11/08/2010
Reportage : Magyar Sziget (suite).
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10/08/2010
Reportage : discours de Roberto Fiore, le dirigeant de Forza Nuova, lors du festival Magyar Sziget en Hongrie.
Ce dimanche 8 août 2010, Roberto Fiore, le leader de Forza Nuova (Italie), est venu parler au festival Magyar Zsiget. Deux députés du Jobbik et le président du Jobbik (Hongrie) étaient présents.
Voici un résumé en français, que j’ai réalisé, du discours que Roberto Fiore a tenu devant l’assemblée des personnes assistant à ce rassemblement.
Le Traité de Lisbonne est mis en place afin d’empêcher toute révolte lorsque les conditions économiques seront trop difficiles. Le problème principal est la crise économique. Le système économique en place a pour objectif de détruire les classes moyennes et de préparer un régime où il y aura quelques riches et des pauvres. La révolte de la population dans les mois à venir se fera contre les banques et les oligarches. Le but est d’empêcher toute rébellion en transformant l’Union européen en État répressif. Nous devons nous préparer au pire. Il ne doit pas y avoir de compromis avec le système capitaliste.
L’Union européenne a également pour vocation d’empêcher le maintient des traditions nationales. Exemple : l’avortement en Irlande ou les croix chrétiennes sur les murs en Italie.
La Hongrie est une des figures dirigeante du courant national. Dans ce pays, beaucoup de jeunes gens adhèrent à la mouvance patriotique.
Le combat contre l’immigration et l’islamisation de l’Europe est un point important du programme de Fuerza Nuova. Roberto Fiore déclare: « Ils ferment des églises et ouvrent des mosquées.»
La Turquie doit être hors de l’Europe. Roberto Fiore rejette le sionisme.
L’Europe est fondée sur l’idée de civilisation européenne. Roberto Fiore rejette l’idée que 50 millions d’Africains vont débarquer en Europe aux cours des 10 à 15 prochaines années.
Fuerza Buova est un parti qui émet des réserves par rapport à l’homosexualité.
Les nationalistes doivent s’unifier et nous ne devons plus accepter une situation telle que celle que nous avons connu en 1956 où les patriotes d’Europe de l’Ouest n’ont pas pu porter assistance à la révolte antisoviétique hongroise. Si nous sommes unis, l’ennemi ne pourra pas nous battre. Fuerza Nuova sera avec le Jobbik lors des victoires et défaites.
En septembre, Fuerza Nuova organise un rassemblement en Italie.

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Suisse : la fin de la concordance?

En Suisse, sept personnes siègent au sein du Conseil fédéral (gouvernement). L’habitude veut que les quatre grands partis du pays disposent de sièges au sein du Conseil fédéral. Les trois premiers partis par ordre d’importance reçoivent deux postes de conseiller fédéral et le quatrième en reçoit un.
L’UDC, qui est le premier parti du pays avec 29% des voix, devrait disposer de deux postes au sein du Conseil fédéral, mais n’en a qu’un, suite à des manipulations politiques que nous avons évoquées largement sur ce site Internet au fil du temps.
Il se fait que deux postes sont vacants au sein du gouvernement suisse. L’UDC va tenter d’obtenir le deuxième siège de ministre (conseiller fédéral) auquel elle a droit.
Voici un communiqué de l’UDC Suisse à ce propos :
La fin de la concordance?
Par Martin Baltisser, secrétaire général UDC Suisse
L'UDC a invité les grands partis politiques à discuter de l'avenir de la concordance. Les réactions à cette invitation sont arrivées par retour du courrier via les médias. Elles témoignent d'une conception bien curieuse de la concordance. L'objectif des autres partis n'est manifestement plus de constituer un gouvernement réunissant les principaux courants politiques du pays, mais de mettre en place une coalition gouvernementale qui, en fin de compte, appliquera un programme politique de centre-gauche. Or, ces partis ne sont même pas capables d'organiser raisonnablement les démissions et les successions de leurs propres représentants au Conseil fédéral. On voit mal dans ces conditions comment ils pourraient appliquer un programme gouvernemental commun.
La proportionnalité est un élément central de la concordance. Ce n'est pas l'UDC qui l'affirme, mais il s'agit là une thèse élémentaire de la science politique. Depuis 1959, la fameuse "formule magique" suisse relie les quatre principaux partis du pays et assure ainsi la représentation des grands courants politiques et de la majorité de la population au sein du gouvernement national. Ce principe a été violé entre 1999 et 2003 ainsi que depuis 2007. Aujourd'hui, on constate que précisément la plus grande force politique du pays, soutenue par près d'un tiers des électrices et des électeurs, est sous-représentée au Conseil fédéral. Les mêmes milieux politiques, qui ont abandonné le principe de la concordance, font aujourd'hui un pas de plus en interprétant la concordance comme une coalition. Cela n'a jamais été le but de ladite "formule magique" qui a toujours rapproché des partenaires ayant des conceptions philosophiques différentes. Il n'y a jamais eu de concordance sur le fond. Une telle construction serait d'ailleurs une contradiction en elle-même. Si ces partenaires gouvernementaux veulent effectivement changer de système et mettre en place une coalition de centre-gauche, ils doivent en assumer la responsabilité devant leurs électeurs. Mais ce serait la fin définitive de la concordance.
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09/08/2010
Pro NRW se rapproche du PVV de Geert Wilders.



Pro NRW se félicite de l’annonce faite par René Stadtkewitz à propos de la planification d’une réunion de critique de l’islam, le 2 octobre 2010 à Berlin, avec le Président du PVV néerlandais Geert Wilders.
Cette rencontre est organisée par Pax Europa, le blog internet Politically Incorrect (PI) et Réné Stadtkewitz. Des membres importants du mouvement Pro seront présents.
René Stadtkewitz siège en tant que député régional au Parlement du Land de Berlin et est membre du groupe parlementaire de la CDU au sein de cette assemblée.
En outre, le milliardaire germano-suédois Patrik Brinkmann, un des dirigeants des mouvements Pro, a pu approfondir, au cours des dernières semaines, ses contatcts avec le PVV de Geert Wilders.
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08/08/2010
Democracia National, le parti qui défend l’unité de l’Espagne.

Parmi les différents mouvements politiques qui constituent la nébuleuse patriotique en Espagne figure une organisation toute particulièrement attachée à l’unité du pays: Democracia National.
Ce parti politique est fondé en 1996 par une douzaine de personnes issues de la mouvance nationaliste espagnole. Inspiré du Front National français, Democracia National se veut en rupture avec le passé. Lorsque Manuel Canduela Serrano accède, en 2004, à la présidence du parti, il lui donne un tournant plus nationaliste. Lors d'un meeting de Democracia National à Madrid, le 20 novembre 2009, le Président du BNP Nick Griffin (Royaume-Uni) et le Président de Forza Nuova (Italie) Roberto Fiore sont présents.
Disposant de sections dans l’ensemble de l’Espagne, le parti compte, au total, trois élus au niveau local : deux conseillers municipaux à Herradon de Pinares (Avila), qui participent à la gestion de la municipalité au sein d’une coalition englobant des forces politiques de gauche, et un conseiller municipal à Tardajos (Burgos), où le parti siège au sein de la majorité municipale avec le Parti Populaire (Parti conservateur).
Democracia National est favorable à l’unité de l’Espagne. Le parti reconnaît, néanmoins, l’autonomie culturelle pour les différentes régions qui constituent le pays mais rejette l’autonomie administrative de ces mêmes entités. Il a pour objectif de concentrer le pouvoir de décision politique au sein de la capitale. Les règles juridiques doivent être les mêmes pour l’ensemble du pays.
Le parti prône la préférence nationale, le contrôle strict des frontières, l’expulsion des étrangers en situation irrégulière et défend l’agriculture et la pêche espagnole face à l’Union Européenne. Democracia National veut réindustrialiser le pays et redévelopper l’agriculture. Les droits des victimes doivent être plus étendus que ceux des délinquants, des condamnations plus fortes doivent être appliquées aux terroristes et aux mineurs. Les personnes ayant commis les délits les plus graves doivent rester en prison à vie. Aides financières, maisons et emplois doivent aller en priorité aux familles espagnoles afin de lutter contre la dénatalité. Le parti s’oppose à l’avortement.
Democracia National veut que les jeunes gens soient aidés et que la formation professionnelle soit, à nouveau, mise en avant afin de mettre à la disposition des entreprises des travailleurs compétents. Le parti s’oppose, en matière d’enseignement, au système de Bologne.
Le point le plus important du programme est la politique de la préférence nationale ainsi que le rejet de l’immigration illégale et de l’immigration de masse. Il y a six millions d’immigrants en Espagne alors que cinq millions d’Espagnols n’ont pas d’emploi. Des étrangers reçoivent des contrats de travail afin de se rendre en Espagne alors que les Espagnols restent sans travail. La politique de la préférence nationale doit s’appliquer dans le domaine du travail mais également en matière de sécurité sociale, ainsi que dans l’achat de maisons sociales. Les immigrants qui viennent travailler en Espagne doivent retourner chez eux, une fois que le travail est terminé. Le parti défend les petites et moyennes entreprises car elles représentent 75% des emplois. Democracia National défend l’idée d’une union des nations d’Europe et s’oppose à l’Europe des multinationales et de la finance, ainsi qu’à l’euro.
Le parti ne se situe ni au centre, ni à droite, ni à gauche, mais développe des positions transversales. Il commercialise sur son site Internet des drapeaux, des tee-shirts, des livres.
Democracia National est lié à Forza Nuova (Italie) et au Jobbik (Hongrie) et désire entrer au sein de l’alliance regroupant le BNP (Royaume-Uni), le Jobbik (Hongrie), le FN (France),…Democracia National rejette cependant la présence du parti espagnol MSR au sein de ce groupe, car ils estiment que cette formation politique n’est pas convenable.
Democracia National n’est pas en dispute avec Plateforma catalunya, mais pense que Democracia National est la solution pour l’ensemble de l’Espagne alors que Plateforma catalunya ne travaille que pour une région, la Catalogne.
(Article réalisé grâce aux informations que m’a communiqué la délégation de Democracia National au festival Magyar Sziget en Hongrie).
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05/08/2010
Reportage : Hongrie : les taxis nationalistes de Budapest.
Parmi les différentes entreprises de taxis de Budapest, la capitale de la Hongrie, figure une compagnie nationaliste. 45 voitures portant le symbole de la « Grande Hongrie » sillonnent la ville.
La société de taxis s’appelle Jobbtaxi. Le parti politique nationaliste hongrois s’intitule Jobbik. Il est le troisième parti au sein du Parlement de Hongrie.
(Voici le lien vers le site internet de la compagnie nationaliste de taxis : http://jobbtaxi.hu/)
La personne qui a fondé cette entreprise travaillait au sein d’une compagnie de taxis. Elle a placé le drapeau hongrois dans son véhicule de travail. La direction de la société l’a obligée à l’enlever. Le chauffeur a eu ensuite d’autres problèmes car il écoutait, en véhiculant ses clients, de la musique nationaliste et un client a appelé la direction pour se pleindre. Le chauffeur a donc décidé de fonder sa propre compagnie de taxis.
Un des 45 taxis de la compagnie Jobbtaxi.
La carte de la "Grande Hongrie" sur la portière du taxi. (Photos : Lionel Baland)
15:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
03/08/2010
Reportage : Hongrie : Magyar Sziget 2010.
Le Magyar Sziget (http://magyarsziget.hu/english), un grand rassemblement nationaliste, a débuté ce lundi en Hongrie. L’événement a lieu cette année du 2 au 9 août près de Verőce, une ville située à 30 km de Budapest, la capitale du pays. L’endroit est accessible en train. Les personnes doivent ensuite marcher vers le lieu de rassemblement situé dans une vallée entourée d’une forêt. De nombreux hongrois viennent en voiture.
Le mouvement qui organise le festival est le HVIM (http://hvim.hu), une organisation proche du Jobbik, le parti nationaliste hongrois.
Différents types de personnes fréquentent l’événement. De nombreuses familles sont présentes. Les personnes logent sous tente, dans des caravanes, dans des chalets en bois.
De nombreuses activités ont lieu : depuis des démonstrations relatives au folklore hongrois jusqu’au conférences portant sur différents sujets, en passant par de nombreux concerts de musique patriotique hongroise.
Ayant été invité au festival, voici des photos que j’ai réalisées :
L'entrée du site.
La caisse.
Deux chapiteaux accueillent les différentes manifestations.
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FPÖ, FPK et BZÖ unis dans la défense de Joerg Haider.



Autriche et Liechtenstein. Le procureur du Liechtenstein a démenti l’information disant qu’un dossier contenant des informations sur une fortune appartenant à Jörg Haider et déposée au Liechtenstein avait été découvert.
Le chef du FPK, Uwe Scheuch, a déclaré qu’il s’agit d’une campagne visant à salir Jörng Haider et que les reproches mis en avant à l’encontre de celui-ci apparaîtront faux.
Pour Stefan Petzner, qui dirige le BZÖ de Carinthie, il s’agit d’une action commando des rouges et noirs (sociaux-démocrates et conservateurs).
Peter Westenthaler du BZÖ a réclamé au minimum des excuses pour la famille Haider.
Gerald Grosz du BZÖ a dénoncé le plus grand scandale médiatique de la Seconde République.
Le Vice-président du FPÖ Norbert Hofer a déclaré que la situation était proche du scandale judiciaire et a exigé de la ministre de la justice qu’elle produise les résultats de l’enquête afin de mettre fin aux spéculations.
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BNP : campagne en vue de l’élection du président du parti.

Le programme électoral de chaque candidat est placé sur le site internet du BNP : http://www.bnp.org.uk/leadership
D’autres candidats peuvent encore se déclarer d’ici le 10 août 2010, date de clôture des inscriptions.
16:27 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pays-Bas : vers un gouvernement minoritaire de droite soutenu de l’extérieur par le PVV de Geert Wilders?


Ces trois partis ont des opinions divergentes sur le caractère de l’islam. Les trois formations politiques acceptent cependant leurs différences d'idées sur la question.
Le PVV désire des discussions avec ses, peut-être, futurs partenaires sur les questions de l’immigration, de la sécurité, de l’intégration, de l’asile et de la prise en charge des personnes âgées.
Si un tel gouvernement voyait le jour, il serait constitué sur le même modèle que celui en vigueur au Danemark, où la droite conservatrice et la droite libérale gouvernent le pays avec le soutient externe du Parti du Peuple danois.
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02/08/2010
Berlusconi - Fini : divorce à l'Italienne après 16 ans d'alliance.


« L’heure de la Liberté » (Ezio Mauro, La Repubblica) :
« L’irruption de la légalité a fait sauter le PdL, le plus grand parti italien. La légalité a eu l’effet d’une bombe dans le monde fermé du Cavaliere. En transformant la légalité en politique, Fini a trouvé la meilleure façon de diminuer le pouvoir du président du Conseil. Il peut maintenant donner naissance à une culture de ‘droite-centre’ qui pour la première fois, pourra parler d’ordre, de règles, de moralité et de Constitution. Et ceci face à un populisme basé sur un leadership issu du consensus populaire et donc suprême, hors de tout équilibre et séparation des pouvoirs. Berlusconi est maintenant seul aux commandes, entouré par les Verdini, Dell’Utri et Brancher, qui lui doivent tout, à l’ombre du château fort où est enfermé son gouvernement sans politique. Maintenant, le fédéralisme fiscal est la seule raison qui peut le maintenir au pouvoir, une idéologie qui n’est pas la sienne, mais qu’il accepte pour faire plaisir à Bossi. Nous en sommes au compte à rebours pour le peuple berlusconien, et l’heure de la liberté est arrivée. »
« Une victoire à la Pyrrhus pour le président du Conseil » (Stefano Folli, Il Sole 24 ore) :
« La logique suggérait un accord, ou au moins un pacte, de cohabitation qui établisse des règles pour que Berlusconi et Fini parviennent à se supporter. A l’opposé, il y avait l’hypothèse d’une scission immédiate, et concordée entre les deux parties, FI et AN, dont était né le PdL. Les dirigeants du parti berlusconien ont choisi une troisième voie, non sans ambiguïtés, qui comporte de nombreux risques. Pas d’expulsion, mais un défi frontal pour le délégitimer totalement le président de la Chambre, coupable d’avoir créé un ‘parti dans le parti’ et qui aurait cessé de représenter un point d’équilibre institutionnel. Il se peut que le choix berlusconien soit efficace pour régler des comptes avec un adversaire interne, mais ça il l’est beaucoup moins pour garantir à l’exécutif et à la législature un parcours serein. Fini est vaincu, pourrait-on dire, mais la victoire de Berlusconi ressemble à celle de Pyrrhus. Une réconciliation à ce stade paraît irréalisable. Le point crucial est désormais de savoir combien de parlementaires rejoindront le groupe autonome de Fini. S’ils n’étaient que 15 environ, ce ne serait qu’une épine au pied de la coalition Berlusconi-Bossi, mais s’ils étaient 30-35, alors l’optimisme du président du Conseil devrait se calmer : 30 et plus dissidents sont en mesure de soustraire au gouvernement la majorité à la Chambre. D’abord, le groupe finien restera dans la majorité (formellement, il ne sera même pas hors du PdL) ce qui signifie que Berlusconi devra sans cesse négocier leur appui. Le fédéralisme, la justice et autres mesures auront besoin de chiffres sûrs. Une situation dont Casini tire avantage, mais le président du Conseil devra de toute manière traiter avec Fini, surtout s’il reste à son poste. Quoiqu’il en soit, au final, cette rupture affaiblit le gouvernement. Son sens ? Redonner à Berlusconi le contrôle total de son parti, s’il souhaite des élections anticipées, mais Bossi n’en veut pas, il veut le fédéralisme. A partir d’aujourd’hui, une nouvelle partie commence et il n’est pas dit que Berlusconi ait joué ses meilleures cartes. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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31/07/2010
Reportage : Klub64 à Budapest.
Le Jobbik, un parti nationaliste hongrois, est entré, il y a peu, au Parlement européen et au Parlement de Hongrie.
Des personnes proches du parti et de ses organisations annexes ont ouvert une discothèque dans le centre de Budapest.
Je m’y suis rendu afin de réaliser un reportage et d’y mesurer l’ambiance qui y règne.
Le club se situe dans le centre de la ville, près d’une des gares de la cité. Il est en général ouvert le vendredi et samedi soir. Dans l’entrée se dresse la hampe d’un drapeau hongrois. Un escalier mène au sous-sol. Là, différents espaces ont été aménagés : une salle où des groupes de musique se produisent et où le public danse, trois bars différents et divers espaces où les visiteurs peuvent s’asseoir afin de déguster une boisson. Un des bars fournit de l’alcool 100 % hongrois.
Le public est constitué de patriotes venus de tous horizons. Depuis les cadres d’entreprises de 40 à 50 ans, militants de la cause nationaliste depuis toujours, jusqu’aux jeunes militants plus radicaux en passant par des couples dans la trentaine.
La musique est patriotique, les employés et les clients sont patriotes, les recettes vont aux mouvements patriotiques. Tout ce fait ici entre nationalistes, selon le principe : « les nationalistes font vivre les nationalistes.»
L’ambiance est charmante et amicale. Tout le monde parle avec tout le monde. Les habitués se connaissent. La soirée se termine vers 3h. du matin.
Le Klub64 présente de nombreux avantages. Outre la création d’un point d’attraction nationaliste dans le centre de la ville, il permet aux patriotes de se retrouver. Ce Klub64 fournit du travail à des patriotes. Les bénéfices restent au sein du milieu patriotique. La musique est également une musique patriotique hongroise, jouée par des groupes de cette tendance politique. Le modèle de ce club patriotique est à exporter dans toute l'Europe.
(Site internet en hongrois du Klub64 : http://klub64.com/)
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Une Porsche de compétition porte le logo de pro NRW.

Une Porsche qui participe à des compétitions automobiles et qui est conduite par Claus J. jun porte désormais le logo de pro NRW.
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Fête nationale suisse : UDC : prenons soin de notre pays.

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29/07/2010
Loveparade : pro NRW réclame toujours la démission du maire de Duisburg.

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28/07/2010
Le FPÖ de Carinthie cherche un nouveau président.

Un congrès extraordinaire du FPÖ de Carinthie est convoqué pour le 14 novembre 2010 afin d’élire un président.
Le Président faisant fonction Christian Leyroutz n’a pas encore décidé s’il serait candidat à cette fonction.
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Le président du BNP interdit de thé à Buckingham Palace.

Le refus politiquement motivé de permettre au président du British National Party (BNP), Nick Griffin, d’assister à un thé à Buckingham Palace est perçu par ce dernier comme une attaque contre la démocratie, les médias, la liberté d’expression et un million de patriotes britanniques (les électeurs du BNP).
01:27 | Lien permanent | Commentaires (0)
Berlusconi : préparons-nous même à des élections.


« Avec Fini, les marges pour un accord n’existent plus. Les proches du Cavaliere en sont sûrs, Berlusconi leur est apparu ‘serein’, de la sérénité de ceux qui n’ont plus rien à perdre et sont prêts à jouer le dernier match jusqu’au bout. Après avoir lu les dernières déclarations de Fini – qui demande que ceux qui sont mis en examen démissionnent – il est certain d’être arrivé à un carrefour, il faut maintenant décider que faire. ‘Nous allons de l’avant avec le gouvernement’, a-t-il dit, mais ‘nous devons nous tenir prêts à tout, j’entends par là même aux élections’. Sa priorité est de refonder le PdL et de le préparer à un éventuel affrontement électoral, il entend s’y consacrer comme à une mission, le PdL en effet n’a pas d’inscrits, il n’est jamais né. ‘Nous devons prendre racine sur le territoire’, a-t-il estimé. Si la situation devait se précipiter, Berlusconi n’est pas particulièrement inquiet du résultat : ‘selon les sondages que j’ai entre les mains’, a-t-il confié, Fini ‘n’arrive pas à 4% s’il se présente seul’. Il ne considère pas un instant que ce dernier puisse se présenter avec un troisième pôle centriste, sûr que Casini ‘reviendra avec nous dès que Fini sera parti, et il pourra garder son symbole, au même titre que la Ligue’. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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27/07/2010
L'UDC lance une consultation populaire sur la politique d'asile et des étrangers.

L'UDC a tenu conférence de presse pour annoncer le lancement d'une consultation populaire sur la politique d'asile et des étrangers. Un journal sera envoyé à cet effet à tous les ménages suisses à partir de demain. Le questionnaire peut également être rempli en ligne sur le site internet www.consultation-populaire.ch. Le peuple aura ainsi la possibilité de se prononcer librement sur la thématique des étrangers. De plus en plus de Suissesses et de Suisses se sentent étrangers dans leur propre pays. L'UDC prend au sérieux les soucis de la population et exige l'application d'un principe fort simple: celles et ceux qui ne respectent pas nos règles, donc qui abusent de notre hospitalité, doivent quitter la Suisse. Il en va du bien-être et de la sécurité de tous - aussi de la grande majorité d'étrangères et d'étrangers qui se comportent correctement.
La Suisse a perdu le contrôle de l'immigration depuis l'introduction de la libre circulation des personnes et l'ouverture des frontières. Il en résulte des problèmes sérieux au niveau de la population étrangère vivant en Suisse. Nombre d'étrangers ne parlent pas la langue de leur lieu d'habitation ou refusent carrément de respecter nos règles. Aujourd'hui près de la moitié des crimes commis en Suisse sont le fait d'étrangers. La classe politique, le Conseil fédéral et les autres partis, préfèrent fermer les yeux et affirment que la Suisse n'a pas de problème avec les étrangers. L'opinion du peuple ne les intéresse pas. L'UDC refuse de participer à ce jeu. Elle prend au sérieux les craintes et soucis de la population. Le journal qui accompagne la consultation populaire analyse les causes de cette problématique. Il comporte en son milieu un questionnaire que les citoyennes et citoyens peuvent remplir et renvoyer à l'adresse indiquée. Il est aussi possible de répondre aux questions en ligne en visitant le site www.consultation-populaire.ch. Cette action est accompagnée par une campagne d'affiches et d'annonces dans la presse quotidienne.
L'UDC exige un règlement rapide et rigoureux des problèmes posés par les étrangers. Sa position est parfaitement claire: les personnes qui viennent en Suisse pour abuser de nos institutions sociales ou pour commettre des crimes doivent quitter le pays! Il faut que les citoyennes et citoyens de Suisse se sentent à nouveau en sécurité et chez eux. L'UDC ouvre cette consultation populaire pour inciter la population à exprimer son avis sur la politique des étrangers au lieu de faire le poing dans la poche. L'objectif de cette action, qui dure jusqu'au 31 octobre 2010, est de lancer une large discussion publique qui débouchera sur des propositions offrant des solutions à cette problématique.
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Pro NRW organise un rassemblement en vue de soutenir le président du parti à Aix-la-Chapelle.

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26/07/2010
Duisburg : des musulmans se félicitent des 19 décès de la Loveparade.

Alors que la Rhénanie du Nord – Westphalie pleure le décès de 19 personnes lors de la Loveparade, grande fête de la musique techno, des musulmans de Duisburg considèrent que ces décès sont un châtiment de dieu.
Voir le site musulman en allemand : http://www.ahlu-sunnah.com/threads/31351-quot-Trag%C3%B6die-quot-in-der-Loveparade?p=398891
Précisons que la Loveparade est une fête de la musique ouverte à tous et que le site musulman considère à tort que les personnes qui participent à cet événement sont des homosexuels.
Pro NRW exige la démission du maire de Duisburg qui refuse de porter la moindre responsabilité dans cet accident.
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Le Secrétaire général de pro NRW Markus Wiener propose une coopération à René Stadtkewitz.

René Stadtkewitz a été élu député au Parlement du Land de Berlin sur les listes de la CDU, le Parti chrétien-démocrate. Il a quitté la CDU en 2009 tout en restant membre du groupe parlementaire de la CDU au sein du Parlement du Land de Berlin.
René Stadtkewitz s’oppose à l’islamisation et veut inviter Geert wilders à Berlin. La CDU l’a menacé d’une exclusion de son groupe parlementaire.
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25/07/2010
Berlusconi : que faire de Fini?


« Le Cavaliere admet son échec ‘je n’avais pas le choix’ » (Francesco Bei, La Repubblica) :
« ‘Ce n’est pas la loi que je voulais mais Napolitano ne m’a pas laissé le choix’. Berlusconi a été obligé de signer une loi très différente de celle qu’il voulait, y compris de la dernière version qu’il considérait déjà comme une trahison. Les finiens exultent : ‘après l’affaire Cosentino, le président du Conseil a encore dû plier’. En quelques jours, ils ont obtenu la démission de Cosentino et la révision de la loi-bâillon : les deux conditions qu’ils avaient mises à la reprise du dialogue. La déception de Berlusconi n’est pas causée par le Garde des Sceaux ; une fois de plus, sa colère est provoquée par le président de la Chambre, qui l’a trahi, et par Napolitano qui l’a déçu avec sa tendance à tout négocier à la baisse. Sa bête noire reste Fini : ‘depuis 6 mois il nous force à avancer avec le frein à main’. L’entourage du Cavaliere montre aussi du doigt Umberto Bossi, coupable d’avoir abandonné Berlusconi, à force de s’occuper du fédéralisme. Forcé de laisser tomber la loi-bâillon, Berlusconi est convaincu d’avoir ainsi ôté à ses ennemis un moyen de l’affaiblir. ‘Maintenant qu’on a déchargé le pistolet de Fini, que vont-ils encore inventer ?’, se demande un faucon berlusconien du Palais Grazioli. Du côté de la Chambre, on a les idées claires : ne pas voter en août la loi sur les écoutes à cause de son impact sur les affaires Cosentino et Verdini – ‘quand arriveront les demandes de recourir aux écoutes, si la Chambre est en session, il faudra faire face à cette question immédiatement’. Un renvoi en septembre arrangerait tout le monde. »
« Berlusconi veut un PdL uni » (Il Sole 24 Ore) :
« Berlusconi rappelle son parti à la cohésion : ‘le PdL doit rester uni pour battre nos adversaires’. Il lance ensuite l’‘opération mémoire’, dépliant qui sera diffusé lors des fêtes du parti et mis en ligne pour faire l’éloge du gouvernement ‘du faire’. Berlusconi veut montrer qu’il a repris les choses en main, mais il ne veut nullement dévoiler sa stratégie, à commencer par la résolution du problème Fini. Il veut d’abord se débarrasser de la ‘manœuvre’ budgétaire et du projet de loi sur les écoutes qu’il veut faire adopter d’ici la première semaine d’août. En fait, la loi sur les écoutes, après les corrections Fini-Quirinal, n’est plus son souci majeur : c’est désormais le Conseil Supérieur de la Magistrature. Le rappel du chef de l’Etat sur la nomination des membres civils de l’instance ne semble pas l’avoir ému. Il fait le forcing sur A. Marini, ex-président de la Cour constitutionnelle, proche de G. Letta. Mais l’éternelle question est ‘que faire de Fini’. Les accusations du finien Barbareschi contre la berlusconisation de la RAI et l’appel de Granata en faveur des procureurs de Caltanisetta enquêtant sur l’attentat de 1992 n’ont pas été appréciés au Palais Grazioli. ‘Des propos sans fondement, l’action anti-mafia du gouvernement saute aux yeux de tout le monde’ dit Cicchitto. Sur la télévision, le président du Conseil s’estime attaqué à tort : ‘ils me prennent pour cible, mais sans jamais parler de Murdoch (Sky) qui fait et défait les gouvernements. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Suisse : Chritoph Blocher envisage une votation visant à exclure l'adhésion à l'Europe.

Voir l'article de la Tribune de Genève : http://www.tdg.ch/actu/suisse/blocher-envisage-initiative...
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20/07/2010
Le Maire de Hambourg a démissionné.
Allemagne. Hambourg. Le Maire CDU de la cité-État de Hambourg Ole von Beust a démissionné de ses fonctions.
Ole von Beust est l’homme qui s’était allié avec le juge Schill, surnommé le juge sans pitié, et son Parti pour l’Offensive de l’État de droit. Ole von Beust dirigeait Hambourg depuis 2001. Depuis 2008, il était à la tête d’une coalition entre la CDU et les Verts.
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