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06/10/2010

Pays-Bas : le CDA et le VVD se partagent les postes de ministre.

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Pays-Bas. Le CDA et le VVD recevront chacun 6 postes de ministre. Geert Wilders, dont le parti soutient le gouvernement de l'extérieur, a pu donner son avis à propos du choix des ministres.

Camp national de la Jeunesse Méditerranéenne à Naples.

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Le Camp national de la Jeunesse Méditerranéenne a eu lieu à Naples du 1 au 3 octobre 2010. Il a été organisé par la branche de jeunesse de La Destra. David Rachline du FNJ (Front national de la Jeunesse - France) y a pris la parole. La Destra est donnée à 3% d’intentions de vote dans les sondages.

Voir le site du Le Camp national de la Jeunesse méditerranéenne : http://www.campomediterranea.info/

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05/10/2010

Oskar Freysinger de l'UDC Suisse indésirable en Belgique.

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Voir l'article de TSR : http://www.tsr.ch/info/suisse/2554682-oskar-freysinger-in...

Précisions sur les élections de ce dimanche 3 octobre 2010 en Hongrie.

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(Suite de http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2010/10/03/hon...)

 

Le Jobbik, parti patriotique hongrois, a confirmé son status en tant que troisième parti du pays. Le Jobbik est le principal parti d’opposition dans le Nord-Est de la Hongrie.

Á Tiszavasvári, une ville du nord-est de la Hongrie qui compte 12.000 habitants, le Jobbik détient la majorité au sein du Conseil municipal. C’est dans cette ville, qu’en 2006, Lajos Szögi, un enseignant père de trois enfants, a été assassiné par une cinquantaine de Tsiganes.

László Szemán  du Jobbik est élu maire à Hencida, un village de l’Est du pays, avec 59% des voix. Roland Dervalics du Jobbik est élu maire à Hegyháthodász, un village de l’Ouest de la Hongrie, avec 70% des voix.

Au sein des assemblées régionales, László Toroczkai, le président du HVIM, est élu au sein de l’assemblée du Comté de Csongrád.

L'UDC Suisse et l'armée.

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Ce 5 octobre 2010, l’UDC Suisse a tenu une conférence de presse à Berne à propos de l’armée. L’UDC a présenté sa vision d'une armée de milice forte ainsi qu'un bref document de fond sur ce sujet.

 

L’UDC déclare : « Notre parti tient fermement à la crédibilité de la défense nationale et à l'efficacité de notre armée, gages de la souveraineté et de la neutralité de la Suisse. Il est impératif de planifier et de mettre sur pied, sur la base d'une mission de défense clairement définie, une armée de milice crédible et porteuse d'avenir. Le principe de milice et l'obligation de servir doivent être maintenus en toutes circonstances. Le rapport sur l'armée du Conseil fédéral (gouvernement) présenté la semaine dernière n'apportant aucune réponse satisfaisante quant aux attributions et aux défis de l'armée du futur, il ne peut qu'être rejeté. »

Procès contre l'ancien président du Vlaams Belang (suite).

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Procès du Député européen et ancien Président du Vlaams-Belang Frank Vanhecke. La séance du procès de ce 4 octobre 2010 a consisté, avant tout, en un débat technique. Les plaidoyers débutent le 21 février 2011.

 

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2010/10/04/deb...)

Nouvelles affiches choc de l'UDC Suisse.

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L'UDC Suisse lance, dans le cadre de la votation sur l'expulsion des criminels étrangers, une campagne d'affiches choc.

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Voir le site de la campagne : http://www.criminels-non.ch/

Voir la vidéo de l'UDC :

Futuro e Libertà fidèle au programme du gouvernement.

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« Baptême du nouveau parti de Fini : ‘Pas de colonels, c’est moi qui dicte la ligne’ » (La Repubblica) : « Pas besoin de pacte préalable entre faucons et colombes : dans Futuro e Libertà ‘il n’y en aura pas, surtout pas, aucun colonel : il n’y aura qu’une ligne politique et c’est moi qui en déciderai’, déclare Fini. Mais la rencontre des 8 finiens prévue ce mardi matin à la Chambre pour parapher l’accord préliminaire a déjà été annulée du fait du mécontentement de certains qui contestaient l’idée d’un ‘directoire restreint’. Le comité de lancement, fort de 35 députés, 10 sénateurs et 4 députés européens, se réunira dans l’après-midi. Le comité exécutif, composé d’une dizaine de députés et de sénateurs, devrait voir le jour après la fête de Generazione Italia prévue à Pérouse les 6 et 7 novembre. A. Urso en sera le coordinateur. Après la réunion conjointe des présidents de groupe pour le vote de confiance (qui a, de fait, reconnu le nouveau parti), Viespoli, n° 1 du groupe au Sénat, rassure : ‘il n’y a aucune raison de nous séparer, nous sommes tous fidèles au programme du gouvernement’. Le dépôt formel des statuts du parti devrait intervenir à Milan (preuve qu’il s’agit d’un parti national) le 27 janvier – date anniversaire du ‘tournant de Fiuggi’, qui vit le vieux MSI se changer en AN. Ce mercredi se tiendra enfin le comité des garants d’AN, dépositaire d’un patrimoine d’environ 380 M€. Les finiens comptent en hériter au moins un tiers, mais les ex-courants La Russa-Gasparri et Alemanno se disent prêts à se battre. Selon Urso ‘aujourd’hui naît un parti de centre droit, fondé sur le modèle européen. Il aura le sens de l’Etat et des institutions.’ »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

04/10/2010

Le HC-rap est une deuxième fois de retour sur le net.

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Après avoir été enlevé deux fois, le HC-rap est de retour. Voici l'occasion de confronter la vidéo et la traduction en français.


Le refrain se trouve à la fin du texte.

 

Rot und Schwarz sind Sparemeister,

Les sociaux-démocrates et les conservateurs sont les maîtres de l’épargne,

 

schnallen gern die Gürtel enger,

 

serrant volontier plus fortement la ceinture,

 

nicht bei sich, das wär’ zu einfach.

 

pas la leur, ce serait trop facile.

 

Nur zum Bürger sind sie strenger!

 

Seulement celle du citoyen!

 

 

 

Rauf mit Steuer und Gebühren,

 

Augmentation des impôts et taxes,

 

Rot steht für Belastungswelle!

 

les sociaux-démocrates sont pour des vagues de taxations !

 

Was sie können, ist kassieren,

 

Tout ce qu’ils savent faire, c’est encaisser,

 

sonst sind’s nicht besonders helle.

 

sinon, ils ne sont pas particulièrement brillants.

 

 

 

Islamisten auf dem Vormarsch!

 

Les islamistes sont en marche !

 

Minarett samt Muezzin.

 

Minaret avec muezzin.

 

Das wollen Rote installieren,

 

C’est ce que les rouges veulent installer,

 

aber sonst kein Mensch in Wien!

 

mais sinon personne à Vienne!

 

 

 

Sozis woll’n mich mundtot machen

 

Les socialistes veulent me baillonner

 

weil ich sag, was Sache ist!

 

parce que je dis ce que les choses sont !

 

Du brauchst nur die Heimat lieben

 

Tu as seulement besoin d’aimer ta patrie

 

schreit der Häupl gleich: Faschist!

 

pour que crie immédiatement le Häupl (maire de Vienne) : fasciste !

 

 

 

In den Pflichtschul’n pures Chaos

 

Au sein de l’école obligatoire règne un vrai chaos

 

Als Wiener bist dort ein Exot.

 

En tant que Viennois, tu es là un étranger qui vient de loin.

 

Gangs und Banden machen Terror

 

Les gangs et les bandes créent la terreur

 

Unsere Kinder sind bedroht!

 

Nos enfants sont menacés !

 

 

 

Einbruch, Drogen, Überfälle,

 

Cambriolages, drogues, hold-ups

 

Wien ein Paradies für Banden.

 

Vienne est un paradis pour les bandes

 

Häupl hat trotz Absoluter,

 

Le maire de Vienne n’a absolument

 

von Problemen nichts verstanden!

 

rien compris des problèmes !

 

 

 

Rote Bonzen leben im Luxus,

 

Les bonzes rouges vivent dans le luxe,

 

Privat-Schul’, Penthaus, heile Welt!

 

école privée, penthouse, monde inaltéré!

 

Mit Chaffeur geht’s in die Arbeit,

 

Ils vont au travail avec un chauffeur

 

bezahlt wird das mit unserm Geld!

 

qui est payé avec notre Argent !

 

 

 

Andre Länder, andre Sitten,

 

Autres pays, autres moeurs

 

gerne auch in Istanbul,

 

volontier aussi à Istanbul

 

Istanbul in Wien hingegen,

 

Istanbul incrustée dans Vienne,

 

findet nur der Häupl cool.

 

le maire de Vienne trouve seulement cela cool.

 

 

 

Zu viel Rot und zu viel Fremdes,

 

Trop de Rouge et trop de choses étrangères

 

beides tut hier niemand gut!

 

les deux ne font du bien à personne!

 

Deshalb lautet die Parole:

 

C’est pourquoi le slogan dit:

 

Mehr Mut für unser „Wiener Blut“.

 

Plus de courage pour notre « Sang viennois » (Sang viennois est une valse viennoise de Johann Strauss fils.)

 

 

 

Für die Jungen Arbeit, Hoffnung!

 

Du travail et de l’espoir pour les Jeunes!

 

Für uns alle Sicherheit.

 

Pour nous tous la sécurité

 

Und wer unter Unrecht leidet,

 

Et pour ceux qui souffrent d’injustice,

 

für den will ich Gerechtigkeit!

 

je veux la justice !

 

 

 

Refrain

 

 

 

Eins: Jetzt ist mal Schluss mit lustig.

 

Un : c’en est fini de se moquer de nous.

 

Es geht mit Wien bergab!

 

Vienne coule !

 

Zwei: Der Häupl hat’s verschlafen.

 

Deux : le maire de Vienne s’est endormi

 

Drum wähl’n wir ihn jetzt ab!

 

C’est pourquoi nous le chassons ! (ne votons plus pour lui)

 

Drei: Ganz Wien sagt Ja zu HC.

 

Trois : tout Vienne dit « Oui » à HC (Strache)

 

Weil er die Zukunft ist!

 

Parce qu’il est l’avenir !

 

Vier: Die Roten brauch’ ma nimmer.

 

Quatre : on n’a plus jamais besoin des rouges.

 

Häupl wird Pensionist!

 

Le maire de Vienne à la retraite !

Stefan Petzner regrette l'absence de commémoration officielle pour Jörg Haider.

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Stefan Petzner, le fils spirituel de Jörg Haider et dirigeant du BZÖ en Carinthie, a déclaré qu’il était honteux qu’il n’y ai pas de commémoration officielle en l’honneur de l’ancien Gouverneur de Carinthie Jörg Haider.

UDC Suisse : non au contre-projet inefficace à l'initiative sur le renvoi.

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Face à la volonté de l’UDC de faire organiser une votation sur le renvoi des criminels étrangers, le Parlement suisse à mis au point un contre-projet. Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% :

 

Le comité interpartis Non au contre-projet a tenu conférence de presse aujourd'hui à Berne pour présenter ses arguments s'opposant au contre-projet d'obstruction à l'initiative sur le renvoi. Contenant des dispositions constitutionnelles douteuses, le contre-projet du Parlement n'a aucun effet utile et doit donc être refusé catégoriquement. En réalité il empêche le renvoi d'étrangers criminels tout en ancrant des mesures d'intégrations publiques dans la Constitution fédérale.

 

Le contre-projet empêche l'expulsion systématique des assassins, des violeurs de femmes, des abuseurs d'enfants ou encore des escrocs des institutions sociales. Il donne en effet aux étrangers criminels la possibilité d'invoquer les conventions internationales et le droit des peuples pour empêcher leur expulsion. Cet article ouvre grandes les portes à l'arbitraire. Le droit international public contient en effet une foule de dispositions qui permettent d'éviter une expulsion. Le renvoi de criminels étrangers deviendrait ainsi quasi impossible, car bloqué par d'innombrables voies de recours. Le contreprojet permet en plus aux criminels expulsés de revenir en Suisse après un an déjà. L'initiative sur le renvoi impose une interdiction de séjour de 5 ans au moins.

 

L'UDC a récolté 211 000 signatures en seulement 7 mois pour son initiative sur le renvoi, ce qui est record. Déposée en février 2008, l'initiative demande l'expulsion systématique des étrangers criminels condamnés. L'expulsion serait donc une partie de la peine. Au début, le Parlement a tenté de déclarer non valable cette initiative, préférant fermer les yeux devant la criminalité étrangère croissante. Ensuite, les commissions parlementaires ont discuté d'un contre-projet indirect jusqu'à ce que le peuple ait dit oui à l'initiative contre les minarets. Les partis du centre n'ont réalisé qu'en novembre dernier que le peuple en avait plus qu'assez de la tolérance hypocrite à l'égard des étrangers criminels qui minent la sécurité en Suisse et revendiquent leurs propres régimes légaux. C'est sous la conduite du PLR que l'idée d'un contre-projet direct s'est ensuite imposée. Pour faire monter également la gauche dans la barque anti-UDC, le projet constitutionnel a même été complété par une disposition sur l'intégration qui n'a aucun rapport avec l'expulsion d'étrangers criminels. Le contre-projet contraint ainsi les cantons et les communes à prendre des mesures pour l'intégration des étrangers sans que les cantons n'aient un mot à dire. Ce procédé viole aussi bien le fédéralisme que le principe fondamental de l'unité de la matière.

 

Les personnes qui immigrent en Suisse doivent s'adapter aux conditions locales et respecter nos règles et nos lois. Le contre-projet empêche les expulsions de criminels et ancre des mesures d'intégration étatiques dans la Constitution fédérale. Ainsi, de dangereux criminels étrangers recevront bientôt un passeport suisse au lieu d'être renvoyés. Il faut éviter d'en arriver là.

L'action menée par la police contre la Garde hongroise est illégale.

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La Haute-court de Budapest a décidé que l’action menée par la police contre la Garde hongroise le 4 juillet 2009 est illégale. Ce jour là, alors que la Garde hongroise et ses sympathisants manifestaient pacifiquement contre l’interdiction de la Garde hongroise et pour la libération des prisonniers politiques, la police anti-émeute a arrêté 216 personnes dont le Président du Jobbik Gábor Vona.

Voir la vidéo de la manifestation :

Ce dimanche 3 octobre 2010, HC strache a poursuivi sa campagne électoral à Vienne.

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Ce dimanche 3 octobre 2010, Heinz-Christian Strache, le président du FPÖ et chef de file de son parti pour les élections du Land de Vienne, a participé à différents meetings à Vienne.

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Meeting sur la Kardinal-Nagl-Platz.

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Meeting au Viktor-Adler-Markt. 

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ORF.

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Fête de rue à Simmering.

Procès : Geert Wilders déclare « Les juges sont partiaux.»

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Pays-Bas. Le procès à l’encontre de Geert Wilders devant le tribunal correctionnel d’Amsterdam a repris ce lundi 4 octobre 2010. Geert Wilders a défendu la liberté d’expression puis a refusé de répondre aux questions des 3 juges, faisant valoir son droit au silence.

Jan Moors, le magistrat qui préside l'audience, a déclaré que « Geert Wilders est connu pour être l'auteur de propos osés mais aussi pour éviter tout débat. Il semble que ce soit à nouveau le cas aujourd'hui.» L'avocat de Geert Wilders, Bram Moszkowicz, a aussitôt riposté, estimant que cette remarque tend à démontrer la partialité du juge, et a demandé qu'il soit remplacé. Cette requête a entraîné le report du procès pour une journée au moins, le temps de son examen. Si Jan Moors était autorisé à rester, « il ne s'agirait que d'un procès politique, mais aussi d'un procès inéquitable avec des juges ayant des préjugés » a déclaré Geert Wilders. Le tribunal ne reconnaît pas avoir donné son avis sur le silence de Geert Wilders. « Nous voulions seulement confronter le Sieur Wilders avec l’image qui existe à son propos et lui donner la possibilité de réagir. » Le juge aurait voulu ainsi tenter de faire parler Geert Wilders.

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Geert Wilders devant le tribunal correctionnel d'Amsterdam.

Italie : parcours en pente vers les élections.

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« Parcours en pente vers les élections » (Massimo Franco, Corriere) : « Il semble de plus en plus difficile de croire que cette législature tiendra bon. Toute perspective de compromis sur la réforme de la justice semble caduque après les propos de Berlusconi, hier à Milan, contre une partie de la magistrature et la Cour constitutionnelle. Il ouvre ainsi, de fait, une campagne électorale, derrière la façade des promesses de stabilité que chacun proclame. Il ne manque plus que le casus belli, mais la situation actuelle pourrait l’offrir rapidement. Il suffirait que G. Fini dise non au ‘bouclier’ judiciaire, par exemple. Chaque geste ou propos du PdL, de ses adversaires internes ou de l’opposition, semble désormais empreint d’une forme de résignation à la ‘campagne de printemps’. Au fond, R. Maroni, hier, par son ultimatum des ‘3 semaines’ n’a fait que devancer les convictions, voire la décision de la Ligue et du Palais Chigi. Vérifier ‘jour après jour’ la loyauté des finiens, comme l’a dit Berlusconi, confirme l’équilibre précaire qui domine : le gouvernement est exposé à une menace quotidienne. Le ‘non’ répété du président de la Chambre à une loi pénalisant les magistrats pourrait devenir le fameux test de ‘loyauté’, le pivot entre continuité et crise. L’idée berlusconienne de créer une commission d’enquête contre les magistrats taxés de partialité n’est qu’un avant-goût de ce qui risque de se produire. Peu importe que ce soit impraticable au plan constitutionnel : ce sont autant d’éléments d’une stratégie de crise, à rebours des rumeurs récentes de trêve. ‘Berlusconi se prépare à l’affrontement idéologique’, dit Bersani, n°1 du PD. Les inconnues sont nombreuses, du résultat à l’impact sur la situation économique et au danger, tangible, de conflits institutionnels. Une seule chose est sûre : dans le cas, probable, d’élections, le 150e anniversaire de l’Unité aura du mal à donner l’image d’un pays uni. »

« Elections anticipées, un électeur sur trois vers l’abstention » (Renato Mannheimer, Corriere de dimanche) : « Dans le sondage de cette semaine, la répartition des préférences diffère peu des enquêtes précédentes, hormis la tendance à ‘lâcher’ le PdL et le PD au profit des forces plus petites. Mais le résultat principal porte moins sur le vote que sur le non-vote. Par rapport au passé, les réponses ‘ne sait pas pour qui voter’, ‘ne sait pas s’il ira voter’ et autres ont beaucoup augmenté. Le total de ces expressions d’indécision, voire de refus de l’offre électorale actuelle, frise désormais les 33% (contre 25% avant l’été) : plus d’un Italien sur trois ne veut ou ne peut prendre position sur le parti pour lequel voter. Nouvel indice du processus de montée de la défiance face à la politique, que les développements récents ont accentué. A une question sur ‘la première expression qui vous vienne à propos de politique’, 27,8% des Italiens répondent, sans hésiter, ‘dégoût’ ; presque autant (27,6%) disent ‘ennui’ ou ‘indifférence’ ; pour le reste, les termes qui dominent sont ‘colère’ (20,7%) ou ‘défiance’ (8,1%). 6,3% seulement expriment de l’‘intérêt’ et à peine 2,4% de la ‘passion’. Au total, la politique est vue de façon positive par 16% de l’échantillon, négative par 56% et indifférente par 28%. Mais le résultat le plus intéressant porte sur la comparaison avec le passé. Par rapport à 2007, les réponses suggérant une implication, en bien ou en mal, baissent nettement, et les manifestations d’ennui ou d’indifférence croissent notablement. La distance par rapport à la politique se creuse, notamment dans l’électorat de centre gauche. En cas de nouvelles élections, on peut donc raisonnablement envisager une nouvelle hausse de l’abstentionnisme, peut-être assortie d’un vote accru pour les forces portées à l’anti-politique (Ligue, Grillo, Di Pietro). Autant d’indices de l’écart qui se creuse entre le débat politique et la vie du pays. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Début du procès contre l'ancien président du Vlaams Belang.

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Ce lundi 4 octobre 2010, le procès à l’encontre du Député européen du Vlaams-Belang Frank Vanhecke débute. Il est poursuivi en tant que responsable d’une publication à propos d’un article publié en 2005. L’assignation reconnaît que Frank Vanhecke n’a pas écrit lui-même le texte, mais qu’il est poursuivi en tant qu’éditeur. Une fois de plus, l’État belge reconnaît que la loi contre le racisme n’a pas pour but de combattre le racisme, mais est un instrument de lutte contre le nationalisme flamand.

03/10/2010

Hongrie : le Jobbik réussit son implantation locale.

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Élections municipales et régionales en Hongrie. Budapest : le candidat du Jobbik à la mairie obtient 7.47% des voix et le Jobbik décroche 9% des sièges de conseiller municipal. Le Jobbik emporte quelques mairies à travers le pays, dont une au sein d’une ville de 13.000 habitants située dans l’Est. Le Jobbik a obtenu au moins un conseiller municipal au sein de chacune des 30 grandes villes du pays. Pour le scrutin régional, le Jobbik devance les socialistes au sein de 3 des 22 assemblées régionales. Le Jobbik obtient une soixantaine d’élus au sein des régions. Le Jobbik réussit son implantation locale.  (Résultats en détail : http://valasztas.hu/).

Les députés du Jobbik au Parlement européen proposent György Budaházy pour le Prix des Droits de l’Homme de l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

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György Budaházy, le prisonnier politique le plus célèbre de Hongrie, a été nominé pour le Prix des Droits de l’Homme de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe par les députés du Jobbik au Parlement européen.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2010/08/11/int...)

Vingtième anniversaire de la réunification de l'Allemagne.

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L’Allemagne fête les 20 ans de sa réunification. Le Ministre-président de Bavière et Président de la CSU Horst Seehofer a écrit un texte à ce propos pour l’édition spéciale du Bayernkurier. Il y déclare : « Nous avons toujours cru à l’Unité de l’Allemagne. »

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Suisse : la machine de propagande des autorités et des médias a été relancée

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Voici un communiqué de Martin Baltisser, secrétaire général de l'UDC Suisse : 

 

Le débat persistant sur les étrangers criminels a fait entrer en scène très tôt le Conseil fédéral. Lundi déjà il commence sa campagne contre l'initiative UDC sur le renvoi. Et les médias s'alignent sagement comme de coutume. Cette complicité ou plutôt ce copinage entre les médias et les autorités devient de plus en plus insupportable. Sous le titre de "Anstand und Respekt" (bienséance et respect), le chef politique du "Sonntagsblick", Jürg Lehmann, a publié ce dimanche un commentaire fervent pour soutenir la position du Conseil fédéral contre l'initiative sur le renvoi et pour le contre-projet. Le respect et la bienséance ne lui commandent cependant pas de dire ses lecteurs qu'il est le beau-frère de la nouvelle ministre de la justice, Simonetta Sommaruga, qui, après son entrée en fonction début novembre, devra précisément défendre cette position du gouvernement face au peuple. Quelle belle entreprise familiale!

Monsieur Lehmann ne s'inquiète pas trop non plus de l'exactitude des affirmations qu'il avance. Ainsi écrit-il que le contre-projet est plus "différencié" et permet une "pratique juridique uniforme". C'est le contraire qui est vrai: le contre-projet a exactement le même défaut que le régime légal actuel dans lequel les expulsions sont ordonnées ou, ce qui est le plus souvent le cas, ne pas ordonnées selon le bon vouloir des autorités. Les expulsions restent une mesure administrative que les autorités prennent ou ne prennent pas à leur guise. La situation actuelle serait même détériorée par le contre-projet en ce sens que celui-ci introduit de nouvelles conditions restrictives à l'expulsion. La référence au droit international et aux droits fondamentaux ouvre de larges possibilités de relativisation et d'obstruction qui empêcheront un grand nombre d'expulsions. Dans un cas particulier accordera-t-on plus de poids à "l'unité de la famille" ou au droit de la population à la sécurité? On trouvera toujours un accord de droit public dont une disposition pourrait être invoquée pour s'opposer à une expulsion. Seule l'initiative sur le renvoi uniformise effectivement la pratique juridique, car les étrangers qui auront commis un certain crime seront expulsés systématiquement et sans discussion puisque cette mesure fera partie de la peine. Seule l'initiative sur le renvoi apporte enfin la sécurité du droit attendu depuis longtemps dans ce domaine. Les différences choquantes dans l'application du droit et l'arbitraire qui sévit actuellement dans le domaine des expulsions appartiendront au passé alors que le contre-projet les perpétue.

Intégrer les criminels au lieu de les expulser

S'il est un aspect que les représentants du centre politique n'aiment guère aborder, c'est celui de l'article sur l'intégration qui a été ajouté au contre-projet à titre de concession à la gauche. On les comprend: cette adjonction crée un mélange peu ragoûtant de dispositions sur l'expulsion des criminels et sur l'intégration des étrangers qui, selon le contreprojet, deviendrait une tâche obligatoire de la Confédération, des cantons et des communes. Cet article crée un nouveau droit subjectif qu'un malfaiteur peut invoquer pour empêcher son expulsion sous le prétexte que l'Etat n'a pas fait assez d'efforts pour l'intégrer. Conclusion: les criminels ne seront plus expulsés, mais ils seront intégrés dans la société moyennant d'onéreux programmes d'intégration mis en place par l'Etat et ils auront même une bonne chance de devenir Suisses.

P.S.: le comité interpartis "Non au contre-projet" lance lui aussi sa campagne de votation demain en tenant conférence de presse à Berne.

Visite de HC Strache à la discothèque Nachtwerk.

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Autriche. Vienne. Ce vendredi 1 octobre 2010, Heinz-Christian Strache, le chef de file et tête de liste du FPÖ pour les élections du Parlement du Land de Vienne a visité la discothèque Nachtwerk (http://www.nachtwerk.at/).

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HC Strache à la discothèque Nachtwerk.

La Ligue du Nord met Berlusconi sous pression : « trois semaines d’essai ».

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Italie. Roberto Maroni, le numéro deux de la Ligue du Nord, a déclaré que son parti laisse à Silvio Berlusconi une période de 3 semaines afin de déterminer si son gouvernement est viable avec la majorité parlementaire actuelle. En cas d’élections anticipées, la Ligue du Nord s’attend à une progression de ses résultats.

Fin de campagne du Jobbik.

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En Hongrie, les élections locales et régionales ont lieu ce dimanche 3 octobre 2010.

Voir la vidéo du camion publicitaire du Jobbik :

Geert Wilders à Berlin.

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René Stadtkewitz du parti politique allemand Die Freiheit a invité à Berlin le chef de file du PVV néerlandais Geert Wilders.

Voir la vidéo en allemand de la visite de Geert Wilders à Berlin :

Plus de 500 personnes assistent à la réunion. Geert Wilders s'exprime en allemand. René Stadtkewitz veut discuter avec les opposants qui manifestent devant la salle. Geert Wilders déclare : « Une Allemagne pleine de mosquées et de femmes voilées n'est plus mon amie, n'est plus l'Allemagne de Goethe, Schiller, Heine, Bach, Mendelssohn. Nous ne sommes pas comme Madame Merkel, nous n'acceptons pas l'islamisation. » Les personnes qui parlent ensuite donnent un avis très positif sur Geert Wilders.

02/10/2010

Pays-Bas : le Parti chrétien-démocrate a accepté l'accord avec le VVD et le PVV.

Le Parti chrétien-démocrate néerlandais (CDA) a accepté, lors de son congrès du samedi 2 octobre 2010 à Arnhem, l’accord de gouvernement et de tolérance conclu par le CDA, le VVD et le PVV. Malgré l’opposition de plusieurs personnalités du parti à l’accord, les 4.033 votants se sont prononcés à 68% pour celui-ci.