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25/03/2010

Le programme de la fin de semaine de résistance européenne en Allemagne.

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Le programme de la fin de semaine de résistance européenne en Allemagne :
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Le vendredi 26 mars 2010 :

 

manifestation à Herten et Oberhausen à 10h.

manifestation à  Gelsenkirchen und Mühlheim an der Ruhr à 12h.

manifestation à  Bochum à 14h.

 

Le samedi 27 mars 2010 :

 

conférence internationale au château Horst à Gelsenkirchen à 15h. (http://www.schloss-horst.de/index.php?id=26)

 

Le dimanche 28 mars 2010 :

 

marche à Duisbourg - Marxloh à 11h.

Umberto Bossi : "au Nord, la Ligue dépassera le PdL."

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« Duel Berlusconi-Bossi sur une avance de la Ligue au Nord » (Barbara Fiammeri, Il Sole 24 Ore) :
« U. Bossi n’hésite pas : ‘je reste un allié fidèle à Berlusconi mais, au Nord, la Ligue dépassera le PdL, c’est assez logique.’ Ce succès, assure-t-il, ne changera rien pour l’exécutif ; mais il est très clair : le futur ministre de l’agriculture, comme L. Zaia, sera léghiste. Bossi est bien conscient du poids de la Ligue sur le centre droit. Berlusconi ne paraît pas si enthousiaste que Bossi le prétend : selon lui, il n’y aura pas de primauté de la Ligue et, de toute façon, l’alliance est ‘stratégique pour réformer le pays’. Toutes ses interventions d’hier, notamment à Bari, étaient axées sur les réformes : d’abord, la ‘grande, grande réforme de la justice’, mais aussi le présidentialisme. Berlusconi revendique son choix de s’en remettre aux ‘kiosques’ installés dans les rues d’Italie pour décider de la voie à prendre : ‘on m’a critiqué car j’ai dit que ce serait aux citoyens de décider si le chef de l’Etat ou le président du Conseil sera ou non élu directement par eux. Je suis fier de ces critiques car je suis sûr de la justesse de ma position’. Claire référence à G. Fini, qui parle de ‘réformes inspirées par l’esprit constituant, l’intérêt général et le bien commun, dans le respect de la dialectique entre cultures et forces politiques’. Berlusconi, lui, à l’offensive, demande un ‘choix net’ contre la gauche, ‘les magistrats et les parquets qui tentent’ de le ‘détruire’, la ‘barbarie’ des écoutes. »

« La colère du Cavaliere contre Gianfranco : ‘il y en a qui jouent pour perdre’ » (Francesco Bei, La Repubblica) :« L’idée d’un règlement de comptes imminent plane sur le PdL. Malgré les tentatives de certains, tel Bondi, de calmer le jeu, l’approche des élections paraît attiser les différends entre Berlusconi et le président de la Chambre. Sans directement se référer à Fini, Berlusconi s’est exclamé : ‘certains semblent vouloir jouer pour perdre’. Il s’est senti trahi par la dernière déclaration de Fini sur la nécessité d’éviter ‘toute approche propagandiste’ sur la réforme de la Constitution et, dans le cercle des intimes de Berlusconi, monte le soupçon que Fini veut tirer profit d’une éventuelle défaite aux régionales. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

Grand rassemblement européen ce week-end dans la Ruhr en Allemagne.

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Un grand rassemblement européen aura lieu dans la Ruhr, en Allemagne, ce vendredi, samedi et dimanche. Divers dirigeants de partis patriotiques européens seront présents.

Pour voir le programme de la manifestation : http://ndp-infos.over-blog.com/

Le FPÖ veut que la Grèce réintroduise son ancienne monnaie.

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Le FPÖ veut que la Grèce quitte la zone Euro et réintriduise son ancienne monnaie. Le Député européen du FPÖ Andreas Mölzer a plaidé, au cours d’une émission, en faveur de cette idée.
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Le porte-parole du FPÖ dans le domaine financier, Lutz Weinzinger, a exigé, au nom de son parti, l’exclusion de la Grèce de la zone Euro. Pour le FPÖ, les pays de la zone Euro dont la politique économique et financière est désastreuse doivent être forcé de réintroduire leur ancienne monnaie.

Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ (VI).

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Le FPÖ a amené devant le Parlement la manipulation orchestrée à l’encontre de son président par la télévision publique autrichienne ORF. Le FPÖ dénonce la manœuvre organisée afin de discréditer le FPÖ, mais également la manipulation du son de la vidéo présentée par l’ORF après l’incident. Selon le FPÖ, certains propos des provocateurs auraient été retirés de la bande son.
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Le FPÖ réclame une enquête afin de déterminer s’il n’y a pas eu d’autres cas.

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Le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache expose les faits au Parlement.

24/03/2010

Le PdL fixe la barre à quatre régions.

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« Le PdL fixe la barre à quatre régions » (Ugo Magri, La Stampa) :
« Il y a encore un mois le Cavaliere ambitionnait de remporter 6 régions. Puis il y eut le cafouillage des listes et le grand dégoût des électeurs face à cette démonstration d’incompétence. Depuis, plus rien n’est comme avant. Au point que Berlusconi se contenterait désormais de sauver les meubles : éviter ‘une défaite à plate couture’ serait vendu comme une victoire. Nouvel objectif officiel : 4 régions – Lombardie et Vénétie plus Campanie et Calabre, où la dispersion des forces est telle qu’un coup de théâtre paraît exclu. Pour donner un sens aux trois prochaines années de la législature, Berlusconi a besoin d’un nouveau mandat plein, d’un signe concret de soutien populaire. Remporter 6 régions au lieu de 4 lui donnerait un tonus exceptionnel. Il aurait les cartes en main pour réformer la Constitution. Mais s’en tenir à 4… Dans le clan finien, on ne fait pas mystère qu’avec un résultat minimaliste, une réflexion agitée s’ouvrirait au sein du parti. 4 régions et le PdL est condamné à la stagnation, à la répétition du final inactif que Berlusconi connut entre 2004 et 2006. Berlusconi se bat avec fougue pour arriver au moins à 5. Les Pouilles pourraient l’aider. Dans son espoir opiniâtre, il rêve d’emporter le Latium mais l’idéal serait de vaincre au Piémont – pour fidéliser la Ligue, d’où le meeting d’hier à Turin. »
  

Entretien avec S. Bondi, ministre de la Culture et coordonnateur PdL, dans Il Foglio – « Le pacte réformiste entre le Cavaliere, Fini et Bossi après les élections » :
« Un nouveau pacte en 3 points : réforme institutionnelle, fiscale et judiciaire. Berlusconi fera les réformes ‘même au prix d’un référendum’. Fini soulève des questions importantes de stratégie, de programme et de principes – des forces pour un grand parti, pourvu qu’on les aborde dans un esprit de coopération en vue d’un programme commun. Berlusconi au Quirinal et Fini à la présidence du Conseil ? Des hypothèses. Les voies de la politique sont souvent imprévisibles. A l’époque constituante, le souvenir du fascisme avait abouti à renforcer les assemblées par rapport au gouvernement. Aujourd’hui, le pouvoir exécutif est quasi impuissant, avec un judiciaire absolument indépendant, en mesure de casser les décisions du Parlement – un problème pour la souveraineté populaire. L’élection directe du chef de l’Etat, ou du président du Conseil, serait une façon de regagner en légitimité démocratique. Ces 3 ans diront si le berlusconisme aura réussi à réformer et moderniser l’Italie. Le dialogue avec l’opposition serait souhaitable et nécessaire, si nous étions un pays normal. Mais l’opposition ne s’est pas réformée, elle est la proie du justicialisme extrémiste de Di Pietro et de la culture radicale. Cette gauche ne sera jamais prête aux réformes dont le pays a besoin. Si gouvernement et majorité réussissent à unir leurs forces pour un grand projet réformateur, le peuple suivra. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome).

Almere : un informateur désigné.

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Pays-Bas. Almere. Hans Andersson a été désigné informateur en vue de former une coalition. Sécurité, enseignement, emploi, cohésion sociale sont les thèmes centraux des négociations.

Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ (V).

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Le reportage de l’ORF qui a mené à l’incident tentant à discréditer le FPÖ sera diffusé ce jeudi par l’ORF, la radiotélévision autrichienne.

L’émission sera suivie d’un débat auquel participeront le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache, un représentant du Parti conservateur (ÖVP) et des dirigeants de la chaîne de télévision.

Italie : un enfant de 5 ans appelé "Silvio Berlusconi".

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Italie. Un ouvrier d'origine ghanéenne vivant en Italie a décidé d'appeler son fils de bientôt cinq ans du prénom de "Silvio Berlusconi".

23/03/2010

Un film sur Geert Wilders.

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Pays-Bas. Le 1 mai 2010, le chef du PVV Geert Wilders assistera à Los Angeles, aux États-Unis, à la première d’un film réalisé sur lui. Le documentaire dure environ une heure. Geert Wilders trouve que c’est un grand honneur d'être le sujet d'un film. Le film contient une interview de Geert Wilders, des discours qu’il a tenu et des interviews qu’il a données à des chaînes de télévision.
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Voir la vidéo de la bande de lancement : http://www.youtube.com/watch?v=iyLxfZwofNE&feature=pl...

Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ (IV).

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L’ORF (radiotélévision publique autrichienne) a placé en ligne sur son site Internet la vidéo sur laquelle on voit les provocateurs manipulés par l’ORF. (La vidéo ne fonctionne pas pour le moment).
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Heinz-Christian Strache, le président du FPÖ, affirme que le son de la vidéo mise en ligne a été manipulé par l’ORF. Il propose de confirmer cela sous le contrôle d’un détecteur de mensonges.

 

Herbert Kickl, le secrétaire général du FPÖ, reproche également à l’ORF d’avoir refusé une confrontation télévisée entre les deux candidats à l’élection présidentielle, le président de la République sortant (SPÖ – Parti social-démocrate) et la candidate FPÖ Barbara Rosenkranz.

Fini calme le jeu.

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« Fini calme le jeu : ‘réformes utiles, mais pas tout de suite’ » (Antonella Rampino, La Stampa) :

« Au lendemain de la manifestation du PdL, Fini montre qu’il est bien présent, sachant qu’il faudra faire les réformes en tenant compte du PD, mais surtout de la Ligue, après les régionales. Berlusconi pense à son avenir, accéder à la Présidence de la République avec des pouvoirs renforcés. Fini s’inquiète pour l’avenir et le profil politique du centre droit. Il pense qu’il est prématuré d’en parler parce que l’opposition n’est pas disposée à suivre la majorité sur cette voie. Berlusconi s’inspire du modèle américain, alors que le présidentialisme finien est sur le modèle français. Fini sait qu’en Italie les réformes faites par la majorité ne portent pas bonheur. L’unique solution est de mener à bien les réformes avec l’opposition. Le résultat des élections et la manière dont l’opposition abordera le problème seront primordiaux. Il faudra commencer par la réforme du mode de scrutin, à moins que Berlusconi ne sorte grand vainqueur des régionales. »

 

« Entretien avec S. Berlusconi, président du Conseil, dans La Stampa – « A cause des magistrats, j’ai dû me jeter encore une fois dans la mêlée » :

« Notre gouvernement a su gérer la crise. Elle est derrière nous et nous avons approuvé une loi pour relancer l’économie. R. Cota est l’homme qu’il faut pour libérer le Piémont de son isolement et de la marginalité où la gauche l’a plongé. Bossi est un allié loyal. Si la Ligue se renforce, le PdL et le gouvernement seront plus forts eux aussi. Dans un grand parti comme le nôtre il est naturel d’avoir des positions différentes, comme avec Fini, l’important est de rester unis. Je trouve vexant de parler de succession face à un leader en pleine forme et avec une cote de popularité à 62%. L’élection directe du chef de l’Etat, ou du président du Conseil, serait un plus pour notre démocratie, mais nous devons encore en discuter. La réforme de la justice est une urgence pour notre pays et je la mettrai en chantier immédiatement après les élections. Malheureusement, les leaders du PD, aussi bien Veltroni que Bersani, ne parviennent pas se libérer de l’extrémisme, comme maladie infantile du communisme (Lénine). Nous avons toujours cherché le dialogue mais avec cette opposition il n’est pas possible. Nous avions le devoir d’essayer d’intervenir au niveau des listes électorales avec un décret et je dois reconnaître que le chef de l’Etat a fait preuve, à cette occasion, d’un grand sens de l’Etat et de la démocratie. La décision de la RAI de bloquer certains débats télévisés est juste, on ne peut pas utiliser l’argent public pour des émissions idéologiques faites d’insultes et de calomnies. Je suis le conseil de Bossi et je fais attention en parlant au téléphone mais c’est bien triste. Nous allons changer cela au plus tôt. C’est urgent et indispensable. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

Siv Jensen tient un discours lors du Forum mondial 2010 de l'AEI.

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Norvège. Siv Jensen, la dirigeante du Parti du Progrès, a tenu un discours lors du Forum mondial 2010 organisé par le think-thank AEI (AEI – www.aei.org). Le Forum mondial s’est tenu à Sea Island, en Géorgie, aux États-Unis, du 4 au 7 mars 2010. Siv Jensen  a été invitée à prendre la parole lors de la session « Est-ce que l’Alliance atlantique appartient au passé ? ».

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Parmi les autres personnes invitées à prendre la parole, se trouvaient l’ancien Maire de New York Rudy Giuliani, le Sénateur Joseph I. Lieberman, l’ancien Gouverneur du Massachusetts Mitt Romney, l’ancien conseiller de George Bush Karl Rove et l’ancien Ambassadeur des Etats-Unis John R. Bolton.

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Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ (III).

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(Suite de l’article « Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ (II). »)
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Voici une photo qui montre qu’un des provocateurs disposait d’un micro placé sur sa veste par l’ORF, la radiotélévision autrichienne.

22/03/2010

Le BZÖ de Carinthie s’est reformé.

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La première réunion de la présidence du BZÖ de Carinthie depuis la scission s’est tenue ce lundi. La direction comprend 20 membres. Le BZÖ est représenté dans l’ensemble des circonscriptions de Carinthie. 1000 personnes sont membres ou cadres du BZÖ de Carinthie.
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Le BZÖ s’en tient à son catalogue d’exigences en cinq points : la diminution de moitié des subventions accordées aux partis politiques, la réduction du nombre de membres du Parlement et du gouvernement de Carinthie, la suppression des conseils de circonscription et des conseils d’écoles, la réintroduction de l’objectivation dans la nomination et la promotion des fonctionnaires et la suppression des privilèges des fonctionnaires.

Le meeting a fait le plein samedi à Rome.

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« Berlusconi : ‘Les réformes sans l’opposition, pas de débat télévisé avec Bersani’ » (Gian Luca Luzi, La Repubblica) :
« A la manifestation de samedi, Berlusconi a donné l’assaut aux bastions ‘rouges’ de Bologne et Florence. Etre un ‘chef de peuple’ lui va, et il étale des sondages en baisse certes de 68 à 61%, mais toujours de ‘recordman de l’Occident’. Il donne son aval aux élections de Bologne à l’automne, voulues par l’UdC et le PD, mais refuse tout débat avec Bersani et déclare vouloir faire les réformes sans l’opposition, à rebours de ce que souhaitaient Napolitano, Fini et même la Ligue. ‘Nous avons assez de monde pour adopter les réformes’. Comme d’habitude, il attaque les juges, dont l’association Magistratura democratica, qui prétend selon lui exercer la souveraineté, d’où ‘une magistrature qui exerce un rôle différent de celui que lui donne la Constitution’. Les magistrats ont aussitôt répliqué : ‘toutes ces années, toutes les associations, dont MD, ont toujours fait preuve de leur impartialité dans l’application des lois’. A moins d’une semaine, Berlusconi annonce que rien ne changera après les élections, pas même les coordonnateurs. Et défend Verdini, impliqué dans l’affaire du G8 : ‘on ne peut m’empêcher de soutenir un ami qui fait bien son travail’. »

 

« Un meeting à forte affluence mais sans nouveauté, sans ‘nouveau départ’ » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore de dimanche) :

« C’était prévisible, le centre droit a fait le plein samedi à Rome, plus sans doute que le centre gauche une semaine avant, mais le débat sur les chiffres n’a guère de sens. Mais ce n’a pas été, comme certains en rêvaient, la ‘renaissance’ du PdL. La question se pose de l’utilité de ces manifestations qui ne prêchent que des convaincus en laissant les indécis à leurs doutes. Même à la veille des régionales, à quoi bon un meeting contre l’autre, le pays vivant déjà une campagne permanente ? Berlusconi mise tout sur lui-même, comme d’habitude ; par-delà l’opportunité de descendre dans la rue, les critiques peuvent viser deux points : d’abord, le côté répétitif des slogans, polémiques et propositions, inchangés depuis des années (et Berlusconi dit ‘la gauche est la même qu’en 94’) ; ensuite, l’impossibilité de renouer quelques fils au lendemain du vote, quand il faudra déblayer les décombres d’une campagne si stérile (dont la responsabilité n’incombe pas à la seule majorité). L’emphase avec laquelle le président du Conseil a annoncé pour la énième fois un programme de réformes radicales laisse perplexe : d’abord, on est en droit de se demander pourquoi la majorité n’a pas profité de sa grande force politique pour les mener à bien ; ensuite, il est clair que le ‘présidentialisme’ dans ces conditions est irréaliste – au point de rendre impraticable, s’il est pris à la lettre, quelque dialogue que ce soit avec l’opposition. »

 

« Naissance de la dyarchie Ligue-PdL » (Massimo Franco, Corriere de dimanche) :

« Sur la place Saint-Jean-de-Latran, on a vu la préfiguration d’une dyarchie Berlusconi-Bossi. Berlusconi n’a jamais cité Fini, absent ‘pour raisons institutionnelles’, comme s’il appartenait désormais à l’intéressé de dire s’il se sent encore impliqué comme co-fondateur du PdL. Cependant, si l’objectif était de corriger l’image, un peu nébuleuse ces derniers mois, de la majorité, l’opération paraît réussie. PdL et Ligue se sont présentés comme les symboles d’un pouvoir intact, une alliance entre ‘égaux’ – Bossi a revendiqué son indépendance, rappelant qu’il était ‘le seul à n’avoir jamais demandé une lire à Berlusconi’. Alors que Berlusconi attaquait la ‘gauche enchaînée par Di Pietro’, le ministre Maroni, depuis Varèse, confirmait la stratégie de la Ligue : être la force de référence dans tout le Nord. Si la Ligue sort renforcée des régionales, Berlusconi devra tenir compte plus encore de ‘l’axe du Nord’, tout en tentant de ne pas perdre de voix ailleurs. Seul un résultat digne de ses ambitions validera l’‘injection’ d’énergie tentée par le Cavaliere et lui permettra de négocier en position de force avec Fini, l’opposition, et qui l’estime en déclin – sans quoi l’ambition de réforme des institutions et de la justice pourraient finir en frustration et compliquer le ‘plein mandat’ demandé pour les 3 ans à venir. Le dernier ‘non’ du Conseil d’Etat à la liste PdL à Rome et la confirmation que le vote aura bien lieu le 28 dans le Latium rappellent, au fond, les erreurs commises. »

 

« Maroni : le ministère de l’Intérieur donne des chiffres sûrs » (Fiorenza Sarzanini, Corriere della Sera) :

« L’amertume se mue en colère quand le ministre de l’Intérieur saisit que la polémique contre la préfecture de police de Rome provient des dirigeants du PdL. Hier après-midi, alors que Gasparri et Cicchitto continuent sur leur lancée, Maroni, agacé, déclare : ‘on est en train d’alimenter un affrontement inexistant. En matière de communication surtout, c’est ce qu’on appelle un but contre son camp. Au ministère de l’Intérieur travaillent des gens sérieux, les chiffres fournies sont toujours bons’. Le coordonnateur Verdini avait lancé samedi après-midi le chiffre d’un million, à la stupéfaction générale. Le nombre de participants est en général communiqué à la fin des manifestations par la préfecture de police qui en a compté, à 20 heures, entre 120 000 et 140 000. Nul n’aurait imaginé la violente réaction de Gasparri qui a été jusqu’à évoquer une ‘crise éthylique’ du Préfet G. Caruso. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

Élections municipales en Styrie.

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Michael Schmid, l’ancien ministre des infrastructures BZÖ et FPÖ, a réussi son retour sur la scène politique. Son Forum de citoyens (Bürgerforum) obtient à St. Stefan ob Stainz 20,1%, contre 14,5% en 2005.

 

Á Bruck an der Mur, le FPÖ passe de 7,6 à 14%

 

Á Kapfenberg, le FPÖ passe de 3,6 à 16,1%.

 

 

Le BZÖ entre pour la première fois au sein des conseils municipaux à Deutschlandsberg, Knittelfeld, Fürstenfeld et Voitsberg.

 

Le BZÖ ne se présentait que dans 54 des 540 municipalités du Land. Le BZÖ obtient 0,57 % au niveau de l'ensemble du Land de Styrie et 13 mandats de conseillers municipaux.

21/03/2010

Élections municipales au Vorarlberg.

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Autriche. Les résultats du FPÖ lors des élections municipales au Vorarlberg sont décevants, selon le Secrétaire général du FPÖ Herbert Kickl.  Le FPÖ obtient 6,52 % des voix, soit une augmentation de 0,54%. Le FPÖ a perdu le poste de maire à Salla.

Pays-Bas : le Premier ministre contre Geert Wilders.

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Pays-Bas. Le Premier ministre sortant Balkenende a rejeté les pratiques du leader du PVV, Geert Wilders, lors d’une interview télévisée. Il pense que la manière de faire de Geert Wilders va amener de gros problèmes aux Pays-Bas, notamment aux entreprises néerlandaises.

Le numéro 17 de Synthèse nationale vient de paraître…

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Au sommaire :

 

Ils veulent nous imposer leurs lois… nous les refusons !

 

Editorial de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

 

Les  limites du régionalisme politique…

 

Par Robert Spieler, fondateur d’Alsace d’abord, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire

 

 France, Europe, Russie : même combat !

 

Un grand dossier sur une nouvelle approche de la Russie.

 

Des contributions de Marc Rousset, écrivain, Patrick Parment, journaliste, Lionel Baland, journaliste, Francis Bergeron, écrivain, Pierre Vial, historien, Nicolas Tandler, écrivain, Günther Palikao, essayiste, Colonel (ER) Jean-Claude Philipot, Délégué général de l’Alliance France-Europe-Russie…

 

La fallacieuse théorie du libre échange et la diabolisation du protectionnisme… Par Marc Rousset

 

L’OTAN, bras armé de l’Amérique…Par Catherine Gentil, sociologue

 

France : l’inéluctable brésilianisation avant la libanisation… Par Jean-Claude Rolinat, écrivain et journaliste

 

Espagne : la résistance identitaire fait irruption dans le paysage politique catalan… Par Enrique Ravello et Lionel Baland

 

Un entretien avec Thierry Van de Leur, auteur du Parisis code

 

Les rubriques de Vincent Vallois, Philippe Randa…

20/03/2010

Suisse : l'initiative sur le renvoi des criminels est valide.

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Voici un article de swissinfo.ch :

 

L’initiative sur les étrangers criminels est valide.

 

Deux options devraient être soumises au peuple concernant le renvoi de criminels étrangers: l'initiative populaire de la droite conservatrice et un contre-projet direct approuvé jeudi par les sénateurs. Ce dernier texte prévoit aussi un tour de vis mais respecte les droits fondamentaux.

 

Sans surprise, les sénateurs se sont prononcés, par 34 voix contre 6, pour le rejet de l'initiative. Pour la majorité, l'initiative va trop loin. Elle enfreint plusieurs principes du droit international public, comme le non-refoulement.

 

Les sénateurs ont toutefois estimé que la proposition de l’Union démocratique du centre (UDC / droite conservatrice) n’était pas contraire au droit international impératif. L’initiative pourra donc être soumise au peuple.

 

Afin d’éviter que l’initiative ne soit acceptée par les citoyens, les sénateurs ont accepté de présenter un contre-projet direct. Comme l'initiative, celui-ci comprend une liste de délits passibles d'un renvoi: l'assassinat, le meurtre, le viol, le brigandage qualifié, la prise d'otage, la traite qualifiée d'êtres humains et une infraction grave à la loi sur les stupéfiants.

 

Le contre-projet ne se contente toutefois pas de durcir le ton. Il contient un alinéa consacré à l'intégration. Une autre disposition précise que les décisions de renvoi doivent respecter les droits fondamentaux ainsi que les principes de base de la constitution fédérale et du droit international.

 

Le dossier doit maintenant être discuté par la Chambre basse.

Conférence de presse de pro-NRW.

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Ce mercredi 17 mars 2010, le mouvement pro NRW (Pour le Rhénanie du Nord-Westphalie) a tenu une conférence de presse, au château de Horst à Gelsenkirchen, en vue de présenter les éléments importants du rassemblement qui aura lieu du 26 au 28 mars 2010. Le Président de pro-NRW Markus Beisicht, le Secrétaire général Markus Wiener et le Président de la circonscription de la Ruhr Garry Hauer ont exposé les points forts du rassemblement.

19/03/2010

Pas de troisième candidat aux élections présidentielles en Autriche.

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Le BZÖ a proposé à l’ÖVP (Parti conservateur) de présenter un candidat indépendant à l’élection présidentielle autrichienne. L’ÖVP n’a pas suivi le BZÖ.

 

Il ne reste plus assez de temps afin de rechercher un nouveau candidat et de récolter les signatures nécessaires à sa présentation.

La production des taxis anglais délocalisée en chine.

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La fabrication des taxis noirs anglais va être délocalisée vers la Chine. L'entreprise qui fabrique les voitures a été rachetée par une entreprise chinoise. 60 travailleurs perdent leur emploi.

Leefbaar Rotterdam accepte les résultats du scrutin.

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Pays-Bas. Rotterdam. Marco Pastors, le chef de file de Leefbaar Rotterdam, a suivi le chemin de la réconciliation. Il a accepté le résultat des élections. Leefbaar Rotterdam est donc le deuxième parti de la ville, derrière le PvdA (Parti travailliste). Les deux partis détiennent le même nombre de sièges.