27/04/2022
Leefbaar Rotterdam souhaite une agréable fête du Roi.
Pays-Bas.
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Article de Lionel Baland avec les réactions de responsables politiques italiens au décès d'Assunta Almirante.
Italie. Les réactions de différents responsables politiques italiens, du centre-gauche au centre-droit, au décès d'Assunta Almirante :
https://www.breizh-info.com/2022/04/27/185772/italie-assu...
Giorgia et Assunta Almirante
13:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
"L’Italie est prête à envoyer des armes plus lourdes mais Conte s’y oppose."
Italie. Revue de presse.
La réunion d’hier à Ramstein entre les Etats-Unis et une quarantaine de pays pour évaluer collectivement les besoins d’aides militaires de l’Ukraine fait les gros titres de la presse italienne. Les observateurs évoquent dans l’ensemble une « alliance globale » pour isoler à la fois Moscou et Pékin. L’interruption de fourniture de gaz de la part de la Russie à la Pologne et à la Bulgarie est également citée : « Armes à Kiev, Poutine menace » - Le chef du Kremlin annonce des représailles en cas d’attaque. Berlin décide d’envoyer ses blindés (Corriere della Sera), « Otan-Russie, menaces de guerre » - Selon Londres il serait « légitime » de frapper en territoire russe ; le Kremlin annonce des représailles en cas d’attaque par le biais d’armes occidentales. Feu vert de Berlin à Ramstein pour l’envoi de blindés (La Repubblica), « L’Occident est uni contre Moscou » - L’alliance entre 40 pays nait à Ramstein. L’Allemagne enverra ses tanks à Kiev. L’affront de Poutine à Guterres : je ne cèderai pas sur le Donbass et la Crimée (La Stampa), « Moscou ferme les premiers robinets de gaz » - Gazprom suspend la fourniture à la Pologne et à la Bulgarie. L’UE reconnait un prix plafond du méthane pour l’Espagne et le Portugal. L’Italie souhaite à son tour en bénéficier (Il Messaggero), « Frappez la Russie » - L’escalade s’approche : Londres justifie les frappes ; le Kremlin menace de riposter contre les pays de l’Otan (Il Giornale), « Que fera l’Italie en cas de troisième guerre mondiale ? » - Une folie collective évoque cette possibilité, allant de Lavrov, Johnson à Zelensky, mais Draghi demeure silencieux (Fatto Quotidiano).
ARTICLE, Corriere della Sera, M. Imarisio « Moscou menace d’attaquer l’Otan. »
ARTICLE, La Repubblica, C. Tito « L’Alliance défendra la Suède et la Finlande dès juin. »
PREMIER PLAN, Il Corriere della Sera, Marco Galluzzo : « L’Italie est prête à envoyer des armes plus lourdes mais Conte s’y oppose » :« ‘’L’Italie continuera à faire sa part sur la base des indications décidées par le Parlement. De ce point de vue, il y aura un nouvel envoi de la part de l’Italie d’équipements militaires, indispensables pour continuer à soutenir la résistance’’ : c’est ce qu’affirme le ministre de la Défense, Lorenzo Guerini, de retour en Italie après avoir participé au sommet convoqué par les Américains sur leur base de Ramstein en Allemagne. En vue de cet objectif, le gouvernement Draghi prépare un troisième décret afin d’augmenter le niveau des aides militaires en envoyant à Kiev des chars et de l’artillerie lourde. Pour Giuseppe Conte cependant, ce saut qualitatif en termes de fournitures militaires n’est pas souhaitable. Pour le leader du M5S, l’envoi d’armes doit se limiter aux armes défensives et il déclare pour cela : « nous avons demandé à Draghi et à Guerini de venir rendre des comptes au Parlement (…) Le M5S s’oppose à l’envoi d’aides militaires et aux contre-offensives qui excèdent le cadre de l’exercice légitime du droit de défense établi par l’article 51 de la Charte de l’ONU ». Une ligne du Rubicon qui irrite le PD. »
ENTRETIEN, Il Fatto Quotidiano, de Giuseppe Conte, leader du M5S : « Non aux armes offensives. Disons-le à Zelensky » : « L’important, c’est l’orientation politique, c’est-à-dire la raison pour laquelle nous fournissons des armes et non pas leur catégorie : Que les armes soient lourdes ou légères n’est pas la question. Le M5S s’oppose à l’envoi d’aides militaires et aux contre-offensives qui excèderaient le cadre de l’exercice du droit de légitime défense prévu par l’article 51 de la Charte des Droits de l’Homme. Le refus de l’escalade militaire est un point non-négociable pour le M5S. Nous avons demandé au Président du Conseil Draghi et au ministre de la Défense, Lorenzo Guerini, de rendre des comptes au Parlement de façon à ce qu’il y ait transparence totale et possibilité de connaître les interventions prévues par le gouvernement. Nous voulons que l’Italie soit partie prenante des négociations pour porter à une solution politique équilibrée. Personne, jusqu’à présent, ne nous a dit que l’objectif n’était pas de défendre l’Ukraine mais de détruire la Russie. [Et le Président Biden ? demande le journaliste] Ce serait un scénario de troisième guerre mondiale, une folie. Une éventuelle contre-offensive serait une perspective avec d’autres conséquences. Il faut en discuter, y compris avec Zelensky.’’ »
SONDAGE, Il Messaggero : « 55% des Italiens approuvent Draghi » : « Selon un sondage Ipsos réalisé du 19 au 21 avril 2022, 55% des citoyens de la péninsule portent un « jugement positif » sur le président du Conseil et 53% l’étendent au gouvernement tout entier. L’approbation est élevée parmi les plus de 65 ans (60%), très élevée chez les détenteurs d’un master (75%) et les entrepreneurs (74%) ainsi que les employés (62%). Draghi remporte l’adhésion des personnes ayant une licence à 59%. Le Président du Conseil récolte moins de jugements positifs parmi les chômeurs (38%), les commerçants (38%) et, de manière plus générale, parmi ceux qui détiennent uniquement le baccalauréat (46%). Les incessants conflits au sein de la majorité ne sont vus d’un bon œil que par 37% des sondés. »
(Source : ambassade de France à Rome)
13:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
26/04/2022
Assunta Almirante est partie.
Italie. Assunta Almirante, la veuve de l'ancien dirigeant du MSI Giorgio Almirante, nous a quitté à l'âge de 100 ans.
Durant des décennies, même après la mort de Giorgio Almirante en 1988, elle a été influente, dispensatrice de conseils mais aussi de vives critiques. Elle a soutenu Gianfranco Fini à la tête du MSI, puis a critiqué le virage de Fiuggi en 1995 (« trop de rapidité dans la liquidation du passé »), par lequel le MSI est devenu l'Alliance nationale.
16:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le président du parti socialiste flamand ne se sent plus en Belgique lorsqu'il roule à Molenbeek.
Belgique. Le président du parti socialiste flamand Conner Rousseau : « Quand je roule à Molenbeek, je ne me sens aussi plus en Belgique. »
14:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Salvini, isolé, cherche la fusion avec Forza Italia et une entente avec le PPE."
Italie. Revue de presse.
L’agression russe en Ukraine et notamment les frappes ukrainiennes sur deux dépôts de pétrole en Russie font les gros titres de la presse italienne. Les tensions dans la région séparatiste de Transnistrie sont également citées, les observateurs soulignent la crainte d’un élargissement du conflit « Etats-Unis et Russie, c’est le défi total » - Washington veut maintenant affaiblir Moscou. Des frappes ukrainiennes contre Poutine. Des tirs de roquettes aussi dans la région de la Transnistrie (Corriere della Sera), « Des frappes contre Poutine » - Kiev attaque deux dépôts de pétrole en Russie, Moscou répond en attaquant les lignes ferroviaires pour bloquer la fourniture d’armes. L’attentat en Transnistrie risque d’élargir le conflit en Moldavie (La Repubblica), « Des bombes en Transnistrie, voici le nouveau front » (La Stampa), « La guerre arrive en Russie » - Des explosions et des incendies sur le territoire russe laissent penser à un sabotage interne (Il Messaggero). Les célébrations pour la Fête de la Libération, ainsi que les propos du Président de la République S. Mattarella, établissant un parallèle entre la résistance italienne de 1943-1944 et celle ukrainienne d’aujourd’hui, sont largement citées dans les pages intérieures.
PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de M. Guerzoni, « Luigi Di Maio travaille à un plan avec Ankara » : « Luigi Di Maio évoque une ‘’voie diplomatique étroite et difficile’’, mais le ministère des Affaires étrangères continue à œuvrer pour un plan italien en vue de rétablir la paix. Le ministre a évoqué avec ses équipes deux axes auquel le gouvernement italien travaillerait en étroite collaboration avec les ambassadeurs à Kiev et à Moscou. Les gouvernements russe et ukrainien doivent savoir que l’Italie est pleinement disponible pour réactiver la voie des négociations. ‘’Il faut des négociations immédiates entre les parties et les Nations unies afin d’obtenir un cessez-le-feu’’ insiste Di Maio à huis clos, ‘’ce serait le signal que Moscou est disposé à trouver un accord de paix’’. Mais le ministre a pour ambition parallèle d’établir une seconde table des négociations, cette fois entre ‘’la Russie, l’Ukraine et les pays garants’’, où Ankara aurait un rôle central. Le ministre italien des Affaires étrangères estime en effet que la Turquie est ‘’fondamentale’’, étant le pays membre de l’OTAN qui dialogue le plus avec la Russie de Poutine et que ce canal de communication doit absolument être maintenu. Le ministre et le Président Draghi collaborent étroitement pour consolider les relations avec la Turquie et les contacts entre les deux pays sont de plus en plus intenses. Par ailleurs, Erdogan doit téléphoner aujourd’hui à Poutine afin de le convaincre d’un cessez-le-feu. La Farnesina prépare également le délicat voyage de Draghi à Kiev, difficile à la fois sur le plan logistique et de la sécurité. Di Maio a par ailleurs exprimé son soulagement quant à la victoire d’Emmanuel Macron sur Marine Le Pen qui représente ‘’un phare y compris pour l’Italie face à une guerre qui efface les valeurs démocratiques […] or le souverainisme ne ferait que nous isoler et serait dévastateur’’. Quant aux sanctions contre la Russie, le ministre confirme la ligne dure ‘’l’Italie n’opposera pas son véto à l’embargo sur le gaz russe’’. Avec Draghi, ils continuent à demander un plafonnement des prix du gaz russe. Enfin, il a cœur le défi de mettre fin au ‘’mécanisme archaïque’’ du vote à l’unanimité des 27, estimant que ce ‘’blocage de décisions historiques à cause d’un seul pays n’est plus acceptable’’.
COMMENTAIRE, La Repubblica, d’I. Diamanti, « Vers la Sixième République » : « L’issue des élections présidentielles françaises a été un soulagement pour de nombreux citoyens et observateurs, en France mais pas uniquement. Le Rassemblement National de Marine Le Pen est l’héritier du Front National fondé par son père Jean-Marie et occupe l’extrême-droite du paysage politique français. Le parti a récemment revu ses positions pour le moins critiques concernant l’UE afin de se rendre plus crédible en Europe et en France. Une orientation semblable à celle de Matteo Salvini et de la Ligue, qui était notamment passée de ‘’parti du Nord’’ à ‘’parti national’’. Le résultat obtenu par l’extrême-droite est considérable, notamment par rapport aux précédentes élections. Symétriquement, Macron l’emporte mais ce n’est pas un triomphe comme en 2017. Il a perdu le consensus des jeunes, des classes populaires, des zones péri-urbaines, des plus petites villes et des zones rurales. Il faudra attendre pour voir si Macron parviendra vraiment à gouverner le pays puisque cette fois il a surtout été élu pour ‘’faire barrage à Le Pen’’, comme il l’a reconnu lui-même. Il convient de réfléchir au profond changement du système démocratique français en quelques années, qui porte à établir un parallèle avec l’Italie, comme le souligne volontiers Marc Lazar. Tout d’abord, les partis qui ont guidé et orienté la politique au cours de la V° République ont presque disparus, les actuels Républicains et Parti socialiste. L’histoire de la V° République semble destinée à s’achever. Bien que les règles électorales et la Constitution n’aient pas changé, une sorte de Sixième République se dessine, dans laquelle, comme en Italie, le désenchantement politique mis en évidence par l’abstention, atteint son plus haut niveau depuis 1969. La défiance vis-à-vis de l’Etat et de la politique est devenue déterminante et l’on ‘’vote désormais par défaut’’, comme l’a dit le journaliste Francesco Maselli. En sommant les résultats de Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon et Éric Zemmour, le vote anti-système a nettement dépassé les 50%. Le laboratoire italien a donc fait école et il est désormais difficile d’envisager l’avenir en France aussi. »
COMMENTAIRE, Corriere della Sera, d’A. Cazzullo, ‘’Le vote pro-européen de la France et les ambiguïtés des souverainistes » : «Bien que le score de Marine Le Pen soit de plus en plus haut, une majorité des Français sait bien que l’Europe est son destin, qu’elle est le seul moyen de donner à la France un rôle d’envergure mondiale, de financer la dette publique, de négocier les fournitures de vaccins ou de gaz avec plus de force, ou encore de faire face aux flux migratoires. Mais il n’est pas certain que les souverainistes italiens l’aient compris eux aussi. Or les sondages prévoient leur victoire dans quelques mois, contrairement à Marine Le Pen. Avec les centristes de Berlusconi, ils auront la majorité au Parlement. Pourtant, en Europe, ce ne sont pas les souverainistes qui commandent. Parmi les trentenaires, la génération de la précarité, Marine Le Pen a prévalu et ce sont les plus de 65 ans qui ont fait la différence, qui s’inquiètent de la montée de l’extrême-droite. C’est une génération qui a peur de rouvrir la plaie de la collaboration de Vichy et de l’Algérie française. Marine Le Pen tient ces questions à l’écart, contrairement à son père et à Zemmour, mais cela pèse quand même. Matteo Salvini et Giorgia Meloni devraient en tirer les leçons : s’ils aspirent à être à la tête du premier parti d’Italie, ils doivent rompre tout lien avec ceux qui ne partagent pas les fondements de la République, comme la Libération du nazi-fascisme fêtée hier. Dans ces élections, Marine Le Pen a soulevé les bonnes questions mais donné les mauvaises réponses : sans l’Europe, les économies vaudraient encore moins, les prix seraient encore plus élevés, sans l’Europe, la France compterait moins et Poutine représenterait une menace encore plus grave. Les souverainistes italiens semblent encore entre deux eaux, entre européisme et euroscepticisme, même si Giorgia Meloni a spécifié que Marine Le Pen ne la représentait pas. Giuseppe Conte lui-même, allié du PD depuis des années, refuse de choisir (contrairement à Luigi Di Maio, rapidement passé des gilets jaunes à Macron). Quelle ligne la Ligue et Fratelli d’Italia choisiront pour la campagne électorale ? Quel gouvernement formeraient-ils, européen ou lepéniste ? Dialogueraient-ils avec Macron ou avec Orban ? Le numéro deux de la Ligue soulignait hier combien le PPE est en crise un peu partout. Pour remporter les élections et gouverner, la droite européenne est amenée à s’unir et à se refonder. Deux piliers ne peuvent toutefois pas être remis en cause : la fidélité à l’OTAN, pour le bras de fer avec la Russie et peut-être demain avec la Chine, et la construction européenne, pour mettre en sécurité la dette publique, l’épargne privée, la croissance liée au plan de Relance. Autrement, ce serait une erreur impardonnable de l’Italie. »
ARTICLE, La Repubblica, par E. Lauria « Marine Le Pen battue ; Salvini, isolé, cherche la fusion avec Forza Italia et une entente avec le PPE » : « ll a porté le T-shirt de Poutine puis le masque de Trump, a soutenu Marine Le Pen jusqu'au bout et l'a félicitée pour sa défaite honorable : "En avant ensemble". Les incursions de Matteo Salvini de l'autre côté de la frontière n'ont pas été particulièrement heureuses jusqu'à présent. Mais le dirigeant de la Ligue continue à représenter une droite souverainiste et populiste que ses alliés italiens ont abandonnée. Giorgia Meloni, leader d'un nouveau parti conservateur qui vise à rompre avec l'extrémisme, a déclaré très tôt que Le Pen ne la représentait pas. Silvio Berlusconi, pour sa part, n'a jamais caché qu'il soutenait Macron, et ses fidèles ont d'ailleurs immédiatement exprimé leur enthousiasme pour la reconduction du président français. L'issue de la course à l'Elysée, si elle confirme les divisions du centre-droit italien, place le leader de la Ligue dans une condition d'isolement. Et devant à un carrefour. Avec la défaite de Marine Le Pen, il doit abandonner le projet d’un regroupement unique de la Droite au Parlement européen et devra se replier sur une option modérée, reposant sur une alliance avec le PPE. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
13:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
25/04/2022
"L'inflation nous menace tous."
Allemagne.
"L'inflation nous menace tous. Stopper maintenant les vecteurs de l'augmentation des prix."
19:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
2e Forum européen de la politique locale, à Rosenheim en Bavière.
Allemagne. Des représentants de partis patriotiques européens se sont rencontrés ce samedi 23 avril 2022 lors du 2e Forum européen de la politique locale à Rosenheim en Bavière, dans le but de développer une stratégie paneuropéenne et d'échanger des expériences.
L’événement a été organisé et animé par le député européen de l’AfD Markus Buchheit (Allemagne).
Virginie Joron du Rassemblement national (France) est intervenue sur la question des enjeux politiques dominants en France et Filip Brusselmans du Vlaams Belang (Flandre-Belgique) sur le développement d'un mouvement politique.
Les invités ont ensuite discuté de l'avenir des forces patriotiques européennes avec le député européen du FPÖ Harald Vilimsky (Autriche), puis avec la présidente de la Fondation Desiderius Erasmus Erika Steinbach (Allemagne), à propos du travail de préparation politique, du rôle des fondations et des ressources intellectuelles correspondantes, ainsi que de la mise en réseau des forces patriotiques en Europe.
Maximilian Krauss du FPÖ (Autriche), membre du Parlement de l’État de Vienne/Conseil municipal de Vienne, et Jeremy Pedersen du Dansk Folkeparti (Danemark) ont parlé des organisations de jeunesse des partis.
Erika Steinbach (AfD), Mads Engelund Larsen (Parti du Peuple Danois), Johannes Hübner (FPÖ), Harald Vilimsky (FPÖ), Virginie Joron (RN), Jeremy Pedersen (Parti du Peuple Danois) et Markus Buchheit (AfD).
17:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
Subissant un léger recul électoral, le SDS du Premier ministre nationaliste slovène Janez Janša est envoyé dans l'opposition.
Slovénie. Lors des élections législatives de ce 24 avril 2022, le parti SDS du Premier ministre nationaliste Janez Janša recule légèrement, passant de 24.92% en 2018 à 23,53 % en 2022, tout en gagnant 2 sièges par rapport à 2018. Le SDS a désormais 27 sièges sur 90.
Parmi les deux formations alliées au SDS au sein du gouvernement sortant, seule Nouvelle Slovénie arrive à se maintenir au sein du Parlement en reculant légèrement en %.
Le parti nationaliste SNS, qui n’était pas dans le gouvernement, tout en lui apportant son soutien, s’effondre de 4,2 % à 1,5 % et n’atteint pas le seuil électoral de 4 % permettant d’obtenir des élus.
Le Mouvement liberté, un parti écologiste récemment créé, emporte le scrutin et obtient 41 sièges sur 90 et pourra s'allier à un ou deux autres partis de gauche pour gouverner.
03:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
24/04/2022
"Le déclin n'est pas une fatalité."
Italie.
Giorgia Meloni : "Le déclin n'est pas une fatalité."
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2022/04/22/fre...)
15:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Espagne : la fin du cordon sanitaire contre Vox.
Espagne. Article d'Olivier Bault dans Présent :
14:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
Janez Janša et sa femme ont voté.
13:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
23/04/2022
Le roman "1984" de George Orwell est censuré par l'université de Northampton.
Royaume-Uni. Le roman 1984 de George Orwell est censuré par l'université de Northampton qui le classe comme « dangereux », car pouvant être « offensant et perturbant ».
18:54 | Lien permanent | Commentaires (0)
"43.000 demandeurs d'asile enregistrés en Grèce vivent en Allemagne."
Allemagne.
"43.000 demandeurs d'asile enregistrés en Grèce vivent en Allemagne. Chiffres de la semaine. AfD."
18:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
Réponse de l’écrivain belge Lionel Baland à l’écrivain belge Vincent Engel.
16:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
22/04/2022
Frères d'Italie organisera à Milan une congrès programmatique.
Italie. Du vendredi 29 avril au dimanche 1 mai 2022, Frères d'Italie organise à Milan une congrès programmatique.
Giorgia Meloni
14:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le tribunal de l’État de Berlin rejette la demande d’Andreas Kalbitz.
Allemagne. Le tribunal de l’État de Berlin a rejeté la demande d’Andreas Kalbitz de recouvrement de son appartenance à l’AfD. Le juge a déclaré qu’Andreas Kalbitz a fait de fausses déclarations lorsqu’il a adhéré à l’AfD en 2013.
Andreas Kalbitz avait été éjecté de l’AfD pour avoir caché lors de son adhésion au parti une ancienne appartenance à la Heimattreuen Deutschen Jugend (HDJ) et aux Republikaner.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2021/02/12/la-...)
13:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
AfD : "Pas d'armes lourdes pour l'Ukraine !"
Allemagne et Ukraine. Le groupe des élus de l'AfD à la Chambre des députés s'oppose à la livraison d'armes à l'Ukraine.
Alice Weidel : "Pas d'armes lourdes pour l'Ukraine ! Les armes ne créent pas la paix !"
13:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
Matteo Salvini et Viktor Orban se rencontrent à Rome.
Italie et Hongrie. Matteo Salvini et Viktor Orban se rencontrent à Rome :
https://www.euractiv.fr/section/politique/news/les-leader...
12:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le pape François a reçu le Premier ministre hongrois Viktor Orban.
Vatican et Hongrie. Le pape François a reçu le Premier ministre hongrois Viktor Orban :
https://www.7sur7.be/monde/le-pape-a-recu-le-premier-mini...
Victor Orban et le pape François
12:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
"La majorité est agitée par le retour des populismes."
Italie. Revue de presse.
L’offensive russe sur la ville de Marioupol, et notamment le drame des derniers résistants assiégés et la crainte d’un nouveau massacre de civils, fait les gros titres des quotidiens italiens. « Nous sommes assiégés, mais Marioupol résiste » - Le Tsar proclame la chute de la ville mais Kiev et Washington démentent. Le drame de ceux qui n’arrivent pas à s’enfuir (Corriere della Sera), « Borrell : Poutine, tu ne gagneras pas » - Le Haut-Représentant de l’UE annonce que l’aide militaire à Kiev augmentera tant que les Russes ne se retireront pas. Poutine renonce à attaquer l’aciérie de Marioupol « la ville est désormais entre nos mains ». Une fosse commune avec des milliers de victimes aurait été trouvée (La Repubblica), « A Marioupol il n’y a que le silence » - Poutine demande à Shoïgu d’épargner l’usine-tombeau. Zelensky s’adresse à l’UE « il nous faut 7 milliards par mois » face aux pertes économiques (La Stampa), « Poutine annonce « Marioupol est entre nos mains » » - Washington dénonce le bluff du Kremlin. Mystère sur la mort de trois oligarques (Il Messaggero), « Le bluff de Poutine qui n’attaque pas l’usine pour faire croire à un triomphe » (Il Giornale). Repubblica, avec Funke et Ouest-France, met en Une l’entretien du Président Emmanuel Macron sur la guerre en Ukraine « Travaillons pour la paix » - C’est à nous de dialoguer avec Poutine (La Repubblica). Enfin, la campagne pour les élections présidentielles françaises est citée en Une par certains quotidiens et largement dans les pages intérieures des principaux journaux.
PREMIER PLAN, La Repubblica, de T. Ciriaco et S. Mattera, « L’Italie envisage désormais d’envoyer des armes plus lourdes à la résistance ukrainienne. »
COMMENTAIRE, Corriere della Sera, M. Franco « La majorité est agitée par le retour des populismes » : « Les images qui nous arrivent du M5S et de la Ligue nous indiquent un retour à leurs pulsions d’antan, populistes, souverainistes, eurosceptiques et anti-Otan. Les 5 Etoiles, sur le plan international, dévoilent leur composante pro-Poutine en demandant d’arrêter l’envoi d’armes à l’Ukraine et en invoquant sa reddition face à l’agression russe. Son dirigeant G. Conte montre quant à lui une équidistance plutôt singulière sur les élections présidentielles françaises alors que son parti lui demande de clarifier sa position sur l’Otan. Ce sont là des faits qui confirment une régression du Mouvement, qui tente de récupérer l’hémorragie d’électeurs en reprenant les thématiques de son populisme d’origine. Pour la Ligue, les accolades hier à Rome entre son chef Salvini et le président V. Orban, le plus pro-Poutine d’Europe de l’Est, ont suscité des doutes. Salvini a provoqué la perplexité en soulignant ‘’ la pleine harmonie avec Orban’’ allant de la ‘’lutte contre l’immigration illégale’’ à la défense ‘’des valeurs et des racines de l’Occident’’. Quant à la situation internationale, il s’est borné à souligner la ‘’sagesse du Pape’’ qui a demandé ‘’le cessez-le-feu’’. Pas un mot de condamnation à l’encontre de Poutine. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
12:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
21/04/2022
Allemagne : plus de 140 procédures d’enquête contre des personnes utilisant publiquement le "Z" de l’offensive russe en Ukraine.
Allemagne. Plus de 140 procédures d’enquête ont été lancées contre des personnes utilisant publiquement le « Z » de l’offensive russe en Ukraine.
Début avril 2022, un chauffeur de camion autrichien arrêté sur un parking d’autoroute en Bavière avec un autocollant « Z » et un autre « Fuck Nato » (baise l’OTAN) a dû enlever ces derniers et laisser une caution de 2.500 euros car il ne réside pas en Allemagne.
20:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
Tino Chrupalla appelle les électeurs français à voter pour Marine Le Pen.
Allemagne et France. Le co-dirigeant de l'AfD Tino Chrupalla appelle les électeurs français à voter pour Marine Le Pen lors du second tour de l'élection présidentielle.
"Votez Marine ! Chers Français, votez pour Marine Le Pen !"
19:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Les femmes irlandaises ne sont pas en sécurité dans l'Irlande multiculturelle."
Irlande.
"Les femmes irlandaises ne sont pas en sécurité dans l'Irlande multiculturelle."
17:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
Tino Chrupalla apprécie le fait qu'Olaf Scholz fasse preuve de retenue dans l’envoi d’armes lourdes à l’Ukraine.
Allemagne et Ukraine. Le co-dirigeant de l’AfD Tino Chrupalla apprécie le fait que le chancelier social-démocrate allemand Olaf Scholz fasse preuve de retenue dans l’envoi d’armes lourdes à l’Ukraine.
Le député suédois des Démocrates suédois Charlie Weimers réagit à ce propos et estime que les patriotes doivent soutenir les patriotes et pas les impérialistes comme Vladimir Poutine.
14:33 | Lien permanent | Commentaires (0)