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28/08/2010

"C’est ton tour. Joue !"

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Voici une affiche du Jobbik, le parti nationaliste hongrois.

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« La Hongrie aux Hongrois! C’est ton tour. Joue ! »

Loveparade : manifestation de pro NRW à Duisburg afin d’exiger la démission du maire.

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Allemagne. Pro NRW a organisé, ce samedi 28 août 2010, une manifestation à Duisburg afin de réclamer la démission du Maire Adolf Sauerland, suite à la catastrophe survenue lors de la Loveparade au cours de laquelle 21 personnes sont décédées.

La manifestation s’est déroulée entre 11h30 et 13h. Une contre-manifestation a eu lieu. Lors des dernières élections pour le Parlement du Land de Rhénanie du nord-Westphalie, pro NRW a obtenu environ 5% des voix à Duisburg.

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"Sauerland (le maire de Duisburg) doit partir."

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"Plus jamais Adolf (Sauerland)"

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Le Secrétaire général Markus Wiener met fin à la manifestation à 13h devant la mairie.

Voir la vidéo en allemand : http://www.youtube.com/watch?v=XGYFPQBjrXI&feature=pl...

Vidéo des "Démocrates suédois".

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Voici une vidéo des "Démocrates suédois" en vue des élections législatives du 19 septembre 2010 :

 

ou :

http://www.youtube.com/watch?v=pumIT31qqQQ&feature=pl...

En politique, tout est une question de priorité. La vidéo porte sur la question de savoir si les électeurs préfèrent voir l'Etat épargner de l'argent pour les pensions ou consacrer cet argent à l'immigration.

27/08/2010

Hongrie : un bureau du Jobbik vandalisé.

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Un bureau du Jobbik, le parti nationaliste hongrois qui est le troisième parti au sein du Parlement, a été saccagé. Le bâtiment est situé dans la région du lac Balaton. Un sigle communiste a été peint sur la façade de l'immeuble.

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Belgique : "Bienvenue au pays des syndicats".

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Les éditions Egmont, proches du Vlaams Belang, publient un livre en néerlandais intitulé : « Welkom in Vakbondistan » (144 pages – 12,5 euros) de Rob Verreycken. Préface de Marie-Rose Morel.

« Welkom in Vakbondistan » (Bienvenue au pays des syndicats) nous décrit la situation des syndicats en Belgique. Ceux-ci doivent normalement défendre les intérêts des travailleurs. En Belgique, les trois partis du système (socialiste, démocrate-chrétien et libéral) ont organisé un monopole. Il existe trois syndicats qui correspondent à ces trois partis politiques.

L’auteur décrit les méthodes de ces organisations syndicales : pratiques illégales, abus de pouvoir, intrusion dans les décisions des autorités, détournement d’argent, établissement d’empires économiques qui influencent la politique.

Rob Verreycken affirme que les syndicats ont pour objectif de maintenir l’unité de la Belgique, parce que c’est conforme à leurs intérêts et privilèges.

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L'UDC Suisse dispose déja de cinq personnes compétentes pour la fonction de conseiller fédéral.

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L'UDC Suisse va tenter d'obtenir le deuxième poste de ministre (conseiller fédéral) qui lui revient. Voici un communiqué du premier parti de Suisse, 29% des voix :

Réunie en séance d'aujourd'hui, la direction de l'UDC Suisse a fait le point des préparatifs en vue des élections complémentaires au Conseil fédéral du 22 septembre 2010. A l'heure actuelle, le parti dispose déjà de cinq personnalités compétentes et aptes à assumer la fonction de conseiller fédéral. Les partis cantonaux et les membres du groupe parlementaire ont encore jusqu'au 31 août 2010 pour proposer des candidats. La direction s'entretiendra avec les personnalités proposées. Elle fera ensuite une proposition au comité du groupe parlementaire et du groupe qui siégera les 3 et 4 septembre. A l'heure actuelle les noms des personnes intéressées ne sont pas communiqués.

26/08/2010

Geert Wilders écrit sur Twitter que le président du Parti chrétien-démocrate est « un énorme casse-pied ».

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Pays-Bas. Le CDA, le parti chrétien-démocrate, est sous tension. Il négocie avec le Parti libéral (VVD) la formation d’un gouvernement soutenu de l’extérieur par le PVV de Geert Wilders.

Le président du CDA a déclaré que le futur gouvernement doit réunir tous les habitants du pays et ne doit pas mettre de côté une partie de la population (les musulmans). Il a dit que le PVV doit accepter cela en temps que parti.

Geert Wilders a réagit sur Twitter :

« Est-ce que le Président du CDA Blikker ne peut pas partir en vacances ou faire quelque chose du genre ? Quel énorme casse-pied. Et pour toute clarté, le PVV n’est absolument obligé de rien du tout. »

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Berlusconi convainc Bossi : pas d’élections.

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« Après le sommet à la villa Campari, nouvelle majorité à trois (avec Tremonti) : pas d’élections et pas d’UdC » (Peppino Caldarola, Il Riformista) :
« Le ‘mini-gouvernement’ Berlusconi est né. Le sommet Bossi-Berlusconi, au bord du lac Majeur, a servi à décider qu’ils ne pouvaient pas décider. Le chef léghiste a quitté la réunion le premier en annonçant qu’il n’y aurait ni élections ni extension de la majorité à l’UdC. Ils vont tenter de vivoter, en allant chercher au Parlement les votes des finiens repentis et de non-inscrits. Curieuse fin pour l’été offensif du Cavaliere : de Bossi, il n’obtient que la renonciation à la dissolution – drôle de succès, s’agissant d’une prérogative du chef de l’Etat ; en échange, il renonce à la main tendue à Casini. Mais en un mois le paysage a bien changé. Berlusconi voulait frapper fort : exit les finiens, un PdL changé en caserne, le dialogue avec l’UdC, une Ligue aux prétentions rabaissées, la menace d’élections. Désormais, il est face à un groupe de transfuges étoffé et radicalisé, sans pouvoir s’allier aux centristes, avec une Ligue encore plus impérieuse, sans compter la surface prise par Tremonti. Pour faire que Bossi renonce aux élections, Berlusconi a évoqué les mauvais sondages. Bossi aura les décrets sur le fédéralisme et aidera le Cavaliere sur la justice. Son veto au pacte avec Casini n’est pas que le refus de s’allier à un adversaire, mais surtout la volonté de coincer Berlusconi, avec la Ligue pour seul interlocuteur sur la stratégie. Berlusconi a devant lui son pire automne politique : sur chaque texte, il devra aller chercher les voix au Parlement, juguler l’absentéisme… Lui, le pourfendeur du petit théâtre politique, va en devenir l’acteur principal. Fini peut respirer et réorganiser ses forces ; la vie du gouvernement dépendra de ses troupes. L’opposition aussi est soulagée, mais quid de ses projets ? La longue agonie du gouvernement pourrait coûter cher au pays. »

 « Les régions du Sud effraient Silvio – en Sicile, dans les Pouilles et en Campanie, Fini pourrait atteindre 8% » (Ugo Magri, La Stampa) :
« ‘Qui provoque les élections finit en général par les perdre’, répète Berlusconi, en rappelant le cas du général De Gaulle ; ‘les gens nous diraient : vous avez 70 voix de majorité, cessez de vous bagarrer et pensez plutôt à gouverner…’ Mais d’autres motis expliquent le ‘coup de frein’ du Cavaliere : Sicile, Pouilles et Campanie, trois régions où, si l’on votait demain, le parti de Fini pourrait dépasser les 8% au Sénat, compliquant pour le PdL l’obtention des primes majoritaires. Berlusconi a amené avec lui D. Verdini, l’homme des chiffres, qui a décortiqué séries historiques et projections, de façon semble-t-il assez convaincante. Bossi a fini par reconnaître qu’en effet, le centre droit risquerait de perdre la majorité au Sénat en cas d’élections. Celles-ci écartées, Bossi est face à une alternative : ou on avance avec Fini, ou on prend Casini. Bossi maintient son refus de l’UdC ? Très bien, répond, perfide, le Cavaliere, ‘alors convainquez Fini et ses amis d’accepter les 5 points du programme, y compris sur la justice.’ Ghedini, l’homme des sujets judiciaires, présent, a expliqué ce que la Ligue devait obtenir d’une médiation aves les ‘rebelles’ du PdL : procès court et textes-relais couvrant les enquêtes sur Berlusconi, et sans se faire avoir. On ne sait encore ni quand ni comment les émissaires de Bossi comptent procéder avec les finiens pour trouver une issue. Mais Silvio leur a refilé le bébé, en se réservant l’image de l’homme d’Etat soucieux du bien commun et du reste. Si par malheur la négociation devait échouer, il ne resterait plus que la carte d’un accord avec l’UdC, et Bossi serait contraint de retirer son veto. Casini, lui, pourrait bien devoir faire des concessions sur le fédéralisme. Les vrais jeux de la législature n’ont pas encore commencé. »

 « Bocchino : c’est bien, il était absurde de remplacer Fini par Casini. » (Il Sole 24 ore) :
« Les finiens semblent pousser un soupir de soulagement à l’annonce selon laquelle le recours aux urnes, défendu avec force par la Ligue ces derniers jours, s’éloigne sine die. Comme d’habitude, Italo Bocchino donne la ligne : ‘il se confirme que les élections anticipées étaient une galéjade estivale ; nous faisons nôtres les propos de Bossi, il n’y a pas de raison d’aller à des élections anticipées ; après la constitution des groupes Futur et Liberté, la majorité est restée inchangée ; nous faisons partie du centre droit et nous voterons toujours la confiance face à tous les textes qui font partie du programme du gouvernement’. Pour les textes qui n’en font pas partie, comme le procès court, c’est une autre histoire, mais l’évaluation se fera sans a priori, au prix d’un examen de fond : ‘nous ne sommes pas disposés à accepter des ‘c’est à prendre ou à laisser’, mais nous sommes prêts à la discussion et au débat.’ Des propos qui reflètent fidèlement la pensée de Fini, qui évite toute déclaration officielle durant ces derniers jours de vacances. La prudence prévaut, et la kermesse de Mirabello (près de Ferrare), prévue pour les premiers jours de septembre et qui devait marquer récemment encore la naissance du nouveau parti de Fini, voit sa signification ramenée à des proportions plus réduites : ‘il n’y a au programme de Mirabello l’annonce d’aucun parti, septembre sera un mois délicat, et il est bon d’éviter les accrocs’, dit encore Bocchino. Autour de Fini, on cherche surtout à ménager les finiens ‘modérés’, ces ‘colombes’ que Berlusconi cherche à faire revenir au bercail. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Hongrie : un candidat du Jobbik dénonce les exactions des Tsiganes.

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Hongrie. Le candidat du Jobbik à la mairie de Miskolc, une ville du nord-est du pays, Márton Szegedi a déclaré que certains quartiers de la ville ne sont pas sûrs pour les habitants, à tout moment de la journée, à cause du haut niveau de délinquance des Tsiganes : cambriolages, vols, violences, meurtres sont le quotidien de nombreuses parties de la cité. Les victimes de ces actes sont principalement les personnes âgées qui ne sont pas en mesure de se défendre.

25/08/2010

Synthèse nationale n°19 est paru : unité, résistance, reconquête !

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Au sommaire :
 
- La tentation de la respectabilité... Editorial de Roland Hélie
- L'affaire de l'apéro de la Goutte d'Or ou l'illustration d'une tentative de récupération presque parfaite...
- Comment reconnaître un idiot utile du Système... par Robert Spieler
- La Nouvelle Droite Populaire s'organise au sein de la Résistance nationale...
- Peut-on sauver la France ? par Annick Martin
- Pour la libération nationale et européenne... par François Ferrier
- France d'en haut et France des routes... par Philippe Randa
- L'absence du Politique, un drame contemporain... par Patrick Parment
- Ce que révèle l'affaire Bettencourt... par Patrick Parment
- National, social : même combat ! par Pierre Vial
- La Nation a-t-elle un avenir ? par Serge Ayoub
- Les pauvres d'importation... par Gunther Palikao
- L'immoralité des banques, un bankster repenti dénonce... par Patrick Gofman
- Europe de la puissance... par Jean-Claude Rolinat
- Le nouveau nationalisme russe... par Lionel Baland
- Paul Chack, marin à la bataille... par Francis Bergeron
- Jeudi 11 novembre, à Paris, 4ème journée nationaliste et identitaire organisée par Synthèse nationale...

La présidente du Parti du progrès (norvégien) en visite aux Etats-Unis.

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Norvège. Siv jensen, qui dirige le Parti du Progrès, est en ce moment aux Etats-Unis. Elle a visité l’entreprise de fabrication d’avions Lockheed Martin. Cette société doit fournir des avions de chasse à la Norvège.

Auparavant, elle s’est rendu au bureau du Parti républicain à Dallas, afin d’étudier leur méthode de campagne et notamment la manière de recruter des volontaires. Elle a également visité l’endroit où le Président John Fitzgerald Kennedy a été assassiné.
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Siv Jensen.

Autriche : le vice-président du BZÖ accuse le Parti conservateur de disposer d'un bureau de « Dirty Campaigning ».

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Autriche. Ewald Stadler, vice-président du BZÖ, accuse le Parti conservateur autrichien (ÖVP) de disposer en son sein d’un bureau de « Dirty Campaigning », dont l’objet est de discréditer les membres des autres partis en diffusant des informations négatives sur eux et en les trainant dans la boue.

Il a ajouté que si Jörg Haider et lui avaient réellement reçu les 45 millions de Saddam Hussein, comme l’a prétendu le magazine autrichien « Profil », cela aurait été bien et ils n’auraient pas du demander aux électeurs du BZÖ de financer la campagne du parti par des dons.

De plus, Ewald Stadler dénonce les pratiques qui consistent à attaquer une personne décédée (Jörg Haider).

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Ewald Stadler et Jörg Haider.

Pays-Bas : les négociations en vue de former un gouvernement se poursuivent.

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Les négociations entre le CDA (Parti démocrate-chrétien), le VVD (Parti libéral de droite) et le PVV (Parti patriotique dirigé par Geert Wilders) en vue de former un gouvernement CDA-VVD soutenu de l’extérieur par le PVV se poursuivent.

Ces négociations provoquent des tensions au sein du CDA, certains de ses cadres étant opposés à une coopération avec le PVV.

24/08/2010

Meeting de début de campagne électorale du BZÖ de Styrie à Graz.

 

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Le BZÖ a lancé sa campagne électorale pour les élections de Styrie ce mardi 24 août 2010 lors d’un meeting électoral à Graz. Le dirigeant du BZÖ de Styrie, Gerald Grosz, a déclaré qu’il voulait que le BZÖ soit au sein du Parlement de Styrie le parti de contrôle et d’opposition. Lors des élections du 26 septembre, le BZÖ de Styrie espère récolter entre 5 et 9% des voix.
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Le Président du BZÖ Josef Bucher.
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Gerald Grosz dirige le BZÖ en Styrie.
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La tribune et le public.
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Peter Westenthaler, Gerald Grosz et Herbert Scheibner.

Le FPÖ présente sa liste pour l'élection du Parlement du Land de Vienne.

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Le FPÖ a présenté sa liste de candidats en vue des élections pour le Parlement du Land de Vienne du 10 octobre 2010.

Heinz-Christian Strache, le président du FPÖ, figure en tête de liste. En deuxième position se trouve Johann Gudenus, qui est, selon le président du FPÖ, un grand espoir politique. La troisième place revient à Harald Vilimsky. Barbara Kappl et Johann Herzog sont également sur la liste du FPÖ. Quatre femmes figurent parmi les dix premiers candidats.

Heinz-Christian Strache a déclaré :« Nous voulons créer une ville qui est à nouveau une ville mondiale et pas une ville quelconque décrépie ». Il a dit que le FPÖ n’a rien contre les étrangers et a précisé « mais nous ne voulons pas devenir une minorité dans notre propre ville ». Il assure «  nous sommes les porteurs d’espoir pour les sans espoir ».

 L’objectif de Heinz-Christian Strache est d’obtenir 20% des voix.

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Johann Gudenus, l'espoir politique du FPÖ à Vienne.

Suisse : immigration: la tactique de dissimulation des autorités continue!

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% des voix :

Les chiffres définitifs sur la population de la Suisse ont été publiés aujourd'hui par l'Office fédéral de la statistique. Le communiqué était placé sous le titre de ""Baisse de l'immigration en Suisse en 2009". Une fois de plus les autorités fédérales tentent par un titre trompeur de détourner l'attention d'une réalité fâcheuse. Même en cette année 2009 marquée par une crise financière et économique et par un chômage en hausse, la Suisse a une nouvelle fois connu une immigration record de 160 600 personnes (solde immigration/émigration + 74 600), dont 138 000 étrangers. Ainsi, l'immigration étrangère enregistrée en 2009 a été la troisième dans l'ordre décroissant de ces quarante dernières années!

De surcroît, 43 000 personnes ont été naturalisées en 2009 et le nombre de frontaliers a même atteint un record absolu avec 214 000. Ces chiffres indiquent que même en une période de chômage en hausse la Suisse subit un fort afflux de demandeurs de travail étrangers que ces personnes restent en Suisse malgré la crise. Ces statistiques confirment par ailleurs que la libre circulation des personnes et le laxisme en politique des étrangers et d'asile empêchent la Suisse de contrôler son immigration. Il est donc temps de prendre des contre-mesures. L'UDC a déposé de nombreuses interventions dans ce sens et propose notamment la résiliation de l'accord sur la libre circulation des personnes et de nouvelles négociations à ce sujet avec l'UE.

 

En publiant ces chiffres statistiques l'office fédéral a manifestement réagi au débat lancé le weekend dernier sur les statistiques des étrangers de l'an passé. Dans sa consultation populaire, l'UDC s'est fondé sur les chiffres définitifs de l'Office fédéral de la statistique. Désormais, l'année 2009 pourra donc également être prise en considération. 

 

L'Office fédéral de la statistique a publié aujourd'hui les chiffres définitifs sur l'immigration en 2009. La manière dont ces informations sont communiquées est une fois de plus scandaleuse. Des formules trompeuse du type "le solde migratoire a baissé de 24% par rapport à l'année précédente" servent à cacher une réalité inquiétante: en fait il n'y a pas eu, en chiffres nets, d'émigration d'étrangers dans leur pays alors que 2009 était une année de crise, mais il y a eu au contraire une forte immigration de plus de 160 000 personnes, dont 138 000 étrangers, un chiffre équivalent à la population de la ville de Bâle!

Le réseau d'entreprises social-démocrates à Vienne "la rouge".

Autriche. Médias, immobilier, construction,... Le Parti social-démocrate a la main sur tout à Vienne "La rouge".
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Umberto Bossi : "Casini est un connard".

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Casini est le chef de l'UDC, un parti centriste italien de tendance démocrate-chrétienne. (Ne pas confondre l'UDC en Italie avec l'UDC Suisse).

« Le président du Conseil (Berlusconi) avertit ses plus fidèles : ‘soyons prêts pour les urnes’ ».

« Bossi, nouvelle attaque contre Casini : il est pire que Fini » (Marco Cremonesi, Corriere della Sera) : « Encore Pier Ferdinando Casini, encore Gianfranco Fini. Pour Bossi, la campagne électorale est désormais officiellement ouverte. Son ton incendiaire à l’encontre du leader de l’UdC et du président de la Chambre suggère que le grand chef léghiste n’a plus de doutes : ‘il n’est plus possible de continuer ainsi, mieux vaut retourner aux urnes d’ici décembre’. Le ton des propos de Bossi est direct : Fini est ‘celui des mariages homosexuels’, périphrase censée illustrer les risques qui pourraient dériver d’une négociation avec les finiens. La seule solution est donc pour Bossi ‘de redonner la parole aux gens’, hypothèse dans laquelle une alliance avec FLI n’est pas envisageable. Ensuite, Bossi passe à son second ennemi, le pire peut-être : Casini. ‘Avoir Casini, c’est encore pire que d’avoir Fini’, et les élections sont une façon de ‘pulvériser ces messieurs’. Et Bossi d’ajouter : ‘avec les élections, le fédéralisme ne s’arrêtera pas et, après le fédéralisme, le prochain pas sera celui de la décentralisation’. Mais la conclusion du leader de la Ligue est presque paternelle, lorsqu’il s’adresse à R. Cota, président du Piémont : ‘par les urnes, on pourra envoyer là-bas des gens bien, comme Cota ; avec les élections, il y aura plus de gens comme lui à Rome.’ »

« Avec l’UdC, pas d’alliance, mais un pacte sur la justice et les réformes » (Ugo Magri, La Stampa) : « ‘Avec Umberto, au bout du compte, nous avons toujours trouvé un accord’, rassure Berlusconi ; ‘je lui ferai comprendre en quoi Casini peut être utile à nos plans’. Le Cavaliere compte donc insister, en dépit de la dure réaction de Bossi. Il a en tête non pas une alliance, inenvisageable des deux côtés, mais un rapprochement stratégique sous le signe de la sensibilité populaire européenne, dont PdL et UdC disent s’inspirer. Objectif : remettre en place une alliance lors des prochaines élections politiques, par un pacte de fédération et, d’ici-là, obtenir l’aide de Casini dans les passes plus difficiles, telle par exemple la réforme de la justice. Mais l’intérêt de Berlusconi pour Casini va au-delà. Comme on dit chez les conseillers du prince, ‘une fois le gouvernement sauvé, il est tout aussi nécessaire de mener à bon port la législature’, ou ce sera le fiasco en 2013. D’où l’idée d’élargir la base politique du Cavaliere pour pouvoir mener à bien les réformes. Bossi pourrait être d’accord, vu son intérêt pour le fédéralisme : Casini est contre, mais il ne faut jamais dire jamais. De toute façon, quelle autre option pour le Cavaliere ? Se jeter dans le bain électoral ? Sur ce point, dit-on au PdL, la position de Berlusconi n’a pas varié : ou une majorité suffisante, ou des élections. Mais qu’on ne s’arrête pas aux apparences. S’il le pouvait, Berlusconi choisirait à coup sûr d’éviter les urnes. En attendant, le PdL s’intéresse de près aux finiens. La dernière rumeur : à 90%, Fini lancerait son parti le 5 septembre à Mirabello,...»

«  Le brelan d’as du Cavaliere – Rapprocher Ligue et centristes, offrir quelque chose à Casini et empocher son appui »

 « Le dernier mot, tard dans la nuit, est de Bossi – un mot qu’on n’oublie pas : pour le leader léghiste, ‘Casini est un connard’ »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

23/08/2010

Heinz-Christian Strache, le président du FPÖ, réclame l’organisation d’une consultation populaire sur l’islam au sein du Land de Vienne.

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La consultation populaire sur l’islam proposée par le FPÖ (voir article en dessous) doit, selon son Président Heinz-Christian Strache, d’abord avoir lieu au sein du Land de Vienne. La plupart des musulmans d’Autriche vivent à Vienne et c’est au sein de la capitale autrichienne que, aux cours des derniers mois, des manifestations de citoyens contre des constructions de bâtiments musulmans ont eu lieu.

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Musulmans en Autriche. Carrés verts : nombre d'endroits de réunion (dont environ 100 à Vienne) , parmi lesquels 200 lieux de prières. En rouge, les mosquées avec minaret.

La partie verte au sein des cercles représente le nombre de musulmans au sein des associations par rapport à la population globale du Land.

Autriche : le FPÖ réclame une consultation populaire sur les minarets.

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En réaction aux propos du président de la Communauté de croyance des musulmans en Autriche qui a souhaité l’implantation, dans le futur lointain, d’une mosquée avec minarets au sein de chacun des Länder d’Autriche, le Secrétaire général du FPÖ Harald Vilimsky a réclamé l’organisation d’une consultation populaire sur les minarets.

La consultation populaire doit, selon lui, comprendre les questions suivantes :

- Doit-on établir en Autriche une interdiction de construction des mosquées avec minaret(s) ?

- Doit-on interdire en Autriche le port de la burka, du nikab et du foulard islamique en tant que symbole politique ?

- Les musulmans doivent-ils déclarer qu’ils acceptent la supériorité de l’ordre juridique autrichien par rapport au coran ?

Harald Vilimsky réclame également l’interdiction de l’immigration vers l’Autriche de personnes en provenance de pays musulmans.

Le BZÖ et le FPK ont également réagi à la déclaration du président de la Communauté de croyance des musulmans en Autriche.

(En Autriche, l’organisation d’une consultation populaire doit être décidée par une majorité du Parlement. Le résultat de la consultation populaire ne lie pas le pouvoir législatif. Celui-ci peut donc décider de ne pas appliquer le résultat de la consultation populaire).

Le site Internet du HVIM parle de l’interview de la mère et de la femme de György Budaházy publiée sur ce site.

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Le HVIM ( Hatvannégy Vármegye Ifjúsági Mozgalom - Mouvement de Jeunesse des 64 Comtés. La « Grande Hongrie » comptait 64 comtés) est une organisation patriotique hongroise qui organise le festival patriotique Magyar Sziget et a ouvert une discothèque à Budapest (Klub 64). Le « numéro deux » du HVIM, Gyula Zagyva, est député du Jobbik au Parlement hongrois. Le « numéro un » du HVIM, László Toroczkai, sera présent sur les listes du Jobbik lors des élections régionales du 3 octobre 2010. D’autres membres du HVIM figureront sur les listes du Jobbik lors des élections régionales et municipales du 3 octobre 2010.

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Le site Internet du HVIM en France.
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PVV de Geert Wilders : « pas un cent pour les organisations terroristes au Pakistan ».

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Pays-Bas. Deux députés du PVV, Johan Driessen et Geert Wilders, ont interrogé le ministre des affaires étrangères des Pays-Bas à propos de l’aide d’urgence accordée au Pakistan. Ils veulent s’assurer que pas un cent de cette aide ne sera distribuée à la population via l’organisation terroriste Jamaat e Dawa.

Allemagne : pro NRW et les Republikaner ont conclu l’extension de leur coopération.

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Suite à une première entrevue, il y a deux mois à Mayence (Mainz), les présidents de pro NRW et des Republikaner se sont rencontrés ce samedi 21 août 2010 à Cologne (Köln). Markus Beisicht (Pro NRW) et Rolf Schlierer (Republikaner) ont convenu d’une intensification de leur collaboration et de la poursuite de la conduite d’actions communes.

Ils ont discuté également du fait de ne plus avoir, au cours des années à venir, de candidatures électorales qui se font concurrence.

Durant l’automne 2010, une manifestation commune sera organisée à Mönchengladbach contre l’installation planifiée d’une école coranique liée à l’islam radical.

Au printemps 2011, une conférence aura lieu dans les environs de Stuttgart à laquelle participeront des partis politiques patriotiques venus d’autres pays d’Europe. L’objectif de ce congrès est d’établir en Allemagne une plateforme électorale commune pour les élections européennes de 2014.

D’autres rencontres entre pro NRW et les Republikaner auront lieu au cours des mois à venir.

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 Une partie des personnes présentes lors de la réunion.

Union des patriotes en vue des élections pour le Parlement du Land de Berlin en 2011.

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Allemagne. Après que Markus Beisicht, le président de pro Köln (Pour Cologne) et pro NRW (Pour la Rhénanie du Nord – Westpahlie), ait conduit des entretiens avec des représentants de partis patriotiques dans l’Ouest de l’Allemagne en vue d’un rapprochement et d’une unification des forces patriotiques, un congrès a eu lieu ce samedi 21 août 2010 à Leipzig et a réuni des forces patriotiques de l’Est et du centre de l’Allemagne.

Parmi les participants figuraient le Conseiller de circonscription Mirko Zötzsche et Karl-Heinz Obser de Leipzig (Deutsche Soziale Union - DSU), Detlev Spangenberg de Radebeul (Bündnis Arbeit, Familie, Vaterland), le Conseiller municipal Martin Kohlmann (pro Chemnitz) ainsi que le Conseiller municipal de Cologne Manfred Rouhs (pro Deutschland).

Les personnes présentes se sont engagées à soutenir activement la campagne d’implantation de pro Deutschland à Berlin. En contre-partie, pro Deutschland va réaliser une variante de la carte postale-pétition contre l’entrée de la Turquie au sein de l’Union européenne. Elle sera ensuite diffusée à Leipzig puis sera disponible au niveau national.

Afin de gagner les élections pour le Parlement du Land de Berlin en 2011, toutes les forces humaines et économiques des patriotes seront concentrées sur la capitale de l’Allemagne. 

22/08/2010

68% des Américains opposés à la construction d’une mosquée à "Ground Zero".

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Aux États-Unis, la construction annoncée d’une mosquée à « Ground Zero » pourrait être un des thèmes des élections parlementaires de novembre 2010. Selon un sondage de la chaîne de télévision CNN,  68% des Américains sont opposés à la construction d’un centre islamique et d’une mosquée à cet endroit.

Alors que les représentants du Parti démocrate restent divisés sur la question, les dirigeants du Parti républicain sont opposés à ce projet de construction.

Rappelons que le 11 septembre 2010, l’association « Les Villes Contre l’Islamisation » (LVCI) organise une manifestation à Bruxelles devant l’ambassade des Etats-Unis afin de dénoncer ce projet de construction. Le Vlaams Belang sera présent lors de ce rassemblement.