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18/08/2009

Heinz-Christian Strache est célibataire.

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Le chef de file du FPÖ, Heinz-Christian Strache (40 ans) n’est plus avec sa copine Anna (24 ans). Ils étaient ensemble depuis 3 ans. Ils se sont rencontrés en 2006 à la discothèque « Passage » à Vienne. Á l’époque, Heinz-Christian était séparé depuis quelques mois de Daniela, avec laquelle il a eu deux enfants.
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Heinz-Christian Strache est en vacances à Ibiza avec ses deux enfants et les Députés du FPÖ Johannes Hübner et Harald Stefan.

 

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Heinz-Christian et Anna, avant leur séparation.

Pour les prochaines élections au Vorarlberg, le BZÖ utilise des affiches concernant la Carinthie.

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Le BZÖ de Carinthie a prêté des panneaux d’affichage au BZÖ du Vorarlberg, en vue des élections pour le Parlement du Land qui ont lieu le 20 septembre 2009.

Les panneaux ont été déposés aux endroits stratégiques. Surprise : les affiches sont celles utilisées pour les élections de Carinthie. Le slogan est « Nous prenons garde à ta Carinthie. Garanti. ». Le slogan fait référence à Joerg Haider.

Ce n’est pas une erreur du BZÖ. Il y a au Vorarlberg 20.000 personnes qui sont originaires de Carinthie. De plus, dans deux ou trois jours, le BZÖ du Vorarlberg va faire appliquer une nouvelle affiche sur les panneaux. Cette nouvelle affiche concerne les élections au Vorarlberg.

Le BZÖ représenté au Parlement national, n’a pas de député européen. Il en aura un si le traité de Lisbonne entre en vigueur. Le BZÖ dispose d'élus au Parlement de Carinthie, mais n’est pas représenté dans les autres parlements de Land. Il veut y faire son entrée et ses moyens financiers sont limités.

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"Nous faisons attention à ta Carinthie / Nous prenons soin de ta Carinthie."

17/08/2009

Le FPÖ du Vorarlberg veut briser la majorité absolue des conservateurs.

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Le FPÖ du Vorarlberg veut briser la majorité absolue des conservateurs lors des prochaines élections pour le Parlement du Land.

 

Lors des élections pour le Parlement du Vorarlberg, le 20 septembre 2009, le FPÖ veut briser la majorité absolue des conservateurs de l’ÖVP et devenir le deuxième parti politique du Land de Vorarlberg. Le FPÖ a été le deuxième parti du Vorarlberg entre 1994 et 2004. Le thème principal est patrie, famille et sécurité.

 

L’instrument le plus important de la campagne électorale du FPÖ est l’organisation de soirées « sofa ». Au cours de ces réunions, les dirigeants locaux du parti peuvent rencontrer  des citoyens lors de réunions privées et exposer le programme du parti. Lors d’une réunion, 10 à 15 personnes sont présentes.

 

Dieter Egger déclare que le FPÖ n’a pas de problèmes avec les étrangers qui s’intègrent. Les étrangers doivent respecter les règles. Il veut éviter une coalition réunissant les conservateurs et les verts.

Claudia Haider ne veut pas être candidate à la Présidence d’Autriche.

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Claudia Haider, la veuve de Joerg Haider, ne veut pas être candidate à la Présidence d’Autriche. Le président du BZÖ, le parti de Joerg Haider, Josef Bucher, avait proposé la candidature de Claudia à ce poste.

 

Claudia Haider ne veut pas, pour le moment, faire de la politique. Elle est occupée dans le domaine caritatif, gère la propriété forestière familiale de la Vallée des Ours et s’occupe de la tombe de son mari.

Cologne : vidéos et photos de la manifestation du 14 août 2009.

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Pour voir les vidéos et les photos de la manifestation du 14 août 2009 devant la cathédrale de Cologne, cliquez sur le lien : http://www.pro-koeln-online.de/artikel09/150809_videos.htm

Les contre-manifestants ont lancé des oeufs et ensuite bloqué un quai à la gare centrale de Cologne.

14/08/2009

Cologne : la revanche de pro Köln.

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Ce vendredi à 18h, le mouvement de citoyens pro Köln (Pour Cologne) a tenu un meeting en plein coeur du centre historique de Cologne. Devant la cathédrale, un des principaux monuments de la Chrétienté, le candidat de pro Köln à la fonction de maire de Cologne, Markus Beisicht, a pu haranguer les sympathisants du mouvement.
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Le représentant du FPÖ (Autriche), le Député et Général de brigade Wolfgang Jung, invité par pro Köln, a tenu un discours devant 200 partisans du mouvement de citoyens pro Köln (Pour Cologne) et 150 contre-manifestants, ainsi que de nombreux passants. La police était présente en nombre.
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Ce lieu de rassemblement, situé près de la gare, avait été interdit lors de la manifestation du 9 mai 2009 contre la mosquée géante. Cette fois, les autorités de la ville ont autorisé la réunion à cet endroit.
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13/08/2009

Italie : la ville de Rome approuve les rondes mais les interdit la nuit.

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- « La ville de Rome approuve les rondes mais les interdit la nuit » (Maria Elena Vincenzi, La Repubblica) : « Le maire de Rome, Gianni Alemanno, approuve les rondes, puisque la loi les impose, mais à sa manière : les patrouilles auront lieu uniquement dans la journée. Les ‘volontaires pour la sécurité de Rome’ devront être liés à des comités de quartiers. Le général Mario Mori, chef du bureau pour la Sécurité de la mairie, estime que ‘le terme ronde a une signification bien précise et celles que nous organiserons n’auront rien à voir avec ça’. Elles devraient entrer en vigueur en octobre. »

(Traduction : Ambassade de France à Rome.)

Cologne : l'heure de la revanche a sonné.

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Ce vendredi 14 août 2009, une manifestation de pro Köln (Pour Cologne) doit avoir lieu devant la cathédrale de Cologne. Les préparatifs sont terminés.
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Italie : les patriotes jouent le rôle de la majorité et de l'opposition.

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« Les deux rôles du centre droit : le gouvernement, mais aussi l’opposition » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « La discussion sur le Sud ou sur les ‘grilles salariales’ a mis en lumière un point crucial, une anomalie en train de se créer : la dialectique qui se joue, en général, entre majorité et opposition, se déroule presque intégralement au sein de la coalition gouvernementale. Le parti du Sud, qui n’existe que comme groupe de pression, et le parti du Nord, la Ligue et certaines sphères PdL se disputent, s’affrontent, font la paix, le tout dans le périmètre de la majorité. Le parti démocrate, principal parti d’opposition, est de fait exclu du débat, replié qu’il est sur ses dissensions internes en vue du Congrès d’octobre. Quoi qu’il en soit, le centre droit se suffit à lui-même, jouant les deux rôles de la comédie : le gouvernement et l’opposition. Bossi soutient Berlusconi tout en veillant à marquer en permanence son identité particulière – il pense aux élections régionales de l’an prochain et au bras de fer prévisible sur les candidatures. Quant aux sudistes, Lombardo et Micciché, ils ont appris les méthodes léghistes quoique sans disposer ni de la force ni de l’enracinement territorial de Bossi ; mais eux aussi, de temps à autre, s’opposent au gouvernement, pour ensuite signer l’armistice. Le conflit Nord-Sud est donc interne à la coalition de gouvernement. Bersani (Parti Démocrate = gauche) n’a nul motif de se réjouir des ‘premières failles’ qu’il entrevoit au sein de la majorité : le centre gauche ne dispose pour l’instant d’aucun levier auquel s’accrocher pour revenir dans le jeu. Certes, le conflit Nord-Sud peut être à la longue destructeur, mais seulement si Berlusconi ne parvient pas à le gérer avec la capacité de synthèse appropriée. »

Entretien avec Silvio Berlusconi, président du Conseil, dans Il Giornale – « Les grilles salariales ? Une polémique absurde » : « En vacances dans sa résidence sarde de Villa Certosa, Silvio Berlusconi dément être irrité : ‘allons donc… quand je dis que je ne me mets presque jamais en colère, je suis sincère’. ‘La vie privée n’existe plus, pour personne ; en ce qui me concerne, j’ai tant fait et je continue à travailler dans l’intérêt du pays ; sincèrement, je mérite d’être laissé un peu en paix ; qu’on cesse de violer la vie privée’. ‘Le 15 août, je serai à Rome pour parler de sécurité avec les ministres Maroni et Alfano ; l’après-midi, j’irai à L’Aquila, pour vérifier l’état d’avancement des travaux, qui se poursuivent à toute allure’. ‘Mon régime m’a déjà fait perdre cinq kilos’. Quant aux ‘grilles salariales’, ‘c’est l’histoire habituelle : on monte une polémique absurde sur rien du tout et je sais que maintenant, ils vont dire que j’ai fait marche arrière, que je suis contredit, ou Dieu sait quoi ; la vérité est différente : à propos de la question du lien entre rémunérations et territoires, je n’ai jamais parlé de grilles salariales, mais seulement de ce qui existe déjà – des négociations conventionnelles décentralisées, déjà approuvées par tous les syndicats, hormis la CGIL’. »

(Traduction : Ambassade de France à Rome).

Histoire belge.

426.000 euros pour le fonctionnement de l'Exécutif des Musulmans de Belgique.
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12/08/2009

Royaume-Uni : BNP : 10ème fête "Rouge, blanc, bleu".

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Le BNP organise la dixième édition de sa fête "Rouge, blanc, bleu", du 14 au 16 août 2009.

11/08/2009

Suisse : droit pénal des mineurs: c'est la volonté politique qui fait défaut.

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Voici un communiqué de Martin Baltisser, secrétaire général UDC Suisse (premer parti de Suisse, 29% des voix.)

 

Une fois de plus des cris d'indignation résonnent dans tout le pays: des mois durant une bande de jeunes a commis des délits à Winterthour; ces individus ont volé, exercé des contraintes, tabassé. Leur attitude criminelle ne leur vaudra même pas des peines sévères, car notre droit pénal s'y oppose. L'affaire de Winterthur entre dans une longue série de délits graves du même genre. Les délinquants sont de plus en plus souvent des jeunes, fréquemment issus des milieux de l'immigration. Au lieu de se lamenter devant ce développement, il vaudrait mieux agir. Les propositions politiques pour durcir le droit pénal sont depuis longtemps sur la table. Le problème, c'est que la volonté politique de les réaliser rapidement et rigoureusement fait défaut.

 

 

La statistique est claire: le nombre de délits graves commis par des mineurs a triplé depuis le milieu des années nonante. Cette progression concerne surtout les actes violents. Plus de 50% des malfaiteurs sont issus des milieux de l'immigration. Faudra-t-il attendre que des crimes encore plus graves soient commis pour que la politique se décide enfin à agir?

 

La politique fait obstacle

 

Nonobstant cette détérioration de la situation, le Conseil fédéral ne voit aucune raison d'agir. Il a fallu que l'UDC le contraigne par le biais d'une session parlementaire spéciale en juin 2009 pour qu'il consente enfin à aborder cette question. Ce débat a aussi révélé le manque d'intérêt des partis du centre-gauche à trouver une solution durable au niveau du droit pénal. La pression politique de l'UDC a certes eu un succès partiel. Par exemple, les propositions UDC visant à durcir les peines sanctionnant les lésions corporelles et les viols, à supprimer le travail d'intérêt général avec sursis ou encore à réintroduire les peines privatives de liberté de moins de six mois ont été acceptées contre l'opposition des socialistes et des Verts. Dans des questions centrales, cependant, comme l'abaissement de la limite d'âge dans le droit pénal des mineurs, l'UDC s'est retrouvée seule face à une majorité parlementaire composée de représentants de tous les autres partis. En avril 2009, cette même majorité a enterré une motion du conseiller national UDC Peter Föhn qui voulait contraindre les autorités à informer les enseignants et maîtres d'apprentissage sur les délits commis par les écoliers et apprentis ainsi que sur les poursuites pénales engagées contre ces jeunes. Cela s'est passé deux mois avant l'affaire de Munich où des jeunes voyous en course d'école ont presque tabassé à mort un passant.

 

 

Exigences partagées par les experts

 

Devant la multiplication de ces délits, même des spécialistes du droit pénal, qui se montraient plutôt réservés jusqu'ici, demandent un durcissement de la loi. Le professeur de droit pénal Martin Killias a été cité hier comme suit dans un article sur le droit pénal des mineurs: "A mon avis, il faut s'interroger sur les limites d'âge et les sanctions."

 

Combien de temps voulons-nous encore attendre? L'UDC a présenté en 2007 déjà des mesures efficaces:

 

appliquer le droit pénal des adultes aux personnes dès l'âge de 16 ans révolus;

renoncer aux procédures de médiation; 

supprimer le blâme simple dans le catalogue des sanctions;

abaisser à 14 ans le seuil pour les peines privatives de liberté de 4 ans au maximum;

introduire des mesures pénales d'expulsion pour les étrangers criminels.

Il est grand temps d'agir, notamment au niveau politique. Celles et ceux qui continuent de s'opposer à des mesures sévères dans le droit pénal des mineurs portent une part des responsabilités des prochains actes criminels.

 

P.S.:

 

Les politologues confirment dans des études récentes ce que les simples citoyens ont compris depuis longtemps: le Parti socialiste suisse se situe à la gauche des partis socio-démocrates européens. Sa politique est largement identique à celle de la "gauche" (die Linke), donc en fait l'extrême-gauche, que l'on connaît en Allemagne. Contrairement à d'autres partis socio-démocrates européens, les socialistes suisses ne s'intéressent pas aux thèmes du droit et de l'ordre. C'est ce qui explique aussi la perte de sympathies du PSS chez les travailleurs et les personnes à bas revenus. 

10/08/2009

Bossi - Berlusconi - Fini.

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- « Le président du Conseil : salaires liés au coût de la vie » (Gabriele Dossena, Corriere della Sera) : « Les ‘grilles salariales’ demeurent au centre du débat politique de l’été : après la Ligue du nord samedi, c’est Silvio Berlusconi qui a évoqué le sujet en toute clarté. Au cours d’un entretien accordé à Il Mattino, il a déclaré que ‘lier les salaires aux différences de coût de la vie entre le Nord et le Sud répond à des critères de rationalité économique et de justice’. Umberto Bossi a accueilli favorablement l’ouverture du président du Conseil : ‘la Ligue met en avant ses idées, Berlusconi son pragmatisme mais il tient toujours ses promesses’. Pour l’opposition, Berlusconi est ‘otage’ de la Ligue du nord. »

 

- « Rappel de Napolitano : ‘les immigrés doivent être intégrés’ » (Maria Grazia Bruzzone, La Stampa de dimanche) : « Alors que les mesures du ‘paquet sécurité’ entrent en vigueur, le Président de la République et Gianfranco Fini commémorent l’anniversaire de la tragédie de Marcinelle (en Belgique) – lors de laquelle, il y a 53 ans, moururent 262 mineurs dont 136 émigrés italiens. L’occasion d’exprimer leurs convictions à propos d’intégration et de sécurité au travail, ‘exigences sociales et droits fondamentaux’ pour le chef de l’Etat, alors que selon Fini ‘les immigrés ne sont pas des invités provisoires’. La polémique éclate inévitablement, Bossi répliquant ainsi à Fini : ‘nous, nous allions travailler et non pas tuer les gens ; l’entrée en vigueur du projet de loi sur la sécurité représente une victoire pour le gouvernement’. »

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(Traductions : Ambassade de France à Rome.)

20 septembre 2009 : élections au Vorarlberg (Autriche).

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Le 20 septembre 2009, auront lieu les élections pour le Parlement du Vorarlberg. Le BZÖ veut se présenter. Le BZÖ doit, pour réussir son entrée au Parlement du Land, passer la barre des 5%.

 

Lorsque la scission  a eu lieu entre le FPÖ et le BZÖ, en 2005, la section du FPÖ du Vorarlberg est restée indépendante du BZÖ et du FPÖ au niveau national et a ensuite rejoint le FPÖ. Le FPÖ figure parmi les quatre partis siégeant au Parlement du Vorarlberg. Le BZÖ n’en fait pas partie et n'existait pas lors des précédentes élections en 2004.

 

Les sujets du BZÖ : famille, sécurité et politique sociale. Le BZÖ s’engage en faveur du salaire maternel et veut poursuivre la politique de proximité avec le citoyen que Joerg Haider a entamée. Le BZÖ se veut un parti d’opposition orienté vers la recherche de solutions.

 

L’ancien Vice-chancelier d’Autriche Hubert Gorbach n’est pas présent sur les listes du BZÖ. Il s’est retiré de la politique et ne veut pas y revenir.

Autriche : la lutte entre le FPÖ et le BZÖ se poursuit.

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Les deux partis nationalistes autrichiens poursuivent leur lutte. Á Klagenfurt, capitale de la Carinthie, avait lieu le 3 août 2009 le Beachvolleyball Grand Slam. Le Gouverneur BZÖ de Carinthie Gerhard Dörfler, successeur de Joerg Haider, était présent, ainsi que Heinz-Christian Strache, le chef de file du FPÖ au niveau national.

Nos deux hommes discutent ensemble avec une troisième personne. Un journaliste vient s’interposer avec micro et caméra. Devant la caméra, les deux dirigeants s’affrontent politiquement. Le débat en vient aux prochaines élections pour le Parlement de Vienne. Le gouverneur de Carinthie déclare qu’il vaut mieux voter pour le maire social-démocrate de Vienne que pour le chef du FPÖ : "Mieux vaut un bon social-démocrate qu’un mauvais Strache, je le dis avec passion à tous les Viennois et à toutes les Viennoises."

Le BZÖ de Vienne a été fortement irrité par la réaction du gouverneur BZÖ de Carinthie et a déclaré que cela résultait d’une méconnaissance totale de la situation politique à Vienne.

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Heinz-Christian Strache et Gerhard Dörfler.

07/08/2009

Elections dans le Land de Haute-Autriche, le 27 septembre 2009.

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Le 27 septembre 2009 ont lieu les élections pour le Parlement du Land de Haute-Autriche.

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Les écologistes ont exclu toute coalition avec les nationalistes du FPÖ et du BZÖ à l’issue du scrutin. Par contre, les sociaux-démocrates (SPÖ) et les conservateurs (ÖVP) ont laissé la porte ouverte à une alliance avec les nationalistes.

 

Sondage Sora :

 

ÖVP  (conservateurs)                        44%  (résultats élections 2003 : 43,4%)

SPÖ   (sociaux-démocrates)              30%                                   (2003 : 38,3%)

FPÖ (nationaliste – H-C Strache)     12%                                    (2003 : 8,4%)

Grünen (verts –écologistes)             10%                                    (2003 : 9,1%)

 

Marge d’erreur : 1,3%.

 

La liste du BZÖ est emmenée par Ursula Haubner, la sœur de Joerg Haider. Elle décrit le BZÖ comme un parti qui n’est ni de gauche, ni de droite, qui a une conception sociale et un sentiment patriotique. Selon le sondage, le BZÖ n’aurait pas d’élu.

 

Si le scrutin confirme le sondage, lors des élections du 27 septembre en Haute-Autriche, les sociaux-démocrates vont chuter lourdement et les nationalistes du FPÖ monter fortement. Une tendance qui se généralise, depuis un certain temps, au sein de plusieurs pays d’Europe.

06/08/2009

Exposition sur Joerg Haider.

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Voici la photo de présentation de l'exposition sur Joerg Haider qui est en préparation à Klagenfurt.

Rejoignez la résistance britannique.

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"Rejoignez la résistance britannique."

Italie : baisse de la criminalité : -40% à la gare de Milan.

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« Barbara Berlusconi : ‘pour un homme politique, sphère publique et sphère privée ne sont pas vraiment distinctes’ » (Tiziana Migliati, Il Sole 24 Ore) : « Barbara Berlusconi, aînée des trois enfants du mariage de Silvio Berlusconi et Veronica Lario, a accordé une longue interview à l’hebdomadaire Vanity Fair, en kiosque aujourd’hui. Elle y commente le divorce de ses parents et les scandales auxquels le président du Conseil se trouve confronté : ‘Je ne crois pas qu’un homme politique puisse se permettre la distinction entre vie publique et vie privée. Je pense qu’une société exprime une morale commune. Les hommes politiques qui sont appelés à bien gouverner, sont aussi tenus à sauvegarder ces valeurs, et si possible à les rehausser’. B. Berlusconi a également donné son avis sur la fréquentation de mineures par son père : ‘J’ai eu une enfance sereine et normale, je n’ai jamais fréquenté d’hommes âgés. Je n’ai aucune expérience de ce type de rapports psychologiques’. Plus tard dans la soirée, elle a exprimé le souhait qu’on n’instrumentalise pas ses réponses : ‘J’ai de l’affection et de l’estime envers mon père, aussi bien en tant qu’homme qu’en tant qu’homme politique’. »

« Dans le Sud, la vie est moins chère de 16% – Calderoli, de la Ligue : ‘il faut ajuster les salaires selon la région’ » (Roberto Giovannini, La Stampa) : « Les économistes de la Banque d’Italie confirment ce que tout le monde pressentait : le coût de la vie dans le Mezzogiorno est environ 16 à 17% moins élevé que dans le reste du pays. Des prix plus bas essentiellement liés à des loyers moindres, d’où un pouvoir d’achat supérieur à salaire égal. Réaction du ministre ‘léghiste’ Calderoli : ‘à la lumière de la volonté exprimée par le gouvernement d’aborder une fois pour toutes la question méridionale, (…) il faudra à l’évidence prêter attention à nos propositions tendant à paramétrer les salaires en fonction du coût de la vie réel dans les différentes régions du pays’. Calderoli a ainsi remis sur la table la problématique question des ‘grilles salariales’, provoquant le tollé habituel. L’épicentre en est le centre-droit, pour lequel la question Nord/Sud est devenue un sujet assez polémique : ‘c’est au zoo que les grilles ont leur place ; s’il faut réduire, réduisons tout, même les impôts’ a déclaré G. Miccichè, sous-secrétaire – sicilien – à la présidence du Conseil. »

Entretien avec Raffaele Bonanni, secrétaire de la CISL, dans Il Messaggero - « ‘Mais dans le Sud les rémunérations sont d’ores et déjà plus basses’ » : « Les grilles salariales n’ont aucun sens. J’ai l’impression que ceux qui en parlent le font par parti pris sans connaître la réalité des choses. C’est plus une posture qu’une position de fond. Aujourd’hui, les salaires moyens du Sud sont déjà plus bas que ceux du Nord. Depuis des années, des accords ont été signés avec les entreprises en tenant compte des conditions territoriales. Nous avons des instruments plus adaptés que les grilles salariales, comme les contrats de second niveau qui répondent très bien tant aux conditions de productivité de chaque entreprise qu’aux exigences territoriales. Nous venons tout juste de réformer le modèle conventionnel. J’ai la certitude que le Sud a besoin d’un remède de cheval tant la situation économique dans cette région est dégradée. Il y faiudra à la fois de l’unité et de la transparence, en privilégiant deux secteurs-clés : les infrastructures et l’énergie. »

« Les rondes ‘façon Vérone’ (Dino Martirano, Corriere della Sera) : « C’est le ‘modèle de Vérone’ qui est à l’origine du projet de la Ligue d’étendre les ‘rondes’ à toute l’Italie. Le 8 août, le ministre Roberto Maroni approuvera le règlement pour des rondes copiant le projet déjà expérimenté dans la ville de Roméo et Juliette où près de 200 volontaires civils sont impliqués, sous la coordination d’un haut fonctionnaire de police. »

Entretien avec Ignazio La Russa ; Ministre de la Défense, dans Il Giornale – « D’autres militaires en ville et patrouille de citoyens : c’est ainsi que baisseront les délits » : « La baisse de 8% du nombre de délits est une bonne moyenne ; pour la gare centrale de Milan, la baisse est même de 40%. Nous allons chercher à améliorer les chiffres d’ici l’an prochain. Nous ne devons baisser la garde ni contre les délits quotidiens ni contre le crime organisé. Nous allons envoyer 300 hommes en Campanie contre la Camorra. Les seuls qui aient à avoir peur des militaires sont les délinquants. Les rondes sont une initiative du gouvernement et non de la Ligue. Elles seront placées sous l’autorité des préfets, non des maires, afin d’éviter toute politisation. Composées de volontaires non armés, elles ne pourront intervenir directement, mais seulement appeler les forces de l’ordre. Il n’y a aucune obligation d’en organiser. »

(Traductions : ambassade de France à Rome).

05/08/2009

Délits en baisse en Italie.

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« Régularisations : la Ligue rejette la ‘proposition Scajola’ » (Gianna Fregonara, Corriere della Sera) : « ‘Je ne crois pas que nous ayons besoin de régulariser d’autres immigrés’, déclare Roberto Calderoli, ministre de la Simplification et porte-parole de la Ligue, en réponse à la proposition du ministre Scajola d’étendre la régularisation des sans-papiers au-delà du personnel de maison. ‘C’est un coup de chaleur du 15 août’ selon Armando Valli, sénateur de la Ligue. Face à la proposition de Scajola, le ‘non’ domine clairement : Maurizio Gasparri, chef de file du Pdl au Sénat, émet un doute sur le fait que le gouvernement puisse présenter une proposition de régularisation : ‘les futures régularisations de sans-papiers ne seront pas approuvées. L’hypothèse de Scajola n’a pas d’avenir, elle n’est que bavardage estival’. Gianfranco Urso, proche de Fini, accuse la Ligue d’avoir une vision ‘idéologique’ et soutient la proposition de Scajola, ‘vision concrète en toute connaissance de cause’. Selon le député PdL Della Vedova, ‘un peu de pragmatisme’ est indispensable pour éviter que les travailleurs sans-papiers ne deviennent des délinquants. »

Entretien avec Roberto Maroni, ministre de l’Intérieur dans Il Sole 24 Ore - « La priorité est la lutte contre les mafias » : « Délits en baisse : en 2008, le Viminal a enregistré une diminution de 8%, ce qui fait la satisfaction du ministre Maroni qui annonce ‘vouloir consacrer 80% de son temps à lutter contre la mafia’. Selon lui, les bons résultats sont le résultat de ‘trois choix stratégiques : ‘le premier et plus important est la lutte contre la clandestinité ; le second est l’action sur les camps de nomades ; le troisième est le modèle de forces de l’ordre mis en place à Caserte pour combattre la Camorra’. »

« Berlusconi-Tremonti : sommet sur le plan Sud. En septembre la Banque » (Enrico Marro, Corriere della Sera) : « Le sommet d’hier à Arcore entre le président du Conseil et Giulio Tremonti, ministre de l’économie, a servi à trouver le bon cadrage entre d’une part le soi-disant ‘parti du Sud’ qui réclame plus de dépenses publiques pour le Mezzogiorno et d’autre part la Ligue du Nord qui craint de nouveaux gaspillages. Tremonti travaille a éviter toute friction avec la Ligue. Ainsi est-il prêt à renoncer au nom de ‘Caisse pour le Sud’, l’important étant d’avoir un nouvel instrument d’intervention. Maurizio Gasparri, président du groupe PdL au Sénat, a proposé le mot ‘agence’. Avant tout, pour rassurer la Ligue, l’idée de Tremonti, partagée par Berlusconi, est d’éviter une pluie d’interventions et de concentrer les ressources de la nouvelle entité sur les grands projets d’infrastructures. ‘La question méridionale est une question nationale et nous devons l’affronter comme telle’, se plaît à répéter Tremonti. Plus concrètement, il projette de débloquer le projet qui lui est cher d’une Banque pour le Sud, avec son siège dans une ‘région du Mezzorgiorno’ et un capital ‘en majorité privé mais ouvert à un large actionnariat populaire’. »

(Traductions : ambassade de France à Rome.)

04/08/2009

Berlusconi, entre le Sud et Bossi.

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« Berlusconi faut cesser la dissidence : ‘un parti du Sud est inacceptable’ » (Paola Di Caro, Corriere della Sera) : « Hier Berlusconi a clos une fois pour toutes la polémique sur un parti du Sud et surtout le dossier sicilien, coûteux pour le gouvernement en termes d’image et d’équilibre politique. Après une entrevue avec la ministre Prestigiacomo, un déjeuner avec les siciliens ‘loyalistes’ et avant un dîner de clarification avec Miccichè, Berlusconi a mis fin aux rêves ou aux velléités de ceux qui imaginaient un parti du Sud fédérateur, proche, différent du PdL actuel : ‘je ne crois pas que ce soit une hypothèse qui puisse avoir un avenir ; j’ai rencontré quelques députés (Miccichè et les siens) qui avaient suggéré cette idée au sein du PdL ou même l’émergence d’une nouvelle formation politique, eh bien je peux dire que c’est exactement le contraire de ce pour quoi j’ai travaillé avec le PdL’ ; voilà pourquoi ‘je ne peux regarder avec sympathie ou même accepter qu’au lieu de renforcer la cohésion du PdL nous allions droit à la division’. Et si le message n’est pas assez clair, Berlusconi explique les conséquences de cet éventuel coup de tête par une citation latine : ‘extra ecclesiam nulla salus’ ; hors de l’Eglise, point de salut, et moins encore en dehors du PdL. »

Entretien avec Claudio Scajola, Ministre du développement économique, dans La Stampa – « Voici le plan pour la Sicile : 500 millions pour les aqueducs, puis les routes, les écoles et les ponts » : « Sous l’impulsion de Berlusconi, nous avons accéléré les projets en faveur du Sud. Depuis quelques mois, nous nous sommes engagés à revoir les projets régionaux présentés avant la crise économique avec de nouvelles exigences, pour nous concentrer sur des projets d’un niveau de compétitivité plus élevé et rapidement exploitables. Le premier acte se jouera en Sicile, avant une extension des Pouilles au Latium, de la Lombardie au Molise. En plus de la révision et du déblocage des projets régionaux, un dialogue sera engagé avec les régions. Le plan pour le Sud aura pour objectif d’associer les fonds régionaux et nationaux au développement d’infrastructures, de réseaux énergétiques, du tourisme, de soutien aux entreprises, de l’emploi et d’une meilleure image pour le Sud. Sans oublier la fiscalité et la sécurité. »

« Un choix obligatoire pour éviter le risque de scission » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « Difficile de ne pas percevoir la fébrilité avec laquelle le gouvernement tente de neutraliser les poussées centriguges au sein du PdL sicilien. Les 4 Md€ accordés à la Sicile et une sorte d’excommunication contre le ‘parti du Sud’ ne suffisent pas à dissiper une impression de fragilité. Ces derniers mois, le Palais Chigi semble avoir, par désintérêt ou par négligence, minimisé les protestations qui montaient en Sicile. Le déblocage des fonds décidé hier par Berlusconi devrait toutefois mettre fin à la tentation de diviser le PdL au nom de la ‘sicilianité’. Mais les tensions n’ont pas cessé pour autant, au point qu’hier Berlusconi a été obligé de répéter qu’il n’y a ‘place pour aucun parti du Sud allant contre [son] rêve : il y a déjà le PdL’. La rapidité avec laquelle le président du Conseil a cherché à neutraliser la possible scission du Pdl confirme sa prise de conscience du danger et la difficulté de la direction sicilienne ‘loyaliste’ à l’enrayer. »

« Entre Obama, Ligue et sondages, Berlusconi risque l’ambiguïté » (Stefano Folli, Il Sole 24 ore) : « Pour le gouvernement, le problème afghan a deux versants : la loyauté à l’OTAN et aux Etats-Unis et les sondages – où Bossi a vu la confirmation des réserves d’une bonne moitié du pays (nul n’aime les images de guerre et les soldats tués). La Ligue a parlé de retrait pour aller dans le sens d’une opinion inquiète, poussant Berlusconi et Frattini à rassurer les alliés. On a dit, justement, que certaines sorties électoralistes teintées de provincialisme coûtaient en crédibilité, à Washington, à un gouvernement avide de plaire à Obama. L’affaire semblait close dans le sens d’un attachement responsable à nos alliances. Mais Berlusconi lit aussi les sondages et ils l’ont troublé, au point de ne pas vouloir laisser à Bossi le monopole du ‘pacifisme’. D’où sa phrase surprenante : ‘ce n’est qu’après les élections afghanes que nous pourrons réfléchir à une exit strategy, d’un commun accord avec nos partenaires’. Vu la proximité des élections, cela veut dire que l’Italie se donne moins d’un mois avant de commencer à définir une stratégie de sortie. Bien sûr il n’en sera rien mais l’ambiguïté, voulue ou non, fait mauvaise impression –alors que Zapatero s’apprête à envoyer des renforts, à l’évidence pour complaire aux Américains, et que du reste l’Italie renforce son contingent. Alors quel sens donner à l’exit strategy de Berlusconi ? Comme d’habitude, c’est un geste à usage purement interne, fait pour complaire à la Ligue et garder le contact avec l’électorat inquiet. Implicitement, la mission continue jusqu’à ce que les Occidentaux changent de ligne. Mais cette façon de jouer avec les mots ne fait pas de bien au moral des soldats sur le terrain, qui risquent leur vie et ont le droit d’y voir clair ; ni à la clarté de la relation avec les alliés. »

(Traductions : ambassade de France à Rome.)

03/08/2009

Joerg Haider : l'épave du véhicule ne sera pas exposée.

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Lors de l'exposition consacrée à Joerg Haider, qui ouvrira ses portes à Klagenfurt le 11 novembre 2009, à l'occasion du premier anniversaire du décès de l'ancien gouverneur de Carinthie, l'épave du véhicule de fonction de Joerg Haider ne sera pas exposée au public, contrairement à ce que certains organes de presse avaient affirmé. C'est ce qu'a déclaré le Gouverneur de Carinthie Gerhard Dörfler. L'épave, achetée pour 40.000 euros par le BZÖ, reste enfermée dans un lieu tenu secret, en vue d'une nouvelle enquête sur le décès de Joerg Haider.

02/08/2009

Attaque contre le bureau d’avocat du président de pro Köln.

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Dans la nuit de vendredi à samedi, le bureau d’avocat, situé à Leverkusen, de Markus Beisicht, le président de pro Köln (Pour Cologne) et candidat au poste de maire de Cologne, a été l’objet d’une attaque réalisée à l’aide de produits incendiaires, causant des dégâts matériels importants. Les pompiers ont du intervenir.

01/08/2009

Pakistan : six chrétiens tués pour avoir “ profané ” le Coran.

Un groupe de musulmans en colère a tué samedi six chrétiens, en a blessé une dizaine d’autres, les accusant d’avoir profané le Coran, et a incendié 40 maisons et une église, dans un village de l’ouest du Pakistan, a-t-on appris de source officielle.

Six chrétiens, dont un enfant, ont été tués et plus d’une dizaine ont été blessés dans ce triste incident ”, a déclaré par téléphone à l’AFP le ministre des Minorités Shahbaz Bhatti.

Il a précisé que les victimes avaient été attaquées par “ un groupe de personnes ” dans le village de Gojra (160 km à l’ouest de Lahore).

Des individus ont accusé les chrétiens d’avoir profané le Coran ”, a-t-il ajouté, précisant que ces accusations étaient “ sans fondement ”.

Il n’a pas donné de précisions sur ladite profanation.

Les morts sont tous des chrétiens. On m’a dit qu’ils avaient été brûlés vifs ”, a poursuivi le ministre.

Un affrontement entre chrétiens et musulmans avait éclaté fin juillet dans le village à propos du Coran, et avait été par la suite résolu, selon la police.

Les tensions ont refait surface samedi, avec l’attaque contre la communauté chrétienne et l’incendie des bâtiments.

Selon nos informations […]il s’agit du même différend ”, a déclaré le chef de la police locale, Inkisar Khan.

La télévision pakistanaise a montré la police utilisant des gaz lacrymogènes pour disperser la foule en colère.

Profaner le Coran est passible de la peine de mort au Pakistan, où l’Islam est la religion dominante.

Les chrétiens, qui représentent moins de 3 % de la population, affirment que les lois anti-blasphème sont utilisées pour exercer des représailles sur leur communauté.

Source : "La Meuse".

UDC : Suissesses, Suisses, défendez-vous!

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La politique actuelle mine et menace de plus en plus souvent les valeurs fondamentales suisses que sont la liberté, la neutralité et la responsabilité individuelle. Dans ses réflexions sur la Fête nationale, Toni Brunner, président de l'UDC Suisse, appelle les citoyennes et les citoyens à s'engager vigoureusement pour la défense de ces valeurs. Ce discours paraît vendredi, 31 juillet 2009 comme annonce pleine page dans les principaux quotidiens suisses.

Vidéo de Toni Brunner, le président de l'UDC Suisse :

http://www.youtube.com/watch?v=OWFUATaFkiI&eurl=http%...