgescu annonce une manifestation massive le 10 janvier 2025 devant la Cour constitutionnelle de Roumanie qui a annulé ces élections.
22:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
Saxe : l'AfD donnée à 36 % et le BSW à 7 %.
Allemagne. Saxe. Les nationalistes de l'AfD sont donnés à 36 % et la gauche anti-immigration BSW à 7 % pour des élections pour le Parlement de Saxe.
(sondage Civey)
CDU : démocrate-chrétien
AfD : nationaliste
Die Linke : post-communistes
Grüne : écologistes
SPD : sociaux-démocrates
Freie Wähler : Électeurs libres
FDP : libéraux
BSW : gauche anti-immigration
un autre parti
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/09/03/sax...)
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