05/07/2010
Le PVV monte encore dans les sondages.

Pays-Bas. Le PVV de Geert Wilders a obtenu 24 sièges de député lors des élections du 9 juin 2010. Le dernier sondage Maurice de Hond donne le PVV à 33 sièges. Le PVV serait le premier parti des Pays-Bas.
Selon le même sondage, le Parti libéral de droite VVD qui a obtenu 33 sièges lors des élections n’en obtiendrait plus que 26.
Ces évolutions sont la conséquence de la gestion de la formation du futur gouvernement par les différents partis politiques. Lors de ce processus, le PVV de Geert Wilders a été traité comme un paria.
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Yvan Perrin reste vice-président de l'UDC Suisse.

"Il y a eu des discussions intenses en coulisses", a expliqué le conseiller national neuchâtelois. "Le consensus qui s'est dégagé est qu'il ne faut pas changer de vice-président avant les élections fédérales" de l'automne 2011.
Siège romand sans prétendant
Le temps à disposition pour entrer dans la fonction est trop court, selon Yvan Perrin. En outre, lors de la campagne électorale, "des acteurs auront l'occasion de se mettre en évidence et feront des candidats ou candidates à la vice-présidence acceptables et réjouissants. On aura le temps et plus de choix", a-t-il ajouté.
A ceci s'ajoute le fait qu'aucun Romand ne s'est annoncé pour briguer la vice-présidence du parti suisse depuis l'annonce d'Yvan Perrin de remettre son mandat. Une échéance avait été fixée au premier week-end de juillet et lundi à la mi-journée, aucune candidature n'était parvenue au secrétariat général, a ajouté le Neuchâtelois.

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Fini et l’hypothèse de la séparation consensuelle.

« Fini et l’hypothèse de séparation consensuelle » (Paola di Caro, Corriere della Sera) :
« La semaine qui commence pourrait être décisive pour le centre droit. Les problèmes les plus épineux – affaire Brancher, écoutes téléphoniques, loi de finances rectificative et relations avec Fini – devraient être affrontés, et le président du Conseil s’emploie à trouver des solutions dans les meilleurs délais. L’objectif de Berlusconi est clair : sortir plus fort de cette semaine, même s’il doit pour cela défier le monde entier. Hier, il semble avoir réglé l’affaire Brancher, avec la démission, demandée et obtenue, du nouveau ministre sans portefeuille pour la Décentralisation, et avoir évité ainsi un vote sur la motion de défiance qui aurait tenté les finiens – et provoqué le déraillement de la majorité. Sur le bureau du Cavaliere, il y a au moins trois autres dossiers en attente : manœuvre, écoutes, et, surtout, l’affaire Fini. Ce dernier est sans doute le plus difficile à résoudre. Comme proposé, officiellement, par le chef de groupe F. Cicchitto, on pourrait arriver à une ‘séparation consensuelle’ entre Berlusconi et Fini, prévoyant la naissance d’une sorte de fédération entre deux sujets politiques qui vivraient sous le même toit, celui du centre droit. Reste à comprendre ce que souhaite réellement Berlusconi, qui devrait rencontrer Fini très prochainement. Il semble partagé entre l’adieu ‘consensuel’ à son allié et l’envie de le chasser de la majorité, et de continuer avec les votes qui lui restent, probablement suffisants pour continuer, même si c’est avec grande difficulté. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
16:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
Evropa, maison d'édition proche de Russie Unie.


Russie. La maison d’édition Evropa a été fondée en 2005. L’objectif de cette institution est d’élaborer le corpus doctrinal de Russie Unie, le parti de Vladimir Poutine.
Evropa publie des ouvrages théoriques consacrés au nationalisme, perçu sous l’angle historique, philosophique ou doctrinal, ainsi que des essais sur la pensée de Vladimir Poutine et de Dmitri Medvedev, des analyses d’événements politiques et des ouvrages de méthodologie politique.
Voir le site internet en anglais : http://www.europublish.ru/eng/allbooks/
15:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pologne: le libéral Komorowski élu face au patriote Jaroslaw Kaczynski.

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Tests d’intelligence pour les immigrés : réactions des Republikaner et de pro NRW.



Voici un article de Ibrahima Koné publié sur le site Yabiladi.com consacré à ce sujet :
Dans un entretien publié hier dans le quotidien Bild, Peter Trapp, porte-parole pour les Affaires intérieures de la branche berlinoise de la CDU a affirmé : « nous devons poser des critères qui servent vraiment à notre Etat. Outre une bonne formation et une qualification professionnelles, l'intelligence doit entrer en considération. Je suis pour des tests d'intelligence ». Selon Trapp, « cette question ne doit plus être un tabou ».
En plus de Peter Trapp, Markus Ferber, membre de l’Union chrétienne-sociale (CSU), formation alliée de la CDU en Bavière, s’est aussi prononcé en faveur des tests d’intelligence, en prenant l’exemple canadien. « Le Canada est bien plus avancé en la matière et exige des enfants d'immigrés un quotient intellectuel plus élevé que celui des enfants locaux. Les raisons humanitaires comme le regroupement familial ne peuvent être à la longue le seul critère d'immigration », a-t-il fait valoir dans les colonnes de Bild.
A noter également que même si ces propositions viennent des membres du parti au pouvoir, l’exécutif a quand même réagi lors d’un point de presse. Le porte-parole adjoint du gouvernement allemand, Christoph Steegmans, a indiqué que la proposition émanant de Trapp et Ferber « est aberrante », et « n'est pas non plus empreinte d'une grande intelligence ». Il a ajouté que « prétendre que les immigrants sont stupides est manifestement discriminatoire ».
L’idée de faire passer un test d’intelligence aux nouveaux arrivants en Allemagne, ne fait pas l’unanimité dans la classe politique allemande. Beaucoup de formations politiques allemandes se sont indignées de cette proposition. « Nous serions en droit d'attendre d'un parti chrétien une politique d'immigration beaucoup plus humaine », a notamment estimé un porte-parole des Verts sur les questions d'immigration. Il proposait plutôt au CDU et au CSU de « s'interroger si ce n'était pas mieux d'instaurer un test d'intelligence pour la nomination des candidats » de ces partis.
Les Republikaner sont favorables à de tels tests. Le parti rappelle que les pays d’immigration classique (Canada, Australie,...) ont des exigences vis-à-vis des migrants en matière de qualification, fortune et intelligence.
Le Président de pro NRW Markus Beisicht se dit surpris par cette annonce émanant de mandataires de la CDU et CSU, alors que ces partis ont mené, durant de nombreuses années, une politique allant à l’inverse de ces propositions.
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04/07/2010
Si le scrutin était à la proportionnelle, le BNP aurait 12 députés.

16:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le président du BZÖ au Vorarlberg.

Le BZÖ détient 3 postes de conseillers municipaux au sein des municipalités du Vorarlberg.
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Le BZÖ veut être actif au Burgenland.

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Stefan Petzner victime d’une nouvelle manipulation.

Cette fois-ci, le site News.at publie une photo où l’on voit Stefan Petzner en compagnie d’un jeune homme qui porte sur le bras le tatouage d'une croix allemande et le chiffre 88 à l’intérieur.
Cette photo se trouvait sur un compte Facebook créé au nom de Stefan Petzner par quelqu’un d’autre en vue de lui nuire. Il s’agit d’un photomontage. Stefan Petzner a demandé à Facebook de supprimer les faux comptes portant son nom, ce que Facebook n’a jamais fait. News.at a repris cette photo en la considérant vraie.
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Congrès de pro Deutschland à Berlin autorisé.


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03/07/2010
Un nouveau livre en néerlandais sur Geert Wilders.


19:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
Filip Dewinter mordu par un chien.

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Le président du FPÖ est de retour au sein de la vie nocturne de Vienne.

Heinz-Christian Strache, le chef de file du FPÖ, n’avait plus été vu au sein de la vie nocturne viennoise depuis longtemps. Il se trouvait ce mercredi au Club Passage à Vienne. Il a dansé et a posé aux côtés de visiteurs de la discothèque. HC Strache mène aussi sa campagne, en vue des élections du 10 octobre 2010, dans les discothèques de la capitale autrichienne. Rappelons que HC Strache a rompu depuis peu avec sa copine Sissy Atzlinger.

HC Strache et Sissy Atzlinger lorsqu'ils étaient ensemble.
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02/07/2010
Fini n’a nullement l’intention de quitter un parti dont il est le co-fondateur.


« La solitude du Cavaliere » (Aldo Schiavone, La Repubblica) :
« Les derniers propos de Napolitano sonnent comme un ultime appel à ces forces gouvernementales qui, conduites par Berlusconi, semblent avoir opté pour un grave faux pas politique et institutionnel à la portée imprévisible, dans le but de réaliser, à tout prix, leur objectif. Le Président, comme il se doit, ne préjuge pas de sa décision finale mais met en garde contre une dérive qui pourrait aboutir à une issue législative catastrophique, en relevant les – trop nombreux – ‘points critiques’ du projet de loi actuel sur les écoutes. On peut se demander ce qui a poussé Berlusconi à vouloir faire passer, de force, la loi avant l’été : je crains que la réponse ne se trouve dans la solitude qu’il doit forcément ressentir, de façon toujours plus évidente, ce qui ne fait qu’accroître sa méfiance, son impatience, sa volonté de renverser une situation qui, il le sent, lui échappe. Les bonnes lois ne naissent jamais de l’arrogance d’un seul camp : pour elles, le pouvoir doit laisser la place au consensus et à l’émancipation, et la force du nombre à la raison des choses. En dehors de cela il n’y a que l’ombre du tyran et de sa démagogie. »
FareFuturo est un think tank mis en place par Gianfranco Fini.
« Affrontement Fini-Bondi sur le PdL et la légalité » (Barbara Fiammeri, Il Sole 24 Ore) :
« A l’occasion de la présentation de la nouvelle revue Rivista di politica, dirigée par A. Campi, un des principaux acteurs de FareFuturo, S. Bondi, coordinateur du PdL, a demandé à GF. Fini, qui continue à parler de démocratie à l’intérieur du PdL, de la Ligue et de la défense de la légalité – avec tout ce qui en découle – d’arrêter de toujours donner le ‘contre-chant’ à Berlusconi. Auparavant, Bondi et les deux autres coordinateurs du PdL avaient rencontré les ambassadeurs finiens I. Bocchino et A. Augello pour tenter une médiation, infructueuse, entre majorité et minorité du PdL. Le Cavaliere voudrait écarter Fini, mais ce n’est pas simple. Le président de la Chambre n’a nullement l’intention de quitter un parti dont il est le co-fondateur, mais revendique le droit au désaccord, au ‘contre-chant’ qu’on lui reproche. Le président de la Chambre répète qu’il faut apporter des amendements à la loi sur les écoutes, ajoutant, à propos de légalité : ‘je ne veux pas que dans le PdL et le gouvernement que j’ai soutenu et que je veux continuer de soutenir, il y ait le moindre soupçon que quelqu’un se fait nommer ministre parce qu’il ne veut pas aller au tribunal.’ ‘Citez-moi une démocratie où une personne visée par un mandat d’arrêt reste secrétaire d’Etat. Si poser ces questions, c’est faire du contre-chant, je continuerai à en faire.’ Secoué, Bondi réplique ‘avec ça, on finirait par avoir les communistes au gouvernement. Les distinguos continuels de Fini me peinent.’ »
(Traduction : ambassade de France à Rome)

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Le PVV monte de nouveau dans les sondages.

Pays-Bas. Un sondage réalisé par le bureau d’étude Synovate donne le PVV de Geert Wilders à 27 sièges, soit 3 sièges de plus que lors des dernières élections législatives.
Les difficultés rencontrées lors du processus en vue de former un futur gouvernement sont favorables au PVV.
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Ce site internet est lu de Madrid à Graz.
Les informations publiées sur ce site sont lues dans différents pays d’Europe.









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01/07/2010
Vérone est maintenant belle est sûre.

Le journal belge néerlandophone De Standaard consacre un article à la ville italienne de Vérone. Voici la traduction d'une partie du texte :

La ville italienne de Vérone est maintenant belle et sûre. Son très populaire maire met en pratique les idées politiques de la Ligue du Nord.
Á Vérone, la ville tourne autour de la Piazza Bra, avec ses frontons de couleurs pastels : roses, jaunes et oranges. Les touristes boivent du prosecco en étant assis aux terrasses des cafés. Les habitants font allègrement du vélo devant eux.
Celui qui se baigne dans une fontaine, se promène torse nu ou mange près du monument reçoit un procès-verbal. Il n’y a pas d’Africains qui vendent illégalement des lunettes de soleil, peu de musiciens de rue d’Amérique du Sud. Les prostituées en provenance d’Europe de l’Est ont quitté la ville.
Flavio Tosi, le maire de 41 ans, est membre de la Ligue du Nord. Il gouverne la ville depuis 2007. Il est extrêmement populaire.
La Ligue du Nord détient des ministres au niveau national. Le Piémont et la Vénétie sont dirigés par des gouverneurs de ce parti qui participe également à la gestion de 355 villes.
Dans son bureau de la Piazza Bra, Flavio Tosi dément rendre la vie dure aux étrangers extracommunautaires en déclarant : “les immigrants avec un permis de séjour et un travail son ici les bienvenus.”
Flavio Tosi considère sa politique de “Loi et ordre” comme étant achevée. Il veut maintenant s’attaquer aux problèmes de circulation automobile.
Le pourcentage d’étrangers est de 12% à Vérone, soit le double de la moyenne du pays.
20:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
L’agresseur de Silvio Berlusconi ne sera pas jugé.

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Belgique : l'informateur ignore le Vlaams Belang.

13:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Vlaams Belang organise une conférence de presse à propos de la présidence belge de l'Union européenne.

12:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
La Carinthie forcée de supprimer des avantages accordés aux citoyens.

Le montant de l’allocation de l’aide à l’augmentation du coût du chauffage est diminué ainsi que celui de l’allocation de début d’école.
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30/06/2010
3 membres du FPÖ ont été cooptés au sein de la direction du FPK.


Heinz-Christian Strache, le Président national du FPÖ, n’était pas à Klagenfurt, car il était occupé ailleurs. Il sera coopté lorsqu’il assistera à une prochaine réunion de la présidence du FPK.
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La fidélité de Bossi à Berlusconi n’est pas un chèque en blanc.


« Bossi entre en scène et le bras de fer avec les régions sur la ‘manœuvre’ pourrait cesser : ‘il est possible de faire quelques retouches, je vais tâcher de convaincre Tremonti’. Depuis le Brésil, Berlusconi avait déjà laissé entrevoir une ouverture en faveur des collectivités locales les plus vertueuses. Dans la soirée, l’ouverture se concrétise par un amendement de ‘flexibilité’ : les coupes demeurent – 4 Md€ en 2011 et 4,5 Md€ en 2012 – mais seront conduites selon des critères et des modalités fixées par un accord Etat-régions. La rigueur est respectée et, comme l’a expliqué GF Fini, ‘il s’agit d’un plan de redressement nécessaire pour éviter l’accroissement de la dette publique’. Avec les régions, le jeu porte sur plusieurs tableaux. Aujourd’hui, G. Tremonti rencontrera les sénateurs PdL pour faire le point sur les 11 amendements à l’examen de la commission budget du Sénat. »
Aldo Brancher, un nouveau membre du gouvernement de Silvio Berlusconi qui avait demandé à bénéficier de l'immunité ministérielle afin de surseoir à son procès pour détournement de fonds y a finalement renoncé sous la pression des critiques de la classe politique italienne.
« Affaire Brancher : quatre leçons pour la majorité » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore de mardi) :
« L’affaire Brancher est loin d’être finie et son venin se distille de façon lente mais inexorable dans les rapports politiques au sein de la majorité de centre droit. Depuis le Brésil, Berlusconi a souhaité une ‘grève des lecteurs contre les quotidiens qui se moquent d’eux’. Le fait qu’il soit loin de l’Italie n’aide pas à assainir un climat politique très dégradé, pour plusieurs raisons. 1. Brancher reste à son poste mais le bouclier judiciaire pour le moment ne peut le protéger : tout fait relatif à son dossier ne sera pas juste son affaire personnelle mais bien un fait politico-judiciaire touchant le gouvernement. 2. Berlusconi a choisi de ne pas s’opposer au chef de l’Etat, il ne peut se le permettre en ce moment mais sa frustration est grande ; au-delà de l’affaire Brancher, la fracture avec les régions sur la loi de finances rectificative, par exemple, est grave ; une initiative gouvernementale s’impose mais les délais sont courts. 3. U. Bossi a lancé l’idée – significative même si ce n’est qu’une idée – de transférer au nord le ministère de l’économie : le fédéralisme est loin d’être fait et la Ligue doit tenir son électorat : l’affaire Brancher en est emblématique : Bossi était impliqué dans sa nomination, mais il a dû prendre ses distances car son électorat ne comprenait pas et se faisait soupçonneux. 4. Corollaire du précédent : la relation Bossi-Berlusconi. L’axe du Nord, pivot de la majorité, paraît en perte de vitesse. Il n’y a pas d’autre option possible actuellement mais Bossi a besoin que Berlusconi exerce jusqu’au bout son rôle politique de président du Conseil. L’embrouille Brancher tient aussi, surtout même, aux difficultés politiques au sommet de la majorité – et la fidélité de Bossi à Berlusconi n’est pas un chèque en blanc. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
16:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le centre d'appels du BNP permet de maintenir le contact avec les sympathisants du parti.

Le call-center du BNP récolte £26,330 par mois et coûte £8,000 par mois.

15:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
















