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20/07/2010

Congrès de pro NRW samedi dernier à Berlin.

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Patrik Brinkmann assistait finalement, samedi dernier, à Berlin-Schöneberg, au congrès de pro Deutschland (Pour l’Allemagne) et n’était pas, comme annoncé, à la manifestation de pro NRW à Dortmund-Hörde.

 

Parmi les invités figuraient Filip Dewinter et Bart Debie du Vlaams Belang ainsi que Jacques Cordonnier du mouvement Alsace d’Abord.

 

 

Voir les photos : http://www.pro-berlin.net/?p=734 (Les deux dernières photos sont liées à la contre-manifestation).

 

Voir la vidéo : http://www.pro-berlin.net/?p=769

18/07/2010

Manifestation de pro NRW à Dortmund-Hörde.

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Ce samedi 17 juillet 2010, 200 personnes ont pris part à la manifestation anti-islam qui a eu lieu à Dortmund-Hörde et a été organisée à l’initiative de pro NRW.

 

Parmi les personnes qui ont pris la parole se trouvaient les dirigeants de pro NRW, ainsi que Johann Gärtner des Republikaner.

17/07/2010

Deux dirigeants du FPK membres de la direction du FPÖ.

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La direction fédérale du FPÖ s’est réunie le lundi 12 juillet 2010 à Velden en Carinthie. Le président du FPK, Uwe Scheuch, et le gouverneur de Carinthie (FPK), Gerhard Dörfler, seront désormais membres de la direction fédérale du FPÖ.

16/07/2010

Karim Van Overmeire quitte le Vlaams Belang.

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Belgique. Le Parlementaire du Vlaams Belang Karim Van Overmeire a annoncé jeudi, lors du bureau du parti, qu'il quittait le Vlaams Belang.

 

Il veut fonder à Alost (Aalst), son fief politique, un nouveau parti qui ne sera pas tenu à l’écart de la vie politique par les autres partis, comme l’est le Vlaams Belang au travers d’un cordon sanitaire.

15/07/2010

Italie : succès du gouvernement dans la lutte contre la mafia.

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« La Ligue stoppe l’UdC et avertit Berlusconi : ‘au gouvernement, c’est eux ou nous’. La pression sur Fini augmente » (Ugo Magri, La Stampa de dimanche) : « Plaquage digne d’un match de rugby de la part de la Ligue contre le Cavaliere. Bossi & Cie bloquent dans l’œuf son idée de ramener l’UdC au gouvernement. De fait, Berlusconi se tait. Il prend note : Umberto a mal pris son dîner avec Casini et d’autres, invités par Vespa sur sa terrasse de la Trinité-des-Monts : ces conciliabules intimes entre super-VIP, cette façon de sentir le vent ‘à la romaine’ déplaît foncièrement à Bossi. Il a donc coupé court : ‘les centristes ? Si nous sommes au gouvernement, ils ne peuvent y être’, dit-il sur La Padania. Selon Calderoli, explicite : ‘le peuple, en choisissant le bipolarisme, a choisi de dire stop aux salons, et surtout stop aux Casini’. L’UdC ne leur va pas, c’est clair. Maroni laisse entendre ce que cache en fait cette levée de boucliers : ‘Nous représentons les réformes, le fédéralisme, un Etat moderne et efficace, alors que l’UdC représente le contraire, ce système que la Ligue veut changer’. »

Attention : il ne faut pas confondre l’UDC Suisse, parti patriotique de droite, et l’UDC en Italie, parti démocrate-chrétien du centre.

Entretien avec R. Maroni, ministre de l’Intérieur, dans Corriere della Sera - « ‘Nous avons pris le chef des chefs de la ’ndrangheta ; les politiciens impliqués doivent être punis » (Andrea Garibaldi) :
« Roberto Maroni, ministre de l’intérieur, est content : ‘enfin, les médias vont mettre en exergue cette opération record contre la ’ndrangheta plutôt que la dernière polémique de Fini et Bocchino…’ Maroni juge importante cette opération qui a abouti à l’arrestation de 304 personnes en Calabre : elle a mis en évidence les ramifications de l’organisation de la Calabre à la Lombardie, et en a dévoilé la structure. La ’ndrangheta, souligne le ministre, est à ce jour l’une des plus puissantes organisations, notamment par ses ramifications internationales. L’opération a révélé l’implication d’hommes politiques, qui seront punis ‘s’ils étaient impliqués en connaissance de cause dans un circuit mafieux’, ainsi que l’utilisation d’entreprises ‘propres’ pour recycler l’argent. Cette opération fait suite à un précédent coup de filet contre les Casalesi (camorra), dont les biens ont été saisis pour un montant d’1 Md€. Maroni souligne l’efficacité du gouvernement dans la lutte contre la Mafia : ‘en deux ans, nous avons saisi 11 Md€ de biens au crime organisé.’ Interrogé sur ses rapports avec Pignatone, procureur qui a enquêté sur la ’ndrangheta en Calabre, et P. Grasso, procureur national antimafia, qui se sont tous deux opposés à la loi sur les écoutes, Maroni dit avoir aussi modifié le texte sur leurs conseils. Quant au général des ROS (Raggruppamento Operativo Speciale, unité anti-crime organisé des Carabiniers) impliqué dans une affaire de trafic de drogue, Maroni fait valoir la présomption d’innocence. A ses yeux, dans l’enquête sur la ‘P3’, ‘il ya plus d’ombres que de fond’. Quid des dîners Casini-Berlusconi ? ‘Qui gagne (les élections) gouverne, qui perd reste dans l’opposition’. Sur Fini, Maroni admet qu’il cause une tension constante dans le PDL. ‘La Ligue ne fera jamais tomber Berlusconi, mais s’il ne trouve pas de solution au PDL et perd sa majorité, on va aux élections’. »

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

UDC Suisse : retirer enfin la demande d'adhésion à l'UE.

 

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29 % des voix : 

 

 

Le "Think Tank" Avenir Suisse a tenu conférence de presse aujourd'hui pour réclamer la relance du projet EEE ou l'examen de l'adhésion de la Suisse à l'UE. Il y a une semaine, les gouvernements cantonaux ont propagé l'idée d'un accord-cadre avec l'UE. De toute évidence, lesdites "élites" et la classe politique tentent à nouveau de pousser la Suisse dans l'UE. L'UDC saura résister à ces tendances néfastes. En adhérant à l'UE, la Suisse perdrait sur toute la ligne: suppression de la démocratie directe, baisse des salaires, augmentation du chômage, hausse des loyers, alourdissement des impôts et redevances, obligation de verser chaque année des milliards à l'UE. L'UDC demande donc que la demande d'adhésion toujours pendante à Bruxelles soit enfin retirée.

 

Lesdites élites et la classe politique se sentent toujours irrésistiblement attirées par Bruxelles. Voilà pourquoi ils recommencent à propager l'idée d'une adhésion ou à proposer de nouvelles étapes conduisant la Suisse dans l'UE. Et cela précisément à un moment où il s'avère que la Suisse maîtrise infiniment mieux la crise économique et financière internationale que les membres de l'UE. L'UE est de toute évidence un projet raté. La Suisse ne peut faire durer sa prospérité et sa démocratie directe unique au monde que si elle reste indépendante, souveraine et neutre. Or, cela est impossible comme membre de l'UE. De moins en moins de Suissesses et de Suisses souhaitent entrer dans l'UE. Ils savent bien pourquoi: adhérer à l'UE, c'est baisser les salaires, augmenter le nombre de chômeurs, renchérir les loyers, alourdir la charge fiscale; adhérer à l'UE, c'est verser chaque année 5 à 6 milliards de francs à Bruxelles; adhérer à l'UE, c'est faire passer la TVA de 7,6% actuellement à au moins 15%, ce qui représente une charge fiscale supplémentaire de 10 000 francs par an pour une famille de quatre personnes.

 

La demande d'adhésion déposée à Bruxelles, une absurdité sans nom, doit enfin être retirée. La question de l'UE doit être clarifiée, si possible par le biais d'une votation populaire. L'UDC exige que les rapports avec l'UE continuent de passer par des accords bilatéraux réglant des objets précis qui sont dans l'intérêt des deux parties. L'UDC combattra avec détermination tout rapprochement institutionnel de l'UE.

Berlin : 5 contre-manifestations prévues à l'encontre de pro Deutschland.

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Lors du congrès de pro Deutschland à Berlin-Schöneberg, ce samedi 17 juillet 2010, cinq contre-manifestations sont prévues.

 

Pro Deutschland (Pour l’Allemagne) a obtenu de la justice l’autorisation d’organiser son congrès à la mairie de Berlin-Schöneberg. L’ancien Président des Etats-Unis John F. Kennedy a tenu ici son fameux discours lors duquel il a déclaré : « Je suis un Berlinois ».

14/07/2010

Contre-manifestation contre pro NRW.

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Allemagne. Le 17 juillet 2010, pro NRW organise une manifestation à Dortmund-Hörde. Une contre-manifestation est annoncée.

UDC Suisse : Suspendre l'examen du nouvel accord de double imposition avec l'Allemagne.

 

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% des voix :
 

L'UDC est consternée par les razzias policières effectuées en Allemagne dans les filiales du Credit Suisse. Cette action est manifestement liée au vol d'un CD contenant des données de clients de cette banque. Il est intolérable que les autorités allemandes attaquent des banques suisses et leurs clients en se servant de données volées. L'UDC invite le Conseil fédéral à protester vigoureusement contre cette action et demande la suspension de l'examen du nouvel accord de double imposition avec l'Allemagne. L'Allemagne doit d'abord s'engager à ne plus utiliser des données volées, faute de quoi la Suisse ne doit plus accorder d'assistance administrative en matière fiscale.

 

C'est sans doute en recourant à des CD volés que les autorités allemandes ont lancé des razzias dans diverses filiales du Credit Suisse en Allemagne. Il est évident qu'en achetant ces marchandises volées les autorités allemandes se sont rendues coupables de recel. Un Etat de droit digne de ce nom ne commet pas un délit pour combattre un autre délit. En achetant ces données bancaires volées, l'Allemagne a aussi violé la souveraineté de la Suisse par un acte inamical. Aujourd'hui, les autorités allemandes se servent de toute évidence de ces informations illégalement acquises. Le Conseil fédéral doit réagir sans retard et protester vigoureusement contre ce procédé. Par la même occasion, le gouvernement doit suspendre immédiatement l'examen du nouvel accord de double imposition négocié avec l'Allemagne. Il y a lieu en outre d'examiner des mesures de rétorsion supplémentaires contre notre voisin du nord (par exemple, la motion UDC 10.3190: suspendre les versements à l'Allemagne du produit de l'imposition du revenu de l'épargne déposée par des citoyens allemands en Suisse). L'Allemagne doit s'expliquer et s'engager à ne plus utiliser des données bancaires volées. Si elle s'y refuse, la Suisse doit à son tour refuser de conclure l'accord de double imposition et d'offrir à l'Allemagne une assistance administrative en matière fiscale.

 

L'UDC a exigé à plusieurs reprises que tous les nouveaux accords de double imposition soient assortis d'une clause selon laquelle les Etats contractants s'engagent à ne pas utiliser des informations bancaires illégalement acquises. Ce principe vaut surtout pour l'Allemagne. D'ailleurs, l'UDC attend toujours la réponse du Ministère public de la Confédération à la plainte pénale déposée le 3 mars 2010 contre les autorités allemandes pour service de renseignement prohibé.

13/07/2010

Le commissaire de police qui a rejoint pro NRW est sanctionné.

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Allemagne. Aachen (Aix-la-Chapelle). Le Commissaire de police Wolfgang Palm, qui a rejoint il y a peu pro NRW, va être déplacé vers une autre fonction au sein de laquelle il aura moins de contacts avec le public. C’est ce qu’a annoncé le chef de la police Klaus Oelze. Il a également déclaré que des sanctions disciplinaires pouvaient être envisagées.

 

Pro NRW a décidé en réaction d'organiser une récolte de signatures et une manifestation en faveur du commissaire.

12/07/2010

L'UDC Suisse et l'enseignement.

 

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Davantage de responsabilités et retour au système du maître de classe pour pallier la pénurie d'enseignants.

 

Voici un communiqué de Silvia Bär, secrétaire générale adjointe de l'UDC Suisse :

 

L'organisation faîtière des enseignantes et enseignants suisses réclame cinq années d'étude, donc un diplôme de niveau master, pour les enseignants de tous les degrés scolaires. Aujourd'hui déjà, des jardinières d'enfants et enseignants des degrés scolaires inférieurs font trois années d'étude pour atteindre le niveau bachelor. La profession d'enseignant a été fortement académisée ces dernières années - avec les conséquences désastreuses que l'on sait notamment pour les degrés scolaires supérieurs. Mais au lieu de crier "halte!" et de faire marche arrière, l'organisation professionnelle concernée veut définitivement détruire le système du maître de classe qui a pourtant fait ses preuves.

 

L'académisation de la profession d'enseignant, donc l'exigence d'études universitaires quel que soit le degré scolaire visé par le futur enseignant, et l'abandon progressif du système du maître de classe, donc le passage vers le système des enseignants spécialisés et ledit "teamteaching", ont fortement aggravé la pénurie d'enseignants. Dans son document de fond intitulé "Les enseignants" paru en mai 2009, l'UDC a montré que la pénurie d'enseignants est la plus marquée là où l'abandon du système du maître de classe a le plus progressé. Personne n'a pu faire la preuve du contraire jusqu'ici.

 

Sans se soucier de la moindre légitimité démocratique de son action, la Conférence des directeurs cantonaux de l'instruction publique a imposé dans la formation des enseignants du degré scolaire supérieur le principe selon lequel chaque enseignant acquiert la compétence d'enseigner quatre disciplines au choix. Dans la pratique, cela signifie la mise à l'écart du système du maître de classe et des "enseignants généralistes". Ce changement alourdit considérablement la bureaucratie pour l'établissement des horaires scolaire, ce d'autant plus que la tendance à engager des enseignants à temps partiel s'est renforcée. Cette politique dévalorise forcément le métier d'enseignant et provoque un manque grave d'enseignants ayant une formation en sciences naturelles. Les universités et institutions de recherche suisses subiront forcément aussi les conséquences néfastes de ce développement. Au niveau scolaire inférieur, le système du maître de classe est remplacé par ledit teamteaching.

 

Le système du maître de classe a fait ses preuves, car il impose aux enseignants la responsabilité de conduire une classe. Les élèves ont un besoin fondamental d'avoir en face d'eux des personnalités fortes qui leur donnent des repères. Or, le développement actuel évolue juste en sens opposé. Les classes non conduites, donc manifestant des tendances anarchiques, sont de plus en plus nombreuses. Les enseignants gaspillent leur énergie dans le règlement de conflits à l'intérieur de l'équipe enseignante au lieu de recevoir et d'assumer des responsabilités clairement définies face à leurs classes respectives. Ce problème s'aggrave du fait qu'il y a de moins en moins d'enseignants à plein temps. Il serait plus honnête d'admettre que c'est pour cette raison que le système du teamteaching se généralise. Or, il s'agit, ni plus ni moins, d'une autre manière d'éviter à l'individu la charge d'assumer des responsabilités. La commission de l'instruction publique de l'UDC a résumé cette problématique comme suit: "Imaginer qu'il existe des équipes enseignantes cohérentes dans le quotidien scolaire, c'est se perdre au royaume des illusions."

 

La formation professionnelle théorique des enseignants est sans doute suffisante, mais elle manque singulièrement de rapport avec la pratique. Les enseignants ne sont pas formés pour jouer un rôle de leader et la constante réformite sévissant dans l'instruction publique absorbe le temps et l'énergie dont les enseignants auraient besoin pour développer leur créativité personnelle. Des déficiences doivent aussi être relevées au niveau des autorités scolaires qui n'apportent pas un soutien suffisant aux enseignants ou qui sont incapables d'écarter des enseignants incompétents.

 

La situation est pourtant claire: il faut stopper l'évolution actuelle, revenir au système du maître de classe et cesser d'académiser à outrance la profession d'enseignant. Ce qui compte, c'est le bon sens, l'expérience de la vie, la motivation d'enseigner librement et en assumant ses responsabilités - et non pas davantage de diplômes.

11/07/2010

Message du président du Vlaams Belang pour la fête nationale flamande.

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En ce 11 juillet 2010, jour de la fête nationale flamande, le Président du Vlaams Belang Bruno Valkeniers a redigé un message au sein duquel il demande que la prochaine reforme de l´Etat belge aille plus loin dans le sens des attributions de compétences aux régions.

09/07/2010

L'assassin de Theo van Gogh n'a pas eu une seule minute de regrets depuis 2004.

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Pays-Bas. Mohammed Bouyeri, l’assassin du réalisateur Theo van Gogh, n’a pas une seule minute de regrets depuis les faits qui se sont déroulés en novenbre 2004. C’est ce qu’il a écrit dans une lettre envoyée à la Fraternité musulmane Sanabi en Belgique.

Le chef  de file du PVV, Geert Wilders, a écrit au ministre de la justice des Pays-Bas afin de lui demander d’empêcher les contacts entre cet assassin condamné à la prison à vie et des groupes musulmans radicaux.

Silvio Berlusconi : "ou la ‘manœuvre’ financière passe, ou nous rentrons tous à la maison".

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« L’annonce de Silvio : ‘ou la ‘manœuvre’ financière passe, ou nous rentrons tous à la maison’ » (Antonio Vanuzzo, Il Riformista) :

« Lors d’un entretien télévisé sur Italia 1, S. Berlusconi a qualifié la loi de finances rectificative d’‘acte de courage’, affirmant ‘si la loi ne passe pas, le gouvernement s’en ira’. Le président du Conseil s’est référé aux données diffusées hier par le FMI, qui a légèrement revu à la hausse ses estimations sur le PIB italien pour 2010 (de +0,8% à +0,9%) mais avec une légère baisse du taux de croissance pour 2011 (de +1,2 à +1,1%). ‘Les dernières données économiques’, a expliqué Berlusconi, ‘confirment la ligne du gouvernement ; la reprise est en cours, et sera beaucoup plus solide grâce à une politique de rigueur dans la dépense et les comptes publics’. A Rome, hier, la commission Budget du Sénat a poursuivi l’adoption de nombreux petits amendements sur la ‘manœuvre’, laissant de côté le vrai problème, les coupes budgétaires des régions. Sur ce front, rendez-vous est pris pour aujourd’hui : les responsables des collectivités territoriales examineront avec le gouvernement les coupes imposées par la loi de finances rectificative. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

L'UDC revendique le siège devenu vacant au Conseil fédéral.

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Nous avons parlé sur ce blog, à plusieurs reprises, du fait que l’UDC Suisse, qui doit obtenir deux postes de conseiller fédéral (ministre), s’est retrouvé sans conseiller fédéral, puis en a récupéré un et tente depuis lors d’obtenir le deuxième siège de ministre qui lui revient.

 

Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29 % des voix : 

 

L'UDC a pris acte de la démission annoncée du conseiller fédéral Moritz Leuenberger. Ce départ aurait dû intervenir depuis longtemps. En avril dernier, la direction de l'UDC Suisse avait déjà décidé de faire valoir le droit clairement établi du parti à un deuxième siège au Conseil fédéral, indépendamment du fait que le démissionnaire soit socialiste ou radical. Conformément à la règle de la concordance, l'UDC a droit, plus que tout autre parti politique, à un deuxième siège au gouvernement.

 

L'UDC a toujours respecté la concordance. Ayant recueilli 28,9% des suffrages aux dernières élections au Conseil national, l'UDC est de loin le premier parti de Suisse. Le PS suit avec 19,5%, le PLR avec 17,7% et le PDC avec 14,5%. C'est dire que le droit de l'UDC à deux sièges au Conseil fédéral est mieux établi que celui de tout autre parti. L'UDC est aujourd'hui clairement sous-représentée avec seulement un siège au gouvernement. Par conséquent, elle réclame pour elle le siège devenant vacant à la suite du départ de Moritz Leuenberger. Il appartiendra aux organes compétents du groupe parlementaire et du parti de choisir le candidat de l'UDC.

Deux députés du BZÖ ne participent pas à l'investiture du président autrichien.

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Lors de la cérémonie d’entrée en fonction du président de la République autrichienne, les Députés du BZÖ Stefan Petzner et Gerald Grosz étaient absents. Ils ont pris cette décision parce qu’ils sont favorables à la suppression de la fonction de président de la République.

08/07/2010

Vienne: une scission du BZÖ va soutenir les sociaux-démocrates.

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L’Initiative Wiener Bürger (Initiative de Citoyens de Vienne) est une scission du BZÖ, le parti fondé en 2005 par Jörg Haider. Ce mouvement, qui compte 800 membres et sympathisants, ne se présentera pas lors des élections à Vienne mais soutiendra le Maire sortant social-démocrate (SPÖ), candidat à sa réélection,  Michael Häupl. Dans le quartier de Floridsdorf, ce mouvement soutiendra le maire de quartier (SPÖ) Heinz Lehner. Ce dernier déclare : « Je me réjoui de chaque soutient - de chaque citoyen qui s’intéresse à la politique - peut-importe la raison qui l’a amené au SPÖ. »

 

Deux autres mouvements issus de la scission du BZÖ, le Freies Bündnis Zukunft et la liste de citoyens de Hans-Jörg Schimanek, n’ont pas encore décidé si ils allaient se présenter aux élections pour le Parlement du Land de Vienne.

Le nouveau nationalisme russe.

Le livre Le nouveau nationalisme russe de Marlène Laruelle est un ouvrage intéressant. Il nous décrit l’évolution politique de la Russie et contient de nombreuses informations à propos des différents partis politiques qui jouent la carte du nationalisme en Russie.

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Berlusconi isole Fini.

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« Le président du Conseil isole Fini et met le gouvernement à l’abri des surprises » (Massimo Franco, Corriere della Sera) :

« L’éloignement entre G. Fini et le PdL se précise, sans que l’on entrevoie cependant le moment exact de la rupture définitive. Dans ses rencontres d’hier avec les dirigeants du centre droit, Berlusconi l’a liquidé d’un ‘Fini n’existe plus’ mais l’exigence de ne pas exacerber la tension avec le Quirinal retarde le moment du règlement de comptes. Le silence du président de la Chambre face au communiqué conjoint de Berlusconi et Tremonti – annonçant le vote de confiance sur la ‘manœuvre’ financière à la Chambre comme au Sénat – trahit son irritation : il sait parfaitement que la demande de confiance est un défi qui lui est lancé. Le gouvernement le met face à une contradiction qui lui a déjà été reprochée ces dernières semaines : celle d’être à la fois le chef d’une minorité interne du PdL et d’avoir le troisième personnage de l’Etat au sens institutionnel – et, par conséquent de devoir choisir. L’initiative tend à le faire apparaître comme marginal et privé de poids véritable. Les marges de manœuvre au Parlement tendent à devenir nulles et le centre gauche se plaint de l’absence de toute possibilité de discussion. Le vote de confiance aura lieu jeudi 15 au Sénat, puis ce sera le tour de la Chambre. A cette occasion, on pourra mesurer la distance qui sépare G. Fini de ces gens qu’il sent de moins en moins comme faisant partie de la même majorité que lui, un sentiment que partage sans état d’âme le PdL. »

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(Traduction : ambassade de France à Rome)

Le président du BNP recommande Geert Wilders pour le prix Sakharov.

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Le président du BNP, Nick Griffin, recommande Geert Wilders pour le prix Sakharov. Il propose Geert Wilders pour son combat inlassable en faveur de la liberté d’expression, contre l’islamisation et l’immigration de masse et son opposition aux attaques gauchistes à l’encontre des valeurs de la civilisation occidentale en vue de détruire l’Europe de l’intérieur. Et cela malgré le fait que la justice néerlandaise le persécute pour son courageux travail.

 

Selon Nick Griffin, le Parlement européen devrait donner un signal en attribuant à Geert Wilders le prix Sakharov 2010 afin de dire qu’il ne tolérera plus des attaques aussi monstrueuses à l’encontre de la liberté d'expression et le droit des citoyens de défendre les valeurs qui sont indéniablement les pierres angulaires de la société au sein de laquelle ils vivent.

Le 11 novembre 2010 : 4ème journée nationaliste et identitaire de Synthèse nationale.

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Une date à retenir :

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PARIS - FORUM DE GRENELLE
JEUDI 11 NOVEMBRE 2010

LA 4ème JOURNEE

 

NATIONALISTE & IDENTITAIRE

ORGANISEE PAR

SYNTHESE NATIONALE

07/07/2010

Pas question de préparer l'adhésion à l'UE - l'UDC rejette un accord-cadre avec l'UE.

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% des voix :

La prise de position en politique européenne que les gouvernements cantonaux ont adoptée aujourd'hui donne une impression ambiguë. Les cantons s'engagent certes pour la poursuite de la voie bilatérale, mais exigent en même temps la conclusion d'une convention bilatérale avec l'UE. Pour l'UDC, il est évident que la signature d'une telle convention pour régler des questions institutionnelles ouvrirait la voie à un accord-cadre matériel. Le Conseil fédéral a lui aussi évoqué cette possibilité qui constitue en réalité une nouvelle étape vers l'adhésion de la Suisse à l'UE. L'UDC rejette avec la même détermination diverses autres propositions cantonales comme un ancrage de la politique européenne dans la Constitution fédérale ou encore l'introduction d'une cour constitutionnelle en Suisse.

Bruxelles continue malgré tout d'exercer une attraction quasi magique sur les autorités suisses. Comme le Conseil fédéral et l'administration, les gouvernements cantonaux ne ratent aucune occasion pour tenter de pousser la Suisse dans l'UE. Les chants à la gloire de l'UE poussés régulièrement par l'ambassadeur UE Reiterer - comme aujourd'hui dans le quotidien zurichois NZZ - ne semblent pas rester sans effet sur ces milieux.

L'UDC exige que les rapports entre la Suisse et l'UE continuent de passer par des accords bilatéraux individuels. Ces traités doivent régler des objets clairement définis et intéressant les deux parties. En revanche, l'UE s'oppose catégoriquement à tout rapprochement institutionnel de l'UE. Un accord-cadre servirait avant tout à préparer l'adhésion de la Suisse à l'UE. Il serait au contraire temps que le Conseil fédéral retire enfin la demande d'adhésion déposée à Bruxelles. Faut-il rappeler qu'une entrée de la Suisse dans l'UE aurait pour conséquences la suppression de la démocratie directe, une baisse des salaires, une hausse du chômage, un renchérissement des loyers, des taxes et redevances encore plus lourdes ainsi qu'une versement obligatoire de plusieurs milliards de francs par an à Bruxelles?

La cour constitutionnelle, que les cantons suggèrent d'introduire en Suisse pour vérifier la constitutionnalité de lois fédérales affectant le principe de la subsidiarité, doit également être rejetée. Provoquant l'émergence d'un Etat de juges et restreignant les droits démocratiques, cette proposition aurait même du mal à trouver une majorité auprès des cantons.

Le Vlaams Belang Jongeren organise une université d'été.

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Le Vlaams Belang Jongeren (Jeunesses du Vlaams Belang) organise son université d’été du 17 au 24 juillet 2010 dans la Province du Limbourg (Belgique).

La réunion est ouverte aux membres du Vlaams Belang Jongeren qui ont entre 16 et 35 ans inclus.

Berlusconi : "le PdL aura le dessus sur les courants internes".

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« Berlusconi : réunion avec les anciens de Forza Italia : ‘le PdL aura le dessus sur les courants internes’ » (Carmelo Lopapa, La Repubblica) :

« Berlusconi a convoqué hier le cercle restreint des dirigeants qui étaient à ses côtés au sein de Forza Italia. Il a lancé un dernier avertissement à G. Fini, qui paraît cependant s’adresser aussi à tous les berlusconiens en train de fonder un défilé de courants divers et variés : ‘maintenant, la vieille politique, ça suffit’. C’est en quelque sorte un ‘cabinet de guerre’ qui s’est réuni en vue, surtout, de solder définitivement les comptes avec les finiens : les fidèles La Russa et Gasparri, anciens d’AN, n’y étaient pas, alors qu’étaient présents les coordinateurs Bondi et Verdini, les responsables de groupe Cicchitto et Quagliariello, le ministre Alfano et le conseiller juridique Ghedini. Après deux heures de discussion, un communiqué très sec a répété le leitmotiv berlusconien des dernières semaines : ‘le PdL est né en tant que mouvement populaire, expression directe des électeurs, pour unir toutes les traditions politiques du centre droit et avoir ainsi le dessus sur la vieille partitocratie et la vieille logique des courants, d’où qu’ils proviennent’. »

« Les tensions au sein du PdL mettent tout le centre droit en péril » (Massimo Franco, Corriere della Sera) :

« Il est vrai que ‘les dissensions au sein de la majorité ne proviennent que d’une minorité’ face à une ‘énorme majorité’ numérique, comme dit P. Bonaiuti. Mais, politiquement, le PdL prend des coups qui pourraient remettre en cause son identité et suggérer de nouvelles solutions, et Berlusconi le sait bien. La multiplication des groupes en son sein est un symptôme de la crise qui touche tout le centre droit, au-delà des tensions avec Fini. Elle confirme le sentiment que le centre droit est habité par des projets et des ambitions trop différents pour que la cohabitation dure encore longtemps. Au sein du centre droit, on paraît s’affronter sans craindre la rupture : l’opposition est faible et il ne semble pas y avoir d’alternative ; l’idée selon laquelle le PdL ne serait que temporaire, victorieux en 2008 et pourtant précaire dans l’esprit même de ses fondateurs, va grandissant. A ce stade, la question n’est plus de savoir si Berlusconi et Fini prendront des chemins différents mais quand et comment ils célébreront leurs adieux. Quand Formigoni menace de restituer ses pouvoirs au gouvernement, il officialise un affrontement avec le Palais Chigi et surtout avec Tremonti, et ce depuis la Lombardie, cœur du pouvoir berlusconien et léghiste. Les petites crises virtuelles qui se succèdent sans issue montrent que le centre droit a perdu son épicentre. Et la réunion d’hier avec les ex-Forza Italia démontre aussi, sans le vouloir, l’existence d’un courant berlusconien. Cette situation permet au gouvernement et au PdL de survivre mais sûrement pas, à ce stade, de faire face au reste de la législature avec confiance et détermination. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

06/07/2010

Geert Wilders pense que l’ancien informateur doit être licencié de sa fonction de président du Conseil d’État.

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Pays-Bas. Le chef du PVV, Geert Wilders, pense que l’ancien informateur, Herman Tjeenk Willink, doit être licencié de sa fonction de président du Conseil d’État et ne doit plus être choisi dans le futur en tant qu’informateur.

Le dirigeant du PVV est mécontent parce que son parti a été exclu des négociations en vue de la formation d'un gouvernement.

Tjeenk Willink a transmis lundi sa tâche à Jacques Wallage (PvdA / Parti social-démocrate) en Uri Rosenthal (VVD / Parti libéral de droite).