08/09/2024
La Hongrie menace d’envoyer des migrants en bus à Bruxelles.
Hongrie et UE. La Hongrie refuse de payer les 200 millions d’euros d’amende à l’Union européenne à la suite d’une décision de la Cour de justice de l’Union européenne à propos de la politique migratoire de la Hongrie et menace d’envoyer des migrants en bus à Bruxelles.
Les bus prévus afin d'envoyer des migrants depuis la Hongrie vers Bruxelles
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Le BSW recrute de manière très sélective.
Allemagne. Le parti de gauche anti-immigration BSW recrute de manière très sélective. En effet, quiconque souhaite devenir membre est dans un premier temps un sympathisant.
Les sympathisants sont autorisés à prendre part aux activités du parti et aux campagnes électorales, mais n'ont pas encore le droit de voter lors des assemblées du parti. Plus tard, une décision sera prise à propos de la demande d’adhésion de ces personnes.
12:17 | Lien permanent | Commentaires (0)
07/09/2024
Geert Wilders a rencontré le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Pays-Bas et Ukraine. Geert Wilders a rencontré le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
23:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le BSW poursuit la fondation de sections dans différents États d’Allemagne.
Allemagne. Le parti de gauche anti-immigration BSW de Sahra Wagenknecht poursuit la fondation de sections dans différents États d’Allemagne. Cette fois, en Saxe-Anhalt et en Rhénanie du Nord-Westphalie.
De plus, la section de Basse-Saxe devrait être fondée avant la fin du mois.
23:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le dirigeant du parti nationaliste roumain AUR George Simion est donné deuxième pour les présidentielles.
Roumanie. Un sondage Sociopol donne, pour les élections présidentielles du 24 novembre et du 8 décembre 2024, le dirigeant du parti nationaliste roumain AUR George Simion deuxième à 19 %, derrière le candidat social-démocrate donné à 26 %.
Diana Șoșoacă, la candidate d’un autre parti nationale roumain, SOS Roumanie, est donnée sixième à 9 %.
George Simion
Diana Șoșoacă
22:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
Interview du co-président de l'AfD de Thuringe Stefan Möller par Lionel Baland.
Allemagne. Entretien avec Stefan Möller, le co-président de l'AfD de Thuringe, qui a gagné les élections pour le Parlement de Thuringe :
https://www.breizh-info.com/2024/09/07/237378/stefan-moll...
Le co-présidents de l'AfD de Thuringe Stefan Möller et Björn Höcke
09:54 | Lien permanent | Commentaires (0)
06/09/2024
Autriche : les patriotes du FPÖ sont donnés premiers à 28 %.
Autriche. Les patriotes du FPÖ sont donnés premiers à 28 % pour les élections législatives du 29 septembre.
FPÖ : patriotes
ÖVP : sociaux-chrétiens
SPÖ : sociaux-démocrates
Grüne : écologistes
NEOS : libéraux
Bier : satirique
KPÖ : communistes
Liste Petrovic : écologistes anti-vaccin
22:41 | Lien permanent | Commentaires (0)
Allemagne : 0 % souhaite la poursuite de la coalition gouvernementale.
Allemagne. Selon le baromètre politique de la chaîne publique de télévision ZDF, 0 % souhaite la poursuite de la coalition gouvernementale réunissant les sociaux-démocrates du SPD, les écologistes et les libéraux du FDP.
SPD : sociaux-démocrates
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
Die Linke : post-communistes
21:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le ministre de la Culture italien Gennaro Sangiuliano a donné sa démission.
Italie. Le ministre de la Culture italien Gennaro Sangiuliano (Indépendant, autrefois MSI) a donné sa démission, par lettre adressée au Premier ministre Giorgia Meloni, après le scandale de sa relation avec Maria Rosaria Boccia.
18:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Affaire Sangiuliano, le Palais Chigi voit un coup monté : pas de démissions pour des motifs sentimentaux."
Italie. Revue de presse.
En unes, l’affaire de l’emploi fictif présumé d’une assistante du ministre de la culture G. Sangiuliano « Mme Boccia confirme que le ministre peut faire l’objet d’un chantage » (Corriere della Sera), « Boccia : « ma vérité » » (Stampa) ; la nomination du Premier ministre Michel Barnier « Macron nomme Barnier Premier ministre : Le Pen fait des concessions ; la gauche dit non » (Corriere, Repubblica), « Barnier, Macron prend de court la gauche » (Domani, Verità); enfin la finalisation de la loi de finances « Le report des départs obligatoires à la retraite fixé à 67 ans » (Messaggero).
Sur X les hashtags #Sangiuliano et #Boccia font toujours tendance.
ARTICLE, Corriere della sera, par M. Guerzoni, « Affaire Sangiuliano, le Palais Chigi voit un coup monté : pas de démissions pour des motifs sentimentaux » : « Au palais Chigi, la ligne qui émerge est celle de la résistance : protéger le ministre Sangiuliano, repousser la pression de l'opposition, écarter les accusations selon lesquelles le ministre de la Culture serait « sous chantage ». La présidence du Conseil et la direction de Fratelli d’Italia soupçonnent de plus en plus l’action de ‘’responsables occultes" derrière les ruses de Boccia, définies comme "lucide" et "diabolique". Et si certains parmi les dirigeants meloniens pensent qu'elle s'est adressée à une agence de communication de haut niveau, la plupart sont convaincus que Sangiuliano a été victime d'une machination, ourdie par des éléments de l'opposition et relancée par certains médias. ‘’Pourquoi les journaux n'énumèrent-ils pas les maîtresses des anciens ministres ? Et pour quelle raison Sangiuliano devrait-il démissionner ? Pour une affaire extraconjugale ? - C'est une personne honnête et c'est la grande nouveauté par rapport à la façon dont le ministère de la culture était géré jusqu'à notre arrivée.’’ a déclaré Giorgia Meloni. L’idée des dirigeants de FDI est que Sangiuliano se soit fait beaucoup d’ennemis en démantelant le système culturel mis en place pendant des années par le PD. Selon un ministre, Meloni a l’impression ‘’qu’il y a quelque chose d’autres, une sorte d’organisation. C’est la raison pour laquelle elle a voulu soutenir Sangiuliano, contre sa volonté première’’. Le ministre restera donc à son poste, sauf si des faits de malversations doivent se confirmer. Bref, la leader de la majorité estime qu'elle ne peut pas se permettre de céder, non seulement parce que ‘’ce ne peuvent pas être les journaux et la gauche qui dictent mes choix’’, mais aussi pour éviter un remaniement qui pourrait déclencher une avalanche. Elle est déterminée à résister, jusqu'au G7 de la culture et au-delà. »
PREMIER PLAN, Il Messaggero, de F. Malfetano, « Giorgia Meloni et le test [du Forum de] Cernobbio, le message adressé aux entreprises est ‘’ayez confiance en nous et en nos résultats’’ » : « Alors que le gouvernement semble être à un tournant en ce début d’automne, la Présidente du Conseil a tenu à être à tout prix au Forum Ambrosetti, avec onze ministres. C’est pour elle une opportunité de mettre en œuvre sa volonté de ‘’mieux communiquer sur ce que nous faisons’’, parmi les points formulés lors de la réunion-fleuve du parti qui s’est tenue ce mercredi à Montecitorio [siège du Parlement italien]. Elle fera le bilan des avancées de son gouvernement sur les thèmes-phares identifiés par The European House-Abrosetti - la croissance, les défis pour nos économies, la technologie, l’intelligence artificielle et la paix en Europe - et esquissera les premières lignes directrices de la Loi de finances qui marquera les prochains mois. Pour Giorgia Meloni, face à un auditoire composé des plus importants engrenages du moteur économique et financier de l’Italie, ce sera un véritable test. Elle répétera que les ressources de cette année seront concentrées sur le soutien aux entreprises qui embauchent et créent de l’emploi, outre le pouvoir d’achat des familles, en particulier celles avec des enfants à charge. Des messages rassurants pour contrer le discours que porteront Elly Schlein, Giuseppe Conte et Carlo Calenda également présents au Forum. Du ‘’record absolu de taux d'emploi dans l’histoire de l’Italie’’ qui vient d’émerger des dernières données macroéconomiques ‘’extrêmement positives’’, au rôle que l’Italie semble s’apprêter à jouer en Europe avec une vice-présidence de l’exécutif de Raffaele Fitto, le gouvernement demandera la confiance. Toutefois les principales attentes de ce 50ème Forum Ambrosetti pensé autour du thème de la paix porteront surtout sur les invités internationaux, à commencer par le président ukrainien V. Zelensky mais aussi le premier ministre hongrois V. Orban. On peut également s’attendre à une rencontre entre le président ukrainien et Giorgia Meloni (également attendue demain en milieu de journée à Paris pour rencontrer les athlètes paralympiques italiens). Elle réitèrera la volonté de l’Italie de poursuivre le soutien de l’Ukraine selon les conditions actuelles. C’est-à-dire, dans l’attente de la reconstruction du pays, sans que les armes fournies par Rome puissent être utilisées dans l’offensive au-delà des frontières russes. »
Forum Ambrosetti
ARTICLE, La Repubblica, L. Milella « Le gouvernement s’en prend à la presse, feu vert aux limitations concernant la publication des écoutes » : « Le gouvernement Meloni déterre la hache de guerre contre la liberté de la presse. Cette décision semble ainsi avoir un goût de revanche, puisqu’elle coïncide avec l'affaire Boccia-Sangiuliano. Pas plus tard qu'hier, lors du conseil des ministres, la fameuse norme Costa a été adoptée, il s'agit du décret législatif qui supprime la conquête acquise en 2017 par les journalistes avec la loi sur les écoutes téléphoniques du ministre de l’époque, Andrea Orlando, devenue opérationnelle avec son successeur Alfonso Bonafede. C'est-à-dire la possibilité de publier librement le texte de l'acte par lequel les juges émettent des demandes d'arrestation et annoncent les suspects. Le président de l'Association nationale, Giuseppe Santalucia, s'y oppose fermement, déclarant : "De cette manière, la présomption d'innocence n'est pas du tout assurée, c’est en revanche une barrière injustifiée placée sur le chemin de la connaissance de ce qui se passe dans le procès, qui marque un moment d'une importance indéniable.’’ Le Président de la Fédération nationale des éditeurs (FNSI) Vittorio Di Trapani, pour sa part, déclare ‘’ "c’est un retour en arrière qui n'a rien à voir avec la présomption d’innocence, c’est un cadeau pour les puissants qui veulent demeurer dans l’ombre et pour les cols blancs. Ce gouvernement continue à démanteler l'article 21 de la Constitution, tout en prenant en otage la RAI, enlisée dans la guerre de répartition des sièges". Le nouveau texte prévoit en effet ‘’ La publication des mesures [prises par le juge d’enquête] est interdite jusqu'à la fin de l'enquête préliminaire ou de l'audience préliminaire". Les oppositions s’insurgent : pour le M5S ‘’c’est l’euthanasie de la démocratie’’, pour le PD ‘’le gouvernement a une tendance naturelle à la censure’’. »
PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de S. Montefiori, « Emmanuel Macron nomme Michel Barnier premier ministre, ouverture de Marine Le Pen, indignation de la gauche » : « […] En Italie, la Présidente du Conseil Giorgia Meloni a salué ‘’la grande expérience politique’’ de Michel Barnier, qui ‘’représente une valeur ajoutée en vue du travail commun à mener au niveau européen et pour continuer à renforcer les relations bilatérales entre la France et l’Italie’’. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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05/09/2024
Après son élection au Parlement de Thuringe, Sascha Schlösser voit son compte en banque être fermé.
Allemagne. Thuringe. Sascha Schlösser du parti nationaliste AfD voit son compte en banque être fermé sans justification, deux jours après son élection au Parlement de Thuringe.
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Pays-Bas : la contribution de l’État à l’hébergement de demandeurs d'asile déboutés sera supprimée.
Pays-Bas. Le ministre de l'Asile et de la Migration Marjolein Faber (PVV) a annoncé que la contribution de l’État à l’hébergement de demandeurs d'asile déboutés sera supprimée à partir du 1 janvier 2025.
22:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Forum voor Democratie rejoint le parti européen ESN.
Pays-Bas et UE. Le Forum voor Democratie de Thierry Baudet, qui ne dispose pas de député européen, rejoint ESN (Europe des nations souveraines), le parti européen fondé autour de l'AfD.
22:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
Brandebourg : les nationalistes de l'AfD sont donnés à 27 % et la gauche anti-immigration BSW à 15 %.
Allemagne. Brandebourg. Les nationalistes de l'AfD sont donnés à 27 % et la gauche anti-immigration BSW à 15 % pour les élections pour le Parlement du Brandebourg du 22 septembre. (Seuil : 5 %)
(https://www.wahlrecht.de/umfragen/landtage/brandenburg.htm)
SPD : sociaux-démocrates
AfD : nationalistes
CDU : démocrates-chrétiens
Grüne : écologistes
Die Linke : post-communistes
Électeurs libres
BSW : gauche anti-immigration
Sonstige : autres
21:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Meloni avertit les siens : Nous écrivons l’histoire, aucune erreur ne sera tolérée."
Italie. Revue de presse.
En unes, l’affaire de l’emploi fictif présumé d’une assistante du ministre de la culture G. Sangiuliano « Confessions de Sangiuliano à la télévision » (Corriere della Sera), « Les larmes de Sangiuliano » (Stampa, Fatto), « Le chantage d’une relation adultérine » (Repubblica) ; l’accord entre Rome et Bruxelles sur les concessions balnéaires « Les appels d’offre seront lancés dans trois ans » (Messaggero); enfin la finalisation de la loi de finances « Santé publique, voici le plan pour les nouvelles embauches » (Repubblica).
Sur X le hashtag #Sangiuliano fait toujours tendance.
COMMENTAIRE, La Repubblica, de C. Sannino, « Le [jeu cruel] et l’obligation de la Présidente du Conseil » : « La véritable affaire concerne donc maintenant la Présidente du Conseil Giorgia Meloni pour se défendre elle-même ainsi que la stabilité d’un gouvernement qui craint le remaniement comme la peste. Le ministre qui voulait se démarquer par le récit de l’hégémonie culturelle renversée restera finalement célèbre pour avoir provoqué sa propre chute, ayant sous-estimé le potentiel de sa chère ‘’amie-ennemie’’ et par ses réactions tout à fait irrationnelles qui s'ajoutent aux erreurs déjà commises. De son côté M.R. Boccia continue, cruellement, petit à petit, à révéler des éléments compromettants et à détruire les justifications du ministre, notamment à la télévision et sur les réseaux sociaux. Au point qu’il est inconcevable que le ministre de la Culture reste en poste un seul jour de plus, mais aussi qu’il ouvre, dans deux semaines, au nom du gouvernement italien, le G7 Culture. Giorgia Meloni ne peut pas ne pas le remplacer et sa qualification répétée de cette affaire en simple ‘’potins’’ ne tient plus. Cette affaire laisse par ailleurs une tache sombre sur la capacité à réagir de la Présidence du Conseil. De nombreuses questions restent en suspens pour Giorgia Meloni et sa relation avec ses concitoyens, alors que l’inconnue Mme Boccia continue à s’amuser en la taggant dans toutes ses publications sur les réseaux sociaux mentionnant Sangiuliano. On note d’ailleurs comment en quelques heures seulement la Présidente du Conseil avait quant à elle pris la plus sévère et douloureuse des décisions concernant son compagnon et père de sa fille, le journaliste Andrea Giambruno, alors qu’elle laisse aujourd’hui un embarras irritant s’installer dans cette affaire. Les démissions du ministre sont prêtes depuis deux jours et n’ont pas été acceptées malgré les déclarations absurdes qui se poursuivent. Les faits montrent que la défense obstinée du ministre Sangiuliano par la Présidente du Conseil - alors qu’on ne sait pas encore quoi, quand et comment Mme Boccia utilisera les éléments en sa possession – ont exposé et exposent tout le pays, pas seulement le gouvernement, le soumettant à un scénario obscur que Meloni ne contrôle pas. »
ARTICLE, Corriere della sera, par V. Piccolillo, « Meloni avertit les siens : Nous écrivons l’histoire, aucune erreur ne sera tolérée » : « La dirigeante de Frères d ‘Italie ne cite pas de noms, et rappelle à ses parlementaires : ‘’Nous sommes en train de faire l'histoire, et nous devons tous en être conscients’’. Et cela ne permet ‘’ni pauses ni trêve, mais encore moins d'erreurs et de faux pas’’. ‘’Et quand quelqu'un a fait un faux pas, les oppositions ont utilisé tous les moyens à leur disposition pour nous frapper’’. Des faux pas, le ministre Sangiuliano en a fait plusieurs. Mais c’est pour Meloni précisément parce que ‘’nous avons toujours été les juges les plus sévères envers nous-mêmes’’ qu'aucun faux pas n'est permis. ‘’Parce que l'occasion historique que les citoyens nous ont donnée ne mérite pas d'être gâchée à cause d'une erreur, d'une distraction ou d'une maladresse’’. Meloni cite ensuite des données macroéconomiques - PIB, emploi, exportations, investissements – qui sont ‘’extrêmement positives et sont un signe de grande confiance’’. Et elle ajoute : ‘’ Frères d’Italie a confirmé, lors de tous les derniers scrutins, qu'il était en excellente santé. L'ensemble du centre-droit a progressé, ce qui a fait de notre gouvernement le plus solide et le plus stable d'Europe et du G7. C'est un fait très important et significatif’’ ».
ARTICLE, Il Foglio, « La farce du report des concessions balnéaires » - la justice administrative pourrait éviter à l’Italie de faire piètre figure en Europe : « Le projet de loi visant à débloquer le vieux contentieux sur les concessions balnéaires - le point fort du conseil des ministres d'hier - est sorti sur la base d'un accord apparent avec la Commission mais dont les contours demeurent flous. La loi repose sur deux piliers : l’énième report (cette fois-ci jusqu’à 2027) et le renvoi à un décret ministériel afin de définir les modalités de calculs des possibles compensations en faveur du concessionnaire sortant. Si l’accord avec Bruxelles salue ce report, il n’est pas dit que cela servira à apaiser la justice administrative, qui est en train de retirer les concessions, faisant l’objet d’un recours, par des jugements « copier-coller ». La justice pourrait ainsi rendre vain le succès politique du gouvernement. C'est pourquoi le deuxième volet de la mesure, à savoir la détermination de la compensation à verser par les éventuels sous-traitants, devient crucial. Elle ne peut être considérée comme un substitut à la préemption, parce que les investissements doivent être évalués selon des critères objectifs et parce que tous ne sont pas nécessairement garantis au sortant. Un compromis devra donc être trouvé pour guider les communes dans leurs actions. Dans la méthode, les communes pressées par les tribunaux pourraient encore s’activer [et lancer les appels d’offre, ndr.] : le gouvernement devrait donc adopter sans tarder des décrets d’application, afin de fournir un cadre juridique national et ne pas déclencher le « far West ». »
ARTICLE, Sole 24 Ore, A. Gagliardi « Le PPE et la Ligue soutiennent Fitto (Frères d’Italie) mais pas les libéraux » : « La proposition de donner une vice-présidence exécutive et les délégations pour l'économie et le PNR au candidat commissaire italien Raffaele Fitto, anticipée avant-hier par le journal allemand Die Welt, a le soutien du PPE. Manfred Weber, chef de groupe, a confirmé que l'Italie aura une vice-présidence exécutive dans la future Commission, avec jusqu'à 14 commissaires issus de la famille politique populaire. La Ligue aussi assure son soutien. ‘’Le nom de Fitto répond à toutes ces exigences et offre les garanties nécessaires pour représenter notre pays", a déclaré Paolo Borchia, eurodéputé du parti de Salvini. Toutefois, le soutien des populaires a rencontré l’opposition d’une autre composante de la « majorité Ursula ». Le groupe libéral de Renew Europe a soulevé de fortes objections quant aux charges que pourrait obtenir Fitto, le seul commissaire appartenant au groupe des Conservateur Ecr. A cela s’ajoute le vote contraire de Fratelli d’Italia au Parlement Européen pour reconduire von der Leyen à la tête de la Commission. ‘’La nomination de Fitto est une source d'inquiétude", a expliqué la présidente du groupe macronien, Valérie Hayer, à ceux qui suivent le dossier de nomination. Sur le rôle à assigner à Fitto (et donc à l’Italie), il y a deux positions opposées : celle du PPE qui est convaincu que primer le gouvernement Meloni signifie le rapprocher aux positions plus modérées des populaires, et celle de ceux qui, comme Renew, misent à une majorité qui reste celle qui a voté von der Leyen. Le PD (mais aussi les socialistes) garde un silence prudent, car pour la délégation la plus importante des socialistes il ne serait pas simple de rejeter un candidat italien à la course pour une vice-présidence. Le M5S, quant à lui, fait savoir que ‘’nous ne lui ferons aucun cadeau’’. »
ARTICLE, Repubblica, par C. Tito, « Draghi avertit l’Europe : « Si nous ne changeons pas de direction, l’Union est finie » : « La phrase prononcée par l'ancien président de la BCE pour expliquer les lignes directrices de son rapport sur la compétitivité stupéfait toute l'assistance au Parlement européen. M. Draghi tente d'abord d'expliquer qu'il ne s'agira pas d'une législature ordinaire. Il y aura besoin d’une "grande co-responsabilité" pour mener ‘’des réformes rapides et sans précédent’’. Des mots qui auraient certainement plu à la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, qui ne participait pas à la réunion. M. Draghi détaille dix chapitres présentant les domaines dans lesquels l'Europe doit accélérer : de la compétitivité des Etats à celle des entreprises, de la défense à la protection sociale, et surtout sur l'éducation. Il souhaite contribuer à la réflexion « sur les défis auxquels l'Europe est confrontée et sur la manière dont l'Union, ses institutions, les États membres et les parties prenantes peuvent les relever ensemble pour retrouver leur compétitivité ». Il estime que certaines de ses idées ont été intégrées dans les orientations politiques présentées par Mme von der Leyen en juillet dernier à Strasbourg. Sortir du marasme dans lequel se trouve l'Union nécessitera ‘’un niveau de coopération sans précédent et le Parlement européen devra être au centre de cet effort : les députés auront le devoir d'être plus proches des citoyens et de l'Europe que n'importe qui d'autre’’. Les propositions de M. Draghi ont été unanimement applaudies, en particulier par la majorité qui soutient la Commission. Son rapport, a déclaré le député PPE Manfred Weber, ‘’est plus que bienvenu’’. »
PROPOS, Il Foglio, de Antonio Tajani (Forza Italia), ministre des Affaires étrangères « Je demande à Netanyahou d’œuvrer pour une trêve. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
14:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
Thuringe : la Commission parlementaire chargée de contrôler les services secrets devrait rester sans membre.
Allemagne. Les nationalistes de l’AfD disposant d’une minorité de blocage au sein du Parlement de Thuringe alors que les autres partis refusent toute collaboration avec l’AfD, la Commission parlementaire chargée de contrôler l’Office de Thuringe de protection de la Constitution qui persécute l’AfD n’aura plus de membres et ne sera donc plus en mesure de contrôler cette instance.
L'Office fédéral de protection de la Constitution dirigé par un démocrate-chrétien de la CDU a menacé l’Office de Thuringe de protection de la Constitution d'être exclu de l'Office fédéral pour la protection de la Constitution si l'AfD était membre de la commission de contrôle en Thuringe.
La Thuringe deviendra probablement le premier État fédéré à autoriser ses services de renseignement à opérer de manière incontrôlée.
Le président de l’Office de protection de la Constitution de Thuringe est le seul dirigeant d’un Office de protection de la Constitution qui ne remplit pas les conditions légales requises en matière de qualification pour exercer les fonctions de juge. Le gouvernement de gauche rouge-rouge-vert [post-communistes de Die Linke, sociaux-démocrates du SPD et écologistes de Bündnis 90/Die Grünen] l'avait néanmoins nommé à ce poste.
13:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les écologistes demandent la création d’une task force contre la désinformation afin de "protéger la démocratie".
Allemagne. À la suite du succès remporté par le parti nationaliste AfD lors des élections en Saxe et en Thuringe, les écologistes de Bündnis 90/Die Grünen demandent la création d’une task force contre la désinformation afin de « protéger la démocratie ». Cette instance devrait être composée de représentants du gouvernement fédéral et des gouvernements des États et être dirigée par le chancelier.
12:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
04/09/2024
Thuringe : Die Linke propose une coalition rouge-rouge-rouge minoritaire.
Allemagne. Thuringe. Les post-communistes de Die Linke proposent une coalition rouge-rouge-rouge [post-communistes de Die Linke, sociaux-démocrates du SPD, gauche anti-immigration du BSW] pour former le gouvernement de Thuringe. Cet attelage ne disposant pas d’une majorité au sein du Parlement devait être toléré par les démocrates-chrétiens de la CDU.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/09/02/le-...)
19:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
"L’affaire Sangiuliano est devenue un problème international."
Italie. Revue de presse.
En unes, les frappes russes sur la ville ukrainienne de Poltava « Frappes russes, des dizaines de victimes » (Corriere della Sera), « Le massacre à l’hôpital, la dernière horreur de Poutine » (Stampa) ; l’affaire de l’emploi fictif présumé d’une assistante du ministre de la culture G. Sangiuliano (Indépendant, autrefois MSI) « Sangiuliano résiste et ne démissionne pas » (Giornale, Avvenire), « Sangiuliano auditionné pendant deux heures par Meloni » (Fatto Quotidiano) ; enfin les tractations pour les nominations des commissaires européens « Von der Leyen, désaccord avec Macron et Scholz sur la nomination de Raffaele Fitto » (Repubblica).
Gennaro Sangiuliano
Sur X les hashtags #Sangiuliano et #Boccia, concernant l’affaire de l’emploi fictif présumé d’une assistante au ministère de la Culture, dominent.
PREMIER PLAN, La Repubblica, de G. Foschini, « Sangiuliano, l’inquiétude des pays du G7, l’affaire prend une ampleur internationale » : « L’affaire Sangiuliano est devenue un problème international pour le gouvernement italien, alors que deux pays du G7 qui participeront à la ministérielle Culture du G7 prévue dans deux semaines ont demandé des explications et des garanties sur la sécurité et le bon déroulement de l’événement en Italie. Les services de renseignements étrangers s’interrogent sur le rôle de Maria Rosaria Boccia et les informations auxquelles aurait eu accès cette proche (mais pas collaboratrice) du ministre de la Culture Sangiuliano. Des enregistrements audio et vidéo de rencontres au ministère et en-dehors ont en effet été retrouvés dans son téléphone, dont certains réalisés avec une caméra placée dans ses lunettes. Elle assure n’avoir aucune intention de faire du chantage et le ministre de la Culture a juré hier encore à la Présidente du Conseil Giorgia Meloni que M. R. Boccia n’avait eu accès à ‘’rien de sensible’’. D’après les informations de Repubblica et des rapports établis et annotés par les forces de police, elle aurait été présente lors de repérages pour l’organisation du G7 Culture, toutefois aucune des informations partagées ne serait classifiée. Afin d’éviter tout embarras, la séquence prévue à Pompéi (et pour laquelle M. R. Boccia aurait été impliquée) pourrait tout simplement être annulée, dans la tentative de calmer les contrariétés internationales. Un rendez-vous à ce sujet est prévu demain à la Préfecture. L’ampleur prise par cette affaire inquiète toutefois la Présidence du Conseil et Giorgia Meloni a rappelé hier à son ministre ne pas pouvoir se permettre d’autres épisodes de ce genre. Mais si le ministre Sangiuliano assure qu’aucun centime de l’Etat n’a profité à la ‘’non-collaboratrice’’, il n’y a pas que la question financière qui pose problème. On se demande comment cette personne, avec ses maigres qualifications, soit arrivée dans l’entourage très proche du ministre et de dossiers tels que l’organisation d’une ministérielle du G7. Est-ce si facile d’approcher le gouvernement ? Les journalistes continuent à chercher des explications concernant plusieurs mouvements récents dans l’entourage du ministre de la Culture. »
ARTICLE, Corriere della Sera, de M. Cremonesi, « Un tête-à-tête de 90 minutes sur les dépenses et l’accès aux dossiers : le ministre [de la Culture] conserve la confiance » : « . Après 90 minutes passées au Palais Chigi, avec le ministre de la Culture Gennaro Sangiuliano, la présidente du Conseil a décidé, contre la volonté des oppositions, de le maintenir en poste. Bien sûr, il ne faudrait pas que des documents indiquant le contraire ne fuitent. Hier par ailleurs le festival « Il Libro Possibile » de Polignano a fait savoir qu’il s’est entièrement chargé des frais de voyage et d’accueil pour la participation publique du ministre Sangiuliano et de son staff, « billets d’avion et trois chambres d’hôtel compris ». Dont une pour Mme Boccia, mais ce qui a d’abord interpellé l’entourage de Giorgia Meloni est la précision des justifications du ministre : « Tout a été fait dans le respect des indications du secrétariat du ministère ». Le ministre a toutefois lui-même reconnu dans la foulée que l’hypothèse d’une nomination pour Boccia était sur la table. La présidente du Conseil a pris sa décision entourée de ses plus proches collaborateurs, mais sans consulter ses alliés, qui lui avaient exprimé leur confiance dans ce cas. Si la confiance au ministre est maintenue, le doute persiste au sein du ministère et certains proches de Meloni se voyaient déjà remplacer Sangiuliano, comme l’ex directeur de la Rai Giampaolo Rossi ou Alessandro Giuli, président du musée Maxxi. »
ARTICLE, Corriere della Sera, de D. Polizzi, « Le forum économique de Cernobbio fête ses 50 ans, Giorgia Meloni et onze ministres s’y rendront » : « La croissance, les grands enjeux économiques, la technologie, l’Intelligence artificielle mais aussi et surtout la paix, thème sur lequel on espère que ‘’le forum de Cernobbio permettra de catalyser une action concrète puisque, sans paix il ne peut y avoir de croissance’’. Le discours d’ouverture sera prononcé vendredi par Valerio De Molli, CEO de The European House Ambrosetti (EHA). De nombreuses figures politiques interviendront : onze ministres dont le vice-président du Conseil et ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani, le vice-président du Conseil et ministre des Transports Matteo Salvini, la ministre de l’Enseignement supérieur et le ministre de l’Education pour parler d’emploi et de politiques sociales ; la Présidente du Conseil Giorgia Meloni et trois chefs de l’opposition : E. Schlein (PD), C. Calenda (Azione) et G. Conte (M5S). Des économistes, des scientifiques, des entrepreneurs, des représentants des institutions italiennes et internationales échangeront aussi. Une intervention du Président de la République italienne Sergio Mattarella est attendue, ainsi que la venue du Président ukrainien V. Zelensky. Le rôle de l’Italie sur la scène internationale sera au centre de ces trois jours, évoqué notamment par Giorgia Meloni. En toile de fond il y aura les chiffres du EHA qui reflètent le point de vue des entreprises : l’industrie ralentit mais reste dans le vert et la volonté d’investir et d’embaucher se confirme. Un des sujets les plus délicats, l’approvisionnement énergétique à la suite du conflit en Ukraine, sera abordé avec le président azerbaïdjanais I. Aliyev et les lignes directrices du Conseil européen seront débattues lors d’un panel avec V. Orban, le jour où V. Zelensky est attendu (vendredi). Un dialogue entre R. Fitto (Frères d’Italie) et le ministre italien des Entreprise A. Urso (Frères d’Italie) conclura cette 50ème édition. »
Adolfo Urso
ARTICLE, Corriere della Sera, F. Bas. « L’hypothèse d’un commissariat à l’économie et au PNRR pour Fitto » : « Le fait est que le portefeuille de cohésion, dont dépendent les fonds structurels destinés à aider les régions et les autorités locales, intéresse beaucoup de pays membres. Outre l'Italie, la Grèce et la Bulgarie, il y aurait aussi la Roumanie. C'est ainsi que certains à Bruxelles expliquent l'hypothèse parue hier matin dans le journal allemand Die Welt, qui, en dénonçant les faits, écrit que Raffaele Fitto sera "vice-président exécutif de la Commission et responsable de l'économie et de l'aide à la reconstruction de la Covid". Cette solution aurait l'avantage de libérer le volet "Cohésion", que la Présidente von der Leyen pourrait attribuer à une candidature féminine qui se présenterait à elle. Toutes ces spéculations suscitent toutefois un débat. Certains y voient une tentative de sonder les réactions, une sorte de ballon d’essai. Il est clair que le portefeuille « économie » à Fitto surprend, à commencer du fait que l’Italie se verrait alors confier ce volet pour deux mandatures (le poste est actuellement assuré par Gentiloni). Pour que cette hypothèse ne suscite pas trop de mécontentement, il faudra voir comment seront distribués les autres postes en termes géographiques et politiques. Une hypothèse est que les directions générales de l'Italie sont celles qui appartiennent au Next Generation EU (le Recovery Fund et la partie concernée de la DG Ecfin) et que la vice-présidence exécutive est le pôle des portefeuilles économiques. Les vice-présidences exécutives iraient donc non seulement à à la France (Thierry Breton aurait le portefeuille de l'industrie et de l'autonomie stratégique), à l'Espagne (Teresa Ribera celui de la transition écologique) et à la Lettonie (Valdis Dombrovskis celui de l'élargissement et de la reconstruction de l'Ukraine) mais aussi à l'Italie. »
COMMENTAIRE, Il Foglio, D. Carretta « Super Fitto » : « Si la reconstruction de l’article Dei Welt devait se concrétiser, cela représenterait un grand succès pour Giorgia Meloni. Toutefois, selon certaines sources à Bruxelles, cela serait une sorte de ballon d’essai, une fuite laissée filtrée par l’équipe de von der Leyen pour tester la réaction des capitales et du Parlement Européen avant d’arriver aux décisions définitives. Face aux critiques du gouvernement Meloni à l'égard du nouveau pacte de stabilité et à la dette record de l'Italie, les États membres favorables à la rigueur budgétaire pourraient s'opposer à e que Fitto se voie confier des pouvoirs étendus en matière d'économie. »
COMMENTAIRE, La Repubblica, C. Tito « La stratégie de von der Leyen pour aider Meloni » : « En Italie on l’appellerait un « gouvernement technique », car au Palais Berlaymont, l'équipe d'Ursula von der Leyen parle d'une Commission "dépolitisée". Avec pour conséquence le rejet de ce que l'on appelle la "majorité Ursula". Il s'agit en fait d'une « déparlementarisation » de l'exécutif européen. Mais la démarche de M. von der Leyen inquiète au moins trois des groupes parlementaires qui ont voté pour sa réélection il y a 45 jours : les socialistes, les libéraux et les verts. Et surtout les deux chancelleries les plus imposantes : la française et l'allemande. Qui n'acceptent pas, après avoir œuvré pour la reconduction d'Ursula, d'être mis sur le même plan que ceux qui ont voté contre, comme Fratelli d'Italia, le parti de droite de Giorgia Meloni et Fitto lui-même. Le bras de fer a donc déjà commencé et l'issue est encore indéchiffrable. »
ARTICLE, La Repubblica, F. Santelli « L’Italie et le spectre des droits de douane, une victoire de Trump nous coûterait 6 milliards d’euros » : « Si l’on devait prendre au sérieux la propagande de Donald Trump, notamment ses promesses d’imposer les droits de douane à hauteur de 10% sur toutes les importations vers les Etats-Unis, le coût pour l’Italie serait exorbitant. Le scénario le plus pessimiste pourrait tabler environ 6,5 milliards d’euros, mettant les entreprises face à un carrefour : accepter les conséquences ou risquer de quitter le marché. Mais l'effet d'une guerre tarifaire serait dévastateur : elle coûterait un point de PIB à l'Europe, les grands exportateurs comme l'Italie payant davantage. Un coût que divers membres de la majorité souverainiste italienne, qui soutiennent plus ou moins ouvertement Trump, ne semblent pas considérer. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Le dirigeant du BSW du Brandebourg est favorable à une procédure d’interdiction de l'AfD.
Allemagne. Brandebourg. Le dirigeant du parti de gauche anti-immigration BSW du Brandebourg Robert Crumbach s’est dit favorable à une procédure d’interdiction du parti nationaliste AfD et rejette l’AfD. Les élections pour le Parlement du Brandebourg ont lieu le 22 septembre.
13:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
Des membres de la CDU réclament une résolution d'incompatibilité avec le BSW.
Allemagne. 40 membres du parti démocrate-chrétien CDU, dont des poids lourds, de divers régions d’Allemagne réclament une résolution d'incompatibilité avec le parti de gauche anti-immigration BSW.
11:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
Thuringe : le BSW décide de ne pas collaborer avec l'AfD.
Allemagne. Thuringe. La gauche anti-immigration BSW décide de ne pas collaborer avec les nationalistes de l'AfD et se rapproche des autres partis politiques pour des négociations.
10:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les autres partis tentent de priver l'AfD du poste de président du Parlement de Thuringe qui lui revient.
Allemagne. Thuringe. Bien que la tradition veuille que le parti arrivé premier reçoive le poste de président du Parlement, les démocrates-chrétiens de la CDU, la gauche anti-immigration BSW et les sociaux-démocrates du SPD se seraient mis d’accord afin que le SPD obtienne la fonction de président du Parlement alors que ce parti a obtenu 6,1 %.
La chef de file du BSW en Thuringe Katja Wolf a déclaré qu’elle ne voterait pas pour un candidat AfD à la présidence du Parlement. Le ministre-président sortant Bodo Ramelow des post-commuistes de Die Linke a également appelé à ne pas voter pour un candidat AfD à la présidence du Parlement.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/09/02/le-...)
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03/09/2024
Thuringe : la CDU veut négocier avec le BSW et le SPD.
Allemagne. Thuringe. Les démocrates-chrétiens de la CDU ont décidé d'entamer des conversations avec le parti de gauche anti-immigration BSW et le parti social-démocrate SPD.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/09/02/le-...)
20:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
Christian Lindner estime que si le politique migratoire ne change pas dans un sens plus restrictif, la population se tournera vers un autre système.
Allemagne. Le dirigeant du parti libéral FDP Christian Lindner estime que, si le politique migratoire ne change pas dans un sens plus restrictif, la population se tournera vers un autre système.
20:44 | Lien permanent | Commentaires (0)