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09/01/2013

Vladimir Poutine lutte contre les matchs truqués.

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Russie. Le président Vladimir Poutine a fait voter le renforcement des sanctions afin de lutter contre les matchs truqués.

Ueli Maurer dirige sa première séance du gouvernement.

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Suisse. L'UDC Ueli Maurer a dirigé sa première séance du Conseil fédéral :

http://www.rts.ch/info/suisse/4562284-ueli-maurer-a-dirig...

Le Jobbik s'oppose à la décision de la FIFA.

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Hongrie. Suite à la décision prise par la FIFA qui veut que le match de football de qualification pour la Coupe du monde entre la Hongrie et la Roumanie soit joué sans spectateurs, le Jobbik propose d’aider à l’organisation d’une manifestation près du stade de football en question et appelle les supporters à assister au match devant le stade sur un écran géant de football.

Cette sanction a été imposée à l’équipe hongroise parce qu’un groupe de supporters a chanté des slogans anti-israéliens durant un match de football amical entre la Hongrie et Israël durant l’été 2012.

Italie : 37 % des jeunes au chômage.

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« L’avenir oublié » (Tito Boeri, La Repubblica) : « L’ISTAT a confirmé hier que nous nous approchons du seuil des 3 millions de chômeurs. Parmi les jeunes, le taux de chômage est pratiquement quatre fois plus élevé par rapport à celui des autres tranches d’âge (37% contre 10%). Dans aucun autre pays le risque de perdre ou de ne pas trouver de travail n’est aussi fortement concentré sur les jeunes. Et nous détenons également le record de jeunes qui ne travaillent pas et en même temps n’étudient pas, ayant abandonné trop tôt leurs études et s’étant découragés dans la recherche d’un emploi qui pour eux, peu instruits, n’existe pas. Un pays qui ne pense pas aux jeunes se condamne lui-même au déclin. Un pays endetté comme le nôtre qui n’investit pas sur les jeunes commet un véritable suicide. Et pourtant, dans cette campagne électorale, et dans le vide des programmes, on ne parle pas d’eux. La réforme du travail de Fornero est en déroute avant même d’être entrée complètement en vigueur et l’agenda Monti ne semble pas tirer de leçon de ses erreurs. Bersani ne souhaite pas revenir sur le thème, sûrement de crainte de provoquer de fortes divisions internes au PD. La nouvelle coalition PdL-Ligue demande de bloquer 75% des recettes fiscales des régions du Nord, décidant donc qu’au Sud il ne doit pas y avoir d’écoles. L’instruction est en effet un thème crucial. Mais que proposent les partis pour réduire le fossé dans la qualité de l’instruction et la qualité des enseignants dans les différentes régions italiennes ? L’arrivée d’immigrés, rappelons-le, a diminué de 40% au cours de l’année passée, et nous avons 120.000 jeunes chômeurs de plus : s’il n’y a pas de travail pour eux, ce n’est donc certainement pas parce qu’un nombre fixe d’emplois est donné à d’autres. Le vrai problème est que le coût de l’emploi continue d’augmenter en Italie. Les impôts le font augmenter : les entrées fiscales augmentent à hauteur de 3,8% alors que le revenu général continue de baisser. La pression fiscale, sous Berlusconi et Monti, a augmenté de presque 4 points du PIB et continue de peser très lourdement sur l’emploi. Qui aujourd’hui propose d’abolir l’impôt sur l’habitation principale a choisi de détruire des milliers – voire des millions – d’emplois. Cet impôt doit être plus juste mais notre pays ne peut certes pas être le seul à ne pas l’avoir. »

Annulation de la réunion du Forum catholique à Todi où M. Monti devait être invité d’honneur ce week-end : sur la même ligne que les jours précédents, M. Franco dans le Corriere note l’échec (attendu) de l’unification politique catholique et les prises de distance à l’égard de M. Monti d’une partie des milieux catholiques.

L’Unità (quotidien de centre gauche) fait sa Une sur la finalisation des listes du PD, qui annonce 40% de femmes dans son équipe.

« L’Italie coupe les fonds aux hôpitaux et aux retraites mais a assez d’argent pour acheter des sous-marins » s’indigne Il Fatto quotidiano, qui annonce l’acquisition de sous-marins militaires U212 pour 2 milliards d’euros, soulignant que la norme le permettant, proposée par le gouvernement Monti, a été adoptée de concert par le PdL, le PD et le 3e pôle centriste.

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Karima Amaliki de la gauche radicale prête serment en portant un foulard.

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Belgique. Flandre. Commune d’Anvers. District d’Anvers. Le Vlaams a réagi au fait que Karima Amaliki du PVDA+ (en français PTB+), un parti de gauche radicale, a prêté serment en portant un foulard sur sa tête. Hilde De Lobel, conseillère de district du Vlaams Belang, a déclaré : « Je me sens en tant que femme touchée au vif. » Filip Dewinter dénonce la menace que l’islam et le communisme font peser sur la liberté de notre société.

Début de campagne électorale du FPK.

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Autriche. Carinthie. Le FPK organise le dimanche 13 janvier 2013 à partir de 10h30 à Klagenfurt un meeting de lancement de campagne électorale pour l'élection du Parlement de Carinthie en présence du gouverneur de Carinthie Gerhard Dörfler du FPK.

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Le SNS aurait décidé des élections législatives anticipées.

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Serbie. Selon le magazine Blic, le SNS aurait décidé que des élections législatives anticipées aient lieu en 2013. L’objectif est de placer le président du parti Aleksandar Vučić au poste de Premier ministre, alors qu’il est en ce moment ministre d’un gouvernement dirigé par un socialiste.

08/01/2013

L'accord entre le PdL et la Ligue du Nord domine les « Unes ».

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L’accord entre le PdL et la Ligue du Nord, conclu dans la nuit du 6 au 7 janvier, domine les « Unes » et les commentaires politiques. Les commentateurs s’accordent pour estimer que cet accord, attendu, n’est pas un retour à l’âge d’or de l’alliance PDL-Ligue, mais un accord « soudé par la peur » (Corriere) qui constitue pour le PDL « le moyen de survivre » (Stampa). Les éditorialistes notent le flou qui continue d’entourer la question du candidat de la coalition au poste de Premier Ministre (Berlusconi « chef de la coalition » mais pas candidat premier, évocation par Berlusconi du nom d’A. Alfano et par R. Maroni de celui de G. Tremonti). L’Unità (quotidien de centre gauche) parle d’un « débat des désespérés » autour de la candidature et titre : l’alliance PdL Ligue de « tragédie » devient une « farce ». La proposition d’affectation à 75% des recettes fiscales du Nord au Nord, qui figure dans l’accord, fait l’objet de commentaires très largement négatifs. Pour le Corriere della Sera, l’accord ne permettra certes pas à la coalition de l’emporter mais peut empêcher une majorité de gauche au Sénat et risque d’avoir deux conséquences préoccupantes : une campagne plus radicale anti-Monti, et un renforcement de la Ligue dans les régions du Nord (elle préside déjà le Piémont et la Vénétie), si Roberto Maroni gagnait la présidence de la Lombardie (les élections régionales partielles en Lombardie ont lieu en même temps que les élections législatives).

« La division sur le président du Conseil » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « La nouveauté de la droite est un retour au passé : le vieil axe électoral PdL-Ligue du Nord, rendu quasiment obligatoire par le mode de scrutin, montre aussi une faiblesse et une inertie politique. Aujourd’hui, cette réédition imposée par les circonstances voit un Berlusconi vieilli et un Maroni qui a hérité d’un parti ravagé par les scandales, emblème négatif de l’échec de la 2ème République. En apparence le secrétaire ‘léghiste’ a obtenu un avantage non négligeable grâce au nouveau pacte : la candidature à la présidence de la Lombardie avec des probabilités considérables de victoire (mais sans la certitude d’antan). Pour faire accepter à la base du Carroccio un accord vraiment indigeste avec le parti berlusconien, il a convaincu son étrange allié, après une longue négociation, de faire un pas en arrière : Berlusconi ne sera pas candidat à la présidence du Conseil mais s’assurera le rôle de ministre de l’Economie en cas (très hypothétique) d’un gouvernement de centre droite. Cette action aurait un sens si le centre droit était réellement près d’emporter la majorité. En réalité, on bataille pour un objectif mineur : empêcher que l’inévitable affirmation de Bersani à la Chambre ne se réplique au Sénat. Pour ce faire, la Lombardie est décisive, (outre les autres régions cruciales Campanie, Vénétie et Sicile) pour déterminer les équilibres à la Chambre Haute. Berlusconi a fait son jeu : il devrait y avoir un autre candidat à la présidence du Conseil, le Cavaliere ayant choisi de jouer la partie come chef politique de la coalition. Sur le plan concret, rien n’est clair. Berlusconi a cité Alfano pour le Palais Chigi ; Maroni lui répond en proposant Tremonti. Or, le Porcellum veut que le nom du candidat soit précisé avant d’aller aux urnes, même si c’est le président de la République qui choisira la personnalité à laquelle confier la charge. Berlusconi et Maroni devraient donc décider dans les jours qui viennent leur candidat : Alfano, Tremonti ou un troisième nom. La logique veut que Berlusconi mette un frein à ses velléités de protagoniste et laisse la place à un Monsieur X. Difficile, surtout après que les sondages ont attesté une modeste hausse au PdL depuis que Berlusconi fait sa campagne. Que les ‘léghistes’ ne se fassent pas d’illusions : leur allié encombrant imprimera sa marque dans toute la campagne, qu’il soit ou non candidat. La Ligue peut seulement espérer dans la victoire de Maroni à Milan pour justifier le prix de cette entente. Sur lequel le sommet du parti est d’ailleurs uni, à partir de Zaia [président léghiste de de la région Vénétie]. »

La Repubblica titre de son côté sur les propos du secrétaire général du PD, P.-L. Bersani, invité de la chaîne TV La 7 hier, pour qui la liste Monti « n’est pas une bonne chose pour l’Italie » tout en n’excluant pas un accord « après les élections ».

Sondages : publication dans le Sole 24 Ore des résultats d’un sondage IPSOS sur les intentions de vote dans les régions-clé pour la majorité au Sénat (Lombardie, Campanie, Latium, Piémont, Sicile) qui conclut à un résultat des élections imprévisible en Lombardie, Campanie (surprise créée par la nouvelle formation de gauche alternative dirigée par le maire de Naples) et Sicile, avec des conséquences importantes. Si la gauche n’arrive pas en tête aux élections sénatoriales en Lombardie et en Vénétie, elle ne parviendra pas à obtenir la majorité des sièges à la Chambre haute.

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Pro NRW salue la future visite de Geert Wilders en Rhénanie du Nord-Westphalie.

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Allemagne. Rhénanie du Nord-Westphalie. Pro NRW salue la visite du dirigeant néerlandais Geert Wilders en Rhénanie du Nord-Westphalie le 2 février 2013. Le Secrétaire général de pro NRW Markus Wiener déclare : « Geert Wilders a, au cours de son travail politique, posé beaucoup de questions et aussi apporté une quantité de bonnes réponses. » et ajoute : « Les membres de PRO attendent avec suspens la sortie de son nouveau livre en version allemande et la présentation de cette œuvre le 2 février 2013. »

Le Vlaams Belang estime qu'il est le seul parti favorable à l'indépendance de la Flandre.

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Belgique. En réaction à la déclaration du Député national-centriste N-VA Ben Weyts, qui a dit que son parti préconise le confédéralisme car l’indépendance de la Flandre ne bénéficie pas actuellement d’assez de soutien dans l’opinion publique flamande, le Vlaams Belang estime qu’il est le seul parti favorable à l’indépendance de la Flandre.

Geert Wilders demande un débat parlementaire sur le problème marocain.

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Pays-Bas. Le président du PVV Geert Wilders a envoyé à ses collègues présidents de groupe d’élus des autres partis politiques à la Chambre des représentants une lettre au sein de laquelle il appelle de manière urgente à l’organisation au sein de la Chambre des représentants d’un débat sur ce qu’il considère être le plus grand problème du pays : le problème marocain.

Geert Wilders s’appuie sur les résultats du rapport annuel sur l’intégration et les déclarations du numéro deux de la police néerlandaise. Il y voit la preuve de sa conception : « la proportion exorbitante de Marocains dans la criminalité crée de grandes perturbations au sein de la société ».

Geert Wilders trouve que les autres partis sont sourds et aveugles face à ce problème et que le gouvernement se tait sur le sujet. Il fait appel à leur sens de la responsabilité afin de placer le problème à l’agenda.

(Fin 2012, Geert Wilders a déclaré que son parti va se consacrer plus aux problèmes d’intégration.)

Obnova, organe de presse nationaliste étudiant croate, est en préparation.

 

Croatie. Un nouvel organe de presse nationaliste pour les étudiants est en préparation. Son nom est Obnova (Renouveau). Il couvre des sujets culturels et politiques. Le premier numéro doit sortir dans quelques semaines.

Présidence du CPAS : le cordon sanitaire brisé à Denderleeuw ?

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Belgique. Flandre. Province de Flandre orientale. Denderleeuw.

 

Rappel des faits : http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2012/12/26/le-...

 

Ce samedi 5 janvier 2013, une réunion de la dernière chance entre les socialistes, libéraux, sociaux-chrétiens et nationaux-centristes de la N-VA a eu lieu. Ce lundi 7 janvier 2013, les sociaux-chrétiens et la N-VA ont mis fin aux négociations. Le chef de file du Vlaams Belang à Derderleeuw, Kristof Slagmulder, a déclaré que son parti votera pour l'élection d'échevins [adjoints au maire] de la N-VA et du Parti social-chrétien : « Nous avons toujours dit cela et ajouterons les actes à la parole. »

Président du CPAS

Ce lundi 7 janvier 2013, le Vlaams Belang a soutenu la candidature de Koen D'Haenens de la N-VA au poste de président du CPAS [Centre public d’aide sociale / organisme public d’aide sociale de la commune] de Denderleeuw. Koen D'Haenens a réagi en disant que même si le Vlaams Belang n’avait pas voté pour lui, il avait la majorité et n’avait donc pas besoin de ces voix.

Elke De Greef (SP.A-Open / liste socialiste d’ouverture) a déclaré que la N-VA a trois sièges, le CD&V (Parti social-chrétien) deux. Avec le soutien du Vlaams Belang, ils ont obtenu en tout six sièges contre cinq : « Nous du SP.A-Open et de l’Open VLD-plus sommes au regret de constater que Denderleeuw est la première commune de Flandre où le cordon sanitaire est brisé consciemment.»

Future élection des échevins

Le tête de liste du Vlaams Belang à Derderleeuw Kristof Slagmulder dit qu’il n’y a pas eu de pourparlers entre la N-VA et les sociaux-chrétiens d’une part et le Vlaams Belang d’autre part : « Nous allons attendre les élections [du mercredi 9 janvier 2012] et voir comment la situation va évoluer au cours des prochains jours, semaines et mois. Mais j’espère qu’on s’assoiera autour d’une table après l’élection [du mercredi 9 janvier 2012].»

Kristof Slagmulder désire participer à la gestion de la commune en tant qu’échevin [adjoint au maire], mais dans ce cas, la N-VA et les sociaux-chrétiens doivent briser le cordon sanitaire. Le Vlaams Belang ne demande pas cela. Il soutiendra ces deux partis de l’extérieur.

La question du bourgmestre toujours à résoudre

Les conseillers communaux [municipaux] doivent donner leur signature à la personne q'ils désirent voir devenir bourgmestre [maire]. Hors la N-VA locale s'est vue dire par la direction de la N-VA de refuser les signatures du Vlaams Belang.

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Kristof Slagmulder

07/01/2013

Gyömrő : le nom du parc Horty maintenu.

Hongrie. Gyömrő. Les habitants de la localité ont été consultés, suite à une récolte de signatures organisée par des organisations politiques de gauche, afin de savoir s’ils acceptent le nom du Parc Horthy en vigueur depuis l’été 2012. 18 % des habitants se sont déplacés afin d’exprimer leur vote. Les 50 % (+ 1 voix) requis n’étant pas atteints, le parc garde son nom.

Mario Monti se montrera très exigeant dans les négociations avec les partis centristes.

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« Une alchimie délicate pour se démarquer des vieilles logiques de partis » (Massimo Franco, Corriere della Sera de samedi) : « Mario Monti a communiqué le logo de sa liste. Il a laissé entendre – sans rien révéler sur le fond – qu’il se montrera très exigeant dans les négociations avec les partis pour l’alliance centriste : les candidats seront sélectionnés selon des critères plus sévères même que ceux prévus par la loi – l’UdC et FLI devront sacrifier quelques parlementaires au long cours. Le nom est ‘choix civique avec Monti pour l’Italie’, une promesse de renouvellement certes mais aussi de tensions au sein des partis alliés. Le président du Conseil veut en effet montrer à l’opinion publique que le changement de cap est réel, ce qui laisse supposer des discussions longues et tourmentées. Mais il semble que Monti parvienne à l’imposer : c’est la seule manière de présenter l’alliance centriste comme une réalité réellement différente, une alternative à la coalition guidée par Bersani au centre gauche comme à celle menée par Berlusconi au centre droit. La volonté de se démarquer des coalitions, plébiscitées par les sondages, prévaut. Le défi sera cependant extrêmement difficile. Le système électoral privilégie les coalitions du passé. Et la décision de Monti de se transformer, de président technique, hors du jeu politique, à politicien, l’expose à des attaques croissantes. Il est vrai que dans le logo de sa liste le mot ‘président’ ne figure pas, comme s’il voulait respecter les indications du chef de l’Etat dans son discours de fin d’année – où il a rappelé qu’il n’existe pas en Italie la possibilité d’élire directement le chef du gouvernement. Mais son nom étant présent dans le logo choisi, ses adversaires, du PD comme du PdL, évoquent un ‘choix peu européen’ et estiment que les ‘listes civiques personnelles sont nées’. Monti a d’ailleurs fait comprendre qu’il souhaitait rester au palais Chigi, expliquant qu’il ne deviendrait pas ministre de l’Economie. Les attaquent fusent : ‘la coalition semble être en deçà des ambitions de Monti et des attentes des Italiens’, dit Alfano (PdL), qui ajoute : ‘l’alliance entre Fini, Monti et Casini n’a aucune possibilité de gagner. Sa candidature vise à servir ensuite de béquille à un éventuel gouvernement Bersani’. Et Berlusconi parle de ‘cynisme technique’ qui a ‘appauvri l’Italie’. Les hommes du Cavaliere soulignent le fait que la conférence de presse de Monti ne prévoyait pas de questions. L’irritation est plus contrôlée au sein du PD. Mais nous ne sommes qu’au début de la campagne électorale. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Le Magyar Sziget se tiendra du mercredi 3 juillet au dimanche 7 juillet 2013.

Hongrie. Le festival nationaliste Magyar Sziget se tiendra du mercredi 3 juillet au dimanche 7 juillet 2013.

Le SNS ne désire pas d'élections anticipées.

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Serbie. Le dirigeant du SNS Aleksandar Vučić a déclaré que son parti ne désire pas d’élections anticipées, mais ne craint pas de les affronter si elles surviennent avant l’heure.

Accord entre le PdL et la Ligue du Nord.

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Italie. Un accord électoral a été conclu entre le Peuple de la Liberté (PdL) et la Ligue du Nord en vue des prochaines élections. Silvio Berlusconi (PdL) et Roberto Maroni (Ligue du Nord) ont signé. En cas de victoire, le nom du président du Conseil devra être décidé.  Silvio Berlsuconi a déclaré : « Angelino  Alfano (PdL) peut être notre candidat Premier ministre et je peux être le ministre de l'Economie. » et « Je suis le leader de la coalition et je déciderai avec les autres partis qui en fait partie, en cas de victoire, qui est le candidat à la présidence du Conseil à proposer au chef de l'État. »

En plus des élections législatives, des scrutins régionaux se tiendront en Lombardie, dans le Latium et dans la région du Molise. Roberto Maroni sera candidat en Lombardie.

Agression tsigane à Szigethalom.

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Hongrie. Le porte-parole du Jobbik Adam Mirkóczki a déclaré que l’attaque perpétrée par des criminels tsiganes à Szigethalom n’est pas une tentative de meurtre mais, dans les faits, une tentative de lynchage : un lutteur de 19 ans et un boxeur de 17 ans ont été poignardés. Le Jobbik va organiser une manifestation dans cette localité. En 2012, le nombre de crimes a augmenté de 20 %, ce qui prouve que le plan mis en place en la matière par le gouvernement ne fonctionne pas. Le Jobbik estime qu’il existe du racisme en Hongrie, mais il est dirigé contre les Hongrois.  Le Jobbik prépare un projet de loi plus stricte en appelant à la mise en place d’une force de police spécialisée dans la lutte contre le crime tsigane. Le Jobbik a également introduit un projet de loi appelant à la création d’un comité parlementaire afin d’enquêter sur les relations entre les Hongrois et les Tsiganes.

Silvio Berlsuconi montre de la compréhension pour Gérard Depardieu.

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Italie. Silvio Berlusconi a déclaré que Gérard Depardieu a donné une leçon à la gauche. Silvio Berlsuconi, bien qu’il ne soit pas pour la fraude fiscale, comprend le départ de Gérard Depardieu de France.

Le Vlaams Belang a distribué 2.000 pins à Anvers lors de la réception de la ville.

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Belgique. Flandre. Anvers. Le Vlaams Belang a distribué 2.000 pins avec le lion flamand et le blason d’Anvers à l’occasion de la réception de la ville sur la place centrale. Filip Dewinter, Gerolf Annemans, Anke Van dermeersch, Bruno Valkeniers et Jan Penris ont participé à l’action. 

Filip Dewinter  a déclaré que l’action est une protestation symbolique et ludique contre la reprise du A, le symbole du bourgmestre [maire] socialiste vaincu. Le « A » rayonnant n’est pas le symbole d’Anvers, mais  du multiculturel de l’ancien bourgmestre socialiste et de son slogan : « Anvers est à chacun. »

Le Vlaams Belang désire qu’Anvers dispose d’un échevin [adjoint au maire] des affaires flamandes afin d’être protégée de l’immigration de masse, du multiculturel et de l’islamisation.

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Bart De Wever porte le "A".

06/01/2013

La Repubblica prétend qu'une enquête judiciaire est ouverte contre des sénateurs de la Ligue du Nord.

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Italie. Le quotidien La Repubblica prétend qu’une enquête judiciaire est ouverte contre des sénateurs de la Ligue du Nord. Le parti dément cette information :

http://www.romandie.com/news/n/_Italie_enquete_judiciaire...

Le Jobbik s'affiche sur des panneaux publicitaires.

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Hongrie. Le Jobbik a fait placer, durant un mois, sur un millier de grands panneaux publicitaires à travers le pays une affiche contre les récentes mesures d’austérité.

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"MSZP [Parti socialiste] * Fidesz [Parti conservateur] = austérité 2.  Allons-nous être laissés sans rien [Allons-nous y laisser notre culotte aussi?]"

Gérard Depardieu rencontre Vladimir Poutine.

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Russie et France. L'acteur français Gérard Depardieu a rencontré ce samedi 5 janvier 2013 au soir à Sotchi en Russie le président russe Vladimir Poutine. Il a également  reçu son passeport russe.

La télévision russe a diffusé des images montrant une accolade entre Gérard Depardieu et Vladimir Poutine. L’'acteur demande au président, en le tutoyant, s'il a vu le film, une coproduction franco-russe, où il interprète Raspoutine : « Est-ce que tu as vu mon film ? Je te l'ai envoyé. »

05/01/2013

Augmentation du nombre de viols en Belgique.

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Belgique. Entre le 1 janvier 2009 et le 31 décembre 2011, 11.170 cas de viol se sont retrouvés devant les parquets du pays. Au sommet : Bruxelles avec 2.542 cas. Suivent Gand (Gent), Liège et Anvers (Antwerpen). Tous les arrondissements judiciaires ont connu l’année dernière une forte augmentation (20 %).

Le 29 décembre 2012, De Morgen (quotidien flamand de tendance socialiste) écrit « Chaque semaine 56 viols et 5 viols en bande ont lieu en Belgique. À peine 4 % des auteurs des faits sont poursuivis et condamnés. » Les chiffres réels sont encore pires, car une partie des victimes n’a pas le courage de porter plainte.

Une partie des ADN des violeurs n’est pas analysée par manque de moyens financiers.