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06/08/2012

Manifestation à Devecser.

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Hongrie. Une manifestation contre la délinquance tsigane, organisée par différentes associations nationalistes, a eu lieu à Devecser. Elle a réuni un millier de personnes, qui ont marché à travers les rues de la ville.

Le Député du Jobbik Gábor Ferenczi a demandé la restauration de la peine de mort et le droit à l’auto-défense. Il a reçu des pierres au visage lancées par des Tsiganes et a dû être conduit à l’hôpital.

László Toroczkai, le président du HVIM, a demandé aux personnes présentes de ne pas quitter leur patrie et de ne pas se laisser chasser.

Financer le développement des infrastructures ferroviaires en vendant des actions Swisscom.

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Suisse. Le Député UDC André Bugnon propose que l’État vende des actions Swisscom pour financer le développement des infrastructures ferroviaires.

PdL + Ligue = 25 %. L'antipolitique de Grillo à 20 %.

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« Si les partis vivent dans un monde qui n’existe plus » (Ilvo Diamanti, La Repubblica de lundi) : « [… ] Or, après Monti, il est impossible de répéter les mêmes schémas. Sur la base des sondages les plus récents, si nous essayons de faire quelques calculs, le PD, avec SeL et l’UDC pourrait obtenir environ 35% de voix, alors que le PdL, allié à la Ligue, arriverait péniblement à 25%. Le PdL et le PD ont d’ailleurs du mal à proposer des alternatives pour l’avenir qui les voient antagonistes alors qu’ils ‘vivent sous le même toit’, en apportant leur soutien au gouvernement Monti. L’IdV et SeL sont autour de 6-7%, tout comme le plus fidèle soutien du gouvernement actuel, l’UDC. La Ligue ne parvient pas, à ce stade, à dépasser le seuil critique des 5%. En bref, les principaux partis de l’ère berlusconienne subissent des pertes sensibles au cours du gouvernement Monti. Tous, sans exception. L’unique bénéficiaire est le M5S (Mouvement 5 étoiles de Grillo) qui a explosé depuis les élections locales de mai : il est donné à plus de 20% et recueille les voix des électeurs qui expriment leur désaccord avec le système des partis de la Seconde République. […] »

 

(Traduction: ambassade de France à Rome)

75.000 visites en 3 jours pour le site contre les « voleurs européens ».

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Pays-Bas. Le site Internet lancé par le PVV de Geert Wilders contre les « voleurs européens » a reçu 75.000 visites en 3 jours.

Gábor Vona déguisé en Hun.

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Hongrie. Voici une photo du président du Jobbik Gábor Vona en guerrier hun.

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Siv Jensen opposée aux mendiants tsiganes.

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Norvège. La dirigeante du Parti du Progrès Siv Jensen a tenu un discours lors de l’ouverture du camp d’été des jeunesses de son parti, qui se déroule près de Kristiansand. Elle a dénoncé le fait que le Premier ministre et le gouvernement sont, selon elle, naïfs et paralysés à propos des tsiganes et mendiants.

Siv Jensen estime que si ces gens déboulent en Norvège, c’est parce que la mendicité n’y est pas illégale. Son parti désire réintroduire l’interdiction de mendicité. Elle pense que la police doit pouvoir empêcher des personnes qui sont soupçonnées de vouloir commettre des délits d’entrer sur le territoire, comme c’est le cas avec les hooligans du football. Selon elle, la même méthode doit être appliquée avec les mendiants. L’objectif n’est pas de stopper les mendiants innocents, mais de repousser ceux qui se cachent derrière la mendicité pour commettre des délits.

La plupart de ces mendiants étant des Tsiganes de Roumanie et de Bulgarie, Siv Jensen a écrit aux ambassadeurs de ces deux pays afin de leur demander comment ont été affectés les fonds  attribués à ces pays par la Norvège dans le cadre de l’Agence européenne pour l'environnement.

(Voir la vidéo en norvégien du congrès, puis les Tsiganes à Oslo (après la publicité) :

 http://www.tv2.no/nyheter/politisk/siv-jensen-vil-stoppe-...)

05/08/2012

Une athlète allemande quitte les Jeux olympiques (suite).

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Nadja Drygalla en pleurs.

Allemagne. Nadja Drygalla a rejeté les accusations d’un éventuel lien avec les milieux ultranationalistes en Allemagne. Elle a déclaré à l’agence de presse DPA qu’elle rejette les idéologies nationalistes. Nadja Drygalla a également ajouté que son petit-ami a quitté le parti ultranationaliste allemand NPD en mai 2012. Nadja Drygalla désire poursuivre sa carrière sportive.

Suite à cette affaire, son entrée au sein d’une unité sportive de l’armée allemande prévue pour début septembre 2012 est mal partie. De plus, des enquêtes vont être menées afin de déterminer si Nadja Drygalla peut poursuivre sa carrière sportive.

 

Nadja Drygalla nie avoir participé à une réunion ultranationaliste à Malchow  en 2009.

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Le Welt online se demande si la blonde sur la photo lors d'une manifestation d'ultranationalistes contre la pédophilie à Malchow en 2009 n'est pas Nadja Drygalla ?

Le ministre fédéral des sports a déclaré que les idées « extrémistes » n’ont pas de place dans le sport, que les sportifs sont aussi des exemples pour les autres et que ce cas doit être totalement éclairci.

Russie : les députés proposent d’interdire aux fonctionnaires et dirigeants de détenir des propriétés à l’étranger.

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Russie. Les députés proposent d’interdire aux fonctionnaires et dirigeants de détenir des propriétés à l’étranger, y compris des titres et des comptes en banque. Les épouses et enfants de ces personnes sont également visées par cette proposition. Les quatre partis du Parlement soutiennent cette proposition.

04/08/2012

HC Strache salue la démarche d'Uwe Scheuch.

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Autriche. Le président du FPÖ Heinz-Christian Strache a qualifié sur Facebook, depuis son lieu de villégiature à Ibiza, de « démarche honorable dans l’intérêt du Land de Carinthie et de la communauté de pensée libérale [nationale] » le fait que le président du FPK Uwe Scheuch quitte la politique.

Hans-Peter Friedrich s’oppose à une entrée rapide de la Roumanie et de la Bulgarie dans l’Espace Schengen.

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Allemagne. Le Ministre de l"intérieur allemand CSU Hans-Peter Friedrich s’oppose à une entrée rapide de la Roumanie et de la Bulgarie dans l’Espace Schengen. De plus, il demande à la Turquie de conclure avec l’Union européenne un accord de retour des clandestins qui sont passés par la Turquie et entrés dans l’union européenne (avant tout en Grèce).

Le débat électoral COC’s Roze et la Gay pride d'Amsterdam.

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Pays-Bas. Amsterdam. Le soir du 3 août 2012, un débat politique précédant la Gay Pride d’Amsterdam s’est déroulé à propos des thèmes concernant l’homosexualité. Des représentants de différents partis y ont participé : Hero Brinkman (Democratisch Politiek Keerpunt), Alexander Pechtold (D66), Jolande Sap (GroenLinks), Jeanine Hennis-Plasschaert (VVD), Jasper van Dijk (SP), Ronald Plasterk (PvdA), Madeleine van Toorenburg (CDA), Henk Krol (50Plus) en Johnas van Lammeren (Partij voor de Dieren – Parti des animaux).

Le vote rose est un facteur politique déterminant lors des élections législatives. Plus d’un million de Néerlandais (sur 17 millions d'habitants) sont homosexuels, lesbiennes, bisexuels ou transsexuels. Selon certaines enquêtes, il apparaît que ce sujet influence les 2/3 de ces personnes lors de leur vote.

 

Le PVV de Geert Wilders n’a pas participé au débat. Pourtant, ce parti se pose en avocat de la tolérance envers les homosexuels et défend l’application de lourdes sanctions contre les personnes qui exercent des violences à l’encontre des homosexuels.

 

Il ressort d’une enquête du Sociaal Cultureel Planbureau que le parti dont le plus de partisans a une conception négative de l’homosexualité est le PVV (11 % de ses partisans), suivi du Parti démocrate-chrétien CDA.

 

Le samedi 4 août 2012, Hero Brinkman et son équipe du DPK ((Democratisch Politiek Keerpunt – Tournant politique démocratique), ainsi que le deuxième sur la liste des candidats pour les élections législatives du DPK de septembre Carlo Strijk, ont été présents à la Gay pride.

L'UDC exige l'encouragement de la production agricole indigène.

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Suisse. Lors de la Landsgemeinde qui a réuni un millier d’agriculteurs  au sein du domaine de l'ancien Conseiller national Josef Kunz, à Grosswangen dans le Canton de Lucerne, l’UDC a exigé l'encouragement de la production indigène :


http://www.rts.ch/info/suisse/4177620-l-udc-exige-l-encou...

Des supporters de Śląsk Wrocław commémorent le soulèvement de Varsovie en 1944.

Pologne. Lors d’un match de football, les supporters nationalistes de football de l’équipe de Śląsk Wrocław ont commémoré le soulèvement de la Résistance contre l’occupation nationale-socialiste à Varsovie en 1944.

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03/08/2012

Aleksandar Vučić du SNS est secrétaire du Conseil pour la sécurité nationale.

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Serbie. Le vice-Premier ministre et Ministre de la défense Aleksandar Vučić (SNS) a été désigné secrétaire du Conseil pour la sécurité nationale.

Union européenne, euro, BCE,...

« Le nœud de la politique : admettre qu’on aura besoin de Monti après 2013 » (Stefano Folli, Il Sole) : « Quand Mario Monti affirme que perdre la bataille du spread signifie ouvrir la porte à un gouvernement d’eurosceptiques, ou plus précisément d’ennemis de l’Europe, il est difficile de lui donner tort. Mais son analyse peut aussi être lue différemment : pour tenir face à la complexité du défi européen, il est indispensable que l’Italie ne fasse pas de sortie de route. Toute erreur ou faiblesse politique risque de se payer au prix fort. En cas d’échec au plan européen, le contrecoup interne favorisera les forces hostiles à l’euro. Beppe Grillo bien sûr, mais aussi tous ceux qui à droite ou à l’extrême gauche attendent le moment opportun pour lancer une offensive de type nationaliste ou même ‘localiste’. Chaque jour qui passe, la mosaïque politique se complique encore. Les nouvelles émanant des marchés demeurent très préoccupantes et la journée d’hier a confirmé toute l’incertitude de la situation. Monti a appuyé là où ça fait mal en commençant à aborder la question des prochaines élections, début 2013, lors desquelles se feront face ceux qui appuient sans ambigüité les efforts de l’exécutif et ceux qui misent sur l’effondrement de l’Europe et de la monnaie unique. Aussi nombreux que soient les partis en lice et aussi insatisfaisante que risque de se révéler la loi électorale en cours d’élaboration, le dilemme politique de ce scrutin sera simple : pour ou contre l’Europe telle que nous l’avons connue ces dernières décennies ; pour ou contre l’Italie dans l’Europe. D’où cette question : l’Italie peut-elle se passer de Monti au palais Chigi ? Impossible, à ce jour, de répondre ‘oui’ si l’on désire que l’Italie reste dans le cadre européen. Les chances de voir les élections de 2013 déboucher sur un gouvernement Monti seront d’autant plus fortes si voit le jour un mouvement (un ‘rassemblement’ à la française) capable de faire sien le défi européen et réclamant explicitement le maintien de Monti. C’est ainsi, au nom de la stabilité, que se dénouera le nœud politique. Et c’est aussi ce que les marchés demandent à l’Italie. »

« Pour Francfort, c’est un pas en avant » (Andrea Bonanni, la Repubblica) : « Les marchés qui ont réagi négativement à l’issue du conseil de la BCE ne semblent pas avoir saisi la portée des nouvelles annonces de Draghi. Le président de la BCE a fait deux pas en avant, mettant dos au mur les Allemands, mais aussi les Espagnols et les Italiens à qui il demande un engagement formel et substantiel qui les lie à la discipline budgétaire au-delà de l’avenir politique immédiat, avec en ligne de mire l’Italie et les incertitudes qui pèsent sur l’après-Monti. Sur l’irréversibilité de l’euro et la détermination à faire ‘tout ce qui sera nécessaire’ pour sauver la monnaie unique, Draghi a réussi obtenir l’unanimité du board et du Conseil des gouverneurs. Quant à la perspective d’une intervention de la BCE sur le marché des titres d’Etat afin de juguler le spread, seule la Bundesbank a exprimé des réserves. L’intervention pourra donc se faire, au moment et de la façon que la BCE jugera opportuns. Draghi a aussi obtenu de pouvoir utiliser des ‘moyens non conventionnels’, comme de nouvelles facilitations de crédit aux banques, qui sont en ce moment à l’étude et pourraient être mises en œuvre dans les semaines à venir. La BCE a aussi laissé entendre que son intervention sera conditionnée à l’activation du mécanisme anti-spread du FESF, puis du MES, et donc à l’acceptation de ses conditions. Il s’agit pour elle de s’assurer que les politiques d’assainissement budgétaire ne se verront pas remises en cause dans le futur, notamment dans des pays marqués comme l’Italie par une profonde incertitude sur l’avenir politique. Concrètement, les gouvernements des pays recourant au bouclier anti-spread s’engageront à respecter strictement la feuille de route fixée avec Bruxelles, notamment en soumettant leur projet de budget à l’aval de la Commission. Dans le cas contraire, ils s’exposeront à la suspension des interventions anti-spread, risquant ainsi le défaut de paiement. Draghi veut s’assurer qu’une fois sauvés, nous ne ferons pas de nouveau chavirer le navire européen par des comportements irresponsables. C’est précisément pour cela qu’il a hier reçu l’appui de la chancelière et des banquiers centraux du Nord. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Pour Nigel Farage, l'euro est condamné.

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Royaume-Uni. Nigel Farage de l'UKIP a déclaré, en réponse aux propos du président de la BCE, qu’il n’y a pas de possibilité que la zone euro puisse survivre sous sa forme actuelle et que la sortie de pays comme la Grèce ou l’Espagne sera une libération et pas un Armageddon.

Il y a peu, Nigel Farage comparait les eurocrates aux scientologues :   

http://www.express.be/business/fr/economy/quand-nigel-far...

Le PVV de Geert Wilders lance un site contre les « voleurs européens ».

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Pays-Bas. Suite à l’émission Terzake de la télévision belge néerlandophone Canvas du 24 juillet 2012, il est apparu que les eurocrates agissent de manière scandaleuse. Alors qu’aux Pays-Bas, les gens sont sous le coup de mesures de restrictions budgétaires, la fête  se poursuit sans aucune gêne à Bruxelles.

Le PVV lance un site Internet afin de permettre aux citoyens de s’exprimer à ce sujet :

 

www.stopdeeuropesezakkenvullers.nl


Les visiteurs peuvent cliquer sur un bouton vert afin de faire savoir qu’ils sont d’accord avec le PVV.


Le PVV transmettra les résultats au Premier ministre sortant néerlandais Mark Rutte et au président du Conseil européen Herman van Rompuy.

Une athlète allemande quitte les Jeux olympiques.

Voici un événement qui permet de comprendre la pression qui existe en Allemagne à l'encontre des opposants politiques :

Jeux olympiques et Allemagne. Nadja Drygalla, une athlète de la partie orientale de l’Allemagne, a quitté les Jeux olympiques. La raison de ce départ est qu’elle est dans sa vie privée avec un responsable local du parti ultranationaliste NPD.  Dans le passé, Nadja Drygalla a été contrainte de quitter son emploi au sein de la police pour la même raison.

http://www.eurosport.fr/aviron/jeux-olympiques-londres/20...

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Nadja Drygalla

Coup de tonnerre en Carinthie : Uwe Scheuch quitte la politique.

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Autriche. Carinthie. Le président du FPK, ministre du gouvernement de Carinthie et adjoint au gouverneur de Carinthie, Uwe Scheuch se retire de la politique. Son frère, Kurt Scheuch, qui est le chef des élus FPK au sein du Parlement de Carinthie, le remplace et devient président du FPK, ministre du Land de Carinthie et adjoint au gouverneur de Carinthie.

La raison mise en avant par Uwe Scheuch lors de son départ est qu’il se sent présenté par les médias en tant que criminel.

 

La vraie raison du départ d'Uwe Scheuch est l'enquête ouverte depuis le 31 juillet 2012 par le parquet anticorruption ainsi que l’Office fédéral pour la lutte contre la corruption (BAK) contre les Ministres FPK de Carinthie Uwe Scheuch et Harald Döbernig soupçonnés de blanchiment d’argent dans l'affaire de la privatisation de la banque Hypo Group Alpe Adria en 2007.

 

Lors de la conférence de presse au sein de laquelle il a annoncé, le 1 août 2012, son départ, Uwe Scheuch a demandé à un photographe d’APA de quitter les lieux, car il estime que son travail n’est pas correct. Cela a provoqué, par la suite, des réactions négatives dans le milieu de la presse.


Rappelons que Uwe Scheuch a été condamné en première instance dans une autre affaire, pour corruption, et que le procès doit encore avoir lieu en degré d'appel.

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Le Gouverneur FPK de Carinthie Gerhard Dörfler et Uwe Scheuch lors de la conférence de presse.

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Uwe Scheuch

02/08/2012

Le salafiste Murat K. sera poursuivi pour dangereuses blessures corporelles.

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Allemagne. Rhénanie du Nord – Westphalie. Le salafiste d’origine turque Murat K., 25 ans, qui a poignardé à Bonn-Lannesdorf au début mai 2012, suite à une manifestation de pro NRW, deux policiers, ne sera pas poursuivi pour tentative de meurtre, mais pour dangereuses blessures corporelles.

La Belgique expulse les ressortissants européens au bout de 3 mois de chômage.

Belgique. La Belgique expulse les ressortissants européens au bout de 3 mois de chômage :

http://www.express.be/business/fr/economy/la-belgique-exp...

Le Député PVV Tony van Dijck : “L’euro est fini.”

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Pays-Bas. Le Député PVV Tony van Dijck a déclaré lors d’un débat au sein de la Chambre des députés que l’euro est fini.  Il a ajouté que chacun, comme par exemple le président de la Banque centrale européenne (BCE) Mario Draghi, essaye de paraître calme, « mais ils savent qu’il est trop tard. Les Grecs sont et restent des escrocs, l’Espagne est irrémédiablement perdue. L’euro est fini. Les différences sont devenues trop grandes. »

(Les députés spécialistes financiers se sont réunis au Parlement afin de débattre avec le ministre des finances, à l’initiative du PVV).

Suisse : 8 millions d'habitants, la politique doit enfin agir.

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse :

C'est désormais officiel: la Suisse franchira ces prochains jours le cap des 8 millions d'habitants. Notre pays se trouve ainsi sur la voie du "scénario élevé" de l'Office fédéral de la statistique qui annonce environ 10 millions d'habitants pour 2035. Ce développement est presque exclusivement la conséquence d'une immigration incontrôlée. Le Conseil fédéral et le Parlement continuent de nier ou de refouler les effets négatifs de ce développement sur la prospérité, les infrastructures, l'aménagement du territoire, l'approvisionnement énergétique, l'instruction publique, la santé publique et les institutions sociales. L'UDC invite la politique à agir enfin. La Suisse doit reprendre le contrôle de l'immigration et la limiter. L'UDC ne veut pas d'une Suisse à 10 millions d'habitants. 

 

Entre avril 2011 et avril 2012 le nombre d'immigrants a une fois de plus dépassé de 80 000 celui des émigrants. Ce chiffre équivaut à la population de la ville de Lucerne. Au total, la Suisse a subit une immigration nette de plus de 650 000 personnes durant les dix ans écoulés. Ce développement démographique correspond au "scénario élevé" de l'Office fédéral de la statistique qui prévoit quelque 10 millions d'habitants pour 2035. Les conséquences de ce phénomène sont toujours plus visibles. Alors que les citoyennes et les citoyens s'en rendent compte depuis longtemps, le Conseil fédéral se contente d'enjoliver la situation et la majorité du Parlement bloque les mesures qui permettraient de gérer l'immigration. Ce refus d'admettre la réalité est intolérable pour l'UDC.

 

Avec son initiative "contre l'immigration de masse", l'UDC est le seul parti à faire une proposition concrète pour redonner à la Suisse le contrôle de l'immigration. L'urgence de ce projet est de plus en plus manifeste. Grâce à l'UDC, les citoyennes et les citoyens pourront se prononcer sans doute encore durant cette législature sur cette thématique.

Anniversaire de l'insurrection de Varsovie.

Pologne. Varsovie célèbre chaque 1 août l'anniversaire du soulèvement de Varsovie, en 1944, contre l'occupation nationale-socialiste . Parmi les membres de la Résistance polonaise figuraient des nationalistes. La population respecte une minute de silence.


Action juridique contre un ancien procureur communiste.

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Hongrie. Une action juridique a été introduite par le Député du Jobbik György Szilágyi, László Mansfeld (le frère de Péter Mansfeld) et András Dégi (qui dirige l’association hongroise des prisonniers politiques) contre le Procureur pensionné György Mátsik qui a condamné à mort Péter Mansfeld lors de la répression qui a suivi le soulèvement de 1956. György Mátsik est également accusé d’avoir ordonné des tortures contre les prisonniers. Le Jobbik demande la mise en détention de György Mátsik en attendant le procès.