19/03/2010
Leefbaar Rotterdam accepte les résultats du scrutin.

18:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le vrai thème de l’après-élection en Italie : le poids et le rôle de la Ligue.


« Bossi lance le lobby du Nord – ‘sur les listes il fallait négocier avec le PD’ » (Rodolfo Sala, La Repubblica) :
« ‘La Padanie va se réaliser pleinement’ a déclaré Bossi à Gênes pour la signature du ‘pacte économique et politique’ entre les quatre candidats du centre droit en Vénétie, Piémont, Lombardie et Ligurie : les léghistes Cota et Zaia, ainsi que Formigoni et Biasotti. Bossi, radieux, voit un de ses rêves se réaliser par une simple signature mais il ne renonce pas à rendre la soirée un peu plus mouvementée. ‘Pour résoudre la question du chaos des listes, le PdL aurait dû négocier avec le PD’, dit-il, rejetant la ligne de Berlusconi sur le ‘complot’ ourdi par la magistrature. Luca Zaia, probable gouverneur de Vénétie (Bossi voudrait aussi garder le ministère de l’Agriculture bien que Berlusconi l’ait promis à Galan, gouverneur sortant) explique ainsi la signature qui a eu lieu, sous l’œil attentif de Tremonti et Bossi, en présence aussi de Maroni : ‘Ce soir naît le puissant lobby du nord grâce auquel nos quatre régions seront les premières à mettre en œuvre les décrets du fédéralisme fiscal et à négocier avec le gouvernement de meilleures conditions pour nos administrés’. Il semblerait que Berlusconi soit irrité par les dernières sorties de Bossi. Précision de La Russa : ‘Bossi est le bienvenu’ à la manifestation de samedi, à Rome, mais ‘sur la scène, il y aura les 13 candidats et le président Berlusconi : aucun autre dirigeant politique ne s’exprimera.’ »
Entretien avec R. Formigoni, président de la Région Lombardie, dans le Corriere della Sera – « Formigoni et la Ligue : ‘le PdL restera le premier’ » :
« ‘En Lombardie, le PdL demeurera le premier parti politique’ : c’est la réponse de Formigoni à Bossi. Le chef de file de la Ligue a qualifié le Piémont de ‘région en crise’ et incité à voter Ligue, ce qui a donné lieu à une opération de diplomatie : hier, Formigoni a parlé avec Bossi, Calderoli et Giorgetti. Le ministre Calderoli a publié dans l’après-midi un communiqué ramenant l’incident à une simple équivoque, une ‘distorsion’ de la réalité, ‘une série de considérations attribuées à Bossi qui ne sont pas exactes’ – quoique les agences aient rapporté fidèlement ses propos. Pour Formigoni : ‘tout est clair et Bossi m’a renouvelé son estime’. »
« Le dossier de l’enquête sur le Cavaliere transféré à Rome » (Giusi Fasano, Corriere Della Sera) :
« Le parquet de Trani a finalement admis que l’enquête RAI-Agcom-Berlusconi pour ‘concussion, violence et menaces à un organe politique, administratif ou judiciaire’, n’était pas de sa compétence : le dossier sera transféré à Rome. Les enquêtes visant Innocenzi et Minzolini restent à ce stade à Trani – bien qu’un procès contre Innocenzi faisant abstraction de ses conversations avec Berlusconi soit difficilement envisageable. Elles portaient toujours sur l’élimination de l’émission Annozero, qui déplaisait au Cavaliere, lequel appelait sans cesse Innocenzi pour discuter de l’éviction de Santoro. Mais les émissions que Berlusconi voulait éliminer ne l’ont pas été, bien qu’Innocenzi ait évoqué avec beaucoup de monde de la façon la plus légitime possible de bloquer Annozero – ce qu’il a nié devant les magistrats de Trani en décembre. Le 30 novembre 2009, au téléphone avec G. Lainati, vice président de la Commission parlementaire de surveillance, il semblait convaincu d’avoir trouvé la solution. Il était certain que Santoro ne pourrait pas diffuser son émission sur l’affaire Mills (qu’il a pourtant faite) tout en imaginant déjà le tollé que cela provoquerait pour Zavoli. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
16:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
18/03/2010
Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ (II).

Harald Vilimsky, un des responsables du FPÖ, a demandé la démission du chef de la rédaction de l’ORF.
Le président du FPÖ, Heinz-Christian Strache, tiendra une conférence de presse sur le sujet ce vendredi.
21:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Rajinder Singh rejoint le BNP.

21:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Berlusconi : "le CSM a été désavoué".


« Le Cavaliere en quête de la difficile unité du centre droit » (Massimo Franco, Corriere Della Sera) :
« Les critiques du chef de la Ligue sur une ‘Lombardie en crise’ réactivent la compétition avec le PdL et la tension est palpable entre le président du Conseil et le président de la Chambre. On a l’impression qu’en cas de résultats décevants, les risques de rupture augmenteront. Les hommes de Berlusconi sont convaincus que les manoeuvres de Fini sont le prélude à un règlement de comptes. Ils suspectent même qu’on œuvre ici ou là pour un demi-succès de la manifestation du 20. Et la création de Generazione Italia aiguise leur méfiance. Le Cavaliere, qui semble bien décidé à ne pas se laisser délégitimer, compte sur le soutien de l’essentiel de la direction et de l’électorat ex-AN. Même la possible croissance de la Ligue aux dépens du PdL est imputée préventivement aux ‘bizarreries’ politiques finiennes. Cet affrontement interne se heurte à l’alliance du Cavaliere avec la Ligue. Entre autres frictions avec la Ligue, Fini dénonce un fédéralisme fiscal qui dérivant insensiblement vers une ‘sécession douce’. Et il semble en harmonie avec PF Casini pour voir dans la stratégie de la Ligue une menace pour l’unité nationale – une ‘padanisation’ du Nord. Au bout du compte, peut-être Berlusconi et Fini s’apercevront-ils à nouveau qu’ils ne peuvent pas rompre. Mais Fini préfère parler d’avenir, comme s’il voulait évacuer une phase du PdL. Paradoxalement, l’absence d’élections d’ici 2013 pourrait contribuer à déstabiliser la majorité – cela laisse en effet 3 ans pour bâtir quelque chose d’autre, avec ou sans le président du Conseil. »
« Berlusconi : ‘le CSM a été désavoué’ » (Barbara Fiammeri, Il Sole 24 Ore) :
« Berlusconi voit dans le communiqué du chef de l’Etat un ‘désaveu’ envers le CSM et dans la ‘risible enquête de Trani’, ‘l’énième démonstration d’une utilisation intolérable de la justice à des fins de lutte politique’ contre le PdL par des magistrats ‘qui devraient être punis’. Selon Casini, chef de file de l’UdC, l’enquête de Trani est ‘une immense faveur’ faite à Berlusconi ‘car son rôle préféré est celui de victime’. Le PdL remonte en effet dans les sondages après le chaos lié aux listes. Sur ce terrain-là, Berlusconi excelle. Pour lui, Napolitano ‘a désavoué le CSM’ et peu importe si le Quirinal souligne, en soirée, que le texte doit être lu en entier et que les inspections ne doivent ‘en aucun cas interférer avec les enquêtes’. L’obsession du président du Conseil est maintenant de remplir samedi la place Saint-Jean-de-Latran. »
« Le danger d’une place radicalisée qui ne parvient pas à récupérer les modérés » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) :
« Le sentiment d’insécurité collective lié au déluge d’écoutes et à l’énième hypothèse de délit visant Berlusconi pourrait l’aider à remobiliser une partie de son électorat, mais à quel prix ? D’en décevoir et d’en irriter une autre partie, essentielle : tous ceux qui demandent au gouvernement de résoudre les problèmes de la vie quotidienne, désirant au fond un semblant de sérénité et comme une perspective d’avenir. Le président du Conseil, après réflexion, a finalement opté pour cette manifestation, samedi, à Rome, ‘en défense de la démocratie’ afin, dit-il, de ‘défendre notre droit de vote et notre droit à la protection de la vie privée’. A l’évidence, au cœur de l’événement, il y aura encore l’attaque contre les magistrats ‘qui veulent influencer le vote’ et les auteurs du complot contre la liste PdL à Rome. La tension va donc croître : il est rare que le président du Conseil manifeste à une semaine d’élections pour attaquer des institutions de l’Etat taxées de saper les fondements démocratiques du pays. Or cette dramatisation extrême et un peu inquiétante ne vise qu’à faire voter les électeurs traditionnels du PdL. Bossi sera à la manifestation, ne pouvant faire autrement mais, à l’évidence, la Ligue va son chemin, indifférente ou presque aux inquiétudes de son allié, attachée à ‘faire de la politique’ en récupérant des voix ‘sur le territoire’ par le dialogue avec la population ; et elle ne croit pas que la psychose des parquets puisse rapporter des voix. Le risque pour Berlusconi : un succès exceptionnel de la Ligue au Nord et un échec partiel du PdL dans le reste du pays, du fait d’un électorat démobilisé. Si tel était le cas, Berlusconi se retrouverait avec une base plus exiguë et radicalisée – situation peu enviable. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
15:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ.

Il constate qu’il est accompagné par un caméraman qui filme les faits. Un homme dans le public pose des questions provocantes. L’homme se rend ensuite près de crâne rasés et leur dit : « dites-le enfin ». Et les trois skinheads hurlent : « Sieg Heil ». Il apparaît clairement que ces gens sont des agents provocateurs. Le chef du FPÖ, HC Strache, demande à la police de saisir l’enregistrement.
Il apparaît que l’homme est en réalité le rédacteur de l’ORF (La radiotélévision publique autrichienne) Eduard Moschitz de la rédaction de "Am Schauplatz".
La télévision publique autrichienne a tenté de monter une manipulation afin de lancer une campagne en vue de traîner le FPÖ dans la boue.
Le FPÖ porte plainte.
15:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
Almere : le PVV arrête, après une demi-heure, les négociations avec le PvdA.

Pays-Bas. Almere. Alphons Muurlink, le chef de file des élus du PvdA (Parti travailliste) à Almere, veut savoir pourquoi le PVV a stoppé, après une demi-heure, les négociations avec le PvdA en vue de former le Collège (l’exécutif) de la ville. Le PvdA, qui est arrivé deuxième à l’issue du scrutin, derrière le PVV, déclare qu’il est prêt à diriger les négociations en vue de former une coalition.
Le leader du PVV à Almere, Raymond De Roon, a déclaré : « au cours des entretiens exploratoires que j’ai mené avec huit partis politiques, il est apparu que les autres partis ne veulent pas faire de concessions dans les domaines importants pour le PVV. Le PVV est poussé dans le rôle d’opposition par l’élite politique de la mairie. »
14:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
17/03/2010
Berlusconi : "la liberté mutilée".


« Berlusconi : ‘la liberté mutilée’ » (Barbara Fiammeri, Il Sole) :
« Pour Berlusconi, l’enquête de Trani confirme son idée d’un complot ‘bien orchestré’ ourdi par la gauche, les magistrats et les journaux ‘pour influencer la campagne électorale’. Se sentant attaqué, il qualifie les écoutes le visant de ‘grave signe de liberté mutilée et offensée’. L’enquête sur les pressions qu’il aurait exercées pour faire cesser les talk shows ‘embarrassants’ se poursuit ; l’affrontement entre le ministre Alfano et le CSM en est l’un des points forts. Le Conseil a en effet décidé d’intervenir pour s’assurer de l’absence d’interférence dans l’enquête en cours après l’envoi d’inspecteurs du ministère de la Justice à Trani pour ‘identifier et punir les taupes’ du Parquet. Pour Alfano, cette décision est ‘anticonstitutionnelle’ et ‘inacceptable’ mais Mancino, vice-président du CSM, la défend. A l’approche des élections, l’ambiance est électrique et Berlusconi s’active pour éviter l’abstention. A la manifestation de samedi, il attend au moins 500 000 personnes et veut rendre à son électorat un enthousiasme atteint par l’affaire des listes et la crise. Il ne veut plus attendre : pour lui, la réforme de la justice est plus que jamais une priorité ; au Sénat, on s’apprête à voter le texte sur les écoutes déjà voté à la Chambre : il prévoit de restreindre fortement l’usage des écoutes (seulement en cas d’indices évidents de culpabilité) par les magistrats et la PJ et de punir le journaliste qui les publierait. »
(Traduction : ambassade de France à Rome.)
23:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
Leefbaar Rotterdam reste deuxième.

Pays-Bas. Rotterdam. Après le premier et le second recomptage des voix, le PvdA (Parti travailliste) est le premier parti avec 28,9% des voix. Leefbaar Rotterdam (Rotterdam Vivante) obtient 28,6% des voix. La différence est de 754 voix. Le PvdA et le PVV obtiennent chacun 14 sièges au sein du Conseil municipal.
22:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un député européen du PVV réclame la scission de l'Euro.

Pays-Bas. Le Député européen du PVV Madlener réclame l’existence de deux monnaies européennes distinctes : une pour le Nord de l’Europe et une pour le Sud du continent.
21:41 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'UDC se bat seule contre les rémunérations abusives.

21:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
La Haye : le PvdA refuse toujours de négocier avec le PVV.

Pays-Bas. Den Haag (La Haye). Le PvdA (Parti travailliste) refuse de négocier un accord de coalition, en vue de gouverner la ville, avec le PVV.
Voir la vidéo de la deuxième réunion publique en vue de former l’exécutif de la ville de La Haye : http://www.telegraaf.nl/video/binnenland/6307638/__V._Nieuwenhoven___Wat_PVV_wil_mg_niet_en_kn_niet___.html?p=22,1
Sietse Fritsma est le leader du PVV à La Haye (homme à lunette). Il attend pour savoir si le PVV est toujours exclu des négociations par le PvdA.
La dame, qui est le chef de file des élus du PvdA à La Haye, énonce les raisons pour lesquelles le PvdA refuse de négocier avec le PVV. (Les programmes des deux partis sont trop différents. De plus, le PvdA estime que certaines positions du PVV ne sont pas conformes aux règles juridiques internationales. Hors, l’exécutif de la ville est tenu de prendre des décisions qui sont conformes aux règles internationales).
Le PvdA continue d’exclure le PVV des négociations.
Un informateur va être nommé. Sietse Fritsma dit qu’ il ne voit pas en quoi cela va changer les choses.
17:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
Christoph Blocher ne sera plus candidat au Conseil fédéral.
Le quotidien suisse Le Temps titre «L'adieu au Conseil fédéral».
Christoph Blocher a accordé un entretien au quotidien. Il déclare qu'il ne sera plus candidat au Conseil fédéral. (Le gouvernement suisse composé de 7 membres).
Interrogé sur la crise d'image de la Suisse, le tribun zurichois juge très durement ses anciens collègues, «qui ne dirigent plus le pays et n'ont pas de stratégie».
16:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
Synthèse nationale n°17 sortira samedi....


Dans ce numéro, vous retrouverez des articles de :
Lionel Baland, Francis Bergeron, Catherine Gentil, Roland Hélie, Günter Palikao, Patrick Parment, Jean-Claude Philipot, Philippe Randa, Jean-Claude Rolinat, Marc Rousset, Robert Spieler, Nicolas Tandler, Vincent Vallois, Pierre Vial...
13:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
16/03/2010
FPÖ : les violeurs d'enfants doivent prendre en charge les frais de psychotérapeute des victimes.

Autriche. Norbert Hofer, un des vice-présidents du FPÖ, a déclaré lors d’une émission qui a eu lieu ce lundi, que les auteurs de viols sur les mineurs doivent payer les frais de psychotérapeute des victimes. Si les auteurs ont agi au sein d’une organisation, celle-ci doit être également tenue de payer les frais de psychotérapeute des victimes.
22:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
Dernières nouvelles des Pays-Bas.

Pays-Bas. La Haye (Den Haag). Les partis autres que le PvdA (Parti travailliste) ont demandé au PVV de mettre de l’eau dans son vin. Le PvdA exclut toujours une négociation avec le PVV.
Geert Wilders n’est plus le bien venu à Monschau (Montjoie) en Allemagne. C’est ce qu’a déclaré le maire de la localité. Rappelons que ce week-end Geert Wilders, accompagné d’une dizaine de gardes du corps a eu un ennui de santé alors qu’il se trouvait dans un hôtel de la cité.
Afin de faire des économies, Geert Wilders veut couper dans les budgets de l’aide au développement, de l’administration et de l’Union européenne.
Almere. Le président du groupe des élus du VVD (Parti libéral de droite) a rencontré lors d’un entretien de reconnaissance le chef de file du PVV local, Raymond de Roon, et a déclaré qu’il pense que les trois plus gros partis doivent continuer à discuter afin de trouver un accord dans le domaine financier et économique. Ces trois partis sont le PVV, le VVD et le PvdA (Parti travailliste).
17:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les risques d’abstention inquiètent Silvio Berlusconi.


Les risques d’abstention inquiètent Silvio Berlusconi.
« Une enquête, beaucoup de questions » (Carlo Federico Grosso, La Stampa) :
« Selon la presse, le parquet de Trani, enquêtant sur des faits d’escroquerie et d’usure, serait tombé par hasard sur 18 conversations suggérant des pressions pour faire cesser des émissions télévisées, avec à la clef des charges contre les trois personnalités mises en examen. Première question : est-il légitime que des écoutes dans le cadre d’une enquête X débouchent sur des poursuites Y ? Oui : si des écoutes à propos de corruption révèlent incidemment un meurtre, il est évident que les magistrats doivent enquêter. Nul abus, donc. Mais la question se complique si le délit découvert relève de la compétence d’un autre parquet. Dans notre ordre judiciaire, seul le juge doit se déclarer incompétent lors de l’enquête préliminaire, le procureur n’y est pas tenu. Mais un procureur scrupuleux ne devrait pas empiéter sur les compétences d’un autre parquet. Premier motif de perplexité : le parquet de Trani, compétent sur l’affaire d’usure, ne l’est manifestement pas pour les délits présumés commis par Berlusconi, Innocenzi et Minzolini. Il n’était pas tenu de transmettre ces éléments à un autre parquet. Mais n’eût-il pas été opportun qu’il le fît, vu l’affaire et les personnalités impliquées ? Troisième question : il s’agit évidement d’une affaire grave, d’un point de vue politique ou sociologique. Mais quel en est le poids pénal ? La procédure dira sur quelles preuves, et si elles sont fondées, repose l’enquête. Pour l’heure on ne peut que constater deux faits inquiétants : la violation du secret de l’instruction et l’envoi immédiat d’inspecteurs par le Garde des sceaux, avec un risque d’ingérence dans les enquêtes. D’autre part, il serait fâcheux que le gouvernement et la majorité en profitent pour passer en force sur la réforme de la justice, en limitant arbitrairement le pouvoir des parquets et le périmètre des écoutes autorisées. »
(Traduction : ambassade de France à Rome.)
17:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Suisse : interview d'un cadre du MCG.
Suisse. Une interview de
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Un-national-populis...
Ce texte permet de comprendre les différences existant entre le MCG et l'UDC.
16:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
Christoph Blocher : «Les pays n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts».

Le quotidien suisse Le Temps donne la parole au véritable patron de l'UDC, premier parti de Suisse :
Lire un extrait de l'interview :
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/82f096b8-3103-11df-9e7d-a...
16:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Elections municipales en Autriche.


Vorarlberg : élection directe des maires et élections des conseils municipaux. Le FPÖ obtient 3 postes de maire. Le FPÖ perd la mairie de Lustenau, qu’il détient depuis 50 ans. Le FPÖ récolte 18.532 voix (contre 17.185 en 2005) à 11,33 %.
Le BZÖ se présentait au Vorarlberg au sein de 3 des 96 municipalités du Land. Le BZÖ récolte 3 mandats de conseiller municipal.
En Basse-Autriche : élection des conseils municipaux. le FPÖ obtient 61.292 voix ou 5,96%. Il double son score, en nombre de voix, par rapport à 2005. Le FPÖ obtient 478 mandats de conseiller municipal.
00:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
15/03/2010
Rotterdam : collaboration possible, au sein des quartiers, entre les travaillistes et Leefbaar Rotterdam.

Rotterdam : le PvdA (Parti travailliste) et Leefbaar Rotterdam (Rotterdam vivante) pourraient travailler ensemble au sein de différents quartiers. La confiance entre les deux partis pourrait ainsi se développer.
Un accord de gestion entre le PvdA et Leefbaar Rotterdam afin de gérer ensemble Rotterdam est, pour le PvdA, impossible car les opinions des deux partis sont trop éloignées.

22:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
La vie de Geert Wilders.

Geert Wilders est marié depuis 1992 avec Krisztina Marfai, une Hongroise. C’est sa deuxième épouse. Il n’a pas d’enfant. Après l’assassinat du réalisateur Theo van Gogh, par un fanatique musulman, en novembre 2004, Geert Wilders a du quitter, du jour au lendemain, sa maison et son foyer à Venlo. Son appartement à Utrecht lui était aussi interdit, pour des raisons de sécurité. Il a du dormir dans des endroits protégés.
De nos jours, Geert Wilders et sa femme habitent à La Haye (Den Haag).
22:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
Umberto Bossi : « Que tous se calment et que le Cavaliere fasse plus attention ».


« Nous allons perdre des voix, mais il est difficile de dire combien. Berlusconi devrait faire plus attention, mais d’autre part, un président du Conseil doit pouvoir parler au téléphone. Je l’ai vu tendu et en colère, mais décidé à faire sa manifestation. Le problème de la présentation des listes aurait dû être réglé plus tôt, mais comme cela n’a pas été fait, il fallait les présenter correctement. Il est trop tard maintenant, mais il aurait mieux valu tout stopper et trouver ensemble une solution au lieu de faire de l’ironie et de se disputer… Il faut renouer le dialogue avec des partis honnêtes, comme le PD. Si on ne veut pas que la Vénétie devienne un autre Tyrol du Sud, il faut mener à bien le fédéralisme. Nous verrons dans les prochains mois si le Parlement est disposé à avancer sur ce sujet, et nous agirons en conséquence. Nous sommes des alliés fidèles de Berlusconi. Zaia est bien et il saura agir au niveau du territoire. A la différence de GC Galan, il plait au peuple. Il plait aussi aux femmes, c’est ce qui fait la différence et il n’y a que la Ligue à l’avoir compris. Je ne sais pas encore si j’irai en Israël. Il faut que j’en parle avec Berlusconi. C’est délicat, car si je vais en Israël, cela risque de déplaire aux Arabes. »
« Feu vert à l’association Génération Italie, avec la bénédiction de Fini » (Paola Di Caro, Corriere Della Sera) :
« ‘Génération Italie’, créée par I. Bocchino, avec la bénédiction de GF Fini, semble être la réponse aux ‘Promoteurs de la liberté’ lancée par Berlusconi. Cette association aura un statut et une structure territoriale, et verra le jour les 8 et 9 mai prochains, au cours d’un congrès auquel participeront tous les délégués du PdL. Cette association qui soutient Farefuturo, est jumelée avec l’association des cercles de l’UMP en France. Elle vise à donner une nouvelle impulsion au PdL, qui ne fonctionne pas tel qu’il est, et donner leur chance aux personnes compétentes. On saura après les régionales ce qu’est exactement Génération Italie mais une chose est certaine, la succession de Berlusconi est en cours et l’ex leader d’AN ne restera pas en retrait. Berlusconi est inquiet et ne cesse de répéter ‘ Fini peut faire ce qu’il veut et il est même libre de s’en aller’, mais Fini n’a aucune intention de s’en aller. Il veut créer un parti différent. On ne saura qu’après les élections s’il s’agira d’une guerre ou d’une redistribution des pouvoirs. Pour le moment, I. La Russa conseille à tous de se concentrer sur la campagne électorale. Et pour U. Bossi ‘Génération Italie’ peut aller de l’avant pourvu que le fédéralisme se fasse. »
(Traduction : ambassade de France à Rome.)
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UDC Suisse : débat sur l'islam: garder le sens de la mesure.

Voici un communiqué de l'UDC Suisse, premier parti du pays, 29% des voix :
par Martin Baltisser, secrétaire général UDC Suisse.
Les rapports avec l'islam ont provoqué une fois de plus ces derniers jours des discussions politiques et médiatiques. D'un côté, la Coordination des organisations islamiques de Suisse a exigé des cimetières musulmans dans tous les cantons; de l'autre côté, des interventions ont été déposées dans plusieurs parlements cantonaux pour exiger l'interdiction de la burka. Au cœur de ce débat, il y a surtout la cohabitation des diverses communautés religieuses ainsi que l'intégration des musulmans dans le système social et légal suisse.
La position de l'UDC dans les discussions actuelles peut être résumée comme suit:
- La liberté religieuse et de conscience est garantie. Elle implique aussi que les musulmans peuvent se livrer à leurs prières et actes de foi.
- Chaque communauté religieuse doit se tenir au régime légal suisse, même si, par exemple, le coran devait édicter des normes divergentes pour les musulmans.
- Interdiction de la burka et du voile: le port du voile et de la burka est interdit aux personnes en service public, donc dans les écoles publiques (les enseignants comme les élèves), dans les universités et institutions publiques durant les heures de service et dans les bâtiments officiels.
- Il n'existe pas de droit établi à des règles funéraires s'écartant du régime légal dans les cimetières publics. Il est cependant acceptable que des cimetières privés soient autorisés pour des particuliers ou des communautés en vertu du règlement cantonal et communal des constructions. Le coût et l'entretien sont à charge des particuliers.
- Règlement des jours fériés: les jours fériés prévus par la loi pour les écoles et le service public sont valables pour tous (enseignants et élèves). Les exceptions sont exclues, surtout dans les écoles.
- Dispenses de l'enseignement: les convictions religieuses ne dispensent pas des obligations quotidiennes. De ce point de vue, tous les élèves doivent suivre les disciplines obligatoires. Les cours de sport et de natation en font partie.
- Les mariages forcés, excisions, châtiments corporels et la polygamie ne sont pas imposés par l'islam, mais se rencontrent dans ces cultures. Ces actes doivent être poursuivis conformément au Code pénal.
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Anvers : "Notre peuple en dernier."


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