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18/07/2012

La Cour constitutionnelle allemande estime que les demandeurs d'asile doivent recevoir plus.

Allemagne. La Cour constitutionnelle a décidé que les demandeurs d’asile doivent recevoir plus d’argent car elle estime que la somme actuelle (220 euros par mois) va à l’encontre du droit fondamental à un minimum d’existence. Désormais, ces personnes doivent recevoir la même chose que les Allemands qui percoivent l'aide sociale ou sont chômeurs de longue durée.

Pays-Bas : le chômage prend une forme dramatique chez les jeunes allochtones.

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Pays-Bas. Les Députés PVV Van Klaveren, De Jong et Wilders ont posé des questions à propos du fait que le chômage prend une forme dramatique chez les jeunes allochtones. Ils demandent pourquoi les chiffres du chômage sont bien plus élevés chez les jeunes Marocains, Somaliens et Turcs que chez les jeunes Chinois. Ils désirent savoir en quoi cette situation est liée à l’afflux d’immigrés non-scolarisés. Ces députés veulent obtenir les chiffres du nombre de jeunes non-Européens de l’Ouest qui reçoivent des allocations de chômage et veulent voir confirmé le fait que cette surreprésentation du chômage au sein de cette catégorie de population est due au fait que ces gens refusent de travailler. Le PVV demande que les non-Européen de l’Ouest qui n’ont pas la nationalité néerlandaise  et qui n’ont pas travaillé 10 ans aux Pays-Bas se voient retirer leur titre de séjour.

17/07/2012

Présentation de mode traditionnelle hongroise au Magyar Sziget.

Hongrie. Lors du festival Magyar Sziget qui s'est déroulé du 12 au 15 juillet 2012 à Veröce, une présentation de mode traditionnelle hongroise a eu lieu.

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Berlusconi seul en piste.

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« Le PdL jette les primaires aux orties : Berlusconi seul en piste » (Marco Iasevoli, Avvenire) :  « Plus question de primaires au PdL, F. Cicchitto le confirme en sortant du palais Grazioli [résidence romaine de Berlusconi] : ‘avec Silvio candidat, le problème ne se pose pas’. Le Cavaliere a rayé d’un trait de plume les décisions prises il y a un mois à peine par le bureau du PdL – primaires en octobre avec Alfano en favori. Berlusconi est lancé : ‘pour la campagne, nos moyens sont réduits, il va falloir s’autofinancer. Si je cède Ibrahimovic et Silva au PSG, ce n’est pas pour rien’, a-t-il confié à Alfano, La Russa et aux responsables des groupes parlementaires PdL. Et il lui faut réfléchir dans le détail à la stratégie : difficile, en effet, de faire coexister les propos rassurants sur son ‘plein soutien à Monti’ avec la nécessité de gratter ‘3-4 points chez Grillo’ par des messages plus forts sur impôts, dette et Europe. Le PdL devrait être vite rebaptisé. Hier, chez Berlusconi, on a beaucoup parlé argent, noms (le Cavaliere veut lancer de nouvelles têtes) et réforme du mode de scrutin – Berlusconi ayant envoyé une lettre à ses sénateurs pour les inviter à insister sur le régime semi-présidentiel. Quant au ‘ticket’ envisagé avec une femme, on évoque Federica Guidi (ex Confindustria) et Luisa Todini (à peine élue au CA de la RAI). Berlusconi a promis à la vieille garde, inquiète, qu’il n’y aurait pas de ‘grand ménage’. Au PdL, après la surprise, on est fataliste. R. Schifani, président du Sénat, va jusqu’à dire ‘tous les dirigeants et, bien sûr, la base le veulent lui’. Pour qui avait misé sur Alfano, le PdL ‘a raté sa rénovation, il n’est pas arrivé à combler le vide chez les modérés et maintenant Berlusconi s’en charge’. Nul ne bronche, donc. Seul le maire de Rome, Alemanno, dit vouloir un ‘tête à tête’. Maintenant tout va se jouer sur les objectifs et les contenus de la campagne. Les amis de Frattini et ceux de Pisanu disent avoir arraché un accord tacite au Cavaliere : ‘son retour ne vise qu’à récupérer un peu de voix pour consolider, après 2013, une grande coalition autour de Monti’. Dans la nuit, le va-et-vient continue au palais Grazioli. De l’extérieur arrivent des réactions ironiques ou de rejet : pour Fini, le plus dur, ‘les Italiens ont compris que l’heure n’est plus aux ‘miracles’ et aux conflits d’intérêts’. Casini évoque juste un ‘problème’ au sein du PdL et la Ligue regrette le retrait d’Alfano. »

L’ultime rafale du Cavaliere – Son objectif : non le palais Chigi, mais une position pour pouvoir négocier » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) :  « Le scoop du Corriere annonçant Berlusconi candidat à la présidence du Conseil en 2013 ne veut pas dire qu’il se présentera bel et bien à la tête du PdL (rebaptisé) ou d’une coalition aux contours flous. Cela signifie que l’homme fort de la droite veut lancer un message. A qui ? Aux électeurs qui votaient pour lui et se sont divisés entre abstention et tentation de soutenir Grillo (et autres protestataires), ou à ceux qui observent l’action de Monti avec un respect grandissant. Mais le message est surtout pour les siens, pris dans la bagarre de la fin du PdL. Là, la voix du vieux chef conserve une influence irrésistible, le goût d’un reconstituant quand tout paraît perdu, et aide à réprimer les rancœurs internes. Mieux vaut ne pas s’attarder sur ce qu’en pensent les marchés et les Etats de l’UE ; le positif est que la plupart ne croient guère à un retour. L’annonce de Berlusconi paraît plutôt la tentative, un peu désespérée, de celui qui ne se résigne pas à perdre l’énorme influence qu’il a exercée pendant près de 20 ans et qui assiste non seulement à la mort de sa créature mais aussi, à travers de nouveaux scénarii imprévisibles, à la mise en danger de ses intérêts personnels. Berlusconi ne souhaite certes pas revenir au Palais Chigi – presque jamais le réalisme ne lui a fait défaut. Mais il souhaite être au centre du jeu et rénover la droite. Quoi qu’il en soit, une époque est achevée et le monde modéré est en voie de mutation. Monti en modifie le profil, séparant populisme et européisme. Un ‘parti de Monti’ existe déjà, de fait, même s’il ne se présentera peut-être pas aux élections. Berlusconi sent le danger et voudrait en freiner l’issue. Il tente de négocier comme il peut, en jouant au mieux les cartes qu’il lui reste. Il en a, mais pas assez pour pouvoir retourner la situation. Soyons clairs : aujourd’hui (du régime présidentiel à la grande coalition), tout est tactique. L’important est la crainte du Cavaliere de voir s’évanouir à jamais son pouvoir de peser sur les événements après 2013. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

16/07/2012

M6 prépare une émission manipulée sur les partis nationalistes en Europe.

Hongrie. Lors du festival Magyar Sziget organisé par le HVIM, la journaliste française Virginie Vilar a interrogé diverses personnes. Elle était accompagnée d’un caméraman. Elle a déclaré travailler lors de ce reportage pour une société de production proche de la chaîne de télévision M6. Elle est restée durant deux jours. La société de production a dû payer pour être autorisée à filmer au sein du festival. De plus, la journaliste a été obligée de signer un contrat au sein duquel il est spécifié qu’aucune image ne sera filmée en caméra cachée. Si les engagements ne sont pas respectés, la société de production devra, selon le contrat, payer une grosse somme d’argent au HVIM.  

 

Virginie Vilar a systématiquement, lors des deux journées qu’elle a passées au sein du festival, cherché à assimiler les milieux nationalistes à la violence.

 

Morceaux choisis :

 

Virginie Vilar et son caméraman se rendent avec le numéro deux du HVIM et Député du Jobbik Gyula Zagyva  au sein du campement de tentes. Parmi tous les campeurs, un se distingue des autres. Il a placé un drapeau avec une croix celtique à côté de sa tente. Il est couché tout près, en train de prendre le soleil. Virgine Vilar déclare : « Mais en France, ce symbole est celui d’un parti extrémiste, le GUD ! » (Virginie devrait apprendre que le GUD n’est pas un parti). Réponse de Gyula Zagyva : « Que voulez-vous que nous fassions ? Que nous jetions un seau d’eau sur cette personne pour qu’elle parte ? »

 

Virginie doit aller à gauche ou à droite, par exemple aux toilettes, afin que le caméraman puisse déambuler seul près des boutiques sous tente tenues par des marchands. L’objectif du caméraman étant de trouver des objets litigieux. Cela, alors que ces stands sont loués à des marchands qui n’ont aucun lien avec l’organisation du festival et que le HVIM tente au maximum d’empêcher la vente d’objets et de tee-shirts pouvant poser problème.

 

Virginie Vilar interroge le Président du Jobbik Gábor Vona venu au festival donner une conférence. Les questions portent sur la violence. Par exemple, sur la dégradation de monuments ou la profanation de tombes. Gábor Vona répond qu’il trouve en effet dommage qu’il y ait des dégradations de monuments, par exemple ceux consacrés à l’Amiral Horty. Gábor Vona, échaudé par les pratiques et manipulations qu’il a dû subir de la part de la presse française, écourte l’entretien. De plus, il a d’autres choses à faire. Il a un rendez-vous. Suite à cette interview, Virginie n’est pas contente des réponses obtenues du président du Jobbik.

 

Virginie cherche systématiquement à interroger des personnes qui pourraient lui parler de violence. La chanteuse suédoise Saga, présente au festival, lui déclare qu’elle est contre la violence, pour l’amour et la paix. Virginie Vilar n’est pas intéressée par une interview. Virginie trouve un Polonais imbibé d’alcool et lui arrache quelques propos au sujet de la violence.

 

Virginie Vilar désire interroger des membres du Betyar, une organisation musclée. Mais, ces personnes ne veulent pas répondre.

 

La journaliste se rend ensuite dans le village de Veröce, près d’où le festival se déroule, afin d’interroger des habitants à propos du festival. Pas de chance, les personnes qui répondent pensent que le festival amène de l’activité au sein de la localité et de l’argent pour les commerces et hôtels.

 

Lajos Marton, écrivain et ancien membre de l’OAS, est venu de Paris afin de présenter et dédicacer son livre. Une opportunité pour Virginie qui peut l’interroger sur ce qu’il pense des Juifs. Lajos Marton dénonce les banquiers apatrides qui ont mis l’économie à sac.

 

Lors de la deuxième journée, Virginie et le caméraman peuvent filmer des combats entre des personnes qui pratiquent des sports de combat. Elle est satisfaite d’avoir vu de la violence.

 

Finalement, à la fin de cette deuxième journée, Virginie Vilar et son caméraman découvrent une reconstitution historique à propos de la seconde guerre mondiale. Ce dernier peut filmer des uniformes de l’époque, tout particulièrement ceux de la Waffen-SS, pendant que Virginie Vilar discute avec les personnes qui participent à cette reconstitution historique.

 

Lorsque l’émission sortira, nous pouvons être certains que le téléspectateur verra la croix celtique, la reconstitution militaire, l’un ou l’autre objet litigieux vendus en sous-main par un marchand, les combats et une partie des propos de Lajos Marton. Assez pour faire croire aux téléspectateurs qu’un lien direct existe entre le nationalisme et la violence.

 

Les photos de Virginie Vilar et du caméraman ont été retirées à la demande de ce dernier, qui pour des raisons professionnelles préfère ne pas voir apparaître son image. 

 

Rien n'échappe à l'oeil de Virginie Vilar et de son caméraman.

Article sur Geert Wilders dans Minute.

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L’hebdomadaire Minute (numéro 2572 du 11 juillet 2012) publie (sur toute la page 7), sous le pseudonyme de Lionel Humbert, mon article à propos de Geert Wilders : « Législatives aux Pays-Bas. Geert Wilders tire à boulets rouges sur l’Union européenne. »

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15/07/2012

La compagne de HC Strache désire ouvrir une boutique Elisabetta Franchi.

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Autriche. Vienne. La compagne du président du FPÖ Heinz-Christian Strache a décidé d’ouvrir à la mi-août 2012 un commerce à Vienne. Andrea Eigner, 27 ans, désire lancer un magasin de la marque de luxe italienne Elisabetta Franchi. Ce sera la première boutique de cette marque au sein de l’espace germanophone.

Le PVV exige le départ du Commissaire européen Cecilia Malmstrom.

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Pays-Bas. Les Députés du PVV Fritsma et Wilders ont adressé des questions au ministre de l’immigration, l’intégration et l’asile à propos des folies du Commissaire européen Cecilia Malmstrom en matière d’immigration.

 

Cette personne a plaidé pour plus d’immigration vers l’Union européenne et est convaincue que les Européens sont d’accords avec elle. Le PVV demande son départ. Ce parti exige également la sortie immédiate des Pays-Bas de l’Union européenne.

14/07/2012

Interview d'Oszkar Juhasz, maire de Gyöngyöspata.

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Ce jeudi 12 juillet 2012, Lionel Baland a rencontré le maire Jobbik de Gyöngyöspata, Oszkar Juhasz, à Veröce en Hongrie. Gyöngyöspata, qui avait sombré dans la délinquance et le chaos, a été repris en main par Oszkar Juhasz. Le village est devenu la vitrine du Jobbik, le troisième parti politique du pays.

 

Depuis que vous êtes devenu maire de Gyöngyöspata, les problèmes ont-ils été résolus complètement ?

 

Il y a toujours des problèmes qui doivent être résolus, mais mon village est le plus sûr du comté. De plus, la politique que j’ai mise en place a permis de créer des emplois pour 73 personnes, ce qui est un nombre important pour un village qui compte 2.700 habitants. Ces travailleurs nettoient les routes, produisent des légumes et élèvent des animaux. La production qui résulte de cette activité est utilisée au sein du jardin d’enfant. De plus, une école va être ouverte dans le même bâtiment que l’école publique, mais la qualité de la nouvelle école sera meilleure.

 

Est-ce que les mesures prises à Gyöngyöspata ont été exportées ailleurs ?

 

Certains éléments de mon programme ont été copiés au sein d’autres municipalités. La plupart des maires sont inspirés par les mesures prises mais ne peuvent pas dire qu’ils ont copié des parties de mon programme.

 

Vous avez été victime d’une attaque. Une personne a tiré sur vous. Savez-vous qui a manigancé cela ?

 

La police ne sait pas qui a tiré sur  moi. En tous cas, elle ne le dit pas.

 

Lors des prochaines élections municipales, plus de personnes vont-elles voter pour vous ?

 

Je ne sais pas. Je ne peux pas prédire l’avenir. Nous verrons.

 

Êtes-vous né dans ce village ?

 

Je suis du village et y ai grandi. Je suis né au sein de l’hôpital situé dans la ville voisine.

 

Lors des prochaines élections municipales, dans votre région y aura-t-il des candidats Jobbik aux postes de maire des autres villages ?

 

Au sein du comté, le Jobbik est devenu plus fort qu’auparavant.

 

Quand auront lieu les prochaines élections municipales ?

 

En 2014.

 

Étant donné que vous avez été élu plus tard que les autres maires, les élections au sein de votre municipalité auront-elles lieu en même temps ?

 

Oui

 

Quelle est la réaction des autres partis au sein du Conseil municipal ?

 

Au sein du Conseil municipal,, les autres élus sont indépendants.

 

Avez-vous reçu des pressions du pouvoir en vue d’entraver votre action ?

 

Il y a au sein du Parlement certains députés qui tentent de me contrer, mais les autres pas.

 

Après votre élection, avez-vous reçu beaucoup de journalistes ?

 

Plus de 100 journalistes.

 

Que pensez-vous des absurdités qu’ils ont dites et écrites à propos de votre action ?

 

… (pas de réponse)

 

Que pensent les Tsiganes de votre village ?

 

La plupart des Tsiganes sont maintenant des supporters de mon programme.

 

Est-il vrai que des Tsiganes sont partis au Canada pour demander l’asile politique ?

 

C’est vrai qu’ils sont allés au Canada mais n’ont pas reçu l’asile. Les autorités de ce pays ont vu que les Tsiganes n’étaient pas de vrais réfugiés politiques et ont constaté  qu’il y a de nouveaux types de délit au Canada à cause de ces gens : vol de métaux, esclavage.

 

Avez-vous eu des problèmes pour recevoir des subsides ?    

 

Oui, les subventions accordées à la municipalité sont fortement réduites, mais cela concerne l’ensemble des communes. Elles doivent fonctionner avec des moyens financiers réduits par rapport à ce qu’elles ont reçu en 2010.

 

Y a-t-il au sein de votre village des activités nationalistes autres que la ferme de Noël ?

 

Les journées du village qui durent 3 jours se déroulent en juillet : artisanat, tir à l’arc, fouet, chevaux, nourriture et habits hongrois, danses, …

 

Avez-vous quelque chose à ajouter à cet entretien ?

 

Non.

 

Merci.

 

C’est moi qui vous remercie.

 

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Oszkar Juhasz à Veröce lors de son interview. 

13/07/2012

Serbie : les nationalistes et les socialistes poursuivent la formation d"un gouvernement.

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Serbie. Les nationalistes du SNS et les socialistes poursuivent la formation d’un gouvernement. Les discussions portent en ce moment sur la répartition des postes de ministre : http://balkans.courriers.info/article20374.html

Le Vlaams Belang distribue bière et drapeaux à Anvers.

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Belgique. Flandre. Le Vlaams Belang a distribué le 11 juillet 2012, à l'occasion de la fête nationale flamande, aux Anversois qui ont placé un drapeau flamand sur leur maison une bouteille de bière « Vlaamsche Leeuw » (Lion flamand). Le même jour, le parti a tenu un stand sur la place principale de la ville afin de permettre aux Anversois qui ne disposent pas d’un drapeau flamand d’en obtenir un gratuitement.

11/07/2012

Liste des candidats du PVV pour les élections législatives 2012.

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Pays-Bas. Le PVV a présenté sa liste de candidats pour les électiuons législatives du 12 septembre 2012.

 

1.                 Geert Wilders

2.                 Fleur Agema

3.                 Martin Bosma

4.                 Lilian Helder

5.                 Louis Bontes

6.                 Teun van Dijck

7.                 Sietse Fritsma

8.                 Barry Madlener

9.                 Joram van Klaveren

10.               Harm Beertema

11.               Dion Graus

12.               Reinette Klever

13.               Roland van Vliet

14.               Raymond de Roon

15.               Machiel de Graaf

16.               Karen Gerbrands

17.               Leon de Jong

18.               Danai van Weerdenburg

19.               Ino van den Besselaar

20.               Andre Elissen

21.               Vicky Maeijer

22.               Johan Driessen

23.               Willie Dille

24.               Daniël ter Haar

25.               Stephan Jansen

26.               Marc van den Berg

27.               Alexander Kops

28.               Edgar Mulder

29.               Gabriëlle Popken

30.               Paul ter Linden

31.               Gijs Moonen

32.               Patricia van der Kammen

33.               Elly Broere

34.               Addie Wisse

35.               Yvonne Waterman

36.               Alexander van Hattem

37.               Jenny Zerfowski

38.               Ton van Kesteren

39.               Floris van Zonneveld

40.               Irene Joosse

41.               John van Assendelft

42.               Martin van Beek

43.               Willem Boutkan

44.               Emiel van Dijk

45.               Peter van Dijk

46.               Ronald Dol

47.               Joost van Hooff

48.               Marcel de Graaff

49.               Ronald Sörensen 

09/07/2012

Conférence "The truth behind Jörg Haider."

Ce mardi 10 juillet 2012, je donnerai une conférence en anglais intitulée « La vérité à propos de Jörg Haider » au sein du Festival boreal à Veröce en Hongrie.

08/07/2012

Le nouveau numéro de Synthèse nationale est consacré à Jörg Haider.

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Au sommaire :

- Editorial de Roland Hélie : Après les élections, le combat continue...

- Retour sur les législatives...

- Patrick Parment : Défaite d'une droite sans valeurs...

- Arnaud Raffard de Brienne : Honneur à l'oeuvre de la France en Algérie...

- Bernard Bres : Agriculture, de l'autosuffisance alimentaire aux dégats du productivisme...

- Georges Dillinger  : La dénatalité ou le suicide d'une race...

- Luc Pécharman : Les municipales, pour quoi faire ?

- Jean-Claude Rolinat : Syrie, redoutons l'"effet papillon"...

- Lionel Baland : Dossier Jörg Haider, l'homme qui ébranla l'Europe... A l'occasion de la sortie de sa biographie.

- Francis Bergeron : Histoire des fascismes de François Duprat...

- La sortie du Dictionnaire des polémistes aux Editions Les Bouquins de Synthèse nationale.

Les rubriques de Philippe Randa, du Marquis Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, d'Yves Darchicourt, de Luc Barbulesco et de Pieter Kerstens... 

N°28, Juillet Août 2012, 124 pages, 12 €.

06/07/2012

La RAI, une entreprise politisée.

« Une entreprise en otage » (Paolo Conti, Corriere della Sera) : « La politique offre un spectacle pitoyable sur la RAI, qui est et reste, avec ses qualités et ses défauts, le complexe médiatico-culturel le plus vaste et articulé de ce pays. Hier, les 7 nouveaux administrateurs dont la sélection revient au Parlement devaient être élus par la Commission parlementaire de surveillance – l’occasion d’un affrontement institutionnel inédit entre Schifani, président du Sénat, et Fini, président de la Chambre. Objet : le remplacement de P. Amato, PdL ‘dissident’ qui avait annoncé un vote distinct de la ligne du parti, avec P. Viespoli (Cohésion nationale). Schifani dit l’avoir fait pour éviter l’annulation des actes de la Commission de surveillance ; Fini a parlé de ‘fait sans précédent’ et exige ‘des explications’. Alfano s’insurge contre Fini, le PdL contre le PD (qui contestait l’éloignement d’Amato), PD et UdC demandent une mise sous tutelle etc. Mais dans toute cette agitation qui a vraiment parlé de la RAI ? Qui a évoqué les pertes de recettes publicitaires (au moins -80M€, fin 2012, par rapport aux prévisions de fin 2011) ? Qui a réfléchi à l’alerte lancée par le président sortant Garimberti – qui a souligné la ‘faiblesse éditoriale’ des nouveaux programmes 2012-2013 ? Personne. La RAI est restée otage de la politique qui n’a pensé qu’à la politique, malgré les indications données par Monti notamment, en désignant respectivement présidente et DG Anna Maria Tarantola et Luigi Gubitosi DG, deux techniciens sans étiquette politique, en accélérant les choses et en s’attirant des critiques – or il l’a fait justement pour souligner le plus clairement possible l’urgence qu’il y a à affronter la question de la RAI. La classe politique, elle, n’a songé qu’à elle-même et à ses rites de pouvoir périmés. Parmi ‘toutes les choses à changer’ dans ce ‘vieux pays’, comme disait Prandelli lundi, il y a sûrement l’éternelle bagarre politique autour de la citadelle RAI. Mais gare : avant peu tout pourrait s’écrouler, ne laissant à se disputer qu’un tas de ruines. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

05/07/2012

Le gouvernement suisse rejette deux initiatives UDC.

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Suisse. Le Conseil fédéral (gouvernement) rejette deux initiatives de l'UDC, sur la famille et contre l’immigration de masse : 

http://www.rts.ch/info/suisse/4117953-le-conseil-federal-rejette-deux-initiatives-de-l-udc.html

04/07/2012

Rudy Reker candidat pour le DPK.

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Pays-Bas. Rudy Reker, le chef de file des élus de la Lijst Pim Fortuyn Eindhoven au sein du Conseil municipal d’Eindhoven, sera candidat lors des élections du 12 septembre 2012 pour le Democratisch Politiek Keerpunt (DPK – Tournant politique démocratique).

Le Député Hero Brinkman, qui a quitté le PVV de Geert Wilders et fondé le Onafhankelijke Burger Partij qui fusionne avec Trots op Nederland au sein du nouveau parti Democratisch Politiek Keerpunt, est à 500 % dans la ligne idéologique de Pim Fortuyn.

L’ordre des candidats n’est pas encore fixé.

Le RFJ de Salzbourg a lancé une campagne contre la discrimination des Autrichiens.

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Autriche. Land de Salzbourg. Au mois de juin 2012, le Ring Freiheitlicher Jugend (RFJ – Cercle des Jeunes libéraux [nationalistes]) de Salzbourg a lancé une campagne contre la discrimination des Autrichiens. L’organisation dénonce la politique d’intégration des étrangers pratiquée par un ministre conservateur (ÖVP) du Land qui conduit à discriminer les Autrichiens.

03/07/2012

Deux députés quittent le PVV.

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Pays-Bas. Deux députés du PVV, Wim Kortenoeven et Marcial Hernandez, quittent le parti. Ils reprochent à Geert Wilders sa gestion autoritaire du PVV.

L'ADR vote contre le MES.

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Luxembourg. Ce 26 juin 2012, la Chambre des députés a adopté à une large majorité trois projets de lois autorisant le Luxembourg à participer au Mécanisme européen de stabilité (MES). Deux partis ont voté contre : l’ADR et déi Lénk (gauche de la gauche).

Geert Wilders présente le programme du PVV pour les élections de septembre 2012.

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Pays-Bas. Geert Wilders, le président du PVV, a présenté ce mardi 3 juillet 2012 le programme de son parti pour les élections législatives du 12 septembre 2012.

Au cours des années précédentes, le PVV a souvent dû faire face au reproche d’être un parti consacré à un seul sujet. Jusqu’aux élections du 12 septembre 2012, cela sera le cas. Le sujet est l’Union européenne. Toutes les activités du PVV jusqu’à la date de ce scrutin concerneront ce thème. Le PVV veut faire de ces élections un référendum sur  tout ce qui est en rapport avec l’Union européenne : euro, MSE, bureaucratie, dictat de l’Union européenne à propos des économies à réaliser, de l’immigration, des pensions.

L’Union européenne est le thème central du programme que le PVV présente aujourd’hui. Le titre est « Leur Bruxelles, nos Pays-Bas. »

Les idées présentées sont celles qui différencie le PVV des autres partis et qui vont permettre de libérer les Pays-Bas de la prison européenne. Des idées qui vont ammener le PVV à gagner les élections du 12 septembre 2012.

« Comme d’habitude, nous sommes pragmatiques et patriotiques. Alors que lors d’un référendum qui a eu lieu il y a plusieurs années, le peuple néerlandais a dit « non » à l’Europe, le peuple est chaque jour plus soumis à l’Union européenne. Il apparaît qu’il est de plus en plus difficile d’être en même temps europhile et démocrate. Nous choisissons, entre les deux possibilités, la démocratie. Nous choisissons de quitter l’Union européenne et la zone euro. Ce n’est pas simple, mais ça doit être fait. Ce n’est pas simplement un programme électoral, mais c’est aussi notre déclaration d’indépendance. Nous tirons une ligne claire entre leur Bruxelles et nos Pays-Bas. Au lieu de consacrer notre argent à ce que notre peuple désire, nous devons envoyer des milliards vers les pays en voie de développement au sein de l’Union européenne : la Grèce et le Portugal. Et probablement vers l’Espagne, l’Italie et Chypre. »

Le PVV désire pratiquer des coupes budgétaires dans les budgets des autorités et dans les subsides, plutôt que de s’en prendre aux budgets des personnes privées. Le PVV rejette les économies prévues sur le compte des citoyens. Le parti désire augmenter les taxes sur les banques.

Geert Wilders dit : « Nous nous déclarons aujourd’hui indépendants de l’Union européenne. Nous voulons être le patron dans notre propre maison, le patron dans notre propre pays.  »

Le drapeau européen comprend 12 étoiles, car au départ 12 pays ont adhéré à cette construction européenne. Le PVV veut qu’une de ces étoiles, celle qui représente les Pays-Bas, soit retirée.

Le drapeau des Pays-Bas figure sur les affiches et sur le programme. C’est le symbole de l’indépendance des Pays-Bas, face à l’Union européenne.

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'Leur Bruxelles, nos Pays-Bas."

Tee-shirt promotionnel pour le livre "Jörg Haider, le phénix."

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Tee-shirt promotionnel pour le livre "Jörg Haider, le phénix. Histoire de la famille libérale et nationale en Autriche."

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Face avant.

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Dos.

Le FPÖ opposé au MES.

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Autriche. Le FPÖ s’oppose à l’abolition de la Seconde République via le MES. Pour le président du FPÖ, Heinz-Christian Strache, la souveraineté de l’Autriche est en jeu. Face à la politique européenne de dettes, il exige l’organisation d’un référendum et de nouvelles élections.

Selon le FPÖ, la ratification des changements au sein du Traité européen par les Parlements des 27 États membres a pour conséquence de permettre aux dirigeants des 17 pays de la zone euro de fonder la première banque MES européenne et supranationale.

Patrik Brinkmann donne une interview à Aula.

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Patrik Brinkmann vit dans l'Ouest de Berlin.

Allemagne et Autriche. L’homme d’affaire germano-suédois Patrik Brinkmann a conduit au cours des dernières années des actions au sein des milieux patriotiques. Il a été proche du mouvement de citoyens PRO, avant de se retirer de la politique.

Il a donné une interview au magazine autrichien patriotique Aula, proche du FPÖ (Autriche). Elle sera publiée en allemand au sein du prochain numéro de ce magazine (juillet 2012).

Il nous envoie cette interview. En voici un résumé.


« Ne pas recommencer les batailles du passé ! »

Entretien d’Aula avec l’entrepreneur germano-suédois Patrik Brinkmann.

Aula : Monsieur Brinkman, vous avez troublé la scène politique en place en Allemagne pendant un certain temps. Nous avons aussi entendu parler de vous dans les médias autrichiens. Vous vous êtes ensuite retiré de la scène des partis politiques. Est-ce une décision définitive ?

Patrik Brinkmann : J’avais déjà décidé en 2010 de ne plus être actif au sein de la politique. Pour moi, la seule question a toujours été de savoir si et comment atteindre avec succès en Allemagne une vraie politique libérale [nationale]. Depuis que j’ai déménagé il y a maintenant plus de 5 ans de Suède vers Berlin, j’ai pu acquérir beaucoup d’expérience. Lorsqu’on voit la société allemande de l’extérieur, dans mon cas depuis la Suède, on ne peut pas se rendre compte à quel point ceux qui expriment des idées contraires à celles du système en place sont réprimés. Lorsque des amis allemands m’en parlaient, je me disais que ça ne peut pas être à ce point. Maintenant, je sais que c’est encore pire. Toute personne qui en Allemagne est perçue en tant qu’opposant au système peut être victime d’une tentative totale de destruction de ses bases économiques.

La réponse des milieux patriotiques face à cette situation aurait dû être une union. Hors, il n’en a rien été. Au contraire, lors de l’élection pour le Parlement du Land de Berlin, il a été impossible d’unifier les patriotes. Vous savez, je suis homme d’affaires. Je travaille depuis des décennies à la bourse et je pense que la politique fonctionne de la même manière. On achète des actions à bas prix et les vend lorsqu’elles ont une haute valeur avant qu’elles ne redescendent. En politique, c’est la même chose. Ce qui compte, ce sont les résultats des partis. Ce n’est pas la conséquence de l’incompétence des personnes qui en sont membres. Lorsque les circonstances sont défavorables, on peut souvent seulement obtenir peu. Mais également, à l’inverse, de bonnes conditions ne sont pas toujours un ticket direct pour le succès, comme nous le voyons en ce moment avec l’action Facebook.

Il y a un besoin de régénération de l’opposition en Allemagne et de l’établissement d’un contrepoids efficace à la poussée de gauche. Le mot d’ordre est : « agir ensemble et une ligne de séparation claire. » Il y a en Allemagne toujours des « droites » qui sont occupées à réviser le passé comme le présent. On ne peut aller avec de tels gens. À la place de la peur, l’amour de la patrie doit être la base de l’engagement politique afin de changer la piètre situation politique actuelle. C’est aussi mon but.

Patrik Brinkmann parle ensuite du fait que s’il n’est plus actif au sein de la politique des partis, il est engagé au sein d’activités en rapport avec ses opinions politiques patriotiques.

Aula : Comme nous le savons tous, établir en Allemagne une force patriotique comme elle existe en Autriche sous la forme du FPÖ est très difficile. Voyez-vous malgré tout des chances d’y arriver?

Patrik Brinkmann répond qu’il existe des possibilités, avant tout lorsque le même courant politique que celui représenté par le FPÖ en Autriche se développe en Allemagne. Il estime qu’il faut rompre totalement avec les gens qui veulent revenir sur l’histoire. Il y a actuellement des problèmes énormes à résoudre au sein de la société et les patriotes doivent se concentrer sur ceux-ci. Le point le plus important est la défense des souverainetés des peuples et États qui sont de plus en plus démantelées par la dictature de l’Union européenne. Les patriotes doivent se battre, comme en Autriche, pour plus de démocratie. Au premier plan du combat doit se trouver la lutte contre l’Union européenne et l’euro. Le point suivant doit être la défense de notre culture européenne. Cela inclut la régénération de nos propres forces culturelles et politiques. Cela signifie la fin de l’immigration vers l’Europe qui ne peut que conduire à plus de tentions culturelles et sociales. Le combat contre l’islamisation est une partie de ses exigences politiques. Les patriotes doivent également avoir des idées sociales. Si les patriotes se concentrent sur ses thèmes importants et sont unis, Patrik Brinkmann pense qu’il y aura des députés européens allemands patriotes.

Patrik Brinkman explique ensuite que l’Europe ne peut pas être sans la Russie et que la Russie ne peut pas être sans l’Europe. C’est un des messages les plus importants. Nous devons nous concentrer sur quelques thèmes centraux.

Article sur les recompositions gouvernementales en Serbie et Bosnie-Herzégovine.

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Serbie et Bosnie. Voici un article sur le gouvernement en formation en Serbie entre le SNS et les héritiers de Slobodan Milosevic et sur la recomposition gouvernementale en Bosnie-Herzégovine :

http://www.bhinfo.fr/recompositions-gouvernementales-en,2...

et un article sur le futur Premier ministre socialiste serbe:

http://www.courrierinternational.com/article/2012/07/02/l...