13/05/2025
Karin Prien demande l’abrogation de l’incompatibilité décidée par la CDU envers Die Linke.
Allemagne. Le nouveau ministre de l'Éducation et vice-présidente du parti démocrate-chrétien CDU Karin Prien demande l’abrogation de l’incompatibilité décidée par la CDU envers le parti post-communiste Die Linke. Le ministre-président CDU de Thuringe Mario Voigt appelle lui aussi à une révision de la situation.
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Les élections pour le Parlement de Saxe-Anhalt auront lieu le 6 septembre 2026.
Allemagne. Saxe-Anhalt. Les élections pour le Parlement de Saxe-Anhalt auront lieu le 6 septembre 2026.
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Les deux candidats au deuxième tour de l’élection présidentielle roumaine donnés à égalité 50 % / 50 %.
Roumanie. Un sondage AtlasIntel donne les deux candidats au deuxième tour de l’élection présidentielle à égalité 50 % / 50 %.
13:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
HC Strache accepte son mandat au sein du conseil de district de Floridsdorf.
Autriche. Vienne. District de Floridsdorf. L’ancien vice-chancelier Heinz-Christian Strache accepte son mandat au sein du conseil de district de Floridsdorf, obtenu lors du scrutin du 27 avril 2025.
13:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
La polémique interne au sujet de l’absence de Giorgia Meloni à Kiev.
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur les possibles négociations de paix en Ukraine « Trêve : Trump convoque Poutine » (Corriere della Sera), « Trêve, le bougé de Trump » (Repubblica), « Trump convoque Poutine et Zelensky » (Stampa), « Istanbul, Trump invite Poutine » (Messaggero), « Ukraine, Poutine échappe à la paix » (Giornale), la libération de l'otage israélo-américain (Corriere, Repubblica) et les droits de douane entre la Chine et les États-Unis (Messaggero, Corriere, Repubblica).
L’Ukraine. La Stampa : « Les contremesures des Volontaires de l’UE : des sanctions contre la Russie » « pour être efficace, cette initiative devra être accompagnée d'une action similaire de la part des États-Unis qui semblent toutefois s'être légèrement écartés de la position européenne, selon laquelle le cessez-le-feu est une condition préalable à la reprise éventuelle des pourparlers entre Poutine et Zelensky ». Il Foglio « le ministre français Jean-Noël Barrot a énuméré les « sanctions particulièrement puissantes et massives » qui devraient convaincre Poutine d'accepter le cessez-le-feu. Ces mesures devraient viser « les secteurs énergétique et financier », en particulier « le pétrole, qui représente 25 % du budget de la Russie », avec un droit de douane de 500 % imposé par les États-Unis aux pays qui importent du pétrole brut russe », a expliqué M. Barrot ». Domani « Sceptique sur le plan des Volontaires et silencieuse sur ce qui se passe à Gaza, Meloni semble faire une allergie aux scénarii incertains. Du coup, la présidente du Conseil semble être dans une zone d’ombre. Si la politique internationale est une vitrine importante, il est vrai aussi que cela n’est pas perçu immédiatement par les électeurs italiens. Selon un récent sondage Tecné, 43% des sondés estime n’être ni du côté de Kiev ni du côté de Moscou »
L’absence de G. Meloni à Kiev. La Stampa : « Il y a eu sans doute une erreur d’évaluation de la part de Meloni (attendre la réaction de Trump sur une telle initiative qui s’est ensuite révélée positive au vu d’un soupirail de négociation entre les parties en guerre) et décider de participer uniquement en visioconférence à la réunion tenue à Kiev. Mais derrière cela se cache aussi la crainte de voir une Europe contrainte d’intervenir directement et déployer une force internationale de paix ; chose qui représenterait pour Meloni un problème non seulement du point de vue d’un envoi de soldats italiens mais aussi de devoir affronter l’allié Salvini, désormais engagé dans une campagne pacifiste sur les mêmes positions de Marine Le Pen ». Foglio : « C'est probablement un certain désintérêt, pour ne pas dire une certaine irritation, à l'égard de l'activisme du président français qui l'a poussée à faire ce choix. Nul peut douter de la fermeté de Meloni sur l’Ukraine mais la politique se nourrit aussi d’images, et sur le plan médiatique, l’absence de Meloni a eu des retombées. On a pu voir une rétrocession, du moins médiatique, de l’Italie et de Meloni sur l’échiquier international. Une erreur reste une erreur ». Sole 24 Ore « Avec des partis d’opposition divisés, Meloni peut gérer facilement le rapport avec les leaders européens à sa manière, soit opportuniste, selon la contingence du jour et à sa convenance. Faisant toutefois attention à ne pas soustraire de l’espace à l’allié Trump. Il y a toutefois un autre allié qu’il faut regarder de près : le Chancelier Merz, que Meloni ne peut pas laisser entièrement à Macron. En effet, l’axe franco-allemand n’a jamais été propice pour l’Italie et il serait prudent d’essayer de ne pas rester exclus ».
Cérémonie d’installation à venir du Pape. Messaggero : « Les yeux de la présidente du Conseil sont fixés sur les colonnes de la Place Saint-Pierre où dimanche prochain, à la cérémonie d’installation du Pape Léon XIV, et sur la place où ils feront leur apparition plusieurs leaders mondiaux : le vice-président Usa Vance, le Premier ministre canadien Carney, l’Allemand Merz à ses débuts en Italie et probablement l’homme sous les projecteurs du monde, Zelensky. Au Palais Chigi, ils espèrent que les routes de la diplomatie mèneront encore une fois à Rome. Peut-être en détournant les polémiques des oppositions pour les photos de groupe manquées ces dernières semaines ». Foglio : « Comme lors des funérailles de François, même si elles seront plus modestes, les délégations des chefs d'État et de gouvernement du monde entier sont attendues. Et donc, en marge de la cérémonie (qui est devenue historique), un autre match parallèle se jouera peut-être. Composé, mais ponctuel : celui de la diplomatie. On sait déjà, par exemple, que le Chancelier allemand Friedrich Merz sera à Rome pour l'occasion et rencontrera, pour la première fois, la présidente du Conseil ».
Sole 24 Ore : « Lors du sommet de l'Eurogroupe, le Mécanisme Européen de Stabilité (MES) est revenu sur le devant de la scène et le ministre Giorgetti (Ligue), représentant le gouvernement, a de nouveau été interrogé sur l'intention de Rome concernant la ratification du traité, qui est toujours en suspens. Il semble que le ministre de l'Économie ait répondu qu'il n'était « pas optimiste », étant donné qu'un vote du Parlement est nécessaire et qu'il n'y a pas de majorité en raison de l'opposition de la Ligue et du FdI. Inutile de rappeler que notre pays est le seul à ne pas avoir approuvé le MES et que cela bloque la possibilité d'accès à cet instrument financier pour tous les autres États, même à des fins telles que celles dont il est question ces dernières semaines, à savoir la défense commune européenne ».
Foglio, Galeazzo Bisignani, chef de groupe de Fratelli d’Italia à la Chambre : « Les résultats sont plus importants qu’un selfie. Parfois, il faut aussi savoir être présent sans paraître. Giorgia Meloni n'était pas absente. Elle était présente, mais en visioconférence. En réalité, le choix du président du Conseil a coïncidé avec le point d'équilibre le plus sage et le plus concret qui pouvait être adopté. À Kiev, il y avait les membres de la coalition des « volontaires », dont l'Italie ne fait pas partie. La présence physique de Meloni aurait donc été incongrue. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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