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01/12/2010

Les dirigeants de die Freiheit invités au Danemark.

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Les dirigeants du parti allemand die Freiheit, René Stadtkewitz et Marc Doll, se sont rendus à Copenhague à l’invitation du Parti du Peuple danois. Ils ont participé à une conférence internationale qui a eu lieu au sein des bâtiments du Parlement danois. Le Président des Démocrates suédois Jimmie Åkesson, puis René Stadtkewitz, ont tenu un discours.

Le SNS à 5% dans un sondage.

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 Slovaquie. Le dernier sondage MVK donne le SNS à 5% des voix au niveau national.

Affaire des partisans d’Ataka refoulés de Serbie (suite).

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Affaire des partisans d’Ataka refoulés de Serbie (suite). L’ambassadeur bulgare à Belgrade (Serbie) a été convoqué chez le ministre serbe des affaires étrangères afin de s’entendre dire que « la Serbie croit en la justesse de sa décision parce que les personnes qui sont venues ici avant et ont émis des demandes inacceptables en vue d’une révision du Traité de Neuilly-sur-Seine et des frontières ne sont pas les bienvenues en Serbie. Il y avait un risque d’incident  et un État ne peut affronter seul cela. Tout va rentrer dans la normale à travers l’échange de points de vue. »

Berlusconi et Bossi en sont sûrs : il n’y aura pas de censure.

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« Berlusconi et Bossi en sont sûrs : il n’y aura pas de censure » (Paola Di Caro, Corriere della Sera) : « ‘Si on votait demain sur la motion de censure, FLI voterait contre Berlusconi, sans hésitations’, tel sont les mots tranchants de Fini à ses hommes pour expliquer qu’à ce jour il n’y a aucun motif de ne pas présenter avec l’UdC de Casini une motion de censure contre le gouvernement d’ici au fatidique 14 décembre. Aucune ouverture n’est venue du gouvernement au sujet d’un nouveau programme face à la crise ni surtout d’une réforme du mode de scrutin avec prime de majorité au-delà des 45%. Fini rassure : ‘si Berlusconi était battu, vous verriez qu’un nouveau gouvernement se formerait quand même’. Hier, les voix finiennes ont été essentielles à l’adoption de la réforme de l’université, mais FLI l’a dit clairement : ‘le gouvernement n’a plus notre soutien, nous demandons un nouvel exécutif avec un programme restreint et une majorité élargie afin de gagner en crédibilité’. Pourtant la ligne dure de Fini se heurte à certaines réticences des ‘colombes’ de FLI, qui ne voient dans la censure qu’un ultime recours et misent sur les tentatives de médiation de Letta. Berlusconi, loin de céder, continue d’affirmer qu’il aura assez de voix et que certains finiens feront défection le 14 décembre. Selon des proches du Cavaliere, le seul accord possible serait le soutien de l’UdC sans les voix de FLI : le gouvernement passerait Noël puis, si rien n’évoluait, fort du soutien des deux Chambres, Berlusconi irait au Quirinal présenter sa démission. Le 14 n’est plus si loin mais Fini peut encore convaincre les indécis de rester fidèles à FLI (en montrant de la bonne volonté envers le PdL) et Berlusconi retourner les sceptiques pour arriver au seuil de 316, qui ne règlerait pas tout mais permettrait, comme dit Bossi, de ‘tenter d’avancer’. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

L'hebdomadaire Minute consacre sa "une" à la votation suisse sur le renvoi.

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Trots op Nederland obtient un conseiller municipal à Oss.

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Pays-Bas. Le mercredi 24 novembre 2010, des élections partielles ont eu lieu au sein d’une vingtaine de municipalités des Pays-Bas. Trots op Nederland a pris part au scrutin au sein de trois municipalités et a obtenu un élu à Oss.

Au total, Trots op Nederland est représenté au sein de 39 municipalités et dispose de 60 conseillers municipaux. Á Den Helder, Trots op Nederland participe à la coalition qui gère la ville et dispose d’un adjoint au maire (pour les lecteurs français) / d’un échevin (pour les lecteurs belges).

Municipalités qui disposent de conseillers municipaux de Trots op Nederland :

Alkmaar 2

Almelo 1

Almere 1

Alphen aan den Rijn 1

Amersfoort 1

Amsterdam 1

Arnhem 1

Breda 1

Brunssum 1

Capelle aan den Ijssel 1

Den Bosch 2

Den Helder 5

Deventer 1

Eindhoven 1

Gouda 3

Grave 1

Haarlem 1

Haarlemmermeer 2

Heerhugowaard 1

Heerlen 1

Helmond 2

Landgraaf 1

Lelystad 2

Maastricht 2

Nieuwegein 1

Nuth 1

Oss 1

Purmerend 3

Schiedam 2

Sittard-Geleen 1

Spijkenisse 2

Teylingen 1

Tilburg 3

Utrecht 1

Vlaardingen 2

Leidschendam-Voorburg 1

Zaanstad 2

Zoetermeer 1

Zuidplas 2

Le frère de Pim Fortuyn devient trésorier de Leefbaar Rotterdam.

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Pays-Bas. Rotterdam. Le dimanche 28 novembre 2010, Leefbaar Rotterdam s’est choisi, en présence de nombreux membres, une nouvelle direction. Dick van Sluis devient président, Marchel van Gent secrétaire et Simon Fortuyn, le frère de Pim Fortuyn, trésorier du parti. 

Suisse : la liberté d'opinion et de réunion est en péril.

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L’UDC, premier parti de Suisse, publie un communiqué à propos des attaques dont elle est victime :  

L'UDC est profondément inquiète devant certains développements de ces dernières semaines. La liberté d'opinion et de réunion est systématiquement menacée et violée par des casseurs gauchistes alors que les autorités font preuve d'une passivité coupable devant ces agissements. La tenue du congrès de programme de l'UDC à Lausanne a été empêchée et les locaux de travail de l'UDC ont été envahis. Le but de ces actions est évidemment d'empêcher l'UDC de faire son travail politique. L'UDC n'accepte pas cette violation de la liberté d'opinion et de réunion, deux droits fondamentaux centraux de la démocratie. Elle lance un appel aux autorités de tous les niveaux afin qu'elles s'opposent elles aussi à ces agissements antidémocratiques. L'UDC demande l'ouverture d'un débat urgent sur ce thème durant la session d'hiver en cours. Une intervention parlementaire dans ce sens a été déposée.  

La liberté d'opinion et de réunion a été violée, voire foulée au pied, à plusieurs reprises en Suisse durant les semaines passées. L'UDC ne pourra tenir son congrès de programme du 4 décembre 2010 ni dans la grande salle de Beaulieu, ni à l'Université de Lausanne, donc à l'endroit même où le Parti socialiste suisse a pu tenir sans être dérangée son congrès il y a un mois. Après avoir reçu quelques menaces et protestations, l'Université de Lausanne, une institution largement financée par les contribuables, a décommandé l'UDC. Les autorités cantonales approuvent cette attitude. Faute d'un local pouvant l'accueillir, l'UDC a donc été contrainte de tenir son assemblée de samedi prochain en plein air dans un champ près de Gland/VD.  

Avant et après la votation du 28 novembre 2010 des assemblées et des locaux de travail de l'UDC ont été attaqués violemment. Le secrétariat de l'UDC du canton de Vaud à Lausanne a été occupé par des casseurs. Le secrétariat de l'UDC Suisse a également été attaqué et a subi des dégâts importants, tout comme le lieu de rencontre fixée par l'UDC pour le dimanche des votations. Il y a eu de surcroît plusieurs actes de vandalisme et agressions ces derniers jours contre des secrétariats cantonaux et des stands tenus par l'UDC dans la rue. Le but de ces exactions est manifestement d'empêcher l'UDC de faire son travail politique.  

La passivité des autorités 

Ces attaques systématiques d'ennemis de la démocratie contre le plus grand parti politique de Suisse sont sans exemple dans l'histoire de ce pays. Elles doivent être sévèrement condamnées. Le plus inquiétant, cependant, est de constater la passivité des autorités qui sont incapables ou qui n'ont pas la volonté de protéger la liberté d'opinion et de réunion. Par leur attitude, elles tolèrent des menées extrémistes. Parallèlement, il est possible sans problème de garantir moyennant un important dispositif de sécurité des conférences internationales comme le Sommet de la Francophonie dans le canton de Vaud ou des visites de chefs d'Etat représentant un important risque de sécurité.

 Les droits fondamentaux de la démocratie sont en péril 

La liberté d'opinion et de réunion sont des droits fondamentaux démocratiques qui permettent aux citoyennes et aux citoyens de se forger librement une opinion pour ensuite l'exprimer tout aussi librement. Ces droits de la liberté ont toujours servi dans l'histoire à protéger les citoyens contre les excès du pouvoir de l'Etat. Aujourd'hui nous nous retrouvons dans une situation où certes l'Etat n'invalide pas officiellement ces libertés constitutionnelles, mais où il refuse de les garantir pour une partie de la société: quand des casseurs peuvent décider qui peut se réunir, quand comment et où, la Suisse tombe au niveau de systèmes totalitaires dans lesquels l'Etat se fait complice de mouvements violents réprimant systématiquement l'opinion non conforme d'un parti démocratique. 

Combattre les forces hostiles à la démocratie 

L'UDC ne se laisse pas museler par des casseurs et des autorités complaisantes à l'égard de ceux-ci. Elle attend cependant de toutes les forces politiques de ce pays qui s'engagent pour la démocratie à s'opposer à ce dangereux développement. Les autorités de tous les niveaux de l'Etat sont appelées à garantir et à protéger la liberté d'opinion et de réunion.

L'UDC veut limiter le nombre d'étudiants étrangers en Suisse.

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L’UDC Suisse veut limiter l’afflux d’étudiants étrangers en Suisse. Ce nombre a doublé entre 2000 et  2009.

30/11/2010

La construction du groupe parlementaire FPÖ-FPK se poursuit.

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Autriche. Parlement national à Vienne. Ce lundi 30 novembre 2010, le Député du FPK Martin Strutz a été élu au poste de vice-président du groupe parlementaire FPÖ-FPK. Martin Strutz désire être une voix forte pour la  Carinthie à Vienne.

Le Jobbik discriminé par les médias.

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Hongrie. Suite à une plainte introduite par le Jobbik, la « Nemzeti Média and Hírközlési Hatóság », l’agence qui contrôle l’objectivité des médias de radiodiffusion,  a trouvé que RTL Klub, TV2 et ATV ont réalisé des reportages biaisés. En effet, le 23 novembre 2010, ces stations de télévision ont diffusé des reportages sur la célébration de la fête nationale par les autres partis politiques, mais pas par le Jobbik.

FLI : "abstention" - et non plus "censure".

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« Au sein de FLI certains sont tentés par l’abstention » (Fabio Martini, La Stampa) : « Jusqu’à il y a une semaine, les futuristes y auraient vu un gros mot mais, depuis quelques jours, dans les entretiens entre Fini et ses nouveaux colonels, le mot en vogue est ‘abstention’ – et non plus ‘censure’. Fini et ses amis commencent à réfléchir à l’idée d’une abstention qui laisserait en vie le gouvernement et son chef. A ce stade, rien de décidé, et FLI parle toujours de présenter une motion de censure et de la voter avec l’opposition. Mais le seul fait de parler entre soi d’une possible abstention en dit long sur les tensions qui divisent les finiens. L’idée est venue des modérés (Ronchi, Viespoli, Moffa, Menia, Consolo), pour qui le cadre, interne et international, a évolué. Pour eux, l’idée d’un gouvernement technique ou d’union nationale ne tient pas debout, de même que les élections anticipées leur paraissent très risquées. Fini, dirigeant doté d’une forte capacité d’écoute, a entendu tous les sons de cloches (même ceux de Bocchino, Briguglio, Perina et Granta, fervents partisans de la censure) et n’a rien exclu à ce stade. Selon Urso, le plus au centre de tous, ‘s’il y avait un signal de changement, l’idée de s’abstenir pourrait être étudiée’ mais ‘ce n’est pas du tout le cas’. La balle revient, plus que jamais, entre les mains de Berlusconi et de son doigté politique. Mais s’il ne changeait pas de tactique, le problème pour Fini sera de garder son groupe uni. Une hémorragie, même réduite, au sein de FLI, serait décisive pour assurer à Berlusconi la confiance, fût-elle éphémère. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Avec le même score, Plateforme pour la Catalogne décrochera des dizaines d'élus locaux en 2011.

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Enrique Ravello, qui s’occupe des relations extérieures de Plateforme pour la Catalogne (PxC), m’envoit les résultats obtenus par le parti lors des élections de ce dimanche 28 novembre 2010 pour le Parlement de Catalogne. 

Importante percée du PxC lors des élections régionales de Catalogne. 

Le PxC a obtenu au total 75.321 voix, soit 2,42%.

Province de Barcelone : 2,47%.

Province de Tarragona: 2.59%

Province de Gerona: 2.21%

Province de Lerida: 1.79%

Á l’Hospitalet, deuxième ville de Catalogne, le PxC obtient 4,1%.

Résultats à remarquer : Canovelles : 7,7% ; Manellu : 7,7% ; Torelló : 5,1% ; Vic : 5,8% ; Sel : 4,9%; Mollerusa : 4,2%; El Vendrell : 7%.

Avec un tel score, le PxC décrochera des dizaines d’élus locaux lors des élections de 2011.

Autres partis nationalistes :

Phalange espagnole de las JONS (pro-immigration et pro-métissage) 1781 voix - 0,06%  

 MSR, membre de l’alliance regroupant le Jobbik, FN, BNP,... 778 votes, 0,02%.

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Josep Anglada

L'UDC Suisse autorisée à organiser son congrès dans un champ.

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Suisse. L’UDC, premier parti de Suisse, 29% des voix, pourra tenir le samedi 4 décembre 2010 son congrès dans une prairie à Coinsins. 700 délégués et 300 invités sont attendus. Rappelons que l’UDC s’est vu refuser le Palais de Beaulieu puis l'Université de Lausanne et a été contrainte de choisir un champ.

Danemark : conflit entre les règles juridiques européennes et nationales.

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Danemark. Le Parti du Peuple danois s’insurge contre le fait que suite à un accord passé entre l’Union européenne et la Turquie, les Turcs peuvent immigrer vers le Danemark sans passer le test linguistique et de connaissance du pays imposé aux ressortissants des autres pays. C'est pourquoi le Parti du Peuple danois demande que le Parlement danois débatte afin de décider qui, de l'UE ou de la législation danoise, doit avoir une voix prépondérante en la matière.

Plateforme pour la Catalogne obtient des résultats positifs en certains endroits.

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Espagne. Catalogne. Plateforme pour la Catalogne (PxC) qui a obtenu 2,42% des voix devait atteindre la barre des 3% afin d’entrer au Parlement de Catalogne. Au sein de certaines municipalités, le parti obtient plus de 4% des voix. Exemples : Vic, 1006 votes (5,82%); El Vendrell, 898 voix (7,02%); Manlleu : 636 voix (7,67%).

29/11/2010

Croatie : les patriotes commémorent la chute de Vukovar.

Croatie. Le 18 novembre 2010, des Croates venus de l’ensemble du pays se sont réunis à Vukovar afin de commémorer le 19ème anniversaire de la chute de la ville et de son occupation par les forces communistes serbes. Le slogan de la commémoration de cette année est « Vukovar a gagné parce qu’elle était la victime. »

La bataille de Vukovar s’est terminée le 18 novembre 1991 lorsque les forces croates se sont rendues à l’armée yougoslave après 86 jours de siège. De petits combats se sont poursuivis jusqu’au 20 novembre 1991, date à laquelle le dernier groupe de défenseur a été éliminé. Durant la bataille, 30.000 soldats ont combattu au sein de l’armée yougoslave et d’unités paramilitaires serbes et au cours des derniers jours de la bataille, ce nombre est passé à 80.000. Vukovar était défendue par 2.000 hommes, un nombre qui a augmenté à 6.700 au cours des derniers jours de la bataille. 2000 hommes ont péri, 2500 ont été blessés et 7.000 ont été internés dans des camps de concentration en Serbie. Deux volontaires étrangers combattant du côté croate ont été tués à Vukovar : l’Allemand Ivan Herman et le Français Jean-Michel Nicolier. Après la chute de la ville, les soldats serbes ont emprisonné les 264 blessés de l’hôpital. Après la guerre, les corps de 200 hommes ont été trouvés dans une fosse commune à Ovčara près de l’hôpital de Vukovar, mais 64 hommes sont toujours portés disparus. 500 autres civils croates ont disparu durant la bataille. La bataille de Vukovar s’est terminée par une défaite pour les forces croates, mais ces 86 jours de Vukovar ont donné le temps à la Croatie d’organiser ses forces armées pour les futures opérations de libération. En outre, cela a forcé la communauté internationale à aider la Croatie et à reconnaître l’indépendance de la République de Croatie en février 1992. La Croatie a récupéré Vukovar en 1998.

20.000 personnes ont participé à la commémoration de la tragédie de Vukovar, principalement des vétérans, des familles de victimes et de jeunes patriotes. Les nationalistes croates s’opposent à la politique du gouvernement croate en place qui vise à un rapprochement avec la Serbie, alors que, selon eux, la Serbie place sur le même pied les actes accomplis par les Serbes et Croates durant la guerre de Croatie en 1991-1995.

Résumé d’un texte transmis par Trpimir Gudar, nationaliste croate.

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De nombreux partis patriotiques européens se félicitent des résultats de la votation suisse sur le renvoi.

Manifestation de pro Deutschland au coeur de Berlin.

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Allemagne. Malgré des températures en dessous de zéro, le samedi 28 novembre 2010, soixante membres et sympathisants de pro Deutschland ont participé à une manifestation dans le centre de Berlin. Le parti poursuit son implantation au cœur de la capitale allemande.

Le président de Democracia nacional commente les élections en Catalogne.

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Espagne. Le Président de Democracia nacional Manuel Canduela a déclaré que les résultats des élections en Catalogne sont très mauvais pour les Catalans et Espagnols. Le seul point positif est l’effondrement du Parti socialiste et la percée de Plateforme pour la Catalogne qui multiplie ses résultats par vingt.

Ataka : incident frontalier avec la Serbie.

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Bulgarie. Ataka veut avertir la Commission européenne du comportement des autorités serbes. Le Député national d’Ataka Dimitar Stoyanov va soumettre le problème personnellement au Président de l’Union européenne Jose Manuel Barroso. Le samedi 27 novembre 2010, les autorités frontalières serbes ont refusé de laisser une délégation composée de membres et de supporters d’Ataka pénétrer en Serbie. Ces personnes se rendaient à Bosilegrad pour commémorer le 91ème anniversaire du Traité de Neuilly-sur-Seine. (Traité au cours duquel la Bulgarie a cédé à l’issue de la Première guerre mondiale des territoires à la Serbie et la Grèce). Le dirigeant d’Ataka, Volen Siderov, a demandé des excuses officielles de la Serbie et menacé de faire bloquer le point frontière de Kalotina entre les deux pays par ses partisans. Le ministère des affaires étrangères bulgare a envoyé une lettre officielle afin de demander une clarification du problème. Des membres d’Ataka, dont le leader du parti, ont protesté devant l’ambassade de Serbie à Sofia le jour de l'incident, le samedi 27 novembre 2010. 

Le gouvernement minoritaire, dernière carte de Berlusconi.

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« Le gouvernement minoritaire, dernière carte du président du Conseil » (Marcello Sorgi, La Stampa de samedi) : « L’idée d’un gouvernement minoritaire, vue ces jours-ci comme l’issue la plus probable de la crise, a trop de pères. Finiens et centristes en parlent. Peut-être le craignent-ils, mais ils feignent d’en être les vrais stratèges, en y voyant l’humiliation ultime de Berlusconi. Les proches du Cavaliere, bien plus circonspects, la susurrent, y voyant la seule façon de faire échouer la censure annoncée par Fini et Casini. Certes, il n’y a rien de glorieux à passer d’un gouvernement très largement élu à une situation minoritaire, mais on se console comme on peut. Le plan serait assez simple. Plutôt que de courir après l’objectif difficile des 316 votes pour, il suffira d’avoir la majorité des présents. La tactique a fonctionné en juillet, mais marchera-t-elle encore avec le passage de FLI dans l’opposition ? Cela étant, si gouvernement minoritaire il y a, Berlusconi ne voudra certes pas rester dans cette position inconfortable. S’il parvient à avoir la confiance au Sénat et une demi-confiance à la Chambre, il en usera d’abord pour se vanter d’avoir vaincu Fini. Ensuite, et officiellement par esprit de responsabilité, le gouvernement s’engagera à mener à bien les réformes en cours – notamment le fédéralisme, question de vie ou de mort pour la Ligue – et finalement, début 2011, le Cavaliere ira au Quirinal demander des élections anticipées. S’ouvrira alors pour Napolitano un jeu entièrement nouveau : celui d’un gouvernement encore debout, même si ce n’est que sur une jambe et demie, mais qui veut retourner devant les électeurs. Le chef de l’Etat voudra sans doute creuser la question. Mais si, à bon droit, il objectait qu’on ne peut dissoudre les Chambres que s’il n’y a plus majorité, Berlusconi est prêt au dernier coup de théâtre : Bossi ouvrirait alors une vraie crise, qui marquerait la fin de la législature. » 

«Sondage ISPO pour le Corriere – Confiance pour l’exécutif : 25% des électeurs léghistes diraient non » (Renato Mannheimer, Corriere de dimanche) : « Nul ne sait quelle sera l’issue du vote du 14 décembre, mais si c’étaient les citoyens qui votaient directement la confiance, aujourd’hui le résultat serait probablement négatif pour l’exécutif. A la question ‘si vous étiez parlementaire, comment voteriez-vous le 14 décembre ?’, la majorité des sondés (un peu plus de 60%) répondent qu’ils voteraient contre la confiance. En bonne logique, les réponses résultent d’abord de l’orientation politique. 90% des électeurs PdL voteraient la confiance. Même à la Ligue, c’est le choix majoritaire, mais dans une moindre mesure : 65% – près d’un quart des léghistes (23%) refuseraient la confiance à l’exécutif. Dans l’opposition, bien sûr, la plupart des électeurs seraient contre le gouvernement – 95% au PD, et 86% chez les électeurs FLI. Plus intéressant encore : parmi les ‘indécis’ en termes de partis, 59% optent pour un choix contre le gouvernement. Une majorité des Italiens rejette le gouvernement Berlusconi mais, en même temps, une part consistante d’entre eux restent avec lui malgré les difficultés actuelles. Mais il n’est pas dit que le cadre ne change pas, et de façon significative, en cas d’élections ou du fait d’une campagne où les leaders se mobiliseraient. »

(Traduction : ambassade de France à Rome).

28/11/2010

Plateforme pour la Catalogne n'entre pas au Parlement de Catalogne.

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Espagne. Catalogne. Plateforme pour la Catalogne (PxC) n’obtient pas d’élus. Le parti récolte cependant 2,42% des voix. Democracia nacional ne s’est pas présenté lors du scrutin afin de ne pas faire de l’ombre à Plateforme pour la Catalogne, sans toutefois appeler ses électeurs à voter pour Plateforme pour la Catalogne. Le MSR obtient 0,2% des voix.

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http://resultados.elpais.com/elecciones/2010/catalanas/09/ et http://www.3cat24.cat/especials/Eleccions/parlament2010/c...

Un des prisonniers politiques hongrois quitte la prison.

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Hongrie. La cour d’appel a renversé la décision du tribunal de première instance et ordonné l’assignation à domicile de József S., un des trois prisonniers politiques hongrois. Les deux autres prisonniers politiques restent en prison : Budaházy et Szaszka. Leur appel en vue d’être libéré a été rejeté.

József S. a été arrêté à Százhalombatta, il y a 19 mois, et a été interdit de contacts avec sa famille durant les huit premiers mois de sa détention. En juin 2010, il a été assigné à son domicile et autorisé à quitter la prison, mais le procureur est allé en appel et József S. a été réincarcéré un mois après sa libération, malgré le fait qu’il ait respecté les conditions d’assignation à résidence. 

La décision judiciaire à propos de József S. est définitive est ne peut pas faire l’objet d’un appel. Elle permet d’avoir de l’espoir de voir dans le futur les deux autres prisonniers politiques être relâchés.

Rappelons que j'ai réalisé l'interview de la femme et de la mère de Gyorgy Budaházy cet été en Hongrie : http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2010/08/11/int...

Interview de mon éditeur par l'écrivain Franck Abed.

L'écrivain Franck Abed (http://www.franckabed.com/) réalise des inteviews de personnalités. Il a intérrogé l'éditeur et écrivain Philippe Randa.


Franck ABED reçoit Philippe RANDA 1/3

Franck ABED reçoit Philippe RANDA 2/3


Franck ABED reçoit Philippe RANDA 3/3