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04/02/2010

Italie: les députés offrent un répit à Silvio Berlusconi.

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Voici un communiqué de l'AFP :
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ROME — Les députés italiens ont adopté mercredi une loi sur "l'empêchement légitime" qui devrait offrir un répit de 18 mois à Silvio Berlusconi, poursuivi dans deux affaires par la justice de son pays, en lui évitant de se rendre devant les tribunaux pendant cette période.

Pour entrer en vigueur, ce projet de loi, adopté à l'issue d'un débat particulièrement houleux, doit être adopté dans les mêmes termes par le Sénat qui l'examinera prochainement.

En vertu de ce texte, le chef du gouvernement et ses ministres peuvent obtenir automatiquement, grâce à une sorte de déclaration sur l'honneur, la suspension d'un procès pour "empêchement légitime", pendant un délai de 18 mois maximum.

Jusqu'à présent ces "empêchements légitimes" étaient examinés au cas par cas. Ces derniers mois, les juges ont par exemple accepté que le président du Conseil ne se présente pas devant eux en raison d'un Conseil des ministres, mais ils ont rejeté un autre empêchement invoqué, l'inauguration d'un tronçon de route.

Le délai de 18 mois a été prévu pour donner le temps nécessaire au Parlement d'adopter une loi constitutionnelle accordant une immunité pénale aux plus hautes charges de l'Etat, notamment le président de la République et le chef du gouvernement.

Quelques semaines après son retour au pouvoir en avril 2008, Silvio Berlusconi avait fait adopter une loi qui gelait pour la durée de leur mandat les poursuites judiciaires contre les quatre plus hautes charges de l'Etat italien (les présidents de la République, du Conseil, de la Chambre des députés et du Sénat).

Cette loi ayant été invalidée en octobre par la Cour constitutionnelle, Berlusconi a été de nouveau convoqué par la justice dans le cadre de deux affaires, l'une pour corruption de témoin et l'autre pour faux en bilan.

Le Cavaliere affirme depuis des années que les juges "rouges" veulent l'éliminer de la scène politique par des moyens judiciaires et l'empêchent de se concentrer sur la gestion du pays en le contraignant à consacrer trop de temps à ses procès.

La gauche a estimé que cette loi était taillée sur mesure pour le Cavaliere et a qualifié ce vote de "page honteuse pour les institutions" italiennes. "Il y a un premier (ministre) qui ne veut pas se faire juger et maintient l'Italie dans une folle guerre entre politique et justice", a déclaré Pier Luigi Bersani, chef du Parti démocrate (PD), principal parti d'opposition.

Le parti chrétien démocrate d'opposition UDC a préféré s'abstenir, jugeant qu'il s'agissait d'un "moindre mal", selon les termes de son chef, Pier Ferdinando Casini.

"Dans 18 mois, Berlusconi sera de nouveau cité à comparaître, à moins qu'une autre petite loi pour lui ne soit adoptée au Parlement", a déclaré, sous les huées de la droite, Massimo D'Alema, ancien chef du gouvernement italien de gauche.

Quant à l'Italie des Valeurs (IDV, opposition) de l'ex-juge anti-corruption Antonio Di Pietro, elle a crié "empêchement légitime, impunité légitime" et "la caste jubile, l'Italie sombre".

UDC Suisse : le Conseil fédéral s'oublie.

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29 % des voix :

 

Le Conseil fédéral a perdu de vue les intérêts du pays et sort complètement de son rôle. En acceptant d'accueillir deux Ouïgours du camp de prisonniers de Guantanamo, le gouvernement enlève une épine du pied de l'Etat américain sans obtenir aucune contrepartie et il compromet par la même occasion les bonnes relations de la Suisse avec la Chine. D'un côté, la Suisse s'expose sans nécessité aucune au risque terroriste, de l'autre elle met en jeu un potentiel économique valant des milliards de francs. Et pour couronner le tout, le Conseil fédéral s'écrase devant l'Allemagne: au lieu d'envisager des contremesures dans l'affaire des données bancaires volées, il fait semblant d'espérer que le gouvernement allemand revienne à de meilleurs sentiments.

 

Les décisions prises aujourd'hui par le Conseil fédéral sont consternantes. Le gouvernement agit sans méthode et oublie les intérêts du pays et la neutralité suisse. Comment expliquer sinon que le Conseil fédéral met en péril les relations sino-helvétiques et aide les Etats-Unis à résoudre un de leurs problèmes sans obtenir la moindre contrepartie? Il est cynique d'invoquer l'aide humanitaire, car ces Ouïgours seraient également libérés aux Etats-Unis et pourraient y vivre à condition de ne pas menacer la sécurité publique.

 

L'attitude du gouvernement dans l'affaire du vol de données bancaires et du comportement des autorités allemandes est tout aussi confuse. Le Conseil fédéral devrait avoir la force et le courage de rejeter catégoriquement cette attaque grossière contre la souveraineté suisse. Dans cette situation, il ne saurait être question que la Suisse négocie un nouvel accord de double imposition avec l'Allemagne et qu'elle poursuive ses versements dans le cadre de l'imposition du revenu de l'épargne déposée en Suisse.

03/02/2010

Élections pour le Parlement du Burgenland.

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Autriche. Le 30 mai 2010 doivent avoir lieu les élections pour le Parlement du Burgenland.

 

Le FPÖ du Burgenland est prêt pour la campagne et veut la mener de manière économique. 300.000 euros sont à disposition. La campagne sera menée intensivement durant cinq semaines. Le point fort de la campagne réside dans la visite de domiciles et les conversations personnelles.

 

Les listes du parti seront fixées ce samedi lors d’un conclave de la direction du FPÖ du Burgenland.

 

Le Parlement actuel, issu des élections de 2005 :

 

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SPÖ = Parti social-démocrate
ÖVP = Parti conservateur
Grüne = Verts.

Carinthie : montant de la prime à la naissance diminué.

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Cette prime instaurée par Joerg Haider se montait à 800 euros pour le premier enfant, 900 euros pour le deuxième enfant et 1000 euros pour le troisième enfant. Elle vient de passer, depuis le 1 janvier 2010, à 500 euros par enfant. La Carinthie est le seul Land d’Autriche à accorder une prime à la naissance.

02/02/2010

« HC pour l'Autriche. L'Autriche pour HC»

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Heinz-Christian Strache, le président du FPÖ : « FPÖ : le parti social-patriotique. HC pour l'Autriche. L'Autriche pour HC ».

Le moment est venu de faire élire le Conseil fédéral par le peuple!

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% des voix :

 

Le comité d'initiative a lancé la récolte de signatures pour l'initiative populaire fédérale "Election du Conseil fédéral par le peuple". Ce projet exige que désormais le peuple et non plus le Parlement élise le Conseil fédéral. Cela fait longtemps que les gouvernements cantonaux sont nommés de cette manière.

 

Cette initiative populaire arrive à point nommé. Le Conseil fédéral et le Parlement ont prouvé par leur comportement de ces derniers mois que ce nouveau droit populaire et instrument de la démocratie directe répondait à une nécessité urgente. Après l'acceptation de l'initiative sur les minarets, bon nombre de citoyennes et de citoyens étaient en effet consternés devant l'attitude de plusieurs conseillers fédéraux qui osaient se distancer par rapport à la décision claire et nette prise par leur propre peuple. Au lieu de prendre sans discussion le parti du peuple et d'expliquer le fonctionnement de notre démocratie unique au monde, ces magistrats ont montré qu'ils se sentaient responsables avant tout devant des organisations étatiques internationales et le droit public international et non pas devant leur propre peuple.

 

Lorsque cette initiative aura abouti, le peuple suisse aura l'occasion, pour la troisième fois de son histoire après 1900 et 1942, de se prononcer sur l'élection du Conseil fédéral par le peuple. Au moment où le souverain votera sans doute sur notre initiative, plus de 70 ans se seront écoulés depuis le dernier scrutin sur ce thème. Il est donc grand temps de poser une nouvelle fois cette question.

 

Les exigences de l'initiative

 

- Le corps électoral du Conseil fédéral est le peuple suisse et non plus le Parlement. Ce système pratiqué dans tous les cantons renforce la démocratie directe et assure un meilleur contrôle du pouvoir.

 

- Le Conseil fédéral est élu lors des élections ordinaires au Conseil national, soit tous les quatre ans. Est éligible tout citoyen également éligible au Conseil national.

 

- Deux sièges au moins sont garantis aux minorités linguistiques. Ainsi, le droit de la Suisse latine d'être équitablement représentée au Conseil fédéral est garanti par la Constitution. Il s'agit là d'une amélioration évidente par rapport au système actuel.

 

- L'élection se fait selon le système majoritaire suivant: tous les suffrages valables obtenus par les candidats sont divisés par le nombre de conseillers fédéraux à élire, puis le résultat est divisé par deux plus un. Appliqué dans la majorité des cantons, ce procédé est proche du système proportionnel en ce sens que la majorité absolue n'est pas excessivement élevée, si bien qu'il n'y a pas obligatoirement un deuxième tour de scrutin.

 

Berne, 2 février 2010

« La Ligue présente la ‘truite’. »

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« La Ligue présente la ‘truite’ » (Michele Brambilla, La Stampa) : « Au pays des ‘fils de’, au tour de Renzo Bossi d’être candidat aux régionales, à Brescia. Pour démentir les médisances inévitables, le vice-ministre Castelli a tenu à préciser que sa candidature n’avait ‘rien à voir avec d’autres candidatures d’enfants, d’épouses ou de parents, insérés dans des listes bloquées et assurés d’être élus’ : ‘le fils d’Umberto Bossi devra affronter la campagne et obtenir assez de voix ; pour un garçon de 21 ans, je crois que c’est un acte de courage auquel je tire mon chapeau.’ Jusqu’ici le fait d’avoir un tel père a surtout valu à Renzo des ennuis. Il a raté son bac 4 fois, comme bon nombre de recalés qui, eux, ne finissent à la une. Et puis, il y a l’histoire du jeu vidéo ‘refoule les clandestins’ sur la page Facebook de la Ligue, qui a valu au jeune Bossi une dénonciation de l’ARCI pour incitation à la haine raciale. Mais à cet âge là, qui ne fait pas de bêtises, la vie des enfants de célébrités est rude. Comme disait Montanelli, les grands hommes ne devraient pas avoir d’enfants. Bossi a toujours défendu son fils, mais sans le ménager, comme le jour où il l’a présenté au peuple léghiste : ‘un dauphin mon fils ? pour le moment, c’est une truite.’ On verra ce que dira la ‘truite’ pour convaincre les électeurs de l’élire. A ce stade, il s’en est tenu à quelques déclarations : ‘je me sens de Padanie, le drapeau italien ne représente rien pour moi’ ; ‘Rome, je m’en fous, ce qui m’intéresse c’est le territoire’ ; ‘ce n’est pas moi qui demanderai à être candidat, mais si un jour le chef me le demande, pour mes compétences, je serai prêt.’ Ses compétences se bornent encore à l’équipe de foot de Padanie. Pour le chef, qui se trouve être aussi le papa, ça suffit. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

01/02/2010

Carinthie : un sondage donne le BZÖ au dessus du FPK.

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D’après un sondage actuel, le BZÖ obtiendrait 23 % des voix lors d’élections pour le Parlement de Carinthie. Le FPK obtiendrait seulement 19% des voix. Le Parti social-démocrate (SPÖ) serait le vainqueur du scrutin avec 25% des voix. Il avait obtenu 29% lors des dernières élections. Le FPÖ obtiendrait 8% des voix et entrerait au Parlement de Carinthie. Les Verts (écologistes) obtiendraient également 8%. Les conservateurs de l’ÖVP atteindraient 15%, alors qu’ils ont obtenu 17 % lors des dernières élections pour le Parlement du Land.

La famille nationaliste (FPK+BZÖ+FPÖ) récolterait donc au total 50% des voix.

Italie : l’espoir du centre-droit de remporter 8 régions sur 13 demeure.

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« Tensions au sein de la majorité entre inconnues électorales et idées de remaniement » (Massimo Franco, Corriere della Sera de samedi) : « L’espoir du centre-droit de remporter 8 régions sur 13 demeure, mais avec quelques inconnues, notamment dans les Pouilles et dans le Latium. En détaillant les régions, Silvio Berlusconi s’aperçoit que si le PdL est très fort au Nord avec la Ligue, il l’est moins au Sud. Sa tentative d’alliance in extremis avec l’UdC naît de cette prise de conscience et son échec avive ce sentiment – par-delà les déclarations d’autosuffisance du PdL. Le centre-droit semble ne pas parvenir à exploiter la crise profonde du centre-gauche, entre primaires, scandales et démission. La compétition interne entre hiérarques locaux et certaines frictions entre ex-Forza Italia et ex-AN révèlent un dangereux manque d’union. La sortie de Maurizio Gasparri, président des sénateurs PdL, est frappante – ‘si AN et le PdL se séparent, moi je reste au PdL’ – et suggère un scénario de rupture que dément en apparence la trêve déclarée entre Berlusconi et Fini. Et puis, il y a les tensions récurrentes avec l’UdC – dont la dernière sur la candidature de centre-droit à la mairie de Bologne – qui freinent la consolidation d’un front capable de défier la gauche presque partout. Sans compter qu’en cas de défaite, ces tensions auront aussi un impact sur le gouvernement. »

Entretien avec Angelino Alfano, ministre de la Justice, dans le Corriere della Sera de samedi – « Dialoguer est possible si l’on évite l’anti-berlusconisme » : « Le discours du procureur général près la Cour de Cassation faisant des ouvertures sur le ‘procès court’ est intellectuellement honnête et courageux, anticonformiste en un sens. Il a envisagé avec sérieux la reconnaissance du droit des citoyens à un procès qui, sans être ‘court’, ait une date de conclusion certaine, sans se laisser influencer par le débat politique et par l’anti-berlusconisme qui inspire la gauche et une partie de la magistrature. On a pu constater que quand le débat n’est pas empreint d’anti-berlusconisme, magistrats et gouvernement arrivent à des diagnostics similaires et les thérapies proposées se ressemblent. »

(Traductions : ambassade de France à Rome)

L'Allemagne joue avec le feu.

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% :

 

Ce n'est pas la première fois que l'Allemagne cherche des moyens illégaux pour obtenir et utiliser des données bancaires confidentielles. Cette attitude relève incontestablement du recel. On combat l'illégalité par l'illégalité et l'Etat de droit passe à la trappe. En achetant des données bancaires obtenues de manière illégale, l'Allemagne violerait la souveraineté suisse par un acte inamical. Il appartient maintenant au Conseil fédéral de rappeler immédiatement aux autorités allemandes que ce procédé est inacceptable. Si l'Allemagne devait tout de même tenter de se procurer des données bancaires, les négociations en cours sur un accord de double imposition doivent être suspendues dans les plus brefs délais. Par la même occasion, la Suisse doit préparer des mesures de rétorsion contre l'Allemagne (par exemple concernant les frontaliers, les transports terrestres, etc.).

 

L'UDC invite par ailleurs le Conseil fédéral à suspendre l'application des accords de double imposition déjà négociés avec d'autres pays. Ces traités doivent en effet être complétés par une clause qui contraint les parties au contrat à ne pas utiliser des données bancaires obtenus illégalement. Faute d'un tel complément, l'UDC part du principe que le Parlement refusera tous les nouveaux accords de double imposition. L'UDC a déposé une intervention parlementaire dans ce sens.

 

 Berne, 1er février 2010

31/01/2010

Nouveau tract de pro Köln / pro NRW distribué à Cologne.

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Allemagne. Un nouveau tract de pro Köln / pro NRW est distribué dans les boîtes aux lettres de Cologne. Ce tract établi une relation entre pro Köln et pro NRW : « Pro Köln stärken - Pro NRW wählen! » (Renforcer pro Köln – voter pro NRW !)

Le version du dessin de l'affiche de l'UDC Suisse mis en avant lors du référendum sur les minarets a été adaptée à l'Allemagne et est utilisée pour la campagne de pro NRW pour les élections du Parlement du Land de Rhénanie du Nord - Westphalie.

 

Voir le tract : http://www.pro-koeln-online.de/pdfs/koeln-petition.pdf

30/01/2010

500 participants lors de la convention du BZÖ.

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500 délégués du BZÖ se sont retrouvés à Sankt-Veit an der Glan. La musique diffusée est celle du film « Avatar ». Il y a eu plus de participants que prévu. Des sièges et des tables supplémentaires ont du être ajoutés.   

    

Le Président du BZÖ Josef Bucher, Ursula Haubner (le sœur de Joerg Haider) , ainsi que le chef du BZÖ de Styrie Gerald Grosz étaient présents.

 

"Da sitzen Leute mit Anstand und Charakter, das ist ein Aufbruch für Kärnten", c’est-à-dire « Là se trouvent des gens avec du savoir-vivre et du caractère. C’est un départ pour la Carinthie. »

 

Le Président national du BZÖ Josef Bucher a été élu avec 99,6% des voix président du BZÖ de Carinthie.

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Stefan Petzner présente le slogan : "Réclamation : ils ne font pas attention à ta Carinthie!" (Le FPK ne prend pas soin de l'héritage politique de Joerg Haider.)
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29/01/2010

Geert Wilders invité à la Chambre haute du Parlement britannique.

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Le dirigeant du P.V.V. néerlandais Geert Wilders a reçu une invitation, de deux membres de la  Chambre haute du Parlement britannique, afin de présenter son film Fitna, le 5 mars 2010, devant l'assemblée. Rappelons que l’année dernière Geert Wilders avait été recalé à la frontière du pays.

Ce samedi : congrès du nouveau BZÖ de Carinthie.

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Ce samedi, le congrès du nouveau BZÖ de Carinthie aura lieu à St. Veit an der Glan. Une personne avec qui je suis en contact me communiquera des informations sur la réunion.

28/01/2010

PVV : site web pour La Haye et Almere.

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Pays-Bas. Le PVV lance un site web pour La Haye et un autre pour Almere. Cela signifie que le PVV se présentera lors des élections municipales dans ces deux villes.

 

Sur chacun des sites se trouvent les programmes et les candidats.

 

PVV Almere : http://www.pvvalmere.nl/

PVV La Haye : http://www.pvvdenhaag.nl/

Le Royaume-Uni débloque 17 millions de livres sterlings pour la construction de toilettes au Vietnam.

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Royaume-Uni. Alors que le taux de chômage atteint 7,8% et que 2 millions de pensionnés vivent dans la pauvreté, le gouvernement britannique a annoncé une aide de 17 millions de livres sterlings pour la construction de toilettes au Vietnam.

Rapprochement entre le FPÖ et le Jobbik.

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Le FPÖ (Autriche) et le Jobbik (Hongrie) ont décidé de se rapprocher. Des contacts ont lieu entre les deux partis. Une collaboration n’est toutefois pas en cours.

 

Des élections nationales sont prévues en avril 2010 en Hongrie. Le Jobbik, qui dispose de trois députés européens et ne dispose pas de députés nationaux, pourrait faire son entrée au Parlement de Hongrie.

Le PdL au Sud avec les centristes pour contrebalancer la Ligue

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« Le PdL au Sud avec les centristes pour contrebalancer la Ligue » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « Le rencontre d’hier entre Silvio Berlusconi et Lorenzo Cesa, secrétaire de l’UdC, en quête d’un compromis pour éviter que les centristes ne se présentent seuls dans les Pouilles, s’explique par la crainte du PdL de perdre face à Vendola. Une alliance PdL-UdC existe déjà en Calabre, en Campanie et dans le Latium ; s’il en était ainsi à Bari, la géographie des alliances du PdL serait claire, différenciée entre Nord et Sud, vu l’incompatibilité entre la Ligue du nord et l’UdC – comme en 1994, quand Forza Italia était allié avec Bossi au Nord et avec le MSI de Fini au Sud. Bossi tente de dissuader Berlusconi : ‘nous, nous avons décidé de ne pas négocier avec eux et c’est un conseil que je donne aussi au PdL.’ Or, si le PdL met de côté les polémiques sur l’‘opportunisme’ de l’UdC et cherche un candidat de consensus dans les Pouilles, c’est à la fois parce qu’il veut conquérir une région dirigée par la gauche et éviter que Bossi ne présente une note trop salée à Rome en cas de double succès en Vénétie et dans le Piémont. Ce que le PdL parviendra à remporter avec ou sans la Ligue pèsera en effet sur les équilibres gouvernementaux nationaux. Berlusconi a besoin de contrebalancer l’hypothèque de Bossi au Nord par une victoire nette ailleurs et il est prêt pour cela à s’allier avec Casini. Autant de manœuvres qui illustrent à droite, à gauche et au centre, une désinvolture confinant à l’opportunisme mais, surtout, l’importance stratégique des élections des 28 et 29 mars. »

(Traductions: ambassade de France à Rome.)

27/01/2010

Congrès de pro NRW en février à Leverkusen.

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Allemagne. Pro NRW (Pour la Rhénanie du Nord-Westphalie) organise, le 19 février 2010 au Forum de Leverkusen, un congrès du parti consacré au programme de pro NRW. Andreas Molzer du FPÖ et le riche entrepreneur Patrik Brinkmann seront présents. Ils tiendront un discours au côté du Président de pro NRW Markus Beisicht. Les candidats de tête et la campagne seront présentés au public.

Présentation du programme du FPÖ de Basse-Autriche pour les élections municipales.

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Le FPÖ de Basse-Autriche a présenté son programme en vue des élections municipales. La sécurité se trouve au centre. Le slogan qui sera placé sur les affiches est : « sécuriser les frontières – protéger la patrie. »

 

« Nous devons à nouveau contrôler les frontières » déclare Barbara Rosenkranz. La sécurité des frontières concerne massivement les municipalités de Basse-Autriche, c’est pourquoi ce thème a été mis au centre de la campagne du FPÖ.

 

Le FPÖ veut participer aux élections municipales du 14 mars 2010 au sein de 300 municipalités de Basse-Autriche. En 2005, le FPÖ a obtenu 3,3% et espère doubler son score.

Italie : le débat sur la burqa traverse les Alpes.

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« La Ligue exulte, le PD freine. Carfagna : ‘bientôt aussi chez nous’ » (Vladimiro Polchi, La Repubblica) : « La guerre déclarée à la burqa de l’autre côté des Alpes rebondit en Italie, unissant les forces politiques sur la finalité (interdire le voile qui couvre le visage), les divisant sur le moyen, entre ceux favorables à une loi et ceux qui y sont opposés. Les premiers à saluer favorablement l’éventuelle loi française sont les dirigeants de la Ligue du nord. Le ministre Calderoli parle ‘d’une initiative positive, d’autant que la liberté individuelle doit toujours être équilibrée, avec l’exigence de protéger la sécurité’. Au PdL, Maria Carfagna, ministre pour la Parité, soutient que ‘interdire la burqa est une façon d’aider les jeunes immigrés à sortir des ghettos’ et promet que l’Italie aura bientôt une loi ad hoc. Franco Frattini, ministre des Affaires étrangères, est plus prudent dans son commentaire : ‘je ne suis pas, par principe, en faveur d’une pure et simple interdiction au moyen d’une loi’. Farefuturo, fondation présidée par Gianfranco Fini, tempère dans un communiqué : ‘Interdire l’usage de la burqa est un faux problème parce qu’il ne regarde qu’une tranche plus que minoritaire de la population de religion musulmane et surtout parce ce que ce n’est pas en imposant qu’on résout un problème qui est avant tout d’ordre culturel’. A sein du PD, on invite à ‘éviter des raccourcis propagandistes’ et à être ‘attentifs à ne pas porter atteinte à la liberté religieuse’ ou ‘à créer des discriminations’. Antonio Di Pietro (IDV) fait la distinction entre : ‘la burqa, instrument de contrainte comparable à une cage’ et ‘le libre choix de l’expression d’un droit individuel’. Du côté des musulmans, Ahmad Gianpiero Vincenzo, président des Intellectuels musulmans italiens rappelle que ‘interdire le voile intégral est compatible avec l’Islam qui ne prescrit pas de couvrir le visage des femmes’. L’Union des communautés islamiques en Italie (UCOI) se montre plus critique :’nous ne croyons pas que le visage doive être couvert, mais nous trouvons que la liberté religieuse garantie par la Constitution se trouve mise sous tutelle’. ».

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

26/01/2010

Aujourd’hui, Joerg Haider aurait eu 60 ans.

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Une nouvelle attaque contre le mythe « Haider » a vu le jour. Joerg Haider aurait aidé deux riches Russes à obtenir la nationalité autrichienne en contrepartie d’investissements en Carinthie. Les deux Russes ont reçu la nationalité autrichienne lors du dernier conseil des ministres (du gouvernement autrichien) de la coalition ÖVP-BZÖ, en janvier 2007.

 

Ce matin, des personnes se sont recueillies à Lambichl, à l’endroit où l’accident a eu lieu.

Tempête dans un verre d'eau au Danemark.

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Le Premier ministre danois Lars Rasmussen a condamné aujourd’hui les propos tenus par le Député du Parti du Peuple danois Jesper Langballe dans une chronique publiée samedi dernier, dans le quotidien Berlingske Tidende, contre «les musulmans qui tuent leurs filles (lors de crimes d’honneur) et qui ferment les yeux sur leurs viols par leurs oncles». Cette chronique portant sur «la conception obscurantiste des femmes dans l’islam» et «l’islamisation de l’Europe».

 

Le député a reconnu devant des journalistes s’être «exprimé maladroitement et sarcastiquement» dans sa chronique qui «a provoqué des remous», tout en défendant le fond de sa pensée au sujet «des crimes d’honneur qui existent dans des familles musulmanes».

 

Le Parti du Peuple danois constitue un soutient indispensable du gouvernement au Parlement danois, sans participer au gouvernement.

Nouvelle initiative populaire de l'UDC Suisse.

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Voici un communiqué de l'UDC (premier parti de Suisse, 29%) à propos de la nouvelle initiative populaire lancée par le parti :

 

Initiative pour les familles.

 

L'UDC lance aujourd'hui la récolte de signatures pour son initiative populaire "Initiative pour les familles: déductions fiscales aussi pour les parents qui gardent eux-mêmes leurs enfants". Ce projet demande que les parents, qui se chargent eux-mêmes de la garde de leurs enfants, aient droit au moins à la même déduction fiscale que les parents qui confient leurs enfants à des tiers. Il n'est pas acceptable que des parents profitent fiscalement en faisant garder leurs enfants par des tiers alors que les parents, qui assument intégralement cette tâche, soient exclus de cet avantage. L'UDC se bat ainsi pour le renforcement de la responsabilité individuelle et empêche que certaines organisations familiales soient fiscalement discriminées.

 

L'UDC s'engage sans compromis pour la famille. Elle veut que les familles aient toute liberté de décision dans l'éducation des enfants et elle soutient les parents qui prennent cette tâche au sérieux et assument toutes leurs responsabilités. L'UDC demande donc que toutes les familles avec enfants profitent du même allègement fiscal. Une révision fiscale doit être juste et ne pas avoir d'effet discriminatoire. Elle doit viser le bien des parents avec enfants et non pas soutenir une manière particulière d'éduquer et de garder les enfants. Le projet d'imposition des familles que le Parlement a adopté durant la session d'automne 2009 présente une grave lacune à ce niveau: la déduction admise sur le revenu, donc l'allègement fiscal, ne profite qu'aux familles qui font garder leurs enfants par des tiers. Ce procédé défavorise les familles dans lesquelles les parents s'occupent essentiellement eux-mêmes de la garde et de l'éducation des enfants. L'UDC s'oppose à cette discrimination de certaines formes familiales et lance donc son initiative pour les familles. Il est en effet intolérable, du point de vue de la politique familiale, que les familles choisissent le mode de garde des enfants en fonction des avantages et des inconvénients fiscaux qui se présentent. Les familles qui assument toute la responsabilité de la garde de leurs enfants doivent donc bénéficier de la même déduction fiscale que celles qui font garder leurs enfants par des tiers.

 

Voici les objectifs de l'initiative pour les familles:

 

- allègement fiscal pour toutes les familles avec enfants

- pas de discrimination des parents qui gardent eux-mêmes leurs enfants

- liberté de choix et indépendance des familles dans l'éducation des enfants

- NON à l'étatisation des familles avec enfants

- NON à la mise sous tutelle des parents

 

Berne, 26 janvier 2010

Italie : Bologne : la gauche touchée par les affaires.

« Delbono démissionne, Bologne sans maire » (Emilio Bonicelli, Il Sole 24 Ore) : « F. Delbono (Parti Démocrate - gauche) a annoncé sa démission à la suite du ‘Cinzia-gate’, un choc sans précédent pour le chef-lieu de l’Emilie-Romagne qui finit, pour la première fois depuis l’après-guerre, aux mains d’une administration provisoire. La décision a été prise entre samedi et dimanche, après cinq heures d’un interrogatoire mené par le magistrat Morena Plazzi, qui mène une enquête sur le maire de Bologne pour abus d’autorité et escroquerie aggravée, dans une affaire de voyages payés sur le budget de la région avec sa secrétaire et ex-maîtresse, Cinzia Cracchi. Bien qu’il ait précisé que sa démission était une ‘décision personnelle’, il est plus probable que Delbono ait été poussé par les dirigeants locaux du PD, qui ont fait de la question morale leur emblème. Pour éviter la paralysie, le conseil municipal a demandé à l’unanimité un décret permettant des élections anticipées – comme c’eût été le cas si la démission avait été antérieure au 20 janvier. Promesse d’évaluer l’hypothèse du décret une fois officialisée la démission a été faite par le ministre du Travail, Maurizio Sacconi, qui voit dans l’affaire Delbono ‘la conclusion du long déclin du parti qui a historiquement gouverné la ville.’ »

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« Fini : ‘non à la démocratie judiciaire’ » (Liana Milella, La Repubblica) : « Lors de la présentation du livre ‘Magistrats’ de L. Violante, ex-président de la Chambre, Fini parle d’‘équilibre entre pouvoir politique et pouvoir des juges’ et dit, citant Violante : ‘il faut assurer une valeur imprescriptible à l’indépendance de la magistrature, tout en évitant le risque d’une démocratie judiciaire ; la politique doit éviter d’influer sur l’indépendance de la justice.’ Le Garde des sceaux souligne : ‘le Parlement fait les lois au nom du peuple, lois qui doivent être appliquées par les juges’. Mancino, vice-président du CSM, met des garde-fous ‘l’obligation de l’action pénale ne se discute pas, le Parlement ne peut pas fixer de priorités car, en Italie, la criminalité est géographiquement hétérogène ; oui à une nette séparation des fonctions, mais non des carrières, et non à deux CSM.’ L. Violante est le dernier à prendre la parole : ‘le conflit politique-justice existe partout, c’est inévitable, mais il faut le gérer sans diviser le pays ; après les élections, il faudrait revoir la géographie judiciaire : 88 juridictions avec moins de 20 agents, c’est inacceptable, mieux vaut en avoir moins et qui fonctionnent.’ Sur les carrières, c’est un ‘non’ sec à Alfano : ‘1200 procureurs séparés et autogérés, et l’action pénale finirait par se retrouver entre les mains du chef de la police’.. »

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(Traduction ; ambassade de France à Rome.)