19/03/2021
"Giorgetti et Salvini divisés sur les vaccins."
Italie. Revue de presse.
La reprise de la campagne de vaccination, à la suite de la confirmation par l’EMA de l’innocuité du vaccin AstraZeneca, fait la Une des quotidiens italiens. La cérémonie, hier à Bergame, à l’occasion de la journée nationale d’hommage aux victimes de la Covid par le Président du Conseil M. Draghi est également citée : « AstraZeneca, la campagne reprend » - Draghi à Bergame pour rendre hommage aux victimes de la pandémie (Corriere della Sera), « Vaccin, la course contre la montre » - Pour l’EMA le vaccin AstraZeneca est sûr et efficace. La campagne reprend pour récupérer 200 000 doses (La Repubblica), « AstraZeneca est sûr, la campagne reprend » - Draghi à Bergame : l’Etat est là (La Stampa), « L’EMA réhabilite AstraZeneca, le plan de vaccination peut accélérer » (Sole 24 Ore), « Les régions resserrent l’étau » - Nouvelles restrictions pour les déplacements vers les habitations secondaires (Il Messagggero), « Maintenant arrêtons la psychose » - L’EMA apporte des clarifications, Draghi annonce la reprise des vaccinations (Il Giornale), « Giorgetti et Salvini divisés sur les vaccins » - Le ministre préfère les vaccins américains, Salvini défend le sérum russe (Il Fatto Quotidiano).
COMMENTAIRE, Corriere della Sera, Massimo Franco « Le M5S se divise afin de gagner en légitimité en Europe » : « La polémique entre les ‘anciens’ et les ‘nouveaux’ des Cinq Etoiles est dure mais elle était prévisible et pourrait même avoir des effets positifs. Une fracture autour de l’adhésion à l’euro, aux institutions européennes et à l’OTAN en ressort. Les prises de position devraient rendre irréversible le virage d’une partie du M5S et diviser un peu plus ce front populiste et souverainiste qui avait fait irruption lors des élections de 2018. Même la Ligue s’est convertie à l’européisme de Mario Draghi, en un éclair et tout d’un bloc, bien que de temps à autre l’euroscepticisme de son chef Matteo Salvini refasse surface. Pour les Cinq Etoiles en revanche, le passage s’est révélé traumatisant, révélant la crise latente qui durait depuis des mois. La confirmation est arrivée hier, avec les accusations qui ont fusé entre Luigi Di Maio et ceux qui ont quitté le M5S. Le ministre des Affaires étrangères a dénoncé leur attachement à l’idée d’un Brexit italien et a affirmé qu’avec la direction de Giuseppe Conte ‘’l’atlantisme et les valeurs européennes seront renforcées’’. Luigi Di Maio tente de définir une identité modérée, proche du PD d’Enrico Letta, et de se placer à peu près au même niveau sur l’échiquier politique. Il tente aussi de faire oublier les ouvertures passées vers la Russie et la Chine. Mais ses adversaires n’ont pas manqué de lui rappeler un passé pas si lointain et le referendum contre l’euro qu’il réclamait il y a trois ans, l’accusant d’être de mauvaise foi et incohérent. Ce conflit traverse la ‘force de majorité relative’ même au Parlement, influence ses rapports avec le gouvernement et même au niveau local, ne serait-ce qu’avec les élections à Rome. Mais cela semble le prix à pays pour se débarrasser de cette image ambiguë qui empêche encore le Mouvement de se faire accepter parmi les grandes familles politiques européennes. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
17:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Article de Lionel Baland : raz de marée libéral sur les Pays-Bas lors des législatives, les patriotes en progression.
Pays-Bas. Raz de marée libéral sur les Pays-Bas lors des législatives, les patriotes en progression :
https://www.breizh-info.com/2021/03/18/160983/raz-de-mare...
04:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
18/03/2021
Thaïs d'Escufon en couverture du magazine des jeunesses du Vlaams Belang.
22:17 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les (vrais) Finlandais donnés à 22 %.
Finlande. Les (Vrais) Finlandais sont donnés premiers à 22 % au sein d’un sondage Kantar TNS, devant les sociaux-démocrates donnés à 21 %.
19:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
Thuringe : l'AfD donnée à 23 %.
Allemagne. Thuringe. En vue des élections pour le Parlement de Thuringe de fin septembre 2021, les nationaliste de l'AfD sont donnés à 23 % et les post-communistes de die Linke à 30 %.
(https://www.wahlrecht.de/umfragen/landtage/thueringen.htm)
Die Linke : post-communistes
AfD : patriotes
CDU : démocrates-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
Sonstige : autres
18:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pays-Bas : progression des patriotes lors des législatives.
Pays-Bas. Lors des élections législatives, qui se sont terminées ce mercredi 17 mars 2021 à 21h, les trois partis patriotiques obtiennent ensemble 29 élus sur 150 : le PVV de Geert Wilders 17 (soit -3), le Forum voor Democratie de Thierry Baudet 8 (soit +6) et JA21 dirigé par Joost Eerdmans 4 (soit +4).
Les libéraux de droite du VVD et les libéraux de gauche de D66 sont les grands vainqueurs du scrutin. Les écologistes et la gauche de la gauche (SP) reculent fortement.
(https://nos.nl/collectie/13860/artikel/2373037-bekijk-hie...)
15:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
Coronavirus : "Salvini place ses hommes au sein du comité d'experts CTS."
Italie. Revue de presse.
L'autorisation du vaccin AstraZeneca par l'Ema, prévue pour aujourd'hui, et la visite du Président du Conseil M. Draghi à Bergame, ville-symbole de la première vague de l'épidémie, font les gros titres des médias italiens : « Les vaccinations reprennent avec plus de contrôles » (La Repubblica), « Draghi mobilise les pharmaciens : ils pourront vacciner » (La Stampa), « Salvini place ses hommes au sein du comité d'experts CTS» (Il Fatto Quotidiano), « L'appel de Draghi : il faut que tout le monde soit vacciné » - Draghi se rend aujourd'hui à Bergame. l'Ema serait prête à autoriser AstraZeneca (Il Giornale).
(Traduction :ambassade de France à Rome)
15:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
17/03/2021
Matteo Salvini : "Une guerre contre certains vaccins pour des logiques économiques."
Italie. Revue de presse.
ENTRETIEN, Il Messaggero, de Matteo Salvini, dirigeant de la Ligue « Une guerre contre certains vaccins pour des logiques économiques» : « ‘’ Il faut moins d’annonces et de confusion, et plus de transparence. Surtout, l’imbroglio en cours confirme l’échec total de l’Europe, qui sur les vaccins est en train de se tromper sur tous les fronts. Le gouvernement a donc raison de travailler pour produire les vaccins anti-Covid en Italie et pour chercher ailleurs d’autres vaccins, sur l’exemple de Saint-Marin, de l’Inde, de la Russie, des Etats-Unis ou d’Israël. Pour la santé des Italiens, tout doit être tenté. On a assisté à un vrai imbroglio sur AstraZeneca : outre Bruxelles, la maison pharmaceutique a, elle aussi, fait des erreurs de communication. Sans compter un certain terrorisme médiatique de la part des télévisions et des quotidiens italiens ces derniers mois. Il est juste qu’en Europe comme en Italie certains doivent payer leurs erreurs. Il faut repenser la gouvernance de l’AIFA (agence italienne pour le médicament). Comme je l’ai déjà dit, le dossier des vaccins était, dès le début, géré par les dirigeants de l’UE qui ont fait jusque-là plusieurs annonces, souvent contradictoires, et trop de dégâts. Le gouvernement italien est en train de récupérer le temps perdu à l'échelle nationale, grâce aux efforts du ministre Giorgetti pour produire au plus vite des vaccins en Italie. Je crois que l’Ema et Bruxelles nous diront rapidement si le vaccin Spoutnik peut être ou pas utilisé. Il n'est pas possible d’avoir des préjugés géopolitiques ou d’autre nature. Si un vaccin est sûr, l’Italie doit pouvoir l’acheter. La République de Saint-Marin est en train de faire vacciner rapidement des milliers de citoyens justement avec le Spoutnik, jusque-là sans aucun effet indésirable. L’Europe est en train de révéler ses limites structurelles, notamment politiques. J’espère qu’une réflexion s’ouvrira sur la façon de changer la gouvernance car après la crise Covid il faudra faire face aux répercussions économiques et sociales avec plus de courage, de rapidité et d’union. Sur la Chine, je me limiterai à dire que j’attends une commission d'enquête internationale pouvant se prononcer sur les mensonges, les retards et les responsabilités dans la diffusion du virus. Il est clair que tout a commencé en Chine. Je signale à Letta que l’Italie est déjà le premier pays européen pour l’octroi de la citoyenneté, sans devoir modifier aucune loi. Sur le droit de vote aux jeunes de 16 ans, je suis d’accord, mais maintenant la priorité est de les faire revenir au plus vite à l’école en présentiel. Et sur une loi électorale majoritaire, la Ligue est d’accord’’ »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
17:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
Article de Lionel Baland : Allemagne, recul de l’AfD lors de deux élections régionales : Jürgen Elsässer estime que le seul espoir réside dans la résistance extraparlementaire.
Allemagne. Recul de l’AfD lors de deux élections régionales : Jürgen Elsässer estime que le seul espoir réside dans la résistance extraparlementaire :
https://www.breizh-info.com/2021/03/17/160771/allemagne-r...
Jürgen Elsässer dirige la revue patriotique Compact.
16:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
16/03/2021
Giorgia Meloni : "Le gouvernement est encore immobile."
Italie. Revue de presse.
ARTICLE Corriere della Sera, M. Guerzoni « Le feu vert du Président du Conseil ‘’nous devons agir en harmonie avec l’Europe’’ » : « Le raisonnement au terme duquel Mario Draghi a donné son accord à la suspension ‘’par précaution’’ au vaccin AstraZeneca a été le suivant : ‘’nous devons agir en harmonie avec les autres pays européens’’. Une décision difficile, certes, et qui prend de court les citoyens et les opérateurs sanitaires. Elle était toutefois inévitable après la décision rapide par laquelle l’Allemagne, la France, les Pays-Bas et l’Espagne ont arrêté les vaccinations dans l’attente de l’avis de l’EMA. L’inquiétude est élevée, au Palais Chigi et au ministère de la Santé. Il y a une crainte que la campagne vaccinale puisse subir un coup d’arrêt et que les Italiens perdent confiance dans le vaccin. ‘’Le vaccin est la seule clé à disposition pour sortir de la pandémie’’ : une réflexion qui tourmente le ministre Speranza. Il y a seulement deux jours, l’Aifa, l’agence pour le médicament italien, assurait dans le quotidien La Repubblica : ‘’les vaccins en Italie et en Europe sont tous efficaces et sûrs’’. Or, hier après-midi, pendant que Salvini dénonçait ‘’l’énième échec de l’Europe’’, le ministre Speranza appelait Draghi pour l’informer que la vague européenne de mesures de précaution sur le brevet d’Oxford allait toucher également l’Italie. Selon Draghi, trois ou quatre jours d’arrêt ne sont pas un problème. Ce qui compte, c’est que les l’agences ‘’fassent toute la lumière au plus vite’’ pour que l’on puisse redémarrer en toute sécurité. Le Palais Chigi veut surtout ‘’faire attention à ne pas générer l’idée que l’Italie veuille revoir son attitude envers AstraZeneca’’. La Présidence du Conseil et le ministère de la Santé sont en train d’élaborer une campagne de communication d’envergure pour réconcilier les citoyens avec les vaccins ».
COMMENTAIRE, Corriere della Sera, de Massimo Franco « Le nouveau chef du Parti démocrate se targue d’une parfaite harmonie avec Draghi » : « Bien qu’il ait peu été relevé, le passage le plus novateur du discours de Letta ce dimanche portait sur le gouvernement Draghi. Enrico Letta voit dans ce nouvel exécutif le laboratoire qui permettra à son parti de réaffirmer sa propre identité et ses alliances. Pour lui, ce serait plutôt à Matteo Salvini d’expliquer sa soudaine adhésion à une majorité européiste. Contrairement à Zingaretti, il souligne ouvertement la rupture entre cette nouvelle majorité et la précédente. Elle est claire, effectivement, non seulement dans sa composition mais aussi en raison des changements accomplis par Draghi dès son arrivée concernant « l’Etat profond » : services secrets, direction des forces de police, commissaire pour l’urgence sanitaire, Protection civile. Dans cette phase-là, Zingaretti a laissé le PD s’effacer au profit du centre-droit qui s’est félicité et a largement applaudi Draghi pour ses choix. Comme si le PD, en approuvant ouvertement ces changements, risquait de froisser un Mouvement 5 Etoiles alors « orphelin » de sa figure de proue. Une improbable alliance stratégique entre les deux partis était alors en discussion. Letta a, avec délicatesse mais sans équivoque, brisé le tabou du rapport avec le M5S. Ce lien reste bien sûr important pour la conquête électorale de certaines grandes villes, pour jouir d’un semblant de majorité lors de l’élection du chef de l’Etat en 2022. Mais Letta veut avant tout reconstruire le centre-gauche, d’où l’évocation d’emblée de thèmes impopulaires tels que le droit du sol. Il s’agit de marquer le territoire de la gauche. Il considère le gouvernement Draghi comme celui qui permettra au Parti démocrate d’avancer sur ses priorités. »
COMMENTAIRE, La Repubblica, par Stefano Folli, “Le parti démocrate et la nostalgie du Mattarellum ». « L'Italie qui souffre du covid et de la crise économique, a besoin de tout, sauf d'une autre discussion stérile sur la loi électorale. Le problème est qu'Enrico Letta n'a pas encore expliqué où il veut aller et avec quels compagnons de route. Dans le discours de dimanche, il en a dit un peu, mais pas assez. Parler un peu "par surprise" de droit du sol ou du vote pour les jeunes de 16 ans, c'est se tourner à gauche, avec le désir de récupérer soutien et sympathie, mais alors la question de fond reste la relation avec les Cinq étoiles. Et là, tout reste encore à éclaircir. L'unité d'action de l'ère Zingaretti semble s'effacer au profit d'une relation plus pragmatique, mais le dilemme est évident : Letta souhaite-t-il une confrontation compétitive sur le modèle du "que le meilleur gagne" - ou préfère-t-il finalement conclure une série d'accords préélectoraux, afin de se présenter devant les électeurs sous la forme d'une coalition ? Le nouveau secrétaire a confié au journal Le Monde sa priorité : sauver le PD du sort funeste des socialistes français, où "l'aile droite est partie avec Macron et l'aile gauche avec Mélenchon". Cette dissolution n'a pas eu lieu en Italie, avant tout parce que nous n'avons pas de Macron domestique - c'était le rêve de Renzi, mais trop d'eau a coulé sous les ponts - et, concernant Mélenchon, les formations d'extrême gauche sont faibles et dispersées. Cependant, les risques que le Pd ne survive pas aux temps nouveaux sont loin d'être écartés. Les Cinq Étoiles, avec leurs limites et la modestie de leurs dirigeants, sont un concurrent redoutable, peut-être aujourd'hui plus qu'hier. Et les derniers sondages n'indiquent pas par hasard que, bien que tous deux en crise, le M5S a plus de voix que le Pd (ensemble, ils rassemblent à peine plus que les voix que le mouvement seul avait en 2018). Il s'ensuit que Letta ne peut pas proposer une forme de subordination de la Pd à l'égard de n'importe quel partenaire. Ce n'est pas une coïncidence si le nouveau secrétaire a insisté sur le fait que le leadership de l'alliance ne peut être cédé. Excellente intention, mais il reste encore beaucoup de chemin à parcourir avant de définir une réforme électorale. Pour le moment, le PD ne semble pas en mesure d'exercer la primauté : ni au sein du centre-gauche ni dans le pays, où la droite reste en tête. Et quelle réforme, alors ? Romano Prodi, le mentor de Letta, a écrit dans Il Messaggero que l'idée d'une "médiation à tout prix" doit être mise de côté. Selon lui, les objectifs de la phase actuelle "ne peuvent être atteints que par un système majoritaire". Et en fait, le secrétaire, comme il l'a dit lui-même, pense au « Mattarellum ». C'était certainement un excellent modèle électoral, mais dans une Italie différente de celle d'aujourd'hui. Actuellement, le système majoritaire livrerait l'Italie au bloc Lega-FdI-FI et, surtout dans le Nord, ne laisserait aucune issue au PD et à ses alliés. Il s'agit donc de récupérer d'abord le terrain perdu, de sortir sans dommage des élections municipales de l'automne et de réduire la taille du parti Cinq étoiles. Si cette tâche devait s'avérer trop ardue, le Mattarellum ne serait pas le choix le plus approprié. »
ENTRETIEN, Il Messaggero, d’Enzo Amendola, Secrétaire d’Etat délégué aux Affaires Européennes et membre du Parti démocrate « Le Pd est le moteur du gouvernement. En Europe nous avons désormais plus d’influence » : « ‘’Le défi du PD est de s’ouvrir aux nouvelles générations. L’appel de Letta ne doit pas être lu comme un signe de paix au sein du parti mais une invitation à sortir de nos habitudes. Letta a tracé un parcours ambitieux car nous devons être le moteur du gouvernement Draghi et de son engagement à maintenir l’unité du pays. D’autre part, il faut reconstruire le terrain progressiste et démocratique du parti. Au sujet de l’immigration, nous sommes en train de négocier en Europe un nouvel accord pouvant permettre d’obtenir de la solidarité. Le droit du sol nous parle du profil et des valeurs d’une force progressiste. Nous sommes tous engagés à soutenir le gouvernement Draghi mais que personne ne demande aux partis de renoncer à leur propre identité et à leurs programmes. Cela vaut pour le PD tout comme pour Salvini. Avec le M5S nous avons fait un bout de chemin ensemble. Nous attendons maintenant de savoir quel sera leur profil politique et leur place en Europe. Sur la base de cela, nous évaluerons le chemin à faire ensemble. Le parcours indiqué par Letta est clair et est ouvert à toutes les forces progressistes et démocratiques. Le plan de relance italien est en lecture auprès des Chambres, car pour nous les réformes, la justice et l’administration représentent un passage important et doivent passer par le Parlement. Avec la Ligue et tous les partis de la majorité, nous devons œuvrer pour renforcer l’influence de l’Italie en Europe. Il y a des négociations importantes qui sont en cours, telles que la réforme du Pacte de Stabilité, comme proposé par le Commissaire Gentiloni, et le nouveau pacte pour les migrations. Plusieurs questions qui aideront à changer en mieux à la fois l’Italie et l’Europe ‘’ »
ENTRETIEN, La Stampa, de Giorgia Meloni, dirigeante de Fratelli d’Italia « Le gouvernement est encore immobile et avec Letta c’est le statu quo qui empêche un tournant [pour le PD]’’» : « ‘’Il est difficile de dire si avec Draghi il y a eu une vraie rupture avec le passé, voire une accélération. Les vrais défis arrivent maintenant. Il est vrai aussi que le remplacement d’Arcuri par le général Figliuolo comme Commissaire spécial contre la pandémie a été un signal important. Mais il s’agit du seul signal de changement à ce stade. C’était d’ailleurs l’une de nos demandes faites lors de notre entrevue avec Draghi. Fratelli d’Italia s’oppose sans préjugés et sans cadeaux au gouvernement Draghi. Je remarque une grande continuité avec le gouvernement précédent. Quant au décret sur les aides aux secteurs les plus touchés, il n’y a pas de trace écrite. On évoque 10 milliards, qui sont sans doute mieux que 5, mais il faut comprendre si ces sommes que l’on dépense serviront pour assurer la survie des entreprises. Mais si on veut s’obstiner à garder le ‘’cashback’’ [système de remboursement des achats par carte bancaire plutôt qu’en liquide, ndt], alors cela ne va pas du tout. Nous ne sommes pas dans une situation où il est possible de dépenser de l’argent qui ne produit pas de valeur. Nous attendons de voir si Draghi accueillera ou pas notre demande de verser les 5 milliards prévus pour le ‘’Cashback’’ aux entreprises en crise. La proposition d’Enrico Letta d’introduire en Italie le droit du sol pour lancer un appel à son électorat me parait une erreur. Le PD et la gauche ont des électeurs qui n’ont plus aucune certitude sur l’emploi et l’avenir de leurs enfants. Cela me parait une arme de distraction massive pour cacher l’incapacité de ce gouvernement à donner des réponses sensées sur les fermetures, sur l’échec de la lutte contre la Covid. Letta, je le connais depuis longtemps, il est très apprécié par les Français, lesquels, en cette phase historique - ce n’est pas moi qui le dit mais les services de renseignements – ont une attitude fortement prédatrice sur nos infrastructures et nos entreprises’’ ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
15:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
La Ligue est donnée à 24,2 % et Frères d'Italie à 17 %.
Italie. La Ligue est donnée à 24,2 % et Frères d'Italie à 17 %.
Ligue : patriotes
Parti démocrate : centre-gauche
M5S : anti-système
Frères d'Italie : patriotes
Forza Italia : conservateurs
00:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
15/03/2021
Article de Ferenc Almassy : Hongrie : les nationalistes manifestent contre les mesures covidiennes.
Hongrie. Les nationalistes manifestent contre les mesures covidiennes :
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Hesse : lors des élections municipales, les patriotes de l'AfD reculent de 11,9 % à 8,1 %.
Allemagne. Hesse. Lors des élections municipales, les patriotes de l'AfD reculent de 11,9 % à 8,1 %.
wahlen.statistik.hessen.de)
18:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
Rhénanie-Palatinat : les électeurs qui ont fui l'AfD se sont réfugiés dans l'abstention.
Allemagne. Rhénanie-Palatinat.
SPD : sociaux-démocrates
CDU : démocrates-chrétiens
FDP : libéraux
Grüne : écologistes
FW : électeurs libres
Nichtwähler : abstention
Andere : autres
16:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
En Rhénanie-Palatinat, l’AfD recule de 4,3 points et tombe à 8,3 %.
Allemagne. Rhénanie-Palatinat. Élections du 14 mars 2021 pour le Parlement.
Résultats :
SPD : sociaux-démocrates
CDU : démocrates-chrétiens
AfD : patriotes
FDP : libéraux
Grüne : écologistes
die Linke : post-communistes
FW : électeurs libres
Andere : autres
Gains et pertes :
Répartition des sièges :
L'AfD tombe de 14 à 9 sièges.
Évolution depuis 1947 :
(Landeswahlleiter Rheinland-Pfalz | Ergebnisse der Landtagswahl 2021 (rlp.de))
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" Le centre-droit avertit le Parti démocrate : ‘’relancer la question du droit du sol ? Ça commence mal avec le nouveau secrétaire.""
Italie. Revue de presse.
L'entrée en vigueur des nouvelles restrictions à partir d’aujourd’hui plaçant presque toute l’Italie en zone rouge (confinement) ou orange (semi-fermeture) fait les gros titres des médias italiens. Les polémiques autour du vaccin AstraZeneca après le décès d'un professeur piémontais sont aussi commentées : « L'Italie fermée jusqu'à Pâques » - Dix régions en zone rouge, les autres en zone orange (Corriere della Sera), « Vaccins, tous les pouvoirs au gouvernement » - Le Piémont poussé à faire marche arrière sur sa décision d'interrompre l’administration des vaccins AstraZeneca (La Repubblica), « AstraZeneca devient un problème » - Mais les experts assurent : le vaccin est sûr (La Stampa), « AstraZeneca, de nouvelles suspensions» - Un lot suspendu au Piémont après la mort d'un professeur. L'Irlande décide de bloquer le vaccin (Il Messaggero), « AstraZeneca, une réunion convoquée d'urgence » (Il Mattino).
La nomination de l'ancien Président du Conseil Enrico Letta à la tête du Parti démocrate est aussi largement citée : « Letta conquiert le PD et appelle Conte » (Il Fatto Quotidiano), « Letta, la dernière chance [pour le PD]» (Domani).
ARTICLE, La Repubblica, Letta : "Nous sommes ici pour gagner avec des réformes et un nouveau PD" . Et il soulève la question du droit du sol. » : « Sept points dans le programme et une référence, c'est l'héritage de son maître Beniamino Andreatta : la politique s'accompagne de la vérité ("Rien n'est plus subversif que la vérité") et du sens de la mesure. Enrico Letta est le nouveau secrétaire du PD, élu à la majorité absolue (860 oui, 2 non et 4 abstentions) par l'assemblée des mille délégués, qui s’est déroulée pour la première fois en ligne. Letta vise une révolution copernicienne dans le parti et dans la politique. Sans oublier personne : à commencer par le secrétaire démissionnaire, Nicola Zingaretti, accusant les courants et la lutte de pouvoir interne et provoquant ainsi un choc dans le parti, conduisant à l’élection de Letta. C'est donc Zingaretti que Letta est le premier à remercier : "Une relation d'amitié et d'harmonie nous lie, merci de d’être venu me chercher, nous avons un caractère similaire, nous nous comprenons". Mais au premier plan, outre les slogans ("Il ne faut pas un nouveau secrétaire, il faut un nouveau DP"), il y a les objectifs : les femmes et l'égalité des sexes ("Je m'en occupe"), les jeunes et le vote à partir de 16 ans, le changement climatique et la lutte contre la pandémie, la dette publique et la question démographique à traiter, le droit du sol à relancer, le paquet de réformes et la participation des travailleurs dans les entreprises.
Convaincu qu’il faut soutenir le gouvernement, mais qu’il faut aussi une vision pour l'après et une stratégie d'alliances, car la "coalition est cruciale". Letta a expliqué : "Nous soutenons le gouvernement Draghi, dont le Parti démocrate doit être le moteur parce que c'est notre gouvernement, mais en attendant, nous devons construire l'après. Le PD doit être central, défiant les alliés, nous devons construire une nouvelle initiative de centre-gauche et le leadership du PD", d'où le dialogue avec Leu, Bonino, Calenda, Renzi, les Verts et le M5S dirigé par Giuseppe Conte. Letta n'a certainement pas une vision subordonnée au M5S, mais la conscience que les 5 étoiles sont des alliés naturels pour les prochaines élections municipales et celles d’après ».
ARTICLE, La Repubblica, « Letta - La rencontre avec Draghi et le rôle de Gentiloni "C'est notre gouvernement" : « C'est un coup de téléphone de Mario Draghi qui lui a fait vaincre toute résistance résiduelle, alors qu'à Paris il hésitait encore entre accepter ou refuser le retour à la politique italienne : la direction d'un parti à l'agonie, qui sept ans plus tôt l'avait trahi. Et maintenant, c'est une rencontre avec le Premier ministre que le nouveau secrétaire du Parti démocrate veut mettre à l'ordre du jour. Pour Letta, "Le gouvernement Draghi est notre gouvernement, c'est plutôt la Ligue qui doit expliquer pourquoi elle le soutient ». Alors que Nicola Zingaretti - trop exposé sur le soutien à son prédécesseur et l'échec de Conte ter - n'avait pas été en mesure de dire jusqu'à présent. D'autre part, ce n'est un secret pour personne que les deux hommes se connaissent et se respectent depuis longtemps. Du moins depuis les années où Letta était à la tête de l'exécutif, tandis que l'actuel premier ministre présidait la BCE. Tous deux étaient aux prises avec de graves problèmes : les conséquences de la crise de la dette souveraine européenne, qui a fait trembler l'Italie, et les règles strictes du Pacte de stabilité. Un jeu de va-et-vient dans l'intérêt du pays qui, avec la "complicité" de Paolo Gentiloni, l'un des plus grands artisans de l'appel aux armes démocratiques de Letta, s'est renouvelé lorsque le Premier ministre a expliqué pourquoi il était si important que ce soit lui qui porte le PD. Une force politique indispensable à la stabilité du gouvernement d’unité nationale fortement souhaité par Sergio Mattarella. La faiblesse et l'absence de leadership démocrate risqueraient en effet de mettre en péril le gouvernement ainsi que les dossiers les plus importants, menés laborieusement : gestion de l'urgence sanitaire, plan de vaccination et plan de relance, qui resteraient sinon à la merci des incursions solitaires de Matteo Salvini. Ce n'est que la première d'une série de réunions institutionnelles, que Letta entend accompagner d'une réforme profonde du parti. L'objectif est de réduire progressivement le poids des courants, qui devront évoluer de centres de pouvoir organisés en moteur du pluralisme interne. C'est l'objectif de l'Agora démocratique, un projet sur lequel "ses" jeunes, les étudiants des écoles de sciences politiques promues par le nouveau secrétaire dans toute l'Europe, travaillent déjà depuis un certain temps. Et avant l’été, immédiatement avant ou immédiatement après selon la pandémie, devrait se tenir une grande Assemblée des outsiders, sur le modèle de celle qu'avait organisée fin 1981 une Démocratie chrétienne alors en plein désarroi pour donner un signal fort de renouveau et d'ouverture à la société.
Aujourd'hui, comme par le passé, l'idée est d'impliquer les meilleurs esprits, pas seulement italiens - professeurs, économistes, politologues, représentants du monde de la culture, du travail et de l'entreprise - pour aider à redéfinir l'identité et le rôle du parti démocrate dans le pays submergé par le Covid ».
ARTICLE, Corriere della Sera, de Marco Cremonesi « Le centre-droit avertit le Parti démocrate : ‘’relancer la question du droit du sol ? Ça commence mal avec le nouveau secrétaire » : « ‘’Si, à peine revenu de Paris, il commence comme ça, alors ça démarre vraiment mal. Remettre sur la table la question de l’acquisition facile de la nationalité par les immigrés ? Résolvons d’abord les problèmes des Italiens’’, a tout de suite déclaré Matteo Salvini, en réaction aux déclarations d’Enrico Letta qui a dit vouloir ‘’relancer le droit du sol, une règle de civisme’’. Le nouveau secrétaire démocrate a tout de suite tenté de rendre une certaine identité à sa famille politique avec cette proposition ouvertement à gauche. Mais la majorité protéiforme de Draghi ne l’a pas très bien accueillie, à commencer par le centre-droit. La Ligue et Forza Italia dénoncent une perte de temps au vu des priorités actuelles, alors que Giorgia Meloni envoie au passage une pique à ses alliés ayant accepté de prendre part au gouvernement. Le chef du groupe parlementaire de Fratelli d’Italia, Francesco Lollobrigida, met en avant les années passées en France par Enrico Letta avec une pointe d’amertume : ‘’parfois, il vaut mieux que les cerveaux qui ont fui restent à l’étranger’’. La posture de Forza Italia est plus contrastée : si l’arrivée de Letta est plutôt saluée et que certains seraient même prêts à accueillir un certain réformisme, le refus d’évoluer sur la question du droit du sol domine. Selon Anna Maria Bernini, chef du Group FI au Sénat, la priorité actuelle reste la crise sanitaire et puis ce n’est pas le moment de diviser le gouvernement avec ce genre de sujets. »
ENTRETIEN, Il Mattino, de Matteo Salvini, dirigeant de la Ligue « Il faut annuler 50 millions d’avis d'imposition » : « ‘’Le gouvernement travaille pour produire des médicaments anti-Covid en Italie avec un investissement concret de 200 millions voulu par le ministre de la Ligue Giorgetti. Nous travaillons maintenant pour des remboursements immédiats, directement sur les comptes courants, et pour la suppression des avis d’imposition. La Ligue appelle également à un revirement majeur en matière d'immigration : à ce rythme, 2021 sera une année record pour les débarquements et ce serait inacceptable surtout au vu de la crise sanitaire." [...] "Les scientifiques doivent donner leur avis, mais les personnalités politiques doivent assumer la responsabilité de la prise de décisions. Toute la communauté scientifique ne pense pas comme le Comité d’experts Cts : je pense qu'il est juste de faire de la place également pour les autres." [...] Pour les aides aux secteurs les plus touchés, l'objectif est d'obtenir une indemnisation rapide versée directement sur le compte bancaire des bénéficiaires. Nous travaillons à la paix fiscale pour annuler 50 millions d’avis d'imposition. Nous comptons débloquer 100 millions d'euros du Fonds contre l’endettement pour aider les commerçants et les entrepreneurs ignorés par les banques. J'ai confiance en toutes les décisions du président Draghi", [...] "Nous vivons un moment exceptionnel et nous devons donc travailler tous ensemble pour le bien de l'Italie. A condition que Letta comprenne que les urgences auxquelles nous devons faire face n'incluent pas le droit du sol dont il parle’’ »
ENTRETIEN, Libero, de Silvio Berlusconi, fondateur de Forza Italia « L’UE est trop lente sur les vaccins, elle doit suivre l’exemple de Londres et des Etats-Unis » : « ‘’Le système européen a montré sa lenteur et sa complexité dans ses processus. Ce n’est donc pas une faute de la Commission. Israël, le Royaume-Uni et les Etats-Unis ont montré qu’il était possible de faire plus vite et mieux. L’Europe peut et doit récupérer ce retard. Je crois que la présidente von der Leyen et notre président du Conseil Draghi sont en train de travailler à cela. Comme pour le Plan de Relance, l’Europe bouge lentement mais dans la bonne direction. La nomination d’E. Letta à la tete du PD ? J’espère, dans l’intérêt du bon fonctionnement du gouvernement et de la vie publique, qu’il parviendra à donner de la stabilité à son parti. Draghi a annoncé un nouvel endettement budgétaire pour aider les familles et les entreprises, et pour dépasser les vieux critères pour les remboursements, comme nous le demandions. Le Conseil des ministres a approuvé, sur notre proposition, les nouvelles règles pour les congés parentaux immédiats. Les fermetures doivent être la dernière des solutions, car elles ont des effets très négatifs sur les familles et les entreprises. Je crains toutefois que la situation pandémique ne laisse pas d’autres solutions par rapport à celles qui ont été prises. Mais j’aimerais transférer ce débat du monde politique à celui des experts. Laissons aux scientifiques le soin de nous dire quelles sont les procédures les efficaces pour la santé publique’’. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Au Bade-Wurtemberg, l’AfD recule de 5,4 points et tombe à 9,7 %.
Allemagne. Bade-Wurtemberg. Élections du 14 mars 2021 pour le Parlement.
Résultats :
Grüne : écologistes
CDU : démocrates-chrétiens
AfD : patriotes
SPD : sociaux-démocrates
FDP : libéraux
die Linke : post-communistes
FW : électeurs libres
Andere : autres
Gains et pertes :
Répartition des mandats :
L'AfD tombe de 23 à 17 sièges.
Évolution depuis 1952 :
(Wahlergebnis der Landtagswahl 2021 in Baden-Württemberg (landtagswahl-bw.de))
14:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
14/03/2021
Bade-Wurtemberg : l'AfD première chez les personnes qui estiment leur propre situation économique mauvaise.
Allemagne. Bade-Wurtemberg. Estimation de sa propre situation économique :
Tous
CDU : électeurs démocrates-chrétiens
Grünen : électeurs écologistes
FDP : électeurs libéraux
SPD : électeurs sociaux-d&mocrates
AfD : électeurs patriotes
23:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
Bade-Wurtemberg : 110.000 électeurs de l'AfD se réfugient dans l'abstention.
Allemagne. Bade-Wurtemberg.
Grüne : écologistes
CDU : démocrates-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
FDP : libéraux
Nichtwähler : abstention
Andere : autres
23:17 | Lien permanent | Commentaires (0)
Bade-Wurtemberg : l'AfD performe deux fois plus chez les hommes.
Allemagne. Bade-Wurtemberg.
Femmes :
Grüne : écologistes
CDU : démocrates-chrétiens
AfD : patriotes
SPD : sociaux-démocrates
FDP : libéraux
die Linke : post-communistes
Hommes :
23:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
Qui a voté AfD, selon l'âge, au Bade-Wurtemberg.
Allemagne. Bade-Wurtemberg.
Moins de 30 ans
De 30 à 44 ans
De 45 à 59 ans
Plus de 60 ans
23:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
Qui a voté AfD, selon la profession, au Bade-Wurtemberg.
Allemagne. Bade-Wurtemberg. Qui a voté AfD.
Arbeiter = ouvrier
Angestellte = employé
Beamte = fonctionnaire
Selbständige = indépendant
22:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le FPÖ donné à 17 %.
Autriche. Un sondage Hajek donne les sociaux-chrétiens de l’ÖVP à 35 %, les sociaux-démocrates du SPÖ à 25 %, les patriotes du FPÖ à 17 %, les libéraux de NEOS à 11 %, les écologistes à 10 %.
19:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
13/03/2021
Kristin Brinker est élue présidente de l’AfD de Berlin.
Allemagne. Berlin. Le député au Parlement de l’État de Berlin Kristin Brinker est élue présidente de l’AfD de Berlin par 122 voix contre 120 pour Beatrix von Storch.
Kristin Brinker
21:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
12/03/2021
Le Vlaams Belang donné à 23,6 % et la N-VA à 20 %.
Belgique. Flandre. Le Vlaams Belang est toujours donné premier, mais en recul par rapport au précédent sondage, au sein du sondage Het Laatste Nieuws, VTM Nieuws, RTL et Le Soir.
Le Vlaams Belang est donné premier à 23,6 %, suivi de l’autre parti nationaliste flamand, la N-VA, donné à 20 %.
(DE GROTE PEILING. Vlaams Belang zakt maar blijft de grootste partij | Instagram VTM NIEUWS | hln.be)
20:07 | Lien permanent | Commentaires (0)