10/05/2012
Le député MCG Rappaz peut siéger dans les commissions du Grand Conseil genevois.
Suisse. Canton de Genève. La Justice genevoise autorise le Député MCG Henry Rappaz à siéger temporairement dans les commissions du Grand Conseil :
http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/depute-mcg-rappaz...
20:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un livre du Vlaams Belang interdit.
Belgique. La justice interdit la vente d'un livre du Vlaams Belang :
http://www.rtl.be/info/belgique/politique/876680/un-livre...
17:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
Tensions entre Monti et le PdL.
« PdL, début de l’assaut à Monti » (La Repubblica)
« PdL-Monti, haute tension sur les responsabilités de la crise » (La Stampa)
« Elections, gaffes et partis affaiblissent le gouvernement » (Marcello Sorgi, La Stampa) : « Avec ce qui est en train de se produire en Europe, de la Grèce à l’Espagne jusqu’à l’Italie, les conséquences de nos élections municipales apparaissent totalement disproportionnées. Jusqu’à la semaine dernière, le gouvernement semblait pouvoir compter sur trois appuis, deux desquels, en temps record, sont entrés en phase de dissolution, et l’activité de restructuration interne ne met certes pas l’avenir de l’exécutif au premier plan. Après une sortie malheureuse de Monti sur la responsabilité portée par les ‘gouvernements précédents’ dans la crise (immédiatement, mais inutilement, corrigée par des remerciements à Berlusconi), le PdL a déclenché une polémique sans fin. Une lettre de plus de 40 parlementaires, parmi lesquels de nombreux anciens ministres du Cavaliere – y compris ceux qui étaient considérés ‘montiens’ – a extériorisé le malaise ressenti au sein du PdL. Monti est averti. Le même jour, Casini a déclaré mort le 3ème pôle – au grand étonnement de ses partenaires Fini et Rutelli – sorti stable, mais pas flamboyant, de ces élections où il pensait récupérer les électeurs berlusconiens déçus. En vérité, le leader centriste a profité des urnes avares pour se libérer d’une alliance qui n’a pas fonctionné. Tous, PD compris, s’accordent à dire qu’une crise serait désastreuse et qu’il faut permettre au gouvernement de conclure la législature mais dans les conditions actuelles, nul ne sait comment Monti pourrait durer une année encore. En attendant, hier, les partis de la coalition ont revu pour la énième fois la réforme controversée du financement public : les 33% de réduction annoncés le jour des résultats sont redevenus 50% mais, cette fois encore, le choix n’est pas définitif. Ce qui est sûr c’est que la polémique entre ceux qui prennent les fonds octroyés par l’Etat et ceux qui les refusent (Ligue, Di Pietro et IdV, Grillo et son mouvement 5 étoiles) sera le cheval de bataille des 10 jours de campagne à venir pour les ballotages. »
« La réponse qui ne vient pas » (S. Romano, Corriere) : « Les municipales ont réveillé les pires tentations de la politique italienne. Le PdL voudrait stopper son déclin en imposant à l’exécutif une politique moins rigoureuse. Au PD tel ou tel songe déjà à saisir l’occasion pour hâter la fin de la législature. Et les franges qu’a favorisées le scrutin, tel le mouvement Grillo, voudraient des élections tout de suite pour consolider l’acquis. Nul ne paraît avoir perçu que le tableau qui se dégage de ce vote rapproche bien plus l’Italie de la Grèce que des grandes démocraties européennes. […]. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
16:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
Traduction de la conférence de presse des ultranantionalistes grecs.
Grèce. Voici la traduction en français de la conférence de presse tenue par le dirigeant du parti ultranationaliste l'Aube dorée lors de la soirée post-électorale de ce 6 mars 2012. (Ce site Internet ne traite que des partis nationalistes et patriotiques, mais nous abordons également la question des partis ultranationalistes ou d'autres partis comme les Pirates lorsque ceux-ci sont en concurrence avec des partis nationalistes).
16:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
Grèce : la menace de la banqueroute.
« La menace de la banqueroute » (Andrea Bonanni, La Repubblica) : « L’Europe envoie à Athènes un message clair et menaçant, qui résonne aussi comme un avertissement au nouveau Président Hollande : il n’existe pas de ‘plan B’, pas d’alternative au respect des engagements de rigueur qui ont été pris, sinon la banqueroute du pays et sa sortie de la zone euro. Le versement même d’un seul centime des 130 Md de crédit disponibles dépendra de l’existence d’un gouvernement grec stable et déterminé à respecter la feuille de route de l’assainissement conclu avec Bruxelles. Hier, à Luxembourg, s’est tenue une réunion très en marge du sommet du fonds de sauvetage des Etats (FESF) qui aurait dû débloquer 5,2 milliards d’euros destinés à Athènes (décidés par les ministres de l’Eurogroupe). Mais les ‘faucons’ de la rigueur, particulièrement à Berlin et Helsinki, ont voulu envoyer un message fort aux hommes politiques grecs : soit le Parlement d’Athènes réussit à trouver une majorité favorable au respect des engagements pris (ce qui n’est pas le cas à présent), soit le prêt saute et le pays va droit à la banqueroute. Grâce à la médiation de la Commission et de la France, le bon sens a prévalu. Un diktat trop fort aurait été contreproductif, poussant les électeurs à renier de façon encore plus décidée leurs engagements européens en cas de nouvelles élections. Les Allemands envoient cependant un avertissement concret : la solution a été de retenir un milliard sur les 5,2 qui seront alloués à la Grèce, évitant la banqueroute immédiate mais faisant peser une épée de Damoclès sur le Parlement d’Athènes. La défaite des socialistes et de Nea Democratia, qui avaient conclu le pacte avec l’Europe, a été prise pour un affront par Berlin. Une campagne menée par des partis anti-Europe comparant Merkel aux occupants nazis n’a pas bien disposé les Allemands, qui se voient en sauveurs de la Grèce. Selon le ministre allemand des Finances, ‘on ne peut pas forcer la Grèce à rester dans la zone euro’, même si une sortie impliquerait des sacrifices encore plus durs que ceux d’aujourd’hui. Le moment de vérité arrivera en juin, quand Athènes et Bruxelles devront négocier un financement de 23 Md pour recapitaliser les banques grecques. Peut-être certains réfléchissent-ils déjà à la façon dont les 130 Md destinés à la Grèce pourraient être utilisés pour stimuler la reprise économique en Europe. »
(Ambassade de France à Rome)
15:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
PVV : « Pas de nouveaux milliards pour la Grèce ! »
Pays-Bas. Les Députés du PVV Wilders et Van Dijck ont posé des questions au ministre des finances à propos du payement de 4,2 milliards d’euros à la Grèce.
Le PVV estime qu’il est absurde que les Grecs reçoivent la tranche supplémentaire de 4,2 milliards d’euros alors que depuis les élections législatives il apparaît que les Grecs ne veulent pas tenir leurs engagements.
Le PVV demande au ministre des finances s’il est prêt à se soucier de stopper les flux d’argent vers des pays comme la Grèce. Il est demandé au ministre de répondre aux questions des deux parlementaires PVV pour le 15 mai 2012.
15:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
Réaction de la classe politique suite aux incidents survenus lors de la tournée de pro NRW.
Allemagne. Suite aux incidents survenus lors de la tournée de pro NRW en Rhénanie du Nord – Westphalie, la classe politique réagit :
http://www.lefigaro.fr/international/2012/05/09/01003-201...
11:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
09/05/2012
Cologne : énorme écho médiatique pour pro NRW.
Allemagne. Pro NRW a terminé à Cologne, ce mardi 8 mai 2012, sa tournée du Land en vue des élections pour le Parlement du Land de Rhénanie du Nord – Westphalie. Suzanne Winter du FPÖ a pris la parole aux côtés de différents représentants de pro-NRW.
Les incidents survenus au cours de la tournée (attaques de salafistes, tentatives d’interdiction par le ministre de l’intérieur du Land, etc..) ont amené un écho médiatique considérable. Les journaux télévisés des plus grandes chaînes du pays ont abordé le sujet à plusieurs reprises. De nombreux articles ont relaté les faits au sein de la presse.
Voir des vidéos de la manifestation à Cologne :
http://quotenqueen.wordpress.com/2012/05/09/redebeitrage-...
20:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
Eric Stauffer siègera à nouveau en commission.
Suisse. Canton de Genève. Eric Stauffer siègera à nouveau en commission :
http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/Eric-Stauffer-sie...
19:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
Des enfants utilisés contre pro-NRW.
Allemagne. Rhénanie du Nord - Westphalie. Pro-NRW réalise une tournée au sein de différentes localités du Land dans le cadre de sa campagne électorale pour le Parlement du Land. Les représentants du parti tiennent des discours devant les mosquées. À Bielefeld, des écoles ont organisé en leur sein des manifestations contre pro-NRW.
19:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
Nouvelle Serbie soutient Tomislav Nikolić.
Serbie. Le parti Nouvelle Serbie demande à ses électeurs de voter pour le dirigeant du SNS Tomislav Nikolić lors du deuxième tour des élections présidentielles.
17:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
La IIIème République qui ne sait pas où aller.
« PdL et Ligue sombrent – Exploit de Grillo » (Corriere della Sera, La Stampa)
« Municipales : effondrement du PdL » (La Repubblica)
« La protestation enfle – Le PdL et la Ligue s’écroulent » (Il Messaggero)
« La IIIe République qui ne sait pas où aller » (Ilvo Diamanti, La Repubblica) : « Des municipales partielles sont un test limité et il y a le second tour. Mais le résultat du 1er aura des effets. 1/ Ce premier scrutin de l’ère Monti marque l’effacement, avec Berlusconi, de son ‘parti personnel’ ; dans les chefs-lieux, le PdL divise son score par 2 (de 30 à 14%) et sur 95 villes qu’il gérait avec la Ligue, il en perd 45 au 1er tour, en sauve 5 (outre une conquête) et sur 45 ballottages, 16 sont ardus. Peu enraciné localement, le PdL a perdu, avec Berlusconi, son identité. 2/ La Ligue résiste à grand peine et Vérone n’est sauvée que par Tosi, vote ‘personnel’ un peu dirigé ‘contre’ la Ligue de Bossi, Tosi étant le principal allié de Maroni. Dans l’ensemble, la Ligue perd peu par rapport aux municipales de 2007, mais beaucoup comparé à 2008 (législatives) et 2009 (européennes). Sur ses 12 villes, elle en perd 5 et va au second tour dans 5 autres. Pour le ‘parti du nord’, perdre des mairies, c’est perdre un peu prise sur son territoire. 3/ PdL et Ligue, hors de l’alliance, sont donc perdants. Fondé sur la relation directe Berlusconi-Bossi, le lien s’est relâché. Et on voit mal qui peut remédier à cette crise de la représentation à droite. 4/ A gauche la situation a l’air meilleure, surtout grâce au maintien des alliances. Son axe, le PD, a d’abord bâti des alliances à gauche, mais aussi avec l’UdC. Dans les chefs-lieux, il tient, passant de 19 à 17%. Sur 53 villes qu’il gérait, 14 sont sauvées (outre 11 conquises) mais il y a des ombres : le PD ne profite pas de l’écroulement du PdL ; dans ses fiefs (Toscane etc.), l’abstention culmine, et il subit la concurrence du mouvement de Grillo, surprise du scrutin : au second tour dans 5 villes (plus de 15000 hab.) dont Parme, il dépasse 10% dans les chefs-lieux, avec des pics à 20%. 5/ On l’étiquette ‘antipolitique’, on évoque une autre forme d’abstention – voire… A/ C’est un mouvement ‘politique’ qui a pris part à un combat démocratique et a obtenu voix et élus. B/ Son succès vient du discours anti-système de Grillo, certes, mais aussi d’avoir coagulé des groupes et des leaders locaux actifs, sur des thèmes cohérents avec ceux des référendums de 2011 : biens publics, environnement, lutte contre les abus, projets locaux... C/ Ses électeurs sont tout sauf ‘apolitiques’. En 2008, 28% se sont abstenus, mais 25% ont voté PD et 16% IdV – ce vote marque donc un malaise à l’égard des partis, surtout de gauche (outre la Ligue). Il s’agit bien de politique, et mieux vaut un vote, n’importe lequel, que le vide – politique. Cela confirme que le pays est désormais au-delà de la IInde République fondée par (et sur) Berlusconi et le berlusconisme mais qu’il ne sait où aller. Avec ces partis, ces dirigeants, ces modes de scrutin et ces institutions, je crains qu’on ne discute encore longtemps d’antipolitique – pour masquer la misère de la politique. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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08/05/2012
Frank Vanhecke acquitté.
Belgique. Flandre. L’ancien président du Vlaams Belang, le Député européen indépendant Frank Vanhecke, a été acquitté. Il était poursuivi en tant qu’éditeur responsable d’une revue locale du Vlaams Belang, en 2005, qui a publié un article mis en cause. Les deux auteurs de l’article sont, par contre, considérés comme coupables. Le tribunal doit donner son verdict en juin 2012.
Les deux phrases incriminées sont : « Une culture qui n’a pas de respect pour ses morts est une culture qui déraille. » et « Ce que l’on n’est pas autorisé à dire, c’est que les auteurs des faits, tous des jeunes de Tirlemont, étaient des allochtones, jeunes d’origine étrangère. »
20:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les articles sur les élections en Italie, Serbie et Grèce ont été mis à jour.
L'article sur les élections en Serbie a été remplacé par celui envoyé par Tripmir Gudar à ce sujet.
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Elections municipales en Italie : défaite du PdL et de la Ligue du Nord.
Italie. Les élections municipales qui se sont déroulées au sein de 941 municipalités sur 8.000, ce dimanche 6 mai et lundi 7 mai 2012, donnent de mauvais résultats pour le Peuple de la Liberté et la Ligue du Nord. Le Secrétaire général du PdL Angelino Alfano a reconnu la défaite.
Cependant, à Verone, le Maire de la Ligue du Nord Flavio Tosi est donné réélu au premier tour avec plus de la moitié des voix.
Voir l'article du Figaro :
http://www.lefigaro.fr/international/2012/05/08/01003-201...
Résultats par municipalité :
http://www.corriere.it/Speciali/Politica/2012/elezioni12/...
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Résultats des élections en Serbie, commentés par Trpimir Gudar.
L’écrivain nationaliste croate Trpimir Gudar nous envoie les résultats des élections en Serbie :
Le dimanche 6 mai 2012, des élections présidentielles, législatives, régionales et locales se sont tenues en Serbie. Environ 6,7 millions de citoyens ont le droit de vote. 59 % d’entre-eux l’on utilisé, y compris 32 % de Serbes du Kosovo.
Les résultats des élections sont très différents des sondages réalisés avant les élections par des ONG et médias financés par l’étranger.
Selon la Commission électorale de la République (Republička izborna komisija, RIK), le Parti démocratique (DS - Demokratska stranka) de Boris Tadić qui dirige la Serbie depuis la chute en 2000 de Slobodan Milošević obtient 22,09 % des voix et 68 députés. Au cours de ces 12 années, le Parti démocratique a mené des privatisations massives, de nombreux commandants militaires serbes et politiciens nationalistes des années 1990 ont été trahis et envoyés devant le Tribunal Pénal International (TPI) de La Haye, des négociations ont été entamées avec l’Union européenne et l’OTAN sans que soient pris en considération les intérêts nationaux serbes, etc…
Le principal parti d’opposition, le SNS (Srpska napredna stranka – Parti progressiste serbe) de Tomislav Nikolić, obtient 23,53 % des voix et 73 députés. Malgré le fait que Tomislav Nikolić était le vice-président du parti eurosceptique de Vojislav Šešelj SRS (Parti radical serbe), lui et son parti sont de nos jours de dévoués supporters de l’euro-atlantisme et, selon certains analystes, vont probablement poursuivre la politique conduite par le Parti démocratique de Boris Tadić à propos de l’Union européenne, de l’OTAN et du Kosovo.
La grande surprise de cette élection émane du Parti socialiste de Serbie (SPS - Socijalistička partija Srbije) d’Ivica Dačić, l’ancien parti post-communiste dirigé par Slobodan Milošević. Ce parti a perdu le pouvoir en 2.000 et a été presque dissout. Ivica Dačić, qui a exercé des responsabilités au sein de la Jeunesse du parti à l’époque de Slobodan Milošević, a reconstruit cette formation politique et est devenu le Ministre de l’intérieur du gouvernement Tadić entre 2008 et 2012 avec 7,5% des voix. Ivica Dačić obtient 15 % en tant que candidat à l’élection présidentielle et 16 % pour son parti aux législatives, soit 45 députés. Le SPS est un parti populiste de gauche, favorable à l’entrée de la Serbie au sein de l’Union européenne.
Le quatrième parti, et seule formation politique anti-Union européenne qui siégera au Parlement, est le Parti démocratique de Serbie (DSS - Demokratska stranka Srbije) de Vojislav Koštunica avec 7,07 % et 20 députés. Vojislav Koštunica et son parti défendent la neutralité politique et militaire de la Serbie et attirent ainsi la partie du corps électoral national-conservateur et eurosceptique.
Ces élections ont été catastrophiques pour les nationalistes [radicaux]. Après 22 ans de participation à la vie parlementaire, le SRS (Srpska radikalna stranka - Parti radical serbe) n’a pas dépassé la barre des 5 % nécessaires afin de pouvoir siéger au Parlement, récoltant seulement 4,51 % des votes (contre 29 % en 2008). Le Dveri (Pokret za život Srbije – Mouvement pour la vie de la Serbie) obtient 3,49 %, ne dépassant pas également la barre des 5 %. Dveri Srpske (Porte serbe) est un journal patriotique-orthodoxe serbe fondé par les étudiants en langue et littérature serbe en 1999. En 2000, ils ont été actifs en en tant que Srpski Sabor Dveri (Porte de l’assemblée serbe), la seule ONG patriotique et orthodoxe en Serbie. En 2011, ils ont fondé le parti politique Dveri – Pokret za život Srbije et sont arrivés en une année, grâce à l’argent fourni par leurs membres, a obtenir les 3,49 % des élections législatives et les 2,32 % pour leur candidat à l’élection présidentielle Vladan Glišić.
La coalition Preokret (Demi-tour) dirigée par le Parti libéral-démocrate de Čedomir Jovanović et la coalition Région unie de Serbie (URS - Ujedinjeni regioni Srbije) de Mlađan Dinkić siégeront également au Parlement. Preokre obtient 5,7 % et l’URS 6,4 %.
Les partis des minorités nationales ont pris part aux élections principalement en coalition avec le Parti démocratique ou au sein de la coalition Preokret ou encore de la coalition Svi zajedno (Tous ensemble). L’Alliance des Hongrois de Voïvodine (Savez Vojvođanskih Mađara / Vajdasagi Magyar Szövetseg - VMSZ) a gagné 1,24 % et ses élus peuvent siéger au sein du Parlement national (les partis des minorités ne sont pas concernés par la barre des 5 %, mais par celle de 0,4 %).
Le phénomène intéressant de ces élections législatives en Serbie est la liste électorale « Pas un des susmentionnés » (NOPO - Nijedan od ponuđenih odgovora), enregistrée en tant que liste de la minorité valaque. En fait, l’alliance électorale « Pas un des susmentionnés » est constituée principalement de jeunes serbes patriotes et antimondialistes. La tête de liste est le programmeur informatique Nikola Tulimirović de Belgrade et le second est Đorđe Vukadinović, analyste politique et rédacteur en chef du journal national-conservateur Nova srpska politička misao (NSPM – Nouvelle pensée politique serbe). La liste obtient 0,47 % des votes et Nikola Tulimirović est élu député.
La plupart des partis présents lors des élections législatives ont présenté un candidat à l’élection présidentielle et le nombre de votes recueillis par ces personnes est proche de celui recueilli par les partis ou coalitions de partis qu’ils représentent.
Le Président sortant Boris Tadić, du Parti démocratique, obtient 24,81 % des voix et Tomislav Nikolić du SNS 24.71%. Ivica Dačić (SPS) reçoit 15.8%, Vojislav Koštunica (DSS) termine avec 7.3%, Zoran Stanković (URS) décroche 7%, Čedomir Jovanović (“Preokret”, LDP) a 4.6%, etc... Le candidat du SRS Madame Jadranka Šešelj (femme de Vojislav Šešelj, dirigeant du SRS et prisonnier politique à La Haye) récolte seulement 3,76%, moins que le score obtenu par la liste du parti qu’elle représente lors des législatives. Vladan Glišić, candidat du mouvement Dveri pour Vie de Serbie, obtient 2,32 %, donc moins que la liste de Dveri lors des législatives.
La formation du future gouvernement dépendra avant tout du choix du troisième plus gros parti : le Parti socialiste de Serbie d’Ivica Dačić. Selon le sociologue et analyste politique Jovo Bakić, Tomislav Nikolić et le SNS ne sont en position de former un gouvernement que s’ils obtiennent 5 % de plus que le Parti démocratique, ce qui n’est pas le cas. Seulement le SPS et le Parti de Vojislav Koštunica, le DSS, sont à prendre en considération pour la formation d’une coalition gouvernementale. Bien que le candidat favori ne soit pas Vojislav Koštunica, puisqu’il est opposé à l’Union européenne. D’un autre côté, le Parti démocratique a comme partenaires certains de coalition, la coalition Preokret, l’URS et les partis des minorités. Le second tour de l’élection présidentielle aura une influence importante sur la composition du futur gouvernement, car le président a une grande influence sur la gestion de l’État.
Voir le site de la Commission électorale avec les résultats : http://www.cesid.org/
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07/05/2012
La tentative juridique d'interdire la tournée de pro-NRW a échoué.
Allemagne. Rhénanie du Nord-Westphalie. Le ministre social-démocrate (SPD) de l’intérieur du Land vient de subir une deuxième défaite juridique dans le cadre de son action contre la tournée que mène pro-NRW devant les mosquées de Rhénanie du Nord-Westphalie, en vue des élections pour le Parlement du Land du 13 mai 2012. La semaine dernière, la tentative juridique d’empêcher pro-NRW de montrer des caricatures de l’islam a échoué et maintenant la tentative juridique (devant un tribunal administratif) d’interdire à pro-NRW de poursuivre sa tournée a également échoué,
22:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'UDC a été victime de sa polarisation aux élections fédérales.
Suisse. Une étude a été réalisée sur l'UDC, premier parti de Suisse :
http://www.rts.ch/info/suisse/3974403-le-pbd-a-attire-les...
17:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
Vladimir Poutine, président de Russie.
Russie. Lors de la cérémonie d’investiture du Président Russe Vladimir Poutine, ce dernier a promis de renforcer la démocratie au sein de son pays. Silvio Berlusconi était présent.
16:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
Elections législatives en Grèce.
Grèce. Le LAOS obtient 2,9 % des voix et ne siégera plus au Parlement. (Pour siéger au Parlement, un parti doit obtenir 3 %). Les ultranationalistes de l’Aube dorée entrent au Parlement avec 6,97 % et 21 députés. Le Parti conservateur et le Parti socialiste obtiennent ensemble 149 députés sur 300.
(http://ekloges.ypes.gr/v2012a/public/index.html?lang=en#%...)
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Résultats des élections pour le Parlement du Schleswig-Holstein.
Allemagne. Élections pour le Parlement du Schleswig-Holstein : les pirates entrent au Parlement, les libéraux chutent fortement mais se maintiennent au sein de l'assemblée. Montée des sociaux-démocrates. Chute des post-communistes qui quittent le Parlement. Le Parti SSW qui défend les intérêts de la minorité danoise n'est pas tenu par la barre des 5 % et peut siéger au Parlement du Land.
Résultats en % :
Gains et pertes en % :
Répartition des sièges :
CDU : Parti conservateur
SPD : Parti social-démocrate
FDP : Parti libéral centriste
Grüne : verts
SSW : parti de la minorité danoise
Piraten : pirates
(die Linke = post-communistes et gauche de la gauche)
Résultats des autres partis : le parti ultranationaliste NPD a obtenu 0,7 % (- 0,2 %)
(http://landtagswahl-sh.de/wahlen.php?site=left/gebiete&am... )
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06/05/2012
La manifestation de pro NRW à Bonn attaquée par les salafistes.
Allemagne. Rhénanie du Nord – Westphalie. Lors de la manifestation organisée ce samedi 6 mai 2012 à Bonn dans le cadre de la tournée de pro-NRW en Rhénanie du Nord –Westphalie, des salafistes attendaient le convoi de pro NRW. Celui-ci est arrivé à Bonn à 14h45. Les participants ont installé les haut-parleurs. Un représentant de pro-NRW a tenu un discours. Des membres de pro-NRW ont montré des caricatures à propos de l’islam. Des pierres ont été jetées sur les représentants de pro-NRW. Un journaliste a été atteint. Un activiste de pro-NRW a été blessé. 29 policiers ont été blessés, dont 3 gravement. Le patriote blessé a été soigné et se porte bien. Une centaine de salafistes ont été arrêtés. Les médias télévisés allemands ont parlé de l’affaire, ce qui a fait de la publicité à pro NRW. Les sites Internet du mouvement PRO font l’objet d’attaques informatiques depuis plusieurs jours.
21:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
10 ans du décès de Pim Fortuyn.
Pays-Bas. Le 6 mai 2002, exactement deux mois après la victoire de Leefbaar Rotterdam lors des election smunicipales à Rotterdam, Pim Fortuyn a été assassiné au Mediapark à Hilversum. Son parti, la LPF (Lijst Pim Fortuyn – Liste Pim Fortuyn), était donné premier dans les sondages en vue des élections législatives qui se déroulaient 9 jours plus tard et Pim Fortuyn pouvait devenir Premier ministre.
Pim Fortuyn
12:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
05/05/2012
HC Strache à la fête de printemps du WSR.
Autriche. Le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache a participé à la fête de printemps du WSR (Wiener Seniorenring - Cercles des séniors viennois) en compagnie du Deuxième Président du Parlement du Land de Vienne et Président du WSR Johann Herzog et du Président fédéral du Österreichischer Seniorenring (Cercle autrichien des séniors - ÖSR) Edwin Tiefenbacher. Heinz-Christian Strache a remercié les seniors pour leur implication dans le FPÖ.
21:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
Oskar Freysinger, vice-président de l'UDC.
Suisse. Les instances dirigeantes de l'UDC ont été renouvelées :
http://www.20min.ch/ro/news/suisse/story/Brunner-recondui...
20:04 | Lien permanent | Commentaires (0)