25/03/2010
Le programme de la fin de semaine de résistance européenne en Allemagne.

Le vendredi 26 mars 2010 :
manifestation à Herten et Oberhausen à 10h.
manifestation à Gelsenkirchen und Mühlheim an der Ruhr à 12h.
manifestation à Bochum à 14h.
Le samedi 27 mars 2010 :
conférence internationale au château Horst à Gelsenkirchen à 15h. (http://www.schloss-horst.de/index.php?id=26)
Le dimanche 28 mars 2010 :
marche à Duisbourg - Marxloh à 11h.
22:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
Umberto Bossi : "au Nord, la Ligue dépassera le PdL."


« La colère du Cavaliere contre Gianfranco : ‘il y en a qui jouent pour perdre’ » (Francesco Bei, La Repubblica) :« L’idée d’un règlement de comptes imminent plane sur le PdL. Malgré les tentatives de certains, tel Bondi, de calmer le jeu, l’approche des élections paraît attiser les différends entre Berlusconi et le président de la Chambre. Sans directement se référer à Fini, Berlusconi s’est exclamé : ‘certains semblent vouloir jouer pour perdre’. Il s’est senti trahi par la dernière déclaration de Fini sur la nécessité d’éviter ‘toute approche propagandiste’ sur la réforme de la Constitution et, dans le cercle des intimes de Berlusconi, monte le soupçon que Fini veut tirer profit d’une éventuelle défaite aux régionales. »
(Traduction : ambassade de France à Rome.)
18:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Grand rassemblement européen ce week-end dans la Ruhr en Allemagne.



Pour voir le programme de la manifestation : http://ndp-infos.over-blog.com/
18:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le FPÖ veut que la Grèce réintroduise son ancienne monnaie.

Le porte-parole du FPÖ dans le domaine financier, Lutz Weinzinger, a exigé, au nom de son parti, l’exclusion de la Grèce de la zone Euro. Pour le FPÖ, les pays de la zone Euro dont la politique économique et financière est désastreuse doivent être forcé de réintroduire leur ancienne monnaie.
17:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ (VI).

Le FPÖ réclame une enquête afin de déterminer s’il n’y a pas eu d’autres cas.

16:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
24/03/2010
Le PdL fixe la barre à quatre régions.


« Le PdL fixe la barre à quatre régions » (Ugo Magri, La Stampa) :
« Il y a encore un mois le Cavaliere ambitionnait de remporter 6 régions. Puis il y eut le cafouillage des listes et le grand dégoût des électeurs face à cette démonstration d’incompétence. Depuis, plus rien n’est comme avant. Au point que Berlusconi se contenterait désormais de sauver les meubles : éviter ‘une défaite à plate couture’ serait vendu comme une victoire. Nouvel objectif officiel : 4 régions – Lombardie et Vénétie plus Campanie et Calabre, où la dispersion des forces est telle qu’un coup de théâtre paraît exclu. Pour donner un sens aux trois prochaines années de la législature, Berlusconi a besoin d’un nouveau mandat plein, d’un signe concret de soutien populaire. Remporter 6 régions au lieu de 4 lui donnerait un tonus exceptionnel. Il aurait les cartes en main pour réformer la Constitution. Mais s’en tenir à 4… Dans le clan finien, on ne fait pas mystère qu’avec un résultat minimaliste, une réflexion agitée s’ouvrirait au sein du parti. 4 régions et le PdL est condamné à la stagnation, à la répétition du final inactif que Berlusconi connut entre 2004 et 2006. Berlusconi se bat avec fougue pour arriver au moins à 5. Les Pouilles pourraient l’aider. Dans son espoir opiniâtre, il rêve d’emporter le Latium mais l’idéal serait de vaincre au Piémont – pour fidéliser la Ligue, d’où le meeting d’hier à Turin. »
Entretien avec S. Bondi, ministre de la Culture et coordonnateur PdL, dans Il Foglio – « Le pacte réformiste entre le Cavaliere, Fini et Bossi après les élections » :
« Un nouveau pacte en 3 points : réforme institutionnelle, fiscale et judiciaire. Berlusconi fera les réformes ‘même au prix d’un référendum’. Fini soulève des questions importantes de stratégie, de programme et de principes – des forces pour un grand parti, pourvu qu’on les aborde dans un esprit de coopération en vue d’un programme commun. Berlusconi au Quirinal et Fini à la présidence du Conseil ? Des hypothèses. Les voies de la politique sont souvent imprévisibles. A l’époque constituante, le souvenir du fascisme avait abouti à renforcer les assemblées par rapport au gouvernement. Aujourd’hui, le pouvoir exécutif est quasi impuissant, avec un judiciaire absolument indépendant, en mesure de casser les décisions du Parlement – un problème pour la souveraineté populaire. L’élection directe du chef de l’Etat, ou du président du Conseil, serait une façon de regagner en légitimité démocratique. Ces 3 ans diront si le berlusconisme aura réussi à réformer et moderniser l’Italie. Le dialogue avec l’opposition serait souhaitable et nécessaire, si nous étions un pays normal. Mais l’opposition ne s’est pas réformée, elle est la proie du justicialisme extrémiste de Di Pietro et de la culture radicale. Cette gauche ne sera jamais prête aux réformes dont le pays a besoin. Si gouvernement et majorité réussissent à unir leurs forces pour un grand projet réformateur, le peuple suivra. »
(Traduction : ambassade de France à Rome).
17:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
Almere : un informateur désigné.

17:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ (V).

L’émission sera suivie d’un débat auquel participeront le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache, un représentant du Parti conservateur (ÖVP) et des dirigeants de la chaîne de télévision.
17:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie : un enfant de 5 ans appelé "Silvio Berlusconi".
13:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
23/03/2010
Un film sur Geert Wilders.

Voir la vidéo de la bande de lancement : http://www.youtube.com/watch?v=iyLxfZwofNE&feature=pl...
23:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ (IV).

Heinz-Christian Strache, le président du FPÖ, affirme que le son de la vidéo mise en ligne a été manipulé par l’ORF. Il propose de confirmer cela sous le contrôle d’un détecteur de mensonges.
Herbert Kickl, le secrétaire général du FPÖ, reproche également à l’ORF d’avoir refusé une confrontation télévisée entre les deux candidats à l’élection présidentielle, le président de la République sortant (SPÖ – Parti social-démocrate) et la candidate FPÖ Barbara Rosenkranz.
17:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
Fini calme le jeu.


« Au lendemain de la manifestation du PdL, Fini montre qu’il est bien présent, sachant qu’il faudra faire les réformes en tenant compte du PD, mais surtout de la Ligue, après les régionales. Berlusconi pense à son avenir, accéder à la Présidence de la République avec des pouvoirs renforcés. Fini s’inquiète pour l’avenir et le profil politique du centre droit. Il pense qu’il est prématuré d’en parler parce que l’opposition n’est pas disposée à suivre la majorité sur cette voie. Berlusconi s’inspire du modèle américain, alors que le présidentialisme finien est sur le modèle français. Fini sait qu’en Italie les réformes faites par la majorité ne portent pas bonheur. L’unique solution est de mener à bien les réformes avec l’opposition. Le résultat des élections et la manière dont l’opposition abordera le problème seront primordiaux. Il faudra commencer par la réforme du mode de scrutin, à moins que Berlusconi ne sorte grand vainqueur des régionales. »
« Entretien avec S. Berlusconi, président du Conseil, dans La Stampa – « A cause des magistrats, j’ai dû me jeter encore une fois dans la mêlée » :
« Notre gouvernement a su gérer la crise. Elle est derrière nous et nous avons approuvé une loi pour relancer l’économie. R. Cota est l’homme qu’il faut pour libérer le Piémont de son isolement et de la marginalité où la gauche l’a plongé. Bossi est un allié loyal. Si la Ligue se renforce, le PdL et le gouvernement seront plus forts eux aussi. Dans un grand parti comme le nôtre il est naturel d’avoir des positions différentes, comme avec Fini, l’important est de rester unis. Je trouve vexant de parler de succession face à un leader en pleine forme et avec une cote de popularité à 62%. L’élection directe du chef de l’Etat, ou du président du Conseil, serait un plus pour notre démocratie, mais nous devons encore en discuter. La réforme de la justice est une urgence pour notre pays et je la mettrai en chantier immédiatement après les élections. Malheureusement, les leaders du PD, aussi bien Veltroni que Bersani, ne parviennent pas se libérer de l’extrémisme, comme maladie infantile du communisme (Lénine). Nous avons toujours cherché le dialogue mais avec cette opposition il n’est pas possible. Nous avions le devoir d’essayer d’intervenir au niveau des listes électorales avec un décret et je dois reconnaître que le chef de l’Etat a fait preuve, à cette occasion, d’un grand sens de l’Etat et de la démocratie. La décision de la RAI de bloquer certains débats télévisés est juste, on ne peut pas utiliser l’argent public pour des émissions idéologiques faites d’insultes et de calomnies. Je suis le conseil de Bossi et je fais attention en parlant au téléphone mais c’est bien triste. Nous allons changer cela au plus tôt. C’est urgent et indispensable. »
(Traduction : ambassade de France à Rome.)
17:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
Siv Jensen tient un discours lors du Forum mondial 2010 de l'AEI.

Norvège. Siv Jensen, la dirigeante du Parti du Progrès, a tenu un discours lors du Forum mondial 2010 organisé par le think-thank AEI (AEI – www.aei.org). Le Forum mondial s’est tenu à Sea Island, en Géorgie, aux États-Unis, du 4 au 7 mars 2010. Siv Jensen a été invitée à prendre la parole lors de la session « Est-ce que l’Alliance atlantique appartient au passé ? ».
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Parmi les autres personnes invitées à prendre la parole, se trouvaient l’ancien Maire de New York Rudy Giuliani, le Sénateur Joseph I. Lieberman, l’ancien Gouverneur du Massachusetts Mitt Romney, l’ancien conseiller de George Bush Karl Rove et l’ancien Ambassadeur des Etats-Unis John R. Bolton.
15:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ (III).


Voici une photo qui montre qu’un des provocateurs disposait d’un micro placé sur sa veste par l’ORF, la radiotélévision autrichienne.
14:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
22/03/2010
Le BZÖ de Carinthie s’est reformé.

Le BZÖ s’en tient à son catalogue d’exigences en cinq points : la diminution de moitié des subventions accordées aux partis politiques, la réduction du nombre de membres du Parlement et du gouvernement de Carinthie, la suppression des conseils de circonscription et des conseils d’écoles, la réintroduction de l’objectivation dans la nomination et la promotion des fonctionnaires et la suppression des privilèges des fonctionnaires.
17:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le meeting a fait le plein samedi à Rome.


« Un meeting à forte affluence mais sans nouveauté, sans ‘nouveau départ’ » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore de dimanche) :
« C’était prévisible, le centre droit a fait le plein samedi à Rome, plus sans doute que le centre gauche une semaine avant, mais le débat sur les chiffres n’a guère de sens. Mais ce n’a pas été, comme certains en rêvaient, la ‘renaissance’ du PdL. La question se pose de l’utilité de ces manifestations qui ne prêchent que des convaincus en laissant les indécis à leurs doutes. Même à la veille des régionales, à quoi bon un meeting contre l’autre, le pays vivant déjà une campagne permanente ? Berlusconi mise tout sur lui-même, comme d’habitude ; par-delà l’opportunité de descendre dans la rue, les critiques peuvent viser deux points : d’abord, le côté répétitif des slogans, polémiques et propositions, inchangés depuis des années (et Berlusconi dit ‘la gauche est la même qu’en 94’) ; ensuite, l’impossibilité de renouer quelques fils au lendemain du vote, quand il faudra déblayer les décombres d’une campagne si stérile (dont la responsabilité n’incombe pas à la seule majorité). L’emphase avec laquelle le président du Conseil a annoncé pour la énième fois un programme de réformes radicales laisse perplexe : d’abord, on est en droit de se demander pourquoi la majorité n’a pas profité de sa grande force politique pour les mener à bien ; ensuite, il est clair que le ‘présidentialisme’ dans ces conditions est irréaliste – au point de rendre impraticable, s’il est pris à la lettre, quelque dialogue que ce soit avec l’opposition. »
« Naissance de la dyarchie Ligue-PdL » (Massimo Franco, Corriere de dimanche) :
« Sur la place Saint-Jean-de-Latran, on a vu la préfiguration d’une dyarchie Berlusconi-Bossi. Berlusconi n’a jamais cité Fini, absent ‘pour raisons institutionnelles’, comme s’il appartenait désormais à l’intéressé de dire s’il se sent encore impliqué comme co-fondateur du PdL. Cependant, si l’objectif était de corriger l’image, un peu nébuleuse ces derniers mois, de la majorité, l’opération paraît réussie. PdL et Ligue se sont présentés comme les symboles d’un pouvoir intact, une alliance entre ‘égaux’ – Bossi a revendiqué son indépendance, rappelant qu’il était ‘le seul à n’avoir jamais demandé une lire à Berlusconi’. Alors que Berlusconi attaquait la ‘gauche enchaînée par Di Pietro’, le ministre Maroni, depuis Varèse, confirmait la stratégie de la Ligue : être la force de référence dans tout le Nord. Si la Ligue sort renforcée des régionales, Berlusconi devra tenir compte plus encore de ‘l’axe du Nord’, tout en tentant de ne pas perdre de voix ailleurs. Seul un résultat digne de ses ambitions validera l’‘injection’ d’énergie tentée par le Cavaliere et lui permettra de négocier en position de force avec Fini, l’opposition, et qui l’estime en déclin – sans quoi l’ambition de réforme des institutions et de la justice pourraient finir en frustration et compliquer le ‘plein mandat’ demandé pour les 3 ans à venir. Le dernier ‘non’ du Conseil d’Etat à la liste PdL à Rome et la confirmation que le vote aura bien lieu le 28 dans le Latium rappellent, au fond, les erreurs commises. »
« Maroni : le ministère de l’Intérieur donne des chiffres sûrs » (Fiorenza Sarzanini, Corriere della Sera) :
« L’amertume se mue en colère quand le ministre de l’Intérieur saisit que la polémique contre la préfecture de police de Rome provient des dirigeants du PdL. Hier après-midi, alors que Gasparri et Cicchitto continuent sur leur lancée, Maroni, agacé, déclare : ‘on est en train d’alimenter un affrontement inexistant. En matière de communication surtout, c’est ce qu’on appelle un but contre son camp. Au ministère de l’Intérieur travaillent des gens sérieux, les chiffres fournies sont toujours bons’. Le coordonnateur Verdini avait lancé samedi après-midi le chiffre d’un million, à la stupéfaction générale. Le nombre de participants est en général communiqué à la fin des manifestations par la préfecture de police qui en a compté, à 20 heures, entre 120 000 et 140 000. Nul n’aurait imaginé la violente réaction de Gasparri qui a été jusqu’à évoquer une ‘crise éthylique’ du Préfet G. Caruso. »
(Traduction : ambassade de France à Rome.)
16:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
Élections municipales en Styrie.

Á Bruck an der Mur, le FPÖ passe de 7,6 à 14%
Á Kapfenberg, le FPÖ passe de 3,6 à 16,1%.
Le BZÖ entre pour la première fois au sein des conseils municipaux à Deutschlandsberg, Knittelfeld, Fürstenfeld et Voitsberg.
Le BZÖ ne se présentait que dans 54 des 540 municipalités du Land. Le BZÖ obtient 0,57 % au niveau de l'ensemble du Land de Styrie et 13 mandats de conseillers municipaux.
00:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
21/03/2010
Élections municipales au Vorarlberg.

23:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pays-Bas : le Premier ministre contre Geert Wilders.

Pays-Bas. Le Premier ministre sortant Balkenende a rejeté les pratiques du leader du PVV, Geert Wilders, lors d’une interview télévisée. Il pense que la manière de faire de Geert Wilders va amener de gros problèmes aux Pays-Bas, notamment aux entreprises néerlandaises.
14:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le numéro 17 de Synthèse nationale vient de paraître…


Au sommaire :
Ils veulent nous imposer leurs lois… nous les refusons !
Editorial de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale
Les limites du régionalisme politique…
Par Robert Spieler, fondateur d’Alsace d’abord, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire
France, Europe, Russie : même combat !
Un grand dossier sur une nouvelle approche de la Russie.
Des contributions de Marc Rousset, écrivain, Patrick Parment, journaliste, Lionel Baland, journaliste, Francis Bergeron, écrivain, Pierre Vial, historien, Nicolas Tandler, écrivain, Günther Palikao, essayiste, Colonel (ER) Jean-Claude Philipot, Délégué général de l’Alliance France-Europe-Russie…
La fallacieuse théorie du libre échange et la diabolisation du protectionnisme… Par Marc Rousset
L’OTAN, bras armé de l’Amérique…Par Catherine Gentil, sociologue
France : l’inéluctable brésilianisation avant la libanisation… Par Jean-Claude Rolinat, écrivain et journaliste
Espagne : la résistance identitaire fait irruption dans le paysage politique catalan… Par Enrique Ravello et Lionel Baland
Un entretien avec Thierry Van de Leur, auteur du Parisis code
Les rubriques de Vincent Vallois, Philippe Randa…
12:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
20/03/2010
Suisse : l'initiative sur le renvoi des criminels est valide.

L’initiative sur les étrangers criminels est valide.
Deux options devraient être soumises au peuple concernant le renvoi de criminels étrangers: l'initiative populaire de la droite conservatrice et un contre-projet direct approuvé jeudi par les sénateurs. Ce dernier texte prévoit aussi un tour de vis mais respecte les droits fondamentaux.
Sans surprise, les sénateurs se sont prononcés, par 34 voix contre 6, pour le rejet de l'initiative. Pour la majorité, l'initiative va trop loin. Elle enfreint plusieurs principes du droit international public, comme le non-refoulement.
Les sénateurs ont toutefois estimé que la proposition de l’Union démocratique du centre (UDC / droite conservatrice) n’était pas contraire au droit international impératif. L’initiative pourra donc être soumise au peuple.
Afin d’éviter que l’initiative ne soit acceptée par les citoyens, les sénateurs ont accepté de présenter un contre-projet direct. Comme l'initiative, celui-ci comprend une liste de délits passibles d'un renvoi: l'assassinat, le meurtre, le viol, le brigandage qualifié, la prise d'otage, la traite qualifiée d'êtres humains et une infraction grave à la loi sur les stupéfiants.
Le contre-projet ne se contente toutefois pas de durcir le ton. Il contient un alinéa consacré à l'intégration. Une autre disposition précise que les décisions de renvoi doivent respecter les droits fondamentaux ainsi que les principes de base de la constitution fédérale et du droit international.
Le dossier doit maintenant être discuté par la Chambre basse.
20:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
Conférence de presse de pro-NRW.

19:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
19/03/2010
Pas de troisième candidat aux élections présidentielles en Autriche.
Le BZÖ a proposé à l’ÖVP (Parti conservateur) de présenter un candidat indépendant à l’élection présidentielle autrichienne. L’ÖVP n’a pas suivi le BZÖ.
Il ne reste plus assez de temps afin de rechercher un nouveau candidat et de récolter les signatures nécessaires à sa présentation.
20:34 | Lien permanent | Commentaires (0)
La production des taxis anglais délocalisée en chine.


20:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
Leefbaar Rotterdam accepte les résultats du scrutin.

18:24 | Lien permanent | Commentaires (0)