27/12/2009
SYNTHESE NATIONALE N°16 EST SORTI !
Au sommaire :
Quand le rassemblement devient une réalité... l'éditorial de Roland Hélie
La 3ème journée nationale et identitaire du 11 novembre dernier : Une réussite qui va au-delà de nos espérances... reportages.
Agir groupés sur nos idées, par Annick Martin, Secrétaire générale du MNR
Dossier : Débat sur l'identité, N'EST PAS GAULOIS QUI VEUT ! Contributions de Robert Spieler, Frédéric Pichon, Eric Lhuillier et Pierre Vial.
Heinz Christian Strache, la deuxième marche sur Vienne a commencé par Lionel Baland
Le temps d'Ordre nouveau, 40 ans après... par Philippe Pinson
Quand Saint-Loup visait le Prix Goncourt... par Francis Bergeron
Des articles et les rubriques de Jean-Claude Rolinat, Patrick Parment, Arnaud Raffard de Brienne, Philippe Randa, Vincent Vallois, Patrick Gofman, Pieter Kerstens, Nicolas Tandler, Gunther Palikao...
20:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
FPÖ-FPK : photos supplémentaires.





15:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
26/12/2009
FPÖ : rencontre de la nouvelle année.

17:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le "Neue Freie Zeitung" présente la collaboration entre le FPÖ et l'ancien BZÖ de Carinthie.



17:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
25/12/2009
Militants du BNP dehors par -4°.


03:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
23/12/2009
Filip Dewinter au Cameroun.


Une déléguation du Vlaams Belang conduite par Filip Dewinter s’est rendue au Cameroun à l’invitation de l’ALCEC (Association de Lutte Contre L’Émigration Clandestine).
Les Députés du Vlaams Belang Filip Dewinter et Jan Penris ont été reçus par le Ministre Hamadjoda Adjoudi, également secrétaire général du parti de gouvernement RDPC, par le Ministre Jean Foudman Akam, par le Vice-recteur de l’université de Yaoude J.E. Pondi, ainsi qu'au Parlement par le parlementaire du RDPC Emah Etoundi Vincent.
Les deux députés flamands ont également visité divers projets et écoles développés en vue de combattre l’immigration clandestine en direction de l’Europe.
"Les illégaux sont les vaches à lait des pays africains."
Durant les entretiens, Filip Dewinter a déclaré que la Belgique n’est pas un pays de cocagne. En 2008, 640 Africains sont morts au cours de leur voyage vers l’Europe. Filip Dewinter a également dit qu’il est absurde qu’il y ai plus de médecins camerounais qui travaillent en Europe qu’au Cameroun. Pendant que les médecins camerounais gagnent beaucoup d’argent en Europe, des enfants meurent au Cameroun faute de soins.
Filip Dewinter blâme la position d’un certain nombre de pays d’Afrique et d’Afrique du Nord qui utilisent leurs clandestins et compatriotes comme vache à lait pour leur propre économie.
Pour un pays comme le Maroc, les transferts des Marocains résidant en Europe, vers le Maroc, sont de 5 milliards d’euros, la deuxième plus importante source de revenus du pays.
L’argent de l’aide au développement ne doit pas être seulement attribué en fonction du fait de créer des conditions pour que les personnes veuillent vivre dans leur pays d’origine, mais également en fonction de la volonté de ces pays d'accepter de récupérer leurs citoyens devenus clandestins en Europe.
"L’Europe aux Européens. L’Afrique aux Africains."
Le Vlaams Belang et l’ALCEC mèneront, au cours des prochains mois, une campagne de sensibilisation commune au sein d’un certain nombre de pays d’Afrique centrale afin de convaincre un maximum de jeunes de construire leur avenir en Afrique plutôt que de devenir des clandestins en Europe.
Des affiches, tracts et tee-shirts, portant le slogan en français et anglais : “l’immigration illégale tue”, vont être distribués au sein de quatre pays d’Afrique.
18:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
BZÖ : la contre-attaque.

L’ultimatum lancé par le président national du BZÖ, Josef Bucher, au président du FPK, Uwe Scheuch, se termine aujourd’hui.
Entre-temps, le chef de file du FPK, Uwe Scheuch, a fixé le congrès du parti au 16 janvier 2010.
Pour le BZÖ national, ce n’est pas assez. Pour organiser un congrès extraordinaire du parti en Carinthie, le 1/3 des signatures de délégués est indispensable. Les signatures sont récoltées via Internet ou via le courrier postal. Ce mercredi, tous les délégués du BZÖ de Carinthie reçoivent une lettre du BZÖ national. Josef Bucher veut que chacun des 6000 membres du BZÖ de Carinthie puisse se prononcer lors d’un congrès de manière secrète sur le fait que le BZÖ de Carinthie reste le BZÖ ou rejoint le FPK-FPÖ. Lors de ce vote des 6000 membres du parti de Carinthie, le BZÖ national doit également disposer de représentants au sein de la commission de dépouillement et de comptage des votes.
Stefan Petzner (fils spirituel de Joerg Haider, resté au BZÖ) craint que le congrès, tel qu’il est organisé par le FPK le 16 janvier 2010, ne soit pas démocratique. Si tel était le cas, Stefan Petzner estime que Uwe Scheuch courrait le risque de ne plus se mouvoir au sein du cadre juridique.
15:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
22/12/2009
Sondages : après son agression, Silvio Berlusconi a récupéré 7 points.


« Sondages : après son agression, le président du Conseil a récupéré 7 points » (Renato Mannheimer, Corriere de dimanche) : « L’agression a eu d’importantes conséquences au plan politique. D’un côté, on a assisté à une esacalade verbale ; de l’autre, certains y ont vu un signal d’alarme susceptible de pousser les acteurs politiques à faire baisser d’un ton l’affrontement et à œuvrer concrètement aux réformes utiles au pays. Cet épisode a radicalisé les opinions : environ 1 Italien sur 4 (20-25%) approuve le geste de Tartaglia, car voyant en Berlusconi un danger pour l’Italie ; d’un autre côté, sa popularité est passée de 48,6% en novembre à 55,9% aujourd’hui, surtout auprès des plus jeunes et des catholiques pratiquants ; elle atteint 95% parmi les électeurs du PdL et 77% chez ceux de la Ligue ; dans l’opposition, les opinions défavorables dépassent 80%, bien qu’on enregistre aussi une hausse des opinions positives – 17% des électeurs du PD. Mais l’élément le plus intéressant a trait à la popularité de Berlusconi parmi les indécis : elle atteint 58% ; c’est une donnée très prometteuse en vue des régionales de mars. A une partie de l’opinion toujours plus favorable à Berlusconi, s’oppose une hostilité toujours plus forte. C’est un effet de la personnalisation de la politique et du recul du rôle de médiation des partis. Il faudrait que les forces politiques unissent dans une certaine mesure leurs efforts pour revenir à un climat de débat et de dialogue. »
« Dîner à Arcore. Bossi ne lâche rien sur le ministère de l’agriculture » (Marco Cremonesi, Corriere della Sera de dimanche) : « Un dîner chez Silvio Berlusconi a rassemblé Umberto Bossi, Giulio Tremonti, Roberto Calderoli et Roberto Cota, président du groupe Ligue à la Chambre. Comme Giulio Tremonti l’avait annoncé au quotidien Il Giornale, on a parlé ‘surtout d’amitié’. S’agissant de politique, Bossi est clair : si le PdL veut récupérer le ministère de l’agriculture à l’issue des élections régionales, en cas de victoire de Luca Zaia en Vénétie, il faudra aussi que la Ligue ait remporté la région Piémont. Message implicite : que le PdL impose la ligne aux régions réticentes, ou bien la Ligue conservera son portefeuille ministériel. Chez Bossi, on se défend de tout calcul mesquin sur les postes, indiquant simplement : ‘il faut être sûr que tout le monde court dans la même direction.’ »
« Technologie et idées pour le nucléaire" (Frederico Rendina, Il Sole de samedi) : « Pour la première phase du retour italien à l’atome, il y a 4 groupes nucléaires de 1600 MW chacun à construire, avec la technologie française de 3e génération EPR. Cela se fera sous l’égide du méga-consortium mis en place par EDF et ENEL, laquelle pilotera la composition et la gestion des sociétés chargées de réaliser chacune des 4 installations, à grouper en 2 ou 3 centrales. Objectif : ‘1ère pierre’ d’ici 2013, et démarrage de la première d’ici 10 ans, promet le gouvernement. Chiffre d’affaires global : entre 16 et 18 Md€, soit 4 à 4,5 par réacteur. Chaque nouvelle centrale offrira 600 emplois de technicien spécialisé, 2500 d’ouvriers du bâtiment puis, après la construction, 600 emplois pour une durée de vie opérationnelle de 60 ans. Et il ne s’agit là que de 50% de notre programme nucléaire, qui vise un objectif de 13 000 MW, soit 25% de nos besoins en électricité dans les 20 ans. Sans oublier les marchés à l’exportation : 53 centrales à construire dans 15 pays, pour une puissance de 50 000 MW. »
(Traductions : ambassade de France à Rome.)
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Carinthie : débat sur le putsch.



Ce lundi, radio Carinthie, branche carinthienne de la radio publique autrichienne, organisait un débat sur la scission du BZÖ de Carinthie.

Stefan Petzner, fils spirituel de Joerg Haider, BZÖ :
« L’ultimatum court jusque mercredi. Uwe Scheuch, le chef de file du FPK, doit convoquer un congrès extraordinaire du parti afin de décider si le BZÖ de Carinthie (devenu FPK) rejoint le FPÖ.»
Une fois le délai passé, si le congrès extraordinaire n’a pas été convoqué par Uwe Scheuch, le BZÖ lancera une campagne de récolte de signatures afin d’organiser ce congrès.
Pour Stefan Petzner, Uwe Scheuch est un traître qui négociait secrètement avec le FPÖ depuis le mois de mars.

Uwe Scheuch a finalement admis qu’un congrès extraordinaire du parti de Carinthie soit organisé en janvier 2010.
Ce que de nombreux auditeurs ont voulu savoir est « pourquoi ? » il y a eu la scission.
Uwe Scheuch a répondu clairement : il a voulu sauver le parti de Carinthie du bateau BZÖ qui est en train de couler. « Les résultats électoraux ont montré que le BZÖ ne perce pas. Il m’est apparu important de ne pas laisser le groupe de Carinthie couler avec le bateau, mais de le mener vers la sécurité au sein du FPÖ. »

Le chef du FPÖ de Carinthie Harald Jannach : « Lorsque j’entends les discussions actuelles, je suis renforcé dans le fait que nous poursuivions notre route en tant que FPÖ de Carinthie. »
Conclusion : il y a, en ce moment, trois partis nationalistes en Carinthie : FPK, BZÖ et FPÖ.
14:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
21/12/2009
BNP : campagne pour le retrait des troupes du Moyen-Orient.


23:17 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Député national Sigisbert Dolinschek revient au BZÖ.


L’information que j’ai mise en ligne hier vient d’être confirmée. Un député national du BZÖ de Carinthie qui a suivi la scission vers le FPK revient au BZÖ. Son nom est Sigisbert Dolinschek. Une conférence de presse a eu lieu ce matin au cours de laquelle il a annoncé son retour au BZÖ. Il a expliqué que le choix entre sa solidarité vis-à-vis du groupe de Carinthie qui est devenu le FPK et le BZÖ est difficile.
Sigisbert Dolinschek se prononce en faveur d’un rapprochement étroit avec le FPÖ mais veut que ce soit l’ensemble du BZÖ qui se rapproche du FPÖ.
Le chef du BZÖ Josef Bucher a exprimé sa grande joie. Il a déclaré que « la danse de la mort est terminée autour du BZÖ» et que le fait que Sigisbert Dolinschek soit au BZÖ « est un fort signal de vie.»
Josef Bucher est également favorable a une étroite coopération avec le FPÖ, mais refuse une réunification des deux partis.
L’ultimatum adressé à Uwe Scheuch, le chef de file du FPK (ancien BZÖ de Carinthie), afin qu’il organise un congrès extraordinaire du BZÖ de Carinthie est toujours en cours. Il reste 48 heures.
Parmi les 7 députés nationaux de Carinthie du BZÖ, 3 sont au FPK et 4 restent au BZÖ. (Il s'agit des députés de Carinthie au Parlement national à Vienne, à ne pas confondre avec les députés au Parlement du Land de Carinthie).
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Rien compris, rien appris!

Voici un communiqué de Silvia Bär, Secrétaire générale adjointe de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% des voix :
La révision totale de la loi sur la nationalité mise en consultation la semaine dernière confirme un état de fait regrettable: les responsables de la Berne fédérale n'ont compris ni les signes du temps, ni les inquiétudes des citoyennes et des citoyens, ni les expressions claires de la volonté du peuple suisse. Une naturalisation doit être l'aboutissement d'une intégration réussie et non pas l'inverse! Il est donc nécessaire de fixer des critères sévères pour l'obtention de la citoyenneté suisse.
Nous avons dû lire et entendre des douzaines d'interprétations du oui du peuple suisse à l'initiative sur les minarets. Les journalistes et la classe politique de Suisse et de l'étranger se sont surpassés en analyses et prises de position. En revanche, il a été très peu question d'un point essentiel - c'est-à-dire que cette manifestation de la volonté populaire doit être prise au sérieux. Il est grand temps de tenir compte des soucis et des exigences justifiées du peuple suisse quant à la validité et au respect de nos règles.
La politologue que je suis sait très bien qu'une décision prise par la majorité du peuple n'est pas forcément juste. Mais il est évident aussi que la démocratie directe est le meilleur moyen d'éviter une concentration excessive du pouvoir. Car il suffit d'observer la politique internationale passée et actuelle pour constater que lesdites élites politiques, guidées par leurs intérêts particuliers et leur goût du pouvoir, se sont trompés bien plus souvent que le peuple. Les intérêts du pays et du peuple ne constituent pas toujours, beaucoup s'en faut, la préoccupation première des politiques - à l'inverse des décisions du peuple qui visent l'intérêt général et qui expriment les soucis des femmes et des hommes.
On se frotte les yeux d'incrédulité à la lecture des propositions principales mises en consultation par Conseil fédéral concernant la révision totale de la loi sur la nationalité. Par exemple:
- abaissement de la durée de séjour en Suisse (comme condition à la naturalisation) de 12 à 8 ans dans l'idée d'une incitation à une rapide intégration;
- harmonisation des durées de séjour cantonales et communales.
Une fois de plus, le passeport suisse est bradé, une fois de plus le fédéralisme suisse est foulé au pied. De toute évidence, le DFJP n'a rien compris et rien appris. Depuis que des naturalisations démocratiques ne sont plus possibles, c'est-à-dire depuis le refus populaire de l'initiative UDC sur les naturalisations, l'unique voie envisageable est de demander et d'obtenir un durcissement des critères auxquelles doivent répondre les candidats à la citoyenneté suisse:
- l'UDC exige que les naturalisés puissent être déchus de leur nationalité suisse s'ils ont violé gravement et de manière répétée notre régime légal. S'ils sont condamnés à de longues peines privatives de liberté, la déchéance de la nationalité suisse doit intervenir obligatoirement.
- l'UDC invite les autorités de naturalisation à examiner attentivement chaque demandeur afin d'éviter la naturalisation d'éléments criminels et récalcitrants. Cet examen doit aussi porter sur les délits commis pendant la jeunesse et sur le comportement à l'école.
- l'UDC exige que le candidat à la citoyenneté suisse comprenne et parle sans difficulté la langue de la commune de naturalisation.
- l'UDC exige que la connaissance écrite de la langue officielle concernée soit vérifiée de sorte que le candidat réponde au moins à des exigences minimales en termes d'écriture et de lecture.
- l'UDC exige que les prestations sociales ne soient plus prises en compte lors de l'appréciation de la base existentielle d'un candidat. Les rentes AI ne doivent en règle pas être reconnues comme base existentielle.
- l'UDC exige que seuls des étrangers ayant régulièrement payé leurs impôts durant les années précédentes et contre lesquels aucun acte de défaut de bien n'a été établi puissent être naturalisés.
- l'UDC exige que seules des familles entières soient naturalisées et uniquement à condition que chaque membre de la famille remplisse les conditions de la naturalisation. Cette règle tient compte du principe de l'unité de la famille selon le Code civil et encourage l'intégration de toute la famille.
- l'UDC exige que les candidats à la naturalisation fassent à l'avenir une déclaration formelle de loyauté à la Constitution fédérale et à notre régime légal. Ces personnes attestent ainsi leur volonté d'accepter les valeurs fondamentales de notre pays et de s'y conformer.
13:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
20/12/2009
Information exclusive : un député va annoncer demain son retour au BZÖ.


Information exclusive :
J’apprends d’un contact, qui fait partie de la direction du BZÖ en Autriche, qu’un député national du BZÖ qui est passé au FPK lors du putsch (il y a 4 députés nationaux de Carinthie qui sont passés au FPK) devrait annoncer demain sont retour au BZÖ.
18:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le FPÖ-FPK pourrait présenter une candidate lors des prochaines élections présidentielles en Autriche.

Barbara Rosenkranz, la présidente du FPÖ-FPK de Basse-Autriche, pourrait être la candidate proposée par le FPÖ-FPK. C’est ce que rapporte le « Kurier » dans son édition de ce dimanche.
Les élections présidentielles autrichiennes auront lieu le 25 avril 2010.
Les sociaux-démocrates devraient présenter le président actuel, Heinz Fischer (SPÖ – Parti social-démocrate), en tant que candidat à sa propre succession.
Pour que le FPÖ-FPK présente un candidat, il faut que les conservateurs de l’ÖVP n’en présentent pas. Un indice de plus qui peut laisser penser que des tractations souterraines entre les conservateurs et les nationalistes (ÖVP et FPÖ-FPK) sont en cours.
17:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
BZÖ : le président veut forcer l'organisation d'un congrès spécial du BZÖ de Carinthie.


Josef Bucher veut que le BZÖ poursuive sa route en tant que Parti libéral, ce que refuse le BZÖ de Carinthie, devenu FPK.
Parmi les personnes qui restent au BZÖ se trouvent Herbert Scheibner, Ewald Stadler, Peter Westenthaler, Ursula Haubner und Gerald Grosz.
14:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
19/12/2009
Le FPÖ + FPK donné à 23 % dans un sondage.


21:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Ultimatum du Président du BZÖ national au FPK.

Le président du BZÖ national, Joseph Bucher, a posé ce samedi, lors d’une conférence de presse à Klagenfurt, un ultimatum au FPK, ancien BZÖ de Carinthie : « le congrès du parti du Land doit avoir lieu dans les 96 heures ». Pourtant, les statuts du BZÖ prévoient qu’un congrès extraordinaire du BZÖ doit être convoqué par 1/3 des délégués.
Uwe Scheuch, qui dirige le FPK, déclare « Il n’en est absolument pas question. »
Joseph Bucher prétend qu’Uwe Scheuch s’est exclu du parti en faisant sécession.
16:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
18/12/2009
Chronique du Putsch au BZÖ.


Le BZÖ est issu d’une scission du FPÖ réalisée par Joerg Haider en 2005.
- la tendance de la direction nationale
- la tendance de Carinthie
- la tendance de Styrie
La direction nationale a donné un tournant libéral au parti. La tendance de Carinthie qui veut rester nationaliste quitte le BZÖ, devient le FPK, et s’allie au FPÖ.


« J’amène avec moi un gouverneur, 3 ministres (du gouvernement de Carinthie), 18 députés du Land, 29 maires, dont celui de la capitale de la Carinthie Klagenfurt, et plus de 600 mandataires municipaux.»

Josef Bucher, président national du BZÖ : « c’était un putsch glacial.»

Gerald Grosz, chef du BZÖ de Styrie : « vous devez prendre garde à ne pas encourir les foudres des morts (c'est-à-dire Joerg Haider).»

Stefan Petzner, secrétaire général du BZÖ, et fils spirituel de Joerg Haider : « j’ai Joerg Haider dans la tête. »

« On ne peut que s’en émerveiller ». Déclaration anonyme à propos du sauvetage de l'Hypo Group Alpe Adria,grande banque de Carinthie qui a sombré suite à une mauvaise gestion.

Uwe Scheuch : «Je conduis l’héritage de Joerg Haider dans le port sûr du FPÖ. Je n’ai pas trahi l’héritage mais l’ai mené à une bonne fin.»


Gerhard Dörfler, gouverneur de Carinthie : « ensemble, nous visons au moins la deuxième place. »

Ursula Haubner, sœur de Joerg Haider : « C’est important que nous poursuivions la voie de Joerg Haider, le BZÖ de Carinthie s’est vendu dans un deal avec l’ÖVP (Parti conservateur), la trahison n’a jamais été la politique de Joerg Haider. »
19:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Berlusconi qui sort de l’hôpital est un autre homme.


« Berlusconi réitère son appel au PD et à l’UdC » (Ugo Magri, La Stampa) : « ‘Si le dialogue démarre, ma douleur n’aura pas été inutile’. Le Berlusconi qui sort de l’hôpital est un autre homme, que son agression a fait réfléchir et qui envoie un message à son peuple où pour la première fois il évite d’attaquer ses adversaires, les traitant même avec déférence. Evoquant ceux qu’il a ‘sentis proches’, Bersani et Casini, il en profite pour leur faire une offre : ‘s’ils arrivent à prendre leurs distances par rapport à quelques-uns qui fomentent la violence, alors pourra finalement s’ouvrir une nouvelle ère de dialogue’. Qu’ils me débarrassent de Di Pietro et me protègent des magistrats et je les récompense en faisant de grandes réformes avec eux… Mais entre les mots et les actes, il y a les régionales dans trois mois et il n’y a pas pire moment pour tenter un ‘deal’ avec l’opposition. D’autant que Berlusconi veut toujours transformer les régionales en référendum sur lui-même. ‘Il se contenterait, dit-on, de 5-6 régions, sans humilier le PD’, avant de reprendre aussitôt le dialogue avec Bersani, qui lui est sympathique. C’est bien entendu sur la question de la justice que tout va se jouer. Gasparri est réaliste : ‘nous en sommes aux discours généraux ; avant de dialoguer, il faut mieux définir nos propositions ; et n’oublions pas deux rendez-vous : le 12 janvier, le ‘procès court’ arrive au Sénat et le 25 à la Chambre l’‘empêchement légitime’ ; on verra bien ce qu’il en est.’ »
« Bossi choisit Zaia mais ne veut pas renoncer pas à son ministère » (Giovanni Cerruti, La Stampa) : « GC Galan s’en va, L. Zaia arrive, selon une décision de Berlusconi et Bossi, ou plutôt une demande de Bossi que Berlusconi n’avait pu lui refuser. Mais Bossi gagne du temps, car Zaia est ministre de l’Agriculture : si Bossi annonçait tout de suite sa candidature, on ferait la queue pour son portefeuille. Bondi, La Russa et Verdini, les triumvirs du PdL, appuyés par Fini, ont déjà annoncé que si Zaia s’en allait, son ministère devrait revenir au PdL. Or la Ligue n’entend céder l’Agriculture qu’en cas de victoire couplée, en Vénétie et dans le Piémont – région plus difficile. Pour avoir le ministère de l’Agriculture, le PdL devra aider la Ligue à conquérir le Piémont. Galan, lui, ne veut pas s’en aller. Quand Berlusconi l’a appelé pour lui annoncer la décision, Galan aurait violemment raccroché et disparu pour ruminer sa déception. Quant à Zaia, il se tait : ‘c’est à Bossi de parler’. Mais Bossi a déjà parlé : ou un doublé Zaia-Cota ou je ne lâche pas le ministère de l’Agriculture. »
(Traductions : ambassade de France à Rome.)
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Belgique : appel à la prière par haut-parleurs depuis une mosquée.

La semaine dernière, la mosquée Fatih à Beringen, soutenue dans ce cas par le Centre contre le racisme et pour l’égalité des chances, a demandé que des haut-parleurs soient placés sur les minarets de la mosquée, afin de diffuser les appels à la prière. Au sein d’une autre municipalité de la région, ces pratiques existes déja. C'est un indice de plus de l’islamisation rampante. Le Vlaams Belang s’oppose à cette demande.
15:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
Suite au référendum sur les minarets, Christoph Blocher revient au devant de la scène.

Voici une émission où Christoph Blocher est l'invité : http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=500000&bcid...
00:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le BNP utilise Twitter et Facebook.

Le président du BNP Nick Griffin place des textes sur les réseaux sociaux Twitter et Facebook. Il utilise ces deux réseaux sociaux très populaires afin d’augmenter la présence du parti au sein du paysage internet.
00:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
17/12/2009
FPÖ - BZÖ dans le Land de Vienne.


Le FPÖ de Vienne est opposé à une collaboration avec le BZÖ, c’est ce qu'a déclaré le membre sans attributions du gouvernement du Land de Vienne Johann Herzog.
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Carinthie : chaos dans les milieux patriotiques.

En réaction au départ du BZÖ de Carinthie, le chef national du BZÖ reste au BZÖ. Il décide de fonder un nouveau BZÖ en Carinthie. Les Députés nationaux de Carinthie Petzner et Markowitz restent au BZÖ. Il y a par conséquent seulement 4 députés nationaux de Carinthie qui partent. Cela empêche le FPK (nouvelle dénomination pour l’ancien BZÖ de Carinthie) de former un groupe au sein du Parlement national, ou il faut 5 députés.
Le BZÖ national voulant créer un nouveau BZÖ de Carinthie, pour remplacer celui qui est devenu le FPK et s’est allié au niveau national au FPÖ, l’ancien FPÖ de Carinthie refuse maintenant de se dissoudre.
17:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Autriche : réaction du président national du BZÖ.


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Aujourd’hui, le président du BZÖ national, Josef Bucher, déclare qu’un poste de ministre dans le gouvernement national a été promis au BZÖ de Carinthie pour qu’il s’allie au FPÖ. Il prétend que s’il avait voulu participer à la collaboration avec le FPÖ, il pouvait également obtenir un poste dans le futur gouvernement. Il prétend que ces évolutions sont dues à des manœuvres en vue de la formation d’un nouveau gouvernement autrichien réunissant les conservateurs de l’ÖVP et les nationalistes du FPÖ.
Les conservateurs de l'ÖVP ont démenti.
Rappelons que les sociaux-démocrates (SPÖ) et les conservateurs de l’ÖVP gouvernent l’Autriche.
15:44 | Lien permanent | Commentaires (0)