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15/11/2010

Johann Tschürtz est réélu président du Burgenland en présence de HC Strache.

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Autriche. Burgenland. Johann Tschürtz a été réélu au poste de président du FPÖ du Burgenland en présence du Président national du parti HC Strache. Ilse Benkö, Norbert Hofer et Gerhard Kovasits sont les vice-présidents du FPÖ du Burgenland.

 

En 2011, le FPÖ du Burgenland se concentrera sur le développement de son organisation interne. Le Burgenland comptant peu de zones urbaines, le parti doit disposer d’une perfecte organisation afin de pouvoir atteindre les 15 à 20% des voix.

 

HC Strache a déclaré que le FPÖ a pour objectif de devenir le premier parti d’Autriche. Les trois principales formations politiques (SPÖ, ÖVP, FPÖ) sont plus au moins au même niveau. Le FPÖ vise le poste de chancelier. Le FPÖ veut continuer à se profiler en tant que parti de la famille et de l’économie.

 

HC Strache dénonce le fait que le gouvernement n’a pas beaucoup entrepris afin de prolonger le délai qui empêche les ressortissants des pays de l’Est de l’Union européenne de travailler en Autriche. Si HC Strache était chancelier, ce délai, qui prend fin le 1 mai 2011, serait prolongé.

Christoph Blocher devient conseiller auprès du Basler Zeitung.

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Suisse. Christoph Blocher, l’homme fort de l’UDC, devient conseiller auprès de "Basler Zeitung Medien" (BZM - Journal de Bâle). Son mandat concerne "le cap organisationnel et stratégique". Il ne peut s’impliquer dans les choix philosophiques de l’organe de presse. L’objectif est d' amener les finances du quotidien vers les bénéfices.

Pauline Hanson renonce à immigrer au Royaume-Uni.

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Australie. Pauline Hanson, qui a dirigé durant plusieurs années le parti One Nation qui s’opposait à l’immigration en provenance d’Asie, a renoncé à immigrer vers le Royaume-Uni. Raison : « c’est rempli d’immigrants et réfugiés ». Elle a déclaré que la France est dans la même situation que le Royaume-Uni. En février 2010, Pauline Hanson avait décidé d’immigrer en Europe, mais après un voyage de dix semaines sur ce continent, elle a conclu que le vie en Australie n’est pas si mal.

 

(Article qui annonce qu’elle jette l’éponge en février 2000 :

 http://www.voxnr.com/cc/etranger/EkZppkZkZpNlZrzyWL.shtml).

 

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Pauline Hanson

Markus Beisicht est confirmé en tant que président de pro Köln.

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Allemagne. Cologne. Ce dimanche 14 novembre 2010, 100 membres de pro Köln (Pour Cologne) se sont réunis afin d’écouter la représentante du Vlaams Belang (Flandre-Belgique) Hilde De Lobel tenir un discours à l’encontre de l’islamisation de la société. 

L’élection des instances dirigeantes du parti a ensuite eu lieu. Markus Beisicht est confirmé en tant que président de pro Köln, Judith Wolter et Markus Wiener en tant que vice-présidents. Karel Schiele est le nouveau comptable et Bernd M. Schöppe le secrétaire. L’élection des autres membres de la direction s'est déroulée ensuite. 13 personnes étaient candidates et 7 places étaient disponibles. Sont élus lors du premier tour ceux qui obtiennent au moins 50% des voix: Jörg Uckermann, Regina Wilden, Ellen Sänger, Waldemar Staudenherz. Un deuxième tour a eu lieu : Jana Schiele, Manfred Rouhs et Klaus Arlt ont été élus. 

 

L’objectif de la direction de pro Köln est de préparer les élections municipales de 2014, ainsi que la « Marche pour la Liberté » du 7 mai 2011.

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Markus Beisicht réélu président de pro Köln.

La sortie du berlusconisme – même sans Berlusconi – s’annonce longue et difficile.

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«Sondage ISPO-Corriere – PdL et PD perdent des points, Ligue et Fini : bon score » (Renato Mannheimer, Corriere de samedi) : « Perte de vitesse pour le PdL et pour le PD, la Ligue tient son rang, les ‘futuristes’ de FLI sont à 8%, un bon score et l’axe Berlusconi-Bossi tient la majorité : voici quel serait le paysage électoral si on votait aujourd’hui. La majorité des Italiens désire désormais des élections anticipées, mais avec un autre mode de scrutin. 32% seulement des Italiens proposent que Berlusconi continue de gouverner. Une majorité relative (45%) demande un retour immédiat aux urnes. C’est le cas d’une large part de la base du PD (59% – mais 33% préfèrent un gouvernement technique, prudence que partagent les dirigeants du PD) et de celle de FLI (54% pour les élections, 30% pour un gouvernement technique). Au contraire, pour près de 90% des électeurs PdL et Ligue, le gouvernement actuel doit rester en place. Nul ne peut savoir quelle serait l’issue de nouvelles élections car beaucoup dépend de la campagne – un domaine où Berlusconi est maître, faut-il le rappeler ? Mais les sondages fournissent quelques indications importantes sur l’état actuel des intentions de vote. L’écart PdL-PD paraît se resserrer mais le parti de Bersani semble pouvoir compter sur un électorat potentiel plus important (42% contre 31% pour le PdL), bien qu’encore indécis. Face à la baisse du PdL, on voit remonter FLI à 8% (voire 9% selon certains sondeurs). Les indices recueillis révèlent la persistance d’une majorité PdL-Ligue, suivie de près néanmoins par un ensemble PD-IdV-SeL. Et l’existence d’un 3e pole centriste se confirme. Un cadre qui, à mode de scrutin constant, verrait sans doute le centre-droit gagner à la Chambre mais une situation plus confuse au Sénat – et un pays peu gouvernable. » 

« L’effet ‘ciment’ du Cavaliere est terminé » (Ilvo Diamanti, La Repubblica) : « Derrière le déclin de Berlusconi, on aperçoit une majorité en pièces et un pays qui s’effrite, sans plus de ciment ni de cadre. Car Berlusconi était, et reste, le seul ciment et le seul cadre pour son parti, pour sa majorité et pour la base sociale qui, des années durant, s’est identifiée à lui et à sa majorité, désormais mises en pièces par sa rupture avec Fini qui n’a jamais accepté l’annexion d’AN. La naissance de FLI a fait du PdL un ex-parti. La majorité n’existe plus et ne tient que grâce à la Ligue. Le PdL aussi est en pièces, divisé de l’intérieur, où Tremonti est désormais vu comme le vrai président du Conseil et la référence d’une éventuelle majorité alternative. Mais le PdL est aussi divisé à la base : au Nord, il est supplanté par la Ligue. Au Sud, il est rattrapé par FLI. Berlusconi n’est pas seulement le leader du PdL et de l’actuelle majorité centre-droit, il en est l’inventeur, le seul ciment : sans lui, le projet s’effondre. Le mythe de l’Italien en mesure de réagir à tout, de s’arranger de tout et aimant vivre, dont il a tant joué, est usé. Aujourd’hui, beaucoup d’Italiens cherchent moins à vivre qu’à survivre, à la crise ou à la précarité, pour les jeunes, dans un cadre qui se dégrade. Les tensions territoriales vont croissant entre le Nord, Rome et le Sud, tandis que l’on fête les 150 ans de l’Unité. Berlusconi ne réussit plus à donner des réponses d’unité, non seulement pour des raisons conjoncturelles mais aussi parce que la structure sociale et le système de valeurs qu’il a construits et interprétés durant plus de 15 ans sont en crise. Problème : les alternatives, sociales et politiques, peinent à émerger. Et nous nous retrouvons dans un pays autre et divisé, plein d’individus isolés et vulnérables. La sortie du berlusconisme – même sans Berlusconi – s’annonce longue et difficile. »

 

« Jusqu’à quel point le président du Conseil réussira-t-il à résister ? » (Marcello Sorgi, La Stampa de samedi) : « Du jamais vu : deux motions, symétriques et opposées, devraient être présentées au Parlement. D’un côté une motion de confiance au Sénat voulue par le PdL, de l’autre une motion de défiance présentée par le PD et l’IdV à la Chambre. Théoriquement, le gouvernement pourrait obtenir la confiance au Sénat grâce aux voix PdL-Ligue – même sans les finiens – avant d’être mis en minorité à la Chambre par le vote ‘contre’ d’une nouvelle majorité FLI-UdC-PD-IdV (qui a déjà battu le gouvernement, comme pour le traité sur la Libye et la motion sur l’immigration). En temps normal, les présidents des deux chambres du Parlement se coordonneraient pour éviter une situation aussi embarrassante, mais c’est fort improbable car le président de la Chambre est en même temps le chef du parti qui veut le plus la démission du Cavaliere. Même si on n’arrivera pas tout de suite à ces deux votes (Bersani ayant assuré vouloir attendre l’adoption du budget), Berlusconi pourrait accélérer au Sénat, où il est sûr d’avoir la majorité, pour pouvoir ensuite influencer le vote final à la Chambre, car un vote contre vaudrait automatiquement fin de la législature, ce qui pourrait amener les députés à se raviser. Mais même si Berlusconi obtenait la majorité à la Chambre, quel genre de gouvernement et de majorité en sortirait-il et surtout jusqu’à quand pourraient-ils durer ? »

 

« Le Cavaliere tente un sursaut » (Marcello Sorgi, La Stampa) : « Hormis l’idée de ne dissoudre que la Chambre en cas de défiance, Berlusconi veut montrer clairement qu’il n’a nulle intention de démissionner et qu’il se battra de toutes ses forces pour rester à son poste ou y revenir grâce à la colère populaire. L’idée de lâcher prise ne l’effleure pas. Il ne se laisse impressionner ni par la campagne des finiens, dont les rangs s’étoffent, ni par la nouvelle enquête sur de la prostitution, voire de la drogue, dans ses résidences. On dira sans doute que l’homme est aveuglé, qu’il ne se rend pas compte, qu’il devra finir par céder quand le Parlement, tôt ou tard, le fera tomber. Possible, mais pas sûr. Le Cavaliere a encore quelques cartes à jouer : il sait qu’il gagnera au Sénat et qu’il pourrait s’en sortir aussi à la Chambre, malgré les pronostics. Berlusconi fera du porte à porte, comme il l’a fait il y a 1 mois ½ pour le programme en 5 points, car maintenant chacun sait que voter contre le président du Conseil pourrait signifier ne plus être élu à la prochaine législature. Même en cas de défaite, le Cavaliere est convaincu que cela se traduira par sa résurrection, neutralisant le projet finien. Si ses proches ont du mal à lui faire comprendre que cela ne peut pas tenir lieu de stratégie, les colombes du PdL, elles, n’ont plus prise sur lui. Le Cavaliere est contre un gouvernement Berlusconi-bis (un piège, selon lui), contre un gouvernement de centre droit dont il ne serait pas le chef, contre le gouvernement technique allant de Vendola à Fini dont tout le monde parle. Sa conviction : pour arriver aux élections, il suffit de ne pas bouger. Et son pari c’est qu’au bout du compte l’agitation confuse de ses adversaires, au Parlement et dans les médias, jouera en sa faveur auprès des électeurs. Bien sûr, il peut se tromper, mais s’il devait encore avoir raison, soyons certains qu’il y aura des surprises et qu’on en verra de toutes les couleurs. »

 

« La décision qui appartient au Quirinal » (Marzio Breda, Corriere) : « Napolitano s’est contenté, comme il l’a fait tout l’été, de rappeler les termes de la Constitution, en particulier l’article 88 qui établit qu’en cas de chute du gouvernement, le ‘président de la République peut, en accord avec leurs présidents, dissoudre les chambres, ou seulement l’une d’entre elles’. Telle est la réponse du Quirinal à ceux qui demandent une réaction sur le développement de la crise et l’ultimatum lancé par Berlusconi. ‘Toute décision relative à cet article relève de la compétence exclusive du chef de l’Etat, qui entend l’exercer avec toute la rigueur nécessaire.’ Les hypothèses péremptoires du président du Conseil concernant ce qui suivra le vote de confiance à Montecitorio sont donc inappropriées : après avoir pris acte de la crise, c’est le Quirinal qui doit mener le jeu. La proposition faite hier par le Cavaliere de ne dissoudre que la Chambre est surréaliste : l’article 88, qui prévoit la possibilité de ne dissoudre que l’une des deux chambres, avait été conçu pour équilibrer la durée de vie de la Chambre et du Sénat, respectivement de 5 et 6 ans à l’origine. Cette soupape de sécurité technique a donc été rendue caduque par le nouveau mode de scrutin. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

14/11/2010

Vienne. Réaction de HC Strache à la coalition rouge-verte au sein du Land de Vienne.

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Autriche. Vienne. La ville et le Land de Vienne vont être gouvernés par une coalition entre les sociaux-démocrates et les écologistes. Le président du FPÖ, HC Strache, a déclaré ce vendredi 12 novembre 2010 : « Je dis seulement « Bonne nuit, Vienne » lors de ce projet rouge-vert. » et annoncé l’organisation d’un journée d’action du FPÖ afin d’informer la population.

 

Selon Heinz-Christian Strache, la vice-maire écologiste de Vienne, Maria Vassilakou, qui a dans ses compétences l’organisation des transports va chercher des problèmes aux automobilistes.

Des députés européens de l'UKIP ont commémoré le 11 novembre à Bruxelles.

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Belgique. Des députés européens de l’UKIP (Royaume-Uni) ont joint leurs forces à la cérémonie devant le monument dédié à l’Armée secrète, place Frère Orban à Bruxelles. Ce monument commémore les morts de la Résistance durant la Seconde guerre mondiale.

Les Démocrates suédois poursuivent leur progression dans les sondages.

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Les Démocrates suédois sont donnés à 6,9% dans un sondage alors qu'ils ont obtenu 5,7% lors des élections législatives du 19 septembre 2010.

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(Source : http://www.svd.se/nyheter/inrikes/s-backar-i-ny-sifo_5668...).

Spot électoral de Plateforme pour la Catalogne.

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Josep Anglada, le dirigeant de Plateforme pour la Catalogne (PxC), poursuit sa campagne en vue des élections pour le Parlement de Catalogne. Il a subi des attaques diverses : insultes, menaces de mort, agression physique, attaques au sein de la presse.

Voici le clip de campagne électoral de son parti :

13/11/2010

Les 3 députés du FPK vont rejoindre le groupe parlementaire du FPÖ.

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Autriche. Dans un futur proche, les trois députés nationaux du FPK vont siéger au sein du groupe parlementaire du FPÖ. Cette décision émane du président du FPÖ, Heinz-Christian Strache, et du président du FPK, Uwe Scheuch. Selon Uwe Scheuch, la collaboration entre les députés des deux partis fonctionne. L’entrée des députés du FPK au sein du groupe parlementaire du FPÖ est donc une conséquence logique. Les trois députés du FPK ne formant pas un groupe parlementaire, ils pourront ainsi bénéficier des structures de celui du FPÖ. Le nombre de députés au sein du groupe parlementaire sera de 37. Les 3 députés supplémentaires permettront au FPÖ d’encaisser 130.000 euros en plus par an.

Le président national du BZÖ, Josef Bucher, a déclaré que Uwe Scheuch, le président du FPK, et Gerhard Dörfler, le gouverneur de Carinthie, ont "trahi et vendu" le parti. Il a déclaré "Ainsi le FPK devient une pure filliale du FPÖ de Strache" (Cette expression "trahi et vendu" a été utilisée par HC Strache en 2008 lors d'un débat télévisé face à Jörg Haider. Lorsque ce dernier a tutoyé HC Strache, celui-ci a répondu qu’il n’acceptait pas que Jörg Haider le tutoie car, selon lui, Jörg Haider avait "trahi et vendu" le FPÖ).

Article en néerlandais sur la 4ème Journée de Synthèse nationale.

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Un article en néerlandais intitulé " La 4ème Journée de Synthèse nationale attire plus de 1000 visiteurs." conclut "par moment la salle était trop petite par rapport à la présence massive" : http://rechtsactueel.eu/index.php?option=com_content&...

Genève : un socialiste pris la main dans le sac.

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Génève. Voici un communiqué de François Baertschi, secrétaire général du Mouvement des Citoyens Genevois (MCG) :   

L’affaire Lumengo. Les socialistes qui avaient lâchement attaqué le premier MCG qui a été élu comme Maire, Thierry Cerutti, se retrouvent pris la main dans le sac. Leur conseiller national Ricardo Lumengo a commis une très grave fraude électorale en rédigeant de sa main 44 bulletins. Le MCG a été blanchi, tout en étant dénigré de manière scandaleuse par des socialistes et autres verts, qui eux se permettent n’importe quoi. C’est la loi du deux poids deux mesures !

Il y a une certitude : les socialistes sont coupables dans l’affaire Lumengo. Et on s’étonne de la complaisance dont bénéficie ce conseiller national.

Quand on pense à l’enquête gigantesque demandée par le juge socialiste qui a fait analyser les bulletins de vote du MCG lors de l’élection du Conseil administratif à Vernier en 2007, on reste songeur. Rappelons que les Verts étaient à l’origine de la dénonciation. Cela sent vraiment bien mauvais. Rappelons que le magistrat MCG Thierry Cerutti a été entièrement blanchi. Mais cela n’a pas empêché de bloquer son élection : la loi n’est pas la même que l’on soit socialiste ou MCG. C’est indigne. Pour finir, le MCG a réalisé un exploit puisque son candidat au Conseil administratif a été élu deux fois. Les électeurs ne se sont pas laisser trompé par ce coup bas assez minable.

Halte aux magouilles du PS !

Au contraire, le socialiste Lumengo, qui a clairement fraudé, n’a pas vu son élection annulée. Entre les socialistes et le MCG, il y a clairement deux poids deux mesures. C’est une grave atteinte à la démocratie – une de plus – portée par les socialistes et les verts.

On se souvient de l’indigne campagne de dénigrement contre le MCG et Thierry Cerutti, procédés indignes d’une démocratie. Par ailleurs, on observe avec étonnement la faiblesse de la peine qui frappe le socialiste Ricardo Lumengo. Il voulait seulement rendre service, nous dit-on. Mais de qui se moque-t-on ? Il a donc seulement fraudé pour être utile aux autres, et au passage à lui-même. Comment peut-on gober ça ?

Il est temps que les Citoyens soient enfin respectés et que ces magouilles politiciennes prennent fin.

12/11/2010

LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE FAIT LE PLEIN.

Voici un article du Nouveau National Hebdo à propos de la 4ème Journée de Synthèse nationale à Paris.

 

LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE FAIT LE PLEIN.

vendredi 12 novembre 2010, par Pierre Picace

 

Cela fait déjà 4 ans que Synthèse nationale et Roland Hélie organisent les Journées du même nom. Résistons à la colonisation de l’Europe était le mot d’ordre de cette année.

 

De nombreux représentants des Droites nationales européennes avaient fait le déplacement pour soutenir ce rendez-vous de la Droite nationale française. Parmi les participants étrangers on pouvait noter la présence du député de la Ligue du Nord, Mario Borghezio et également le représentant du Salemfonden suédois, Robert Westerlund, de Hilde de Lobel, représentante du Vlaams Belang flamand, d’Alberto Torresano, représentant de la revue espagnole Identidad, de Markus Wiener, secrétaire général de Pro-Bewegung, conseiller municipal de Cologne.

 

Coté français, Robert Spieler pour la NDP, Annick Martin pour leMNR, Thomas Joly pour le PdF, Francis Bergeron, Jérôme Bourbon, Jean-Claude Rolinat, Luc Pécharman, Serge Ayoub, Lionel Baland entre autres. Des membres du Front de libération du cochon ont fait une courte apparition pour donner une conférence de presse improvisée.

 

Cette année le Forum de Grenelle a semblé un peu petit pour accueillir toutes les personnes présentes à certains moments de la journées. Une affluence due peut-être en partie à la curiosité alors que le Front national se prépare à élire bientôt un nouveau président.

Discours du Secrétaire général de pro NRW lors du la 4ème Journée de Synthèse nationale à Paris.

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Voici le discours du Secrétaire général de pro NRW, Markus Wiener, lors de la 4ème journée nationale et identitaire de Synthèse nationale. (Vidéo du Nouveau National Hebdo). (Traduction en live: Lionel Baland).


Markus Wiener....
envoyé par NouveauNH.

La 4ème Journée de Synthèse nationale a remporté un grand succès.

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Voici un article du directeur de la revue Synthèse nationale, Roland Hélie :

Une fois de plus, la 4ème journée nationale et identitaire de Synthèse nationale a remporté un vif succès. C’est près de 1 000 visiteurs qui sont passés tout au long de la journée au Forum de Grenelle pour assister à cette quatrième édition de ce qui est devenu le grand rendez-vous de la résistance nationale et identitaire de l’automne. Le thème de cette 4ème journée : « Résistons à la colonisation de l’Europe ». Derrière la tribune, une grande banderole sur laquelle était résumée la raison d’être de Synthèse nationale : Résistance, Libération !

 

Les trois tables rondes et le meeting unitaire qui a conclu cette journée ont été pour les différents intervenants, chacun avec son approche des choses et sa sensibilité, l’occasion de prouver que la résistance contre la colonisation de notre continent et la dénonciation du « parti de la collaboration » est désormais une force avec laquelle il faudra compter. Le nombre croissant de participants aux journées de Synthèse nationale est là pour le prouver.

 

Le combat mené en France est le même que celui mené par les mouvements frères en Europe. Tel était le message de la première table ronde au cour de laquelle prirent successivement la parole Hilde De Lobel, ancienne député du Vlaams belang, qui avait un stand qui fut fort apprécié des visiteurs, Alberto Torresano, de la revue Identitad de Madrid, revue qui consacre dans sa dernière livraison deux pages à la NDP et à Robert Spieler, Olivier Grimaldi, le dynamique président du Cercle Franco-hispanique, et Robert Vesterlund, Président du mouvement suédois Salemfonden, venu spécialement de Stockholm pour la réunion. Lionel Baland, spécialiste des droites nationales en Europe nous a éclairés sur le développement des mouvements identitaires, particulièrement en Autriche et en Hongrie. Notons la présence de camarades hollandais et ukrainiens dans l’assistance. La dimension européenne de notre combat n’est pas une fiction pour Synthèse nationale, c’est une réalité.

 

La deuxième table ronde était consacrée à la colonisation de la France et de l’Europe. Pour en parler, nous avions invité différentes personnalités engagées soit dans le combat politique, comme Christian Perez, Président du Parti populiste, soit sur le plan éditorial, comme Franck Abed, écrivain monarchiste et catholique, et aussi animateur d’émissions appréciées des lecteurs de Synthèse nationale, l’éditeur et chroniqueur Philippe Randa que l'on ne présente plus, l’économiste Marc Rousset, auteur de La Nouvelle Europe Paris-Berlin-Moscou (Editions Godefroy de Bouillon) l’écrivain Jean Alcader, auteur d’ouvrages sur l’islamisation de la France, et notre collaborateur spécialiste de la désinformation, Arnaud Raffard de Brienne.

 

A peine cette deuxième table ronde achevée, que surgit dans la salle un groupe pour le moins pittoresque d’un commando « d’activistes armés » du FLC, entendez Front de libération du cochon, qui en quelques secondes, une fois l’étonnement de l’assistance passé (environs 300 personnes ont assisté à chacune des différentes tables rondes), teint une conférence de presse qui engendra l’enthousiasme de l’assistance, afin de dénoncer, calmement mais fermement, la prolifération du hallal dans les réseau de distribution français. « Le hallal est le cheval de Troie de l’islam dans la culture européenne » a martelé le chef du FLC avant de se retirer aussi vite qu’ils étaient arrivés. Tonnerre d’applaudissements dans la salle déjà surchauffée.

 

La troisième table ronde fut l’occasion de parler de la dimension sociale du combat nationaliste. Ainsi, Serge Ayoub, animateur du mouvement Troisième voie, expliqua les raisons de son engagement au sein du mouvement social et la nécessité pour les forces nationalistes de se référer aux luttes du passé et d’aujourd’hui. Troisième voie est le mouvement des travailleurs français pour une avant-garde solidariste. Solidarisme justement, lorsque l’on évoque le solidarisme on pense bien sûr à Francis Bergeron qui, l’an passé nous avait fait un exposé sur l’engagement dans les groupes solidaristes des années 70, et qui, cette année nous parla de Saint Loup à qui il vient de consacrer une biographie (éditée chez Pardes). Notre Cher Jean-Claude Rolinat, qui vient d’éditer un livre passionnant sur Evita Perón (chez Dualpha) évoqua, pour sa part, les liens entre le péronisme argentin et le fascisme italien.  Luc Pécharman, responsable de la NDP dans le Nord évoqua le magnifique travail social réalisé par la Vlaams Huis dans la banlieue de Lille. Au début de cette table ronde, Robert Spieler avait interrogé Olivier Bonnet sur l’évolution, depuis l’an passé, du projet La Desouchière, cette implantation identitaire au cœur du Morvan.  Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, avec le talent que nous lui connaissons, dénonça non sans malice les dégâts que pourrait subir le FN si, demain, certaines dérives libérales l’emportaient lors du congrès du mois de janvier. Si l’on s’en tient à l’applaudimètre, Jérôme Bourbon a fait tilt…  

 

Puis vint le moment du grand meeting unitaire. Après les interventions de nos amis suédois et allemand Robert Vesterlund et Markus Wiener, Secrétaire général de Pro Bewengug et conseiller municipal Pro Köln de Cologne, s’enchainèrent les discours d’Annick Martin, secrétaire générale du MNR, qui remporta un franc succès, celui du jeune et prometteur Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, puis celui de Pierre Vial qui provoqua un tonnerre d’applaudissements lorsqu’il conclu en évoquant la victoire de l’Europe blanche à laquelle nous œuvrons. Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, fit un tabac lorsqu’il dénonça les collabos qui légitiment l’occupation de la France par des populations venues d’ailleurs, collabos au premier rang desquels on retrouve certains évêques français tel que celui de Carcassonne.

 

Mario Borghezio, ancien vice-ministre de la Justice italienne et député européen de la Ligue du Nord, invité d’honneur de cette 4ème journée nationale et identitaire fit un discours enflammé en faveur de l’entente des forces nationalistes à travers l’Europe. Ce fut un grand honneur pour Synthèse nationale de recevoir ce combattant infatigable qu’est Mario Borghezio. Dans les jours qui viennent nous reviendrons sur cette intervention qui souleva toute l’adhésion des centaines de militants présents dans la salle.

 

Synthèse nationale tient à remercier toutes celles et tout ceux qui ont participé au bon déroulement de cette réunion, en particulier les militants de Troisième voie qui assuraient la protection de celle-ci,  les militants de la NDP, du MNR et de Terre et peuple qui ont aidé à la mise en place de la salle, les militants de la NDP alsacienne qui ont assuré la restauration (très vite, il fallut trouver du pain - et ce n'est pas une mince affaire le 11 novembre - car les 400 sandwiches prévus étaient épuisés, merci à Florence, Béatrice, Anne-Marie, Madeleine, Elodie, Delphine et toutes celles qui, grâce à leur gentillesse, s'occupèrent de l'accueil du millier de participants qui est passé au cours de la journée. Nous remercions aussi Rivarol, Radio Courtoisie, F Desouche, Altermedia et les dizaines de publications, blogs et site qui ont annoncé cette 4ème Journée nationale. Merci enfin aux exposants qui ont aidés au succès de cette réunion.

 

Rendez-vous l’an prochain pour la 5ème JNI, vive la victoire !

Succès de la 4ème Journée nationale et identitaire de Synthèse nationale.

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Voici des photos de cette journée :

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Avant l'ouverture des portes au public : le Vlaams Belang est le premier à avoir monté son stand. Hilde De Lobel (ancienne député), Barbara Bonte (un des espoirs du parti) et son frère Matthias Bonte.

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Le public est venu en nombre.

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Première table ronde : les partis patriotiques en Europe :Alberto Torresano, Lionel Baland, Robert Spieler, Olivier Grimaldi, Hilde De Lobel. 

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Alberto Torresano, Lionel Baland, Robert Spieler, Olivier Grimaldi, Hilde De Lobel, Robert Vestrelund.

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Deuxième table ronde sur la politique sociale du nationalisme : Francis Bergeron, Jérôme Bourbon, Robert Spieler, Jean-Claude Rolinat, Luc Pécharman, Serge Ayoub.

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Entre deux tables rondes, une intervention imprévue du Front de libération du cochon (acclamée par la foule).

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Robert Spieler répond aux questions de Canal +.

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Troisième table ronde, "Comment combattre l'invasion?" : Franck Abed, Marc Rousset, Robert Spieler, Philippe Randa, Jean Alcader.

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Mario Borghezio, Pierre Vial, Annick Martin, Thomas Joly, Roland Hélie, Markus Wiener, Lionel Baland. 

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Le public.

10/11/2010

Ce 11 novembre 2010, je participerai, à Paris, à la table ronde de 11h30 lors de la 4ème journée de Synthèse nationale.

Le programme de la 4ème journée de Synthèse nationale du jeudi 11 novembre 2010:

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 JEUDI 11 NOVEMBRE 2010

 

Forum de Grenelle

5, rue de la Croix-Nivert 75015 Paris

Métro Cambronne

 

Résistons à la

 

colonisation de l’Europe !

 

Contre les diktats de Bruxelles :

Faisons sécession !

 

Invité d’honneur :

Mario Borghezio,

député européen de la Lega Nord,

ancien vice-ministre de la Justice italienne  

 

11 h 00 : Ouverture des portes...

(entrée, 10,00 €, toute la journée : stands d’associations, de publications, de mouvements, de libraires d'éditeurs, bar et restauration rapide… liste des stands ci-dessous)         

 

11 h 30 – 12 h 15 : Première table ronde :

 

Où en sont les mouvements

nationalistes et identitaires en Europe ?

 

Avec :

- Hilde de Lobel, représentante du Vlaams Belang flamand

- Alberto Torresano, représentant de la revue espagnole Identidad

- Olivier Grimaldi, Président du Cercle Franco-hispanique

- Robert Vesterlund, fondateur du Salemfonden (Suède)

- Lionel Baland, spécialiste des mouvements nationalistes en Europe

De nombreux représentants et militants de mouvements européens seront présents lors de cette journée (Ukraine, Portugal, Pays-Bas, Allemagne, Italie, etc…)

 

13 h 45 – 14 h 30 : Deuxième table ronde :

 

Comment combattre l’invasion ?

 

 Avec : 

- Jean Alcader, écrivain (Le vrai visage de l’islam)

- Anne Kling, écrivain (La France Licratisée)

- Arnaud Raffard de Brienne, écrivain (La désinformation autour de l’immigration)

- Marc Rousset, écrivain (La Nouvelle Europe, Paris-Berlin-Moscou)

- Franck Abed, écrivain (La réconciliation impossible)

- Philippe Randa, éditeur

- Christian Perez, président du Parti Populiste

 

15 h 00 – 15 h 45 :  Troisième table ronde :

 

La nécessaire dimension sociale

du nationalisme.

 

Avec :

- Francis Bergeron, écrivain (biographies de Béraud, Daudet, Montfreid…), nous parlera de sa bio de Saint-Loup et de son prochain livre consacré à Tintin et Hergé.

- Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, évoquera l’avenir du camp national.

- Jean-Claude Rolinat, écrivain, sera interrogé sur sa bio d’Evita Peron. Question : le justicialisme est-il un fascisme sud-américain ?

- Serge Ayoub, dirigeant de Troisième Voie : la nécessité d’un syndicalisme nationaliste et solidariste.

- André Gandillon, directeur de Militant : le nationalisme à la pointe du combat social.

- Luc Pecharman : l’exemple de la Vlaams Huis, la Maison flamande de Lille, qui mêle de façon remarquable engagement social, festif et politique.

Nous évoquerons aussi le remarquable projet communautaire de la Desouchière, dans la Nièvre, plusieurs animateurs du projet seront présents.

 

16 h 30 – 18 h 00 : 

  

MEETING UNITAIRE

des responsables de la

Résistance Nationale et Européenne.

Invité d’honneur :

Mario Borghezio, député européen de la Lega Nord.

 

- Markus Wiener, secrétaire général de Pro-Bewegung, conseiller municipal de Cologne (Allemagne)

- Mario Borghezio, ancien vice-ministre italien de la justice, député européen de la Lega Nord

- Pierre Vial, président de Terre et peuple

- Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France (PDF)

- Annick Martin, secrétaire générale du MNR

- Robert Spieler, délégué général de la Nouvelle Droite Populaire (NDP)

 

Roland Hélie,

directeur de Synthèse nationale,

conclura la journée.

 

Un apéritif sera offert aux participants à 18 h 00.

 

La liste des stands : L’Alliance pour la résistance nationale, le Cercle Franco-hispanique, le Club français du livre, Diffusion du Lore, Fier de l’être, Flash, Fraternité franco-serbe, le Front comtois, Laissez les vivre, La Librairie du Savoir, La Licorne bleue, Le Local (qui s’occupera du bar),  la Nouvelle Droite Populaire, la NDP Alsace (qui assurera la restauration rapide), le Parti de la France, la librairie Primatice, les éditions SEMIS, Rivarol, Terre et peuple, Troisième voie, le Vlaams belang, Alternative’s, Patriote Production, les éditions Le Retour aux sources, Militant, Méridien zéro… et bien sûr le stand de Synthèse nationale sur lequel vous retrouverez de nombreux écrivains collaborateurs de la revue et aussi où vous pourrez vous abonner.  

Les jeunes des Démocrates suédois et du Parti du Peuple danois reçus par le Vlaams Belang.

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Le Vlaams Belang Jongeren (Jeunesse du Vlaams Belang) reçoit une délégation de jeunes du Parti du Peuple danois et des Démocrates suédois. Ils sont en Belgique pour plusieurs jours et ont déjà visité le Parlement Flamand avec Filip Dewinter. Les jeunes danois et suédois reçoivent un drapeau flamand en souvenir.

Filip Dewinter remet le livre de Thilo Sarrazin au ministre-président de Flandre.

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Belgique. Flandre. Filip Dewinter du Vlaams Belang remet, lors d’une séance de questions au sein du Parlement flamand, le livre de l’ancien dirigeant national de la Banque centrale allemande Thilo Sarrazin au ministre-président de Flandre. Selon Filip Dewinter, le multiculturel est une ineptie. 

 (Thilo Sarrazin : http://fr.wikipedia.org/wiki/Thilo_Sarrazin)

09/11/2010

Ukraine : percée des nationalistes lors du scrutin municipal et régional.

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Le dimanche 31 octobre 2010, des élections locales ont eu lieu en Ukraine. Les Ukrainiens ont désigné leurs maires, députés régionaux et conseillers municipaux. Les élections municipales n'ont cependant pas eu  lieu à Kiev, la capitale du pays, dont le maire a été élu lors d'un scrutin anticipé en 2008. Le Parti nationaliste Svoboda a emporté plus de 30% des voix au sein des villes de Lviv, Ivano-Frankiuvsk et Ternopil. Au niveau national, Svoboda arrive en cinquième position. Les élus de Svoboda entrent dans un nombre significatif d’assemblées régionales et locales. Svoboda dénonce le trucage des élections par le pouvoir en place. 

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Voir une vidéo en ukrainien sur le parti :

UDC Suisse : succès de la consultation populaire sur la politique d'asile et des étrangers.

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Attention : ne pas confondre la consultation populaire organisée par l'UDC Suisse avec la votation sur le renvoi des étrangers criminels organisée à l'initiative de l'UDC Suisse. Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% des voix :  

L'UDC a annoncé aujourd'hui les résultats de la consultation populaire lancée le 1er août 2010 sur la politique d'asile et des étrangers. Plus de 70 000 citoyennes et citoyens y ont participé. Les réponses différenciées montrent clairement que 90% des participants ne sont plus prêts à accepter le laxisme actuel en politique d'asile et des étrangers. Principaux résultats: près de 70% réclament l'expulsion systématique des étrangers criminels alors que 64% demandent l'expulsion des clandestins et l'introduction d'une naturalisation à l'essai. 

L'UDC se réjouit de la large participation de la population à cette enquête. Les réponses différenciées données au questionnaire et le fait qu'un participant sur cinq ait formulé ses propres propositions pour résoudre les problèmes révèlent bien l'égarement de la politique actuelle d'asile et des étrangers. Il est grand temps de corriger le cap. Voici les résultats en résumé: 

Mesures et soutien en % des 70‘123 participants: 

expulsion systématique des étrangers criminels 67.2%

expulsion systématique des clandestins 63.9%

naturalisation à l'essai 63.8%

déclaration de loyauté des immigrants 63.6%

révocation du permis d'établissement en cas de longue

dépendance de l'aide sociale 61.4%

regroupement familial uniquement pour personnes

connaissant la langue locale 60.6%

suppression du droit de recours en matière de naturalisation 59.9%

résiliation de la libre circulation des personnes et nouvelles

négociations 58.3%

ouverture d'une hotline nationale pour annoncer les abus 55.0%

résiliation de l'accord de libre circulation des personnes

sans nouvelles négociations 29.6%

je ne peux soutenir aucune des mesures proposées,

car celles-ci ne me semblent pas indiquées pour résoudre les

problèmes 13.2%

je ne vois pas de problème concernant les étrangers 10.6% 

Plus de 4500 personnes participant à la consultation ont demandé une documentation supplémentaire concernant l'initiative sur le renvoi et 2000 ont accepté de participer comme auxiliaires à la campagne de votation. Plus de 4200 personnes ont demandé des informations supplémentaires sur l'UDC et 1500 se sont annoncées comme nouveaux membres. Enfin, cette consultation a suscité des petits dons pour un montant total supérieur à 200 000 francs.  

La direction du parti UDC remercie toutes les personnes qui ont participé à cette consultation populaire. Les nombreuses propositions reçues seront examinées par un groupe de travail interne et introduites dans le débat politique. Il s'agira notamment de vérifier l'opportunité du lancement de nouvelles initiatives populaires concernant la politique des étrangers. Un autre accent sera mis sur les parlements cantonaux afin que les propositions touchant aux cantons et aux communes soient débattues au niveau adéquat.

Le PVV de Geert Wilders premier parti chez les homosexuels.

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Pays-Bas. Un sondage organisé par un magazine pour homosexuels intitulé Gay Krant donne le PVV en première position à 22,5% des intentions de vote. Le sondage a été réalisé parmi 1024 personnes. (Source : De Telegraaf)

Geert Wilders parlera en Israël.

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La Haye. Le dirigeant du PVV Geert Wilders se rendra en Israël afin d’expliquer son point de vue « La Jordanie sera le seul État palestinien qui verra le jour». Geert Wilders est invité par le Député Arieh Eldad à venir s’exprimer à Tel Aviv. Arieh Eldad est membre de l’Union nationale.

Si son agenda le permet, Geert Wilders parlera peut-être avec le Ministre des affaires étrangères Avigdor Lieberman, membre du Parti ultranationaliste Israël Beytenou.  (Source : De Telegraaf)

Conférence de presse internationale à propos du livre sur la séparation de la Belgique.

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Belgique. Flandre. Gerolf Annemans et Steven Utsi ont donné une conférence de presse devant un parterre international de journalistes à propos du livre en néerlandais «  La séparation ordonnée de la Belgique – Oxygène pour la Flandre ». Le Président du Vlaaams Belang Bruno Valkeniers et le Député européen Philip Claeys ont participé à la conférence de presse.

Italie : la majorité se dissout et pourtant le gouvernement ne tombe pas.

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« L’axe du nord » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « La tentation de faire comme si de rien n’était est évidente. Le silence de Silvio Berlusconi et la volonté de la Ligue d’aller de l’avant comme si Fini n’avait pas lancé d’ultimatum dimanche le prouvent. Mais il faut prendre acte qu’une phase s’achève et que la crise se rapproche, tout en évitant une implosion du centre droit qui nuirait au pays. C’est pour cela que Napolitano a rappelé que budget de l’Etat et pacte de stabilité sont des ‘engagements auxquels on ne peut déroger’, craignant que la situation ne s’accélère. Cependant, on ne se demande plus désormais si et quand le gouvernement tombera mais plutôt comment. La course contre la montre devient dramatique si l’on pense, par exemple, qu’à la mi-décembre la Cour constitutionnelle doit se prononcer sur l’empêchement légitime. On ne sait ce qui se produira ensuite. La rencontre d’hier entre Berlusconi et Bossi est un point en faveur du président du Conseil. Leur position est identique : aucune solution alternative à ce gouvernement quand il tombera mais des élections anticipées – bien que la Ligue cherche encore une médiation avec FLI. La voie d’issue suggérée par Fini est uniquement théorique : une coalition avec l’UdC de Casini signifierait admettre l’échec de l’axe du nord. Fini n’est pas toujours très clair dans son propos – il dit souhaiter renforcer le centre droit et menace en parallèle du retrait de ‘ses’ ministres sous 48h. En bref, à court terme, FLI et UdC poursuivent le même objectif : faire tomber Berlusconi et donner vie à un gouvernement qui change la loi électorale et leurs leaders proposent une alliance identique à celle rompue en 2008 quand Fini choisit le PdL, laissant Casini à son destin solitaire. Sur leur parcours pèsent des inconnues, dues en premier lieu à qui prendra la responsabilité de la crise. Si des élections avaient lieu au printemps avec le même mode de scrutin, les ambitions de l’UdC et des finiens pourraient se révéler difficiles, non seulement à imposer, mais à concilier. Dans les phases de transition, tous sont de plus en plus seuls. »  

« Le soutien de Bossi, ses limites et les échéances de décembre » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « La majorité se dissout et pourtant le gouvernement ne tombe pas : voilà comment on pourrait résumer la tragicomédie italienne actuelle après les propos de Fini à Pérouse. Ce dernier est désormais bien éloigné de Berlusconi, mais le Cavaliere peut compter sur l’appui de la Ligue. Un soutien décisif qui pourrait lui coûter cher. C’est désormais Bossi qui mène le jeu et Berlusconi est à sa merci. Le chef de file de la Ligue pourrait provoquer une crise immédiate, demander un remaniement du gouvernement, voire détrôner le Président du Conseil au profit de quelqu’un d’autre, ou demander une majorité différente de l’actuelle. Mais tout cela n’a pas lieu pour une série de raisons. D’abord il ne peut pas compter sur FLI et l’UdC, qui sont plutôt orientés vers un front anti-Ligue. Berlusconi est encore très utile à Bossi, à condition que le jeu ne dure pas trop car même au sein de la Ligue, on constate un malaise croissant à l’égard du Cavaliere. Bossi n’est pas pressé, et le voilà donc qui se rend avec Berlusconi vers les plaines alluvionnées de la région de Venise, administrée d’ailleurs par la Ligue. Il faut parler au pays, surtout au Nord, en vue des prochaines élections. Des gestes concrets, donc, comme la priorité du Budget, récemment rappelée par G. Napolitano. Ensuite le fédéralisme fiscal, réforme cruciale pour Bossi qui compte la réaliser pour décembre. Ensuite ? La situation pourra difficilement aller de l’avant ainsi. Quand la loi de finances et le fédéralisme seront passés, il n’y aura plus de raison de maintenir le château de cartes tel quel et un prétexte peut être facilement trouvé même si la suite n’est pas encore sûre : des élections selon toute probabilité. Mais le chef léghiste tente toujours d’avoir plusieurs cartes à jouer. Plus que Berlusconi, son objectif est d’avoir un poids dans la nouvelle législature, avec la nouvelle majorité qui sortira des urnes. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome)