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14/11/2009

Pro Köln et pro NRW présentent un article à propos de la réunion de Synthèse nationale.

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Le site Internet de pro Köln (Pour Cologne) et celui de pro NRW (Pour la Rhénanie du Nord-Westphalie) proposent un article en allemand sur la réunion de Synthèse nationale qui a eu lieu le 11 novembre 2009  à Paris.

 

Le texte présente la réunion du 11 novembre 2009. Il précise ensuite que les contacts noués à Paris vont certainement porter leurs fruits au sein de la collaboration entre patriotes en Europe; également sur la scène locale, régionale et municipale.

 

Les problèmes des régions européennes et villes sont souvent les mêmes. Partout, que se soit à Paris, Anvers, Cologne, Vienne ou Barcelone :  l’islamisation et le trop plein d’étrangers constituent une menace, les finances publiques sont ruinées par les anciens partis, la criminalité et le danger de la terreur islamique menacent,etc…  C’est pourquoi il est temps de donner des impulsions communes entre pays voisins et de construire une collaboration entre ceux-ci.

Suisse : le groupe parlementaire UDC rejette le budget 2010.

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Les finances fédérales étaient le principal objet de la séance du groupe parlementaire d'aujourd'hui. Le groupe UDC demande le renvoi du budget 2010 au Conseil fédéral, rejette le deuxième supplément au budget 2009 et s'oppose aussi catégoriquement à l'augmentation des contributions aux groupes, car il est intolérable que le Parlement se serve dans la caisse de l'Etat alors que le pays vit une crise économique.

Nouvelle couverture pour mon livre.

Voici la deuxième édition du livre d'histoire politique, avec une nouvelle couverture.
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Né dans la Belgique de l’Entre-deux-guerres, le rexisme a connu une trajectoire brève et fulgurante. Surgi dans la mouvance de l’Action Catholique de la Jeunesse Belge, le rexisme va progressivement évoluer vers un « poujadisme » avant la lettre. Il va ensuite s’attaquer au régime parlementaire belge et le faire trembler, avant de connaître une dérive politique et un déclin électoral à l’aube de la Seconde Guerre mondiale.

 

L’histoire du rexisme a été étudiée sous différentes perspectives. De nombreuses publications ont vu le jour. Différentes facettes du mouvement ont été passées au crible. Cependant, le rexisme n’a pas été envisagé sous son aspect journalistique. Il a pourtant été, avant tout, un mouvement de presse.

 

Cet ouvrage conte l’histoire de la presse rexiste depuis les débuts du mouvement jusqu’au 10 mai 1940, jour de l’invasion de la Belgique par l’armée allemande. Il retrace l’aventure d’un groupe d’écrivains, de dessinateurs et de journalistes dont certains sont connus en Belgique et d’autres en Europe, tel Hergé le dessinateur de Tintin.

 

L’homme à l’origine de ce courant politique est Léon Degrelle. Il entend rester « un homme de lettre qui fait de la politique ». Il va connaître un destin exceptionnel.

 

 

Pour commander le livre : cliquez sur le lien ici en-dessous :

http://www.tilsafe.com/libfr/2413-DET/L%C3%A9on+Degrelle+et+la+Presse+Rexiste.html 

L'Union des Républiques Socialistes Européennes.

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Hongrie. Le Jobbik qui dispose de 3 députés européens a créé le nouveau sigle de l'Union européenne. L'Union soviétique était dénommée en anglais USSR. L'Union européenne peut s'appeler dorénavant EUSSR.
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Autrefois : l'USSR :
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Aujourdhui : l'EUSSR :
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13/11/2009

Belgique : la pauvreté existe aussi chez nous.

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Le 11 novembre 2009, la Jeunesse du Vlaams Belang lance une campagne sous le slogan «La pauvreté existe aussi chez nous. » Par cette action, la Jeunesse du Vlaams Belang désire mettre en avant le fait que la pauvreté n’est pas quelque chose qui existe loin de chez nous, mais une réalité quotidienne qui grandit. Un Flamand sur 7 vit en dessous du seuil de pauvreté et de plus en plus de personnes dépendent de l'aide sociale.

12/11/2009

En route vers l'union.

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La réunion de Synthèse nationale à Paris m’a permis de rencontrer un certain nombre de dirigeants de partis patriotiques d’Europe. Ce rassemblement m’a également permis de voir que ce blog, consacré aux partis patriotiques en Europe, est apprécié et de plus en plus connu. Les contacts noués à cette occasion (Duarte Branquinho pour le Portugal / Enrique Ravello et Alberto Torresano pour l'Espagne) vont me permettre de récolter des informations sur les partis patriotiques en Espagne et au Portugal.

 

 

Europe

 

La réunion a été un franc succès. Ce rassemblement jette les ponts en vue d’une réunion des forces patriotiques en France mais également en Europe. La première étape vers une union des patriotes d’Europe est la circulation des informations à propos de ces partis. Comment des partis peuvent-ils s’unir s’ils ne se connaissent pas ?

 

Allemagne

 

Markus Wiener de pro Köln / pro NRW m’a annoncé qu’en Allemagne des tentatives de collaboration entre pro Köln / pro NRW et les Republikaner sont en cours. D’autres partis, comme la DVU, pourraient également participer aux négociations. Le NPD, parti ultranationaliste implanté dans l’Est de l’Allemagne, restera en dehors des négociations, pro Köln / pro NRW et les Republikaner ne voulant pas de rapprochement avec ce parti.

 

Portugal

 

Au Portugal, les dirigeants du PNR sont les victimes de fortes persécutions politiques.

 

Espagne

 

En 2010, des élections pourraient permettre à la Plataforma per Catalunya de percer.

 

Autriche et Italie

 

Le FPÖ (Andreas Moelzer) et la Ligue du Nord (Mario Borghezio) ont envoyé un message de soutient à la réunion. Gabriel Adinolfi m’a fourni des explications sur la Ligue du Nord et le Peuple de la Liberté.

 

Salutations aux personnes avec qui j'ai parlé lors de cette réunion. Merci aux organisateurs et aux participants.

3 ème journée "Synthèse nationale" : les invités européens.

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Roland Hélie et les invités venus d'Europe.
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Les invités venus d'Europe nous ont apporté des informations sur la situation en Italie, Allemagne, Belgique, Portugal, Espagne.
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Gabriel Adinolfi, écrivain et journaliste (Rome)
Josep Anglada, Président de Plataforma per Catalunya (Barcelone)
Duarte Branquinho, Tierra e povo (Lisbonne)
Hilde De Lobel, Vlaams belang (Anvers)
Enrique Ravello, directeur de Identidad (Madrid)
Alberto Torresano, rédacteur à Identidad (Madrid)
Markus Wiener, secrétaire général de Pro NRW (Pour la Rhénanie du Nord - Westphalie)

3 ème journée "Synthèse nationale" : grand succès de foule.

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La réunion n'a pas encore débuté
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Le public.
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La visite des stands.
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Les nombreux orateurs sont applaudis.
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Les dirigeants de partis patriotiques français.
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Les écrivains.

10/11/2009

Mercredi 11 novembre, à Paris, de 11 h 00 à 18 h 30 : LE GRAND RENDEZ-VOUS NATIONAL ET IDENTITAIRE DE L'AUTOMNE...

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RASSEMBLER ET RESISTER !

 

LA 3ème JOURNEE DE SYNTHESE NATIONALE


Mercredi 11 novembre 2009, de 11 h 00 à 18 h 30, à Paris (Forum de Grenelle - 5, rue de la Croix Nivert 75015 - métro Cambronne), se déroulera la 3ème journée nationale et identitaire organisée à l'occasion du 3ème anniversaire de la revue Synthèse nationale.

Ont déjà annoncé leur participation à cette journée :

- Franck Abed, écrivain, président de Génération FA8
- Gabriel Adinolfi, écrivain et journaliste (Rome)
- Josep Anglada, Président de Plataforma per Catalunya (Barcelone)
- Francis Bergeron, écrivain
- Olivier Bonnet, Instigateur de La Desouchière
- Duarte Branquinho, Tierra e povo (Lisbonne)
- Pierre Descaves, ancien député, Président de France résistance
- Hilde De Lobel, Vlaams belang (Anvers)
- André Gandillon, rédacteur en chef de Militant
- Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale
- Anne Kling, écrivain
- Carl Lang, Président du Parti de la France
- Jean-Gilles Malliarakis, éditeur
- Annick Martin, secrétaire générale du MNR
- Frédéric Pichon, président d'Europae gentes
- Philippe Randa, écrivain et éditeur
- Enrique Ravello, directeur de Identidad (Madrid)
- Marc Rousset, écrivain
- Jean-Claude Rolinat, écrivain et journaliste
- Robert Spieler, délégué général de la Nouvelle Droite Populaire
- Nicolas Tandler, écrivain et journaliste
- Alberto Torresano, rédacteur à Identidad (Madrid)
- Pierre Vial, président de Terre et Peuple

- Markus Wiener, secrétaire général de Pro NRW (Nord Rhin Westfallen)
- Judith Wolter, Présidente du groupe Pro Köln au conseil municipal de Cologne

Et bien d'autres...

11 h 00 : ouverture des portes, visite des stands.

11 h 30  / 12 h 30 : 1ère table ronde avec des représentants de la presse nationale et du monde associatif.

12 h 30  / 14 h 00 : restauration rapide sur place.

14 h 00 / 15 h 00 : 2ème table ronde sur la nécessaire reconquête culturelle.

15 h 15 / 16 h 15 : interventions des invités européens.

 

16 h 00 : point presse

16 h 30 / 18 h 00 : "RASSEMBLER et RESISTER" avec Annick Martin, Pierre Vial, Carl Lang, Robert Spieler et Roland Hélie.

18 h 00 / 18 h 30 : c'est la tournée de Synthèse nationale, apéritif géant offert aux participants...

Les collaborateurs de la revue, Lionel Baland, François Ferrier, Pieter Kerstens, Patrick Parment, Vincent Valois... seront présents.

De nombreux stands de librairies, revues, associations, mouvements, blogs sont prévus.

 

PAF : 10,00 euros.

 

Berlusconi : "le crucifix restera dans les écoles"

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« La pression politique sur le président de la Chambre n’a jamais été aussi forte » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « La prescription courte – car plus que la justice, c’est cela qui est en jeu – est un thème on ne peut plus politique, qui implique la collaboration du gouvernement, du président de la Chambre et du président de la République, triangle garant de l’équilibre. Actuellement, Fini est la cible d’une pression sans précédent. On lui demande d’accepter, la ‘raison politique’ selon laquelle le gouvernement – en l’occurrence Silvio Berlusconi – a droit à une sorte d’immunité, sous forme de prescription courte afin d’empêcher les magistrats de ‘renverser le résultat des élections’. La rencontre d’aujourd’hui entre Fini et Berlusconi ne devrait pas déboucher sur une nouvelle extraordinaire : en effet, Berlusconi est convaincu de sa ‘raison politique’ et de la force du vote populaire ; Fini considère qu’il doit garantir le respect des institutions. Le centre droit traverse le moment le plus difficile de son histoire. Aujourd’hui, il n’y aura sans doute ni rupture politique, ni accord clair. »-

 

« Berlusconi : ‘le crucifix restera dans les écoles, la sentence n’est pas coercitive’ » (Il Sole 24 Ore de samedi) : « Le Conseil des ministres a confié à Franco Frattini, ministre des Affaires étrangères, la charge de ‘contester une sentence inacceptable’, a révélé Silvio Berlusconi lors d’une conférence de presse : la décision sur le crucifix dans les écoles, prise par la Cour de Strasbourg, n’étant ‘pas contraignante pour les Etats membres, le crucifix restera par conséquent dans les salles de classes’. Pour une fois, presque toute l’opposition est d’accord avec le gouvernement, même A. Di Pietro, leader de l’IdV, s’attend à la suspension de l’exécution d’une sentence ‘sans queue ni tête’. »

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(Traduction : ambassade de France à Paris)

MCG : dans les rues de Genève.

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Le MCG a tourné un cllip vidéo dans les rues de Genève. La télévision locale "Leman bleu" a refusé de tourner le clip après 18h. Le MCG l'a réalisé lui-même.

Voir la vidéo : http://www.mcge.ch/videodealers.html

09/11/2009

Suisse : l'afflux d'ouvriers de l'UE en Suisse pose problème à Blocher.

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Voici un article du quotidien 20 minutes :

L'ancien conseiller fédéral UDC Christoph Blocher demande de dénoncer l'accord sur la libre circulation des personnes avec l'Union européenne (UE).


Christoph Blocher estime qu’il faut renégocier les accords de libre circulation avec l’Union européenne. (Photo: Keystone)

Dans un entretien au journal «Sonntag», le vice-président de l'UDC estime qu'il n'est plus possible, «en plein milieu de la récession, qu'un millier d'Allemands arrivent chaque mois en Suisse».

La libre circulation doit être renégociée et de nouvelles conditions formulées, estime Christoph Blocher. Les immigrés devraient absolument être soumis à une durée minimale de résidence.

Selon le Zurichois, il faut reconnaître que l'introduction de la libre circulation s'est passée moins bien que prévu. L'UDC planche d'ailleurs sur le lancement d'une initiative populaire contre la libre circulation, car le Conseil fédéral et les partis ne prennent pas suffisamment au sérieux les problèmes d'immigration et les craintes de la population.

Le Danemark multiplie par dix la prime de retour aux immigrés.

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Voici un article du journal Le Monde à propos du Danemark :

 

Le gouvernement libéral-conservateur danois veut multiplier par dix la prime au retour accordée aux immigrés, en leur offrant désormais 100 000 couronnes (13 443 euros) pour les inciter à rentrer définitivement dans leur pays, a expliqué, lundi 9 novembre, une source parlementaire.

 

Cette décision a été prise dans le cadre d'un accord conclu dimanche soir avec le Parti du peuple danois (DF, patriotes), allié parlementaire du gouvernement, lors des négociations sur la loi de finances 2010.

 

Jusqu'à présent, la prime au retour octroyée s'élevait à 11 000 couronnes (1 475 euros). Cette offre est destinée aux immigrés et réfugiés qui "ne peuvent pas ou ne veulent pas s'intégrer à la société danoise", a déclaré dimanche soir aux journalistes le président du groupe parlementaire du PPD, Kristian Tuelesen Dahl.

 

2,7 MILLIONS D'EUROS D'AIDES AUX MAIRIES

 

Selon le ministère aux réfugiés, immigrés et à l'intégration, 2 524 personnes, notamment d'ex-Yougoslavie, d'Irak, d'Iran, du Liban, de Somalie et de Turquie ont quitté le Danemark depuis 1997, date de l'introduction dans ce pays d'un régime de rapatriement. Les immigrés représentent 7,3 % de la population danoise de 5,5 millions d'individus, au 1er juillet 2009, dont 4,5 % issus de pays non occidentaux.

 

L'accord prévoit aussi une aide de 20 millions de couronnes (2,7 millions d'euros) aux mairies, responsables de l'intégration des immigrés, pour "motiver" les étrangers à revenir chez eux et à renoncer à leur titre de séjour.

Le BNP lance sa campagne pour les élections nationales de 2010.

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Comme Winston Churchill en 1940, le leader du BNP défend les îles britanniques. L'invasion doit être repoussée.

La Bavière, région préférée des Allemands.

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Un sondage réalisé en Allemagne porte sur la question de savoir où les Allemands aimeraient habiter. La réponse est : la Bavière. Hors, la Bavière est gouvernée depuis des décennies par la CSU.

9 novembre 1989 : le miracle.

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Au début de l'année 1989, Erich Honecker, le dirigeant communiste de l'Allemagne de l'Est, déclarait à un journaliste ouest-allemand : "Le mur est encore là pour 100 ans." Le 9 novembre de la même année, le mur de Berlin tombait. C'était il y a 20 ans.

Pro Köln au JT de l'ARD.

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La télévision publique ARD, une des deux grandes chaînes publiques de télévision en Allemagne, a parlé de la pose de la première pierre de la mosquée de Cologne. Le mouvement de citoyens pro Köln a été cité au cours du reportage, ce qui lui fait une publicité dans toute l'Allemagne.
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Manifestation de ce samedi à Cologne : les vidéos.

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Voici le lien vers les vidéos de la manifestation de ce samedi à Cologne contre la pose de la première pierre de la mosquée géante :http://www.pi-news.net/2009/11/unsere-vertreter-sind-unse...

08/11/2009

Cologne : pose de la première pierre de la mosquée.

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La pose de la première pierre de la grande mosquée de Cologne a eu lieu ce samedi. La manifestaion de pro Köln contre la construction de la mosquée a permis au mouvement de citoyens de se médiatiser. Le journal télévisé de la chaine publique ARD a présenté l'événement et a parlé de la manifestation de pro Köln.
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Pose de la première pierre.
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Emplacement de la future mosquée.
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Manifestation de pro Köln contre l'édification de la mosquée géante.

07/11/2009

Action judiciaire de pro Köln contre le ministère de l'intérieur de NRW.

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« Les vieux partis doivent apprendre, qu’ils ne sont pas l’État, mais des participants à une compétition démocratique. C’est pourquoi les nouveaux concurrents comme pro Köln et pro NRW ne sont pas des ennemis de l’État mais des concurrents, avec lesquels on doit débattre de manière libre et démocratique. »

Propos de Markus Beisicht, avocat et président de pro Köln.

Ce mardi 10 novembre a lieu, à 10h, le neuvième round dans le combat judiciaire que mène pro Köln contre le ministère de l’intérieur de Rhénanie du Nord-Westphalie afin de contraindre ce ministère a respecter les règles de la démocratie.

06/11/2009

Scandale à Gelsenkirchen.

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Ce vendredi 6 novembre 2009 à 17h19, les représentant des partis du système ont chahuté le discours d’ouverture de Heinz Friedrich (74 ans) membre de pro NRW au conseil de quartier « Est ».

Exposition Joerg Haider.

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L’exposition « Joerg Haider », organisée au Musée de la Montagne à Klagenfurt, a vu défiler, jusqu’à présent, près de 5.000 visiteurs. Elle continue jusqu'en janvier 2010.

05/11/2009

Genève : Blocher veut une alliance UDC-MCG.

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Suite à la percée du MCG à Genève, Christoph Blocher veut une alliance entre l'UDC et le MCG. Si l'UDC est un parti patriotique de droite qui représente la droite nationale, le MCG est un parti patriotique qui se situe au centre.
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Voici un article de la Tribune de Genève :
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«L’UDC doit pactiser avec le MCG»

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POLITIQUE | Christoph Blocher fustige l’attitude de la section genevoise qui s’est laissé dépasser sur sa droite.

© Keystone | Christoph Blocher

Christian Bernet | 03.11.2009 | 18:21

«L’UDC genevoise doit trouver une solution avec le MCG. Il n’est pas possible qu’un autre parti soit plus à droite que nous.» Sur les ondes de la Radio romande, Christoph Blocher vient de donner une leçon de politique à sa section genevoise. Elle doit tenter de passer une alliance avec le parti d’Eric Stauffer. «Nous avons connu le même problème en Suisse alémanique. Mais nous avons réussi à intégrer ces mouvements à l’UDC et à les faire disparaître.»

Pour le tribun zurichois, la même stratégie doit être appliquée à Genève. C’est «un devoir» pour le parti, déclare-t-il. Il n’est pas question que l’UDC perde le monopole sur des thèmes comme les étrangers. «Il faut discuter et non pas discréditer ceux qui ont gagné les dernières élections.»

L’UDC genevoise ne va pas suivre le conseil de Blocher. «Une alliance n’est pas concevable avec le MCG», répond Soli Pardo, président de la section cantonale. «Non pas parce que le MCG est trop à droite, mais parce qu’il est trop à gauche. Et certains de leurs membres sont des indépendantistes, ce qui est contraire à la politique de l’UDC.»

Soli Pardo reconnaît toutefois que son parti a perdu des plumes aux dernières élections. «Mais le MCG a pris des voix autant dans les autres partis que chez nous.»

Est de l’Allemagne : des rues portent encore des noms communistes.

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Vingt ans après les manifestations qui ont conduit à la chute du mur de Berlin et du rideau de fer, les Republikaner demandent que les noms de rues ayant un rapport avec le communisme disparaissent de l’Est de l’Allemagne.

                                                           

550 rues Karl Marx ainsi que les nombreuses rues dénommés Ernst Thälmann, Wilhelm Pieck, Karl Liebknecht et Rosa Luxemburg doivent, selon la direction des Républikaner, changer de nom.

En s’affichant en "nouveaux croisés du catholicisme", les léghistes font du crucifix l’antidote à l’"Eurabie".

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« Quasi unanimité contre la décision de CEDH mais avec des objectifs différents » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « La décision de la CEDH a fait un petit miracle : une quasi unité nationale dans la défense du symbole du christianisme. Les réactions plus ou moins identiques au centre-droit et au centre-gauche témoignent d’une approche inspirée par une sensibilité enracinée au-delà des appartenances politiques voire religieuses. Mais chacun en fait un usage différent, et non dénué d’intentions tactiques. Le PD en profite pour accuser le gouvernement d’avoir mal défendu la présence du crucifix dans les écoles à Strasbourg. Frattini réplique, mais c’est la Ligue qui lance l’attaque la plus virulente : pour le parti de Bossi, attaquer la Cour est un moyen de confirmer le ‘virage chrétien’ de la Ligue après des années de relations aigres-douces avec le Vatican. En s’affichant en ‘nouveaux croisés du catholicisme’, les léghistes font du crucifix l’antidote à l’‘Eurabie’. La crainte, y compris au Vatican, est de voir se radicaliser le conflit dans une Italie où la cohabitation entre religions s’accompagne de manifestations croissantes de xénophobie. L’effet pervers du ‘non’ de la Cour pourrait être d’alimenter les courants les plus intégristes et de provoquer un repli sur eux-mêmes chez ceux qui, à tort ou à raison, se sentent menacés dans leur identité. »

« Berlusconi : ‘personne ne peut me faire chanter’ » (Ugo Magri, La Stampa) : « Pour le gouvernement, c’est l’heure des décisions : ce soir, Berlusconi, Bossi et Fini se verront et devront parler des candidatures régionales (Vénétie et Piémont surtout), en prenant encore un peu de temps car Berlusconi, à qui un accord avec l’UDC ne déplairait pas, rencontre Casini vendredi. Et puis il y a aussi à dissiper l’équivoque du jour, Fini ayant dit à Bruno Vespa que ‘parfois Berlusconi confond leadership et monarchie absolue’, ce qui a irrité le Cavaliere. Au menu de la rencontre de ce soir, il y a aussi le thème des réformes, avec les choix stratégiques à faire : sur quoi dialoguer avec l’opposition, comment répartir les travaux de la Chambre et du Sénat, et surtout par où commencer ? Bossi tient au fédéralisme, Fini au régime présidentiel et Berlusconi à la justice – et aux comptes qu’il a à régler avec les magistrats. Bien évidemment, le président du Conseil attend le soutien de ses alliés sur ce qui lui tient à cœur… A propos de justice, Bersani ne ferme pas la porte à un dialogue gauche-droite – mais attend de voir quel soutien recevront les ambitions européennes de D’Alema. Dans le livre de Bruno Vespa, Berlusconi souligne enfin certaines distinguos entre les affaires qui l’ont touché et celle du président démissionnaire du Latium : ‘personne ne dispose de moyens de chantage envers moi, réponse qui vaut pour aujourd’hui comme pour le passé’. »

(Traductions : ambassade de France à Rome)