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18/01/2013

Le PVV de Geert Wilders pose des questions à propos des patrouilles de charia à Londres.

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Pays-Bas. Les Députés PVV Wilders et Van Klaveren ont posé des questions aux ministres concernés à propos des patrouilles de charia à Londres. Ils demandent à ces derniers s’ils ont pris connaissance d’une déclaration de la patrouille musulmane prétendant que les femmes blanches sont « des bêtes nues sans aucun respect pour elles-mêmes » et leur demandent s’ils partagent l’opinion du PVV que les patrouilles musulmanes montrent le caractère d’oppression et d’impérialisme de l’islam. Le PVV estime que les mouvements qui appellent à l’application de la loi islamique doivent être  interdits et appelle les ministres à combattre l’islamisation des Pays-Bas.

Voir la vidéo :

http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2013/01/17/vid...

17/01/2013

Divorce consommé entre le MCG et son allié savoyard.

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Suisse et France. Divorce consommé entre le MCG et son allié savoyard :

http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/Le-MCG-et-son-alt...

Alkmaar : défections chez Trots op Nederland.

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Pays-Bas. Province de Hollande du Nord. Alkmaar. Les deux conseillers municipaux de Trots op Nederland ont fait défection : un rejoint le Parti libéral de droite VVD et l’autre une formation politique locale. En conséquence, la majorité qui gère la municipalité a été remaniée et l’adjoint au maire de Trots op Nederland Martin Hagen a perdu son poste. Une nouvelle section de Trots op Nederland voit cependant le jour à Alkmaar.

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Alkmaar

L'UDC zurichoise s'oppose à Christoph Blocher en soutenant l'initiative Minder contre les rémunérations abusives.

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Suisse. Canton de Zurich. L'UDC zurichoise s'oppose à Christoph Blocher en soutenant l'initiative Minder contre les rémunérations abusives :

Chant et vidéo : "Notre Carinthie".

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Autriche. Carinthie. Le FPK a mis en ligne, en vue des prochaines élections pour le Parlement du Land, une vidéo contenant une chanson intitulée : « Notre Carinthie ».

Italie : nouvelles affaires.

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Les relations Bersani-Monti (« Bersani-Monti : un accord plus proche », pour la Repubblica, qui croit savoir que les deux hommes auraient conclu un pacte de non-agression lors de leur rencontre d’hier) sont suivies de près – le Fatto quotidiano souligne « le changement survenu au sein du PD où désormais l’ami est Monti et les ennemis Ingroia, Di Pietro et Santoro ».

Deux affaires impliquant respectivement des élus PDL à Parme (qui pourrait impliquer Silvio Berlusconi) et des responsables de la Ligue du Nord, y compris l’ancien ministre de l’agriculture et président de la Vénétie Luca Zaia, sont largement commentées – L’Unità titre « PdL et Ligue humilient l’Italie ».

Les journaux reprennent les propos de Berlusconi : « Daul veut uniquement faire carrière » suite à la déclaration de ce dernier pour qui le « candidat du PPE est Monti ». Dans un entretien à L’Unità, Mario Mauro (ancien chef de délégation PdL à Strasbourg) déclare que « le PPE ne ferme pas la porte au PdL » et que c’est une « erreur que de parier sur un pacte PD-Monti ».

L’Unità analyse par ailleurs la « campagne électorale de Monti » : pour le quotidien de centre gauche, il s’agit d’une campagne « style Obama », avec « l’utilisation du web, les fonds recueillis via Internet, et une touche de ‘grillisme’ en plus afin de récupérer les indécis », tandis qu’Avvenire s’intéresse à ses déclarations sur la famille : « la famille ? C’est un homme et une femme. Au Parlement des solutions peuvent être trouvées pour les autres genres de vie en commun ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Silvio Berlusconi prend ses distances avec l'Europe dans un entretien accordé à Euronews.

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Clip vidéo de Gerhard Dörfler.

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Autriche. Carinthie. Voici la vidéo du gouverneur FPK de Carinthie Gerhard Dörfler en vue des prochaines élections pour le Parlement du Land.

"Aussi dans le futur, sûr pour notre Carinthie. C'est pourquoi le 3 mars 2013, FPK, les libéraux [nationalistes] en Carinthie, liste Gerhard Dörfler. " et "Notre Carinthie."

Le numéro 30 de la revue Synthèse nationale (janvier février 2013) est sorti !

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Le numéro 30 de Synthèse nationale est sorti.

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Au sommaire :

● Edito de Roland Hélie : l’heure du bilan et celle des projets…

● Dossier : Sos-racisme, l'arnaque doit cesser ! Arnaud Raffard de Brienne, Patrick Parment, Roland Hélie.

● Défendre la famille traditionnelle, Pierre Descaves.

● Libre échangisme et libre échange, Eric Miné

● Les racines du Parti social-chrétien autrichien, Lionel Baland

● Quand Salman Rushdie fut lâché par ses amis antiracistes…, Francis Bergeron.

● Du désenchantement, Georges Dillinger.

● Doriot et le PPF, Robert Spieler.

● Les pages du Marquis, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta

● Les rubriques d’Yves Darchicourt (Histoire), Pieter Kerstens (l’oncle Sam), Georges Feltin-Tracole (livres), Patrick Gofman…

● 11 novembre 2012 : le compte rendu de la 6e Journée nationale et identitaire de Synthèse nationale. 

132 pages, 12,00 €

Vidéo : patrouille islamique dans le Londonistan.

Royaume-Uni. Londres. Voici une vidéo d’une patrouille islamique lors de son « travail » dans les rues de Londres : elle s’oppose à la présence d’alcool et au port de certains habits considérés comme trop courts au sein d’une « zone de charia [loi islamique] ». La vidéo se termine sur un accident de la route, présenté comme étant causé par l'alcool.

(source : PI-news)

16/01/2013

László Toroczkai met en ligne sur Internet son livre en hongrois.

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Hongrie. Le fondateur du HVIM  László Toroczkai diffuse gratuitement sur Internet son livre autobiographique intitulé « Vármegyés a véres úton » (Sur la route ensanglantée), paru en 2005 en hongrois. Il y raconte ses années passées au sein du parti nationaliste MIÉP, ses activités de journaliste durant les bombardements du Kosovo, puis sa décision de quitter l'action électorale pour fonder le HVIM en 2001 et les premières années de ce mouvement. En 2006, László Toroczkai est le dirigeant des émeutes nationalistes d’'automne. En 2010, il devient élu régional du Jobbik au sein du Comitat de Csongrád, sans toutefois être membre du parti.

(Le livre en hongrois : http://szentkoronaradio.com/files/varmegyes_web.pdf)

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László Toroczkai

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Yvan Perrin en campagne pour l'exécutif du Canton de Neuchâtel.

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Suisse. Canton de Neuchâtel. Yvan Perrin conduit sa campagne, en tant que candidat de l’UDC au Conseil d'État (exécutif du canton), pour les élections du 14 avril 2013. 

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Le Vlaams Belang diffuse des affiches appelant à dénoncer la violence.

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Belgique. Flandre. Anvers. Le Vlaams Belang diffuse des affiches portant le slogan « Signalez le violence ! Appelez le 101 » afin de soutenir activement l’appel du Procureur du Roi d’Anvers Herman Dams qui désire plus de contrôle social à l'encontre de la criminalité, de la violence et du non-respect des normes. Filip Dewinter, l’homme fort du Vlaams Belang, déclare que le citoyen a le devoir moral d’aider la police à combattre la criminalité et que cela n’a rien avoir avec de la dénonciation, mais relève du bon sens et du devoir moral du citoyen. Le Vlaams Belang d’Anvers appelle également les citoyens à enregistrer les délits sur le site Internet conçu à cet effet : www.crimimonitor.be .

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"Délit. Ne regardez pas ailleurs, parlez! Signalez la violence, appelez le 101."

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'Délit? N'ayez pas peur, votre signalement est important! Signalez la violence, appelez le 101."

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"Délit? Citoyens attentifs, auteurs des faits [re]connus! Signalez la violence, appelez le 101."

Impliquer la Suisse dans des conflits militaires sans l'aval du peuple et du Parlement?

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Suisse. Voici un communiqué de l’UDC, premier parti du pays :

La décision prise hier par la Commission de politique extérieure du Conseil national de refuser au peuple et au Parlement le droit de dire son avis sur une candidature de la Suisse au Conseil de sécurité de l'ONU est choquante et dangereuse aux yeux de l'UDC. Un siège dans cet organe est incompatible avec la neutralité et compromet la tradition des "bons offices" de la Suisse. Il est donc indispensable que le peuple et le Parlement aient le dernier mot dans cette affaire.

Le Conseil de sécurité de l'ONU prend parti dans des conflits, décrète des boycotts et prend la responsabilité d'interventions militaires. Il est donc impossible à la Suisse de participer à un tel organe. De plus, la tradition suisse des "bons offices" seraient remise en question. L'UDC s'oppose donc avec détermination à ce que la Suisse occupe un siège au Conseil de sécurité de l'ONU.

Ce que l'UDC a cependant le plus de mal à comprendre, c'est que la Commission de politique extérieure du Conseil national refuse au peuple et au Parlement le droit de participer à une décision d'une portée aussi importante. Elle continuera donc de se battre pour que le souverain et le législatif fédéral aient leur mot à dire.

Le chef de groupe du PPE : « Notre candidat en Italie est Monti. »

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L’attention des quotidiens est de nouveau focalisée sur les propos de Berlusconi dans les médias télévisés de la veille. Cette fois, c’est la proposition de Berlusconi d’une candidature de Mario Draghi à la Présidence de la République qui retient l’attention de la presse italienne et sa colère contre le PPE qui « décharge » Berlusconi suite aux déclarations du chef de groupe Daul : « Notre candidat en Italie est Monti ». Dans le Fatto quotidiano (quotidien de gauche alternative), le critique littéraire Belpoliti analyse le comportement adopté par Siovio Berlusconi qui, selon lui, est une stratégie bien étudiée. Il revient en effet à la « comédie à l’italienne » lors de ses prestations télévisées, faisant mine de nettoyer le tabouret où était assis le journaliste Travaglio ou donnant un petit coup taquin sur la tête d’un journaliste de L’Espresso : « et ça marche » estime le critique, le Cavaliere parvenant à se rendre de nouveau sympathique au public.

Les journaux s’intéressent également à la stratégie du PD : pour S. Folli dans le Sole, Bersani doit « revoir sa stratégie de campagne » (ton employé trop « sobre » par rapport aux « feux d’artifice » de Berlusconi et axe stratégique plus précis à proposer aux électeurs) et ne surtout pas « donner la victoire du PD pour certaine ». Il revient sur le thème du « vote utile » et le danger que la liste d’Ingroia (ancien magistrat), dans certaines régions-clefs, « récupère les voix les plus à gauche ». E. Letta, dans Avvenire, annonce qu’il n’y aura « jamais d’accord avec Ingroia » mais que « voter utile contre le Cavaliere » est indispensable. Pour le conservateur Foglio, le chef du PD doit impliquer davantage Renzi, jeune maire de Florence, dans la campagne en cours.

Le thème des « imprésentables » reste très présent dans la presse de ce jour : Corradino Mineo (ancien directeur de Rai news 24 et chef de liste PD en Sicile) dans un entretien à l’Unità s’en prend à « la bourgeoisie parasite et mafieuse » et demande que « les candidats suspects soient bannis des listes ». La réunion du « Comité de garantie éthique » du PD aura lieu demain sur le sujet.

« L’anomalie italienne débarque à Strasbourg » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « L’hostilité d’une grande partie du PPE à l’égard de Silvio Berlusconi se révèle comme une arme à double tranchant. Les déclarations d’hier en faveur de Mario Monti du Français Joseph Daul, chef de groupe au Parlement UE, se sont transformées peut-être pas en une gaffe mais en un geste de frustration. Elles souhaiteraient signaler d’une part la préférence de la majorité des partis modérés continentaux pour le président du Conseil sortant et pour sa liste, d’autre part l’intolérance envers un Berlusconi allié à la Ligue et par conséquent au ‘populisme’. Elles soulignent aussi l’anomalie italienne où le référent principal du PPE, le PdL, est en conflit avec l’autre référent, l’UDC et la préférence comme ‘candidat du PPE’ pour Monti, qui n’en fait pas encore partie. Daul, qui ne veut pas attaquer Berlusconi chaque jour par peur ‘d’offrir 2 ou 3 pts au populisme’, préfère repousser le règlement des comptes après les élections italiennes des 24 et 25 février, laissant comprendre qu’il pourrait y avoir ensuite des décisions punitives. Or, le PPE pourrait rester formellement neutre : la contribution du PdL est l’une des plus importantes après celle des allemands CDU-CSU. Lors de la réunion des populaires UE à Chypre, la semaine dernière, l’analyse de la campagne électorale italienne a poussé vers la prudence et le pragmatisme. Entretemps, la relation à huis clos sur l’Italie a été confiée au berlusconien Antonio Tajani, vice-président de la Commission UE. Les sondages estiment le PdL à 20% des intentions de vote, devant la liste de Monti et l’UDC, ce qui suffit pour mettre des remparts aux mécontentements envers Berlusconi. En Italie, la crainte que ces attaques venant de l’étranger puissent favoriser Berlusconi et réduire les chances d’avancée de la coalition centriste guidée par Monti augmente jour après jour. Bien conscient de cela, Monti a contacté hier matin Daul pour protester, expliquant qu’il ne se sentait pas représenter le candidat du seul PPE. Cicchitto, chef de groupe du PdL à la Chambre, en profite pour présenter Monti en tant que Président du Conseil ayant divisé le centre droit et qui s’apprête à gouverner avec le PD de Bersani. Bref, c’est un point épineux et Casini évite d’entrer dans le débat. Le départ ou l’expulsion de Berlusconi du PPE (évoqué par De Mita) dépend aussi des équilibres qui se formeront au Parlement italien et du poids qui se projettera sur le Parlement européen. Voici pourquoi Berlusconi insiste sur le ‘vote utile’ profitant de la perplexité d’une partie de l’électorat sur une victoire de la gauche et évalue Monti à 10% des intentions alors que les sondages sont moins avares avec ce dernier. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Parlement allemand : où Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard seront-ils assis ?

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Allemagne et France. Le Spiegel en ligne publie un article au sein duquel il se demande si Marion Maréchal-Le Pen se rendra à Berlin afin d’assister à la fête organisée pour les 50 ans du Traité d’amitié entre l’Allemagne et la France. L’ensemble des députés français sont invités à cette occasion.

Le Spiegel en ligne se pose la question de savoir où Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard seront placés au sein de l’hémicycle du Parlement allemand s’ils sont présents. Les deux députés patriotes ne pourront cependant pas prendre la parole car seuls les chefs de groupes parlementaires seront autorisés à le faire et les patriotes ne disposent pas d’un groupe au sein du Parlement français. Une décision n’a pas encore été prise par l’administration du Parlement allemand à propos de la manière dont les députés seront assis.

(http://www.spiegel.de/politik/deutschland/front-national-...)

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Gilbert Collard et Marion Maréchal-Le Pen

Royaume-Uni : la repentance par rapport à l'esclavage inculquée à la jeunesse.

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15/01/2013

Le HVIM fait campagne pour un affichage bilingue à Kézdivásárhely.

 

Roumanie. Transylvanie. Kézdivásárhely / Târgu Secuiesc. Le HVIM (Hongrie) a conduit une campagne afin d’obtenir l’affichage au sein des commerces de cette ville, dont la grande majorité des habitants est de langue hongroise, d’indications en deux langues, roumain et hongrois, plutôt que seulement en roumain.

Voir les photos des affichages dans les commerces : http://kuruc.info/r/3/106666/

Le PVV totalement opposé au soutien de 5 milliards d’euros accordé par l’UE à l’Égypte.

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Pays-Bas. Une partie de la Chambre des représentants est en colère contre l’envoi possible d’argent par l’Union européenne en Égypte.

 

Le PVV de Geert Wilders est totalement opposé au soutien de 5 milliards d’euros accordé par l’Union européenne à l’Égypte parce que le président égyptien est, selon le PVV, un virulent antisémite et veut introduire la charia en Égypte. 

 

http://www.usinenouvelle.com/article/aide-de-cinq-milliar...

Denderleeuw : le Vlaams Belang déplore ne pas être consulté.

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Belgique. Flandre. Province de Flandre orientale. Denderleeuw. Le chef de file des élus du Vlaams Belang à Denderleeuw Kristof Slagmulder n’est pas content de la manière dont le gouverneur de la province tente de solutionner le problème en excluant le soutien du Vlaams Belang à l’exécutif N-VA et CD&V (nationaux-centristes et sociaux-chrétiens) de la commune et déplore ne pas être consulté.

Des Tsiganes de Roumanie sont entrepreneurs à Berlin.

 

Allemagne. Berlin. Dans un bâtiment à appartements de la capitale allemande se sont installés pas moins de 90 entrepreneurs ! Hélas, il s’agit de Tsiganes de Roumanie qui se présentent en tant qu’entrepreneurs (souvent en démolition) afin d’obtenir ainsi des allocations familiales pour leurs nombreux enfants. Quant à leur activité de démolition, elle est quasi-inexistante.


Que ce soit en Allemagne ou dans le reste de l’Europe occidentale, la gauche conduit à la faillite de la protection sociale en attirant des étrangers qui menacent non-seulement notre système social mais également notre bien-être et notre mode de vie.

Edition de janvier 2013 de la revue "Franc-parler" de l'UDC.

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Suisse. La revue de l'UDC "Franc-parler" de janvier 2013 est sortie :

http://www.svp.ch/documents/database/FlipBook/104/flipvie...

Mario Monti tire à boulets rouges sur Silvio Berlusconi.

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La presse écrite italienne est dominée par les propos critiques de Mario Monti à l’égard de Silvio Berlusconi (« vieux joueur de fifre ») et du très contesté redditometro (instrument de mesure des revenus réels mis en place par le gouvernement Monti, pour lutter contre l’évasion fiscale). Les « prises de bec » Monti-Berlusconi par médias interposés sont largement commentées en pages intérieures : « Monti découvre que le Cavaliere est une canaille » ironise L’Unità, qui publie un entretien de D’Alema, ancien président du Conseil, qui insiste sur le fait que « Le Professeur doit renoncer à l’antipolitique », estimant que « les rapports de force doivent être vus dans une optique européenne ». Pour le Messaggero, proche de Casini (UDC), « Monti change de tactique et se met en compétition avec la droite pour tenter de récupérer les votes des modérés » (ce serait, pour le quotidien, le résultat de sa rencontre samedi avec Casini et Gianfranco Fini). Tous les quotidiens reprennent la riposte de Berlusconi « Monti n’est qu’un bluff » et sa décision de « signer un nouveau ‘contrat avec les Italiens’ » étant donné que, selon lui, « 80% » de son précédent « contrat » a bien été respecté.

« Le Professore combatif » (Ugo Magri, La Stampa) : « Invité du programme télévisé de Bruno Vespa [ndr : sur la RAI, émission « Porta a Porta »], Monti a gagné sur le champ de bataille la médaille de l’ennemi le plus résolu, le plus implacable, le plus sarcastique et le plus féroce du Cavaliere. Jamais un candidat à la présidence du Conseil n’avait attaqué aussi énergétiquement l’image de Berlusconi. Ni Occhetto, ni Prodi, ni Rutelli ni Veltroni. Même Bersani, toujours chez Vespa, s’était contrôlé avec le ton d’un premier ministre in pectore, serein vers la victoire, sans se lancer contre le chef du centre droit. Monti dévoilé pendant deux heures un répertoire d’attaques contre Berlusconi faisant penser à une précise stratégie, politique et communicative. Silvio lui avait reproché de s’être comporté comme un ‘voyou’ pour avoir décidé de se présenter, un choix ‘moralement déplorable’. Des contestations si fortes que tout homme ayant de l’amour propre (y compris le Professore) aurait réagi du même ton. Monti a répondu avec sa classe habituelle, sans tomber dans le piège de la grossièreté. Force est de constater, cependant, un ‘surplus’ d’animosité. Calculée. Etudiée au préalable. Bref, basée plus sur la substance que sur le désir d’offenser. Selon les proches du Professeur, ce dernier a voulu inaugurer un anti-berlusconisme inédit qu’il faudra tester. Basé sur le partage de plusieurs thématiques chères à l’électorat du centre-droit avec des ouvertures (parfois inattendues) : possible réduction des impôts, de la TVA, refus de la taxe sur la richesse, rejet du système d’évaluation du revenu (redditometro), ouvertures sur la modification de l’IMU et de la réforme des retraites de Fornero. Que du bonheur pour les modérés, tout ce qu’un électeur du PdL souhaiterait entendre. Le tout accompagné par un rejet du personnage de Berlusconi, traité de joueur de fifre. Cela s’explique aussi par les derniers sondages qui donnent une avancée de la coalition PdL-Ligue (entre 25-30%). Si cela ne préoccupe pas Bersani qui garderait une marge de 10 points, cela pourrait miner les objectifs de l’entrée dans l’arène de Monti : destruction du bipolarisme ou du moins d’une des deux coalitions. Au pire, cette bataille attirera surtout les fiers opposants de Berlusconi, provoquant un paradoxe étrange : l’inédit Monti combattif de Porta a Porta pourrait récupérer plus de voix chez l’électorat du centre-gauche que de celui du centre droit. Nous le saurons uniquement le 25 février, une fois les urnes ouvertes. ».

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Réception de la nouvelle année 2013 du Vlaams Belang à Anvers.

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Belgique. Flandre. Anvers. Le Vlaams Belang d’Anvers a tenu ce samedi 12 janvier 2013 une réception de la nouvelle année. Filip Dewinter a déclaré lors de son discours que le Vlaams Belang a perdu un combat lors des élections municipales mais n’a pas perdu la guerre. La qualité d’une armée se reconnaît, selon-lui, à sa capacité à résister à la défaite et à rebondir. Filip Dewinter a cité Wiston Churchill : « Il y a une seule réponse à la défaite, et c’est la victoire. » Il a ensuite critiqué la gestion municipale mise en place par le nouveau  bourgmestre [maire], le président de la N-VA Bart De Wever, et ses alliés sociaux-chrétiens et libéraux qui, selon lui, est du même ordre que celle de leurs prédécesseurs socialistes : peu de décentralisation du pouvoir vers les districts, le bourgmestre [maire] reste le président du Conseil communal [municipal] et l’opposition n’a une nouvelle fois pas accès aux conseils d’administration des intercommunales et sociétés d’habitations sociales. De plus, de nouveaux mandats supplémentaires sont créés afin de fournir des emplois aux amis politiques du bourgmestre et de ses alliés.

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Filip Dewinter au micro

Italie : divers sondages.

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Le Giornale fait sa Une sur un « sondage-choc » de l’institut Euromedia (NDR : institut qui travaille depuis des années pour Silvio Berlusconi et dont les analyses sont prises avec précautions par les analystes italiens) qui donne une remontée très nette du PdL [et de son allié la Ligue du Nord] pour la Chambre des députés (34,2% contre 38,7 au PD, avec la coalition Monti à 11%), mais d’autres quotidiens évoquent d’autres sondages aux résultats très différents (La Stampa cite un sondage EMG qui donne le PD à 37,4% et le PdL à 27,9% [et de son allié la Ligue du Nord], la coalition Monti étant à 14,8%, le Corriere della Sera un sondage IPSOS qui donnerait Monti presque 6 points au-dessus de celui d’Euromedia, soit autour de 17%).

Le débat sur les candidats « présentables » et les « imprésentables » continue : l’ensemble des journaux évoque « le véto vacillant du PdL » sur des candidats « louches » tels que Cosentino, Dell’Utri, Papa ou Milanese. De son côté, le Fatto quotidiano, avec un éditorial de Flores d’Arcais, en appelle à une « réaction » des « présentables du PD » (entre autres les journalistes Mineo et Mucchetti, le philosophe Marzano) qui devraient selon lui poser un ultimatum à Bersani : « ou eux ou nous », afin de présenter des listes réellement « propres » à l’opinion publique.

(Traduction : ambassade de France à Rome)