19/05/2010
Exclu de la CDU pour avoir assisté à un meeting de pro NRW.
![pro NRW.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/00/1001403756.11.jpg)
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18/05/2010
HC Strache et les séniors.
![new FPO.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/01/02/1005425526.30.jpg)
![Strachesenior.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/01/1947701687.jpg)
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Nomination d’un anti-UDC à la tête de la radiotélévision suisse.
![UDC.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/01/01/1637914501.15.jpg)
L'UDC est à la fois surprise et irritée par la nomination du nouveau directeur général de la SSR. Les motivations qui ont conduit à ce choix ne sont objectivement pas défendables. Avec la personne de Roger de Weck, c'est une personne idéologiquement très marquée qui prend la tête de la SSR. Roger de Weck est un des partisans les plus acharnés de l'adhésion de la Suisse à l'UE. Il ne rate pas une occasion pour exprimer publiquement son hostilité primaire à l'égard de l'UDC. En fait, on serait en droit de s'attendre à ce que le nouveau patron de la SSR possède avant tout les qualités d'un chef d'entreprise, d'un homme capable de s'attaquer sans œillères idéologiques aux grands défis que doit relever la SSR. Il s'agit notamment d'assainir les finances de cette institution sans augmenter les redevances radio/TV. Le nouveau directeur de la SSR a aussi pour tâche de veiller à un niveau élevé du service public tout en débarrassant les programmes de productions inutiles au niveau de l'information et de la culture. L'UDC invitera Monsieur de Weck dans les semaines à venir à un entretien en lui demandant de clarifier sa position dans des questions politiques et de gestion d'entreprise ainsi que face à l'UDC.
La SSR est censée jouer un rôle central dans la formation de l'opinion publique en Suisse. Le choix du directeur général de cette institution comporte donc une importante composante politique. Dans la perspective de cette élection, l'UDC s'est engagée pour que cette nomination se fasse non pas uniquement selon des critères politiques, mais aussi sur la base de considérations entrepreneuriales. La SSR a en effet de grands défis à relever. On attend depuis longtemps des réformes fondamentales, soit en particulier la concentration des activités sur le mandat-clé donné à la SSR.
Face à ces exigences objectives, la nomination de Roger de Weck est irritante. De Weck s'est manifesté jusqu'ici comme un observateur et commentateur à forte empreinte idéologique. Il fait partie des partisans les plus acharnés de l'adhésion de la Suisse à l'UE; il est membre fondateur du "Club helvétique" qui vise à restreindre les droits populaires et qui cherchait notamment à faire invalider l'initiative populaire pour l'expulsion des étrangers criminels; toutes les occasions lui sont bonnes pour exprimer son profond mépris à l'égard de l'UDC. En revanche, Roger de Weck aurait du mal à présenter un bilan convaincant de chef d'entreprise. En résumé, Roger de Weck n'est certainement pas qualifié pour occuper cette fonction importante. L'UDC l'invitera néanmoins dans les semaines à venir pour un entretien.
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Italie : la Ligue dépasse pour la première fois les 13% dans les sondages.
![Le Peuple de la liberté.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/01/00/1379935555.33.jpg)
![Ligue du Nord.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/00/1174603390.27.jpg)
« Sur la politique étrangère, la Ligue redessine son identité » (Massimo Franco, Corriere della Sera) :
« Quand Umberto Bossi dit qu’on ne peut ‘s’enfuir’ d’Afghanistan, il se contredit mais fait un pas de plus vers une Ligue de gouvernement et il en fait un autre en ajoutant que, pour la loi de finances, il faudra ‘tenir compte de la volonté de l’UE’ – ‘on ne peut pas perdre aussi l’euro’. Et cette une identité en construction ne peut faire abstraction de la dimension internationale. Lorsque Calderoli, après la mort hier de deux soldats, a demandé qu’on ‘revoie les missions extérieures’ sur la ligne plaidée par la Ligue en septembre 2009, Bossi l’a rectifié : ‘désormais la réalité est différente’. Il en va ainsi sur l’euro : début 2000, Bossi s’en prenait aux technocrates de la BCE ; aujourd’hui, le garant de la stabilité financière et le défenseur de l’euro est Tremonti, son principal allié au PdL. La politique a permis à la Ligue de finir par représenter près d’un électeur centre droit sur trois aux dernières régionales. Le dialogue avec le Vatican, après des années de tensions, le ‘non’ à la sécession (‘désormais, le mot d’ordre est fédéralisme’) en font partie intégrante, comme autant d’éléments tendant à accréditer la Ligue comme une force stabilisatrice, en dépit d’une dureté frisant la xénophobie envers l’immigration clandestine. Pour Napolitano, qui verra Obama le 25 mai à la Maison blanche, la Ligue d’accord sur l’Afghanistan, c’est une anomalie de moins à expliquer. »
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« Gouvernement, on commence à parler d’une ‘table ronde des sacrifices’ » (Ugo Magri, La Stampa) :
« Ces derniers temps, une donnée alarme Berlusconi plus que toute autre : le parti des ‘indécis’ et du ‘non vote’, armée sans visage ni chef qui a pris une ampleur inédite en rassemblant désormais 41 % du corps électoral. Pour l’instant, Berlusconi n’a pas de challenger, mais les sondages indiquent un ‘effondrement à la verticale de la confiance’ envers les dirigeants des partis qui n’épargne personne. L’analyse, pour une fois, est commune aux deux camps : à gauche, seul Di Pietro – proche des 9% – réussirait à gagner du terrain tandis que la Ligue dépasse pour la première fois les 13%, s’affirmant comme vraie force ‘de lutte et de gouvernement’. Berlusconi, conjurer la menace et rallier les électeurs à sa cause, doit parler au pays, expliquer la situation de crise et présenter une stratégie à moyen-long terme, ce que suggérait d’ailleurs Il Giornale hier : ‘Que Berlusconi fasse un effort : qu’il renonce à un peu de sa popularité et sauve l’Italie’. En vérité, il se sauverait lui-même et ne perdrait pas en popularité – d’autant que le PdL tient bon dans les sondages, autour de 35 %, en dépit du tsunami médiatico-judiciaire. »
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(Traduction : ambassade de France à Rome)
17:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pro NRW perce là où il dispose de structures et du personnel adéquat.
![pro NRW.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/02/1001403756.7.jpg)
Au sein de différentes villes et municipalités, le mouvement de citoyens pro NRW a démontré que le barre des 5 % peut être atteinte. Où pro NRW dispose des structures et du personnel adéquat, le parti obtient plus de 5%. C’est le cas à Bergheim où pro NRW a obtenu 5,85% des voix dont 6,20 % à Kenten, 6,99 % à Oberaußem, 8,56% à Thorr et 8,91 % à Quadrath-Ichendorf.
Á Bergheim, les nombreux tracts distribués par pro NRW, la publication d’un organe de presse local ainsi qu’un site internet du parti ont contré la propagande des médias du système.
17:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le FPÖ de Haute-Autriche en progression dans un sondage.
![new FPO.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/00/00/1005425526.36.jpg)
![BZÖ.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/00/00/1186920100.27.jpg)
En cas d’élections pour le Parlement du Land de Haute-Autriche, le FPÖ passerait de 15 à 17% et le BZÖ obtiendrait 1%.
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17/05/2010
Élections municipales au Tyrol du Sud ou Haut-Adige : progression des Freiheitlichen.
![Le Peuple de la liberté.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/01/00/1379935555.32.jpg)
![Ligue du Nord.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/01/1174603390.22.jpg)
![Unitalia.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/00/02/2141746691.jpg)
![Die Freiheitlichen.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/00/1142845202.2.jpg)
![Union für Südtirol.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/02/1152806289.jpg)
![Südtiroler Freiheit.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/00/00/2071340202.jpg)
Municipalités de plus de 15.000 habitants
Les élections municipales ne se déroulent pas de la même manière selon que les municipalités comptent plus ou moins de 15.000 habitants. 4 municipalités ont plus de 15.000 habitants.
Á Bozen / Bolzano, un maire de gauche est élu au premier tour avec plus de 50% des voix. Au sein du Conseil municipal, Le Peuple de la Liberté est le premier parti avec 21,5% des voix et obtient 11 conseillers municipaux. La Ligue du Nord obtient 2 élus, Unitalia emporte deux sièges et la liste Forza Bolzano 1 siège. Le Conseil municipal compte au total 50 sièges.
Au sein des 3 autres municipalités de plus de 15.000 habitants (Meran, Brixen et Leifers), un second tour aura lieu dans deux semaines. Á Brixen, le maire sortant du SVP est mis en ballotage (44,3% contre 15,6%) par Walter Blaas des Freiheitlichen. Á Leifers, la candidate de la gauche est mise en ballotage par le candidat du Peuple de la Liberté Christian Bianchi (32,8% contre 28,1%).
Municipalités de moins de 15.000 habitants
Le SVP, parti de centre-droit dominant dans la région, emporte, comme d’habitude, de nombreux sièges de maire.
Les Freiheitlichen progressent
Ce parti s’est inspiré lors de sa fondation du FPÖ de Joerg Haider. Il a ensuite entretenu des contacts avec le FPÖ de Heinz-Christian Strache. Les Freiheitlichen seront représentés au sein de 56 des 116 municipalités du Tyrol du Sud / Haut-Adige. Jusqu’à présent ils ne disposaient d'élus qu’au sein de 13 conseils municipaux.
Au sein de villes telles que Sterzing, Bruneck ou Brixen, les Freiheitlichen arrivent en deuxième position.
Süd-Tiroler Freiheit perce à Ahrntal
Au sein de la municipalité d’Ahrntal, Süd-Tiroler Freiheit récolte, grâce à de jeunes militants motivés, plus de 30% des voix.
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Résultats par municipalité : http://www.gemeindewahlen.bz.it/
Pius Leitner dirige les Freiheitlichen.
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Pro NRW récolte à Cologne plus de voix qu’annoncé.
![pro NRW.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/01/02/1001403756.8.jpg)
16:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie : pour la Ligue, le seul objectif du moment est le fédéralisme fiscal.
![Le Peuple de la liberté.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/00/02/1379935555.23.jpg)
![Ligue du Nord.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/00/00/1174603390.25.jpg)
« Bossi rejette l’ouverture à Casini : que Berlusconi fasse attention, il est comme Fini » (Claudio Del Frate, Corriere della Sera) :
« C’est à l’occasion d’un simple rendez-vous de son mouvement (un concours de tir à la corde entre Lombards et Piémontais sur les rives du Tessin) que Bossi s’est dit opposé au retour dans la majorité de Casini, allié peu fiable selon lui. Le chef de la Ligue a lancé un vrai appel à serrer les rangs et fermé la porte à tout accord avec Casini : ‘dans l’autre gouvernement, il combinait une embrouille par jour ; mieux vaut rester avec celui qui tient parole pour réaliser les engagements pris envers les électeurs’. Réplique du leader de l’UdC : ‘le renard disait que le raisin n’était pas bon parce qu’il n’arrivait pas à le cueillir.’ Pour la Ligue, le seul objectif du moment est le fédéralisme fiscal. ‘Cette fois, nous y sommes, dans la semaine, le premier acte concret passera au Conseil des ministres’ a déclaré Bossi, enflammant la foule : ‘la classe politique méridionale devra tenir compte de la réalité ; si au lieu d’investir ils continuent à gaspiller, mieux vaut ne plus leur donner d’argent’. Il ne veut pas entendre parler de ralentissement de la feuille de route du fédéralisme à cause de la crise financière : ‘L’Europe va forcer Tremonti à une correction budgétaire lourde mais le fédéralisme fera économiser de l’argent à l’Etat et les délais devront être respectés’. Hier, on a vu un Bossi prêt à montrer ses muscles, comme au tir à la corde. »
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« Berlusconi face au thème de la légalité » (Il Sole 24 Ore de dimanche) :
« Qui a pu approcher Berlusconi ces dernières heures le décrit toujours plus furieux et déçu. L’amertume est grande envers Scajola, Verdini, Bertolaso : ils avaient sa confiance et l’ont trahie. Non, pas Bondi ! Envers le ministre-poète, le Cavaliere se montre serein, sûr que le fidèle Sandro réussira à démontrer son innocence. Mais Berlusconi est inquiet et craint que ce ne soit que le début. L’appréhension grandit, accrue par les rumeurs sur Gianni Letta. Il ne sait ce que l’avenir lui réserve. Pour l’instant, pas question de repartir de zéro ni d’aller à des élections : le moment n’est pas propice. ‘Maintenant, il faut regagner du terrain face aux électeurs en leur apportant des résultats’. Il s’est hâté d’envoyer ses hommes démentir l’hypothèse d’un ‘nettoyage’ général. Une de ses craintes est de se faire ‘doubler’ par la Ligue sur le front de la légalité. Il va répétant ‘nous ne pouvons pas nous faire donner de leçons’, désorienté par l’activisme de la Ligue qui marque ses distances face aux malversations révélées par les enquêtes. Sans compter que sur le terrain de la légalité, le Cavaliere est aussi confronté à l’offensive des finiens. Hier, Bocchino, ex-n°2 du groupe PdL à la Chambre, a mis la majorité au pied du mur : ‘Que le PdL démontre par des faits qu’il est vraiment le parti de la légalité en isolant les responsables éventuels des épisodes nuisant à son image’. Schifani, président du Sénat, a rejoint les finiens pour demander l’accélération du projet de loi anti-corruption. Tel sera donc le premier test de la possibilité d’un dégel entre les deux co-fondateurs du PdL. L’issue est incertaine, mais face à la Ligue, le Cavaliere sait qu’il a aussi besoin de Fini. »
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« Le gouvernement Tremonti – vrai président du Conseil de salut public » (Stefano Cappellini, Il Riformista de dimanche) :
« Il y a quelques jours, un député PdL, se voulant l’interprète de tout le groupe, finiens compris, ironisait : ‘Le seul à ne s’être pas rendu compte que nous avons déjà un gouvernement Tremonti, c’est Berlusconi’. C’est lui que Bossi a désigné comme l’ultime rempart inexpugnable d’un exécutif acéphale et ébranlé par les scandales et à qui il a confié le dossier le plus cher à la Ligue : le fédéralisme fiscal. Engagé sur une ligne de restriction de la dépense, Tremonti a pour mission de protéger l’Italie des risques de contagion et de défaut. Calderoli, comme tout l’état-major de la Ligue, n’admettra jamais qu’une partie des ‘sacrifices’ anticipés servent à rendre financièrement praticable la route vers le fédéralisme – une route pavée d’or, qui contraindra Tremonti à serrer les cordons de la bourse au risque à la fois de faire trembler les comptes publics et de rendre beaucoup moins digeste la rigueur imposée aux autres. Gianfranco Fini l’a bien compris, lui qui a choisi de mettre au sommet des priorités la bataille contre le passage au fédéralisme fiscal. »
(Traduction : Ambassade de France à Rome)
16:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le FPÖ dénonce les pratiques de l'ORF.
![new FPO.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/01/02/1005425526.29.jpg)
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UDC Suisse : Résistez, s'il vous plaît!
![UDC.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/01/01/1637914501.14.jpg)
par Martin Baltisser, secrétaire général UDC Suisse
C'était prévisible: en marge du programme de stabilisation de la monnaie européenne des voix se sont élevées pour faire pression sur la Suisse afin qu'elle augmente ses contributions financières. Aussi grossières que bruyantes, ces interventions témoignent surtout d'une ignorance crasse de la situation réelle - la Suisse apporte déjà une contribution financière notable à l'euro via le Fonds monétaire international (FMI). Mais il suffira quelques jours à l'UE pour se concerter et cibler ses revendications plus précisément. Le Conseil fédéral fait preuve - pour le moment en tout cas - de fermeté (il a agi de la même manière dans d'autres cas avant de s'écrouler). Mais en déclarant qu'il n'avait pas reçu de demande officielle jusqu'ici de la part de Bruxelles, le gouvernement suisse n'oppose pas un refus clair et net, mais signale plutôt qu'il est prêt à discuter. On ose espérer que pour une fois au moins il ne fasse pas passer les contribuables suisses à la caisse pour payer les erreurs de l'UE.
La participation de la Suisse au programme de stabilisation du FMI en faveur de la Grèce et de la zone euro est déjà suffisamment irritante. Bien sûr, il ne s'agit "que" de garanties accordées par la Banque nationale suisse, mais en fin de compte ces moyens financiers ne sont plus à disposition pour d'autres engagements et, en cas de perte, le contribuable suisse serait tout de même touché du fait que les dividendes versés par la BNS diminueraient. L'UDC avait à l'époque refusé l'adhésion au FMI dont l'utilité pour la Suisse est plus que douteuse. Le bien-fondé de ce scepticisme est confirmé aujourd'hui. Le Parlement serait bien inspiré d'examiner d'un œil critique d'éventuels nouveaux crédits accordés au FMI au lieu d'accepter sans discuter les propositions du Conseil fédéral.
Pour l'UDC, il est hors de question que la Suisse verse des contributions financières aux pays de la zone euro au-delà du cadre du FMI. Si la Suisse est en bonne position aujourd'hui face à la crise économique et financière, c'est parce qu'elle a plus au moins bien réussi à contrôler ses finances et qu'elle a mené une politique monétaire indépendante et efficace. La majorité des Etats de la zone euro n'ont pas fait leur travail et ont abandonné les grands principes qu'ils se sont donnés. On entend déjà des voix proposant une fuite en avant sous la forme d'une intégration encore plus forte des pays euro avec à la clé une centralisation de la politique économique et financière. Il n'est dès lors pas étonnant que la crise actuelle ait provoqué des tensions politiques internes dans la zone euro. Et comme de coutume en pareil cas, les politiques lancent des accusations contre l'étranger pour détourner l'attention de leurs propres défaillances. La Suisse a largement fait l'expérience de cet état d'esprit durant les années écoulées. Ce qui serait nouveau, en revanche, c'est que le Conseil fédéral ne se laisse pas intimider par ces gesticulations et qu'il reste ferme.
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65 ans de " 't Pallieterke".
Belgique. L’hebdomadaire national-flamand Pallieterke fête ses 65 ans. ’t Pallieterke paraît chaque mardi.
Le site internet de « 't Pallieterke » : www.pallieterke.info
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16/05/2010
Elections municipales au Tyrol du Sud ou Haut-Adige.
![Le Peuple de la liberté.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/00/02/1379935555.22.jpg)
![Ligue du Nord.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/02/1174603390.21.jpg)
![Unitalia.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/00/01/2141746691.jpg)
![Die Freiheitlichen.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/01/1142845202.jpg)
![Union für Südtirol.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/01/02/1152806289.jpg)
![Südtiroler Freiheit.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/02/2071340202.jpg)
Italie. Des élections municipales ont lieu ce dimanche au Haut-Adige ou Tyrol du Sud. Voici les listes en présence selon les municipalités :
http://www.gemeindewahlen.bz.it/preindex_ld_vg.htm
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Le Haut-Adige ou Tyrol du Sud est une région peuplée de germanophones et de personnes parlant l'italien.
Au sein de 111 des 116 municipalités du Tyrol du Sud ou Haut-Adige de nouveaux conseils municipaux et maires sont élus ce dimanche 16 mai 2010. Au sein des municipalités de Feldthurns, Abtei, Brenner, Mals et Plaus, les élections ne sont pas organisées car elles ont eu lieu de manière anticipée.
Le SVP, un parti germanophone de centre-droit qui domine la région, mène le jeu. En 2010, il y a 20 municipalités au sein desquelles le SVP est le seul parti qui présente des listes, contre 32 en 2005.
![Tyrol du Sud.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/01/1322332493.jpg)
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Les listes patriotiques :
Les Freiheitlichen sont présents sur les listes de 56 municipalités dont celle de Bozen / Bolzano. Ils présentent 27 candidats aux postes de maire dont un à Bozen / Bolzano.
Südtiroler Freiheit se présente au sein de 31 municipalités. C’est un parti issu, en 2007, d’une scission au sein du parti Union für Südtirol. Le Député de Südtiroler Freiheit au Parlement du Land Sven Knoll est candidat maire à Meran et Evan Klotz à Brixen.
Union für Südtirol est présente sur les listes au sein de 21 municipalités et son dirigeant, Andreas Pöder, est candidat à la mairie de Lana.
Le Peuple de la Liberté se présente au sein de 11 municipalités et la Lega Nord Südtirol (Ligue du Nord du Tyrol du Sud) au sein de 9 municipalités. Unitalia est aussi présent.
![Stadt.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/02/830561901.jpg)
16:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
La CSU participe aux Deuxièmes Journées œcuméniques de l’Église à Munich.
![CSU.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/00/1797427598.3.jpg)
![seehoferCSU.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/00/00/468440078.3.jpg)
Horst Seehofer est le ministre-président de la Bavière et le président de la CSU : « Valeurs chrétiennes – une boussole pour l’avenir ».
![CSUbiergarten.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/00/1624778482.jpg)
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15/05/2010
Organes de presse du BNP.
![BNP.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/00/02/1157823473.8.jpg)
![Identity.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/01/00/1048345461.jpg)
![Voice of Freedom.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/00/01/1294153909.jpg)
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14/05/2010
Italie : Fini s’organise : ‘mais pas d’embuscades’.
![Le Peuple de la liberté.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/02/1379935555.20.jpg)
![Ligue du Nord.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/00/1174603390.26.jpg)
Entretien avec R. Cota et L. Zaia, gouverneurs (Ligue) du Piémont et de Vénétie dans La Stampa : « Le Nord n’a pas à payer pour les erreurs des autres » :
« Nous faisons des sacrifices et ne pouvons accepter qu’on se moque de nous. Tolérance zéro contre ceux qui ne respectent pas les contraintes. Nos électeurs veulent rigueur, efficacité et lutte contre le gaspillage. Le fédéralisme est une véritable prise de responsabilités, disait Napolitano, et la responsabilité commence par les choses concrètes. S’il y a des trous dans le budget de la santé, c’est parce qu’on n’a jamais eu le courage de rationaliser en fermant les établissements hospitaliers indignes de ce nom, en investissant dans la technologie et l’innovation. Nous ne voulons pas enfoncer la Campanie ou la Calabre, mais les rappeler à leurs responsabilités. Ces régions devront en passer par les corrections budgétaires que nous avons faites. Ces dernières années, la Calabre a reçu plus de ressources que la Vénétie pour la santé, mais les résultats sont là. Les seuls à ne pas être responsables sont les 4 nouveaux gouverneurs qui héritent d’une situation désastreuse. Il faut maintenant un sursaut dans les mentalités : tirons un trait et repartons de là. Le Sud n’est pas ainsi car il a moins reçu, mais car il a eu plus et a mal utilisé les fonds, résultat de classes dirigeantes qui ont semé la dévastation. »
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« Fini s’organise : ‘mais pas d’embuscades’ » (Paola di Caro, Corriere della Sera) :
« Le grand froid se poursuit entre Berlusconi et Fini, mais ce dernier se veut clair : quiconque pense qu’il pourrait chercher ‘à faire tomber le gouvernement, à rester embusqué et à compliquer l’action du gouvernement, n’a absolument rien compris’. Une déclaration presque forcée puisque, hier, la complexe galaxie finienne a vu une série de naissances, de baptêmes et d’évolutions de planètes qui pourraient faire penser à mal. Après son refus de rencontrer Verdini comme médiateur, Fini a été hier l’hôte d’au moins trois initiatives de cercles qui lui sont très proches. D’abord, plus de 30 parlementaires, finiens pour la plupart et anciens de Forza Italia pour 6 d’entre eux, qui ont formé la fondation Spazio aperto pour débattre sereinement des thèmes lancés par le cofondateur, sous l’égide d’Augello et Moffa : l’idée est de rapprocher les chefs sur la base d’un large accord sur des points durs – justice et question morale, fédéralisme fiscal, organisation du parti en vue du congrès ; elle a tout de suite plu à Berlusconi tout en suscitant des soupçons chez les ex-colonels de Fini. Dans le même temps, Generazione Italia, structure par cercles s’adressant aux ex-cadres d’AN et dirigée par I. Bocchino, a annoncé sa nouvelle direction : 25 députés, 6 sénateurs et 4 parlementaires européens très fidèles à Fini et décidés à étendre les cercles et les adhésions. En somme, si Spazio Aperto représente la force diplomatique de Fini, Generazione Italia est son armée. Vient s’y ajouter une troisième créature : Area Nazionale de R. Menia, composante qui se donne pour objectif d’agréger ce qui était la droite pure et dure d’AN et du MSI. »
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« Pour la première fois, la Ligue paraît soutenir Tremonti plus que Berlusconi » (St. Folli, Il Sole 24 Ore) :
« Le propos de Bossi, qui parle rarement par hasard, frappe : ‘Le gouvernement ne tombera pas car nous sommes là pour le soutenir : la Ligue et Tremonti.’ Le seul fait d’évoquer une possible crise gouvernementale, fût-ce pour la nier, donne à réfléchir. Mais surtout Tremonti est cité non comme simple ministre de Berlusconi, mais comme figure centrale dotée d’une forme d’autonomie par rapport au PdL dont il relève formellement, et en qui la Ligue reconnaît un point de repère irremplaçable. Bossi a choisi : il appuiera les mesures imposées par la crise ; naguère eurosceptique, son parti est désormais converti à la rigueur dans l’intérêt de l’Europe (comme Tremonti, ex-eurosceptique). Certes, la centralité du ministre de l’économie résulte de l’urgence financière, mais, de fait, le centre de gravité du gouvernement est transféré Via XX settembre et l’axe Berlusconi-Bossi en partie occulté (et à terme surplombé) par l’axe Bossi-Tremonti, que cela plaise ou non à Berlusconi. Le Cavaliere se retrouve les mains liées. Pour la première fois, sa tâche est d’arrière-garde : démêler le réseau Anemone en évitant de finir étouffé par les révélations et les soupçons visant des proches, au risque que passe dans l’opinion l’idée d’un vrai ‘système’ affairiste – thèse de l’opposition et péril pour Berlusconi. D’où l’intérêt lui d’une contre-offensive sérieuse : pour limiter les dégâts et récupérer la scène médiatique, il lui faut séparer son propre destin de celui d’un certain nombre de collaborateurs avant qu’il ne soit trop tard. Il ne peut apparaître comme celui qui favorise l’omertà et protège les suspects. Une petite ‘révolution culturelle’ est nécessaire, y compris pour ne pas laisser à Fini l’espace de la défense de la légalité façon ‘loi et ordre’. Mais le temps est compté et le risque de fragilisation toujours grandissant. »
(Traduction : ambassade de France à Rome.)
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Belgique : campagne "Les Flamands d’abord."
![Vlaams Belang.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/01/01/179916166.11.jpg)
Le Vlaams Belang a présenté, ce mardi, sa campagne en vue des élections législatives du 13 juin 2010. L’événement a eu lieu au cœur de Bruxelles. Bruno Valkeniers et Filip Dewinter ont distribué des textes et des explications.
Le slogan de campagne est « Les Flamands d’abord ».
Voir la video : http://www.youtube.com/watch?v=Q31FhlrpyHI&feature=pl...
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Italie : Tremonti et Fini ont gagné des marges de manœuvre.
![Le Peuple de la liberté.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/00/00/1379935555.32.jpg)
« Pourquoi Tremonti et Fini ont plus d’espace dans un scénario qui change » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) :
« Dans le nouveau contexte politique qui se dessine, deux hommes focalisent l’attention : G. Tremonti et Gf. Fini. Le premier a été projeté à l’avant-scène par la crise grecque : position incommode mais cruciale, le ministre de l’économie étant au centre des choix à venir (25 Md€ d’ajustement) et l’interlocuteur obligé du Parlement, centre gauche inclus. Car la défense de l’euro intéresse aussi l’opposition : si les 2 ou 3 ans à venir sont sous le signe de l’austérité, comment le centre gauche pourra-t-il laisser seul le ministre engagé dans la défense des finances publiques et, au fond, de l’Europe ? La ligne de la rigueur butera d’ailleurs sur des difficultés au sein même du centre droit, au PdL plus qu’à la Ligue. Le texte ‘Grèce’ devrait être adopté à l’unanimité du Sénat, un premier signe : pour la première fois, majorité et opposition discuteront sérieusement des exigences liées à la crise – en attendant le débat sur le collectif bugétaire. Quant à Fini, rien d’étonnant à ce qu’il ait ignoré les signaux de paix un peu confus émis par le président du Conseil. A ce stade, celui qui voudrait clore l’affaire est Berlusconi, inquiet des enquêtes assaillant ses hommes et soucieux de ne pas être exposé sur deux fronts : d’un côté Fini, dont les idées contribuent à fragiliser le gouvernement et son chef ; de l’autre Tremonti, dont l’autonomie de décision grandit. Or l’intérêt de Fini est inverse, d’où le caractère improbable d’une pacification. La crainte – justifiée – du président du Conseil d’être acculé ‘comme en 1994’ l’aurait poussé, en d’autres temps, vers le scrutin anticipé dont il rêve. Mais la Grèce a modifié le paysage : difficile d’imaginer des élections au beau milieu d’un ajustement budgétaire douloureux pour les citoyens, a fortiori avec diverses enquêtes pendantes. De fil en aiguille, Tremonti et Fini ont gagné des marges de manœuvre. »
21:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
Burgenland : des panneaux du FPÖ vandalisés.
![new FPO.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/01/01/1005425526.25.jpg)
Autriche. Le FPÖ du Burgenland mène une campagne électorale en vue des élections pour le Parlement du Land. Le parti attache aux arbres situés le long des routes des panneaux grandeur nature des deux candidats de tête du parti.
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2.000 panneaux supportant l’affiche de Johann Tschürtz et Ilse Benkö sont disséminés à travers le Land. Une vingtaine de ces panneaux ont fait l’objet d’attaques de vandales.
"Le Burgenland t'appartient. Nous combattons pour cela. FPÖ. Le Parti social-patriotique."
17:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
Oslo Freedom Forum 2010.
Norvège. Lors du Oslo Freedom Forum 2010, la dirigeante du Parti du progrès, Siv Jensen, a introduit Lubna Al – Hussain lors de la cession « Héros des droits humains », le 29 avril 2010 au théâtre Christiana.
Lubna Al- Hussain est une journaliste soudanaise et une activiste qui a été persécutée en 2009 pour avoir porté des pantalons. Elle a refusé de plaider coupable et a demandé un procès. Lorsqu’elle a été condamnée à une amende, elle a refusé de la payer et est restée en prison. Le gouvernement soudanais l'a cependant faite libérer afin d’éviter des embarras sur la scène internationale.
Lubna Al- Hussain
16:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les candidats du Vlaams Belang à la Chambre des représentants.
![Vlaams Belang.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/01/02/179916166.8.jpg)
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Anvers :
http://vlaamsbelang.org/files/20100514kamerlijstantwerpen.pdf
Limbourg :
http://vlaamsbelang.org/files/20100514kamerlijstantwerpen.pdf
Flandre orientale :
http://vlaamsbelang.org/files/20100514kamerlijstoostvlaanderen.pdf
Flandre occidentale :
http://vlaamsbelang.org/files/20100514kamerlijstoostvlaanderen.pdf
16:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les candidats du Vlaams Belang pour la liste du Sénat.
![Vlaams Belang.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/01/01/179916166.10.jpg)
Parmi les candidats effectifs :
1. Filip Dewinter
2. Anke Van dermeersch
5. Karim Van Overmeire
23. Hilde de Lobel
25. Hugo Coveliers
Parmi les candidats suppléants :
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14. Marijke Dillen
Voir la liste complète :
16:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le PVV suspend toute activité politique jusque lundi.
![PVV.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/00/00/712637630.12.jpg)
15:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
13/05/2010
La présidente du Parti du progrès rencontre des ambassadeurs du monde arabe.
![Fremskritt.jpg](http://lionelbaland.hautetfort.com/media/02/00/814784385.2.jpg)
Le 5 mai 2010, la Présidente du Parti du progrès (Norvège) Siv Jensen a parlé lors d’un repas organisé par le Conseil des ambassadeurs arabes de Norvège.
Des représentants des ambassades du Maroc, du Soudan, d’Algérie, de Tunisie, d’Irak et de Palestine (OLP) étaient présents.
Siv Jensen rencontre des représentants des ambassades.
21:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
Réunion patriotique au Japon au mois d'août 2010.
Une rencontre de mouvements patriotiques va avoir lieu au Japon à l’invitation du mouvement nationaliste nippon Issuikai du 11 au 18 août 2010.
Des patriotes venus d’Espagne, de Hongrie (Jobbik), de Flandre – Belgique (Vlaams Belang), d’Italie (Fiamma Tricolore), d’Ukraine (Svoboda), de Bulgarie (Ataka), du Portugal (PNR), du Royaume-Uni (BNP), de France (Bruno Gollnisch) seront présents.
20:57 | Lien permanent | Commentaires (0)