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17/04/2010

Commémoration des victimes de Niederkaina.

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Allemagne. Saxe. La DSU organise en collaboration avec l’association Arbeit-Familie-Vaterland (Travail-Famille-Patrie), le SVP et le FPD une commémoration avec dépôt de couronne à l’occasion du 65ème anniversaire du Massacre de Niederkaina le 22 avril 2010 à 19h, devant le monument situé à Niederkaina. 400 personnes y ont été massacrées par l’Armée rouge en 1945.

16/04/2010

Fini : "Bossi se voit comme le patron de la majorité".

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« Berlusconi - Pour moi, Fini peut faire ce qu’il veut » (Amedeo La Mattina, La Stampa) :« Lorsqu’il est vraiment très en colère, Berlusconi paraît en fait d’un calme olympien. Hier, un déjeuner à Montecitorio a été l’occasion d’une longue diatribe de Fini contre Bossi qui se voit, selon lui, comme le ‘patron de la majorité’, la Ligue souhaitant récupérer les banques et les prochaines nominations publiques. Pendant ce temps, le PdL perd des voix dans le Nord et manque d’une identité forte. Selon Fini, ‘Bossi fait son travail, alors que le PdL ressemble à un fantôme et nous faisons bien peu dans le Sud’. Berlusconi a eu beau répondre qu’il jouerait un rôle central dans la saison des réformes qui s’ouvre, Fini ne croit plus à ses promesses ni à ses bonnes intentions : il se sent exclu des décisions importantes. Pendant le déjeuner, il a annoncé vouloir créer un groupe parlementaire autonome s’il ne constatait pas de changement. Berlusconi a riposté que cela signifierait un abandon ‘de la présidence de la Chambre, à laquelle il a été élu grâce aux voix du centre droit’. Des propos qu’il a ensuite démentis, ce que les finiens ont interprété comme une volonté de sa part de ne pas aller jusqu’à la rupture, mais le Cavaliere est déterminé à ne pas céder : ‘je ne dois en aucun cas leur donner de réponse’. »
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Entretien avec I. Bocchino, finien, vice-président du groupe PdL, dans La Repubblica – « Nous sommes prêts à faire les comptes dans le parti. Bossi draine toutes les voix » : « C’est ce que dit I. Bocchino après l’affrontement entre S. Berlusconi et le président de la Chambre. ‘Nous nous sommes limités à poser des questions politiques au président du Conseil. Si nous n’avons pas de réponses, ce sera la rupture et nous donnerons naissance au groupe PdL-Italia, qui continuera à soutenir le gouvernement et à faire partie de la majorité. Jusqu’à présent, nous avons mené une politique économique et sociale peu agressive surtout dans le Sud. Dans le nord, la coalition est à la remorque de la Ligue, avec comme conséquence le drainage des voix en faveur du Carroccio (Bossi). Il n’y a aucun risque de crise de gouvernement. Je trouve déplacé ce qu’a déclaré hier, à ce sujet, R. Schifani, président du Sénat, parce que nous ne retirerons pas même une voix à la majorité sur toutes les questions du programme du gouvernement. Berlusconi soutient que Fini n’a pas les ressources nécessaires pour créer des groupes autonomes, la question du nombre est un faux problème. Nous sommes le double de ce qu’ils pensent et, s’il le faut, on fera les comptes. »

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Entretien avec A. Matteoli, ministre des Infrastructures, dans le Corriere Della Sera – « Non Gianfranco, moi je suis bien dans le PdL » : « ‘Je reste au PdL, je n’ai aucune intention d’adhérer à une scission’. Matteoli est depuis toujours un proche de l’ancien leader d’AN, celui à qui GF Fini a toujours demandé conseil avant de prendre une décision importante. Mais Matteoli s’est mis du côté du Cavaliere, au prix de se retrouver contre le président de la Chambre. ‘Fini attend une réponse du président du Conseil, j’espère que nous n’arriverons pas à la rupture. Si ce que dit Fini est vrai tout peut encore s’arranger. Mais si les groupes parlementaires de Fini voyaient le jour, la situation politique changerait, et alors il n’est pas dit que des élections anticipées ne soient pas une solution. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

La presse attaque un autre candidat du PVV.

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La presse a présenté une photo de Joram van Klaveren avec un pistolet sur sa tempe. Joram van Klaveren est le 17ème candidat sur le liste du PVV.  Cette photo est prise dans une classe d’école.
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Il s’agit en réalité d’une photo qui a été réalisée lors d’une pièce de théâtre qui a eu lieu dans une classe et dont le sujet est un braquage de banque.

Meeting du FPÖ à Salzbourg.

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Lors du rassemblement électoral du FPÖ, en vue de l’élection présidentielle autrichienne, à Salzbourg, 150 à 200 sympathisants du FPÖ ont assisté au discours du Président du FPÖ Heinz-Chrsitian Strache et de la candidate à l’élection présidentielle, Barabara Rosenkranz.

 

400 à 500 personnes ont contre-manifesté. La police a tenu les contre-manifestants à l’écart de la manifestation. Il n’y a pas eu d’incidents entre les deux groupes.

 

Heinz-Christian Strache a affirmé qu’il se tenait totalement derrière Barbara Rosenkranz. La presse a prétendu qu’il y avait des problèmes entre Heinz-Christian Strache et Barbara Rosenkranz parce que Heinz-Christian Strache n’était pas présent lors du meeting de lancement de campagne. Heinz-Christian Strache n’était pas venu parce qu’un membre de sa famille était malade et que pour lui la famille est la priorité.

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Barbara Rosenkranz et Heinz-Christian Strache.
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Heinz-Christian Strache s'adresse au public.

Le FPÖ de Styrie désigne sa tête de liste pour l'élection du Parlement du Land.

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Autriche. Le candidat de tête du FPÖ pour l’élection du Parlement de Styrie sera le President du FPÖ du Land et Député national Gerhard Kurzmann. Les élections auront lieu le 26 septembre 2010. Le but déclaré du FPÖ est l’entrée au Parlement du Land.
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Gerhard Kurzmann

Convention du BZÖ à Vienne le 2 mai 2010.

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Une convention fédérale du BZÖ aura lieu à Vienne le dimanche 2 mai 2010 de 11h à 15h.
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« Le BZÖ est le mouvement de réforme qui s’engage en faveur des classes moyennes prêtes à la performance, pour les citoyens et le droit à la liberté et contre la toute puissance de l’État ».

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L'invitation. Josef Bucher, le président du BZÖ.

Démenti de Stefan Petzner.

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Stefan Petzner dément les informations parues dans la presse autrichienne disant qu’il a abandonné le poste de secrétaire général BZÖ parce qu’il s’est disputé avec le président du BZÖ. Stefan Petzner a simplement quitté cette fonction pour se consacrer à la politique en Carinthie.

15/04/2010

Le candidat numéro 9 de la liste du PVV de Geert Wilders se retire pour raison médicale.

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Il semblerait que ce candidat soit l’auteur d’un livre que l’éditeur a retiré, l’année dernière, juste avant la date de parution prévue parce qu’il contenait des informations dont on peut douter. Le livre tentait d'éclairer le meurtre d'un enfant survenu en 2001.

 

La presse avait également trouvé une erreur dans l’annonce du diplôme que le candidat prétend avoir obtenu.

Barbara Rosenkranz vise les 17% des voix.

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Autriche. La candidate du FPÖ à l’élection présidentielle Barbara Rosenkranz a déclaré avoir pour objectif de récolter 17% des voix.

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Barbara Rosenkranz, candidate du FPÖ à l'élection présidentielle.

Umberto Bossi veut la direction des banques du Nord.

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« Ce que veut Bossi : plus de pouvoir et une identité bien distincte » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « U. Bossi a le don, comme à son habitude, d’indiquer un objectif vague et lointain quand, en réalité, son intérêt est proche et bien concret. S’il a récemment émis l’hypothèse de présenter sa candidature à la mairie de Milan, puis proposé, hier, le scénario d’un président du Conseil léghiste en 2013, ce qui l’intéresse réellement est évident : rappeler à tous combien la Ligue a pris d’importance après les régionales et que le pouvoir est à distribuer dans le nord, surtout au niveau des banques – il est explicite à cet égard. Mais ce n’est pas tout : le vieux leader est assez rusé pour savoir que l’identité léghiste doit être réaffirmée jour après jour face à l’encombrant allié Berlusconi, la Ligue étant jalouse de son autonomie et de son indépendance. En gros, Bossi a rappelé à Berlusconi que oui, son alliance avec la Ligue est solide mais qu’il ne s’agit pas d’une donnée acquise à jamais et qu’il faut en payer le prix. Les objectifs de la Ligue du nord sont en réalité pragmatiques : une meilleure distribution du pouvoir financier, le fédéralisme – notamment fiscal, un mode de scrutin identique à l’actuel, vu ses résultats – point clef qui le rapproche de Berlusconi et l’éloigne naturellement du centre gauche et même de Fini. On est en droit de s’interroger : comment la Ligue pense obtenir l’accord du PD sur les réformes si elle n’entend pas mettre sur la table le mode de scrutin ? A moins que… cela ne soit gardé de côté comme monnaie d’échange au moment où il sera vraiment temps de traiter avec l’opposition. Nous verrons mais Bossi, en définitive, se comporte comme Berlusconi : ce qui l’intéresse c’est conserver, voire accroître, sa popularité. Le projet fédéraliste est stratégique mais il peut être modulé dans le temps, l’important étant que rien ne gâche la relation de Bossi avec l’électorat, source de légitimité et de pouvoir. »
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« Les hommes de Bossi en course dans le ‘Risk’ » (Marco Alfieri, Il Sole 24 Ore) :

« ‘Nous avons les mairies et les provinces, il est clair que les banques du nord aussi auront des hommes de la Ligue à tous les niveaux’ : l’effet est particulièrement impressionnant car c’est Bossi qui s’exprime ainsi directement et non Giorgetti, le ‘soft’, ou le doge Zaia. Des déclarations qui ont fortement ému – c’est un euphémisme – une partie de l’establishment bancaire, justement aux prises avec les renouvellements chez San Paolo Intesa ou du côté de chez Profumo. Au fond, ce n’est pas étonnant : la Ligue aime trop l’hégémonie pour se désintéresser de ces fondations bancaires, grandes actionnaires des colosses du crédit. Le jeu est donc un jeu de pouvoir et les paris sont ouverts, du Piémont de Cota avec la Compagnia di San Paolo, à la Lombardie avec la Fondation Cariplo – très alléchante –, ou à la Vénétie avec Cariverona. »

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« Et sur l’Agriculture, Bossi s’entête » (Amedeo La Mattina, La Stampa) :

« Avec l’histoire de Fini qui menace de laisser le PdL, Berlusconi a revu Bossi à dîner hier soir, et le plat principal au menu de la résidence romaine du président du Conseil était le changement au ministère de l’Agriculture, de Zaia à Galan : un passage difficile qui devrait être officialisé demain en Conseil des ministres. Le conditionnel est obligatoire car la Ligue souhaite que le nouveau ministre suive la même politique que son prédécesseur et, sur ce thème, la tension a été forte entre Zaia et Galan, durant la campagne en Vénétie. Par exemple, G. Galan s’est toujours dit favorable aux OGM, suivant la ligne de Confagricoltura, alors que Zaia a mené une bataille contre, préférant suivre la thèse de la Coldiretti. A suivre, même s’il semble qu’un accord devrait être trouvé. Du côté de Fini, des rumeurs de rupture avec le PdL circulaient, le président de la Chambre s’étant montré très en colère quand il a su que Berlusconi se réunissait avec Bossi sans qu’il ait été invité. Les proches de Fini démentent toute rupture : ‘ils ont toujours trouvé un accord. Cela dépend beaucoup du président du Conseil, certes…’. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

Un ancien député écologiste en action pour pro NRW.

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Allemagne. Rhénanie du Nord - Westphalie. L’ancien Député du Parlement allemand Torsten Lange est un enseignant et éducateur. Lorsqu’il parle de « la misère du système de formation allemand », il sait de quoi il parle.  Il a siégé au cours des années 80 au Parlement allemand en tant qu’écologiste (die Grünen) et est maintenant en action pour pro NRW.
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Son point de vue sur la question et les solutions qu’il propose ont été inclus dans la partie « École et formation » du programme de pro NRW.

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L'ancien Député écologiste Torsten Lange est en action pour pro NRW.

pro NRW : tournée en bus du richissime Patrick Brinkmann.

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Allemagne. Rhénanie du Nord - Westphalie. Le richissime industriel germano-suédois Patrick Brinkmann entreprendra une tournée électorale avec un bus en vue de soutenir pro-NRW. Voici le programme de la tournée :

 

3. Mai

 

Début de la tournée à Porta Westfalica

 

Minden – Marché  10.30

 

Bad Salzuflen – Parkstrasse 13.00

 

Bielefeld – Rathausplatz  15.00

 

Gütersloh – Berliner Platz 17.30

 

4. Mai

 

Paderborn – Rathausplatz 10.30

 

Soest – Marktplatz 13.00

 

Unna – Marktplatz 15.00

 

Dortmund – Westenhellweg 17.30

 

5. Mai

 

Hagen – Friedrich-Ebert-Platz 11.00

 

Lüdenscheid – Sternplatz 13.30                 

 

Siegen – Siegplatte/Coin de la Bahnhofstrasse 16.30

 

6. Mai

 

Gummersbach – Bismarckplatz 11.00

 

Bergisch-Gladbach – Zone piétonnière 13.30

 

Bonn – Münsterplatz 16.30

 

7. Mai

 

Siegburg –Marktplatz 11.00

 

Düren – Wrteltorplatz 14.00

 

Aachen – Place devant la mairie 16.30

 

8. Mai

 

Mönchengladbach – Hindeburgstrasse/Coin de la Krichelstrasse 11.00

 

Krefeld – Neumarkt 13.30

 

Düsseldorf – Burgplatz (Alternative : Platz-der Deutschen Einheit) 16.30

 

Parmi les moyens utilisés par pro NRW pour sa campagne électorale en vue des élections pour le Parlement du Land de Rhénanie du Nord - Westphalie se trouvent : des bus électoraux, des équipes d'affichage, des véhicules avec haut-parleurs et des interventions en hélicoptère. 

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Patrick Brinkmann

UDC Suisse : la défense nationale doit rester la mission centrale de l'armée.

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% des voix :
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L'UDC a pris acte du rapport de politique de sécurité adopté par le Conseil fédéral. Pour l'UDC, une défense nationale indépendante basée sur le principe de milice et visant la sauvegarde de l'indépendance et de la neutralité doit rester l'objectif central de la politique de sécurité. L'alignement systématique sur des coopérations et pactes internationaux est à l'origine des problèmes de politique de sécurité que la Suisse connaît aujourd'hui. Cette politique doit donc cesser. Plusieurs réformes erronées ont affaibli ces dernières années les structures de sécurité de la Suisse. L'UDC demande le retour à une armée performante et apte à intervenir rapidement par ses propres moyens.

Le président du BZÖ votera blanc lors des élections présidentielles.

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Autriche. Le Président du BZÖ Joseph Bucher a annoncé qu’il ira voter lors de l’élection présidentielle, mais votera blanc.

Le MCG récolte 4600 paraphes contre les frontaliers.

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Voici un article de la Tribune de Genève à propos de la nouvelle action du MCG :

 

Le Mouvement citoyens genevois a déposé ce matin au Grand Conseil une pétition de 4603 signatures intitulée «Stop au chômage genevois: frontaliers assez!»

 

Le MCG n’en démord pas: il en veut toujours aux «eurofrontaliers, en particulier quand ils sont employés par l’Etat de Genève», selon les termes de Roger Golay, chef de la députation au Grand Conseil. 4603 signatures ont été déposées ce matin au parlement, un score qualifié d’honorable par Roger Golay. «Le gouvernement peut donner priorité aux résidents, explique le député. En raison des accords bilatéraux, il y a peu de possibilités d’intervenir sur le recrutement de la main-d’œuvre, à l'exception de tout ce qui relève de la puissance étatique.»

 

Le parti s’était enquis, durant la précédente législature, du nombre de frontaliers travaillant pour le canton. Il lui avait été répondu que le petit Etat (administration, écoles, police…) n’employait en 2007 que 438 frontaliers, soit 2,8% des effectifs. «Nous ne parvenons pas à obtenir de réponse concernant l’emploi de frontaliers aux SIG, dans les communes ou à l’Hospice général», se plaint le président du parti Eric Stauffer. Et de poursuivre: «Il y a des professions où le frontalier est une nécessité. Mais nous critiquons l’exagération dans le recrutement d’eurofrontaliers, en particulier dans le secteur tertiaire.» Selon Roger Golay, un problème de sécurité intérieure se pose lorsque des postes sensibles sont confiés à des non-résidents, par exemple dans l’informatique.

 

Le MCG accuse les frontaliers de se livrer au copinage, en favorisant l’embauche de compatriotes, de mobber les employés genevois qui seront à nouveau harcelés par des coaches frontaliers une fois parvenus au chômage. Il souligne que le taux de chômage a décru à l’échelle suisse en ce début d’année alors qu’il continue de grimper à Genève.

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Roger Golay, chef du groupe parlementaire MCG, et Eric Stauffer, président du parti.

Des actes et non des belles déclarations, Monsieur le directeur!

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% des voix : 
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Le directeur de l'Office fédéral de la migration, Alard Du Bois-Reymond, a bruyamment annoncé le weekend dernier des mesures et une task-force contre les requérants d'asile criminels en provenance du Nigéria. Parallèlement, l'arrêt des renvois ordonné par lui contraint les cantons de remettre en liberté des Nigérians détenus en vue de leur expulsion. Cette situation est proprement inacceptable. L'UDC demande la reprise immédiate des renvois.

 

Le weekend dernier le directeur de l'Office fédéral de la migration a relevé les gros problèmes posés par des requérants d'asile criminels en provenance du Nigéria. Les demandes d'asile de ces personnes sont en majeure partie infondées. Bon nombre d'entre eux viennent uniquement en Suisse pour y perpétrer des crimes. Il serait grand temps de prendre des contre-mesures. L'ODM a donc annoncé la constitution d'une task-force. Or, le directeur de l'ODM, Alard du Bois-Reymond, vient d'ordonner l'arrêt des renvois à la suite d'un décès, si bien que les cantons doivent remettre en liberté les requérants arrêtés dans l'attente de leur expulsion. Ce procédé contradictoire est inacceptable. Il en va aussi de la sécurité des citoyennes et des citoyens. L'UDC exige que les renvois au Nigéria reprennent immédiatement. De plus, il faut très sérieusement demander à l'ODM s'il maîtrise encore la situation.

14/04/2010

La presse passe la liste du PVV au crible.

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Pays-Bas. Suite à la présentation de la liste du PVV, la presse du système en place a passé la liste du PVV au crible. Voilà ce qu’ils ont trouvé :

En 2007, le chef de file du PVV, Geert Wilders, exige l’expulsion d’un imam contesté de Eindhoven. Qui a défendu l’imam ? L’avocate Lilian Helder qui occupe la troisième position sur la liste du PVV.

La presse ajoute que le bureau d’avocat qui emploi Lilian Helder ne veut plus travailler avec elle, car elle figure sur la liste du PVV. Le bureau d’avocat tient à se distancier des idées du PVV.

 

Un autre candidat est mis en avant par la presse. Gidi Markuszower, cinquième sur la liste du PVV, a eu des problèmes parce qu’il portait sur lui une arme à feu lors de la fête du soixantième anniversaire de l’État d’Israël. Il était là en tant que garde.

 

Mellony van Hemert est le candidat numéro neuf. La presse a trouvé une erreur dans l’annonce par le PVV du diplôme d’étude qu’il a obtenu.

 

James Sharpe, 23ème sur la liste, est présenté comme le "recordman du 110 mètres en saut de haies". La parti a du modifier la phrase sur son site et ajouter l’"ancien recordman".

 

Auke Zijlstra, 28ème de liste, est présenté en tant que haut-fonctionnaire. La presse déclare que les haut-fonctionnaires sont ceux qui occupent les plus hauts échelons de l’administration. Ce qui n’est pas le cas.

 

La presse revient sur le fait que Dion Graus a fait l’objet d’une plainte en 2006, mais n’a pas été poursuivi et que le Député du PVV Hero Brinkman fait l’objet d’une plainte en cours.

La padanisation est en marche.

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« Dans le jeu de ‘Risk’ de Bossi, 374 mairies » (Marco Alfieri, Il Sole 24 Ore) : « La Ligue du nord s’étend sur le territoire italien. Sur la table de la maison Bossi, à Gemonio, il y comme un jeu de ‘Risk’ où, chaque mois, on voit grossir le nombre de nouvelles armées prêtes à la ‘padanisation’ du pays. Après le second tour, le décompte des troupes indique 60 députés, 25 sénateurs, des milliers de conseillers, 13 provinces gouvernées (contre 5 en 2008), 374 communes (contre 191) dont 5 chefs-lieux (Novare, Varèse, Monza, Trévise et Vérone – seul point noir, l’échec à Lecco en Lombardie) et 14 conquêtes hors de son territoire traditionnel : 7 en Ligurie, 4 en Emilie, 2 en Romagne, 1 dans les Marches. »

« Le rejet au Parlement du décret ‘sauve-listes’ évoque les tensions non réglées entre la coalition et Fini » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « Le rejet au Parlement du décret voulu à tout prix par le gouvernement, quand il craignait l’exclusion de certaines listes du PdL aux régionales, marque une fêlure : il montre une majorité si convaincue d’être sans adversaires qu’elle se permet l’excès d’absentéisme qui a causé sa perte – et la façon dont le parti est allé à la chasse des absents (38 PdL, 4 Ligue) confirme un climat de règlement de comptes. Rien n’est clair quant à la enième rencontre Berlusconi-Fini, d’où une impression de dissensions difficiles à réduire, source de problèmes pour les réformes et la majorité, à moins d’un effort pour les apaiser. La Ligue, elle, se comporte comme si elle était le seul vainqueur des régionales ; Berlusconi, de retour de Washington, doit voir Bossi, pour le convaincre entre autres d’accepter Galan à l’Agriculture. L’hypothèse d’une rupture avec Fini reste improbable mais le résultat électoral a affaibli le président de la Chambre. Berlusconiens et léghistes s’accordent sur deux réformes prioritaires : justice et fédéralisme. Les problèmes pourraient surgir quand on arrivera à des propositions concrètes ou quand il faudra se positionner sur l’attitude à avoir envers l’opposition. La commission bicamérale qui s’occupera de la mise en œuvre du fédéralisme a démarré : on percevra alors si quelqu’un pourra s’attribuer le mérite des réformes ou si l’on va recommencer à chercher le ou les coupables de leur échec. »

(Traduction : ambassade de France à Rome).

Vorarlberg : proposition du FPÖ de réduire le nombre de parlementaires.

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Autriche. Vorarlberg. Lors de la discussion sur la réforme de l’administration qui a eu lieu ce matin au Parlement du Vorarlberg, le chef de file du FPÖ du Land, Dieter Egger, a proposé de réduire le nombre d’élus au Parlement du Vorarlberg afin de faire des économies.

 

Les écologistes s’opposent à cette idée car ils disent que cela rendra le contrôle du gouvernement par le Parlement encore plus difficile.

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Parlement du Vorarlberg.

Traismauer : vers un remplacement du maire adjoint.

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La municipalité de Traismauer se trouve en Basse-Autriche. Elle compte moins de 6.000 habitants. Elle est gouvernée par une coalition réunissant le Parti social-démocrate (SPÖ) et le FPÖ. Le maire est SPÖ et le maire adjoint FPÖ. Ce dernier a démissionné suite au fait que la presse a révélé sa proximité avec le NVP (Nationale Volkspartei - un parti ultranationaliste) en 2007 et 2008. Il a reconnu les faits et a affirmé avoir pris, depuis lors, ses distances avec ce parti qui a évolué dans une autre direction que la sienne.
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Le maire SPÖ Herbert Pfeffer veut continuer à gouverner avec le FPÖ. Le maire adjoint FPÖ démissionnaire doit être remplacé par un autre membre du FPÖ qui doit occuper la fonction vacante de maire adjoint.

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La mairie de Traismauer est dirigée par un maire social-démocrate allié au FPÖ.

Genève : Eric Stauffer du MCG accompagne une patrouille de police.

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Suisse. Genève. Eric Stauffer, élu du MCG, a accompagné une patrouille de police durant une nuit. Il a constaté que les 400 voitures et 200 deux-roues des agents de police du canton ne disposent pas de GPS, ce qui occasionne des pertes de temps lors des interventions.

 

Le député MCG a déposé une motion au Grand Conseil afin de voir équiper, le plus rapidement possible, tous les véhicules de police de GPS.

13/04/2010

Mantoue "la rouge" tombe aux mains des patriotes.

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Le second tour d’élections municipales avait lieu ce dimanche en Italie au sein de 41 villes. Les patriotes se sont imposés au sein de plusieurs municipalités confirmant la tendance des élections régionales du 27 mars 2010.

 

Á Mantoue, bastion de la gauche depuis 65 ans, Nicola Sodano, le candidat du Peuple de la Liberté et de la Ligue du Nord, a emporté le scrutin avec 52,18% des voix.

 

Á Vigevano, un candidat de la Ligue du Nord affrontait un candidat du Peuple de la Liberté. Le candidat de la Ligue du Nord a gagné en récoltant plus de 72% des voix.

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Un maire léghiste en plus. Andrea Sala est le nouveau maire de Vigevano.
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Le nouveau maire de Mantoue : Nicola Sodano.

Fini - Maroni.

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« Réformes, Fini évoque le modèle italien. Maroni : ‘indispensable de dialoguer avec le PD’ » (Alberto D’Argenio, La Repubblica) :
« GF Fini cherche à trouver un équilibre pour pacifier la majorité et sortir de l’étau Cavaliere-Ligue. En visite dans un lycée, le président de la Chambre a parlé des sujets d’actualité, ‘la justice (oui à la séparation des carrières, non aux procureurs dépendants), le présidentialisme, peut-être peut-on trouver un système bien italien, l’important étant la représentativité et la gouvernabilité’. Dans la soirée, cependant, l’équipe de Fini explique que le niet à la proposition de Berlusconi persiste. Selon lui, il ‘faudrait faire les réformes avec le plus grand nombre possible de forces politiques’, y compris pour éviter un référendum, mais un vote par la majorité seule ‘ne serait pas une honte.’ Selon R. Maroni, au contraire, ‘le PD est un interlocuteur indispensable’, et ‘si nous n’arrivons pas à faire les réformes, ce sera notre faute’. Hier, les hommes du Cavaliere ont tenté de rétablir les rapports avec le chef de l’Etat, après la sortie de Berlusconi à Parme. Pour F. Frattini ‘il n’y a pas de problème avec le Quirinal’. Pourtant, un des points les plus chers à Napolitano, le dialogue avec l’opposition, ne tient qu’à un fil. Hier le ministre Rotondi a accusé le PD ‘de ne vouloir changer que la loi électorale pour gagner sans bulletins de vote’. Pour A. Finocchiaro (PD), ‘Berlusconi veut un pouvoir sans contrôle ; dans ces conditions, le débat semble difficile’. Et pour Di Pietro ‘il n’y a que les idiots pour penser à confier les réformes à Berlusconi’. »

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(Traduction : ambassade de France à Rome)

Rotterdam : un ancien maire PvdA est favorable à une coalition entre le PvdA et Leefbaar Rotterdam.

 

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Pays-Bas. Rotterdam. Un ancien maire PvdA (travailliste) de Rotterdam, Bram Peper, a déclaré qu’il y a une grande probabilité que Leefbaar Rotterdam soit exclu de la formation d’une coalition en vue de gouverner Rotterdam parce que les candidats allochtones des liste du PvdA ont promis à leurs électeurs, au cours de la campagne, de ne pas conclure une alliance avec Leefbaar Rotterdam. L’ancien maire déclare que les candidats doivent s’en tenir au programme du parti et n’ont pas à faire ce genre de choses.

L’ancien maire PvdA est favorable à une coalition entre le PvdA et Leefbaar Rotterdam en vue de gérer la ville.

Le site internet du BNP reçoit de nombreuses visites.

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Royaume-Uni. Le site internet du British National Party est maintenant le 960ème site le plus visité de Grande-Bretagne.