Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

13/05/2010

Norvège : le président du Comité national républicain des Etats-Unis envoit ses salutations à la convention du Parti du progrès.

Fremskritt.jpg
Norvège. Michael Steele, le président du Comité national républicain des Etats-Unis (le Parti républicain est le parti de Georges Bush, Ronald Reagan,etc...) a envoyé ses salutations à la Convention nationale 2010 du Parti du progrès en Norvège. La lettre a été lue par Siv Jensen, la présidente du Parti du progrès, lors du la convention.
10.jpg

La progression du BNP au fil du temps.

BNP.jpg

 

- En 1983, le BNP conteste 54 sièges et obtient 14,000 votes.

 

- En 1987, le  BNP conteste 2 sièges et obtient 563 votes.

 

- En 1992, le  BNP conteste 13 sièges et obtient 7,000 votes.

 

- En 1997, le  BNP conteste 54 sièges et obtient 35,000 votes.

 

- En 2001, le BNP conteste 33 sièges et obtient 47,000 votes.

 

- En 2005, le  BNP conteste 117 sièges et obtient 192,746 votes.

 

- En 2010, le  BNP conteste 339 sièges et obtient 563,743 votes.

Le BNP est le quatrième parti du Royaume-Uni.

BNP.jpg
UKIP.jpg
Le BNP a récolté 562,000 votes, alors qu’en 2005 il en a obtenu 192,000.
.

Si les élections avaient eu lieu selon un mode de scrutin proportionnel, le BNP aurait obtenu 13 sièges.

.

Voici des résultats intéressants :

 

Ashton-Under-Lyne: David Lomas 2,929 votes (7.6%)

Barking: Nick Griffin 6,620 (14.6%)

Barnsley Central: Ian Sutton 3,307 (8.9%)

Barnsley East: Colin Porter 3,301 (8.6%)

Burnley: Sharon Wilkinson 3,747 (9.05%)

Dagenham & Rainham: Michael Barnbrook 4,952 (11.2%)

Leeds Central: Kevin Meeson 3,066 (8.2%)

Leeds East: Trevor Brown 2,947 (7.8%)

Normanton, Pontefract and Castleford: Graham Thewlis-Hardy 3,864 (8.4%)

Rother Valley: Will Blair 3,616 (7.7%)

Rotherham: Marlene Guest 3,906 (10.4%)

Sheffield Brightside; John Sheldon 3,026 (7.8%)

Stoke-on-Trent Central: Simon Darby 2,502 (7.7%)

Stoke-on-Trent North: Melanie Baddeley 3,196 (8.0%)

Stoke-on-Trent North: Michael Coleman 3,762 (9.4%)

Thurrock: Emma Colgate 3,618 (7.9%)

Walsall North: Christopher Woodall 2,930 (8.1%)

Wentworth & Dearne: George Baldwin 3,189 (7.6%)

West Bromwich West: Russ Green 3,394 (9.4%)

.

Au sein de 200 circonscriptions, les résultats du BNP tournent autour de 4% des voix.

 

Le BNP dépasse l’UKIP au sein de 178 circonscriptions électorales et l’UKIP dépasse le BNP au sein de 123 circonscriptions électorales. Rappelons que l’UKIP dispose de 13 députés européens et le BNP de deux députés européens.

Le BNP dépasse les écologistes au sein de 134 circonscriptions et les écologistes dépassent le BNP au sein de 23 circonscriptions.

12/05/2010

pro NRW : objectif : les élections municipales de 2015.

pro NRW.jpg
La direction de pro NRW a décidé, après avoir analysé les résultats électoraux de ce dimanche, de se concentrer sur les élections municipales de 2015. Afin de réaliser cette stratégie de moyen terme, pro NRW va créer à travers la Rhénanie du Nord – Westphalie, au cours des semaines et des mois à venir, de nombreuses structures locales. Pro NRW espère décrocher plusieurs centaines de mandats municipaux en 2015. L'objectif est réalisable. Le parti en a décroché une cinquantaine en 2009.
.
La présidence du mouvement de citoyens pro NRW a décidé de se concentrer sur le "Projet 2015" en Rhénanie du Nord – Westphalie.
.

Les résultats obtenus par le parti ce dimanche lui permettent de recevoir de l’argent du financement public. Grâce à cette argent, pro NRW va pouvoir mener de nombreuses campagnes au niveau local et régional.

Italie : vers le fédéralisme fiscal.

 Le Peuple de la liberté.jpg

Ligue du Nord.jpg

« La mise en garde du Quirinal révèle les tentations du léghisme extrémiste » (Massimo Franco, Corriere della Sera) :

 « La clarté du chef de l’Etat ne pouvait, cette fois, se prêter à une lecture ambiguë. En qualifiant hier matin à Marsala toute idée de sécession de ‘véritable saut dans l’obscurité’, G. Napolitano a été on ne peut plus net. Et la vive réaction de certains milieux léghistes radicaux révèle une fragilité inattendue de la Ligue et risque de la ramener à son passé pré-gouvernemental et extrémiste, au détriment de son lien avec le Quirinal. Le chef de l’Etat, voulant faire sentir à chacun l’enjeu de l’unité du pays, a profité d’une cérémonie des 150 ans pour rappeler que ‘la seule garantie pour notre avenir commun’ est un Etat qui ne se divise pas – avec à l’arrière-plan la crainte que la crise, ralentissant la réforme fédéraliste, ne renforce les franges sécessionnistes de la Ligue, jusqu’ici jugulées par Bossi et sa stratégie gouvernementale. Tandis que des seconds couteaux léghistes (Borghezio, Salvini) exaltent la sécession, les chefs répondent au Quirinal avec pondération. Zaia, président de Vénétie, freine les purs et durs : Napolitano ‘est le gardien de la Constitution, son garant ; il sait très bien que, nous concernant, le danger de la sécession n’existe pas’. Ferme sur l’immigration, la Ligue sait qu’elle ne peut se battre sur trop de fronts, vu l’incertitude qui pèse sur le fédéralisme. Elle tente donc de relativiser le désaccord avec les évêques, en contestant l’idée selon laquelle ils seraient hostiles à la réforme – objection confortée par les propos conciliants, hier, du cardinal Bagnasco – et d’éviter une polémique frontale avec le Quirinal, disant juste avec le ministre Maroni que ‘la crise sera un accélérateur du fédéralisme fiscal’. Bossi sait que le chef de l’Etat sera un interlocuteur nécessaire pour faire avancer le fédéralisme au Parlement et dans l’opinion, tout comme il est conscient de la ligne rouge que représente l’unité italienne. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

Congrès du VB le 30 mai 2010 à Anvers.

Vlaams Belang.jpg
Le dimanche 30 mai 2010, le Vlaams Belang organise son congrès électoral à Anvers.

Le Vlaams Belang a obtenu aujourd’hui, lors du tirage au sort, le numéro 1. Cela correspond au slogan du parti « Vlamingen eerst » (Les Flamands en premier). Serait-ce un signe du destin ?

Des dirigeants du MCG exclus d'un syndicat.

MCG.jpg
Suisse. Le syndicat SIT a exclu Carlos Mendeiros, le vice-président du Mouvement des Citoyens Genevois, et le Député Olivier Sauty de ses rangs «en raison des positions anti frontalières du parti» Selon le syndicat, ces positions contreviennent aux principes de solidarité du syndicat.
.

(Il faut entendre par position anti frontalières la fait que le MCG dénonce la concurrence déloyale des travailleurs qui vivent de l’autre côté de la frontière).

Selon un spécialiste de la science politique, les résultats de pro NRW doivent être pris en considération.

pro NRW.jpg

Le spécialiste de la science politique Andreas Blätte, professeur à l’université de  Duisburg-Essen, a déclaré que les résultats obtenus par le mouvement de citoyens pro NRW doivent être pris en considération. Le parti obtient 1,4% en se présentant pour la première fois aux élections pour le Parlement du Land de Rhénanie du Nord – Westphalie et atteint 4 % au sein de certaines circonscriptions électorales.

11/05/2010

La marche sur Düsseldorf se poursuit.

pro NRW.jpg

Les résultats obtenus par pro NRW lui permettent d’avoir accès au financement public pour sa campagne électorale.

 

Le président de pro NRW, Markus Beisicht, a rappelé que les Verts (écologistes) ont du se présenter trois fois aux élections pour le Parlement du Land de Rhénanie du Nord - Westphalie avant de faire leur entrée au sein de ce Parlement.

Le secrétaire général du BZÖ écarte toute réunification avec le FPÖ.

BZÖ.jpg

 

Autriche. Pour le nouveau Secrétaire général du BZÖ, Christian Ebner, le paquet de sauvetage de l’euro est une grave erreur.

 

Christian Ebner écarte toute possibilité de réunification du BZÖ et du FPÖ.

Ebner.jpg

Christian Ebner

La montée en puissance de Tremonti.

Le Peuple de la liberté.jpg
Ligue du Nord.jpg
« L’ère de l’austérité modifie aussi les priorités de la politique » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « Quel impact le crucial week-end européen qui a évité l’écroulement de l’euro aura-t-il pour l’Italie ? Sous l’angle politique, Rome ‘a tenu son rôle’, a dit le président Napolitano. Un communiqué du palais Chigi enfonce le clou en rappelant les mérites du président du Conseil – comme pour éclipser, dirait-on, le rôle joué par le ministre de l’économie (lequel a d’ailleurs lui-même insisté sur l’habileté de Berlusconi). Reste un point de fond : le président du Conseil a compris que rien ne serait plus comme avant – l’austérité avouée ou non exigée par l’Europe sera la norme pour 2-3 ans. En Europe, tous serrent les boulons, quitte à réexaminer certaines priorités. Le rôle de Tremonti est voué à grandir : outre son réseau en Europe et son rôle pivot entre Berlusconi et la Ligue, lui seul peut faire adhérer Bossi à la logique d’un budget bien tenu, fût-ce au prix de sacrifices. Hier, la conférence des évêques a vivement critiqué le projet actuel de fédéralisme fiscal ; de fait, les coûts de la réforme, restés à ce stade dans le flou, paraissent désormais trop lourds pour un pays soucieux de garder ses finances sous contrôle par faible croissance. Assujettir la Ligue et le Peuple de la Liberté à une ligne de rigueur, même au prix d’un peu de popularité : c’est l’objectif de Tremonti, dont il devient le garant aux yeux de l’Europe. Qui dit rigueur pour 2-3 ans dit aussi stabilité, ce qui va contre la tentation d’élections anticipées – un penchant récurrent de Berlusconi avec lequel le besoin de stabilité incarné par Tremonti est en contradiction potentielle, assurément. Le jeu reste ouvert, mais la crise de l’euro pourrait bien avoir changé la donne de façon décisive. »
.

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Une affiche du FPÖ contestée.

new FPO.jpg

Autriche. La campagne du FPÖ pour les élections de Vienne présente le Président du FPÖ, Heinz-Christian Strache, parlant avec des citoyens, des retraités, des policiers.

L’affiche qui présente Heinz-Christian Strache et des policiers fait l’objet d’attaques d’opposants au parti qui prétendent que des policiers ne peuvent pas être utilisés à cette fin.

Les 7 du FPÖ.

new FPO.jpg

Autriche. Heinz-Christian Strache, le président du FPÖ, rejette toute évolution de son parti vers le néo-libéralisme.

Sept personnes de la direction du parti vont être mises en avant : Norbert Hofer, Harald Stefan, Hans Tschürtz, Herbert Kickl, Harald Vilimsky, Dieter Egger und Gerald Hauser.

 

Á Vienne, Barbara Kappel va être promue pour ses compétences économiques.

 

Le troisième Président du Parlement national Martin Graf, le Député européen Andreas Mölzer ainsi que Barbara Rosenkranz ont un rôle important dans les fonctions qu’ils exercent.

Herbert Kickl.jpg

Herbert Kickl

Harald Vilimsky.jpg

Harald Vilimsky

10/05/2010

Pro NRW va poursuivre son implantation en Rhénanie du Nord - Westphalie.

pro NRW.jpg
REP.jpg
Le mouvement de citoyens pro NRW a obtenu 106.932 voix et 1,4% des voix lors du scrutin de ce dimanche pour le Parlement du Land de Rhénanie du Nord-Westphalie.
.

Les Republikaner obtiennent, avec 23.430 votes, 0,3% des voix.

 

Pro NRW annonce qu’il va poursuivre son développement et son implantation à travers la Rhénanie du Nord – Westphalie.

. 

Voici des résultats intéressants obtenus par pro NRW au sein de certaines circonscriptions : Duisburg IV (4,6 %), Gelsenkirchen II (4,1 %), Gelsenkirchen I (4,0 %), Duisburg II (3,9 %), Duisburg III (3,8 %), Leverkusen (3,8 %), Remscheid (3,6 %), Rhein-Erft-Kreis I (3,5 %), Rhein-Kreis Neuss II (3,1 %).

Le N° 18 de la revue Synthèse nationale est paru !

Synthèse nationale.jpg

Couv SN 18.jpg

Mondialisme, libéralisme, la fin des illusions...

Revue bi-mestrielle nationaliste et identitaire

dirigée par Roland Hélie

Avec des contributions de Franck Abed, Lionel Baland, Francis Bergeron, Nicolas Bonnal, Roberto Fiorini, Patrick Gofman, Günther Palikao, Patrick Parment, Luc Pécharman, Arnaud Raffard de Brienne, Philippe Randa, Alain Renault, Jean-Claude Rolinat, Marc Rousset, Chahpour Sadler, Robert Spieler...

114 pages, 12,00 €

L'article que j'ai réalisé pour la revue a pour objet la comparaison entre le Danemark et la Flandre (Belgique). Au Danemark, la droite classique s'allie aux nationalistes. En Belgique, la droite classique refuse une telle alliance.

150 ans de l'Unité italienne.

Le Peuple de la liberté.jpg
Ligue du Nord.jpg

« Berlusconi : ‘C’est un moment amer’ et Silvio se découvre affligé » (Amedeo La Mattina, La Stampa) :

 

« A Lesmo, à quelques kilomètres de Macherio où vit son ex-épouse, Silvio Berlusconi s’était décrit comme un magicien dans beaucoup de secteurs : édition, télévision, sport, urbanisme, administration publique. Mais en ce qui concerne les mariages, même politiques comme avec GF Fini, il a admis n’avoir pas eu de ‘résultats particulièrement heureux’. L’épilogue après 30 ans ‘d’une grande histoire d’amour m’afflige et m’attriste immensément, surtout vu la façon dont elle s’achève’ continue de répéter Berlusconi alors que tout est fini, que les avocats font les comptes des millions de la séparation. Il aurait voulu voir cette histoire personnelle rester dans la ‘sphère privée’. Mais son histoire personnelle et familiale n’est pas la seule à l’attrister. Il y en a tant d’autres qui le préoccupent : la déception pour le ‘comportement incompréhensible’ de Fini ; les attaques judiciaires continuelles qui ont frappé Scajola, Verdini, Bondi ; et puis, en tête de ses soucis, la crise européenne. Il est vraiment inquiet que l’incendie parti de Grèce ne s’abatte sur l’Italie, quoique publiquement il montre son optimisme sur la bonne tenue des comptes italiens. Par-dessus le marché, il doit tenir la majorité soudée et défendre ses plus proches collaborateurs ‘d’une véritable agression politique de la part d’une magistrature politisée’. Mais, dit-il au palais Chigi : ‘comme si, avec tout ce qui arrive dans le monde, les vrais problèmes étaient ceux posés par les finiens’. »

 

« L’Unité italienne : une bonne chose pour 7 sympathisants de la Ligue sur 10 » (Renato Mannheimer, Corriere della Sera) :

 

« La commémoration des 150 ans de l’Unité a déchaîné des controverses politiques. Le président et plusieurs membres éminents du Comité ont démissionné. Et d’influents dirigeants de la Ligue ont dit ne vouloir prendre part à aucune manifestation au programme. Qu’en pense l’opinion publique ? En général, l’unification du pays est vue comme une ‘bonne chose’ par une très grande majorité (87%). Pour 89%, ‘l’Unité italienne est une valeur importante à soutenir’ ; 11% seulement la jugent ‘un mal’. Parmi les électeurs de la Ligue, 70% disent approuver la création de l’Etat unitaire ; les avis contraires ne dépassent pas 25%, mais c’est parmi les jeunes (moins de 24 ans) qu’on voit se renforcer ceux qui déclarent voir une erreur dans la formation de l’Italie. Parmi les critiques prévaut l’idée que ‘l’Italie a fait perdre les valeurs et les traditions locales’ ; pour d’autres, l’idée de nation est obsolète : ‘plutôt que de parler d’Unité italienne, aujourd’hui, on devrait parler d’Union européenne’. Mais la raison principale du scepticisme sur l’unité nationale réside dans la perception du caractère infondé du concept même de ‘peuple italien’. Plus de la moitié des Italiens estiment qu’il y a ‘un ensemble de peuples’ plutôt qu’‘un peuple unique’. Les freins au sentiment d’appartenance nationale dépassent donc dans une certaine mesure la base léghiste. Reste que la grande majorité (90%) s’accorde sur l’opportunité de fêter l’Unité italienne, tout en suggérant une certaine modération compte tenu de la crise. Les 150 ans peuvent constituer une grande occasion de (ré)éducation sociale pour l’opinion publique. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Préface de la réédition de "La Révolution du XXème siècle" de José Streel.

JS.jpg

Dans le cadre du livre que j’ai publié sur « Léon Degrelle et la presse rexiste », l’Éditeur Philippe Randa, de la maison d’édition Déterna, m’a demandé de réaliser la préface de la réédition du livre «La Révolution du XXème siècle.» de l’écrivain belge José Streel.

 

José Streel joue un rôle déterminant, au cours des années 30, au sein de la presse rexiste. Il est un des principaux penseurs du mouvement rexiste dirigé par Léon Degrelle. Son objectif est l’instauration de l’État rexiste : chrétien, autoritaire, sous l’égide du Roi.

 

Lors de la seconde guerre mondiale, José Streel, fervent défenseur de la Belgique, est partisan d’une collaboration limitée avec l’Allemagne. En 1943, Léon Degrelle et le mouvement rexiste se dirigeant vers la collaboration totale avec l’Allemagne, José Streel rompt les ponts avec eux.

.

José Streel est fusillé en 1946. 

09/05/2010

Elections en Rhénanie du Nord – Westphalie : résultats encourageants pour pro NRW.

pro NRW.jpg
REP.jpg

Voici les résultats du scrutin :

4.jpg

Répartition des sièges

.
La coalition CDU (conservateurs)-FDP (libéraux) en place a perdu les élections et ne dispose plus de majorité. Le parti "die Linke" (héritiers du Parti communiste d'Allemagne de l'Est + partisans d'Oskar Lafontaine) entre au Parlement du Land de Rhénanie du Nord -Westphalie.
.
Les autres partis obtiennent ensemble 6,5%.

 

La CDU, parti de la Chancellière Angela Merkel, subit les conséquences du prêt par l"Allemagne d'argent à la Grèce en chutant de 10%. Le SPD, Parti social-démocrate, chute légèrement en pourcentage. En nombre de voix, le Parti social-démocrate poursuit sa chute.

 

La perte de la Rhénanie du Nord - Westphalie par la CDU et le FDP a pour conséquence la perte au niveau national de la majorité de la CDU-CSU-FDP au Sénat

 

Les résultats de pro NRW dans certaines villes sont encourageants :

 

Bergheim – 5,4  %

Duisburg – 3,77 %

Leverkusen – 3,9 %

Gelsenkirchen – 4,2 %

Au sein d'autres parties du Land, le mouvement de citoyens pro NRW manque totalement d'implantation locale et obtient de faibles résultats. Le parti "die Republikaner" était également présent. Ces deux partis patriotiques ont subit la concurrence des ultranationalistes du NPD ainsi que les attaques en provenance de certains milieux politiques de la gauche de la gauche qui ont empêché pro NRW et les Republikaner de mener une campagne correcte et d'avoir des contacts directs avec leurs électeurs. La Rhénanie du Nord compte 18 millions d'habitants, c'est-à-dire près du 1/4 de la population de l'Allemagne. Les moyens dont pro NRW a disposé, tant humains que matériels et financiers, sont faibles par rapport à ceux déployés par les partis établis.

. 

Afin d'améliorer son score, pro NRW doit chercher à développer son implantation locale jusque dans le moindre petit village et doit tenter de s'allier avec les Republikaner.

.

Résultats par circonscription : http://www.wahlergebnisse.nrw.de/landtagswahlen/2010/aktuell/index.html

Le BZÖ de Carinthie ouvre un premier bureau de circonscription.

 BZÖ.jpg

Le BZÖ de Carinthie a ouvert en cette fin de semaine un premier bureau de circonscription électorale, dans la commune de Feistritz an der Drau, circonscription du Land de Villach. Stefan Petzner a répété le crédo du BZÖ : « Qui travaille plus doit avoir plus que celui qui ne travaille pas. Celui qui est performant doit gagner assez. »

 

L’ouverture d’un deuxième bureau ce circonscription est prévu en ce mois de mai 2010.

BZÖlocal.jpg

Le bureau de circoncription à Feistritz an der Drau.

Le mouvement Arbeit Familie Vaterland appelle à voter pro NRW.

Arbeit Famile Vaterland.jpg
pro NRW.jpg
Allemagne. Le mouvement Arbeit Familie Vaterland dirigé par l’ancien député CDU Henry Nitzsche et qui est présent en Saxe appelle les électeurs de Rhénanie du Nord – Westphalie à voter pour pro NRW lors des élections de ce dimanche pour le Parlement du Land.

Le PVV s'oppose au prêt à la Grèce.

PVV.jpg

 

Pays-Bas. Le PVV s’est opposé ce vendredi, au sein de la Deuxième chambre du Parlement, au prêt par les Pays-Bas de 4,7 milliards d’euros à la Grèce. Selon le PVV, ce prêt d’argent coûtera 750 euros à chaque Néerlandais qui travaille.

Geert Wilders s’est rendu à Groningen et Leeuwarden.

PVV.jpg

 

Pays-Bas. Geert Wilders s’est rendu à Groningen et Leeuwarden.  De nombreuses personnes lui ont serré la main ou se sont faites photographier à ses côtés.

08/05/2010

Reportage sur le dernier meeting de pro NRW à Düsseldorf.

pro NRW.jpg
Reportage sur le dernier meeting de pro NRW à Düsseldorf.

La tournée mise en place par le richissime Patrik Brinkmann en vue des élections pour le Parlement du Land de Rhénanie du Nord – Westphalie de ce dimanche s’est terminée cette après-midi à Düsseldorf sur la Deutscher Einheit Platz. Différents représentants du mouvement politique pro NRW (Pour la Rhénanie du Nord – Westphalie) ont pris la parole.

Je me suis rendu à ce meeting afin d’interviewer Patrik Brinkmann. Voici le récit de ce meeting :

 

Je marche vers la place et entends du bruit. Ce sont des slogans criés par la contre-manifestation. La place est barrée par des barrières métalliques et des policiers. Je demande à la police comment on peut accéder à la place. Une policière me dit de faire le tour du pâté de maison. Je suis ses conseils et me retrouve dans une autre rue qui donne accès à la place. Elle est barrée par la police et par des barrières métalliques. Je demande l’autorisation de passer pour réaliser mon reportage. Les policiers, après avoir consulté via un talkie-walkie leurs supérieurs, me laissent passer. Plusieurs dirigeants de pro NRW sont présents. Ils tiennent un discours à tour de rôle devant un micro.

 

L’autre côté de la place est également barré par des barrières, des camionnettes de police et des policiers afin de protéger le meeting que tentent de perturber par des bruits et des cris les contre-manifestants, constitués de communistes et antidémocrates en tous genres.

 

Les sympathisants ou simples curieux intéressés par le meeting se voient, dans les faits, dans l’impossibilité d’assister décemment au meeting de pro NRW. La police fait son travail correctement et protège les dirigeants de pro NRW qui sont présents, ainsi que les spectateurs qui ont pris le risque d’assister à la réunion.

 

Patrik Brinkmann brandit une bible devant les opposants. Ceux-ci sifflent et l’insultent. J’interroge Patrik Brinkmann et les dirigeants de pro NRW.  Les discours se poursuivent : Patrik Brinkmann, Manfred Rouhs, Jörg Uckermann, Bernd M. Schöppe prennent la parole. Manfred Linn est présent.

 

Il est 17 h. Le meeting se termine. Le matériel est rangé dans une des camionnettes du convoi de pro NRW. Le convoi doit quitter les lieux. La police recule deux de ses véhicules afin de faire croire aux antidémocrates que le convoi va sortir par là. Le convoi part en réalité en direction de la rue que j’ai empruntée pour me rendre sur la place. Les motos de la police escortent  le convoi.  

 

Reste à évacuer les quelques personnes, membres ou sympathisants de pro NRW, qui se sont risquées à venir assister au meeting. Les antidémocrates, furieux que le convoi leur ai échappé, attendent le public afin de se venger sur lui.

 

La police évacue le public. Je quitte les lieux avec le public. Après avoir quitté la place, nous nous trouvons face à des contre-manifestants qui veulent nous barrer la route. Nous passons à un mètre d’eux. Ils nous suivent. Trois rangs se forment : un à gauche, constitué des antidémocrates, un au centre constitué de policiers et un à droite constitué de sympathisants de pro NRW. La tension est à son comble. Les antidémocrates cherchent l’incident. Nous ne répondons pas à leurs provocations. Nous restons stoïques.

 

Arrivée plus loin, la police oblique sur la gauche, vers les bâtiments, et empêche les antidémocrates de poursuivre leur chemin. Nous continuons à marcher et nous dispersons. Les antidémocrates lancent la chasse à l’homme ou plus exactement aux spectateurs de meeting de pro NRW. Je me retrouve avec trois autres personnes. Nous nous dépêchons et arrêtons un taxi. Le taxi roule. Arrivé au carrefour suivant, nous voyons des membres de la meute antidémocrate tenter de nous trouver. Ils ne s’aperçoivent pas que nous sommes dans le taxi.

 

Espérons que les autres personnes présentes au sein du public aient pu échapper aux hordes lancées à leurs trousses.

 

La manière dont s'est déroulé le meeting en dit long sur le degré de démocratie en Allemagne. Des partis politiques se retrouvent dans l’impossibilité d’organiser leur campagne électorale dans des conditions décentes.

 

La liberté d’expression n’est pas assurée. Le fait d’exprimer certaines idées en public amène des violences à l’encontre de ceux qui les émettent. Le simple fait d’assister à un meeting public entraine des menaces physiques.

P1050929.JPG

Patrik Brinkmann brandit une bible.

P1050932.JPG
Le stand de pro NRW et une partie des véhicules.
P1050940.JPG
Patrik Brinkmann parle dans le micro.
P1050946.JPG
La contre-manifestation
P1050954.JPG
La manifestation terminée, la police quitte les lieux.
P1050955.JPG
Les antidémocrtates attendent le public de pro NRW
P1050957.JPG
La police accompagne le public de pro NRW
P1050958.JPG
La police protège le public.
P1050962.JPG
La police maintient les contre-manifestants du côté des bâtiments (à droite sur cette photo).
.
Synthèse nationale.jpg

Interview de Patrik Brinkmann :

 

Patrik Brinkmann m’accorde une interview. Je l’interroge en tant que journaliste de Synthèse nationale. L’interview a lieu en allemand. Son garde du corps et un photographe du parti sont présents.

 

Je demande ce qu’il pense de la campagne électorale menée par pro NRW. Il est content. Les dirigeants, cadres et militants ont travaillé de manière très intensive. Il y a eu beaucoup de contacts avec le public, de nombreuses personnes se sont données à connaître.

 

La réaction des opposants a également été énorme. La police a demandé à Patrik Brinkmann de ne plus brandir une bible lors des meetings, car la police n’est pas en mesure d’assurer complètement sa sécurité. Patrik Brinkmann me dit « Vous voyez où on en est arrivé. On ne peut même plus tenir une bible en main en public. Les islamistes veulent imposer la Charia.».

 

Je demande à Patrik Brinkmann si, après les élections de ce dimanche, il va aller à Berlin mener une campagne électorale. Il me dit qu’il en est certain, qu’il ne s’arrêtera plus.

 

Á l’issue de l’interview, Patrik Brinkmann me remet l’original de son discours de ce 8 mai 2010. Ce document se compose de 6 pages. Il me serre la main et me regarde droit dans les yeux.

 

Cela me rappelle la phrase d’une étudiante autrichienne de Carinthie à propos de Joerg Haider : « Je le connais depuis longtemps et ai appris de lui. Il m’a appris comment on donne la main. » (Kleine Zeitung du 12 octobre 2008.)

 

5.JPG
Le discours original de ce 8 mai 2010 que m'a remis Patrik Brinkmann.

Le FPÖ et le BZÖ critiquent l’aide européenne à la Grèce.

new FPO.jpg
BZÖ.jpg

Autriche. Le chef de file du FPÖ, Heinz-Christian Strache, a déclaré que l’aide à la Grèce va profiter aux banques et aux sociétés d’assurance. Il a également dit que cet argent ne sera jamais remboursé par la Grèce.

Le président du BZÖ, Josef Bucher, veut également faire examiner la conformité de ce prêt d’argent à la Grèce à la constitution européenne.

07/05/2010

Le FPÖ et Plataforma per Catalunya signent une convention d'amitié.

 new FPO.jpg

plataforma catalunya.jpg

 

Autriche. Vienne. Le FPÖ a signé ce vendredi une convention d’amitié avec « Plataforma per Catalunya » (Plateforme pour la Catalogne). Les présidents des deux partis, Heinz-Christian Strache et Josep Anglada i Rius, ont tenu une conférence de presse commune.

 

Le Président du FPÖ, Heinz-Christian Strache, a déclaré que les requêtes des deux partis sont très proches : arrêt de l’imigration et engagement en faveur de l’Europe des patries basé sur le principe du fédéralisme. Les deux partis sont également opposés à l’islamisation et favorables à la justice sociale, à une politique de la famille et au droit à l’autodétermination pour tous les peuples d’Europe.

 

Le président de la Plateforme pour la Catalogne s’est dit convaincu que ses idées, avec le temps, se propageront à l’ensemble de l’Espagne. Le président du FPÖ se présentera aux élections pour le Parlement du Land de Vienne en automne et la Plateforme pour la Catalogne aux élections régionales en Catalogne en automne et l’année prochaine aux élections municipales à Vic où le parti est déjà la deuxième force politique.

 

Les deux partis sont opposés à l’entrée de la Turquie au sein de l’Union européenne. Le Secrétaire général du FPÖ Harald Vilimsky a déclaré que Plateforme pour la Catalogne n’a pas d’orientation séparatiste.