24/04/2010
Le PVV a présenté son programme.

Pays-Bas. Ce jeudi, Geert Wilders a présenté le programme de son parti en vue des élections législatives. Le programme s’intitule « Agenda van Hoop en Optimisme » (Agenda de l’espoir et de l’optimisme).
"L'agenda de l'espoir et optimisme. Un temps pour changer. PVV 2010-2015"
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Video de la présentation du programme : http://nos.nl/video/152682-presentatie-pvvverkiezingsprog...
22:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
Barbara Rosenkranz sur le marché à Stockerau.

Au cours de la campagne, Barbara Rosenkranz a dû affronter de rudes attaques et manipulations de certains médias. Elle trouve que l’ambiance auprès des électeurs est bonne.
Barbara Rosenkranz sur le marché à Stockerau
18:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
23/04/2010
Meeting électoral de pro NRW.

Markus Beisicht a déclaré « ce que nous disons, la majorité du peuple le pense. »... « Á Leipzig, on a crié en ce temps là « Nous sommes le peuple» (Lors de manifestations qui ont conduit à la chute du communisme). Et cela nous le crions aussi dans toute la Rhénanie du Nord – Westphalie : « Nous sommes le peuple». ».
Voir la vidéo (en allemand) de la manifestation : http://www.pro-nrw.net/?p=847
23:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le MCG dénonce le voyage de 140 élus du peuple et fonctionnaires à Bordeaux.

Suisse. Le MCG dénonce le voyage de 140 élus du peuple et fonctionnaires à Bordeaux, lors du voyage annuel de l’Association des communes genevoises (ACG). Le voyage de la plupart des participants est financé par des organismes publics.
Le magistrat MCG Thierry Cerutti sera cependant du voyage. Il déclare : «J’y vais en tant que maire de Vernier et je paie le séjour de ma poche».
22:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
"BHV est un symptôme, la Belgique une maladie et l'Etat flamand un remède."


22:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Meeting de fin de campagne électorale de Barbara Rosenkranz à Vienne.

Le meeting s'est tenu sur la Ballhausplatz. 700 sympathisants du FPÖ étaient présents. Le Président national du FPÖ, Heinz-Christian Strache, a débuté son discours par « pour moi, c’est un merveilleux jours ». Il y a cinq ans, Heinz-Christian Strache était élu président du FPÖ.
Heinz-Christian Strache s’en est pris à certains médias qui ont raconté n’importe quoi tout au long de la campagne. Barbara Rosenkranz a reçu un bouquet de fleurs de Heinz-Christian Strache. L’hymne national autrichien a clôturé la réunion.
Barbara Rosenkranz et Heinz-Chrtistian Strache
22:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le BNP lance son programme pour les élections législatives 2010.
Royaume-Uni. Le BNP lance son programme pour les élections législatives de 2010. Les problèmes qui doivent être solutionnés sont : le conflit en Afghanistan, l’invasion migratoire, la menace posée à la sécurité par l’islamisme et le danger que constitue l’Union européenne pour la souveraineté du Royaume-Uni.
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Le BNP veut réaliser des économies réalistes afin de placer le budget de l’État sous contrôle tout en préservant les services offerts au publics par les services publics.
Une politique intonatives afin de solutionner la crise du logement, la restauration de l’industrie britannique, la construction d’une infrastructure dans le domaine IT (Technologie de l’information) ainsi que des réformes constitutionnelles afin de garantir les libertés du peuple.
Le manifeste du BNP : "Démocratie, liberté, culture et identité."
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Voir le manifeste en anglais : http://bnp.org.uk/pdf_files/BNP-Manifesto-2010-online.pdf
17:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
Fini entre en guérilla contre Berlusconi.

« Adieu à l’ex ‘Parti de l’amour’ » (Mattia Feltri, La Stampa) :
« Dans son discours, lors de la réunion de direction du PdL, Fini, avant d’énoncer tout ce qui lui déplait, a commencé par faire l’éloge de l’excellent gouvernement et de son président du Conseil. Berlusconi ne paraissait pas d’excellente humeur et pendant que Fini parlait, il levait les bras au ciel. Rien de dramatique jusque là. Mais lorsque Fini a commencé à parler ‘d’impunité’, tout le monde a su que les choses tourneraient mal. Berlusconi s’est levé et a repris la parole en élevant la voix et Fini s’est à son tour levé pour protester. A partir de là, ça a été l’escalade, et dans l’assistance une vraie pagaille. Un spectacle incroyable. A la fin, tout le monde s’est retrouvé dehors en essayant de comprendre quel avenir attend le PdL… »
« Le prix de la guérilla » (Massimo Franco, Corriere Della Sera) :
« Le spectacle de Berlusconi et de Fini se disputant en public jette une ombre sur l’avenir de la majorité au gouvernement et même de la législature. A partir d’aujourd’hui, nous allons assister à une guéguerre quotidienne, même au Parlement, qui pourrait déstabiliser l’Italie. La rupture qui s’est consumée hier a été très violente : c’est le résultat de deux visions et de deux personnalités qui sont désormais aux antipodes l’une de l’autre, et non plus complémentaires. Berlusconi refuse l’idée d’un parti déchiré par des courants et Fini veut démontrer que Berlusconi n’est plus omnipotent. Il y réussira peut-être mais à quel prix ? Sa réaction, due à l’alliance avec la Ligue après les élections, est exagérée. L’irritation de Berlusconi fait comprendre que c’est un coup dur pour lui – surtout après les lourdes allusions du président de la Chambre sur la justice. Après une victoire électorale nette aux régionales, il lui est difficile de justifier cette rixe au sein de sa coalition victorieuse, et ce en pleine crise économique. Fini veut se démarquer du PdL au prix de lézarder l’image du Cavaliere, même si paradoxalement il renforcera ainsi la Ligue, alors qu’il voudrait la contenir. C’est le fruit d’un anti berlusconisme de droite qui pour le moment reste au sein du PdL mais qui peut difficilement durer. A ce stade, Fini n’a rien à perdre, Berlusconi et l’Italie beaucoup plus. »
« Derrière l’affrontement, le défi difficile de deux leaders pour deux droites » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) :
« Au sein du psychodrame dans lequel se débat le PdL, deux niveaux fortement imbriqués – l’un médiatique et l’autre politique – se côtoient. D’un point de vue médiatique, nous avons assisté hier à une rupture irréversible entre Berlusconi et Fini, et qui a vu les images de leur affrontement pense que deux partis opposés en sont nés, alors que le document final de la réunion certifie simplement la naissance d’une minorité finienne, ce qui était prévu. D’un point de vue politique, le fait nouveau, ce n’est pas la chasse au rebelle, c’est la naissance d’un PdL différent qui s’exprime pour la première fois ouvertement : une nouveauté qui paraît extraordinaire dans un parti qui repose depuis sa création sur le principe d’unanimité autour du leader. Désormais, le président de la Chambre représente le bouc émissaire idéal et le défi – transformer cette bataille défensive en opportunité – est lourd pour lui. Hier, son discours corrosif a touché tous les points sensibles de Berlusconi – de la loi ‘sur mesure’ au ‘procès bref’. Si l’enjeu concerne la cohabitation de deux droites, la journée d’hier n’augure rien de bon, avec Fini qui reste président de la Chambre et une minorité ‘organisée’ qui naît au cœur du parti. Il sera difficile d’annuler le débat lancé par ce dernier. Hier, le président du Conseil s’est limité à rappeler à tous qu’il est le monarque du PdL. Il a déjà été contesté, mais jamais encore par son propre parti. Il devra faire preuve de prudence afin de ne pas se retrouver, à la fin, face à face avec son dernier allié, le plus loyal mais aussi le plus difficile à gérer : U. Bossi. »
« La difficile question du Nord » (Michele Brambilla, La Stampa) :
« Parmi tout ce que Fini a reproché à Berlusconi, il y a le problème de l’hégémonie de la Ligue qui commande au Nord grâce aux voix qu’elle a prises au PdL Berlusconi lui a répondu que c’est aux anciens AN que les léghistes ont pris des voix, en reprenant leurs anciennes batailles sur la sécurité et la lutte contre l’immigration clandestine, alors que maintenant lorsque Fini parle d’immigration, il est plus applaudi par la gauche que par la droite. Tout cela est vrai. Et nombreux sont les anciens AN qui se sont sentis trahis par Fini. Mais la question du centre-droit dans le Nord est bien plus complexe. Il s’agit d’un pouvoir déséquilibré. La Ligue a obtenu 3 régions nordistes. Il reste au PdL la Lombardie avec Formigoni. Mais Formigoni est-il un homme de Berlusconi ? Franchement non, parce que son passé politique est antérieur à l’entrée en scène du Cavaliere et c’est pourquoi, après les élections, la Ligue s’est sentie tellement forte. En politique, tout peut changer. Mais dans le nord, l’avenir du PdL est plus ‘vert’ [couleur de la Ligue] que ‘bleu’ [couleur du PdL]. La Ligue est un parti mieux structuré, plus en contact avec les gens et avec un langage plus direct, mais surtout avec un projet politique pour le Nord qui va au-delà du charisme de son leader et qui lui survivra, ce que ne peut pas dire le PdL. Voilà pourquoi la question de Fini est juste. Et voilà pourquoi, dans le PdL, Fini n’est pas le seul à être inquiet. »
(Traduction : ambassade de France à Rome.)
16:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les députés du Vlaams Belang chantent l'hymne national flamand au Parlement belge.

Ce jeudi, les élus du Vlaams Belang au Parlement national belge ont chanté le Vlaams Leeuw (Le lion des Flandres) qui est l’hymne national flamand et ont déployé une banderole portant l’inscription « 1.100 jours de chaos belge – Temps de l’indépendance (de la Flandre) ».
Cette action a été entreprise alors que l’hémicycle de la chambre était vide et que le Premier ministre portait la démission du gouvernement au Roi.
Le Vlaams Belang a mené cette action afin de dénoncer le non-vote du Parlement belge sur la question de la scission d’un arrondissement bilingue français-néerlandais qui se trouve près de Bruxelles. Le gouvernement belge est tombé sur cette question.
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Le Vlaams Belang est maintenu hors du jeu politique par les partis du système qui refusent toute participation du Vlaams Belang à un exécutif. Le Vlaams Belang est un parti qui défend les intérêts des Flamands.
Les députés du Vlaams Belang au Parlement belge chantent l'hymne national flamand.
"1.100 jours de chaos belge – Temps de l’indépendance (de la Flandre)."
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Voir la vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=55yvNXZrvOo&feature=pl...
13:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
Barbara Rosenkranz au Tyrol.

Barbara Rosenkranz est intervenue en utilisant le slogan « Une femme forte pour l’Autriche ».
01:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le premier spécialiste doit être entendu ce lundi dans le cadre du procès contre Geert Wilders.

00:41 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le FPÖ du Burgenland en campagne électorale.

Le thème choisi est la patrie et la sécurité.
"Protéger la patrie. Frontières épaisses. Le Burgenland t'appartient. Nous combattons pour cela."
00:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
22/04/2010
"Too Big to Fail": l'UDC exige des mesures structurelles rapides

Le rapport intermédiaire de la commission d'experts "Too Big to Fail" (trop grand pour s'effondrer) formule certes quelques propositions intéressantes pour réduire le risque, par exemple moyennant des exigences concernant les fonds propres et les liquidités ou encore des mesures administratives en cas d'insolvabilité. Ces propositions ne règlent cependant pas la responsabilité civile de l'Etat en cas d'insolvabilité d'une grande banque. L'UDC exige que des conditions structurelles soient enfin imposées - par exemple, sous la forme d'une structure de holding - afin d'empêcher les conséquences extrêmement graves pour l'économie nationale du collapsus d'une grande banque. Ces mesures doivent être définies et prises rapidement.
L'UDC a fait durant les deux ans écoulés plusieurs interventions pour résoudre rapidement la problématique "too big to fail". C'est à la suite d'une intervention parlementaire du groupe UDC que la commission d'experts citée ici a été instituée. L'an passé, le groupe UDC a déposé une nouvelle intervention exigeant une réduction du risque économique par des conditions structurelles imposées aux grands établissements financiers. Une telle réforme est indispensable pour empêcher qu'une grande banque en faillite n'entraîne dans sa chute le reste de l'économie nationale. Le rapport intermédiaire présenté aujourd'hui par la commission d'experts de la Confédération propose certes des mesures pour réduire les risques économiques émanant d'une grande banque. Ces mesures doivent être prises rapidement. Elles ne suffisent cependant pas et n'offrent pas de solution en cas d'effondrement d'une banque. L'UDC demande donc des mesures contraignantes au niveau des structures, par exemple sous la forme d'une organisation de l'entreprise où des filiales diverses et indépendantes les unes des autres assument leurs activités bancaires en Suisse et à l'étranger. Il faut de surcroît réduire les risques de responsabilité civile des banques suisses pour les activités commerciales de leurs filiales et agences étrangères. L'UDC attend de la commission d'experts qu'elle présente rapidement son rapport final avec des mesures concrètes dans ce sens.
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Fini-Berlusconi : suite des disputes.


« Une situation instable qui peut provoquer l’explosion du PdL » (Massimo Franco, Corriere della Sera) :
« L’hypothèse d’une trêve Berlusconi-Fini reste très improbable sans pouvoir être exclue. Quoi qu’il en soit, l’harmonie est compromise et on voit mal comment elle pourrait revenir. Fini souhaite rester au sein du PdL tout en ayant le droit de critiquer le Palais Chigi et sans envisager de laisser la présidence de la Chambre – sinon, disent les tenants d’un courant finien au sein du PdL, certains ministres (qui se sont dissociés de Fini quoique ayant la casaque AN) devraient aussi quitter leur poste. Tout laisse à penser qu’au vote quasi certain d’aujourd’hui, en réunion de direction, on jouera cartes sur table, en marginalisant politiquement la minorité. L’idée d’un document prévoyant des règles internes de nature à obliger ceux qui ne sont pas d’accord à respecter les décisions de la majorité confirmerait une situation très difficile. La naissance d’une minorité paraît inéluctable et, en parallèle, on aspire à apaiser des tensions et défiances potentiellement endémiques. On a presque l’impression d’une bombe à retardement bientôt placée dans le PdL et la législature – seule incertitude : quand elle explosera et qui actionnera le détonateur. Quelles vont être les relations au sein d’un centre droit en équilibre instable entre trêve et règlement de comptes ? Et surtout comment expliquer à l’électorat ces pulsions politiquement suicidaires. »
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« Aujourd’hui premier vote au PdL. Pour Fini, cela ne suffit pas, il veut des garanties » (Barbara Fiammeri, Il Sole 24 Ore) :
« Fini interviendra ce matin à la réunion de direction du PdL. Aucun vote n’est prévu mais il n’est pas exclu qu’à la fin les finiens présentent une sorte de motion en faveur du président de la Chambre – comme circulent des idées d’amendement au document préparé par la majorité pour tenter de regagner des marges de manœuvre pour l’heure jugées ‘inexistantes’. Guerre tactique où aucune des deux parties ne découvre toutes ses cartes. Nul ne parle, par exemple, de changer l’organigramme. ‘Ce n’est pas à l’ordre du jour’, expliquait hier soir un des participants à la réunion berlusconienne. Tôt ou tard, pourtant, le règlement de comptes aura lieu. Dont le premier temps pourrait être un chamboulement dans les présidences de commission, à l’échéance de juin. Giulia Bongiorno, finienne placée à la tête de la Commission Justice, pourrait être la première à sauter. »
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« Berlusconi : ‘Les courants ? Des métastases’ » (Luca Ostellino, Il Sole 24 ore) :
« Pour Berlusconi, ‘le PdL est un parti qui naît du peuple, ce ne peut être un vieux parti avec des courants internes ; il n’est pas possible que des courants existent, certains les ont qualifiés de métastases des partis.’ A la veille de la direction nationale du PdL, le Cavaliere dit clairement qu’il ne cèdera pas d’un millimètre et ne fera pas de concession à Fini – qui, en 2005, s’était justement élevé contre les courants au sein d’AN, parlant de ‘métastases dans le parti’. Berlusconi veut régler le problème : ou on préserve la gouvernabilité ou la seule solution sera une élection anticipée. Une position partagée par la Ligue qui, malgré ses invitations à apaiser les dissidences internes, n’exclut pas un retour aux urnes si la situation n’était pas clarifiée pour de bon. Le document à l’étude contiendra aussi la confirmation des prochaines étapes : les réformes, à commencer par la justice, la fiscalité et les institutions. Berlusconi attend Fini au tournant : ce n’est pas moi qui ai posé de problèmes, donc je n’ai pas de réponse à donner ; c’est plutôt, le cas échéant, à lui de dire ce qu’il veut, et je répondrai sur cette base. »
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Entretien avec Giuliano Ferrara, directeur d’Il Foglio, dans le Corriere della Sera – « Que Silvio évite les gestes graves ; il a même réussi à garder Pannella » :
« Comme nous tous, Berlusconi est ambivalent. Il y a le séducteur universel mais aussi le Berlusconi hargneux, nerveux, peu sûr de lui et un peu agressif, qui a resurgi dans l’affaire avec Fini. Parce que c’est lui qui commande et qu’il ne supporte pas qu’il y ait une minorité, son compagnon de route en tête, qui le conteste. Fini est froid, le contraire de Berlusconi qui aime tant plaire ; il a gouverné son parti de façon autoritaire et exaspéré ses proches – une erreur que Berlusconi n’aurait jamais faite. J’ai trouvé intéressant son choix d’un parcours solitaire pour tenter d’apporter des idées neuves au PdL – des idées qu’à 95% je ne partage pas. Pourquoi Berlusconi, qui a tout fait pour garder Pannella, devrait-il maintenant être agressif envers Fini ? Il ne doit pas agir en patron : c’est sa tendance mais il doit se contrôler et trouver un accord sensé, dût-il en souffrir un peu. Selon moi, Fini représente 10% voire moins. Mais l’opposition en accordéon préoccupe Berlusconi : ‘il ne pèse que 10% mais si sur un thème il rassemble, il peut prospérer’. Or c’est la loi de la démocratie… Surtout qu’il ne risque rien : il a la majorité et un tel charisme. Pourquoi avoir peur ? Sans Fini, Berlusconi revient un roîtelet populiste. Qu’il se dise, comme Walt Whitman : ‘la multitude est en moi’. S’il veut être narcissique, alors qu’il le soit à la façon du grand poète américain de la nouvelle frontière. »
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Entretien avec Luca Zaia, président de la Vénétie, dans le Corriere Della Sera – « Sur le fédéralisme, la négociation sera très dure » :
« Nous ne nous contenterons plus d’argent de poche. Pour la Vénétie et le Nord, les réformes sont une question de vie ou de mort et nous ne ferons de concessions à personne. Tremonti, fédéraliste convaincu, sait bien que c’est une nécessité ; ‘une vraie attribution de responsabilités aux collectivités’, comme dit Napolitano. Un accord avec A. Profumo, DG d’Unicredit, pourrait être l’occasion d’une banque adaptée au territoire. Sans banques, il n’y a pas de fédéralisme. Je pense à un fonds régional de 4 ou 5 Md€ cofinancés par Veneto Sviluppo et qui voudra. Les banques, outil indispensable, ne doivent pas oublier leur dimension locale. Elles ont été partie intégrante du succès de notre territoire. Le Nord-Est n’aurait pas existé sans un système efficace d’investissement fondé sur la fiabilité des gens et des projets. La vie étant plus chère de 15-20 % au nord du Pô, nous voulons en tenir compte dans la négociation des contrats avec le gouvernement. Nous appliquerons le vote de confiance au Conseil régional. Nous utiliserons les cent premiers jours pour changer les règles du Conseil, il y va de la crédibilité de toute la majorité. »
(Traduction : ambassade de France à Rome).
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21/04/2010
Stefan Petzner n'ira pas voter dimanche.

22:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
Meeting de fin de campagne de Barbara Rosenkranz ce vendredi.

La candidate du FPÖ à l’élection présidentielle Barbara Rosenkranz tiendra, ce vendredi, sur la Ballhausplatz à Vienne sa réunion de fin de campagne électorale. Des contre-manifestations sont prévues.
17:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
Barabara Rosenkranz en Haute-Autriche.

Barabara Rosenkranz, la candidate du FPÖ à l’élection présidentielle autrichienne, s’est rendue à Linz en Haute-Autriche. Sur la Palmenplatz l’attendaient plusieurs centaines de sympathisants. Le Président du FPÖ de Haute-Autriche Manfred Haimbuchner et le Président national du FPÖ Heinz-Christian Strache ont apporté leur soutient à Barbara Rosenkranz.
17:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
« Fini : je reste dans le PdL, et je vais me battre »


« Fini : ‘je ne quitterai pas le PdL et je ne me tairai pas’ » (Barbara Fiammeri, Il Sole 24 Ore) :
« Fini a réuni autour de lui, hier, à la Chambre, une cinquantaine de parlementaires qui ont signé un document où ils réitèrent leur confiance et leur soutien au président de la Chambre et le chargent de faire connaître leurs préoccupations à la réunion de direction du PdL de demain. 14 sénateurs, 5 parlementaires européens et 39 députés : un nombre suffisant, non seulement pour faire perdre la majorité mais surtout pour empêcher que la suggestion d’élections anticipées ne devienne réalité. De l’autre côté, Gasparri, La Russa, Matteoli et Alemanno, anciens ‘colonels’ de Fini, ont pris l’initiative d’un autre document co-signé par 74 parlementaires issus de l’ancienne AN. Leur objectif est clair : montrer que Fini n’est plus à la tête des 30% ‘ex-AN’ au sein du PdL. Le président de la Chambre ne s’intéresse pas aux chiffres, mais à la possibilité d’avoir des marges de manœuvre politiques : ‘entre Berlusconi et moi, il y a des points de vue différents, j’espère qu’il acceptera le désaccord’. »
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« La balle est désormais dans le camp de Berlusconi : deux droites peuvent-elles cohabiter au sein du PdL ? » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) :
« Le président du Conseil voit dans le courant finien un cheval de Troie au sein du PdL. Il commet sans doute une erreur et certains, à commencer par Bossi, le lui font observer. Du reste, la réunion de la direction du parti étant prévue pour demain, il reste du temps pour calmer les choses si tant est qu’on le veuille. Le rapport de force, c’est vrai, est en faveur de Berlusconi, comme en témoigne le document des 75 parlementaires ex-AN qui n’adhèrent pas aux positions de Fini et ont voulu confirmer leur fidélité à Berlusconi. Mais c’est la première fois que les deux sensibilités de la droite (d’une part la droite libérale et modérée, soucieuse des contraintes constitutionnelles, d’autre part la droite liée au charisme du leader, plébiscitaire et peu encline à se laisser freiner par le cadre institutionnel) se mesurent aussi ouvertement – même si c’est dans le cadre du même parti. Ce peut être une occasion de clarifier bon nombre d’équivoques. Tout laisse penser que le président du Conseil devrait, à partir de demain, laisser le groupe des finiens s’organiser et exposer ses thèses : condamnation les hérétiques et commencer à dresser des bûchers serait un acte de pur masochisme qui compromettrait toute perspective de réformes. En ce moment, comme le lui répète Bossi, la seule chose à faire est de tenter la cohabitation avec le président de la Chambre – de faire en sortent que les deux droites coexistent. »
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Entretien avec Francesco Rutelli, chef de file d’Alliance pour l’Italie, dans Il Riformista – « Il faudra trois ans pour bâtir la troisième voie et faire comme en Angleterre » :
« La dissidence de Fini confirme que c’en est fini de l’illusion bipartisane. Il reste 3 ans avant les élections, assez pour structurer une offre politique alternative. Montezemolo dit qu’il ne descendra pas dans l’arène politique, donc je le crois, mais il est certain que sans la présidence de Fiat, il sera plus libre d’apporter sa contribution au débat politique. Avec l’UdC, nos trajectoires sont très proches ; aux régionales, l’addition de nos partis dépassait les 10%. Le boom de Nick Clegg en Grande-Bretagne montre qu’il existe une marge de manœuvre pour un changement sur la force des idées, et que le troisième peut devenir le premier. »
(Traduction : ambassade de France à Rome.)
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Nuage noir d’impôts sur l’Autriche.

Ce mercredi, le ministre des finances autrichien, le conservateur Josef Pröll, doit répondre aux 35 questions que lui pose le BZÖ. Les députés du BZÖ veulent savoir quelle augmentation d’impôts vont subir les Autrichiens au cours des années à venir. La série de questions est reprise sous le titre "Nuage noir d’impôts sur l’Autriche - Pröllnocchio 2.0".
16:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le FPÖ de Basse-Autriche dénonce les violences dont il est victime.

16:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
20/04/2010
Le car de pro NRW est prêt.

Le car avec le logo de pro-NRW est prêt pour la tournée électorale qui commence le 3 mai 2010. La dernière rencontre de préparation a eu lieu aujourd’hui à Leverkusen. Le richissime industriel germano-suédois Patrik Brinkmann et l’ancien Maire adjoint CDU du quartier de Cologne-Ehrenfeld Jörg Uckermann seront en tournée du 3 au 8 mai en Rhénanie du Nord-Westphalie et organisaront 21 meetings électoraux.
La décoration externe du car a été conçue en Flandre. Le bus tranportera des dizaines d’activistes politiques et une équipe technique.
"Croisade pour l'Occident"
"Stopper l'islamisation"
Patrik Brinkmann lors d'une visite à Cologne.
22:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
Video des affiches de pro Köln/pro NRW à Cologne.


Voir la video en écoutant la chanson :
http://www.youtube.com/watch?v=7VjVc1EazP0&feature=player_embedded
22:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
Fini-Berlusconi, vers la rupture ou simple jeu de pouvoir?


« PdL, les finiens face à une alternative : être en minorité ou créer un nouveau parti – Demain l’assemblée des proches du président de la Chambre » (Gianluca Luzi, La Repubblica) :
« Jeudi aura lieu le règlement de comptes à Rome, devant 500 personnes environ (membres de la direction et parlementaires nationaux et européens) entre Berlusconi et Fini. A l’ordre du jour, l’analyse du vote et le programme pour les 3 ans à venir, mais il est évident que le fond du problème est l’affrontement en cours entre le président du Conseil et le président de la Chambre, et l’union tourmentée de l’ancien Forza Italia et de l’ancien Alliance Nationale. Trois hypothèses : mariage, chambre à part ou divorce – c’est-à-dire une véritable dyarchie, une minorité interne ou la scission avec la naissance, non seulement d’un groupe autonome, mais d’un parti à part entière de l’ancien chef de file d’AN. Demain, Fini réunira ses proches pour un dernier compte des voix. Berlusconi rencontrera Bossi mardi ou mercredi à Rome. Bocchino prévoit, dans Il Riformista, qu’en cas de rupture, le groupe finien pourrait compter sur 40 députés et 20 sénateurs. Et ensuite ? Les avis sont partagés. Le vice ministre Urso, par exemple, estime qu’un ‘parcours unitaire est dans l’intérêt de tous’. Même si Berlusconi ne semble plus prêt à négocier pour renouer avec Fini, la diplomatie interne est au travail pour éviter la scission. »
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« Fini : un potentiel à 20% mais des intentions de vote sûres à 5% (sondage IPSO-Corriere) » (Renato Manheimer, Corriere della Sera) :
« La prise de position de Fini a, dans une certaine mesure, changé le scénario politique. Certains – parmi lesquels le président du Sénat – ont même envisagé de nouvelles élections. Si tel était le cas, l’abstentionnisme augmenterait probablement encore pour exprimer la déception des électeurs. Pour le reste, il semble hasardeux d’évaluer aujourd’hui, la mesure du consensus qui pourrait être obtenu par les différentes forces politiques et, en particulier, par une liste autonome du président de la Chambre par rapport au PdL. Une partie des électeurs affirme avoir de l’estime pour l’action du président de la Chambre, tout en exprimant un avis défavorable sur Berlusconi. Ces ‘estimateurs exclusifs’ de Fini constituent aujourd’hui environ 20% de l’électorat et forment, d’une certaine manière, une ‘réserve de chasse’ privilégiée. Dans celle-ci, on note une accentuation parmi les 24-35 ans et les laïcs (n’assistant jamais à une fonction religieuse) mais il faut souligner, encore une fois, que ce segment réparti entre les partis et une éventuelle liste de Fini, pourrait ne pas rassembler tous les consensus même s’il existe une partie importante de ces ‘estimateurs exclusifs’ de Fini (25% correspondant à 5% de l’électorat dans son ensemble) qui se déclarent actuellement indécis sur leur choix en cas d’élections. Seule une minorité, composée de ceux qui ont de l’estime pour Fini et non pour Berlusconi vote déjà aujourd’hui pour le PdL. Celle-ci – environ 2% de l’électorat – représente une sorte de ‘noyau dur’ qui devrait suivre le président de la Chambre. Une sorte de base par laquelle Fini peut commencer à vérifier qui le suivra réellement. »
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Entretien avec I. Bocchino, vice président des députés PdL et bras droit du président de la Chambre, dans Il Riformista de dimanche – « Ou il y a un changement ou ce sera la rupture » :
« L’attitude de Berlusconi a permis un espoir de dialogue. Il ne veut pas rompre avec le co-fondateur du PdL même si, parmi ses proches, nombreux sont ceux qui semblent vouloir la rupture. Je pense qu’il faut parvenir à éclaircir les choses. Nous voulons des changements sur plusieurs thèmes. Premier sujet : la Ligue fait son travail, nous devons faire le nôtre et ne pas nous laisser ‘porter’ comme lors des réformes institutionnelles. Moins de dîners à Arcore et plus de réunions des dirigeants de la majorité. Deuxièmement : le rôle de Tremonti et le fait que le PdL a le droit de discuter comment utiliser les faibles ressources à disposition, y compris en vue d’un plan pour le Sud. Ensuite, le PdL doit changer de mentalité. Un véritable parti se réunit pour discuter et élaborer des propositions. Nous ne sommes pas entrés subrepticement dans un autre parti, le PdL est autant notre parti que celui de Berlusconi. Jusqu’au prochain congrès, il faut respecter les règles établies : 70% à FI et 30% à AN. S’il n’y avait pas de changement, nous irions vers la rupture. Dans l’éventualité de groupes autonomes, nous soutiendrions le gouvernement jusqu’au dernier jour de la législature. Mais si Fini s’en allait, ce serait un échec pour le PdL. »
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« Un ‘courant’ des anciens d’Alliance nationale contre Gianfranco Fini » (Amedeo La Mattina, La Stampa) :
« L’affrontement en cours est au fond plus virulent entre anciens membres d’Alliance nationale qu’entre Berlusconi et Fini. Un document, pour le moment secret, sera en effet présenté à la réunion de direction du PdL de jeudi, par ceux qui composaient autrefois la garde rapprochée de G. Fini : I. La Russa, M. Gasparri, A. Matteoli et G. Alemanno. Il servira à démontrer que l’ancien ‘padre padrone’ d’AN ne représente plus 30% du PdL, comme établi dans le pacte de fondation du PdL. En bref, si le président de la Chambre voulait s’imposer jeudi, il devra faire ses comptes avec ses anciens fidèles, risquant de représenter une minorité encore inférieure à ce ‘courant’ : pour éviter de perdre la face et ne finir par représenter que 10-15% du PdL, il devra alors déposer les armes. »
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« Un conflit au résultat incertain, entre pré-tactique et risques de rupture » (Massimo Franco, Corriere della Sera) :
« Le PdL a pour objectif de démontrer que G. Fini est un général sans armée, et son écart contre l’axe Bossi-Berlusconi se transforme en boomerang. La réunion des finiens, aujourd’hui, nous dira sur combien de fidèles il peut compter, du moins au niveau parlementaire et indiquera si le risque de scission existe ou s’il est loin derrière. La tendance à compter les voix et à montrer un électorat de centre droit divisé entre président du Conseil et co-fondateur n’est pas un signal positif. De la fondation finienne, ‘Farefuturo’, filtre un anti-berlusconisme qui ne semble pas s’arrêter au risque de rupture. I. La Russa a réuni hier à Milan 22 parlementaires anciens d’AN, dont 18 ont affirmé qu’ils resteraient au sein du PdL quoiqu’il advienne. Un avertissement lancé à Fini et à ceux qui se disent prêts à le suivre. La détermination de Berlusconi à accorder le minimum indispensable réduit les marges de manœuvre et une trêve semble, à ce stade, peu probable. Le succès de Bossi au nord donne naissance à une compétition évidente avec un PdL très ancré au centre-sud. Si l’on écoute le maire de Rome, ‘le thème de la scission est déjà dépassé’ mais on sent une grande envie d’organisation, voire quelque nostalgie pour AN. Parmi les ‘finiens’, certains se contentent d’avoir obligé Berlusconi à la rencontre de jeudi : déjà une victoire, à leurs yeux, pour le président de la Chambre. En vérité, l’effet de l’écart est surtout celui de renforcer le détesté Bossi. Extrêmement froid, Berlusconi se contente de dire : ‘l’accord ne dépend pas de moi’. »
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(Traduction : ambassade de France à Rome.)
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Le PVV exige 10.000 policiers en plus.

Pays-Bas. Le PVV veut accroître la sécurité des citoyens. Il propose un plan d’un milliard d’euros. Le parti veut que l’État néerlandais engage 10.000 agents en plus. C’est une des propositions les plus importantes du programme que le PVV a présenté ce vendredi en vue des élections. Les nouveaux agents devront s’occuper de combattre la criminalité et pas de tâches bureaucratiques ou de harceler les honnêtes citoyens pour des faits peu importants.
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FPÖ et BZÖ s'opposent à l'augmentation des impôts.

Les présidents du FPÖ et du BZÖ s’opposent au plan du gouvernement autrichien visant à augmenter les impôts. Ils demandent au gouvernement de mettre en place un plan d’économie.
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