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19/11/2010

Des gauchistes accompagnés de journalistes forcent les portes de l'UDC Suisse à Lausanne.

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Voici un extrait d'un communiqué de l'UDC Suisse, premier parti du pays, 29% des voix :

Hier en fin d'après-midi un groupe de gauchistes a occupé les bureaux de l'UDC du canton de Vaud à Lausanne. Ces individus ont pénétré dans les locaux contre la volonté des occupants pour fixer à la fenêtre une bannière de protestation contre l'UDC. Les collaborateurs de l'UDC ont été grossièrement insultés et le désordre a été mis dans les documents et matériaux stockés au secrétariat. La vingtaine de voyous gauchistes étaient accompagnés de quelques personnes qui se sont par la suite présentées à la police comme des journalistes. On doit partir du principe que ces derniers ont également examiné et même photographié les documents de l'UDC. La police appelée sur place a fini par dissoudre cette manifestation. L'UDC a déposé plainte. Cette affaire s'ajoute à une série d'autres événements qui ont tous servi à empêcher l'UDC d'exercer ses activités politiques et à restreindre sa liberté d'expression. Cette situation devient de plus en plus inquiétante, notamment quand on voit que des médias se laissent embrigader dans de telles actions. Ce comportement est incompréhensible et alarmant.

Italie : prudence retrouvée.

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« L’absence de majorité alternative explique la prudence retrouvée » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « Le message vidéo de Fini est un procédé inédit, mais il rend une image de prudence par rapport aux dernières semaines. L’appel à la ‘responsabilité nationale’, thème cher au chef de l’Etat, le prouve : Fini ne veut pas jouer un rôle déstabilisateur mais maintenir son groupe uni. Il se tourne vers le président du Conseil en lui disant ‘tiens tes engagements’ jusqu’au 14 décembre mais sans son habituel ton péremptoire. Entre les lignes, on peut lire l’intention de permettre aux transfuges potentiels de FLI vers le PdL de revenir dans le périmètre de la majorité sans perdre leur dignité politique. Naguère, une telle opération passait par la démission du gouvernement, le président du Conseil était reconduit et on négociait sur le programme. Mais la pratique a changé. Pourquoi Berlusconi démissionnerait-il sans passer par un vote parlementaire ? Ce serait faciliter le travail à ses adversaires, qui préfèrent de loin ne pas exprimer une ‘défiance’ éclatante, idée qui gêne Fini et Casini. Pourquoi se livrer pieds et poings liés à ses rivaux s’il peut l’éviter ? Du reste, si la crise financière européenne est un frein aux élections anticipées, une crise ‘à l’aveuglette’ l’est aussi – or, à l’évidence, elle le serait. Dès lors que Bossi choisit finalement de consolider son alliance avec le PdL, le scénario d’un gouvernement de transition disparaît. Seule la rupture de l’axe nordiste Bossi-Berlusconi aurait encouragé des défections significatives du PdL et ainsi favorisé l’émergence d’un front des oppositions, lequel n’a toutefois pas su définir une offre alternative crédible. Sur le plan tactique, Berlusconi s’est renforcé, en vue aussi des motions de défiance. Certains optimistes parmi ses proches imaginent même qu’il obtiendra aussi le soutien de la Chambre. Il est trop tôt pour le dire mais le ton a changé – même si on reste loin du ‘consensus’ souhaité par Napolitano. » 

« Silvio crie victoire : ‘Gianfranco a dû se rendre’ » (Carmelo Lopapa, La Repubblica) : « S. Berlusconi sent la victoire approcher, voyant Fini et Casini prendre acte, tout récemment, avec 25 jours d’avance, que la motion de censure ne sera sans doute pas votée et qu’il vaut mieux ne pas la présenter. A la veille du départ pour le sommet OTAN, c’est l’euphorie chez Berlusconi : ‘avec l’abstention des finiens et d’autres qui ne voteront pas cette motion, ça marche aussi à la Chambre’ s’enthousiasme le président du Conseil. Pour ses proches, le message vidéo de Fini a été vu, ni plus ni moins, comme une ‘demi-reddition’, ou comme une ouverture aux négociations. Berlusconi en est convaincu : ‘l’effet-nouveauté de FLI est passé, les gens comprennent que la crise n’aurait pour effet que de livrer le pays à la gauche’...

 

(traduction : ambassade de France à Rome)

18/11/2010

4ème journée de Synthèse nationale à Paris : on en parle même en Hongrie.

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Hongrie. Szent korona radio est une radio patriotique hongroise, dont le site Internet reçoit entre 10.000 et 25.000 visites par jour. Voici un article, à propos de la 4ème Journée de Synthèse nationale du 11 novembre 2010 à Paris, que j'ai envoyé en anglais et qu'ils ont traduit en hongrois :

 http://szentkoronaradio.com/kulfold/2010_11_18_nemzeti-ra...

Genève: le Président du MCG Eric Stauffer sera poursuivi pour ses affiches.

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Voir la vidéo : http://www.tsr.ch/video/info/journal-19h30/2706422-geneve...

Les dirigeants de die Freiheit se recueillent au cimetière de Berlin-Weißensee.

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Le 9 novembre 2010, René Stadtkewitz et les dirigeants du parti die Freiheit se sont recueillis au mémorial pour les juifs assassinés entre 1933 et 1945 au cimetière de Berlin-Weißensee.

 

Le parti die Freiheit est soutenu par le chef de file du PVV néerlandais Geert Wilders et est favorable à l'État d'Israël.

Die Freiheit se developpe en Hesse.

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Allemagne. Le parti die Freiheit dirigé par René Stadtkewitz et fondé à Berlin se développe en Hesse. Il y a une semaine, René Stadtkewitz et son adjoint Marc Doll se sont rendu en Hesse. Ils ont eu un entretien qui a duré quatre heures avec deux anciens cadres du Parti libéral (FDP).

Italie. Victoire du ministre de l'intérieur léghiste Roberto Maroni : le chef de la Camorra capturé.

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« Iovine, chef de la camorra, capturé » (Corriere della Sera, La Repubblica, La Stampa, Il Messaggero)

 

« Le Vietnam parlementaire reprend aussitôt » (Marcello Sorgi, La Stampa) : « La trêve sur le double vote, au Sénat et à la Chambre, sur le gouvernement, n’a pas duré. Alors que les sénateurs se consacreront à l’examen de la loi de stabilité, la Chambre sera le cadre, dès la semaine prochaine, d’une sorte de ‘Vietnam parlementaire’, dit-on, avec quatre occasions de battre le gouvernement d’ici le fameux 14 décembre. Les protestations de la majorité en conférence des présidents n’y ont rien changé. Dès lundi, débat et vote sur la RAI et le pluralisme, avec pour cible Mauro Masi, DG controversé. Mardi, ce sera au tour de Calderoli, dont l’opposition cherche à réduire les attributions. Puis le vote sur la réforme universitaire, dont Fini en personne a demandé le retrait. Enfin, mardi 29 a été mise à l’ordre du jour la motion de défiance individuelle contre le ministre Bondi, pour les dégâts à Pompei. En plus d’être autant d’embûches pour le gouvernement dans des temps incertains, les votes à venir seront un banc d’essai pour la possibilité d’une alliance entre les oppositions et les finiens, en vue d’un éventuel gouvernement d’urgence si Berlusconi tombe. Sur la RAI, il y a accord, et les motions anti-Masi devraient passer sans mal contre l’axe PdL-Ligue. Celles contre Calderoli proviennent des oppositions et non de FLI : si les finiens s’y ralliaient, ce serait un pas de plus vers une alliance inédite – même si Fini, mercredi, a voulu rassurer ses ‘colombes’ en disant que FLI ne se rangerait pas systématiquement aux côtés de la gauche. Sur l’université, l’ApI de Rutelli pourrait ne pas voter pour, cette fois-ci, mais l’UdC pourrait voter avec le gouvernement. Enfin, s’agissant du rendez-vous le plus attendu, la motion contre Bondi présentée par le centre gauche, les finiens ont déjà indiqué ne pas vouloir prendre parti, préférant attendre le 14 décembre, sans passer par des raccourcis plus ou moins stériles. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Tim Rait du BNP était à Villepreux.

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L’attaché de presse du British National Party (BNP) pour le Sud-Est de l’Angleterre, Tim Rait, représentait son parti le samedi 13 novembre 2010 à Villepreux où se trouvaient réunis les supporters de Bruno Gollnisch.

Autriche: propos de l'ambassadeur de Turquie (suite).

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Autriche.  Le Député Ewald Stadler du BZÖ a demandé que l’Ambassadeur de Turquie en Autriche Kadri Ecvet Tezcan soit déclaré persona non-grata en Autriche. Depuis lors, ce dernier a déclaré qu'il ne voulait blesser personne lorsqu’il a tenu des propos sur la politique d’intégration en Autriche.

17/11/2010

Johann Gudenus est élu à la tête du groupe des élus du FPÖ au sein du Parlement de Vienne.

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Autriche. Vienne. Ce mercredi 17 novembre 2010, Johann Gudenus a été élu, lors d’un conclave du FPÖ de Vienne, comme annoncé, à la tête du groupe des élus du FPÖ au sein du Parlement de Vienne.

L'initiative de l'UDC Suisse sur le renvoi passerait la rampe.

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Un sondage réalisé auprès de 1207 personnes entre le 8 et le 13 novembre 2010 par l’institut "gfs.bern" dans toutes les régions de Suisse donne, à deux semaines des votations fédérales du 28 novembre 2010, l’initiative UDC sur le renvoi des criminels étrangers à 54% de « Oui », alors que 43% s’y opposent et 3% se déclarent indécis.

Le président du MCG débouté dans l'affaire des affiches contre le Colonel Kadhafi.

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Affiche du MCG (suite). Suisse. Genève. Le Mouvement des citoyens genevois (MCG) et son président le Député genevois Éric Stauffer ont été déboutés par le Tribunal pénal fédéral dans l’affaire de leur affiche électorale.

Opération du Vlaams Belang à Merchtem contre l'abattage rituel d'animaux.

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Belgique. Flandre. Ce mercredi 17 novembre 2010, des mandataires du Vlaams Belang se sont rendus à Merchtem dans le Brabant flamand afin de distribuer des tracts sur le marché hebdomadaire. Objet de l'opération : s'opposer à l'abattage rituel d'animaux.

Italie : une partie d’échecs de 27 jours.

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 « Un succès institutionnel du Quirinal, mais dans une ambiance exacerbée » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « Sur le plan institutionnel, G. Napolitano a remporté un succès : avec lui, les présidents des Chambres ont fixé un schéma préservant le minimum de stabilité vital pour le pays. Le budget 2011 restera prioritaire sur les deux motions de confiance (Sénat) et de censure (Chambre). Le budget sera adopté d’ici au 10 décembre, avant le lancement d’un rapide ‘comptage’, après des discours du président du Conseil aux Chambres. L’autorité du chef de l’Etat a donc permis une solution équilibrée évitant la funeste ‘guerre des motions’. Celles-ci seront votées en parallèle dans les deux Chambres le 14/12, soit la date prévue pour la décision de la Cour constitutionnelle sur l’empêchement légitime, qui protège le Cavaliere. Certes l’éventuelle censure à la Chambre le pousserait à une démission immédiate, mais la crise de la zone euro pourrait plaider contre des élections à court terme. Au plan politique, on a d’un côté Fini, Casini et le centre gauche pour un nouveau gouvernement avec un autre président du Conseil, de l’autre un axe PdL-Ligue campant sur la position ‘la confiance ou les élections’. A l’évidence, Bossi n’est pas enthousiaste à l’idée d’élections précipitées, compte tenu peut-être des fragilités de Berlusconi comme candidat vu les scandales (connus ou à venir). Mais la Ligue paraît solidement aux côtés de son vieil allié. On voit mal comment les partisans d’un ‘autre gouvernement’ prévaudraient. Il faudrait ou qu’après une démission de Berlusconi le groupe PdL au Sénat se scinde assez nettement pour justifier qu’on écarte du gouvernement le PdL et la Ligue, vainqueurs en 2008 et toujours majoritaires relativement, ou que le Cavaliere se retire volontairement, sous l’effet de la fatigue ou d’autres coups durs judiciaires. Mais ce serait un tel coup de théâtre qu’il est impossible de rien prévoir de tel. »

« Un compromis pour sauver les comptes de l’Etat » (Massimo Franco, Corriere) : « Le Quirinal a fixé hier une date, le 14 décembre, qui marquera un tournant capital. Ce jour-là, Berlusconi devra faire face à la crise de sa majorité. Napolitano veut garantir l’adoption des lois de stabilité et de budget et les soustraire aux manœuvres d’une phase confuse qui risquait et risque encore en partie de les menacer. Les présidents des Chambres ont accepté, voire un peu subi ce choix. La Ligue ajoute une autre échéance, le 27 mars, présentée à demi-mot comme la fin du gouvernement Berlusconi. On voit mal si Bossi veut dire que la coalition durera jusqu’au printemps car il n’y aura pas de crise après le budget ou s’il évoque le 27 mars comme date d’élections anticipées. N’oublions pas qu’il y a peu, Maroni avait déjà cité le 27 mars comme date possible pour des élections. La Ligue approuve la décision du Quirinal – compromis ‘utile à la paix’ selon Bossi. Elle force tout le monde à la transparence. Mais une coïncidence qui peut alimenter la tension : le 14 décembre, la Cour constitutionnelle doit aussi rendre sa décision sur l’‘empêchement légitime’ qui met le président du Conseil à l’abri des procès. La confirmation de l’‘axe du Nord’ rend de plus en plus hasardeuse l’hypothèse d’un gouvernement technique, d’autant que le parti de Di Pietro semble décidé à ne pas la soutenir. Pour la Ligue reste l’inconnue de l’adoption du fédéralisme fiscal. Mais Bossi est sûr qu’elle se fera avant les élections - et quiconque en doute, menace-t-il, est un ‘homme mort’. »

 

« Une partie d’échecs de 27 jours » (Marcello Sorgi, La Stampa) : « La confirmation que les deux motions, à la Chambre et au Sénat, seront votées le 14 décembre après débat le 13, grâce à l’accord entre les trois premiers personnages de l’Etat, n’exclut pas la possibilité qu’au bout du compte le gouvernement obtienne une majorité PdL-Ligue au Sénat mais se retrouve battu à la Chambre, sans les finiens. Berlusconi aurait préféré un déphasage entre les deux débats, à la fois pour profiter de la confiance au Sénat pour faire pression sur les députés et obtenir une majorité, ou pour se présenter au Quirinal, lors de sa démission, avec juste une ‘demi-censure’ ou une défiance-confiance, poussant ainsi Napolitano à écarter toute tentative de gouvernement alternatif, vu l’assurance d’une majorité contre au Sénat du fait de la solidité de l’axe PdL-Ligue. Raisonnement qui tient toujours même si les votes contradictoires ont lieu le même jour. Reste à voir si cela contraindrait le Chef de l’Etat dans ses choix en lui imposant de dissoudre. Non qu’il soit en faveur d’un autre gouvernement, bien au contraire. Mais Napolitano, comme par le passé, s’en tiendra aux résultats de ses consultations et, si un certain nombre de partis lui demande de tenter de former un gouvernement, il ne le fera que si une nouvelle majorité se dessine autour d’un programme clair et consensuel. La simple expression d’un vote pour Berlusconi par les sénateurs pourrait ne pas suffire au chef de l’Etat pour exclure tout à fait la possibilité d’un autre gouvernement. Napolitano pourrait donc devoir vérifier si parmi les sénateurs qui auraient soutenu le Cavaliere, certains ne seraient pas prêts à soutenir un autre gouvernement, fût-il provisoire, avant des élections (comme après la chute de Prodi) : un cas de figure lourd de risques pour le Cavaliere, mais qui pourrait se révéler inévitable s’il devait sortir des consultations des indications en ce sens. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome).

16/11/2010

Le PVV a un problème avec un de ses députés.

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Pays-Bas. Un élu du PVV pose problème à la majorité. Le gouvernement CDA-VVD soutenu de l’extérieur par le PVV de Geert Wilders dispose d’une très courte majorité au sein de la Deuxième chambre du Parlement (76 sur 150). Le chef de file du PVV, Geert Wilders, a, après réflexion, décidé de maintenir en place un député du PVV qui a « oublié » d’informer son parti de certains faits. Le Député Éric Lucassen, 36 ans, était sous-officier en 2002 au sein de l’armée néerlandaise. Il a été sanctionné par sa hiérarchie pour avoir eu des relations sexuelles avec deux jeunes recrues féminines. Entre 2006 et 2009, il a eu des problèmes de dispute avec ses vosins. Geert Wilders a enlevé à Éric Lucassen des compétences qu’il exerce au sein du parti.

Les femmes UDC soutiennent l'initiative sur le renvoi.

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Voici un communiqué des femmes UDC :

 

La violence juvénile fait désormais partie du quotidien. Nombre de jeunes délinquants violents sont issus du contexte migratoire. Les femmes sont fréquemment victimes d'actes de violence, notamment de la part d'étrangers. Grâce à l'initiative sur le renvoi, les étrangers qui ont commis des crimes graves en Suisse seront enfin systématiquement expulsés et frappés d'une interdiction de séjour de cinq ans au moins. C'est donc à l'unanimité que les Femmes UDC ont décidé d'apporter leur soutien à l'initiative sur le renvoi alors qu'elles rejettent un contre-projet manifestement inefficace.

 

La statistique indique une disproportion d'individus issus du contexte migratoire parmi les jeunes délinquants. La progression de la violence et de la criminalité juvéniles confirme la nécessité de prendre des mesures efficaces également contre les délinquants âgés de moins de 18 ans. On ne peut plus tolérer la violence à l'école et la criminalité parmi les jeunes. Pour rétablir et sauvegarder l'ordre et la sécurité publics, l'Etat doit avoir la possibilité d'expulser des jeunes malfaiteurs étrangers incorrigibles qui ont commis des crimes particulièrement graves. Grâce à son effet dissuasif, cet instrument accroît la sécurité pour tous.

 

Les femmes sont fréquemment la cible d'attaques verbales grossières, voire de violence brutale. Là encore, les malfaiteurs sont fréquemment des étrangers. Faut-il rappeler que la proportion d'étrangers parmi les personnes accusées de viol est de 62%? On peut illustrer ce propos par un viol particulièrement odieux commis il y a deux ans à Bienne. Des malfaiteurs originaires du Sri Lanka, qui étaient accompagnés de deux mineurs, avaient tiré une femme de 22 ans de sa voiture et l'avaient violée à plusieurs reprises dans une forêt. Il est évident que dans cette affaire la victime est la femme violée alors que les malfaiteurs étrangers ont commis un acte épouvantable qui justifie amplement une expulsion.

 

Les Femmes UDC réclament davantage de sécurité et exigent que les étrangers, qui ne respectent pas nos règles et commettent des crimes graves, soient systématiquement expulsés de Suisse. Pour cette raison, les Femmes UDC Suisse ont adopté à l'unanimité le mot d'ordre "OUI à l'initiative sur le renvoi".

Menus halal au sein du Conseil municipal de Rotterdam.

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Pays-Bas. Rotterdam. Leefbaar Rotterdam a reçu une réponse à sa demande écrite d’informations concernant le fait que des menus halal ont été placés sur les cartes de menu des repas pris par les conseillers municipaux de Rotterdam. Le Maire de Rotterdam Ahmed Aboutaleb (PvdA – Parti social-démocrate) a répondu que cela a été fait consciemment.

Apéritif genièvre et têtes de porc à Anvers.

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Belgique. Flandre. Ce 16 novembre 2010, le Vlaams Belang a organisé une action de protestation contre les pratiques barbares de l’abattage rituel sur la Damplein à Anvers. Pour Filip Dewinter, les étrangers doivent s’adapter à nous et pas l’inverse. Et si cela n’aboutit pas, il vaut mieux qu’ils retournent dans leur pays d’origine.

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Filip Dewinter prend la parole.

Svoboda obtient plus d'élus à Ivano-Frankivsk que le parti n'a présenté de candidats.

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Ukraine. La commission électorale de la ville d’Ivano-Frankivsk a nommé 59 des 60 membres du Conseil municipal. Svoboda, le parti nationaliste ukrainien, a gagné 35 des 60 sièges du Conseil municipal d’Ivano-Frankivsk lors des élections du 31 octobre 2010, soit 11 candidats concourant sur la liste du parti et 24 présents lors du scrutin uninominal par circonscription. La liste de Svoboda ne comptant que 10 membres, il en manque un.

Article du quotidien Le Temps consacré à Gianfranco Fini.

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Le quotidien suisse Le Temps publie un long article sur Gianfranco Fini :

 http://www.letemps.ch/Page/Uuid/639bfd08-f100-11df-b64f-e...

« Les finiens sortent du gouvernement, c’est la crise. »

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« Au Quirinal, premier pas pour gérer une crise déchirante » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « Deux événements symétriques donnent une idée de la façon dont les choses évoluent rapidement dans la politique italienne. Rome. Comme prévu, les finiens et le représentant du MPA sicilien quittent le gouvernement. La crise était déjà là. La voici encore plus explicite. Manque la solution – à moins de reconnaître les élections anticipées comme de plus en plus probables. En tout cas, l’atteinte portée au PdL est cinglante. Milan. Le PD de Bersani subit aussi un rude coup : G. Pisapia, candidat de Vendola, gagne les primaires municipales. Le PD paraît glisser vers la gauche, abandonnant un espace important au centre, situation idéale pour le ‘3ème pôle’ de Fini-Casini-Rutelli, sous réserve d’un autre mode de scrutin. A ce stade, deux choses sont sûres. D’abord, Bossi confirme sa loyauté envers Berlusconi mais réaffirme fièrement l’identité de la Ligue : ‘nous volons haut, Berlusconi préfère voler bas’ – signal déjà électoral dans le cadre d’une alliance concurrentielle. Ensuite l’aspect institutionnel. La convocation des présidents de la Chambre et du Sénat au Quirinal est le premier pas dans la gestion de la crise, que G. Napolitano craint de voir se muer en guerre de chacun contre tous. Priorité, on le sait, à la loi de stabilité financière. Mais les anti-Berlusconi craignent qu’au Sénat la majorité ne poursuive une tactique dilatoire pour gagner du temps. A l’arrière-plan, la question non réglée de savoir laquelle des deux chambres votera en premier la confiance ou la défiance. Terrain sur lequel pas même le Quirinal ne peut s’aventurer, sinon pour conseiller le bon sens. Mais il n’y pas de règle stricte et on doute que Berlusconi, avant de passer sous les fourches caudines de la Chambre, renonce à un succès au Sénat, s’il en a la possibilité. »

 

« Une crise quasi ouverte avec avant-goût amer de campagne électorale » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « L’accusation de ‘trahison’ à l’encontre de Fini a comme un avant-goût de campagne électorale. Et certains propos venimeux autour de son audience d’aujourd’hui au Quirinal suggèrent ce qui pourra venir ensuite. Les démissions du ministre et des 4 secrétaires d’Etat FLI ont causé, quoique annoncées, un vif émoi au PdL. Et la menace, chez certains finiens, de s’allier à la gauche pour éviter les élections ont encore attisé la polémique – un tir de barrage verbal pour écarter tout moyen terme entre le gouvernement et les urnes. Face à une alternative, aussi fragile soit-elle, G. Napolitano pourrait ne pas exclure un report de la dissolution des chambres. Mais ce scénario est prématuré et improbable, nul ne sachant la date exacte de la crise gouvernementale. On sait juste qu’elle devrait s’ouvrir après l’adoption de la loi de stabilité. Napolitano a convoqué Fini et Schifani pour éviter que les choses ne se précipitent inopinément. Bossi redit son soutien à Berlusconi, tout en se montrant plus prudent que lui sur d’éventuelles élections anticipées. Prudence justifiée par les erreurs du PdL envers la minorité finienne, sous-estimée, puis diabolisée, puis attaquée dans l’espoir de la diviser. Mais la guerre Berlusconi-Fini, qui n’a fait qu’envenimer la situation, continue – ‘Il ne sait pas ce qui l’attend si on vote, il n’aura pas un bon score’ aurait dit Berlusconi. Les finiens se défendent : ‘Nous ne sommes pas des traîtres, nous proposons un autre centre droit’ – position que contredit néanmoins l’hypothèse d’une coalition ‘d’urgence’ avec le PD. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Ataka vote le budget.

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Le Parlement bulgare a adopté en première lecture, jeudi 11 novembre 2010, le budget 2011, qui prévoit une croissance de 3,6% et un déficit public de 2,5% du Produit intérieur brut (PIB). Outre le parti de centre-droit qui gouverne le pays (GERB), seul le parti nationaliste ATAKA a voté en faveur de ce budget. Les autres partis politiques ont soit voté contre, soit se sont abstenus.

Oskar Freysinger prendra la parole pour la première fois en France.

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Le 18 décembre 2010, Oskar Freysinger, artisan de la votation citoyenne contre les minarets en Suisse, prendra la parole pour la première fois en France.

 

Infos :

http://www.bloc-identitaire.com/actualite/1592/samedi-18-...

Représentants de partis européens à Villepreux.

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Le forum  organisé par  Thibault de la Tocnaye en tant qu’adjoint de Bruno Gollnisch aux Relations internationales a pu réunir lors de la fête patriotique organisée à Villepreux, dans la région parisienne, des soutiens européens de Bruno Gollnisch, notamment  les députés européens Andréas Mölzer (FPÖ - Autriche) et Belà Kovacs (Jobbik - Hongrie), ainsi que Duarté Branquinho (PNR – Portugal) qui est un lecteur de ce site Internet et que nous saluons.

15/11/2010

Le FPÖ donné deuxième parti d'Autriche dans un sondage.

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Si des élections avaient lieu dimanche prochain, pour qui voteriez-vous?

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La colonne de gauche représente les résultats du sondage actuel. Celle de droite représente le sondage du mois d’août 2010. Le FPÖ + le BZÖ obtiennent ensemble 32% des voix.