Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29/12/2010

Suisse : les Femmes UDC se battent contre la levée de l'interdiction de l'inceste

UDC.jpg

Voici un communiqué de l’UDC, premier parti de Suisse, 29 % des voix : 

Le Conseil fédéral (gouvernement suisse) entend supprimer l'interdiction de l'inceste dans l'art. 213 CPS. Il l'annonce dans sa procédure de consultation sur l'harmonisation des peines. Les rapports sexuels pratiqués d'un commun accord frères et sœurs ainsi qu'entre un parent et son enfant ne seraient ainsi plus punissables. Le Conseil fédéral motive cette proposition par le faible nombre de cas dénoncés ainsi que par le fait que des personnes consanguines, qui appartiennent génétiquement à des groupes à risques en termes de maladies héréditaires, ont également le droit de procréer.

 

Pour les femmes UDC, le raisonnement du Conseil fédéral est inacceptable et traduit une attitude inhumaine. L'inceste n'est accepté chez nous ni socialement, ni culturellement. Bien au contraire, cet acte est banni de notre société. Les couches de la société, qui l'ont pratiqué activement, se sont elles-mêmes éliminées à court ou à moyen terme.

 

L'interdiction de l'inceste dans le Code pénal a un effet préventif. La lever, c'est donner un faux signal. Les enfants sont toujours dans une situation de dépendance par rapport à leurs parents. Entre frères et sœurs, le besoin d'exercer son pouvoir peut s'ajouter à la dépendance. On ne saurait donc dans ces conditions parler d'actes sexuels pratiqués d'un commun accord entre adultes consanguins.

 

Voilà des raisons suffisantes, aux yeux des Femmes UDC, pour maintenir l'interdiction de l'inceste dans le Code pénal.

28/12/2010

L’année nationaliste 2010 en Europe.

 

En Allemagne, l’année 2010 a été une année de transition et de rassemblement. Lors des élections pour le Parlement du Land de Rhénanie du Nord – Westphalie, pro NRW obtient 1,4% des voix et les Republikaner 0,3%. Les différents partis patriotiques tentent de travailler ensemble et de s’unir. Le mouvement PRO, qui s’est rapproché des Republikaner, est soutenu ouvertement par le FPÖ autrichien et le Vlaams Belang (Flandre – Belgique). Le mouvement PRO se rapproche de différents partis politiques patriotiques locaux. Le parti die Freiheit est fondé par René Stadtkewitz qui reçoit Geert Wilders à Berlin. Alors qu’un rapprochement entre le mouvement PRO (allié du Vlaams Belang et du FPÖ) et die Freiheit, en raison du soutien inconditionnel de Geert Wilders à Israël, paraît impossible, l’allié allemand de ce dernier, René Stadtkewitz, participe à un voyage de représentants du Vlaams Belang et du FPÖ en Israël. À Brême, le mouvement Bürger in Wut (Citoyens en Colère) a le vent en poupe dans les sondages. Du côté des ultranationalistes, le NPD absorbe la DVU qui disparaît.

 

Autriche. En réponse à l’invitation du Président adjoint de la Douma (le Parlement russe) Oleg Morozov, les mandataires du FPÖ Andreas Karlsböck et Johann Gudenus se rendent à Moscou. De nombreux entretiens de travail ont eu lieu avec des députés du parti « Russie Unie » de Vladimir Poutine. Le FPÖ et le FPK signent un accord de coopération. Lors des élections pour le Parlement du Burgenland, le  FPÖ obtient 9,3% des voix et double son nombre de sièges en passant de 2 à 4 députés. Le FPÖ subit la concurrence de la Liste Burgenland (LBL). Lors des élections pour le Parlement du Land de Vienne, le FPÖ brise la majorité absolue des sociaux-démocrates et obtient plus de 25% des voix, 27 députés au sein du Parlement du Land de Vienne, 3 membres au Sénat et des postes de ministre au sein du Land de Vienne. Le Parti social-démocrate s’allie aux écologistes pour gouverner la capitale autrichienne. Lors des élections pour le Parlement de Styrie, le FPÖ obtient 10,83 % des voix et le BZÖ 3%. Gerhard Kurzmann (FPÖ) devient ministre des « transport et technique » de Styrie. En Carinthie, le FPK et le FPÖ, qui représentent près de 50 % de l’électorat du Land, sont sur la voie de la fusion. Au niveau national, le FPÖ est donné dans les sondages au même niveau que les deux partis du système (SPÖ, ÖVP).

 

 

Belgique. En Flandre, la NV-A, un parti national-centriste qui veut aller vers moins de Belgique, obtient 27,8% des voix. Le Vlaams Belang recule mais résiste au tsunami de la N-VA. Le Vlaams Belang tombe à 12,3 % des voix (-6,7 %).

 

Bulgarie. Ataka soutient la coalition gouvernementale.

 

Danemark. Le Parti du Peuple danois soutient la coalition gouvernementale conservatrice-libérale de l'extérieur.

 

Espagne. Plateforme pour la Catalogne (PxC) obtient 2,42% des voix lors des élections pour le Parlement de Catalogne.

 

Hongrie. Le Jobbik obtient 47 députés. Le parti décroche 3 mairies, au moins un conseiller municipal au sein de chacune des 30 grandes villes du pays et une soixantaine d’élus régionaux.

 

Italie. Les Freiheitlichen seront représentés au sein de 56 des 116 municipalités du Tyrol du Sud / Haut-Adige. Au sein de la municipalité d’Ahrntal, Süd-Tiroler Freiheit récolte plus de 30% des voix. Au niveau national, Gianfranco Fini quitte la coalition gouvernementale et fonde son propre parti, tout en restant président du Parlement.

 

Pays-Bas. Le PVV devient le troisième parti des Pays-Bas et décroche 22 sièges en récoltant 1,5 million de voix. Le PVV soutient le gouvernement CDA-VVD (Parti démocrate-chrétien et Parti libéral de droite) de l’extérieur.

 

En Pologne, le frère du Président défunt Kaczyński (PiS) arrive en deuxième position lors du premier tour des élections présidentielles avec 36.46 % des voix.

 

Royaume-Uni. Le BNP est le quatrième parti du pays. Il récolte 562,000 votes lors des élections législatives.

 

Slovaquie. Le SNS passe à nouveau la barre des 5% en obtenant 5,07% des voix. Le parti, qui gouvernait avec le Parti socialiste, se retrouve dans l’opposition.

 

Suède. Les Démocrates suédois obtiennent 5,7% des voix et 20 députés.

 

Suisse. L'initiative UDC sur le renvoi des étrangers criminels l'emporte par 53,4 % de "Oui".

 

Ukraine. Le Parti nationaliste Svoboda emporte plus de 30% des voix au sein des villes de Lviv, Ivano-Frankiuvsk et Ternopil. Au niveau national, Svoboda arrive en cinquième position. Les élus de Svoboda entrent dans un nombre significatif d’assemblées régionales et locales.

BZÖ : récolte de signatures en vue d'un débat sur l'euro au sein du Parlement.

BZÖ.jpg

Autriche. Le président du BZÖ, Josef Bucher, a annoncé lors d’une conférence de presse que son parti allait organiser une récolte de signatures à propos de la monnaie européenne afin de voir organiser un débat sur le sujet au sein du Parlement d’Autriche (Procédure : Volksbegehren). Selon le président du BZÖ, l’Autriche, qui a déjà payé pour le sauvetage de la Grèce et le paquet de sauvetage de la monnaie europénne, ne peut pas continuer à financer la zone euro en tant que contributeur net (l’Autriche paye plus pour l’Union européenne que ce qu’elle reçoit en retour) alors que l’Autriche manque de moyens dans le domaine de la famille, de la recherche et de l’innovation. La dette de l’Autriche s’élève à 260 milliards d’euros et celle de la Grèce à 300 milliards d'euros.

Nouveau livre en allemand sur le FPÖ.

new FPO.jpg

Autriche. Un livre en allemand consacré au FPÖ vient de paraître. L’auteur est Philipp Mittnik. L’ouvrage s’intitule « Die FPÖ - eine rechtsextreme Partei? » (Le FPÖ – un parti d’extrême-droite ?). Dans sa présentation de l’ouvrage, l’éditeur indique que le président du FPÖ, Heinz-Christian Strache, s’est construit une image de popstar, ce qui lui permet de capter de nombreuses voix venant de la jeunesse. Les personnes qui votent pour le FPÖ ne sont plus seulement celles qui appartiennent à ce qui est dénomé les couches sociales inférieures (sic). Les jeunes qui sortent des hautes écoles se sentent eux-aussi menacés par le flux migratoire. Ce livre entreprend une présentation scientifique du phénomène et présente les dirigeants du parti.

FPÖ1.jpg

Le convoi de Solidarité Kosovo est arrivé à destination !

Le convoi de Solidarité Kosovo est parti de France ce dimanche 26 décembre 2010 et est arrivé ce lundi 27 décembre au soir à destination. Voir le site Internet de l’association : http://www.solidarite-kosovo.org

27/12/2010

HC Strache veut faire du FPÖ, en 2011, la première force.

new FPO.jpg

Autriche. Heinz-Christian Strache a donné une interview à l’ORF (radio-télévision publique autrichienne). Il veut mettre fin au système de politisation et de lotisation « rouge-noir ». (Parti social-démocrate – Parti conservateur) et positionner le FPÖ en tant que parti de la famille pour les Autrichiens. Les familles autrichiennes qui ont 3 ou 4 enfants doivent bénéficier de réductions importantes d’impôt.

 

Heinz-Christian Strache lance un défi aux partis politiques du système. Selon HC strache, si le Parti social-démocrate (SPÖ) et le Parti conservateur (ÖVP) n’ont plus de majorité à l’issue des prochaines élections législatives, « alors nous serons venus à bout du système de politisation et de lotisation  rouge-noir ».

 

En cas de possibilité de participation à un gouvernement, HC Strache ne répétera pas ce qu’il a appelé une erreur de Jörg Haider, lorsque ce dernier, dont le parti était arrivé en deuxième position, a laissé la place de chancelier au Parti conservateur (ÖVP) arrivé en troisième position. Dans une telle configuration, HC Strache exercera la fonction de chancelier.

 

À propos de son voyage en Israël, HC Strache a indiqué qu’il été invité par des députés israéliens. Il a déclaré avoir également été convié au Liban, en Russie, au Canada, aux Etats-Unis.

Berlusconi, Bossi, Fini & Co.

Le Peuple de la liberté.jpg

Ligue du Nord.jpg

Futuro e Libertà per l'Italia.jpg

« L’épreuve de vérité pour la majorité aura lieu après la décision de la Cour constitutionnelle. » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore de vendredi) : « Au fond, ce que Berlusconi a dit hier a confirmé trois points. D’abord, la majorité doit se renforcer et atteindre un seuil convaincant, faute de quoi la perspective d’élections anticipées demeure. En second lieu, la seule voie politique pour vraiment la stabiliser passe par un accord au grand jour avec l’UdC de Casini, opération qui devrait moins déboucher sur une alliance de fer que sur un soutien sans participation à l’exécutif. Tertio, la Ligue reste méfiante face au nouveau profil ‘centriste’ du président du Conseil, du moins jusqu’au moment où elle pourra mesurer le prix de l’accord éventuel. D’où les attaques léghistes visant à délégitimer Fini : pour l’heure, c’est une épée de Damoclès suspendue au-dessus du ‘3ème pôle’ dont Casini est le chef officieux. Mais elles pourraient se muer en bombe si Bossi décidait pour de bon d’empêcher l’accord et d’accélérer la marche vers les élections – auquel cas le maintien au perchoir de la Chambre d’un homme récusé par la majorité serait un casus belli plausible pour obtenir la dissolution. On verra. Mais Berlusconi voit juste quand il cite janvier comme le mois décisif. La partie ne peut pas durer au-delà de quelques semaines. Après la décision de la Cour constitutionnelle, il faudra faire le point. Si la décision est favorable, Berlusconi sera renforcé et mieux apte à gérer l’élargissement, au prix d’un dialogue avec Casini. En cas de décision défavorable, Berlusconi sera affaibli et frustré – en tout état de cause, les rapports de force seraient tout autres : des deux, Casini serait le plus fort, et la Ligue pourrait se réserver le dernier mot. La stabilité pour agir reste un désir et une nécessité. Non sans mal, la réforme Gelmini a été adoptée : pour le gouvernement, c’est un net succès, mais demain est un autre jour… » 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Attaque à la peinture contre les maisons de délégués de l’UDC.

UDC.jpg

Suisse. Dans la nuit du 26 au 27 décembre 2010, des pots de peinture ont été lancés sur la maison de délégués de l’UDC de la région de Winterthur.

Présentation de Trpimir Gudar.

Dans le cadre de l’établissement d’un réseau patriotique d’information  en Europe, nous vous présentons un correspondant croate.

 

Trpimir Gudar est un écrivain nationaliste croate. Il n’est pas membre d’un parti ou d’une organisation. Il est proche des idées de Mladen Schwartz et de Tomislav Sunić. Il est contre l’Union européenne, l’OTAN, les États-Unis et Israël, comme la plupart des nationalistes croates. Pour lui, l’État croate doit coopérer avec des nations amies telles que la Hongrie, la Pologne, la Bulgarie et l’Allemagne. En dehors de l’Europe, il pense que l’Iran doit être le plus proche allié de la Croatie en raison des liens culturels et économiques profonds entre les deux pays.

 

Franjo Tudjman 

 

Trpimir Gudar est opposé au HDZ (Hrvatska demokratska zajednica) et à son ancien dirigeant Franjo Tudjman, mais tous les nationalistes croates ne partagent pas cette option. Trpimir Gudar est contre Tudjman  à cause de la politique antinationaliste de ce dernier et du HDZ au cours des années 1990. Par exemple, Franjo Tuđman a ordonné de tuer des dizaines de nationalistes croates célèbres tels que Ante Paradžik (vice-président du Parti croate du droit) en septembre 1991 et Blaž Kraljević (commandant des Forces de Défense Croates, des unités militaires nationalistes croates) en août 1992 et il a toléré le meurtre d’autres, tels que Ludvig Pavlović et Miro Barešić.

 

Franjo Tuđman a été communiste avant la seconde guerre mondiale. Il est devenu un membre de la résistance à l’État independant de Croatie. Il a été le plus jeune général de Tito. Il est ensuite devenu un dissident au cours des années 1960. Il a été amnistié par Tito en 1972. Lorsqu’il est arrivé au pouvoir en 1990, il n’a pas entrepris un processus de décommunisation tel qu’il en a existé au sein de certains pays d’Europe de l’Est. De nos jours, la décommunisation n’est pas encore achevée en Croatie et beaucoup d’anciens communistes restent au pouvoir au sein de différentes institutions. Des monuments communistes sont toujours en place. Une des plus grandes places de Zagreb, la capitale croate, porte le nom de Josip Broz Tito. De plus, Tudjman a eu une très mauvaise politique en Bosnie-Herzégovine. Il a essayé de séparer l’Herzégovine occidentale peuplée de Croates de la République de Bosnie-Herzégovine et de l’annexer à la Croatie. Tudjman a coopéré avec les dirigeants serbes Milošević (Serbie) et Karadžić (Serbes de Bosnie) afin de diviser la Bosnie-Herzegovine entre les Serbes et les Croates.

 

Culture

 

Il y a de nombreux écrivains, artistes et musiciens nationalistes en Croatie.

 

Serbes

 

Il existe quelques contacts personnels entre les nationalistes croates et serbes, mais rien de formel. Il y a un contentieux à propos de la responsabilité de la guerre, des actes commis durant ce conflit. Le plus grand parti nationaliste serbe, le SRS (Srpska Radikalna Stranka), ne reconnaît pas l’existence de la nation croate. Leur président, Vojislav Šešelj, dit que les Croates sont des serbes catholiques, que les frontières occidentales de la Serbie doivent être la ligne Karlobag-Karlovac-Virovitica. Vojislav Šešelj est un des politiciens les plus populaires de Serbie, pas seulement au sein des cercles nationalistes. Son Parti radical serbe a reçu 30% des votes en 2008 en Serbie. Et le candidat de ce parti aux élections présidentielles a décroché 48% des voix lors du second tour des élections présidentielles.


Bosniaques

 

Les Musulmans bosniaques, dénommés Bošnjaci, sont une nation artificielle comme les Moldaves, les Autrichiens et les Macédoniens. Ce sont des Croates d’origine. La plupart d’entre-deux se sont déclarés Croates jusqu’en 1945. En 1970, Tito a annoncé la création d’une nouvelle nation : les Musulmans. Cette nouvelle nation a changé son nom en Bošnjaci en 1993. Les nationalistes croates reconnaissent les Bošnjaci en tant qu’identité régionale et culturelle et ont de bons contacts avec certaines de leurs organisations.

 

Pour les nationalistes croates, les musulmans bosniaques sont des croates. L’idéologue du nationalisme croate Ante Starčević déclarait que les musulmans bosniaques sont la plus fine fleur de l’aristocratie croate.

Dalmatia.jpg

Croatie.

26/12/2010

Affiches du parti allemand Die Konservativen.

 Die Konservative.jpg

 Allemagne. Voici des affiches du parti Die Konservativen (les conservateurs).

Kon1.jpg

"De nouveau la morale, l'éthique, et la courtoise dans la politique et l'économie. Les conservateurs. Conservateur - Libéral - Social."  

Kon2.jpg 

"Islamisation ? Non merci! Votre protestation a un nom! Les conservateurs. Conservateur - Libéral - Social." 

Kon3.jpg

"Pour des valeurs chrétiennes, contre l'islamisation rampante! Les conservateurs. Conservateur - Libéral - Social."

Jörg Haider et les franc-maçons.

fm1.jpg 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

À l’instar de Gerhard Wisnewski dans son livre Jörg Haider, Umfall, Mord oder Attentat? (Jörg Haider, accident, meurtre ou attentat ?), Guido Grandt arrive à la conclusion que Jörg Haider a été assassiné. Guido Grandt pense que ce sont les franc-maçons qui sont responsables de la disparition du gouverneur de Carinthie. Il avance un certain nombre d’arguments qui sont plus ou moins convaincants, mais n’arrive pas à réellement prouver ses allégations.

 

À la fin du livre, se trouvent trois interviews intéressantes : celle de la femme de Jörg Haider, celle de son proche collaborateur Stefan Petzner et celle du Député du BZÖ Ewald Stadler.

 

Les interviews de Claudia Haider et Stefan Petzner n’apportent rien de neuf. Le responsable du parquet de Klagenfurt est un ennemi de Jörg Haider, il est membre du SPÖ, le Parti social-démocrate, et d’une loge maçonnique de Klagenfurt. L’enquête sur le décès n’a pas été menée comme elle aurait du l’être.

 

L’interview d’Ewald Stadler fournit des informations neuves. Selon Ewald Stadler, qui connaît Jörg Haider depuis plus de 25 ans, Jörg Haider a fait partie au cours des années 1970 d’une loge maçonnique, mais il considérait que c’était une appartenance folklorique. Cela lui a valu des ennuis avec les franc-maçons. Un accord a ensuite été trouve entre Jörg Haider et la loge. Toujours selon Ewald Stadler, le Chef du bureau du gouverneur de Carinthie Dieter Platzer était franc-maçon.

Jh1.jpg

Rappelons que j’ai publié sur ce blog en juillet et août 2009 une cinquantaine d’articles qui résument le livre de Gerhard Wisnewski Jörg Haider, Umfall, Mord oder Attentat.

25/12/2010

Allemagne : les franc-maçons se sont couchés devant les nationaux-socialistes.

Au sein du livre en allemand de Guido Grandt « Logenmord Jörg Haider ? Freimaurer und der mysteriöse Tod des Politikers. » (Meurtre de Jörg Haider ? Les franc-maçons et la mort mystérieuse du politicien.) se trouve une information intéressante à la page 251 :

fm1.jpg

 

De plus, compte aussi la légende de la résistance franc-maçonne contre le national-socialisme au cours des années 1930. Plutôt que de résistance, l’opposé est vrai. De nombreuses loges ont servi les nationaux-socialistes. « L’ordre allemand » était déjà appliqué au sein des loges avant 1933. Déjà en 1932, la loge berlinoise « Zu den drei Weltkugeln » (Aux trois boules mondiales) annonçait être « sans juifs ».

Autriche: la franc-maçonnerie lave plus blanc ?

Je termine la lecture du livre en allemand de Guido Grandt « Logenmord Jörg Haider ? Freimaurer und der mysteriöse Tod des Politikers. » (Meurtre de Jörg Haider ? Les franc-maçons et la mort mystérieuse du politicien.).

 fm1.jpg

 

Nous avions déjà abordé sur ce site le fait, qu’après la deuxième guerre mondiale, des anciens membres du Parti national-socialiste avaient été recyclés au sein du Parti socialiste (SPÖ – Parti socialiste d'Autriche devenu en 1991 Parti social-démocrate d’Autriche). Au sein de l’ouvrage de Guido Grandt, je découvre à la page 241 que la franc-maçonnerie a accepté après la deuxième guerre mondiale des anciens membres du Parti national-socialiste ou de la SS. Quatre noms sont cités : Christoph Klauser, Erwin Frühbauer, Leopold Wagner, Kurt Baresch.

 

Selon Wikipedia, version en allemand :

 

Christoph Klauser est un homme politique SPÖ qui fut actif au niveau de la politique municipale et du Land de Styrie.

 

Erwin Frühbauer est un homme politique SPÖ, ministre des transports entre 1970 et 1973.

 

Kurt Baresch ne dispose pas d’un article dans Wikipedia mais est repris au sein de l’article consacré à la franc-maçonnerie (Freimaurerei).

Le plus intéressant des quatre personnages est Leopold Wagner. Entre 1974 et 1988, il a été gouverneur SPÖ du Land de Carinthie. L’article Wikipedia en allemand nous apprend ceci: Wagner bekannte sich später offen zu seiner Vergangenheit als „hochgradiges Mitglied“ der Hitlerjugend. (Wagner s’est plus tard souvent présenté publiquement en tant qu’ancien membre haut gradé des jeunesses hitlériennes).

 

Et la franc-maçonnerie veut nous donner des leçons ? 

fm2.jpg

Leopold Wagner (SPÖ) et Jörg Haider (FPÖ puis BZÖ).

Elisabeth Sabaditsch-Wolff a droit à un article au sein du magazine Wienerin.

new FPO.jpg

Elisabeth Sabaditsch-Wolff doit être reconnaissante envers Veronika Dolna, la journaliste du magazine viennois de gauche NEWS-Magazin. Depuis que cette dernière s’est rendue à un séminaire organisé par le FPÖ au cours duquel Elisabeth Sabaditsch-Wolff a pris la parole à propos de l’islam et que la journaliste a porté plainte contre Elisabeth Sabaditsch-Wolff pour les propos qu’elle a tenu, Elisabeth Sabaditsch-Wolff  est devenue célèbre et a été invitée à Berlin, Washington, Amsterdam, Copenhague, Jerusalem (Voyage de différents représentants de partis patriotiques européens), Paris (Assises contre l’islamisation). Elle a droit à un article au sein du magazine Wienerin.

 

SW1.jpg 

SW2.jpg

Elisabeth Sabaditsch-Wolff 

SW3.jpg

SW4.jpg

Film documentaire en allemand : « HC Strache 100 heures en Israël ».

new FPO.jpg

Autriche. Ce mardi 21 décembre 2010, la chaîne de télévision autrichienne « Puls4 » a diffusé un reportage de presque 50 minutes sur le voyage en Israël de Heinz Christian Strache, le président national du FPÖ.  

Strache.jpg

À gauche : HC Strache.

24/12/2010

La situation du nationalisme croate.

Trpimir Gudar, écrivain nationaliste croate, nous éclaire sur la situation du nationalisme en Croatie.

 

drapeau.jpg

 

Le nationalisme croate est très fort, mais il n’est pas très bien organisé. Il a un potentiel de développement, mais l’obstacle principal est la réticence des nationalistes croates à accepter les idées et les méthodes modernes.

 

La plus grande faction du nationalisme croate est Hrvatska Stranka Prava (Parti croate du droit) qui suit l’idéologie du XIXème siècle d’Ante Starčević, appelée « Pravaštvo ». Le Parti croate du droit a été fondé en 1861 par Ante Starčević, Eugen Kvaternik et Petar Vrdoljak. Il a existé jusqu’en 1929 avec des interruptions et des inactivités temporaires. Le dernier vice-président du Parti croate du droit était Ante Pavelić, qui devint plus tard Poglavnik de l’État indépendant de Croatie. Les adhérents du « Pravaštvo » étaient les membres ou sympathisants du mouvement Ustaša durant les années 1930 et 1940. À l’époque de la Yougoslavie communiste, certaines parties de l’émigration ont essayé d’échapper à la tradition du « Pravaštvo » et de l’ « Ustaštvo », mais la plus grande organisation de Croates dans la diaspora était le Hrvatski Oslobodilački Pokret, mouvement de libération croate fondé par Ante Pavelić en Argentine en 1956, le successeur direct du mouvement Ustaša. En 1990, le groupe de patriotes croates dirigés par Ante Paradžik, un des dirigeants du mouvement étudiant dans les années 1960, refonda le Parti croate du droit (HSP), et le président en devint Dobroslav Paraga. À cause de sa gestion autoritaire et de la politique irrationnelle de ce dernier, beaucoup de membres quittèrent le Parti croate du droit et fondirent de nouveaux partis parmi lesquels figurent le Hrvatska Demokratska Stranka Prava (Parti démocratique croate du droit – HDSP), Hrvatska Čista Stranka Prava (Parti du droit pur croate – HČSP), le Hrvatski Pravaši (Croates de droite – HP),...

 

De nos jours, le Parti croate du droit (HSP) est le plus grand et dispose d’un deputé au sein du Parlement croate. Le Parti du droit pur croate (Hrvatska Čista Stranka Prava – HČSP) détient quelques conseillers municipaux et a de l’influence au niveau local. Les autres partis nationalistes sont l’Autohtona Hrvatska Stranka Prava (Parti du droit croate autochtone – AHSP), Hrvatsko Pravaško Bratstvo (Fraternité des Croates de droite – HPB), le Hrvatska Stranka Prava 1861 (Parti croate du droit 1861 – HSP 1861) qui est conduit par l’ancien dirigeant du Parti croate du droit (HSP) Dobroslav Paraga, et le Parti croate du droit Docteur Ante Starčević (HSP dr.Ante Starčević) dirigé par l’ancien Député Ruža Tomašić.

 

La deuxième faction des nationalistes croates est dénomée « tuđmanovci », d’après le nom de Franjo Tuđman, leur idéologue. Ils glorifient le régime de Franjo Tudman qui a existé au cours des années 1990, ils sont contre l’Union européenne et pour l’Otan. Les principaux partis de cette faction sont Jedino Hrvatska (Seulement Croatie – JH), fondé en 2006 en tant que coalition de quelques petits partis, et  Hrvatski Istinski Preporod (Vrai Renaissance croate - HIP) dirigé par Miroslav Tuđman, le fils de Franjo Tuđman et ancien chef des services secrets croates.

 

Troisième et dernière fraction des nationalistes croates : les ultranationalistes qui se situent à l’opposé des nationalistes de centre-droit « Tuđmanovci » et de droite « Pravaši ». Ils sont dirigés par des intellectuels tels que Mladen Schwartz, le dirigeant de Nova Hrvatska Desnica (Nouvelle Droite croate), le seul parti néo-fasciste croate, Tomislav Sunić (un célèbre théoricien de la nouvelle-droite), Jure Vujić (théoricien de la nouvelle-droite et analyste géopolitique), Zlatko Hasanbegović (une des figures principales de la communauté d’islam croate), Marko Francišković (écrivain catholique), etc.…

 

Ces différentes factions du nationalisme croate coopèrent entre elles et il n’y a pas d’antagonisme.  

 

L’année 2010 a été très bonne pour l’extrême-droite croate. Nacionalni Demokrati, parti nationaliste fondé en 2009 s’est développé. Son président est Dean Golubić.  Le parti a eu quelques succès lors des élections municipales de Zagreb au cours de l’année dernière. Le Hrvatski Nacionalni Front (Front national croate – HNF) a été fondé en avril 2010 en tant qu’organisation des vétérans croates de guerre et de jeunes patriotes. Ils ne sont pas arrivés à devenir une réelle force politique parce qu’ils manquent d’idées et d’initiatives. Ils ont un look d’extrême-droite avec leur style d’habits militaires et des slogans ultranationalistes, mais ils sont des patriotes ordinaires de centre-droit.

 

La plus grande organisation de jeunesse est Hrvatska Starčevićanska Mladež (Mladež HČSP-a – Jeunesses du Parti du droit pur croate).

Tudman.jpg

Franjo Tuđman (1922 - 1999)

Le prisonnier politique György Budaházy ne sortira pas pour la Noël.

Jobbik.jpg

Hongrie. Le prisonnier politique György Budaházy ne sortira pas pour la Noël. C’est ce qu’a décidé la justice hongroise. Le Député européen du Jobbik Krisztina Morvai dénonce les faits et considère que cette décision est cruelle pour les enfants de György.

 

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2010/08/11/int...)  

23/12/2010

UDC Suisse : "L'initiative sur le renvoi doit être appliquée complètement et rapidement."

UDC.jpg

 Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% des voix :

Le comité de l'initiative sur le renvoi et l'UDC ont pris acte des modifications apportées aux modalités de fonctionnement du groupe de travail chargé d'appliquer cette initiative. Les réserves qu'ils ont émises ayant été largement prises en compte par le Département fédéral de justice et police, le comité d'initiative et l'UDC sont prêts à participer au groupe de travail. Leur unique objectif est d'appliquer rapidement et complètement le nouvel article constitutionnel approuvé par le peuple et les cantons.

 

L'UDC et le comité d'initiative ont déjà fait comprendre le soir du dimanche de votation que l'article constitutionnel adopté par le peuple et les cantons devait être appliqué sans réserve. Ils attendent du groupe de travail qu'il poursuive le même objectif et qu'il soumette au DFJP un projet d'application au niveau de la loi qui réponde à cette exigence.

 

Le comité d'initiative et l'UDC délèguent les personnalités suivantes dans le groupe de travail:

 

Manuel Brandenberg, docteur en droit, Executive M.B.L.-HSG

 

Manuel Brandenberg est avocat indépendant et officier public dans le canton de Zoug. Il est membre du conseil communal de la ville de Zoug (législatif) et du Grand Conseil du canton de Zoug. Il occupe également la fonction de président de l'UDC de la ville de Zoug.

 

Gregor A. Rutz, lic. iur.

 

Gregor A. Rutz est entrepreneur indépendant à Zollikon (ZH). Membre du comité pour l'initiative sur le renvoi, il a aussi dirigé le groupe de travail qui a élaboré le texte de l'initiative. Il est également vice-président de l'UDC du canton de Zurich.

Les voeux des ministres FPK du gouvernement de Carinthie.

FPK.jpg

Autriche. Carinthie. Le gouverneur FPK et les ministres FPK du gouvernement de Carinthie présentent leurs voeux pour 2011.

FPK1.jpg

"L'équipe du gouvernement de Carinthie vous souhaite un joyeux Noël et une année 2011 à succès."

Les voeux de Josef Bucher, le président du BZÖ.

BZÖ.jpg

Autriche. Le président du BZÖ présente ses voeux pour 2011.Bu1.jpg

"Joyeux Noël et une bonne année. Josef Bucher, Président national du BZÖ et du groupe parlementaire du BZÖ."

22/12/2010

Carinthie : un village BZÖ a résisté à la vague FPK.

BZÖ.jpg 

new FPO.jpg

Autriche. Carinthie. Deux ans après le décès de Jörg Haider et un an après la transformation du BZÖ de Carinthie en FPK, allié du FPÖ, le BZÖ, constitué des personnes qui n’ont pas voulu rejoindre le FPK, tente de survivre.

À Bad St. Leonhard, 5 des 7 conseillers municipaux de cette municipalité qui compte 5.000 habitants ont voté, à l’époque de la fondation du FPK, pour le maintient au sein du BZÖ. Ils gardent cependant de bons contacts avec le gouverneur FPK de Carinthie.

 

Selon Stefan Petzner, qui dirige le BZÖ de Carinthie, le BZÖ dispose de 60 mandataires en Carinthie, parmi lesquels 4 ou 5 maires adjoints. Une rencontre de ces mandataires aura lieu le 30 janvier 2011 à Velden.

 

Lors de la fondation du FPK, 28 maires BZÖ de Carinthie sont passés au FPK. Le FPK rencontre cependant un problème. Une partie de la population de Carinthie pense que le Gouverneur nationaliste FPK Gerhard Dörfler est toujours au BZÖ.

HC Strache se voit dans la tradition de Bruno Kreisky.

new FPO.jpg

Autriche. Suite à son voyage en Israël, le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache considère qu’il se situe dans la tradition de Bruno Kreisky, l’ancien chancelier socialiste (SPÖ) d’Autriche. (En 1991, le SPÖ, Parti socialiste d'Autriche, est devenu le Parti social-démocrate d'Autriche).

Article Wikipedia sur Bruno Kreisky : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bruno_Kreisky.

Brême : BIW à 5,5% dans un sondage.

BIW.jpg

Allemagne. Brême. Le parti Bürger in Wut (BIW – Citoyens en colère) est donné à 5,5% dans un sondage publié par le Bild. Les élections pour le Parlement du Land de Brême ont lieu dans cinq mois.

Bild1.jpg

Pour qui voterez-vous lors des élections pour le Parlement du Land de Brême en 2011 ?

Karl-Theodor zu Guttenberg demande une rue ou une place Ronald Reagan à Berlin.

CSU.jpg

Allemagne. Le Ministre de la défense Karl-Theodor zu Guttenberg, star de la CSU, demande que le nom de l’ancien Président des Etats-Unis Ronald Reagan soit donné à une place ou une rue de Berlin. La capitale allemande est gouvernée par une coalition rouge-rouge (sociaux-démocrates du SPD et post-communistes de die Linke).

L'usine General Motors d'Anvers ferme ses portes.

Vlaams Belang.jpg

Belgique. Bruxelles. Voici un communiqué de l'Alliance Bruxelloise Contre le Déclin (ABCD), un organisme proche du Vlaams Belang :

 

Noël morose pour 2010 et Mardi maigre en 2011…

 

pour tous les travailleurs de l’usine General Motors d’Anvers (OPEL) qui fermera définitivement ses portes ce 23 décembre. Cette usine, la plus ancienne de G.M. en Europe, occupait plus de 12.000 ouvriers il y a 25 ans et durant son activité (l’une des plus productives du groupe) a construit plus de 13 millions de voitures. Depuis juin 2009, ce sont des dizaines de milliers de personnes qui ont été privées de ressources suite à la décision  de fermeture de cette usine. Après Renault à Vilvorde en 1997, c’est un second coup dur pour le secteur automobile belge…et européen, car l’industrie automobile et l’économie de notre continent vont être confrontées aux dures réalités, en 2011.

 

Plus de 66.000 entreprises françaises auront mis la clef sous le paillasson en 2010 et ce sont des centaines de milliers de travailleurs qui grossiront les rangs d’un chômage structurel qui, loin de se dégonfler, ne fait que croître malgré les déclarations apaisantes des gouvernants.

 

 A qui la faute ?

 

L’OMC, l’UE et les diverses organisations internationales instrumentalisées par les mondialistes, ont ouvert nos frontières et livré nos économies européennes à la concurrence débridée des pays « émergents », depuis 40 ans. Les eurocrates du calibre de Sicco MANSHOLT à Viviane REDING, en passant par Raymond BARRE, Henri SIMONET, Claude CHEYSSON, Etienne DAVIGNON, Edgard PISANI, Jacques DELORS, Abel MATUTES, Karel VAN MIERT ou Pascal LAMY, nous ont construit de véritables cimetières industriels avec une vue imprenable sur un désert économique !

 

Comment réagir ?

 

Face à l’invasion de pneus chinois, les USA viennent d’adopter des mesures de protection du secteur concerné, par crainte de voir encore des dizaines de milliers d’emplois supprimés. Et pourquoi ne pas défendre nos fabricants chez nous ? Pourquoi ne pas rapatrier nos industries ?

 

Est-il impératif que Jeannot DUPUIT règle son réveille-matin (fabriqué au Japon) à 6h? Qu’il se rase avec des lames (made in Israël) pendant que son café coule dans une machine (produite aux Philippines) ? Qu’il s’habille avec une chemise (made in Bengladesh), un jean (fabriqué en Indonésie) et porte des chaussures (fabriquées au Viêt-Nam) ? Après avoir préparé son jus d’oranges (cultivées en Turquie), cuit ses œufs dans une poêle (made in India), croqué des fraises (importation Thaïlandaise) et préparé une banane (du Costa Rica) pour le « petit creux » de 11h, il prend sa calculette (fabriquée au Mexique) pour établir son budget de Noël.

 

En consultant sa montre (produite à Taïwan), il ouvre sa radio (made in China) et démarre sa petite auto (fabriquée en Ouzbékistan) pour se rendre chez un nouvel employeur, entre deux fermetures d’usine…A la fin d’une triste journée, il se verse un verre de vin (produit au Chili) pour accompagner sa viande (élevée en Argentine) et ses légumes (importés du Sénégal). Ayant chaussé ses pantoufles (fabriquées au Brésil) il allume sa télé (L.G ou SAMSUNG) et se demande bien pourquoi il n’arrive pas à trouver un boulot près de chez lui … 

 

Exigeons de connaître l’origine de nos achats. Partout et toujours, préférons les fabrications nationales et à défaut, achetons des produits européens, fabriqués par des européens, pour des européens !

 

B.MAERTENS, porte-parole

 

Ch.ARETTE, coordinateur