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01/01/2021

Le grand espoir des patriotes d’Europe en 2021 : la chute du gouvernement italien et l’arrivée au pouvoir des deux partis patriotiques Frères d’Italie de Giorgia Meloni et la Ligue de Matteo Salvini.

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Le grand espoir des patriotes d’Europe en 2021 : la chute du gouvernement italien et l’arrivée au pouvoir des deux partis patriotiques Frères d’Italie de Giorgia Meloni et la Ligue de Matteo Salvini :

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Bonne année 2021.

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31/12/2020

"Le gouvernement ne tient qu'à un fil."

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Italie. Revue de presse.

La tenue de l'exécutif, et notamment les propos du Président du Conseil G. Conte sur la nécessité d'une motion de confiance du Parlement si le parti Italia Viva sortait de la majorité suite à leur désaccord sur les projets prévus dans le Plan de Relance national, fait les gros titres des médias italiens.  « Conte prévient : stop aux ultimatum » (Corriere della Sera), « Le gouvernement ne tient qu'à un fil » (La Repubblica), « Conte : si la confiance d'un parti de majorité devait faire défaut, j'irai au Parlement » (Sole 24 Ore), « Le règlement de compte » - La crise approche, Renzi de plus en plus isolé (Il Fatto Quotidiano), « Conte défie Renzi » (Il Giornale).

ENTRETIEN, Sole 24 Ore, de Matteo Renzi, leader d’Italia Viva « Nous ne serons pas complices de ce Plan de Relance, autant passer dans l’opposition » : « ’’Il n’y a pas de coulisses, ni de mystères : l’Italie dispose d’une somme énorme d’argent qu’il faut dépenser et je veux savoir comment nous allons le faire. Car s’il doit être gaspillé avec ce que M. Draghi appelle ‘’la mauvaise dette’’, qu’ils le fassent sans nous. J’ai été un allié pour renvoyer Salvini chez lui et obtenir les fonds européens : je ne serai pas complice du plus gros gaspillage d’argent public de l’histoire. Je suis favorable à dépenser tout cet argent, et bien. Quant à Conte, le problème est de savoir où nous voulons amener l’Italie d’ici les vingt prochaines années. Attention : nous ne voulons pas faire tomber Conte mais s’il ne prend pas en considération nos propositions dans l’écriture du texte le plus important de la législature, alors qu’ils gardent pour eux le document et nos ministères. Le passage devant le Parlement est légitime. Si après le Parlement veut gaspiller 300 milliards d’euros en bonus et subventions, qu’il le fasse mais sans Italia Viva. Nous, nous irons dans l’opposition. Italia Viva a remis ces dernières heures  au ministre de l’Economie Gualtieri un document avec 63 points dont nos propositions  de modification : priorité absolue aux investissements, aux infrastructures, aux politiques sociales, la culture, le tourisme et puis le grand absent : l’emploi des jeunes, qui se traduit par un investissement dans les écoles, la formation et les universités ».

ENTRETIEN, La Repubblica, de Matteo Renzi, leader d’Italia Viva « Draghi ou le PD, Conte hors du jeu ».

PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de M. Franco, « Les choix difficiles du Palais Chigi, deux semaines pour éviter l’effondrement » : « Giuseppe Conte semble se sentir de plus en plus isolé au sein de sa propre majorité. Il tente donc de pointer du doigt le « parti des ultimatums » comme une cause potentielle d’instabilité et affaiblir ainsi l’offensive de Matteo Renzi. Il est conscient que le contexte lui est, malgré tout, favorable : ajouter des incertitudes et une crise de gouvernement à une situation déjà si critique. La pandémie et la question des fonds pour la Relance épuisent et terrorisent l’opinion publique et l’Europe reste attentive et perplexe. Pourtant, le refus répété du MES et la concession, au final, sur la direction des services secrets témoigne bien des craintes Président du Conseil quant à un possible affaiblissement personnel et un éloignement du MS5. Il a donné hier l’impression de ne pas exclure que le gouvernement soit mis à mal par les attaques d’Italia Viva. Ces deux semaines seront décisives pour empêcher que le scénario du remaniement ou des élections anticipées ne s’impose. Conte doit dissiper le doute sur une instrumentalisation de sa part de la pandémie : non pas comme une urgence réelle mais comme prétexte pour désarmer ses adversaires. Il doit conférer plus de cohérence à la coalition, à travers un projet clair, et abandonner les logiques de survie. Il doit convaincre ainsi ceux qui doutent de sa capacité à guider le pays dans cette phase cruciale. Ainsi, il mènera la vie dure à ceux qui, à travers des calculs de pouvoir, sont prêts à détruire le contexte favorable dans lequel évolue l’actuelle majorité, convaincus que l’on pourra ensuite recoller les morceaux. »

SONDAGES, La Repubblica, de I. Diamanti  « La popularité de Conte résiste, malgré tout» : « Le sondage Demos de fin d’année assoit la primauté de G. Conte sur les autres figures politiques italiennes. Malgré une année exceptionnelle, marquée par l’urgence pandémique, 46% des Italiens se disent satisfaits du fonctionnement de la démocratie : il s’agit là d’un des indices les plus élevés de ces dix dernières années. Il était inférieur de 10 points en 2018, au lendemain des élections politiques. La pandémie a légitimé la présence d’un ‘’dirigeant fort’’ alors que les oppositions sont du coup perçues comme une entrave, un obstacle, indépendamment de sa couleur politique. Giuseppe Conte est ainsi devenu un ‘’leader fort’’, grâce à la pandémie mais aussi grâce à son habileté : il a atteint son pic, 70%, entre mars et avril. Sa cote a baissé un peu, certes, mais il a creusé l’écart avec les autres personnalités politiques. A la question ‘’qui est le meilleur homme politique italien ?’’ Conte obtient 30% des intentions, devançant Salvini (8%), Mattarella (7%), G. Meloni (7%), S. Berlusconi (2%). Si on inverse la question ‘’Quel est le pire homme politique italien ?’’, le résultat change considérablement : M. Salvini figure au podium avec 35% des sondés, suivi de G. Conte (12%), L. Di Maio (8%), M. Renzi (4%) et G. Meloni (3%) »   

 SONDAGES, Corriere della Sera, de M. Pagnoncelli « En cas d’élections anticipées, le centre droit l’emporterait mais l’alliance entre le PD et le M5s Pourrait réduire l’écart » : « Les derniers sondages IPSOS, basés sur la loi électorale actuellement en vigeur, sont clairs :  les partis de centre droit obtiendraient 222 voix à la Chambre (dont 106 à la Ligue ) contre les 123 voix du centre gauche (dont 86 iraient au PD). Mêmes tendances au Sénat : le centre droit obtiendrait 115 voix contre les 58 du centre gauche. Toutefois, si le PD et le M5S devaient faire coalition, ils réduiraient l’écart, obtenant 10 députés et 6 sénateurs en plus ». 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Italie : le centre-droit donné majoritaire en cas d'élections anticipées.

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Italie. Un sondage donne le centre-droit (les patriotes de la Ligue et Frères d'Italie + les conservateurs de Forza Italia) majoritaire dans les 2 chambres en cas d'élections anticipées.

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M5S : anti-système

PD : Parti Démocrate : centre-gauche

30/12/2020

Matteo Salvini : "Le gouvernement Conte II est paralysé, voici nos projets pour gouverner."

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Italie. Revue de presse. 

LETTRE, Corriere della Sera, de Matteo Salvini, dirigeant de la Ligue, « Le gouvernement Conte II est paralysé, voici nos projets pour gouverner » : « Nos propositions vont de la Santé, à l’emploi, en passant par l’école. La Ligue, et l’ensemble du centre-droit, ont su démontrer qu’ils étaient une opposition sérieuse et constructive. Mais la communication avec ce gouvernement est très difficile, d’autant plus avec les actuelles luttes de pouvoir. J’attends une rencontre avec le Président du Conseil depuis le 10 décembre. En attendant, nous travaillons sur notre propre proposition pour le Plan de relance, selon lequel davantage de fonds seraient alloués au secteur de la Santé, au moins 30 milliards, tout en excluant toujours le MES. Plusieurs mesures concernent l’emploi, et nous faisons du renouvellement générationnel et de la défense de la retraite à travers « Quota 100 » des priorités. La ministre Lucia Azzolina ne nous a jamais impliqué, pourtant nos propositions concernent également l’école : contre la précarité de certains enseignants, le renfort des transports publics par les privés, la meilleure répartition des élèves dans les espaces scolaires. Je veux aussi rassurer les lecteurs, nos rapports avec les gouvernements et les oppositions au sein du Vieux Continent sont bien réels, la droite n’est pas isolée. Nous travaillons à cela, comme le montrait notre projet de tour des capitales européennes qui sera repris au plus vite. En attendant, j’organise des rencontres avec les diverses catégories économico-productives. Du reste, le comportement de l’Allemagne quant au vaccin, qui a souhaité s’éloigner de l’accord commun, pourrait bien être défini souverainiste. Berlin a eu raison et l’Italie devrait faire de même. En tant que leader du premier parti du Pays, je souhaite impliquer l’ensemble du centre-droit, y compris les plus petits partis. Nous gouvernons 14 des 20 régions et des milliers de communes et, contrairement au gouvernement en place, nous avons des projets, du consensus et une réelle vision d’ensemble. Nous sommes prêts à gouverner. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

29/12/2020

Norbert Kleinwächter de l’AfD interviewé par Nicolas de Lamberterie de TV Libertés.

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Allemagne. Le député AfD Norbert Kleinwächter : « Les droits de l’Homme sont en danger en Allemagne » - Le Zoom de TV Libertés :

Frères d'Italie présent au sein de l'exécutif du Trentin - Tyrol du Sud / Haut-Adige.

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Italie. Trentin - Tyrol du Sud / Haut-Adige. Claudio Cia rejoint le parti Frères d’Italie. Il avait fondé AGIRE per il Trentino. Il est membre du législatif et de l’exécutif régional.

Alessandro Urzì, membre du législatif régional, avait rejoint, avec son Alto Adige nel Cuore, en juillet 2020 Frères d’Italie.

À la suite du changement de formation de Claudio Cia, le parti germanophone démocrate-chrétien SVP gouverne, au sein de l’exécutif du Trentin - Tyrol du Sud / Haut-Adige, avec la Ligue, Frères d’Italie et Forza Italia.

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Giorgia Meloni et Claudio Cia

"Vers une crise [politique] en janvier."

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Italie. Revue de presse.

Larrivée du vaccin anti-covid continue d’être à la une de la presse italienne, avec divers problèmes soulevés : polémique autour de la répartition des doses entre les différents pays, débat sur une éventuelle vaccination obligatoire ou encore le ralentissement de lapprovisionnement du fait des intempéries.  « Vaccin, divisions sur le caractère obligatoire », « Le Nord est sous la neige, larrivée des doses est retardée » (Corriere della Sera),  « Vaccin, opposition sur le caractère obligatoire. La neige retarde la livraison. » (La Repubblica), « Sileri, vice-ministre de la Santé : ‘’Le vaccin sera obligatoire dès lors quune personne sur trois le refusera’’ » (La Stampa), « Vaccins : lAllemagne augmente le nombre de doses hors accord UE, mais pas lItalie » (Il Sole 24 Ore), « Vaccins, lItalie est à la traine » (Il Messaggero), « Vaccin obligatoire, le M5S divise le gouvernement » (Il Giornale), « Vaccins, lItalie est déjà en retard » (Il Mattino). 

Par ailleurs, la Loi de finances, le débat autour du Recovery plan et le plan de Matteo Renzi, qui « secoue » la majorité, sont également évoqués : « Renzi hausse le ton et lon craint désormais pour la tenue du gouvernement » (Corriere della Sera), « Gentiloni alerte sur un ‘’risque Recovery’’‘’lItalie doit accélérer les réformes’’ » dans un long entretien au directeur de La Repubblica, « Gurria et le Recovery ‘’Utilisez-le pour lemploi’’, duel entre Renzi et Conte » (La Stampa), « Renzi dit ‘CIAO’ à Conte » (Il Giornale).  

ARTICLE, Corriere della Sera, d’A. Trocino, « Unis pour le vaccin ; de Conte a Salvini, les réponses des chefs de file à lidée du Corriere » : « Une photo collective des chefs de partis de la majorité et de lopposition pour dire aux Italiens quil est indispensable de se faire vacciner contre la Covid. Cest la proposition lancée par le directeur du Corriere della Sera Luciano Fontana, qui a reçu un grand nombre de réponses favorables, de la part de Zingaretti, de Renzi, de Crimi, de Fratoianni, de Toti, de Bonino Della Vedova, et de Berlusconi, qui prônent lunité et la collaboration en ces temps de crise. Encore une fois, ce dernier se distingue de lopposition forte de Matteo Salvini et Giorgia Meloni, qui nont pas adhéré à la proposition. »

ARTICLE, Messaggero, M. Conti, « Renzi, projet CIAO (ndr : Culture, Infrastructures, Environnement, Opportunités) : ‘’le plan de Conte est décevant’’. Vers une crise en janvier » « Matteo Renzi ne fixe pas le jour mais le mois : janvier. "S'il y a un accord, nous irons de l'avant, sinon ils se passeront de nous". La ‘’vérification’’ de la tenue de la majorité, commencée il y a une dizaine de jours, ne décolle pas et la crise gouvernementale est maintenant plus qu'une hypothèse. Le dirigeant d'Italia Viva démolit le plan de dépenses de 209 milliards d'euros de la Next Generation UE de, le jugeant "bâclé" et "sans âme", résultat d'un "collage" de propositions de ministères élaborées par des "bureaucrates". L'attaque renzienne sur le travail effectué par le Palais Chigi et le ministère de l'économie est lourde, mais les contestations enflant, les partis de la majorité ont présenté hier, chacun, leurs propres contre-propositions. 61 points que IV demande de changer avec trente pages de contre-propositions. Le nom du plan ‘’Ciao’’ (ndr ‘’Salut’’) fait immédiatement comprendre les intentions belliqueuses de l'ancien président du Conseil. Même le PD et Leu s’élèvent contre le plan du Palais Chigi : si les tons sont clairement différents, sur la nécessité d'activer le Mes, au moins en partie comme suggéré par Andrea Orlando, les trois partis se retrouvent. Aujourd'hui, les ministres Gualtieri et Amendola rencontreront les délégations M5S et PD. Demain, ce sera le tour d'IV et Leu, mais les marges de réparation sont minimes dans la majorité des cas. Une fois la loi de finance votée, Conte tentera de ressouder sa majorité. Le Quirinal, inquiet, s'efforce d'identifier au Parlement des solutions différentes qui soient en mesure d'assurer un gouvernement au pays. " IV fait des propositions de bon sens" dit Renzi, à qui il faut cependant reconnaître d'avoir ouvert - à sa manière - un débat sur l'utilisation des 209 milliards et sur l'avenir du pays. »

EDITORIAL, Stampa, M. Sorgi, « Matteo (Renzi) hausse dun ton et dans le collimateur il y a maintenant le Parti démocrate » : « Il nest pas nécessaire dexaminer les 50 arguments proposés par Renzi pour comprendre que le leader dItalia Viva vise désormais non seulement Conte, mais aussi le PD. Cest comme sil disait à Zingaretti : vous pouvez continuer à penser et à dire que je veux une crise, que si je continue il y aura des élections anticipées où vous irez avec une coalition guidée par Conte ou dalliés dune liste du parti de Conte, mais sans IV ; vous savez très bien que ce nest pas la vérité : perdre loccasion de se présenter au rendez-vous unique des aides européennes avec un vrai projet pour la reconstruction, et non avec une liste médiocre mise au point par les ministères, serait un délit. Il est évident que Zingaretti a mis en garde Conte, avant Renzi, sur la nécessité de monter ensemble le projet de la gestion des 209 milliards affectés à lItalie par la Commission européenne. Et si le PD a évité de remettre la question sur le tapis, cest par souci de garder de bonnes relations avec Conte. Ouvrir une crise en pleine pandémie pourrait se révéler être une folie. Mais si justement lobjectif du PD était d’éviter la dissolution des Chambres, pourquoi le PD a-t-il commencé à raisonner sur comment y faire face, et sur la manière den arriver là, qui soit la plus dommageable pour Renzi ? Le leader dIV a tenté de sinsérer dans cette dynamique, avec quels effets, nous le verrons ».

ENTRETIEN, La Repubblica, de Stefano Patuanelli, ministre du Développement économique, « Après Conte seules les élections sont possibles ; et pour le M5S la voie à suivre est lalliance avec le Pd et Leu » : « Sil y avait un retour aux urnes avec cette loi électorale, le seul moyen de le faire serait en coalition avec le Pd et Leu. La pandémie ne peut pas devenir un prétexte pour ne pas aller voter. Selon moi, il faudrait un nouveau camp innovateur commun et un chef de file comme Conte. On ne peut pas raisonner comme si le mode de scrutin était proportionnel. Il est clair que si une crise éclate et quil y a des élections parce quune force politique a décidé de ne plus croire en cette majorité, ce parti restera en dehors dune future coalition. Sur le Plan de relance, limportant est de trouver une synthèse dans lintérêt du pays. Une structure de contrôle pour le Fonds de relance est nécessaire : toute entreprise qui réalise un investissement conséquent en crée. »

(Traduction : ambassade de France)

28/12/2020

"Le point le plus important de l'accord est qu'il mettra fin à l'hystérie anti-Brexit."

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Royaume-Uni.

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Nigel Farage : "Le point le plus important de l'accord est qu'il mettra fin à l'hystérie anti-Brexit qui a défini notre nation depuis 2016. Il n'y a pas de retour en arrière."

Le Vlaams Belang propose que celui qui dispose d’un bien immobilier à l’étranger ne puisse pas louer une habitation sociale.

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Belgique. Flandre. Le Vlaams Belang propose que celui qui dispose d’un bien immobilier à l’étranger ne puisse pas louer une habitation sociale. Le parti désire que les ressortissants de pays qui n’autorisent pas les contrôles ne puissent plus obtenir une habitation sociale.

L’ancien groupe des élus du Forum voor Democratie au sein du Conseil provincial d’Utrecht rejoint JA 21.

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Pays-Bas. Province d’Utrecht. L’ancien groupe des élus du Forum voor Democratie au sein du Conseil provincial d’Utrecht rejoint JA 21.

Giorgia Meloni : "La droite est une force de gouvernement et en Europe nous ne sommes pas seuls."

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Italie. Revue de presse.

Le lancement de la campagne de vaccination contre la Covid-19 et les premières injections en Italie font les gros titres de lensemble des médias italiens.  « La course pour vacciner les Italiens, la campagne de masse ne commencera quen avril, le commissaire Arcuri mise sur 80% de la population vaccinée à lautomne » (Corriere della Sera),  « Vaccin, cest le début dun nouveau départ » (La Repubblica), « Dici fin mars, 13 millions de personnes vaccinées » (La Stampa), « Vaccins, la chasse à de nouveaux approvisionnements » (Il Messaggero),  « Les vaccins arrivent : avec le feu vert dOxford il y en aura pour tout le monde » (Il Fatto Quotidiano), « Le petit malin du vaccin, De Luca (gouverneur de Campanie) coupe la file » (Il Giornale),  « Dici trois mois les hôpitaux seront sûrs » (Il Mattino).  

COULISSES, La Repubblica, d’A. Cuzzocrea : « Dans le bras de fer sur les Services, Renzi barre la route aux democrates » : « Matteo Renzi na aucune intention de revenir sur sa requête concernant les services secrets pour que le président du Conseil Conte en partage la direction avec une personne qui aurait sa confiance, cest une des conditions pour continuer à soutenir le gouvernement. Renzi considère que le PD contrôle déjà la Guardia di Finanza et larmée avec les Carabinieri : ils doivent donc faire un choix et ne peuvent pas prendre le contrôle également des Services secrets. Renzi voudrait un remaniement pour arriver à la formation dun Conte ter. Cest pour cela que les ministres du Pd et les leaders du M5S parlent d’élection en cas de crise, dune part pour lui faire peur, d’autre part parce quils savent quil serait très compliqué de trouver un nouvel équilibre. »

LETTRE OUVERTE, Corriere della Sera, de Giorgia Meloni, à la tête de Fratelli dItalia, en réponse à larticle dA. Panebianco (Corriere, dimanche, « Que la droite accepte lEurope »), « La droite est une force de gouvernement et en Europe nous ne sommes pas seuls » « « Selon A. Panebianco, en bref, nous serions les ‘’imprésentables’’ qui, s’ils la gouvernaient, porteraient l’Italie aux marges de l’UE. D’où le conseil de nous allier avec ceux qui ‘’comptent le plus en Europe’’. Ce qui, j’imagine, signifie Macron et Merkel. Si sa théorie était exacte, comment expliquer que j’ai été élue à la tête des Conservateurs européens, qui comptent 40 partis européens et occidentaux ? Nous revendiquons encore clairement ce qui était le rêve de De Gaulle qui parlait d’une communauté d’Etats libres et souverains.  C’est l’Europe des patries que la droite a toujours incarnée et que Fratelli d’Italia interprète. Ce qui nous caractérise n’est pas un nationalisme hostile, comme on tente de le raconter aux autres états européens. Nous dénonçons une structure européenne centrée désormais sur un axe franco-allemand qui mine progressivement la cohésion entre états et pénalise en particulier l’Italie ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

27/12/2020

Interview de Christian Bouchet sur Alexandre Douguine par Lionel Baland.

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Russie et France. Interview de Christian Bouchet sur Alexandre Douguine :

https://www.breizh-info.com/2020/12/27/156214/alexandre-d...

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26/12/2020

L'AUR est donnée à 15 %.

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Roumanie. L’AUR, l’Alliance pour l’Union des Roumains, est donnée au sein d’un sondage CURS à 15 % :

https://www.taurillon.org/montee-inquietante-de-l-extreme...

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Claudiu Tarziu et George Simion

25/12/2020

Interview de Lionel Baland sur Radio chrétienne francophone (RCF) à propos du nationalisme belge et de l'histoire du nationalisme.

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Belgique. Interview de Lionel Baland par Eric Cooper de RCF :

https://soundcloud.com/radio-eric-cooper/partons-a-la-dec...

Joyeux Noël de Frères d'Italie.

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Italie.

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24/12/2020

Joyeux Noël de l'AfD de Bavière.

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Allemagne. Bavière.

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"Nous vous souhaitons et à vos familles un Joyeux Noël."

Joyeux Noël de Matteo Salvini.

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Italie.

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Meloni : "Je ne ferai jamais partie d’un gouvernement qui serait né grâce au vote des transfuges."

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Italie. Revue de presse.

ENTRETIEN, La Repubblica, de Francesco Boccia (PD), ministre pour les Affaires régionales « ‘’En cas de crise, il y aura des élections anticipées’’ » : « ‘’ Un gouvernement tient debout si ceux qui en font partie veulent être ensemble et savent ce qu’ils veulent faire. S’il n’y a plus de conditions, le président de la République décidera de ce que nous ferons. Affirmer que pour le PD, à ce stade, il n’y a pas d’autre voie que les élections - comme l’a fait D. Franceschini –, cela ne signifie pas ne pas connaître la Constitution, mais se dire opposé à toute forme d’imbroglio ou d’exécutifs contre-nature. Car nous ne formerons jamais un gouvernement avec les partis de droite. Renzi devrait savoir très bien cela. Le comité d’experts ? Il n’était pas central avant et il n’a pas été abandonné. Par ailleurs, une équipe de surveillance du Plan de relance national est demandée par l’Union européenne, donc je ne comprends toujours pas où est le problème. L’Europe nous a demandé de bien faire et de faire vite avec de meilleures procédures que celles que nous utilisons habituellement. Il n’y a donc pas de structure avec plus de pouvoirs de gouvernement et de parlement. Nous devons ensuite prendre en compte les sujets auxquelles il est bon de réfléchir : la réforme de la justice et la réforme de l’administration publique. Mais je vois qu’on est plus passionné par certains slogans que par les contenus du Plan de Relance’’».

ENTRETIEN, La Repubblica, de Giorgia Meloni, Secrétaire de Fratelli d’Italia : « “ Salvini le sait, je ne ferai jamais partie d’un gouvernement qui serait né grâce au vote des transfuges’’ » : « ‘’Je trouve tout à fait surréaliste qu’en pleine épidémie les partis de la majorité passent leur temps à parler de portefeuilles ministériels, des services secrets, de postes de sous-secrétaires, de « verifica », toute une panoplie inutile fleurant bon la première République. Les gouvernements qui ne se maintiennent qu’en s’assurant de conserver leurs positions ne font pas le bien du pays. Pour ma part, je ne suis pas favorable à entrer dans un gouvernement avec un parti de gauche, que ce soit le PD, Italia Viva ou le M5S. L’Italie a besoin d’une vision qui lui fait cruellement défaut aujourd’hui. Depuis janvier, on a dépensé 108 milliards pour la crise, et 38 de plus sont prévus dans la loi de finances. Cet argent a-t-il produit des résultats ? Quelqu’un sait-il comment ils ont été dépensés ? Non, ils ont été dilapidés pour faire plaisir aux partis et aux courants de la majorité. Sur le fait que l’on ne pourrait pas aller aux urnes à cause du contexte épidémique, je ne suis pas d’accord : ils l’ont fait aux Etats-Unis, la démocratie ne peut pas être otage du virus. Sur l’hypothèse d’un exécutif de transition, Matteo Salvini connait ma position et le fait que j’y suis opposée, car je ne partage pas la thèse selon laquelle on ne pourrait pas aller au vote, argument que la gauche utilise pour servir ses intérêts. Un gouvernement de centre-droit pourra toujours voir le jour, et je serai toujours prête à en faire partie, mais je doute que cela soit possible sous cette mandature, et je ne veux pas que l’avenir de notre coalition soit soumis à l’incertitude créée par les deux ou trois transfuges qui pourraient changer d’avis à chaque passage de texte devant le parlement. Sur le vaccin, j’attends de voir ce que me dira mon médecin traitant avant d’aller me faire vacciner’’ ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

23/12/2020

"Votez PVV. Liste 2."

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Pays-Bas. Geert Wilders.

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"Conte négocie avec Renzi sur les fonds européens."

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Italie. Revue de presse.

ARTICLE, La Repubblica, E. Lauria, G. Vitale « Conte négocie avec Renzi sur les fonds européens : adieu au comité d'experts et la rupture s'éloigne » : « Le président du Conseil veut donner avant la fin de l'année le feu vert au plan de relance italien et renvoyer à janvier le thème de la gouvernance. Il a eu un échange constructif entre Conte et la délégation d’Italia Viva. Mais la crise ne peut encore être exclue : les tensions sur le MES demeurent. Les problèmes sont loin d'être résolus au sein de la majorité mais Renzi et Conte signent une trêve de Noël. L'idée d'un remaniement gouvernemental continue de planer, et reste évoquée par beaucoup de membres de la majorité. Lors de la rencontre avec les parlementaires d’Italia Viva, Conte a assuré que le comité d'experts sur le Plan de Relance, constitué de 6 super managers, n'aura aucun pouvoir de substitution mais aura seulement un rôle de pilotage des dépenses '’comme prévu par l'UE’'. En ce qui concerne la coordination politique, le groupe pourrait être élargi et non pas limité à Conte, Gualtieri et Patuanelli.  Reste aussi l'hypothèse de renforcer le gouvernement avec deux vice-président M5S et PD et de donner un ministère de poids à Italia Viva ».

 

ENTRETIEN, Il Fatto Quotidiano, de Luigi Di Maio (M5S), ministre des Affaires Etrangères » : « ‘’Certains continuent à évoquer l’idée d’un remaniement, mais quand une crise s’ouvre, on ne sait pas comment elle finira. Et le résultat pourrait être d’aller au vote. Toute action pour essayer de remplacer Conte conduirait aux urnes. Ces dernières heures Italia Viva a employé un ton différent, plus responsable. Et de toutes façons, je n’envisage pas de majorité différente de celle que nous avons actuellement. Pour nous, Conte est sans aucun doute une figure de référence. Avec le PD nous n’avons jamais parlé d’élections législatives. Nous déciderons ensemble la façon de changer la gouvernance du Plan de Relance. Les ministères doivent être impliqués directement, car ils connaissent mieux les dossiers. La « machine » ne doit pas donner l’impression de se substituer à la politique et il ne faut pas penser que ce comité d’experts est composé d’envahisseurs. Quant à l’affaire K. Haftar, nous l’avons rencontré neuf fois dans le courant de l’année. Mais depuis trois mois, nos relations étaient interrompues. Nous avons refusé sa demande de libérer 4 passeurs libyens [incarcérés en Italie]. En échange de la libération, nous avons renoué des relations avec lui. En ce qui concerne les affaires Regeni et Zaki, le ministère travaille dans la discrétion. Actuellement nous travaillons aux cas de Regeni, Zaki et de Chico Forti. Nous ne nous arrêterons pas’’ ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

"L'UDC vous souhaite de joyeuses fêtes."

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Suisse.

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22/12/2020

"Plan de Relance, trêve au sein du gouvernement."

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Italie. Revue de presse.

ARTICLE, Corriere della Sera, de A. Trocino « Plan de Relance, trêve au sein du gouvernement, Italia Viva reconnaît un changement [dans l’attitude de Conte] » : « L’objectif est de déjouer les dangers d’une crise de gouvernement provoquée par les protestations d’Italia Viva, mais aussi du fait que le projet de Plan de Relance a été peu partagé [avec les autres partis de gouvernement]. C’est pourquoi le Président du Conseil, dans ses entretiens avec les partis de majorité, se montre disposé à une trêve, à une réouverture du dossier, à l’évaluation de la mise en place d’un groupe de travail et à davantage d’implication du Parlement. Cette stratégie se déployer sur des délais courts, explique Conte : ‘’il faudra arriver au décret pas plus tard qu’entre les 26 et 31 décembre, sinon ce sera un très mauvais signal’’. Des premiers signes d’apaisement arrivent d’Italia Viva, par le biais de son chef de groupe au Sénat, Ettore Rosato, qui a déclaré : ‘’hier quelque chose a changé’’. Le Président du Conseil, accompagné du ministre de l’Economie R. Gualtieri et du ministre pour les Affaires Européennes E. Amendola, explique aux démocrates qu’il y aura un instrument de contrôle ‘’comme demandé par l’UE’’ mais sans aucune structure centralisée pouvant se substituer aux prérogatives des ministères, des régions et des maires. Pour sa part, le PD exprime son inquiétude sur l’absence de réformes sur l’emploi et se donne deux jours pour faire des propositions sur l’architecture du Plan de relance. Conte explique que ‘’la réforme de la justice sera un pilier’’ et annonce une répartition des fonds selon laquelle ‘’60% iront à la transition verte et numérique, 40% à l’école, l’éducation et la recherche, l’égalité des genres, la cohésion territoriale et la santé’’. Conte rassure en ajoutant que ‘’pour la Santé il n’y aura pas que des aides directes mais aussi des projets transversaux’’ ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

"Si Conte devait tomber, le seul scénario serait les élections."

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Italie. La dirigeante de Frères d'Italie Giorgia Meloni estime que si le gouvernement Conte devait tomber, le seul scénario serait les élections.

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21/12/2020

Roland Hartwig est exclu du groupe de travail interne de l’AfD qu’il dirigeait.

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Allemagne. Roland Hartwig est exclu du groupe de travail interne de l’AfD qu’il dirigeait, à cause d'un différent de point de vue avec le codirigeant du parti Jörg Meuthen.