03/11/2021
"Un éléphant dans la pièce."
Italie. Revue de presse.
La Conférence de Glasgow sur les changements climatiques, et notamment l'accord trouvé sur la réduction des émissions de méthane et contre la déforestation, fait les gros titres de la presse italienne. Les observateurs relèvent dans l’ensemble un « accord en demi-teinte », avec des objectifs revus à la baisse par rapport aux attentes de la veille : « Plus de forêts et moins de gaz » - L'engagement de cent Etats d'ici 2030. Un fonds pour aider les pays les plus pauvres dans la transition énergétique a été institué (La Repubblica), « Cingolani : il faut avancer sur le nucléaire de nouvelle génération » - Le ministre de la transition énergétique s'exprime. Cop26, 20 milliards pour sauver les forêts (La Stampa), « Climat, un bazooka à hauteur de 5 milliards » (Sole 24 Ore), « Cop26 un accord à mi-chemin : plus de forêts mais les gaz restent » (Il Messaggero). Le débat politique autour de l'élection du Président de la République est aussi cité « La bataille sur le Quirinal » - Giorgetti soutient Draghi et critique Salvini. Tensions au sein de la Ligue (Corriere della Sera), « Draghi divise la Ligue » - Giorgetti évoque la possibilité que Draghi puisse gouverner depuis le Quirinal et provoque ainsi la colère de Salvini (Il Giornale).
Sur Twitter, l’hashtag #Puzzer est à signaler, en référence à l'expulsion du porte-parole des anti-pass sanitaire du port de Trieste, Stefano Puzzer, décidée par le Questeur de la ville de Rome en raison d'une manifestation non autorisée. Il s'agit pour la plupart de messages de solidarité qui évoquent une ''dictature sanitaire'' du gouvernement Draghi.
COMMENTAIRE, Repubblica, de Francesco Bei, « Un éléphant dans la pièce » : « Ce n’est pas tant la visite de Bolsonaro, mais surtout le défilé de Salvini à ses côtés qui fait réagir. Comment expliquer la présence du leader de la Ligue aux côtés du Président brésilien ? Certes, Bolsonaro est star au sein de cette internationale souverainiste et extrémiste à laquelle Salvini revendique d’appartenir. Mais plus qu’une star, une caricature. Au fil des années il les a toutes faites. Mais encore une fois, le problème n’est pas tant Bolsonaro, finalement cohérent dans son extrémisme. Le problème est Salvini, dont le parti fait partie d’un gouvernement plus que jamais engagé sur le plan diplomatique, du G20 de Rome à la Cop26 de Glasgow. Hier, le Ministre Giorgetti a déclaré que le tournant européiste de Salvini est encore inaccompli et qu’il doit plus clairement s’institutionnaliser. Or, Gorgietti fait semblant d’ignorer l’évidence : le tournant « inaccompli » de Salvini est très clair, il n’a jamais eu l’intention de s’institutionnaliser, en adhérant au gouvernement de Draghi, il espérait surtout profiter de la popularité internationale du Président du conseil. »
COMMENTAIRE, Repubblica, de Stefano Folli, «Draghi-Mattarella. Alternatives en péril » : « L’après G20 nous confirme que le système se fonde sur deux piliers : Mattarella au Quirinal et Draghi au Palais Chigi. Briser ce binôme peut être dangereux car les alternatives restent floues. Selon Giorgetti, léghiste très proche du Président du Conseil et très loin de son leader, il faut prolonger ce tandem au moins jusque 2023. L’autre proposition est celle d’un « semi-présidentialisme de fait » avec Draghi chef d’Etat mais à condition qu’il oriente le gouvernement. Cette dernière proposition voudrait dire s’engager dans des terres inconnues et en contradiction à la fois avec la lettre et avec l’esprit de la Constitution. Si Draghi est élu au Quirinal avec l’intention d’être un de Gaulle, la situation face à laquelle il se retrouvera ne sera pas celle de la France de 1958. Rappelons que le semi-présidentialisme gaulliste fut instauré par une nouvelle constitution avant et non après son élection. En somme, « la complexe architecture politique italienne » pour reprendre les mots de Biden, ne doit pas être forcée. Un raisonnement logique voudrait que Draghi reste au Palais Chigi et Mattarella au Quirinal comme garant des équilibres. D’autres solutions ne sont pas possibles et apparaissent même insidieuses : un système fragile ne peut pas se permettre l’instabilité. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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02/11/2021
Le président brésilien Jair Bolsonaro à Pistoria en présence de Matteo Salvini.
Italie et Brésil. Le président brésilien Jair Bolsonaro a participé, à Pistoia, en Toscane, à une cérémonie en l'honneur des soldats brésiliens qui ont combattu durant la Seconde Guerre mondiale. Le sénateur Matteo Salvini, dirigeant de la Ligue, était présent.
Jair Bolsonaro et Matteo Salvini
23:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
Viktor Orbán appelle Alexandra von der Leyen à rembourser les coûts des mesures de protection aux frontières.
Hongrie et UE. Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán appelle la présidente de la Commission UE Alexandra von der Leyen à rembourser les coûts des mesures de protection aux frontières, car elles sont devenues « exemplaires » et « L'Europe est menacée par une crise encore plus grave qu'en 2015. »
(https://primeminister.hu/vikstories/viktor-orbans-letter-...)
18:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Premier ministre patriote slovène Janez Janša a rencontré le Prince Albert II de Monaco.
Monde, Monaco et Slovénie. Le Premier ministre patriote slovène Janez Janša a rencontré le Prince Albert II de Monaco. #COP26Glasgow
Albert II et Janez Janša
14:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Salvini, Meloni et Conte. Le drôle de trio qui souhaite voir Draghi au Quirinal."
Italie. Revue de presse.
L’ouverture de la Conférence de Glasgow sur les changements climatiques, et notamment les déclarations des principaux dirigeants du monde sur le climat, fait les gros titres de la presse italienne. Les observateurs relèvent dans l’ensemble l’absence d’unité des participants ainsi que la « rupture » de l’Inde. L’intervention du Président du Conseil Mario Draghi est également reprise dans les pages intérieures : « La pression de Draghi sur le climat » - L’argent est là, utilisons-le bien. Mais les grands de la Planète sont divisés (Corriere della Sera), « Climat, l’Inde défie le monde : la neutralité carbone uniquement en 2070 » (La Repubblica), « La rupture de l’Inde sur le climat » - Un faux départ pour la Cop26 : la Chine est absente et Modi annonce que l’Inde atteindra la neutralité carbone en 2070 (La Stampa), « Climat, le match décisif » (Avvenire).
ARTICLE, Sole 24 Ore, de B. Fiammeri, « Le succès de Draghi au G20 freine les prétentions des partis » : « Tout se complique ; le ‘’succès de l’Italie de Draghi’’ au sommet mondial du G20 va avoir des répercussions, y compris sur la politique intérieure. Il sera plus difficile pour les partis de prendre leurs distances vis-à-vis des choix du Président du Conseil. Ce dernier sait d’ailleurs qu’une épreuve importante l’attend à son retour de Glasgow : de la loi sur la concurrence à la note budgétaire en passant par un éventuel prolongement de l’état d’urgence et donc du pass sanitaire. Autant de questions sur lesquelles les partis se divisent et de façon différente selon les sujets. Le Président du Conseil continuera à appliquer son approche ‘’multilatérale’’ pour les affaires intérieures. En attendant, la rencontre entre Matteo Salvini et le président brésilien, négationniste et anti-vaccin, Bolsonaro divise le centre-droit. Le leader de la Ligue serait d’ailleurs bien seul s’il décidait de s’opposer à la prorogation du pass sanitaire, puisque non seulement Luigi Di Maio du M5S s’est dit clairement favorable, mais aussi Forza Italia qui a récemment pris de nettes positions sur la question. De plus, la course à la présidentielle se rapproche et Berlusconi reste convaincu d’avoir ses chances. Le discours de Salvini est bien ambigu à son égard, rassurant Berlusconi et affirmant être prêt à soutenir une candidature de Draghi. Le centre-droit est en pleine réflexion, mais à ce jour, les centristes semblent bien distants de leurs alliés historiques. »
ARTICLE, Repubblica, de C. Vecchio, « Salvini, Meloni et Conte. Le drôle de trio qui souhaite voir Draghi au Quirinal » : « Comment expliquer cette étonnante convergence de trois leaders qui ont jusqu’ici manifesté un certain mal-être vis-à-vis du Président du Conseil ? Concernant Meloni, cela pourrait simplement s’expliquer par sa volonté d’organiser des élections une fois le Président de la République élu. Or, la réalité est un peu plus complexe. Tout d’abord, bien que la dirigeante de FdI soit dans l’opposition, nombreux sont ceux qui soulignent les excellentes relations qu’elle entretient avec le Président du Conseil. D’autre part, un passage de Draghi au Quirinal constituerait une forme de reconnaissance pour Meloni. En participant à un pacte entre partis du système, elle en ferait automatiquement partie. Quant à Salvini, qui traverse actuellement un moment de crise, il n’exclut aucune possibilité. Il sait que Draghi est le seul candidat qui peut espérer être élu au premier tour, seul scénario pour que le leader de la Ligue ne perde pas son rôle central actuellement en péril. Et pour finir, Conte, lui qui a toujours considéré Draghi comme un usurpateur. Sa stratégie s’explique par sa difficulté à s’affirmer au sein du M5S, et comme Salvini, Conte reste ouvert à toutes les voies possibles. A ce stade, Draghi est le favori, à condition qu’il assure la continuité de la législature jusqu’à son échéance naturelle, en 2023. Autrement, c’est la « méthode Leone » qui prendra le dessus. En 1970, c’est dans le chaos que Giovanni Leone fut élu président de la République. Et pour l’instant, celui qui a le plus de chance d’émerger du chaos est Silvio Berlusconi. »
ENTRETIEN de Luigi Di Maio (Ministre des Affaires étrangères), La Stampa, « Stop au chantage au sujet du Quirinal. Des élections anticipées paralyseraient le PIB de l’Italie » : « Conte n’a jamais dit que le G20 avait été un échec. Je salue l’accord entre les Etats-Unis et l’UE pour supprimer les droits de douane additionnels sur l’acier ou sur l’aluminium, la suspension du financement publics des centrales nucléaires ou encore l’engagement à vacciner 70% de la population mondiale d’ici mi-2022. Tous les résultats sont à attribuer à l’Italie et au leadership de Mario Draghi. Entre le départ de Merkel et la période des élections qui concerne de nombreux pays européens, il est inévitable que l’Italie et Draghi deviennent des points de repère. Concernant le nucléaire, je tiens à rappeler que l’Italie l’a écarté à deux reprises. Le rejet de la loi contre la transhomophobie est une défaite pour l’Italie. Il est évident qu’il s’agit d’une répétition générale en vue des élections au Quirinal. Je crains que l’on subisse un chantage pour organiser des élections anticipées [du Président du Conseil]. Cela signifierait bloquer la reprise du pays à un moment où nous devons gérer les fonds du Plan de Relance. Je n’ai aucune intention de m’immiscer dans le débat sur les élections de janvier. Par rapport au Parti démocrate, nous avons des identités différentes même si nous convergeons sur certains sujets tels que le travail ou la transition écologique. Nous avons aujourd’hui un gouvernement qui rassemble. J’aime travailler dans l’intérêt du pays et non pour celui des partis. »
ENTRETIEN, Corriere della sera, de Didier Reynders, Commissaire européen à la Justice « La rhétorique de la guerre ne mène nulle part. Il faut que la Pologne prenne au sérieux la question des droits » : « Pendant longtemps en Europe, on a pensé que les pays qui rejoignaient l’Union respecteraient automatiquement l’Etat de droit. Le constat de certaines dérives nous a montré la nécessité d’entamer un débat sérieux au sujet de l’Etat de droit. Il faut éviter de recourir à une rhétorique de Guerre froide. Depuis l’après-guerre, nous sommes un continent de paix grâce à l’Union européenne. Je me rendrai à Varsovie les 18 et 19 novembre pour rencontrer les autorités, les institutions judiciaires et le Parlement pour avoir le même débat qu’avec les autres états membres. Si la Pologne applique les décisions de la Cour de justice européenne, alors les discussions pourront reprendre et il y aura une évolution vers le respect de l’indépendance de la justice, comme le prévoient les Traités. Quant au risque d’un Polexit, 80% des Polonais est favorable à la permanence de la Pologne au sein de l’UE. Le cas de la Cour constitutionnelle polonaise représente une situation unique car c’est la demande du premier ministre qui va à l’encontre des Traités. L’incompatibilité est décrétée par une Cour nationale dont nous contestons l’indépendance. Si la situation ne change pas, nous aurons recours aux instruments qui sont à notre disposition, à commencer par l’activation du mécanisme de la conditionnalité liée à l’Etat de droit. Quant à la réforme de la justice italienne, le gouvernement a bien compris nos recommandations qui portaient surtout sur l’inefficacité de la justice, entravée par des procédures trop longues. Nous suivrons les progrès en la matière. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
14:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
Janez Janša favorable au nucléaire en tant que source énergétique de transition.
Monde et Slovénie. Le Premier ministre patriote slovène Janez Janša souligne la nécessité de créer une voie réaliste pour mettre en œuvre les objectifs de l'accord de Paris, y compris avec l'aide de l'énergie nucléaire en tant que source énergétique de transition. #COP26Glasgow
14:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
Mateusz Morawieck estime que la rétention de fonds européens, via un "chantage", peut mettre en danger la transformation énergétique de la Pologne.
Monde et Pologne. Le Premier ministre patriote polonais Mateusz Morawieck estime que la rétention de fonds européens, via un « chantage », peut mettre en danger la transformation énergétique de la Pologne. #COP26Glasgow
13:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Nous sommes menacés d'un effondrement à nos frontières, comme en 2015."
Allemagne.
Jörg Meuthen, co-président de l'AfD : "Le chef du syndicat de la police met en garde de manière urgente : nous sommes menacés d'un effondrement à nos frontières, comme en 2015."
13:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie : la Ligue dépassée dans un sondage par le centre-gauche.
Italie.
Frères d'Italie : patriotes
Parti Démocrate : centre-droit
Ligue : patriotes
M5S : anti-système
Forza Italia : conservateurs
00:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
Lors de la COP26 à Glasgow, les Premiers ministres patriotes polonais et slovènes rencontrent des dirigeants mondiaux.
Pologne, Slovénie, Monde. Lors de la COP26 à Glasgow, les Premiers ministres patriotes polonais et slovènes Mateusz Morawiecki et Janez Janša rencontrent des dirigeants mondiaux, notamment le Premier ministre patriote indien Narendra Modi.
Mateusz Morawiecki et Narendra Modi
Janez Janša et Narendra Modi
00:34 | Lien permanent | Commentaires (0)
01/11/2021
Hambourg : un événement patriote protégé par des policiers à cheval et des véhicules lanceurs d’eau.
Allemagne et UE. Le groupe Identité et démocratie (ID) du Parlement européen, dont l’AfD est membre, a organisé ce samedi 30 octobre 2021 à Hambourg un rassemblement intitulé « Bürgerdialog mit Oktoberfest » (Dialogue citoyen avec fête de la bière), sur un terrain privé. Des escadrons de policiers à cheval et des véhicules lanceurs d’eau ont dû être déployés par la police afin de protéger l'événement.
01:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
31/10/2021
Mario Eustacchio, vice-maire FPÖ de Graz, touché par une affaire de remboursement de frais.
Autriche. Styrie. Graz. Le vice-maire FPÖ de Graz Mario Eustacchio et le chef de file des élus FPÖ au Conseil municipal Armin Sippel quittent leur fonction au sein du FPÖ, car ils sont touchés par une affaire de remboursement de frais, de 50.000 euros pour Eustacchio et de 16.000 euros pour Sippel. Il ne prendront pas leur mandat lors de la prochaine mandature. (Les élections municipales ont eu lieu fin septembre).
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2021/09/27/mun...)
Mario Eustacchio
17:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Comité exécutif de l’Internationale démocrate centriste adopte une motion sur la démographie dans l'UE, basée sur la déclaration du sommet démographique de Budapest.
Monde, Hongrie et Slovénie. Le Comité exécutif de l’Internationale démocrate centriste a adopté une proposition conjointe du Fidesz du Premier ministre hongrois Viktor Orbán et du SDS du Premier ministre slovène Janez Janša sur la démographie dans l'UE, basée sur la déclaration du sommet démographique de Budapest.
à gauche : Viktor Orbán
17:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
La Hongrie dépensera, en 2022, 6,2 % du PIB en mesures de soutien aux familles.
Hongrie. Katalin Novák (Fidesz), ministre en charge de la Famille : « Le gouvernement dépensera, en 2022, 3.500 milliards de forints (9.7 milliards d'euros), soit 6,2 % du PIB, en mesures de soutien aux familles. »
16:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
30/10/2021
Les soldats gardant la frontière serbo-hongroise ont reçu l'ordre, avec effet immédiat, de porter un équipement de protection pendant leur service.
Hongrie. Les soldats gardant la frontière serbo-hongroise ont reçu l'ordre, avec effet immédiat, de porter un équipement de protection pendant leur service. Les patrouilleurs sont tenus de porter des gilets pare-balles, des boucliers et des casques.
Le Secrétaire d’État Szilárd Németh (Fidesz) déclare : « Les activités des passeurs et des migrants deviennent de plus en plus organisées et agressives ; nos soldats et policiers ont également été attaqués. À la même époque l'année dernière, 27.000 personnes ont dû être empêchées d'entrer illégalement sur notre territoire ; cette année, elles sont déjà 92.000. »
Szilárd Németh
21:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
Allemagne : la moitié des villes les plus dangereuses sont dans l’Est.
Allemagne. Allianz Direct a déterminé quelles sont les 10 villes de plus de 200.000 habitants les plus dangereuses d’Allemagne, en comparant le nombre de délits avec le nombre d’habitants. 4 se trouvent dans l’ancienne Allemagne de l’Est + Berlin, autrefois coupée en deux.
"Les villes les plus dangereuses d'Allemagne."
(https://www.allianzdirect.de/hausratversicherung/gefaehr...
15:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
Viktor Orbán est réélu vice-président de l’Internationale démocrate centriste.
Monde et Hongrie. Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán est réélu vice-président de l’Internationale démocrate centriste, l’organisation globale de partis de centre et de centre-droit, dont le parti français les Républicains est membre.
14:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
29/10/2021
Ouvrage du président de l'Union Européenne et Premier ministre patriote slovène Janez Janša.
Slovénie et UE. Le président de l'Union Européenne et Premier ministre patriote slovène Janez Janša me remercie pour la traduction en français de son livre que j'ai réalisée :
16:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Le double pacte Salvini-Berlusconi sur le système électoral majoritaire et l’élection au Quirinal."
Italie. Revue de presse.
L’adoption de la loi de finances en Conseil des ministres, hier soir, à hauteur de 30 milliards, qui prévoit une baisse d'impôts de 12 milliards, fait la Une de la presse italienne : « Une coupe des impôts à hauteur de 12 milliards » - Draghi présente la loi budgétaire. Le quota 102 pour les retraites introduit pour l’année 2022. Les syndicats menacent de lancer une grève (Corriere della Sera, La Stampa), « Impôts, 12 milliards de coupes pour la croissance » - La loi de finances a été adoptée avec 30 milliards étalés sur trois ans. Frictions au Conseil des ministres sur le revenu de citoyenneté (La Repubblica) « Draghi : une loi de finances pour la croissance » - Coup d’envoi au « Quota 102 », réduction du coin fiscal et superbonus (Sole 24 Ore), « Le revenu de citoyenneté aura plus de contrôles, baisse des charges fiscales pour le travail » (Il Messaggero).
Le G20 à Rome, et notamment l’arrivée en Italie du Président américain Joe Biden, est également cité. Dans ce cadre, un entretien du ministre Bruno Le Maire dans le Corriere della Sera : « L’Italie et la France n’ont jamais été aussi unies », est paru.
COULISSES, Corriere della sera, d’E. Marro, « Revenu de citoyenneté, des tensions entre les ministres » : « Si le compromis du Quota 102 a résolu les tensions, tout ne s'est pas déroulé sans heurts. Concernant le revenu de citoyenneté (rdc), les bénéficiaires qui trouvent un emploi, perdront 5 euros par mois, 6 mois après l’embauche. Les ministres 5 étoiles, dont notamment Luigi Di Maio, ont essayé de s’opposer à cette mesure défendue par les ministres du centre-droit, notamment par Renato Brunetta. Giuseppe Conte – qui avait eu un entretien téléphonique avec Draghi pour défendre le revenu de citoyenneté – se dit pourtant satisfait des résultats obtenus. De même Renato Brunetta, qui salue les économies qui seront ainsi faites. Désormais, c’est avec les syndicats que le gouvernement doit entamer des discussions. »
ARTICLE, Corriere della Sera, M. Cremonesi « Le double pacte Salvini-Berlusconi sur le système électoral majoritaire et l’élection au Quirinal » : « Il y a eu d’abord une rencontre clarificatrice avec ses trois ministres « rebelles » Gelmini, Carfagna et Brunetta, ensuite un déjeuner avec les ténors de Forza Italia (Tajani, Ronzulli et Gianni Letta), les chefs de groupe (Bernini et Barelli) et surtout avec Salvini, ses ministres Giorgetti, Garavaglia et Stefani, et les chefs de groupe de la Ligue Molinari et Romeo. Un communiqué a ensuite été diffusé, soulignant que le pacte entre Berlusconi et Salvini demeurait et allait de l’avant avec la coordination des ministres pour conduire les batailles communes sur la loi de finances ainsi que sur une réforme du mode de scrutin qui soit majoritaire et une stratégie compacte pendant les scrutins concernant le Quirinal. Les ministres de Forza Italia ont pour leur part invité les collègues de la Ligue à ne pas insister sur des thématiques qui divisent (comme par exemple la lutte contre le Covid et le pass sanitaire). Salvini semble d’accord. Quant aux hommes de la Ligue, ils sont bien contents d’entendre Berlusconi assurer qu’il n’a aucune intention de proposer une loi électorale proportionnelle. »
ENTRETIEN, Repubblica, de Simona Malpezzi, Présidente des démocrates au Sénat « Le vote sur le projet de loi contre la transhomophobie, considéré comme un test en vue du scrutin pour le Quirinal a été fait sur la peau des gens » : « ‘’Le Pd a entamé le dialogue avec le centre-droit mais il est clair que celui-ci n’envisageaient aucune médiation. Le Pd a voté de façon compacte. Concernant Italia Viva, je suis très déçue. Je l’ai toujours considérée comme une force politique favorable au Ddl Zan. Quant à Forza Italia, nous ne les croyions pas alignés avec des forces souverainistes et obscurantistes solidaires avec la Hongrie et la Pologne. Il est évident qu’il s’est agi d’une répétition générale en vue des élections au Quirinal de janvier. Cela a été fait sur la peau et sur les droits des personnes’’. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
12:54 | Lien permanent | Commentaires (0)
28/10/2021
Le Sénat polonais approuve la construction d'un mur frontalier.
Pologne. Le Sénat approuve la construction d'un mur frontalier :
https://www.fdesouche.com/2021/10/28/le-senat-polonais-ap...
22:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
Allemagne : plus de 1.000 migrants par jour !
Allemagne. Le ministre de l'Intérieur Horst Seehofer (CSU) met en garde face à une nouvelle vague de "réfugiés" : plus de 1.000 migrants par jour !
22:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
La Pologne estime que la décision de la CJUE doit être ignorée.
Pologne. Le sous-secrétaire d'État au ministère de la Justice Marcin Romanowski estime que la décision de la CJEU d’imposer une astreinte d’un million d’euros par jour à la Pologne – jusqu’à ce que celle-ci suspende la Chambre disciplinaire de la Cour suprême - doit être ignorée par cette dernière :
https://www.237online.com/la-pologne-decide-dignorer-les-...
16:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Une défaite et ses leçons."
Italie. Revue de presse.
Le blocage au Sénat du projet de loi contre la trans-homophobie, dit « Legge Zan », dont la discussion était suspendue depuis six mois, fait les gros titres de la presse italienne : « Homophobie, la loi a été torpillée » - Le blocage du texte, demandé par la Ligue et Fratelli d’Italia, a fonctionné. Des frondeurs ont conduit à ce que le projet de loi soit rejeté. Le PD accuse Italia Viva ; Salvini exulte (Corriere della Sera), « Scrutin à bulletin secret, adieu à la loi Zan » - Les droits peuvent attendre, la loi contre la transhomophobie a été rejetée avec 154 voix contre 131 (La Repubblica), « Zan, le Parlement des droits non reconnus » - Le projet de loi est finalement bloqué par un vote à bulletin secret (La Stampa), « Fin du délire du genre» - Le Sénat bloque une loi liberticide (Il Giornale). La réforme des retraites et le débat autour d’une prorogation de l’obligation de présentation du pass sanitaire sur les lieux de travail sont également cités.
COMMENTAIRE, Repubblica, de S. Folli, « Une défaite et ses leçons » : « Le centre-droit a certes gagné sa bataille, mais quelle idée des institutions transmet-il a ses électeurs avec cette bruyante exultation digne d’un stade? Quant au Pd, quelle était la véritable stratégie d’Enrico Letta ? Ce qui est certain, c’est que le passage du texte par un vote à bulletin secret n’a pas aidé. Dans tous les cas, même avant l’été, on avait compris que le nombre de voix favorables serait maigre et qu’il fallait trouver un compromis. La défaite du projet de loi anticipe les rendez-vous politiques des prochains mois, surtout la grande bataille pour le Quirinal. Après la journée d’hier, il est difficile de rester optimiste quant à la possibilité de trouver un accord transversal. La probabilité qu’en janvier on assiste à un duel entre deux ou plusieurs candidats de tel ou tel front, a beaucoup grandi. Pour revenir à ce qui s’est passé hier, la chasse aux traîtres est inévitable mais peu fructueuse. Pour l’instant, tous les regards sont pointés vers les sénateurs de Renzi. En réalité, il est nécessaire d’élargir le champ de vision : les désaccords étaient également présents au sein du Pd mais surtout chez le M5S : personne ne se rappelle d’un véritable geste de Conte en faveur de la loi Zan. Du texte de la loi, il reste une idée, le souvenir d’une bataille perdue, un drapeau politique à brandir si besoin. »
ENTRETIEN, Corriere della sera, d’Alessandro Zan, sénateur du PD et porteur du projet de loi contre la transhomophobie « Italia Viva avait voté de façon unie à la Chambre. Désormais ils flirtent avec la Ligue. » : « ‘’Je ne m’attendais pas à une défaite si lourde parce que le Pd avait calculé que nous avions un avantage de 8 ou 10 voix. Avec le vote secret nous ne saurons jamais rien avec certitude. Mais dans tous les cas, les chiffres comptent peu car le cadre politique est évident : cela fait des mois qu’IV flirte avec le centre-droit. Avec l’arrivée de Draghi, Renzi s’est mis en tête de devenir le parti décisif au Sénat. Mais ils se sont ainsi rapprochés d’un parti ami d’Orban. Vous vous rendez compte ? Celui qui a voté pour des lois homophobes et transphobes, qui censure la presse et qui a fermé les universités. Quand on entend David Faraone (président de IV au Sénat), on croirait entendre Salvini. IV dit qu’il fallait trouver des compromis avec la Ligue mais comment entamer une discussion avec un parti qui a fait de tout pour enterrer la loi ? Pourtant, il y a un an, IV avait voté avec nous à la Chambre. Cette fois-ci, la loi a clairement été soumise à des logiques de stratégies utiles à d’autres batailles et notamment aux élections du Quirinal. C’est sûrement le cas de Forza Italia mais je ne me résous pas à l’idée qu’aussi IV ait pu le faire au détriment d’une avancée en matière de droits. Ainsi, deux années de travail ont été balayées, et l’Italie reste un des rares pays européens à ne pas avoir de loi sur les droits et libertés. Je reste cependant optimiste. Ces deux années de travail ont renforcé la conscience collective sur l’importance des droits. Heureusement, notre pays est bien en avance sur sa classe dirigeante’’. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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27/10/2021
Le meeting à Liège en Belgique avec Jordan Bardella interdit.
Belgique et France. Le meeting de Chez nous, qui devait se tenir en présence du président du Vlaams Belang (Flandre) et du président du Rassemblement National Jordan Bardella (France) à Herstal, dans la banlieue rouge de Liège, a été interdit par le bourgmestre (maire) socialiste de Herstal.
Ce genre de méthode est habituelle dans cette région, où les patriotes sont systématiquement discriminés et où la démocratie n’existe pas pour ces derniers. Les médias du système de Belgique francophone refusent, par exemple, de donner la parole aux patriotes.
L'interdiction était, en conséquence, attendue.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2021/10/06/tom...)
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Bavière : les autres partis ont empêché l’AfD d’obtenir le siège au sein du Comité de contrôle parlementaire auquel elle a droit.
Allemagne. Bavière. Les autres partis ont empêché l’AfD d’obtenir le siège au sein du Comité de contrôle parlementaire auquel elle a droit.
18:07 | Lien permanent | Commentaires (0)