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31/05/2010

Rencontre entre pro NRW et les Republikaner.

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Allemagne. La fin de semaine passée, les directions de pro NRW et des Republikaner se sont rencontrées en vue de parler de coopération future entre les deux partis. Les présidents des deux partis, Rolf Schlierer et  Markus Beisicht, ont déclaré : « au vu de la dérive vers la gauche de l’Union (CDU/CSU), les temps sont mûrs  pour un parti conservateur et libéral qui se distancie des  positions d’ultra-droite. C’est pourquoi le rapprochement entre les forces et partis démocratiques de droite sont à l’ordre du jour. Pro NRW et les Republikaner doivent lancer un signal clair et conduire ensemble des actions et des organisations d'événements. D’autres réunions seront organisées. »
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Le site en français de Rolf Schlierer : http://www.rolfschlierer.de/fr/index.htm

30/05/2010

Élections au Burgenland : le FPÖ gagne deux sièges.

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Autriche. Ce dimanche, les élections pour le Parlement du Burgenland ont vu le FPÖ augmenter son score de 3,6 % et atteindre 9,3%. Le parti double son nombre de sièges au sein du Parlement du Burgenland en passant de 2 à 4 députés. Le FPÖ a subi la concurrence de la Liste Burgenland (LBL) qui s'oppose, elle aussi, au système de la carte de parti (politisation des nominations).

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Le Parti social-démocrate (SPÖ) perd sa majorité absolue en chutant à 48,55% des voix. Les écologistes, ne passant pas la barre des 4%, n'obtiennent pas de mandats. (Ils en détenaient deux).

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Résultats sans la comptabilisation des votes par correspondance.
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SPÖ : Parti social-démocrate
ÖVP : Parti conservateur
FPÖ : Parti national-libéral
Grüne : Parti écologiste (Verts) 
LBL : Liste Burgenland

Congrès électoral du VB à Anvers.

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Cet après-midi, le congrès électoral du Vlaams Belang en vue des élections législatives du 13 juin 2010 a eu lieu à Anvers. La salle était pleine.

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Anke Van dermeersch a tenu le discours de bienvenue. « Si vous allez voter le 13 juin, vous votez pour ou contre vous-même, vous votez pour ou contre votre pays, vous votez pour ou contre votre peuple, vous votez pour ou contre votre avenir. »

 

Les candidats ont apporté les salutations des différentes provinces. Gerolf Annemans, Joris Van Hauthem, Alexandra Colen et Nele Janseghers ont ensuite tenu un discours.

 

Filip Dewinter a présenté les faits criminels qui ont défrayés la chronique, au cours de ces derniers temps, à Anvers. Il a déclaré « Ce n’est pas le peuple qui est protégé contre les criminels. Ce sont les criminels qui sont protégés contre le peuple. »

 

Le Président du parti Bruno Valkeniers a déclaré que « le vote pour le Vlaams Belang est la meilleure garantie que votre voix soit prise en considération, aussi après le 13 juin » et « une voix pour le Vlaams Belang reste aussi après le 13 juin une voix pour la Flandre et pour les Flamands d’abord ».

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Anke Van dermeersch

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Filip Dewinter (en haut) et Bruno Valkeniers (en bas)

Henry Nitzsche participe à un congrès des Burschenschaften.

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Allemagne. Le 27 mai 2010, Henry Nitzsche, ancien député national de la CDU et président du mouvement « Arbeit-Familie-Vaterland » (Travail-Famille-Patrie), était l’invité du congrès des Burschenschaften (association d’étudiants nationalistes qui existent depuis le début du XXème siècle) à Eisenach. Il a déclaré « Les Burschenschaften sont les porteurs de bannières de la vertu allemande ». Il a été fortement applaudi par les 150 personnes présentes, ce qui démontre qu’il a touché l’âme de ces combattants de la liberté.
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Deux membres de Burschenschaften et Henry Nitzsche

29/05/2010

BNP : 14.000 membres.

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Royaume-Uni. Pour la première fois de son histoire, le BNP atteint les 14.000 membres.

Filip Dewinter : « An-Sofie est la charmante version féminine de moi-même ».

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Filip Dewinter a donné une interview au Nieuwsblad. La figure de proue du Vlaams Belang possède une vingtaine de bouteilles de Whisky dans sa salle de séjour. Il les a obtenues lors de l’ouverture du Parlement écossais. Á peine 5.000 de ces bouteilles ont vu le jour.

Le chien Ako pose pour la photo au côté de Filip Dewinter qui déclare en riant : « Si tu veux des amis en politique, prends donc un chien. »

Filip Dewinter est marié et a trois filles. Il essaye de parler le moins possible de politique à la maison. Cependant, il leur présente les actions politiques et campagnes prévues en premier, afin de connaître leurs premières impressions.

 

La deuxième des filles de Filip Dewinter,  An-Sofie (19 ans), est la plus active en politique. An-Sofie fait attention aux détails lorsque son père passe à la télévision ou à la radio :  « Je l’observe. S’il utilise des mots trop difficiles, je le lui dis. Si ces habits ne sont pas beaux ou ses cheveux pas bien coiffés, je le lui dis aussi.»

 

En plus des éléments physiques, il y a d’autres ressemblances entre le père et la fille : « Je suis têtue et exprime volontier mon opinion. Je supporte difficilement les critiques ». Filip Dewinter ne le dément pas : « An-Sofie est la charmante version féminine de moi-même ».

 

Est-ce que dans le futur An-Sofie Dewinter figurera sur une liste ? Elle ne le sait pas encore. Elle doit d’abord terminer ses études.

 

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Filip Dewinter et sa fille An-Sofie
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An-Sofie Dewinter

Manifestation de pro NRW à Dortmund le 17 juillet 2010.

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Pro NRW organise une manifestation le 17 juillet 2010 à Dortmund-Hörde. Le parti attend jusqu’à 200 participants. Les habitants du quartier seront prévenus lors une distribution de tratcs dans les boîtes aux lettres.

Le président du FPK siégera au sein de la direction du FPÖ.

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Autriche. Lors de la prochaine réunion de la direction du FPÖ, le président du FPK, Uwe Scheuch, siégera au sein de l’instance dirigeante du FPÖ. Un traité de coopération sera signé entre les deux partis. Des règles vont également être établies afin de réguler la constitution des listes électorales lors des élections pour le Parlement de Carinthie.

 

Le FPK dirige la Carinthie avec le Parti conservateur (ÖVP). L’ÖVP de Carinthie a réagi à cette annonce. Le travail du gouvernement de Carinthie doit se poursuivre sans influences du FPÖ national et de son président Heinz-Christian Strache. Si tel n’était pas le cas, l’ÖVP de Carinthie en tirerait les conséquences.

 

Uwe Scheuch a rassuré l’ÖVP de Carinthie en déclarant que personne ne viendrait s’immiscer dans la ligne politique du FPK. Le FPK garde sa pleine indépendance. D’un autre côté, le FPK aura son mot à dire sur la scène politique nationale grâce à l’entrée de Uwe Scheuch au sein de la direction du FPÖ.

 

Stefan Petzner, qui dirige le BZÖ en Carinthie, a déclaré que Uwe Scheuch s’est agenouillé devant Heinz-Christian Strache et que la constitution de listes FPK/FPÖ lors des élections pour le Parlement de Carinthie aura pour conséquence de nombreuses pertes de mandats pour les cadres du FPK.

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Uwe Scheuch, le président du FPK, siégera au sein de la direction du FPÖ.

Suisse : l'UDC était dès le départ pour soumettre l'accord UBS au référendum facultatif.

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Voici un communiqué de l'UDC :

Plusieurs médias ont analysé hier et aujourd'hui la nécessité de soumettre ou de ne pas soumettre au référendum facultatif l'ccord d'entraide administrative conclu avec les Etats-Unis dans l'affaire UBS. L'UDC avait demandé dès le début de cette discussion que cet accord soit soumis au référendum facultatif conformément à la Constitution fédérale qui l'exige pour les traités internationaux contenant des dispositions fixant des règles de droit (art. 141 cst.). Elle avait rappelé cette exigence le 14 avril 2010 déjà, jour où le Conseil fédéral avait adopté son message. Le communiqué de l'UDC était intitulé "L'accord doit être soumis au référendum". L'UDC a également défendu ce point de vue dans les commissions parlementaires préparatoires.

Pour l'UDC, il s'agit dans cette affaire d'une question de principe, indépendamment du fait que l'on soit pour ou contre l'accord UBS. La Constitution fédérale prescrit expressément que les traités de droit public doivent être soumis au référendum s'ils contiennent des dispositions fixant des règles de droit ou si leur application exige l'adoption de lois fédérales. Il est incontestable que l'accord UBS contient des dispositions fixant des règles de droit, si bien que ce traité doit être soumis au référendum facultatif dans le respect de la démocratie directe.

28/05/2010

Hémorragie à la CDU.

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Allemagne. Rhénanie du Nord - Westphalie. Lors des dernières élections pour le Parlement de Rhénanie du Nord – Westphalie, la CDU d’ Angela Merkel a perdu 1.014.770 voix par rapport aux mêmes élections en 2005. Le nombre de membres de la CDU a chuté de 20% en 10 ans. Les cadres et militants qui quittent la CDU se retrouvent sans parti.
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Pro NRW espère recruter un certain nombre de ces personnes. Le départ de Roland Koch (http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2010-05-25/roland-koch-baron-de-la-cdu-se-retire-de-la-politique/924/0/458947), un représentant de la droire conservatrice de la CDU qui n'hésitait pas à utiliser le populisme, va affaiblir encore plus la CDU. Au cours du mois de mai, 120 personnes sont devenues membre de pro NRW. Certaines viennent de la CDU.

Le retour aux affaires de Christoph Blocher.

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Le quatidien suisse Le Temps consacre un article à Christoph Blocher. Lien vers l'article : http://www.letemps.ch/Page/Uuid/8554e730-69cd-11df-b127-44fc5dc45bfa/Le_retour_aux_affaires_de_Christoph_Blocher

Berlusconi veut redessiner aux yeux de ses électeurs son image de patron absolu du gouvernement.

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Voici un communiqué de l’AFP :

 

Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a justifié jeudi son rapport au pouvoir par une référence historique inhabituelle au dictateur fasciste Benito Mussolini.

 

Interrogé lors d'une conférence de presse à Paris sur le risque que le plan d'austérité adopté par son gouvernement ne lui fasse perdre de futures élections, il a fait une digression sur son rapport au pouvoir.

 

«J'ose vous citer une phrase de celui qui était considéré comme un dictateur, un grand et puissant dictateur, c'est-à-dire Benito Mussolini: «Ils disent que j'ai du pouvoir. C'est faux. Peut-être que les hiérarques en ont, mais je n'en sais rien. Je sais que je peux seulement ordonner à mon cheval d'aller à droite et à gauche et je dois m'en réjouir»«, a-t-il déclaré.

 

«Donc le pouvoir, s'il existe, n'appartient pas à ceux qui dirigent les gouvernements des différents pays», a conclu Silvio Berlusconi, souvent accusé par l'opposition et les intellectuels italiens de mettre en place un régime rappelant le fascisme.

 

«Je suis au service de tout le monde et tout le monde peut me critiquer, voire m'insulter», a-t-il assuré, aux côtés d'autres dirigeants, dont le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, présents à Paris pour une réunion de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

 

Et voici un article de La Stampa :

 

« Les sacrifices et les deux visages du Cavaliere » (Marcello Sorgi, La Stampa) :

 

« Paradoxe apparent que de voir Berlusconi prendre ses distances par rapport au collectif budgétaire voulu par son gouvernement. C’est pourtant ce qu’il fait publiquement depuis 2 jours face à des salles étonnées par ses déclarations – comme, hier, de citer Mussolini pour expliquer son impuissance face à un tournant de la rigueur excessif à son goût. En réalité, sa stratégie de communication est très claire et bâtie sur les réactions, mesurées par les sondages, à la loi de finances rectificative. Premier signal en réponse aux doutes de son électorat : la conférence de presse de mercredi, où il n’a pas nié les divergences avec Tremonti – investi du rôle du ‘méchant’ – comme pour dire ‘si je n’avais pas tenu bon, ça aurait pu finir plus mal encore’. Mais ne risque-t-il pas, ce faisant, de délégitimer le plan de redressement aux yeux de l’Europe ? C’est possible, même si pour les observateurs ce sont les faits et les chiffres qui comptent, avec Tremonti en sentinelle sur la frontière de l’Union. A moyen terme, Berlusconi veut redessiner aux yeux de ses électeurs son image de patron absolu du gouvernement. Dans l’ignorance où l’on se trouve de la façon dont les choses vont évoluer pour l’Italie, l’euro et l’Europe ces prochains mois, le Cavaliere veut suggérer qu’il continue à faire tout ce qu’il peut, mais que si le vent demeure contraire, alors il faudra se préparer à des temps plus durs. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Belgique : débats électoraux à la télévision.

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La Belgique est un pays divisé en zones linguistiques. Au sein de la partie de langue néerlandaise (Flandre) règne une certaine démocratie. L’ensemble des partis politiques a accès aux médias, bien que certains partis soient néanmoins parfois discriminés.
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Dans la partie francophone du pays, la démocratie est quasi-inexistante. Seuls quatre partis politiques ont accès à la télévision d’État, la RTBF.

 

La chaîne de télévision publique néerlandophone et francophone devaient organiser un débat en commun, mais la présence du Vlaams Belang au sein du débat posait problème à  la télévision francophone. Deux débats séparés seront donc organisés. Un par la chaîne francophone et l’autre par la chaîne néerlandophone.

 

Voir un article du journal belge La Dernière Heure : http://www.dhnet.be/infos/elections-2010/article/312721/pas-de-debat-commun-rtbf-vrt.html

Le magazine des Séniors parle de Synthèse nationale.

Voici l'article du Magazine national des Séniors consacré à Synthèse nationale :
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La couverture du magazine national des Séniors :
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Au sein du magazine des Séniors, Robert Spieler, le délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, explique sa vision du rassemblement des patriotes en France et en Europe.

Rotterdam : mise en place du nouvel exécutif.

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Pays-Bas. Rotterdam. Ce jeudi, le nouvel accord de coalition 2000 – 2014 a été discuté au sein du Conseil municipal de Rotterdam. Le nouvel exécutif de la ville a été mis en place.

Leefbaar Rotterdam a été exclu des accords de coalition malgré le fait qu’il a obtenu 14 sièges au sein du Conseil municipal, à égalité avec le PvdA (Parti travailliste), et que Marco Pastors, le chef de file de Leefbaar Rotterdam, a récolté 51.000 voix.

27/05/2010

Carinthie : panneaux de noms de lieux.

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En Carinthie, les panneaux de noms de localités ont engendré de nombreuses tensions au fil du temps. La Carinthie est une région germanophone avec une minorité de langue slovène.
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Le FPK ne veut plus négocier sur la question du bilinguisme de ces panneaux au sein de certaines municipalités tant que les attaques à la bombe qui ont été perpétrées au cours des années 70 n’ont pas été élucidées.

 

Le FPK veut avoir accès aux dossiers des services secrets autrichiens sur ce sujet.

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Berlusconi-Fini : vers le dégel.

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« La révolte des provinces abolies » (Gianni Trovati, Il Sole 24 Ore) :

« Les polémiques sur la suppression des provinces se sont immédiatement concentrées sur les critères retenus (220 000 habitants, appartenance à des régions au statut ordinaire et absence de frontières avec l’étranger) qui divisent les ‘disparues’ et celles qui seront ‘sauvées, au point que l’UdC et les finiens ont demandé une abolition de toutes les provinces, point. Bossi a réagi estimant que les abolir toutes mènerait ‘à la guerre civile’, ‘pour l’instant, nous en restons là’ a-t-il déclaré. Tremonti et Berlusconi ont souligné que pour abolir la totalité des provinces, il faudrait modifier la Constitution. Parmi les provinces directement intéressées, la révolte a déjà démarré : ‘c’est anticonstitutionnel’ déclare sèchement F. Cesetti (centre-gauche), président de la province de Fermo ; pour R. Simonetti, député et président léghiste de la province de Biella : ‘ce serait une offense à notre dignité’. »

 

« Berlusconi-Fini : vers le dégel » (Barbara Fiammeri, Il Sole 24 Ore) :

« Berlusconi dément toute tension avec Tremonti, mais le malaise persiste face à tous les ‘non’ opposés par le ministre de l’économie, au sein du PdL et jusque chez le Cavaliere lui-même. Ce qui préoccupe le PdL et Berlusconi lui-même, c’est l’axe Ligue-Tremonti, l’idée qu’une fois de plus le parti de Bossi ait payé moins cher que ses alliés le prix de l’inévitable impopularité de cette loi de finances. Berlusconi, conscient que le moment est très délicat, veut réduire le plus possible les fronts conflictuels, à commencer par celui avec Fini. On tente la réconciliation : à les finiens Bocchino et Augello sont venus à la résidence de Berlusconi discuter avec Alfano et Ghedini, notamment des projets de loi ‘écoutes’ et anti-corruption. Par delà l’imminente réconciliation avec Fini, les coupes imposées aux ministères et surtout aux régions alarment le PdL. Hier, R. Formigoni a fait une déclaration très dure. Berlusconi a tenté de rassurer les parlementaires, en défendant le texte budgétaire et en offrant de coopérer avec les oppositions, à commencer par l’UdC (‘nous attendons Casini’), tout en évoquant une possible (‘à l’avenir’) fusion-fédération avec la Ligue. En attendant, il faut décider qui sera le nouveau ministre de l’Industrie, dont Berlusconi fait l’intérim – ‘nous réfléchissons, y compris avec le Quirinal’. »

 

« Berlusconi l’admet : ‘des sacrifices sont nécessaires’ » (Amedeo La Mattina, La Stampa) :

« Au bout du compte, Berlusconi signe la loi de finances rectificative de Tremonti et donne une conférence de presse au palais Chigi, avec le ministre, pour expliquer le texte. Le président du Conseil dément tout forme de désaccord ou d’affrontement avec le ministre de l’Economie qui fait ‘un métier difficile : il est obligé de dire non en permanence pour le bien commun’. Il remercie aussi le chef de l’Etat pour sa demande d’effort unitaire mais sans rien faire pour convaincre l’opposition de voter les mesures économiques proposées, imputant au contraire aux gouvernements de centre gauche la responsabilité du mauvais état des comptes publics. Berlusconi entend démontrer qu’il est le co-auteur du texte. Bossi présente les choses autrement, disant que Berlusconi ‘au départ était inquiet’ mais ‘maintenant dit que le texte est aussi le sien’. Finalement, Berlusconi s’est résolu à faire sien le mot ‘sacrifices’, ‘nécessaires et indispensables pour défendre euro, salaires, économies des familles et entreprises’. C’est la première fois qu’il demande aux Italiens de faire des sacrifices ; il le fait à sa façon, ajoutant : ‘je suis un optimiste incurable, je suis sûr que cette fois encore nous réussirons, et bien’. »

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(Traduction : ambassade de France à Rome)

Le FPÖ du Burgenland consacre une partie de sa propagande aux jeunes.

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Le FPÖ du Burgenland tourne une partie de sa campagne vers la jeunesse. Une vidéo a été réalisée en vue de cibler les jeunes :
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Un tract est consacré aux jeunes :
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"Ta voix pour notre patrie. Le 30 mai (2010) vote FPÖ."

Un député européen du PVV exige des excuses de la part d'un ministre turc.

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Le député européen du PVV Barry Madlener exige des excuses de la part du ministre turc des affaires étrangères qui l’a traité de raciste suite au fait qu’il ai critiqué une réunion commune entre parlementaires turcs et européens à Istanbul.

26/05/2010

Clôture de la campagne du FPÖ au Burgenland.

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Autriche. Ce mercredi, le FPÖ a clôturé sa campagne électorale en vue des élections de ce dimanche pour le Parlement du Burgenland. Le Président national du FPÖ Heinz-Christian Strache est venu soutenir le FPÖ du Burgenland à Oberwart.

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Des cadres du parti en veste bleue ont distribué de petits cadeaux : des ours, des stylos et des livres sur l’histoire du FPÖ.

 

L’objectif principal du FPÖ est, selon Heinz-Christian Strache, de briser la majorité absolue des sociaux-démocrates (SPÖ) au sein du Parlement du Burgenland.

 

Johann Tschürtz, le candidat de tête du FPÖ veut que les emplois aillent aux Autrichiens et un renforcement des frontières.

 

Le FPÖ vise 10% des voix.

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Heinz-Christian Strache distribue des signatures.

Le chef du BZÖ veut réunifier les libéraux.

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Le BZÖ fondé en 2005 par Joerg Haider veut devenir le parti de tous les libéraux en Autriche. Le BZÖ a fait une offre de réunification au Forum Libéral. C’est ce que le Président du BZÖ Josef Bucher a déclaré ce mercredi au rédacteur en chef des Salzburger Nachrichten. Des discussions seraient également en cours entre le BZÖ et les Jeunes libéraux. Le Forum libéral et les Jeunes libéraux n’ont pas encore donné de réponse.

 

Josef Bucher estime le potentiel d’un parti libéral en Autriche à 18%. Il veut que le BZÖ adhère au niveau européen à la famille libérale. Le nouveau député europeen du BZÖ, Ewald Stadler, sera chargé du rapprochement avec la famille libérale au sein du Parlement européen.

 

Ewald Stadler devient l’unique député européen du BZÖ grâce à l’entrée en vigueur du Traité de Lisbonne. Dés septembre 2010, il sera observateur au sein du Parlement européen. Á partir de 2011, il disposera du droit de vote au sein du Parlement européen.

 

Rappel historique

 

Rappelons que Joerg Haider prend le contrôle du FPÖ, le parti libéral autrichien, en 1986 lors du Congrès d'Innsbruck et qu’il mène ensuite son parti de victoires en victoires jusqu’à l’entrée du FPÖ au sein du gouvernement autrichien en 2000.

 

En 1993, cinq députés du parti font sécession, parmi lesquels Heide Schmidt, et créent le Forum libéral. Ces députés reprochent au FPÖ la nomination d’Andreas Mölzer à la direction de l’institut de formation du parti, alors que celui-ci a parlé de « Umvolkung » (inversion ethnique).

 

(Pour celui qui veut plus d'informations sur le Forum libéral, l'article en français de Wikipedia sur le sujet est un article qui comprend des informations exactes).

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Heide Schmidt a fondé le Forum libéral en 1993.

Hongrie : proposition de loi qui attribue la nationalité à des habitants de pays voisins.

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La Hongrie pourrait adopter une loi qui permet d’attribuer la nationalité hongroise aux personnes d’origine hongroise vivant dans les pays voisins.

Voir la vidéo : http://fr.euronews.net/2010/05/26/la-hongrie-adopte-une-loi-controversee-sur-la-double-nationalite/

 

L’adoption de cette loi a amené une réaction en Slovaquie. Les élections législatives doivent avoir lieu le 12 juin 2010 dans ce pays. Le Parti National Slovaque de Jan Slota, un parti nationaliste, participe actuellement à la coalition gouvernementale avec les socialistes.

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Voir l'article du Figaro :  

http://www.lefigaro.fr/international/2010/05/18/01003-201...

Premier UDC élu à la tête des petits patrons depuis 30 ans.

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Voici un article du Temps à propos de l'UDC, premier parti de Suisse :

 

L’accession de Bruno Zuppiger à la présidence de l’Union suisse des arts et métiers est une étape importante sur le chemin de la conquête du pouvoir de l’UDC. Depuis qu’il en a pris les commandes, Christoph Blocher s’efforce d’accentuer l’influence de son parti sur la politique et l’économie en Suisse.

 

Sur le terrain politique, la progression est chaotique. L’UDC aligne les succès électoraux grâce à sa façon unique de capter l’attention de l’électorat autour de sujets sensibles au moyen de slogans simplistes.

 

Le parti peine cependant à convaincre les électeurs de propulser ses représentants dans les exécutifs. Faute de disposer d’un personnel politique capable de montrer que le parti sait non seulement s’opposer aux autres mais aussi assumer des responsabilités, l’UDC reste sous-représentée dans les gouvernements cantonaux. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si les conseillers fédéraux élus sous sa bannière venaient, avant Christoph Blocher et Ueli Maurer, de sections modérées, surtout bernoise et grisonne. Pour que le tableau soit complet, il convient de rappeler que, hormis les sujets sensibles qu’elle sait exploiter avec une redoutable efficacité, l’UDC se retrouve moins souvent que le PLR et le PDC dans le camp des vainqueurs les soirs de votations fédérales.

 

En parallèle, l’UDC cherche depuis dix ans à exercer une plus grande influence sur les organisations économiques, à qui Christoph Blocher inspire une évidente méfiance. Jusqu’à maintenant, libéraux-radicaux et démocrates-chrétiens ont réussi à faire barrage contre les aspirations de l’UDC. Mais la forteresse est en train de céder. Cela devait bien finir par arriver, car les petits patrons sont nombreux à épouser les thèses politiques défendues par les démocrates dits du centre, notamment en matière de politique sociale. Bruno Zuppiger réussit l’ouverture, quelques mois après que le directeur sortant de l’USAM, le radical Pierre Triponez, père du congé maternité et, pour ce fait d’armes, haï par l’UDC, a été remplacé par un autre radical, Hans-Ulrich Bigler, auquel le parti nationaliste s’identifie plus volontiers.

 

Voilà qui promet quelques changements de ton et déplacements d’accents. Pour l’UDC, cela tombe à pic, quelques jours après un spectaculaire revirement sur le dossier UBS et un peu plus d’un an avant des élections fédérales qu’elle souhaite transformer en nouveau succès.

Tracts du VB.

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Le Vlaams Belang distribue un tract dans toutes les boites aux lettres de Flandre. C'est le premier d'une série de trois.
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"Est-ce que votre euro est déja tombé?"
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"Les Flamands en premier. Est-ce que votre euro est déja tombé? L'argent flamand dans les mains des Flamands."
Le texte explique que les transferts d'argent vers la Wallonie coûtent 2.000 euros par an et les migrations 600 euros par an à chaque Flamand. Le Vlaams Belang dit qu'il vaut mieux investir cet argent dans le développement économique de la Flandre, dans la réduction des dettes et la sécurisation des pension.

Le président du MCG veut que les frontaliers payent leurs amendes.

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Voici un article de la Tribune de Genève :

 

«Lorsque le contrevenant résidant à l’étranger a un arriéré d’au moins trois contraventions, son véhicule est saisi et mis en fourrière jusqu’au paiement des arriérés et des frais administratifs.» Telle est la solution préconisée par Eric Stauffer pour résoudre le problème des automobilistes qui ne s’acquittent pas de leurs amendes. Et par «étranger», il entend évidemment en priorité les travailleurs frontaliers.

 

Si le Mouvement citoyens genevois (MCG) dépose aujourd’hui ce projet de loi, c’est parce que, dans le cadre du travail de la Commission des finances, Eric Stauffer a découvert des statistiques sur le nombre d’amendes impayées.

 

Selon le député, cité par Le Matin Dimanche, le Département de la sécurité et de la police aurait indiqué que sur les 97 504 amendes notifiées en 2009 à des automobilistes de l'Ain et de la Haute-Savoie, seules 37 911 ont été payées. Pour lui, pas de doute, il faut sévir. Le Service des contraventions ne dénombre toutefois en 2009 qu’environ 50 000 affaires de contraventions notifiées. Mais une affaire peut correspondre à plusieurs infractions.

 

Quoi qu’il en soit, les méthodes utilisées par Eric Stauffer au sein du Grand Conseil commencent à agacer: «M. Stauffer utilise un document préparatoire transmis en vue de la séance de la Commission des finances de mercredi, consacrée aux comptes du Département de la sécurité, explique Christian Bavarel, le président de cette dernière. Le risque, c’est que nous allons perdre toute possibilité de travailler en amont.»