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09/04/2010

Hongrie : vers une percée du Jobbik ?

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Voici un lien vers une page qui explique comment fonctionne le mode de scrutin :
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Le mode de scrutin étant compliqué, il est difficile d'estimer le nombre de députés que pourrait obtenir chaque parti.
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Voici une prévision réalisée avant l'élection :
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MSZP : Parti socialiste
Fidesz : Parti conservateur
Jobbik : nationalistes
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1/Scrutin proportionnel à un tour :
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2/ scrutin uninominal majoritaire à deux tours :
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Fidesz : 161 
Jobbik : 10
MSZP : 5
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3/ scrutin de liste (reliquat de voix) :
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4/ Total général :
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Élections législatives en Hongrie ce dimanche.

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Ce dimanche aura lieu le premier tour des élections législatives en Hongrie. La droite conservatrice devrait les gagner.

 

Le parti nationaliste Jobbik, qui détient 3 sièges de député européen, devrait faire son entrée au Parlement de Hongrie.

 

Interview de Gábor Vona le président du Jobbik :

http://hvim-france.hautetfort.com/archive/2010/04/07/visage-politique-gábor-vona.html

ou

http://www.jfb.hu/node/1290

Humanitas et le PVV.

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Pays-Bas. Den Haag (La Haye). Cinq membres de la direction du district nord-ouest de l’organisation de volontaires Humanitas ont démissionné parce qu’ils ne veulent pas siéger au sein du Conseil d’administration de cette organisation avec l’élu du PVV René Eekhuis.
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Le PVV a exigé l'interdiction du port du foulard islamique dans les administrations et organismes publiques d'Almere et La Haye (Den Haag) avant les élections. Les cinq personnes démissionnaires du Conseil d’administration estiment que l'organisation qui travaille aussi avec des personnes voilées ne peut se permettrent de compter au sein de son Conseil d'administration un membre du PVV.
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Stefan Petzner quitte ses fonctions de secrétaire général du BZÖ.

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Stefan Petzner, le « fils spirituel de Joerg Haider », se retire de ses fonctions de secrétaire général du BZÖ.

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Il a décidé de se concentrer sur  la politique en  Carinthie. Il reste député du BZÖ et conserve son emploi dans la communication à Monaco.

Berlusconi à Paris.

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Voici un article où sont comparés l'alliance au pouvoir en Italie et la situation française : http://www.mediapart.fr/club/blog/francois-bonnet/090410/berlusconi-paris-plus-fort-que-sarko

Vienne : le FPÖ présente un paquet pour la démocratie.

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Le FPÖ a présenté aujourd’hui un paquet démocratique pour Vienne. Il exige une réforme du système électoral en vue de rendre la tâche des partis politiques d’opposition et des citoyens plus facile. Le FPÖ compare la gestion sociale-démocrate de Vienne à celle de la Corée du Nord.
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Le but de la réforme doit être d’éviter qu’un parti qui obtient moins de 50% des voix puisse disposer d’une majorité absolue au sein de l’assemblée législative de Vienne. Lors des élections de 2005, le SPÖ (Parti social-démocrate) a obtenu 55 des 100 mandats de l’assemblée avec 49,9% des voix.

 

Le FPÖ demande l’élection directe du maire, ainsi que la possibilité d’organiser des référendums et consultations populaires en récoltant 1% des signatures des habitants de Vienne au lieu des 5% exigés actuellement.

08/04/2010

Les stands d’information de pro-NRW à Cologne.

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Depuis le début du mois d’avril, des stands d’information de pro NRW (Pour la Rhénanie du Nord – Westphalie) permettent de faire connaître aux citoyens de la cité rhénane le programme de pro NRW. Le slogan utilisé est : « Pro Köln stärken – Pro NRW wählen! » (Renforcer « pro Köln » - Voter « pro NRW »!).
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Un stand de pro NRW.

Barbara Rosenkranz en Carinthie.

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Autriche. Barbara Rosenkranz, la candidate du PFÖ à l’élection présidentielle, s’est rendue ce jeudi à Klagenfurt, la capitale de la Carinthie.

 

Elle a donné ce matin une conférence de presse en compagnie de Uwe Scheuch, le chef de file du FPK.

 

Barbara Rosenkranz s’est promenée sur le Benediktinermarkt (une place de Klagenfurt) et a visité des commerces.

 

Elle assistera ce soir à une réunion de la direction du FPK à Pörtschach.

 

Les dirigeants du FPÖ de Carinthie participe à la visite au côté des dirigeants du FPK.

 

Pour sa campagne électorale, Barbara Rosenkranz privilégie le thème de la sécurité et de la famille. Elle veut être la porte parole de ceux qui, selon elle,  ne sont pas représentés par les politiciens : les jeunes chômeurs, les mères et pères élevant seuls leur(s) enfant(s) et les familles nombreuses.

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Barbara Rosenkranz et le chef de file du FPK, Uwe Scheuch.

Fini se fait patient et attend les fissures dans l’axe PDL-Bossi.

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« L’anomalie et la Constitution » (Massimo Giannini, La Repubblica) :

« La 19e loi ‘sur mesure’ est passée. Avec la signature du chef de l’Etat sur l’empêchement légitime, le président du Conseil a eu ce qu’il voulait : être intouchable, protégé pour 18 mois de procès lourds (Mills et Mediatrade). Il lui suffira d’une auto-certification pour motif ‘institutionnel’ pour ne pas avoir à se rendre aux audiences, que le motif invoqué soit vrai ou faux : Conseil des ministres, réunion avec un ambassadeur, entretien avec un maire. On ne sera jamais sûr que le Cavaliere n’est pas à une séance de kiné ou à une fête dansante chez lui. Napolitano n’a sans doute pas décidé de gaîté de cœur de promulguer ce texte mais il a joué son rôle, que cela plaise ou non. C’est maintenant à la Cour constitutionnelle de l’étudier – il lui est déjà arrivé de rejeter des lois taillées sur mesure pour Berlusconi. D’un point de vue politique, cette énième entorse aux règles paraît reposer sur un double espoir : que le président du Conseil cesse une bonne fois sa guerre atomique contre la magistrature – et que se vérifie enfin ce ‘climat de loyale collaboration entre autorités politiques et judiciaires’ ; et que cesse sa bataille idéologique contre l’opposition pour que le ‘dialogue’ attendu depuis 2 ans débute pour de bon. Pour l’heure, Berlusconi et sa majorité portent l’énorme responsabilité d’avoir assujetti une fois encore l’intérêt national à une exigence personnelle. En attendant le fin du fin : une anomalie berlusconienne non pas neutralisée peu à peu, mais constitutionnalisée. »

 

« L’entorse de la Ligue irrite ses alliés » (Francesco Verderami, Corriere della Sera) :

« Berlusconi avait déjà été étonné l’autre soir, quand Calderoli lui avait montré le projet de réforme constitutionnelle mais nul n’imaginait qu’il irait le présenter au Quirinal – ce qui a surpris tant le président du Conseil que ceux des Chambres. Fini et Schifani ont été frappés le côté inhabituel du procédé : d’abord, l’initiative éventuelle aurait dû incomber à Bossi, ministre des Réformes, et Calderoli aurait agi sans en avoir parlé aux dirigeants du PdL au dîner d’Arcore, court-circuitant le Conseil des ministres et les groupes parlementaires de la majorité. Pour couper court, Berlusconi a dit que le projet ‘devait être approfondi’. L’heure de discuter stratégie viendra, la route est encore longue et il faudrait veiller à la façon de procéder : Schifani et Fini ont trouvé que Calderoli allait ‘plus vite que la musique’. »

 

« Fini se fait patient et attend les fissures dans l’axe PDL-Bossi » (Amadeo La Mattina, La Stampa) :

« Une semaine avant les régionales, le sénateur Marcello Dell’Utri a offert à Gf. Fini Le Prince de Machiavel, en lui conseillant d’apprendre à attendre la succession de Berlusconi avec une ‘philosophie patiente’. Mais Fini, flegmatique de nature, avait d’autres projets, n’imaginant sans doute pas que le ‘Prince Silvio’ ressortirait si fort des élections et que Bossi ferait la loi dès le lendemain, lui volant la paternité du régime semi-présidentiel – inscrit dans le projet que Calderoli, ministre de la Simplification administrative, a soumis hier au chef de l’Etat. Une initiative qui prend de vitesse Fini, lequel ne lancera qu’aujourd’hui le colloque de Farefuturo sur le régime semi-présidentiel. Berlusconi s’est empressé de préciser qu’il s’agissait d’une ‘initiative personnelle’, mais elle cadrait parfaitement avec le calendrier de la Ligue. Face à la ‘traction léghiste’ de la majorité, Fini craint l’isolement mais il est persuadé que l’euphorie de Bossi s’atténuera et que Berlusconi comprendra qu’il faut mettre un frein à ses revendications continuelles. A défaut, le mécontentement montera y compris chez les berlusconiens et Fini pourrait devenir leur point de répère. Conseil de Fini aux siens : rester de marbre. Trois ans de législature, c’est long et les hypothèses qui circulent sur le ‘ticket’ (Berlusconi au Quirinal, Tremonti ou un léghiste comme Maroni au palais Chigi) n’ont rien de solide. Maintenant Fini doit attendre une semaine avant de rencontrer Berlusconi et d’entrer dans le jeu. Il devra jouer finement avec des propositions crédibles et articulées. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Le Mouvement Citoyens vaudois a été lancé ce mardi.

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Suisse. Le MCG (Mouvement des Citoyens Genevois) a décidé de s’étendre.
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Le Mouvement Citoyens vaudois a été lancé ce mardi. Le président en est Jean-Pierre Grin. Il a déclaré : "Les citoyens du canton ont peur en raison de l'insécurité qui y règne", "Nous voulons également faire du social, mais pas du socialisme", "rendre le pouvoir au citoyen", "Nous avons une place à prendre avec les turbulences politiques actuelles. La population ne sait plus à quel parti se vouer".

 

Le MCVD sera tout à fait indépendant du Mouvement Citoyens genevois (MCG), a déclaré Jean-Pierre Grin. Chaque section du Mouvement Citoyen Romand (MCR) est autonome. Le Mouvement Citoyens neuchâtelois conduit par David L'Epée poursuit sa route.

Le BNP présente son programme pour les élections législatives.

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Royaume-Uni. Le BNP a révélé son programme pour la campagne électorale 2010 : Afghanistan, immigration et la conspiration du réchauffement global.
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Le BNP fera campagne en faveur du retrait des troupes britanniques d’Afghanistan, d’un arrêt de l’immigration et contre la conspiration du réchauffement global

 

Les partis du système se sont, eux, prononcés pour la présence de troupes britanniques en Afghanistan. Le BNP exige le retrait immédiat de l’ensemble des troupes britanniques.

 

Le BNP réclame l’arrêt effectif de l’immigration en provenance du Tiers-monde.

 

Le BNP s’oppose à la théorie du réchauffement climatique qui ne sert qu’à implémenter des taxes supplémentaires, qui pèsent sur les entreprises et à servir de justification aux délocalisations d’entreprises vers les pays à bas salaire.

 

Le British National Party est, selon son président, le seul parti qui a un programme qui consiste à proposer une politique juste, logique et cohérente.

La direction de l'UDC tient à réaffirmer le droit établi du parti à un deuxième siège au Conseil fédéral (gouvernement).

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% :
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La direction de l'UDC tient à réaffirmer le droit établi du parti à un deuxième siège au Conseil fédéral. Le principe de la concordance confirme en effet clairement le droit de l'UDC à un siège supplémentaire au gouvernement national. L'UDC fera de toute manière valoir ce droit à la prochaine vacance au Conseil fédéral, qu'elle soit la conséquence de la démission d'un conseiller fédéral socialiste ou radical, peu importe.

 

L'UDC s'engage depuis toujours pour le principe de la concordance. Avec 28,9% des suffrages obtenus aux dernières élections fédérales, elle est de loin le premier parti politique de Suisse. Le PS suit avec une part électorale de 19,5% (29,3% si on y ajoute les Verts), le PLR avec 17,7% et le PDC avec 14,5%. L'UDC a ainsi clairement droit à un deuxième siège au Conseil fédéral; elle est aujourd'hui nettement sous-représentée avec un seul mandat. Lors de la dernière vacance, elle avait laissé la priorité au PLR. Elle fera donc valoir son droit à la prochaine démission du Conseil fédéral. Il appartiendra aux organes du parti et du groupe parlementaire de choisir le candidat quand le moment sera venu.

07/04/2010

Katyn : changement dans les rapports entre la Russie et la Pologne.

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Le Premier ministre russe Vladimir Poutine et le premier ministre polonais se sont retrouvés à Katyn. Une cérémonie a eu lieu en vue de commémorer les 22 000 militaires polonais assassinés, en 1940, par les Soviétiques. Cette rencontre marque une volonté de changement dans les relations entre la Russie et la Pologne.

Bossi au président du Conseil : ‘ les réformes doivent démarrer mais en accord avec le centre gauche’.

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« La ‘mise-en-scène’ léghiste ne doit pas être prise à la lettre, c’est la substance qui compte » (Stefano Folli, Il Sole 24 ore) :

« Derrière la polémique sur la revendication par la Ligue de la ‘mise-en-scène des réformes’ – à travers l’entretien de Maroni au Corriere – il y a un point crucial, qui a plané hier soir sur le dîner entre Berlusconi et Bossi à Arcore : nous assistons à la réalisation du scénario post électoral – inévitable vu le résultat – avec les débuts de la ‘nouvelle’ Ligue dans un rôle national. La Ligue du nord souhaite suivre pas à pas l’itinéraire réformateur et contribuer à en fixer le calendrier et les priorités, en définissant ou, mieux, en guidant le dialogue parlementaire avec l’opposition. Le terme de ‘mise-en-scène’ ne doit donc pas être pris à la lettre, le rôle de metteur-en-scène revenant au président du Conseil, mais dans la substance cela indique l’intention léghiste de ne pas se laisser reléguer aux seconds rôles et de talonner Berlusconi de près. Il n’est pas question de conserver le ministère de l’Agriculture ou de revendiquer la mairie de Milan : les véritables objectifs de Bossi sont en fait les réformes, leur parcours et, par conséquent, la relation avec l’opposition. Sur ce dernier point surtout, Bossi ne veut pas laisser faire Berlusconi et pour deux raisons : l’extrême défiance de ce dernier vis-à-vis de quelque accord que ce soit avec l’opposition d’abord, et Berlusconi demeure, ensuite, la personne avec laquelle l’opposition a le plus de difficultés à dialoguer sur le fond – présidentialisme, etc. Les interventions de Maroni ou de Calderoli doivent donc être vues comme autant de signaux envoyés au centre gauche pour qu’il comprenne qu’au sein de la majorité certains tissent une toile qui inclura les différents aspects du fédéralisme et le renforcement du gouvernement central. Un rôle central se profile pour le président de la Chambre : Fini sera déterminant dans la triangulation majorité-opposition-Quirinal. Le scénario actuel impose donc que Bossi et le cofondateur du PdL s’entendent. »

 

« Bossi au président du Conseil : ‘ les réformes doivent démarrer mais en accord avec le centre gauche’ » (Ugo Magri, La Stampa) :

« Au dîner d’Arcore, hier, Calderoli a présenté son projet de nouvelle Constitution, basée sur le fédéralisme et le présidentialisme à la sauce française. Plus encore que le contenu, c’est la méthode qui lui tient à cœur : la Ligue veut un large accord pour éviter un référendum comme celui de 2006, fatal. Le PD serait donc impliqué dans les négociations. Le Cavaliere est sceptique mais il veut éviter d’heurter Fini et encore moins Bossi – d’accord sur ce point avec le président de la Chambre. Sur l’Agriculture, par contre, grande discussion : Berlusconi défend Galan, auprès duquel il a ‘pris un engagement’ mais, surtout, il ne veut pas donner l’impression de se plier à tous les desiderata de la Ligue du nord. En privé, par ailleurs, Berlusconi s’est montré très en colère suite à l’entretien de Maroni au Corriere – voulant donner la paternité des réformes à la Ligue – et il a donné son aval pour que ceux qui le souhaitaient, au sein du parti, répliquent. Le magazine web de la fondation finienne FareFuturo exhortant le PdL à ‘frapper un coup pour ne pas tous mourir léghistes’ a été attaqué permettant aux dirigeants PdL (de Bondi à Cicchitto ou Gasparri) de remettre les choses au clair, également vis-à-vis de la Ligue, en réaffirmant que ‘la mise en scène des réformes en revient entièrement au PdL qui a fait des miracles lors des élections’. Au nom de la fondation, Urso a pris ses distances de l’article Internet et non pas pour calmer les dirigeants du PdL mais pour une autre raison, liée à la stratégie finienne : il semblerait que contrairement au président du Conseil, Fini ait apprécié la sortie de Maroni, notamment sur le semi-présidentialisme à la française. En gros, il serait erroné de voir le PdL assujetti à la Ligue, c’est plutôt la Ligue qui, pour une fois, adhère aux positions d’AN et de Fini. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

PVV : le coût de l'immigration.

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Pays-Bas. L’afflux d’étranger non-Ouest-Européens coûte annuellement entre 6 et 10 milliards d’euros aux Pays-Bas. C’est ce qui résulte d’une étude menée par le bureau scientifique Nyfer à la demande du PVV.

Leefbaar Rotterdam va participer à la gestion de deux quartiers de Rotterdam.

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Pays-Bas. Leefbaar Rotterdam va participer à la gestion de deux quartiers de Rotterdam.
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Leefbaar Rotterdam, D66 et le VVD ont conclu un accord en vue de gouverner le quartier de Prins Alexander. Frans van der Hilst et Patrick Meijer représenteront Leefbaar Rotterdam au sein de l’exécutif, qui compte quatre membres.

 

Leefbaar Rotterdam, le VVD, D66 et le CDA ont conclu un accord en vue de gouverner le quartier de Hillegersberg-Schiebroek. Dea de Coninck de Leefbaar Rotterdam reçoit le portefeuille du bien-être et de l’environnement. Le nouvel exécutif sera installé le 13 avril 2010.

Réaction du Parti libéral allemand.

Allemagne. Le FDP, le Parti libéral (centriste) allemand, a réagi aux attaques du Président de la confédération des syndicats Michael Sommer qui a prétendu que le FDP dévie vers la droite populiste.

 

Le vice-président du groupe parlementaire du FDP, Patrick Döring, a déclaré au Hamburger Abendblatt « Je me demande si Monsieur Sommer a encore en vue les intérêts des travailleurs. » et « Ça en dit en tout cas beaucoup sur notre pays, quand un parti qui promeut moins de charges fiscales pour la classe moyenne est assimilé à la droite populiste ». et encore « faire un parallèle entre le Parti libéral allemand et le FPÖ autrichien est un détournement » puis « Cette déclaration est clairement populiste et endommage la démocratie. »

06/04/2010

Nouveau livre d’Eva Herman.

Allemagne. Quelle est la liberté d’expression et la tolérance à l’encontre de ceux qui pensent autrement, au sein des médias allemands ?

 

C’est à cette question que tente de réponde Eva Herman dans son nouveau livre en allemand intitulé Die Wahrheit und ihr Preis. Meinung, Macht und Medien. (La vérité et son prix. Opinion, pouvoir et média.)

 

Eva Herman est connue en Allemagne en tant que présentatrice appréciée du Tagesschau (journal télévisé) durant de nombreuses années. Elle a émis des idées qui ne sont pas conformes à la vision féministe classique. Suite à ses prises de positions, elle a subi les attaques des milieux féministes et fait l’objet d’une chasse aux sorcières. Ses prises de positions ont été scandaleusement mésinterprétées et assimilées à des positions proches de celles du national-socialisme sur la question. Son employeur, la NDR, l’a, suite à ce tumulte, renvoyée.

 

Elle a ensuite participé au célèbre show télévisé de Johannes-B.-Kerner. Sous les yeux d’un million de téléspectateurs, elle y a fait l’objet d’une sorte de procès en inquisition qui a mené à la destruction de sa carrière. Elle est devenue « Persona non grata » dans les médias.

 

Elle raconte la façon dont elle a vécu les évènements.

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Le livre en allemand.
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La version en 10 CD en allemand.

Italie : les sujets les plus urgents : emploi, retraites, fiscalité.

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« Berlusconi essaye de se démarquer de Bossi » (Ugo Magri, La Stampa) :
« Berlusconi et Bossi ont juré qu’il n’y aurait jamais plus de tensions entre eux et le dîner de ce soir, à Arcore, aura certainement lieu dans la bonne humeur, mais il y a deux questions à régler d’ici 2013. D’abord la question du ministère de l’Agriculture, qui devrait aller à Galan. Bossi pourrait renoncer à ce ministère en faveur du PdL si c’est lui qui choisit le ministre : cela signifiera alors que c’est la Ligue qui décide. Les dirigeants du PdL se sentiront sacrifiés et les finiens en profiteront pour exiger plus de fermeté envers Bossi. Certains proches de Berlusconi laissent entendre que Bossi voudrait Calderoli à la vice-présidence du Conseil mais ce dernier vise bien autre chose : les réformes institutionnelles. Et c’est la deuxième question politiquement dangereuse. Calderoli est encore ministre pour les Réformes et ,en tant que tel, il a l’intention de mettre en œuvre la grande réforme de la Ligue : le fédéralisme, bien sûr, et le semi-présidentialisme à la française. Il espère ainsi accrocher le PD et verrouiller le fédéralisme fiscal. Si le Cavaliere n’est pas d’accord, la Ligue est prête à tout, même à présenter sa proposition de façon autonome, ce qui ne serait pas bon pour la stabilité du gouvernement. Mais si Calderoli va de l’avant, le PdL risque de sembler à la traine de la Ligue. Voilà pourquoi le groupe dirigeant berlusconien travaille sur une ‘proposition globale’ qui sera déposée au Parlement la semaine prochaine. Et demain, en attendant des éclaircissements entre le Cavaliere et Fini, le sommet PdL se réunira au sujet des réformes pour dire : il n’y a pas que la Ligue, nous existons nous aussi. »
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« Les sujets les plus urgents : emploi, retraites, fiscalité (sondage IPSO-Corriere) » (Renato Mannheimer, Corriere Della Sera de dimanche) :
« Berlusconi fera-t-il vraiment les réformes qu’il a promises ? Le gouvernement sort victorieux des élections, mais au sein de la coalition de centre droit, le PdL a subi des pertes et le leader du PdL doit maintenant récupérer la confiance des Italiens. Les Italiens croient-ils vraiment que Berlusconi maintiendra ses promesses ? Pour la majorité (58%) la réponse est affirmative. 80% des électeurs du PdL affirment que les réformes se feront, 17% n’y croient pas. Parmi les électeurs du PD, 43% pensent que Berlusconi mènera à bien les réformes, contre 55%. Un indice supplémentaire de la fracture d’opinion du principal parti d’opposition, et donc de la stratégie à adopter. Quelles sont les réformes les plus urgentes ? Pour 47%, les contrats de travail, surtout parmi les plus jeunes. Un sujet qui, avec les retraites et la fiscalité, touche de plus près les gens. Alors que les thèmes les plus chers au Cavaliere, comme la justice et le présidentialisme, les intéressent beaucoup moins. En conclusion, les Italiens continuent de croire en Berlusconi, mais ils voudraient qu’il s’occupe de plus près des questions qui les touchent. »
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Entretien avec F. Frattini, ministre des Affaires étrangères, dans La Stampa de dimanche – « Les problèmes entre Berlusconi et le Quirinal sont dépassés » : 

« Le jour des régionales, j’étais à Otawa pour le G8. Mes collègues sont venus me demander ce qui se passait, et ont évoqué le soi-disant déclin de Berlusconi… J’ai répondu que ce n’était ni L’Economist ni le Financial Times qui décidaient de la politique italienne. L’Italie a été pendant longtemps un modèle d’instabilité, mais Berlusconi a gouverné pendant huit ans au cours de ces dix dernières années et nous sommes devenus un exemple de stabilité. Pour expliquer les réformes aux Italiens nous utilisons la toile, les réseaux sociaux. Notre relation avec le Quirinal est bonne, Napolitano est un Président sur lequel nous pouvons compter. Je suis aussi convaincu que Berlusconi saura reconnaître la nécessité d’un parcours commun avec nos adversaires. Fini et Berlusconi ont compris tous les deux que le PdL est plus fort grâce à la diversité de ses opinions, l’important est d’arriver à prendre une décision. Quant à la Ligue, chapeau ! Elle est partout sur le territoire pour s’occuper des problèmes des gens. On ne peut pas en dire autant du PdL. Il va falloir nous montrer meilleurs qu’eux ou nous leur laisserons les clefs du pouvoir. »

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Entretien avec R. Maroni, ministre de l’Intérieur, dans le Corriere Della Sera – « Le semi présidentialisme à la française et tout de suite la réduction des parlementaires » :

« C’est la Ligue qui doit mener les grandes réformes constitutionnelles. Nous en sommes capables et nous sommes prêts à les faire. Nous rencontrerons sans doute quelques résistances de la part de ceux qui croient encore que nous sommes grossiers et sans culture, mais Berlusconi sait qu’il ne peut confier les réformes qu’à la Ligue. Le gouvernement s’est renforcé grâce à notre victoire. Les priorités : Etat fédéral et beaucoup de compétences aux régions. Nous ferons approuver les réformes par les deux tiers du Parlement. Pour nous le PD est un interlocuteur indispensable. Nous avons déjà mené à bien les réformes des retraites et du social, Bossi et Calderoli vont faire le reste. Je suis convaincu qu’il faut arriver à une véritable séparation des carrières, en sauvegardant l’autonomie de la justice. Mais il faut réformer une justice malade de lenteur. Bossi est candidat à la mairie de Milan. Nous n’écartons pas totalement l’idée d’un candidat léghiste à Naples, peut-être qu’alors les choses commenceront à fonctionner… »

Entretien avec I. La Russa, ministre de la Défense et coordinateur du PdL, dans le Corriere della Sera de dimanche – « Milan et l’Agriculture sont à nous, Bossi le sait » :

« La Ligue n’a plus besoin, aujourd’hui, de jouer à la fois les partis de lutte et de gouvernement, elle doit se comporter de manière responsable, en prenant conscience que les choses se décident ensemble. Il n’y a pas à discuter le fait que le candidat à la mairie de Milan doit être l’expression du PdL, quant à l’agriculture, il y a un pacte à respecter : il était prévu qu’en cas de double victoire en Vénétie et dans le Piémont, la Ligue aurait laissé le ministère. Il est vrai qu’elle a bien mené sa campagne électorale, mais elle n’a eu à couvrir que 3 régions et nous, 21, et nous sommes bien plus présents dans les grandes villes. Le PdL doit équiper le parti différemment selon le territoire : il doit bien choisir ses thèmes politiques, comme la sécurité et la lutte contre l’immigration clandestine dans le nord, par exemple. Nous pourrions envisager de créer trois groupes de coordination, pour le nord, le centre et le sud. Les réformes consensuelles peuvent se faire, mais si nous pouvons céder 25% de nos positions, l’opposition doit le faire à hauteur de 50%. Je suis pour un présidentialisme à l’américaine, mais l’important est que le processus soit guidé par Berlusconi, Bossi et les présidents des chambres. »

 

(Traduction: ambassade de France à Rome)

André Glucksmann : « Allemagne, le coin que Poutine enfonce en Europe ».

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Tribune d’André Glucksmann dans le Corriere della Sera – « Allemagne, le coin que Poutine enfonce en Europe » :

« L’Union européenne se trouve aujourd’hui en plein chaos. L’époque du fameux ‘couple franco-allemand’ est dépassée. Désormais, ‘la locomotive’ fait des embardées si elle ne déraille pas complètement. Les gouvernements allemand et français acceptent que s’instaure entre eux une concurrence coûteuse et acharnée. L’Allemagne ne limite pas ses ambitions aux frontières de l’Euroland, elle nourrit de plus vastes desseins. Il ne faut pas attribuer uniquement le tropisme russe à la cupidité du socialiste Schröder qui, en trente jours, s’est vu propulsé de la Chancellerie allemande au conseil d’administration poutinien de Gazprom. L’austère Angela Merkel n’a pas voulu, ou pas pu, empêcher l’entente toujours plus étroite entre Moscou et Berlin. Les industriels allemands ont le regard vissé sur le lucratif ‘Far East’ où s’annonce une gigantesque modernisation, de Kaliningrad à Vladivostok. Les manières fortes de Poutine ne suscitent pas la même réprobation chez les allemands que la guerre de Bush en Irak. La Russie bénéficie en Allemagne d’une extraordinaire extraterritorialité morale en partie due aux complexes de culpabilité et de remords post-hitlériens et pour l’autre, par respect de la force et du souvenir cuisant de l’échec de Stalingrad. Adieu Paris, bonjour Moscou. A Berlin l’intendance, à Paris les beaux discours vains. Les experts russes qui n’ont jamais cru possible une ‘communauté européenne’ crient victoire. »

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(Traduction : ambassade de France à Rome)

UDC Suisse : "Schengen: fermer les yeux et refouler".

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% :

 

Sous le titre technique de "les détentrices et détenteurs d'un visa D peuvent désormais voyager dans tout l'espace UE", le Conseil fédéral a accepté la semaine dernière sans coup férir nouveau un développement du droit Schengen. Le nouveau régime facilite l'entrée des étrangers en Suisse et réduit encore une fois les moyens de la Suisse de contrôler la migration. Ce que le Conseil fédéral ne dit pas, c'est que depuis son adhésion à Schengen il y a un an et demi la Suisse a dû reprendre plus de 100 développements du droit Schengen. Le Conseil fédéral préfère ignorer cet aspect, tout comme il tait soigneusement les coûts énormes que l'accord de Schengen a déjà entraîné pour la Suisse. Le dossier Schengen est marqué par des dissimulations et cachotteries systématiques.

 

Dans ses explications de vote avant le scrutin sur Schengen, le Conseil fédéral avait promis davantage de sécurité et des économies substantielles. De plus, cet accord protégerait la souveraineté et la démocratie directe. La réalité est une fois de plus très différente. Depuis la fin 2008, la Suisse a été contrainte de reprendre plus de 100 développements du droit Schengen. C'est dire la perte de souveraineté qu'elle a subie. Des décisions prises autrefois par le peuple ont passé aux oubliettes, tout comme les instruments qui permettaient de contrôler la migration, notamment en provenance des pays balkaniques. Quant à la sécurité accrue que nous apporterait prétendument Schengen, elle se lit dans la statistique policière criminelle: 14% des délinquants arrêtés en Suisse sont desdits touristes criminels. Les régions frontalières souffrent de plus en plus de la suppression des contrôles aux frontières. En 2008 déjà, le Conseil fédéral a été contraint d'admettre qu'au lieu des coûts annuels de 7,4 millions de francs devisés pour l'application de l'accord de Schengen, il fallait compter quelque 50 millions. En réalité, le coût total des diverses adaptations dépasse sans doute largement cette somme. Le Conseil fédéral préfère ne pas en parler. Sa politique est de passer systématiquement sous silence les conséquences déplaisantes de l'accord de Schengen.

 

Voie libre pour les requérants d'asile?

 

Un exemple illustrant la tactique de dissimulation du Conseil fédéral: l'adaptation du 20 janvier 2010. Sous le titre de "L'ordonnance sur l'établissement de documents de voyage pour des personnes étrangères entre en vigueur le 1er mars 2010", le Conseil fédéral a en réalité annoncé l'adaptation des bases légales pour l'introduction des données biométriques dans les passeports et documents d'identité conformément à l'accord de Schengen. Dans son communiqué de presse rédigé en termes très techniques, le Conseil fédéral passe sous silence qu'il assouplit simultanément les restrictions de déplacement pour les personnes dont la demande d'asile est pendante et pour les personnes admises provisoirement. Ces assouplissements dépassent les exigences de Schengen. Pourquoi des personnes admises provisoirement, donc des requérants d'asile dont la demande a été refusée parce que non motivée, mais qui ne peuvent pas être renvoyées dans leur pays d'origine, pourraient-elles voyager librement à l'étranger sans avoir à indiquer la raison de leur déplacement? Pourquoi des requérants d'asile auraient-ils tout à coup le droit de participer à des manifestations sportives et culturelles à l'étranger? Et pourquoi le Conseil fédéral ne dit-il pas que ces adaptations augmentent nettement l'attractivité de la Suisse comme pays d'asile? Il fallait comparer dans les détails l'ancien texte de l'ordonnance à la version modifiée pour se rendre compte de ces modifications (Ordonnance sur l'établissement de documents de voyage pour des personnes étrangères).

 

La politique de migration de la Suisse devient de plus en plus une politique de dissimulation.

Union valdôtaine : après les élections régionales.

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Voici un communiqué d'Ego Perron, le président de l'Union valdôtaine :

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Après les élections régionales

 

Je ne veux pas faire à travers les pages de « Le Peuple Valdôtain » de longs commentaires sur les élections régionales italiennes qui viennent de se terminer. Je pense qu’audelà de certaines analyses un peu forcées, les données sont claires et sans équivoque pour tout le monde.

La géographie politique italienne au niveau des Régions a radicalement changé. Si en plus nous ajoutons que, il y a quelque temps, on a voté dans la région du Frioul et en Sardaigne, où les Gouvernements de centre-gauche ont été battus, la situation est encore plus évidente : le centre-droite s’affirme dans tout le Pays. L’Union Valdôtaine prend acte de ce résultat et regarde de l’avant.

Il s’agit, malgré tout, d’un résultat auquel personnellement je tiens compte, comme je tiens compte d’un cadre politique national avec lequel, en tant que force politique qui agit et qui travaille pour les intérêts de la Vallée d’Aoste et des Valdôtains, nous sommes confrontés et nous devons dialoguer.

 

Un des mots qui circulent le plus dans les commentaires des leaders politiques nationaux est « maintenant, l’heure des réformes est arrivée ». Même le Président de la République Giorgio Napolitano souhaite que, dans les trois prochaines années pendant lesquelles il n’y aura pas d’élections, notre pays puisse trouver les convergences politiques pour affronter ce passage avec un climat de sérénité et de distension toujours dans la confrontation politique. L’une des prochaines réformes qui concernera les Régions, ce sera le fédéralisme fiscal, une expression qu’on emploie souvent et dont très peu de gens connaissent la vraie signification. Nous attendons de connaître les vrais contenus du fédéralisme fiscal, de connaître ce que cela signifiera pour notre Région, pour nos rapports financiers avec l’Etat, pour notre équilibre financier, en ce qui concerne même la possibilité de transférer des ressources aux Communes.

 

Et après, il y aura toutes les autres réformes, ce profond et radical processus qui, à ce qu’on dit, va redessiner radicalement la République italienne, les Régions, les organes constitutionnels, par exemple le fameux Sénat fédéral. A l’intérieur de ce processus nous prétendons, en tant que Vallée d’Aoste, d’être présents, de participer à la discussion, de nous asseoir à la table pour faire valoir nos raisons, de porter nos motivations et nos idées, d’y participer en tant que protagonistes et non pas de subir les décisions.

 

Pour une petite Région comme la nôtre, ce passage demande de la cohésion, demande d’unir toutes les forces qui veulent travailler dans cette direction. Les Parlementaires valdôtains devront travailler dans ce sens et être vigilants et engagés, le Gouvernement valdôtain et le Conseil de la Vallée auront le devoir d’être présents durant tous ces moments et à toutes les occasions de discussions pour faire valoir nos raisons et nos droits. Les forces politiques de la Vallée sont appelées à travailler, avec le sens des responsabilités, pour créer les conditions d’un dialogue et d’une confrontation qui puissent porter des bénéfices pour notre Autonomie.

 

L’Union Valdôtaine veut participer, dans l’intérêt de notre région, avec engagement et sens des responsabilités à ces processus, toujours dans l’intérêt supérieur de notre petite et merveilleuse communauté.

 

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Le Président de l'Union valdôtaine Ego Perron.

Geert Wilders n'estime pas que la demande d'interdiction du port du voile islamique au sein des administrations de Almere et Den Haag puisse constituer un blocage.

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Geert Wilders a déclaré que l’exigence du PVV de voir le port du foulard islamique interdit au sein des organismes publics d’Almere et Den Haag (La Haye) est un point important du programme du parti, mais n’est pas un point de rupture.
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Il y a d’autres points importants du programme du PVV, qui peuvent servir de base à une négociation avec d’autres partis politiques, notament la sécurité, le combat de la criminalité et le rejet de l’islamisation de la société. Selon Geert Wilders, l’exigence du PVV à propos de l’interdiction du port du foulard islamique au sein des administrations des deux villes ne doit pas bloquer les négociations en vue de la formation de l’exécutif des deux villes.

Le BNP peut s’assurer de 12% des votes.

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Royaume-Uni. Le quotidien The Independent a publié une analyse politique sur le BNP.

 

Une analyse réalisée au Royaume-Uni montre que le BNP peut s’assurer de 12% des votes et peut devenir une force permanente de la politique au Royaume-Uni. Le BNP touche les personnes qui n’ont plus d’espoir.

 

Les partis du système se sont aliénés la classe ouvrière blanche.

 

Les attaques des autres partis contre le BNP ne fonctionnent pas parce que ce qui est dit sur ce parti lors des attaques n’est pas conforme avec ce que les personnes voient du parti. Les membres du BNP se font connaître en balayant la neige, effaçant des graffitis, construisant une hutte de scouts,...

 

Le fait que le BNP soit exclu par les autres partis des médias (journaux, BBC,...) ne fonctionne plus, car le BNP mène une guérilla du marketing en utilisant l’internet.

 

Les personnes qui pensent voter pour le BNP sont celles qui ont été touchées durement par la globalisation. Celle-ci a été positive pour une partie de la population, mais un désastre pour ceux dont les emplois ont été délocalisés vers d’autres pays.

05/04/2010

Le BZÖ ne participera pas aux élections pour le Parlement du Burgenland.

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Le BZÖ ne participera pas aux élections pour le Parlement du Burgenland qui auront lieu le 30 mai 2010. C’est ce qu’a déclaré le chef du BZÖ Josef Bucher. Parmi les raisons invoquées figure le manque d’argent dans les caisses du parti.
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Lors des même élections en 2005, le BZÖ n’était pas présent. Le BZÖ était alors un nouveau parti qui existait depuis six mois. Lors des élections municipales au Burgenland en octobre 2007, le BZÖ n’était également pas présent.

 

Le BZÖ a par contre été présent au Burgenland lors des élections législatives de 2008.