07/05/2025
Alexander Dobrindt exclut toute conséquence générale pour les membres de l'AfD dans la fonction publique.
Allemagne. Le social-chrétien bavarois CSU, désormais ministre fédéral de l’Intérieur, Alexander Dobrindt (CSU) a exclu toute conséquence générale pour les membres de l'AfD dans la fonction publique : « Il n’y aura pas de conséquences générales pour les fonctionnaires qui déclarent leur allégeance à l’AfD. La loyauté envers la constitution exigée des fonctionnaires ne peut être examinée qu'au cas par cas. »
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/05/02/l-a...)
23:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
George Simion donné gagnant au deuxième tour à 55,4 %.
Roumanie. Le candidat à la présidentielle Nicușor Dan a présenté un sondage réalisé le 6 mai qui le donne perdant avec 44,6% face au candidat nationaliste George Simion donné à 55,4%.
22:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
La police fédérale allemande chargée de repousser les entrées illégales aux frontières.
Allemagne. Le nouveau ministre fédéral de l’Intérieur du parti social-chrétien bavarois CSU Alexander Dobrindt a chargé la police fédérale d’empêcher toute entrée illégale aux frontières terrestres de l’Allemagne, même si les personnes concernées demandent l’asile.
18:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Sahra Wagenknecht dénonce l'absence de représentants de la Russie à la commémoration du 8 mai.
Allemagne. La coprésidente du parti de gauche anti-immigration BSW Sahra Wagenknecht estime que « C'est un scandale que la Chambre des députés commémore le 80e anniversaire de la libération sans représentants officiels de la Russie. »
18:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
Traité de soumission de la Suisse à l'UE.
Suisse et UE. L'UDC estime que le fait que le gouvernement garde secret l’accord avec l’Union européenne est un affront à la démocratie directe et à la population.
17:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les élus du FPÖ soumettent 827 questions parlementaires à propos de la période de la Covid.
Autriche. Les élus du FPÖ soumettent 827 questions parlementaires à propos de la période de la Covid.
14:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
L’AfD du Brandebourg classée « cas d’extrême-droite avéré. »
Allemagne. Brandebourg. L’Office du Brandebourg de protection de la Constitution a classé l’AfD du Brandebourg en tant que « cas d’extrême-droite avéré. »
14:34 | Lien permanent | Commentaires (0)
Suisse : la votation sur l’identité électronique (e-ID) aura lieu.
Suisse. La votation sur l’identité électronique (e-ID) est acceptée.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/04/22/sui...)
14:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
Reform UK donné à 29 % !
Royaume-Uni. Reform UK de Nigel Farage est donné premier avec 29 %, 7 points devant les travaillistes et 12 points devant les conservateurs. Reform UK obtiendrait 309 députés, soit 16 de moins que la majorité absolue.
patriotes
travaillistes
conservateurs
13:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Merz avec la chair de poule, élu chancelier au 2ème tour."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur la prise de fonction du Chancelier Merz en Allemagne « Merz, le gouvernement avec un frisson » (Corriere della sera), « Merz avec la chair de poule, élu chancelier au 2ème tour » (Repubblica), « Glissade de Merz, puis la confiance. Les craintes de l'UE » (Messaggero) et le début du conclave « l'Eglise choisit son nouveau Pape » (Repubblica), « Le jour du jugement » (Stampa), « nous aurons le Pape » (Messaggero).
Les réactions en Italie. Messaggero : « Le soulagement de Giorgia Meloni et de Forza Italia, la Ligue y voit un ‘avertissement à l’UE de la part de Berlin’ » : « La diversité des réactions à l’élection hier de F. Merz, qui a reçu la confiance du parlement au second tour seulement, cristallise les différentes visions qui traversent chaque parti, à commencer par ceux de la majorité. La Ligue souligne la fragilité de l’accord entre CDU-CSU et le SPD qui a laissé de côté l’AfD. Forza Italia et Giorgia Meloni minimisent l’absence d’accord au premier tour, mais la Présidente du Conseil se concentre surtout sur la relation directe à construire avec l’Allemagne. Et il ne saurait en être autrement, vu les défis qui attendent l’UE, notamment en matière de droits de douane et de défense commune. La présidente du Conseil mise sur la relance de la compétitivité, en particulier dans le secteur automobile, mais aussi sur la construction de partenariats paritaires avec l’Afrique et pour la lutte contre l’immigration irrégulière : batailles sur lesquelles Merz avait déjà donné des signes d’ouverture dans les mois de campagne électorale. Si Forza Italia exprime son soulagement en vue d’une saison politique sous le signe du ‘pragmatisme’, le silence de la Ligue pèse. Parmi les oppositions aussi, les réactions ne se recoupent pas toutes. Pour la vice-présidente du Parlement européen, Pina Picierno (Parti démocrate), l’élection de Merz est une « bonne nouvelle pour toute l’Europe. C’est de la stabilité proeuropéenne de l’Allemagne et des autres pays que dépend l’avenir du continent, certainement pas des radicalismes qui ne conduisent qu’au chaos ». Messaggero : « Les marchés et l’UE poussent un soupir de soulagement mais l’instabilité allemande inquiète Bruxelles » : « Les leaders français et polonais recevront dès aujourd’hui le nouveau chancelier allemand, respectivement d’abord à Paris puis à Varsovie, en témoignage de la solidité du ‘Triangle de Weimar’. ‘A nous de rendre le moteur franco-allemand plus fort que jamais’ a rappelé E. Macron, ce moteur franco-allemand qui oriente traditionnellement le sort de l’UE mais qui n’est pas très bien huilé. Si à Paris le gouvernement navigue à vue, en l’absence de majorité parlementaire, le faux-pas de Merz qui n’a pas été élu dès le premier tour, du jamais vu depuis l’après-guerre, n’est pas passé inaperçu au sein des institutions européennes. L’alliance de gouvernement allemande ne nait pas sous une bonne étoile et risque de reproduire un script déjà vu lors des années Olaf Scholz avec les conflits internes à la coalition aboutissant à une éclipse partielle de Berlin au sein des dynamiques européennes. En somme, le cauchemar d’une Allemagne géante aux pieds d’argile, entrainant avec elle le reste du continent. Valérie Hayer souligne un ‘panorama politique fragmenté et tendu’, ‘il est évident que ce n’est pas un bon début’ confirme le co-président des Verts européens. » Repubblica : « Meloni et le lien avec Berlin plus fragile sur voitures et migrants » : « La présidente salue le leader allemand après la surprise de l’embuscade au Bundestag et se rendra aujourd’hui au Sénat pour la session question-réponse avec deux messages, l’un politique et l’autre diplomatique. Le premier : nous coopérons sur l’automobile et l’immigration. Le second : nous renforçons la collaboration entre Rome et Berlin. Un souhait que le Palais Chigi cultive surtout pour essayer d’équilibrer l’activisme d’Emmanuel Macron. Le communiqué précède l’appel téléphonique, au cours duquel Meloni adresse ses « félicitations » au nouveau chef de l’exécutif allemand et l’invite dans la capitale pour une rencontre bilatérale dans les prochains jours »
Le moteur franco-allemand. Corriere della Sera : « Si Merz devait être lesté par une majorité divisée, il aurait plus de mal à annoncer les nouveaux plans pour l’Europe avec Macron. Aujourd’hui, Merz se rendra à Paris pour rencontrer le président français. Nous savons bien que Merz et Macron sont en train de travailler ensemble depuis quelques semaines et que Paris mettra sur la table la proposition d’un Eurobond pour la défense, sur le modèle du Recovery Plan annoncé pendant la pandémie. Merz et Macron sont en train de préparer une déclaration conjointe ayant un grand impact sur les politiques européennes, à laquelle pourrait suivre une seconde, avec des propositions concrètes : le marché européen des capitaux, les engagements communs sur la défense et donc un endettement commun (les émissions) pour le réarmement. Or, si le gouvernement allemand devait se révéler fragile, les Eurobond pourraient vaciller ». Sole 24 Ore : « Le président Macron, affaibli, compte sur Merz pour relancer également le moteur français. Le président a déjà écrit sur les priorités des deux pays et l’Elysée a fait sortir un communiqué soulignant une fois de plus l’importance de cette rencontre à Paris avec le Chanceler. Il faudra vérifier ensuite si, dans un tel contexte fortement muté, le format franco-allemand pourra encore fonctionner. A Rome, d’après les déclarations de la présidente du Conseil G. Meloni, on voit une approche très pragmatique, concentrée sur l’économie et sur l’immigration sans impliquer l’Europe ou les projets unitaires. Ce sont deux perspectives différentes sur lesquelles il est possible de synthétiser le pari sur l’Europe. Reste à voir le rôle que voudra jouer Merz et à quel point son action sera influencée par les dynamiques internes et par le poids d’AfD. ».
La séance question-réponse à venir de Meloni au Sénat. Foglio : « Aujourd’hui au Sénat il y aura l’audition de Meloni, la séance question-réponse qui représente une occasion pour les oppositions de l’attaquer sur sa position par rapport à Israël et à Trump, mais aussi comment elle prévoit de relancer l’économie italienne, de faire face à la hausse des prix énergétiques, comment aller de l’avant avec les réformes et comment trouver l’argent pour le réarmement ». Stampa « Les partis d’opposition soulignent le silence assourdissant de Meloni sur Gaza. Pour sa part, le ministre des Affaires Etrangères Tajani fait savoir que ‘’Rome soutient le plan proposé par l’Egypte, soit la reconstruction de Gaza et excluant tout déplacement de la population palestinienne’’. Le M5S de Conte évoque un ‘’déshonneur national’’ de l’exécutif face au drame de Gaza ».
Le réarmement. Domani « La conférence organisée à Rome les 8 et 9 mai par l’Aeronautica militare et le ministère de Crosetto (Frères d’Italie), représente une passerelle idéale entre le gouvernement et certaines entreprises du secteur. Notamment pour SpaceX. La société d’Elon Musk, qui gère les satellites StarLink, sera en effet représentée par la responsable des ventes Stephanie Bednarek. Elle figure parmi les intervenants. Sa présence a soulevé de la perplexité. Le PD demande à savoir si Space X figure ou pas parmi les sponsors de l’événement. Et ce, pendant que le Sénat tente d’accélérer sur l’adoption du projet de loi sur l’économie de l’espace, cher à la société de Musk. Le vote sur les amendements devrait commencer aujourd’hui. Le texte approuvé par la Chambre prévoit la possibilité pour Space X d'entrer sur le marché. Les satellites peuvent être confiés à « des entités appartenant à l'Union européenne » ou – et c'est là que Starlink peut s'immiscer – « à l'Alliance atlantique ». A cela s’ajoute Andrea Stroppa, collaborateur opératif de StarLink Italie, qui a lancé une énième attaque sur X ‘’les Houthis à terre ont des connectivités supérieures à celles des navires italiens de guerre’’, et saluant ainsi la demande de ressources plus importantes pour le secteur, avancée par le ministre de la Défense Crosetto ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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