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11/06/2021

"La patrie n'est pas négociable !"

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Allemagne. Thuringe.

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"La patrie n'est pas négociable ! AfD Thuringe."

Salvini : " Il faut une fédération [des partis du centre-droit] tout de suite, nous ne pouvons plus attendre."

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Italie. Revue de presse.

ENTRETIEN, Messaggero, de Matteo Salvini, chef de file de la Ligue « Il faut une fédération [des partis du centre-droit] tout de suite, nous ne pouvons plus attendre » : « Ces élections municipales ne changeront rien aux prochaines élections législatives et au fantasme journalistique d’une rivalité entre Giorgia Meloni et moi. Comme toujours, ce sont les électeurs qui décident. Et je suis convaincu qu’après cette période de Covid, ils attendent de la cohésion et du concret. C’est pourquoi un centre-droit de gouvernement fédéré serait un véritable appui pour Draghi en vue de ses prochaines réformes. Aucun des alliés n’en sera affaibli et ce dans l’intérêt du pays et du gouvernement Draghi. La même recherche d’unité vaut à l’échelle européenne : au Parlement européen, le centre-droit se divise en trois groupes, il serait souhaitable d’unir les meilleurs pour créer un nouveau vivier, clairement en alternative aux socialistes, et qui serait la première force du Parlement européen. D’autre part, je suis convaincu que nous pourrons redresser la ville de Rome avec Michetti, le reste de l’équipe et nos idées. Nos trois priorités sont le savoir-vivre, la sécurité et un plan pour améliorer les services touristiques. Nous voulons miser sur une offre touristique de qualité. Nous voulons aussi faire de Rome la ville du sport, régler le problème des transports et des déchets. Nous sommes le seul parti à n’avoir jamais administré la ville et nous avons hâte de nous mettre à son service. De façon générale, je pense que les villes devraient avoir davantage d’autonomie, de pouvoirs et de fonds. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

10/06/2021

"L'entente du centre droit sur les candidats pour les élections municipales."

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Italie. Revue de presse.

L'entente du centre droit sur les candidats pour les élections municipales, après plusieurs mois caractérisés par les reports et  des désaccords, est également citée. La Ligue, Fratelli d'Italia et Forza Italia trouvent un accord pour les villes de Rome et de Turin. 

ARTICLE, Il Giornale, « Copasir, la déchirure entre Salvini et Meloni risque d’avoir des conséquences » : « Après un bras-de-fer de trois mois, la Ligue cède sur Adolfo Urso à la direction du Comité pour la sécurité de la République. Alors que ses voix n’étaient pas décisives (puisque celles de FI, Pd et M5S suffisaient), la Ligue a décidé de déserter le scrutin. Avec cette décision, le centre droit affiche sa division au moment où il annonçait son entente sur les candidats pour les élections municipales. Par ailleurs, là aussi il s’agit d’un succès en demi-teinte, avec un accord pour les villes de Rome et Turin mais un report du choix pour Bologne et Milan en raison du manque d’entente entre les partis. La déchirure sur le Copasir n’est pas de nature politique mais aussi institutionnelle, marquée par un jeu de tactiques et de conflits souterrains qui ont fini par cristalliser le dualisme entre Salvini et Meloni et qui risque, jour après jour, d’affaiblir la coalition de centre droit. La présidence du Copasir est incontestablement une victoire de Meloni. Salvini revendique pour sa part le rôle de fédérateur de la droite. Mais le risque est réel d’assister à une déchirure lente et constante de la coalition. »

ARTICLE, Corriere della Sera, M. Cremonesi « Milan : Salvini cherche toujours un représentant de la société civile mais ses alliés font pression pour la candidature de Lupi » : « La mise en place de la fédération de la droite s’avère difficile. Salvini s’en doutait bien et la journée d’hier le lui a confirmé. Une journée pas vraiment mémorable pour la Ligue. Meloni a remporté un point en obtenant la candidature d’E. Michetti à Rome. La candidate de la Ligue, S. Matone, devra se contenter de revêtir le rôle de maire adjointe. Pour la ville de Milan, Salvini a dû demander encore une semaine pour identifier son candidat. Dans le match milanais, le dirigeant de la Ligue risque de subir les pressions de ses alliés. Forza Italia et Fratelli d’Italia lui répètent chaque jour de choisir la candidature de Maurizio Lupi. Si Salvini devait s’y opposer, il devrait alors assumer la responsabilité du choix d’un autre candidat qui aurait alors peu de chances de l’emporter face à Beppe Sala. Et alors, il sera facile de ne pas dire que Salvini aura montré toutes ses limites en tant que fédérateur. Au sein de Forza Italia, plusieurs répètent d’ailleurs : ‘’à ce stade, aucune réunion sur la fédération n’est prévue’’  »

ENTRETIEN, Il Tempo, de Matteo Salvini, dirigeant de la Ligue « Nous pouvons l’emporter dès le premier tour » : « ‘’Avec le ticket Michetti-Matone et Sgarbi à la culture, nous avons trois attaquants, la meilleure des synthèses pour faire renaître la ville de Rome. J’ai hâte de présenter notre programme. Rome mérite plus de propreté et de sécurité ainsi que la fin du chantier de la ligne C du métro et une solution sur les déchets. Cela aussi en vue du Jubilée. Il faudra être préparés face à ce rendez-vous important. J’entamerai une campagne électorale dans toutes les banlieues. j’en visiterai une chaque semaine. Je travaille pour un centre droit uni et gagnant à Rome, comme en Italie et en Europe’’ »

ENTRETIEN, Il Tempo, de Giorgia Meloni, dirigeante de Fratelli d’Italia « Michetti est un candidat peu connu Nous ferons campagne ensemble » : « ‘’L’entente sur le choix du candidat Michetti n’est pas un succès de Fratelli d’Italia mais de toute la coalition de centre droit. Je suis satisfaite : avec le ticket Enrico Michetti- Simonetta Matone nous offrons à la Capitale d’Italie un modèle concret et crédible, ce qui est l’inverse de l’incompétence improvisée de Virginia Raggi. Il s’agit de candidats qui savent parler aux gens et qui sont aussi compétents pour une ville qui a des problèmes complexes’’ »

ARTICLE, La Repubblica, « Draghi cherche un grand compromis sur le gel des licenciements » : «  C'est la ligne qu'aurait exprimée le Premier ministre lors des rencontres séparées qu'il a eues ces derniers jours avec les secrétaires généraux de la CGIL, de la CISL et de l'UIL, Maurizio Landini, Luigi Sbarra et Pierpaolo Bombardieri. Draghi ne défendrait pas à tout prix la solution prise avec le décret sostegni bis (blocage des licenciements jusqu'en juin dans l'industrie et la construction, blocage jusqu'en octobre pour les petites entreprises dans les services) mais veut être sûr qu'un changement n'apportera pas avec lui d'autres controverses et d'autres demandes. Et ce n'est pas du tout évident, d'où l'extrême prudence du Premier ministre. Il a décidé de réfléchir, de prendre son temps en considérant que même les positions (ou les stratégies) des syndicats, au-delà des déclarations formelles, ne sont pas totalement convergentes.  Un compromis pourrait être d'emprunter la voie d'une extension sélective du gel des licenciements : on ne pourra pas licencier jusqu'en octobre dans les secteurs industriels encore profondément en crise, une mesure qui toucherait surtout les chaînes de production de la mode, du textile et de la chaussure. Il s'agit d'une option soutenue par la ministre du Travail, Andrea Orlando (PD), appuyée par le Parti Démocrate et Liberi e Uguali. Même le M5S serait d'accord, bien qu'il soit sensible aux demandes des petites entreprises. La Ligue a une position moins unanime : le ministre du Développement, Giancarlo Giorgetti, a dit oui à l'extension sélective, le leader Matteo Salvini a soutenu toutes les solutions, laissant la décision finale à Draghi. Salvini pense donc ne pas se mettre à dos ni les travailleurs ni les entrepreneurs. Mais la prolongation sélective n'est même pas la demande de la CGIL, de la CISL et de l'UIL, qui demandent toutefois que le blocage soit reporté pour tous à la fin du mois d'octobre afin de viser à approuver la réforme de la sécurité sociale liée entre-temps au lancement de nouvelles politiques actives du travail. L’issue de la controverse sera donc entre les mains de Draghi. Il doit d'une part prendre en considération les demandes émanant des partis soutenant le gouvernement, et d'autre part les différents intérêts représentés par les syndicats et les entreprises. Une décision pourrait être prise la semaine prochaine, au retour du Premier ministre du sommet du G7 en Cornouailles ce week-end, puis du sommet de l'OTAN à Bruxelles lundi. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

09/06/2021

"Électeurs de l'AfD : quel thème joue le plus grand rôle pour votre décision électorale ?"

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Allemagne. Saxe-Anhalt. "Électeurs de l'AfD : quel thème joue le plus grand rôle pour votre décision électorale ?"

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Réfugiés, asyle

Economie, travail

Sécurité sociale

Gestion de la Corona

Formation, école

"Dans mon environnement, les conditions de vie se sont détériorées au cours des dernières années."

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Allemagne. Saxe-Anhalt.

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"Dans mon environnement, les conditions de vie se sont détériorées au cours des dernières années."

Tous 

AfD : patriotes

die Linke : post-communistes

FDP : libéraux

SPD : sociaux-démocrates

Grüne : écologistes

CDU : Démocrates-chrétiens

Saxe-Anhalt : les électeurs de l'AfD se voient en tant que perdant de l'évolution de la société.

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Allemagne. Saxe-Anhalt.

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"Développement de la société : vous sentez-vous en tant que perdant / gagnant ?"

Grüne : écologistes

CDU : Démocrates-chrétiens

SPD : sociaux-démocrates

FDP : libéraux

die Linke : post-communistes

AfD : patriotes

Yvan Perrin devient secrétaire général de l’UDC Genève.

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Suisse.  Canton de Genève. Yvan Perrin devient secrétaire général de l’UDC Genève :

https://www.arcinfo.ch/articles/regions/canton/yvan-perri...

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Yvan Perrin

"Coup de théâtre au Copasir."

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Italie. Revue de presse.

La presse italienne titre en Une sur les nouveaux décrets sur l'emploi et le débat politique autour de la fin du gel des licenciements. « Tensions sur les licenciements » - La majorité divisée sur la prorogation du gel. Le président du Conseil, prêt à une médiation au Parlement, reçoit le dirigeant syndicaliste Landini (Corriere della Sera), « 500 000 emplois nécessaires pour la reprise » - L’économie redémarre mais les entreprises ont du mal à trouver les bons profils (La Repubblica), « Orlando : une protection universelle et une réforme en juillet » - Entretien du ministre du Travail. Draghi rencontre les syndicats CGIL, CISL et UIL (La Stampa), « A la recherche d’un accord » - Draghi tente une médiation sur le gel des licenciements et reçoit les syndicats en vue d’un possible décret pour une suspension sélective (Avvenire). 

COMMENTAIRE, Corriere della Sera, M. Franco: « Un gouvernement censé renouer avec les partenaires sociaux » : «  La perspective de tensions sociales importantes à la rentrée prochaine est bien présente dans les esprits. Mais les polémiques sur la durée du gel des licenciements ne sont pas qu’un bras-de-fer entre deux camps. La réalité est bien plus complexe. Dire que le M5S et le PD sont les partis à l’écoute des demandes des syndicats, ou penser que les partis de droite sont du côté des entreprises, est réducteur. Les 5 Etoiles reconnaissent, en privé, que bloquer l’économie pendant tout l’été risque de ralentir les nouvelles embauches. Au sein de la Ligue, on est attentif aux demandes des entrepreneurs sur le fait que certaines catégories doivent être protégées. L’exemple de l’Allemagne et de la France, qui n’ont décidé aucun gel des licenciements, est un point de référence européen. Il y a donc la conviction, au fond, que la seule issue est le dialogue et la médiation du gouvernement. Il est peu probable que Draghi renonce à la stratégie du gel sélectif. Il s’agit de faire comprendre qu’une fois passée la phase aigüe de la pandémie, le passage à une ‘’nouvelle normalité’’ aura un coût. Il faudra tenter de le limiter et décider si, face à une perspective de reprise, il faudra ou non reporter le retour à la réalité, en prolongeant une longue suspension générée par cette phase. Ou bien de mettre tout le monde face à une situation permettant de redémarrer, sans toutefois cacher les problèmes. Les délais parlementaires ne le permettent pas et la balle repasse dans le camp du Palais Chigi. Toutefois, avec la perspective d’une hausse du PIB, il y a moins de pessimisme. Il faudra ensuite voir comment la fin de la pandémie modifiera les relations avec les syndicats et l’intervention de l’Etat dans l’économie. Une vraie inconnue qui nécessite lucidité et sens des responsabilités ».

ENTRETIEN, La Stampa, d’Andrea Orlando, ministre du Travail « La réforme des amortisseurs sociaux sera adoptée en juillet » : « Sur le gel des licenciements la bataille n’a pas été perdue. Le PD et moi-même estimons que la levée de l’interdiction doit être graduelle et accompagnée d’un maximum d’instruments. Attendons la rencontre avec les partis et les partenaires sociaux. Il faut qu’une certaine volonté politique puisse mûrir en ce sens, avec le consensus de toute la majorité. Dans le cas contraire, nous gérerons ce passage avec les instruments dont nous disposons. J’invite Salvini à ne pas faire de propagande. Nous avons remarqué que sur ce point il a changé plusieurs fois d’avis. Il sera possible de constater quelles sont les vraies positions des partis lors du passage à l’étape parlementaire. La réforme des amortisseurs sociaux sera adoptée en juillet mais une discussion avec le MEF sera nécessaire pour trouver les ressources. Confindustria reste sur une position trop idéologique, on a presque l’impression que la levée de l’interdiction des licenciements représente pour elle un objectif. Quant à ses prévisions de croissance, je crois qu’il y a un peu d’optimisme ».

ARTICLE, La Repubblica : « Coup de théâtre au Copasir : les partis s'accordent sur la présidence d’Urso » : « Aujourd’hui, le PD, le M5S et Forza Italia voteront pour que l’élu de Fratelli d’Italia dirige la commission de contrôle des services de renseignement. A la fin, après des mois de guerre de basse intensité et un bras de fer à droite, Fratelli d'Italia obtient ce que la Ligue avait essayé d'éviter jusqu'au dernier moment : obtenir la présidence du Copasir. Adolfo Urso, membre du parti dirigé par Giorgia Meloni, sera le prochain président de la Commission parlementaire pour la sécurité de la République. Aujourd'hui, il prendra la place de Raffaele Volpi et réussira grâce aux voix en sa faveur du M5S, du PD et de Forza Italia. Ces partis ont en fait soutenu la seule solution possible pour débloquer l'impasse dans laquelle se trouve le comité, dont la présidence a toujours été l'apanage d’un parti d’opposition. Et comme la Ligue est entrée dans le gouvernement de Mario Draghi, elle doit céder sa place au seul membre de l'opposition de la liste, Urso, actuel vice-président. Les projets de Matteo Salvini étaient différents : il avait fait démissionner Volpi et Paolo Arrigoni, les deux membres leghistes sur les dix que compose le comité, dans l'espoir d'obtenir une nouvelle élection de l'ensemble de celui-ci, organe essentiel pour le contrôle de la sécurité intérieure et des services secrets. En outre, en arrière-plan, il y a une autre question diplomatique délicate : Urso, dans un passé récent, en tant qu’entrepreneur, a entretenu des relations et fait des affaires pendant des années avec l'Iran, où pour réussir il faut le soutien du gouvernement de Téhéran. « Je suis très heureux pour Urso, il sera un grand président", a déclaré Ignazio La Russa (FDI), "mais je suis désolé pour le centre-droit, nous avons tous perdu. Cela aurait pu être géré de manière moins conflictuelle : j'espère que demain (aujourd'hui, ndlr) les deux membres du parti leghiste voteront également pour Urso et qu'un climat apaisé sera rétabli". "Nous avons dit que si la situation n'était pas débloquée, nous cesserions de participer aux travaux, a déclaré Federica Dieni (5 étoiles) - mais pour des raisons institutionnelles nous votons Urso et lui faisons confiance pour retourner au travail dans la sérénité. Discours similaire pour Enrico Borghi (PD) : "Notre vote pour Urso, en plus de garantir le rétablissement des pleines fonctions de la Copasir, exprime un besoin de sobriété dans la communication, de maintien de l'institution dans le périmètre de ses fonctions et de coopération parlementaire afin que les activités du système d'information soient menées dans le plein respect de la loi et de l'intérêt national ». Salvini est plus amer mais il sait que les dossiers auxquels le Copasir sera confronté dans les mois à venir sont trop délicats pour rester à l’écart. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Saxe-Anhalt : résultats de l'AfD selon l'âge des électeurs.

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Allemagne. Saxe-Anhalt. Résultats de l'AfD selon l'âge des électeurs lors des élections du 6 juin 2021 pour le Parlement de Saxe-Anhalt.

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Moins de 30 ans / 30 à 44 ans / 45 à 59 ans / plus de 60 ans

Saxe-Anhalt : les résultats de la CDU selon l'âge des électeurs.

Allemagne. Saxe-Anhalt. Résultats des démocrates-chrétiens la CDU selon l'âge des électeurs lors des élections du 6 juin 2021 pour le Parlement de Saxe-Anhalt :

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Tous

18 à 24 ans

...

08/06/2021

"Le ton s’adoucit : la stratégie de Salvini pour un tournant modéré."

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Italie. Revue de presse.

ARTICLE, La Stampa, « Draghi tente la médiation : les amortisseurs sociaux seront mis en place immédiatement» : «  La ligne de Mario Draghi sur la prolongation du gel des licenciements est reprise dans les mots de Matteo Salvini après une conversation d'une heure au Palais Chigi. "Nous sommes tout à fait d'accord. Les secteurs en croissance doivent embaucher, et non licencier. L'industrie et le bâtiment doivent redevenir libres d'agir sur le marché, tandis que les secteurs qui ont le plus souffert, comme le commerce, les services et le tourisme, ont le temps jusqu'en octobre de s'organiser." Le Président du Conseil - il l'a répété au dirigeant de la Ligue - ne partage pas la demande des syndicats, du PD, du M5S, des ministres du Travail Andrea Orlando et du Développement Giancarlo Giorgetti (Ligue) de revoir la décision sur les dates limites de fin du moratoire : 1er juillet dans la grande industrie et la construction, 31 octobre pour tous les autres. Même l'hypothèse d'avancer le délai pour certains secteurs ne serait pas accueillie favorablement. "Cela créerait des chômeurs de série A et de série B", laisse filtrer une source qui demande à ne pas être citée. Pour l'instant, la seule solution jugée possible est une nouvelle prolongation de l'allocation chômage (Naspi), déjà étendue à toute l'année 2021, et une accélération de la réforme des amortisseurs sociaux. Ce n'est pas la première fois que Draghi est obligé de faire face au mécontentement de sa majorité. Le problème est qu'aujourd'hui, la dissidence est généralisée. La position de Giorgetti a compliqué le tableau. Le ministre qui jusque là intervenait comme le “pompier” après les propos incendiaires du chef de son parti (Salvini) est soudainement devenu lui-même pyromane. Et cela provoque de la suspicion dans la majorité et dans le PD, prêt à tout faire pour que le président du Conseil tende la main aux syndicats. Les observations de la Commission européenne sur l'inefficacité de la mesure de blocage des licenciements pèsent lourd. La seule solution serait un amendement parlementaire au décret Sostegni-bis, dont la conversion en loi est actuellement difficile à imaginer d'ici le 30 juin, dernier jour avant l'échéance prévue dans la grande industrie. Si au Parlement il y avait une majorité en faveur d'une extension sélective, Draghi ne pourrait qu'en prendre note. A ce stade, l'impression est que les partis avance en ordre dispersé, chacun étant soucieux  d’imprimer sa marque sur la campagne électorale.»

COULISSES, Corriere della Sera, M. Cremonesi « Le ton s’adoucit : la stratégie de Salvini pour un tournant modéré  » : «Non seulement Salvini mise tout sur le gouvernement de centre-droit, mais il adopte aussi un ton modéré qui convient. La retenue face aux journalistes à la fin de la réunion avec Draghi était un choix calculé pour consolider le rapport de confiance avec le Président du Conseil, tandis que la réticence à répondre aux questions sur la fédération des partis du centre-droit s’explique par la volonté d’éviter de souffler sur les braises de Forza Italia, où plusieurs voient ce projet comme un plan d’annexion. Le virage vers le centre n'est peut-être pas encore totalement conscient mais la conviction est bien mûre. On aurait alors un seul groupe de centre-droit italien qui correspondrait à un centre-droit européen fort, tous deux capables de tenir le centre de la scène politique, à Rome comme à Bruxelles. Les difficultés sont nombreuses, à l'intérieur comme à l'extérieur, mais s'il réussit, Salvini se taillera un rôle pour faire émerger des représentants du centre-droit en Europe.  »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

"Votre décision électorale vient d'une déception ou d'une conviction ?"

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Allemagne. Saxe-Anhalt. Votre décision électorale, lors des élections de ce 6 juin 2021 pour le Parlement de Saxe-Anhalt, vient d'une déception ou d'une conviction ?

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déception / conviction

Grüne : écologistes

CDU : Démocrates-chrétiens

die Linke : post-communistes

SPD : sociaux-démocrates

FDP : libéraux

AfD : patriotes

07/06/2021

"En quel parti avez-vous le plus confiance pour défendre les intérêts des Allemands de l’Est ?"

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Allemagne. Saxe-Anhalt. « En quel parti avez-vous le plus confiance pour défendre les intérêts des Allemands de l’Est ? »

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die Linke : post-communistes

CDU : Démocrates-chrétiens

AfD : patriotes

SPD : sociaux-démocrates

FDP : libéraux

Grüne : écologistes

L’enseignement du patriotisme comme nouvelle matière dans les écoles russes.

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Russie. L’enseignement du patriotisme comme nouvelle matière dans les écoles russes :

https://alexandrelatsa.ru/2021/06/lenseignement-du-patrio...

Frères d'Italie est donné au-dessus de 20 % et la Ligue est toujours le premier parti du pays.

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Italie. Frères d'Italie est donné au-dessus de 20 % et la Ligue est toujours le premier parti du pays.

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Ligue : patriotes

Frères d'Italie : patriotes

Parti démocrate : centre-gauche

M5S : anti-système

Forza Italia : conservateurs

Herbert Kickl désigné président du FPÖ.

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Autriche. La direction du FPÖ a désigné ce 7 juin 2021 Herbert Kickl président du FPÖ. Il sera officiellement élu par les délégués lors d’un congrès prévu le 19 juin 2021.

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Herbert Kickl

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2021/06/01/nor...)

Article d’Alberto Basile : Salvini + Berlusconi ? Le scénario d'une "Lega Italia" émerge.

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Salvini & Berlusconi - image source : Centro Machiavelli

 Par Alberto Basile

Ces derniers jours, les rumeurs d'une fusion entre la Lega de Salvini et Forza Italia se multiplient. Dans un premier temps, il s'agirait de la formation de factions individuelles au Parlement, mais la possibilité de la création d'un véritable parti, la "Lega Italia", avec Salvini comme secrétaire et Berlusconi comme président, se profile à l'horizon. Il y a quelques semaines encore, cela pouvait sembler être un fantasme politique, mais le projet d'une "Lega Italia" a récemment été discuté dans un dossier de la Nazione Futura et est maintenant l'un des principaux sujets dans tous les journaux nationaux.

L'idée de factions séparées a été initialement lancée par Matteo Salvini ; le projet semble être entre les mains de Giorgetti (Ligue) et Berlusconi semble prêt à accepter la proposition, bien que les voix opposées ne manquent pas au sein de Forza Italia. Salvini pourrait ainsi se distancer élégamment de Giorgia Meloni, les portes du Parti populaire européen lui seraient grandes ouvertes et il s'imposerait comme le leader du centre-droit. Berlusconi sortirait de l'impasse de Forza Italia, qui perd des pièces et des voix de toutes parts, et pourrait apporter à Salvini en dot un consensus électoral dans le sud de l'Italie, que la Ligue combat. Bien sûr, il y a des écueils, comme le montre l'affaire du PdL (Il Popolo della Libertà), mais je crois que s'il est géré de manière progressive, intelligente et réaliste, ce défi peut s'avérer très intéressant. Forza Italia et la Lega d'aujourd'hui ont beaucoup plus en commun que Fini et Berlusconi à l'époque du PdL.

Personnellement, je me réjouirais de cette évolution du cadre politique de centre-droit. C'est ainsi qu'émergerait un grand parti conservateur moderne, de la droite libérale, patriotique mais pas nationaliste, promoteur d'un État "fort mais pas occupé", européen mais pas dogmatiquement pro-européen. Il pourrait également inclure des acronymes mineurs, comme le nouveau parti de Toti et Brugnaro ou la formation de Maurizio Lupi. La "Lega Italia" aurait certainement en son sein des âmes et des courants pluriels, et si elle sait gérer la dialectique, elle serait bénéfique au centre-droit et à tout le pays.

Dans ce contexte, j'ai trouvé intéressantes les réflexions d'Alessandro Campi dans Il Giornale et de Giovanni Toti dans La Repubblica. Le premier espère un "parti de masse conservateur, quelque chose qui n'a jamais existé en Italie et qui serait perturbateur dans notre paysage politique". Il devrait être le parti de la tradition, de l'économie sociale de marché, des valeurs religieuses, des certitudes et de la stabilité sociale. Une force qui représente le droit submergé dont parlait Longanesi". Giovanni Toti, quant à lui, est plus prudent, mais il est prêt à soutenir "un espace où toutes les cultures du centre-droit ont un foyer politique, indépendamment du nombre", c'est-à-dire "un grand parti conservateur dans lequel les différentes âmes peuvent être unies."

Je suis d'accord avec les deux analyses. L'Italie mérite enfin une grande force de centre-droit comme le PP espagnol ou les conservateurs britanniques. Je sais que cela n'a pas de précédent dans notre histoire, mais il y a des moments où l'on peut complètement rebattre les cartes sur la table. Bien sûr, mon souhait n'est qu'un souhait qui est loin de se réaliser, mais nous commençons à voir des moyens d'y parvenir.

Bien sûr, comme pour tout projet complexe, tout dépend de qui et de comment ce projet doit être réalisé. Peut-on rêver d'une nouvelle génération de jeunes de 20 à 30 ans, nés et élevés politiquement dans la nouvelle entité politique, destinés à représenter la classe dirigeante de demain et à servir de rempart contre le politiquement correct et l'idéologie gauchiste ?

Alberto Basile

Né en 1988, docteur en langues étrangères (Université catholique de Milan). Multilingue, mais toujours profondément lié à son pays, il se considère comme un libéral conservateur et réaliste. Il travaille dans le domaine commercial pour une marque de luxe italienne.

Cet article est paru en premier sur le site du CENTRO MACHIAVELLI, notre partenaire de la COOPERATION MEDIA EUROPEEN.

(https://www.centromachiavelli.com/2021/06/07/fusione-lega...)

" La course au Quirinal et l'illusion de Berlusconi."

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Italie. Revue de presse.

La presse italienne titre en Une sur l'assouplissement des restrictions sanitaires et le passage de plusieurs régions en zone blanche, soit l'état d'alerte sanitaire le plus bas, en raison de la baisse du taux de contamination. L'Italie compte désormais 13,5 millions de personnes vaccinées et se prépare à la saison touristique pour relancer son économie. « Sept régions sans restrictions » - Le couvre-feu fixé à minuit pour toute l'Italie; réouverture des piscines et des parcs d’attraction pour la zone blanche (Corriere della Sera),  « Le tourisme sort du virus » - les réservations pour les vacances augmentent de 10% par rapport à 2020. Rome demande à Bruxelles d’avancer la mise en place du passeport sanitaire au 15 juin (La Repubblica), « Locations, les appartements et les magasins misent sur le bonus» (Sole 24 Ore),   « Giovannini : un commissaire pour les tramways de Rome et pour les JO d'hiver à Cortina » - Le ministre pour les infrastructures annonce un décret pour électrifier les ports italiens (Il Messaggero), « Envie de liberté : boom du nombre de jeunes vaccinés » (Il Giornale).

Le divorce entre le mouvement cinq étoiles et la plateforme participative « Rousseau » qui avait fait le succès des débuts du mouvement est également cité. L'entente avec David Casaleggio permet désormais à Giuseppe Conte de relancer le Mouvement et de revoir sa stratégie au sein de la majorité « Casaleggio et l'adieu au M5S » - Entretien du fils du fondateur de la plateforme (La Stampa), « Conte, premiers défis lancés à Draghi » - Les licenciements, l'environnement et l'autorité anticorruption sont les nouvelles batailles (Il Fatto Quotidiano),  « Soutien loyal à Draghi mais nous ne renonçons pas aux batailles qui f

COMMENTAIRE, La Repubblica, « La course au Quirinal et l'illusion de Berlusconi », par Stefano Folli : « Ce n'est pas sans raison que Salvini a cessé de proposer Mario Draghi au Quirinal, après avoir tant insisté sur son nom ces dernières semaines. C'est la même raison pour laquelle le chef de la Ligue parle et agit comme le soutien le plus convaincu du gouvernement actuel, espérant qu'il ira au terme de sa législature au printemps 2023. Pas d'élections législatives l'année prochaine : le nouveau mot d'ordre est la stabilité. On dira que c'est la conséquence logique de son entrée au gouvernement, un investissement que la Ligue n'a pas l'intention de mettre en péril. La ligue a parié sur le succès de l'exécutif Draghi depuis le début, contrairement à Fratelli d'Italia, et n'a aucun intérêt à changer de cap à mi-parcours. Par cette attitude, Salvini est aussi soucieux de ne pas compromettre la perspective d'une fédération avec Forza Italia, prémisse du possible parti unique dont les pages des journaux sont pleines. Dans son esprit, il s'agit d'un processus de conquête de l'ancien mouvement de Berlusconi et redonner à l'étrange attelage Lega-Forza Italia une centralité menacée par l'irruption de Giorgia Meloni. Mais qu'est-ce qui pousse Berlusconi à adhérer à un plan dont Salvini serait de loin le principal bénéficiaire ? L'homme qui domine la scène du centre-droit depuis des années n'a qu'un seul avantage, mais un avantage crucial : pouvoir poursuivre le rêve, ou plutôt l'illusion, de succéder à Mattarella en janvier 2022. Cela peut sembler absurde, si l'on prend en compte l'âge de Berlusconi, sa mauvaise santé et les aspects pour le moins controversés de son histoire personnelle et judiciaire. Mais le fondateur de Forza Italia croit sérieusement pouvoir obtenir la récompense ultime : la reconnaissance institutionnelle de ceux qui, pour le meilleur ou pour le pire, ont dominé la scène depuis la fin de la Première République. L'opération avec la Ligue a donc une implication précise : obtenir un soutien à sa candidature, de manière à créer une masse critique autour de laquelle agréger d'autres blocs de voix au Parlement. Dans l'ambiguïté, chacun pourra poursuivre ses propres objectifs. Et Berlusconi pourra croire en la loyauté de Salvini, qui se traduira peut-être par des accords de vote lors des premiers scrutins (en l'absence d'un accord général droite-gauche sur un autre candidat). C'est une illusion, précisément. La candidature de Berlusconi est une chimère et ne sert qu'à couvrir la lente dissolution de Forza Italia. »

ENTRETIEN, Corriere della Sera, de Giuseppe Conte, dirigeant du Mouvement 5 Etoiles « Nous avons été désorientés par certains choix du gouvernement mais nous continuerons à le soutenir » : « Le nouveau M5S aura une vision plus large et plus internationale, il sera en dialogue constant avec la société civile et avec toutes les composantes du pays, y compris les classes qui par le passé n’ont pas été prises en compte avec toute l'attention nécessaire : le secteur des services, le commerce, les petites et moyennes entreprises, les indépendants et les professions libérales. Nous serons encore plus engagés dans la lutte contre les mafias et la corruption, et nous nous concentrerons sur le soutien à l'innovation technologique et à la durabilité environnementale et énergétique. Quand verrai-je Draghi ? Nous nous sommes déjà parlés, nous nous rencontrerons bientôt. Cette période n'a pas aidé le M5S, mais avec la nouvelle direction, on reviendra pour faire entendre notre voix de manière claire et forte et nous travaillerons, comme toujours, pour le bien du pays. Certaines décisions du gouvernement ont déplu aux citoyens et suscité la perplexité, je pense aux mesures de soutien aux entreprises, à certaines décisions en matière de protection de l'emploi et de transition écologique, à l'amnistie fiscale et maintenant à la marginalisation de l'Autorité anticorruption. Nous qui avons travaillé pour maintenir le pays en vie pendant les phases les plus aiguës de la pandémie, nous voulons aussi jouer un rôle de premier plan dans la relance économique. Nous serons loyaux et constructifs sans renoncer à nos valeurs et à nos combats. J'ai pris avec enthousiasme l'engagement de développer le nouveau projet et de présenter le nouveau statut du M5S, qui sera voté avant les élections. Le chef sera élu par les membres. Nous  consulterons davantage les inscrits encore plus que par le passé, par le biais d'une plateforme télématique qui restera l'outil principal. Casaleggio ? Nous nous sommes séparés, mais moi et tout le Mouvement avons un grand respect pour lui. Soutenir Draghi était un choix difficile et j'ai du respect pour ceux qui, comme Di Battista, ont quitté le Mouvement suite à cette décision. Mais nous ne pouvions pas tourner le dos à la souffrance des Italiens, ce choix devait être fait et j'ai immédiatement fixé les conditions pour que le nouveau gouvernement commence et termine la campagne de vaccination et le PNRR’’. »

 ENTRETIEN, La Stampa, de Davide Casaleggio, Président de l’association Rousseau  « Les règles ont été bafouées, il était impossible de continuer ensemble » : « ‘’Nous sommes parvenus à un accord car il était nécessaire de se séparer. Au cours des 16 derniers mois, le M5S a décidé de bafouer tant de règles et de principes de démocratie interne et de respect des décisions des membres qu'il était devenu impossible pour nous de continuer sur une voie commune. Nous ne voyons plus aucune raison de rester ensemble plus longtemps. L'argent et la liste des membres inscrits n'a jamais été la cause du problème, mais un effet. Le problème était que le M5S n'était pas en train d’ honorer ses engagements, à savoir payer les travailleurs qui attendaient leur dû depuis des mois. Le modèle du Mouvement 5 étoiles a permis à Conte d’obtenir la confiance de 33% des Italiens et a donné la possibilité à des milliers de citoyens inconnus, comme Giuseppe Conte lui-même, d'occuper des rôles prestigieux et un pouvoir impensable. Ce qui n'est probablement plus le cas aujourd'hui, du moment où l’on veut donner cette possibilité uniquement à des personnes bien identifiées. La démocratie participative ? Je crois que c'est l'antidote à la concentration du pouvoir entre les mains de quelques personnes, au carriérisme politique et à l'hyper-leadership. Ce n'est pas une coïncidence, en fait, si Rousseau, en tant que modèle de participation horizontale et ouverte, a commencé à être perçu comme problématique précisément dans la phase de transformation hiérarchique du Mouvement vers une organisation de parti traditionnel’’. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Recul de l'AfD et victoire de la CDU lors des élections en Saxe-Anhalt.

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Allemagne. Saxe-Anhalt. Résultats des élections de ce 6 juin 2021 pour le Parlement de Saxe-Anhalt :

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CDU : Démocrates-chrétiens

AfD : patriotes

die Linke : post-communistes

SPD : sociaux-démocrates

Grüne : écologistes

FDP : libéraux

FW : électeurs libres

Andere : autres

 

Gains et pertes :

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En sièges :

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(https://wahlergebnisse.sachsen-anhalt.de/wahlen/lt21/erg/kreis/lt.15.ergtab.php)

Article de Lionel Baland à propos du livre de Giorgia Meloni.

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Italie. Article à propos du livre de Giorgia Meloni :

https://www.breizh-info.com/2021/06/06/165609/giorgia-mel...

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Saxe-Anhalt : l'AfD première chez les électeurs ayant une mauvaise situation économique.

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Allemagne. Saxe-Anhalt. Résultats chez les électeurs ayant une mauvaise situation économique :

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AfD : patriotes

CDU : démocrates-chrétiens

die Linke : post-communistes

SPD : sociaux-démocrates

Grüne : écologistes

FDP : libéraux

L'AfD massivement surreprésentée chez ceux qui n'ont pas fait beaucoup d'études.

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Allemagne. Saxe-Anhalt. Résultats selon le niveau d'étude des élections de ce 6 juin 2021 pour le Parlement de Saxe-Anhalt. L'AfD massivement surreprésentée chez ceux qui n'ont pas fait beaucoup d'études :

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Formation simple / haute formation

CDU : démocrates-chrétiens

AfD : patriotes

die Linke : post-communistes

SPD : sociaux-démocrates

Grüne : écologistes

FDP : libéraux

06/06/2021

87 % des électeurs de la CDU en Saxe-Anhalt sont opposés à une coalition CDU-AfD.

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Allemagne. Saxe-Anhalt. 87 % des électeurs de la CDU en Saxe-Anhalt sont opposés à une coalition CDU-AfD :

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Alle : tous

AfD-Wähler : électeurs de l'AfD

CDU-Wähler : électeurs de la CDU

Saxe-Anhalt : d'où viennent les électeurs qui ont permis à la CDU de progresser ?

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Allemagne. Saxe-Anhalt. D'où viennent les électeurs qui ont permis à la CDU de progresser ce 6 juin 2021 lors des élections pour le Parlement de Saxe-Anhalt ?

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Nichtwähler : abstentionnistes

SPD : sociaux-démocrates

Grüne : écologistes

FDP : libéraux

AfD: patriotes

Die Linke : post-communistes

Les femmes sous-représentées parmi les électeurs de l'AfD.

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Allemagne. Saxe-Anhalt. Résultats femmes / hommes : une fois de plus, les hommes sont surreprésentés dans le vote en faveur de l’AfD :

femmes / hommes

CDU : 39% | 31% (démocrates-chrétiens)

AfD : 18% | 29% (patriotes)

die Linke : 11% | 11% (post-communistes)

SPD : 8% | 8% (sociaux-démocrates)

FDP : 7% | 7% (libéraux)

GRÜNE : 6% | 6% (écologistes)

FW : 3% | 3% (électeurs libres)

 

Source : ZDF / Forschungsgruppe Wahlen