Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

19/05/2024

Vox organise Viva 24.

Vox.jpg

Likoud.jpeg

RN.png

Chega.png

FI-AN.jpg

Fidesz.png

Espagne et Monde. Lors de l’événement organisé par le parti nationaliste espagnol Vox, le ministre israélien du Likoud Amichai Chikli, le président argentin Javier Milei, le dirigeant de Vox Santiago Abascal, Marine Le Pen du Rassemblement national et André Ventura du parti nationaliste portugais Chega ont pris la parole. Le Premier ministre italien Giorgia Meloni (Frères d'Italie) et le Premier ministre hongrois Viktor Orbán (Fidesz) se sont exprimés en vidéo.

Vox 2.jpeg

Santiago Abascal et Marine Le Pen

Vox 3.jpeg

Vox 4.jpeg

Le président argentin Javier Milei

Santiago Abascal et Marine Le Pen rencontrent le ministre israélien Amichai Chikli.

Vox.jpg

RN.png

Likoud.jpeg

Espagne, France et Israël. Le dirigeant de Vox Santiago Abascal et Marine Le Pen ont rencontré le ministre israélien des Affaires de la diaspora et de la Lutte contre l'antisémitisme Amichai Chikli (Likoud).

E 1.jpeg

Amichai Chikli, Marine Le Pen et Santiago Abascal

Marine Le Pen attaque en justice le parti Chez nous.

RN.png

CN.png

France et Belgique. Le parti Chez nous est attaqué en justice par Marine Le Pen, qui lui reproche d’utiliser son image et de prétendre qu’elle soutient ce parti actif politiquement en Wallonie, alors que cela n’est pas le cas :

https://www.rtbf.be/article/le-rassemblement-national-de-...

De plus, Chez nous a recruté dans les milieux nationalistes radicaux, ainsi que des personnes au passé judiciaire chargé.

Le tract incriminé :

tract Chez nous.jpg

Remigijus Žemaitaitis est arrivé quatrième avec 9,3 % lors du premier tour des élections présidentielles en Lituanie.

Nemuno aušra.jpeg

Lituanie. Lors du premier tour des élections présidentielles du 12 mai 2024, le candidat Remigijus Žemaitaitis est arrivé quatrième avec 9,3 %. Il était autrefois membre du parti national-conservateur Ordre et justice. Il est désormais à la tête du parti nationaliste lituanien Nemuno aušra (L' Aube de Nemunas).

Remigijus Žemaitaitis.jpg

Remigijus Žemaitaitis

Le maire d'Essen désire être à "l'avant-garde" des manifestations d'antifas et de gauche contre l'AfD.

AfD.jpg

Allemagne. Après avoir tenté d’interdire la conférence fédérale de l’AfD qui doit se tenir en juin à Essen, le maire démocrate-chrétien (CDU) de cette ville désire être « à l'avant-garde » des manifestations d'antifas et de gauche contre l’organisation de la conférence.

AfD 7.jpeg

"Notre pays d'abord !"

AfD.jpg

Allemagne.

AfD 5.jpeg

"Notre pays d'abord ! Pensons l'Europe d'une nouvelle façon "

18/05/2024

"Le PVV choisit les Pays-Bas."

PVV.jpg

Pays-Bas.

PVV 1.jpeg

"Le PVV choisit les Pays-Bas."

Santiago Abascal et Javier Milei se sont rencontrés.

Vox.jpg

Espagne et Argentine. Le dirigeant de Vox Santiago Abascal a eu un entretien avec le président argentin Javier Milei.

Les écologistes estiment que le gouvernement fédéral et les gouvernements des États fédérés doivent collecter des informations sur l'AfD.

AfD.jpg

Allemagne. Le parti écologiste estime que le gouvernement fédéral et les gouvernements des États fédérés doivent collecter de manière exhaustive et systématique des informations sur l'AfD afin de pouvoir obtenir, à terme, l’interdiction de ce parti.

De plus, il veut lutter contre la presse patriotique et demande la mise en place d’une « unité de détection précoce pour la désinformation ».

Luxembourg : l'ADR et déi Konservativ sont présents sur les bulletins de vote pour les élections européennes.

ADR.jpg

dei Konservativ.png

Luxembourg. Le parti national-conservateur ADR et le parti nationaliste déi Konservativ sont présents sur les bulletins de vote pour les élections européennes.

Le FPÖ donné à 31 %.

FPÖ.jpg

Autriche. Sondage pour des élections législatives :

FPÖ 1.jpeg

FPÖ : patriotes

SPÖ : sociaux-démocrates

ÖVP : sociaux-chrétiens / conservateurs

écologistes

Neos : libéraux

Bier : satirique

KPÖ : communistes

17/05/2024

Un élu AfD blessé suite à une attaque au cendrier.

AfD.jpg

Allemagne. Mecklembourg-Poméranie occidentale. Martin Schmidt, député AfD au Parlement du Mecklembourg-Poméranie occidentale, a été grièvement blessé dans un restaurant par un opposant politique qui lui a lancé un lourd cendrier en verre « de toutes ses forces » sur la tête.

L’avocat de Björn Höcke introduit un recours devant la Cour fédéral.

AfD.jpg

Allemagne. L’avocat de Björn Höcke introduit un recours devant la Cour fédérale contre la condamnation de son client pour avoir déclaré : « Tout pour l'Allemagne ! »

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/05/14/bjo...)

44 % sont favorables à une interdiction de l’AfD et 50 % y sont défavorables.

AfD.jpg

Allemagne. Un sondage FGW indique que 44 % sont favorables à une interdiction de l’AfD et 50 % y sont défavorables.

"Choisissez pour les Pays-Bas."

FvD.png

Pays-Bas. Bus du Forum voor Democratie de Thierry Baudet :

FVD 1.jpeg

"Choisissez pour les Pays-Bas."

"Des frontières sûres. Une patrie sûre."

AfD.jpg

Allemagne. Saxe.

AfD 1.jpeg

"L’annulation par la RAI du débat télévisé entre G. Meloni et E. Schlein."

FI-AN.jpg

Italie. Revue de presse. 

Le discours du Président de la République Sergio Mattarella à l’Université La Sapienza fait les gros titres de la presse « Mattarella : « il faut condamner toute forme de violence » »  (Corriere della Sera), « Mattarella à la Sapienza : « il faut un cessez-le-feu immédiat » » (Sole 24 Ore), « Mattarella : « les droits humains valent indépendamment des frontières » » (Messaggero). L’attaque contre le Premier ministre slovaque Robert Fico fait aussi la une : « Attentat contre Fico, les craintes en Europe » (Corriere), « Selon Moscou, Fico serait victime de la russophobie » (Repubblica). L’annulation par la RAI du débat télévisé entre G. Meloni et E. Schlein après l’avis défavorable de l’autorité de la régulation des médias, alors que plusieurs dirigeants politiques avaient dénoncé le non-respect du principe d'équité, est aussi citée : « RAI, le duel télévisé est annulé en raison du véto des exclus » (Messaggero). Les suites de l’enquête pour corruption visant le président de la région Ligurie Giovanni Toti font la une de Repubblica : « Gênes, l’audition de Spinelli devant le juge sur ses relations avec Toti ». 

ARTICLE, Corriere della Sera, A. Logroscino « L’irritation de Fratelli d’Italia qui annonce le stop à d’éventuels débats télévisés » : « La réaction que laisse filtrer FdI nous en dit beaucoup sur l’irritation de Giorgia Meloni et de son entourage : ‘’stop aux pertes de temps’’. Si le duel télévisé avec Elly Schlein ne peut pas se faire sur la télévision d’Etat, la Présidente du Conseil ne participera à aucun débat. Le raisonnement est le suivant : cela serait trop chronophage pour la Présidente du Conseil, outre le fait de devoir choisir un plateau télévisé privé par rapport à un autre, ce qui serait impoli. Les représentants de FDI à la commission de vigilance de la RAI ont diffusé hier un communiqué ‘’Meloni a été la première à donner sa disponibilité pour une confrontation avec la principale force politique d’opposition en vue du rendez-vous électoral. Hélas, l’autorité AGCOM a repris les argumentations de ceux qui voulaient empêcher ce débat télévisé. Fdi prend acte de cette décision.’’ L’invitation de Schlein à participer au duel télévisé avait comme but de polariser le défi : cela aurait présenté la dirigeante du PD comme la seule et directe adversaire de la cheffe du gouvernement, malgré le système électoral proportionnel. Les analystes avaient en effet souligné qu’un tel duel aurait surtout profité à Schlein. C’est la raison pour laquelle la dirigeante du Parti démocrate a fortement critiqué ‘’ces leaders qui préfèrent renoncer à une confrontation’’. Les proches de Meloni et de Schlein se retrouvent ainsi à partager un sentiment d’irritation. » 

ENTRETIEN, La Stampa, d’Elena Cattaneo, Sénatrice à vie « Je partage l’alerte lancée par la sénatrice Segre, cette réforme du « Premierato » de Meloni n’existe dans aucun autre Etat » : « ‘’L'élection directe du Président du Conseil, telle qu'elle est proposée aujourd'hui, priverait les citoyens d'une représentation parlementaire autonome. Le Parlement malade peut et doit être soigné, c'est un devoir politique. Mais en 11 ans dans cette Assemblée, je l'ai vu privé de sa fonction législative par l'utilisation, qui est maintenant devenue la règle, d'instruments conçus par les constituants comme exceptionnels : les décrets de loi. C'est pourquoi j'ai dit que tout renforcement du Président du Conseil devait s'accompagner de mesures destinées à contrebalancer ses nouveaux « superpouvoirs ». Avec cette réforme, nous aurions un Président du Conseil qui serait le chef du gouvernement, avec un pouvoir de vie et de mort sur le Parlement, capable avec sa majorité d'élire le président de la République, les membres de la Cour constitutionnelle et des autres contre-pouvoirs. C’est un modèle constitutionnel qui n'existe nulle part dans le monde. La solution à l'instabilité doit être recherchée dans le maintien de l'équilibre des forces et des pouvoirs, et non dans un nouveau déséquilibre.’’ »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Le drapeau LGBTQA+ flotte sur la mairie de Ripoll.

Aliança Catalana.jpg

Espagne. Catalogne. Ripoll. Le drapeau LGBTQA+ flotte sur la mairie de Ripoll dirigée par Sílvia Orriols du parti nationaliste catalan, anti-immigration et défenseur des droits des femmes et LGBTQA+ face à l'islam, Aliança Catalana.

Ripoll 1.jpeg

Entretien de Lionel Baland avec Nicolas Bay de Reconquête.

Breizh-info.png

Reconquête.png

France. Entretien avec Nicolas Bay de Reconquête :

https://www.breizh-info.com/2024/05/17/233029/nicolas-bay...

Nicolas Bay 1.jpeg

Nicolas Bay 2.jpeg

Nicolas Bay

16/05/2024

Geert Wilders a présenté le contenu de l’accord gouvernemental.

PVV.jpg

Pays-Bas. Geert Wilders a présenté le contenu de l’accord gouvernemental, en présence des chefs de file des trois autres partis politiques qui ont pris part à cet accord.

Il contient des dispositions restrictives en matière migratoire, des investissements dans le domaine des soins de santé, notamment pour les personnes âgées, des mesures en vue de rendre les habitations à nouveau abordables et la garde des enfants quasi gratuite. L’abrogation de dispositions écologistes est également prévue.

"Fraternisation sur la passerelle d’embarquement."

PVV.jpg

Pays-Bas. De Telegraaf titre, à propos du futur gouvernement néerlandais : « Fraternisation sur la passerelle d’embarquement ».

NL 1.jpeg

La police a perquisitionné Petr Bystron.

AfD.jpg

Allemagne. La police a perquisitionné Petr Bystron, le deuxième candidat sur les listes de l’AfD pour les élections européennes. Il est soupçonné d’avoir reçu de l’argent russe.

"La mise sous bracelet électronique de la militante italienne Ilaria Salis détenue en Hongrie."

FI-AN.jpg

Italie. Revue de presse. 

L’attentat contre le Premier ministre slovaque Robert Fico fait les gros titre de la presse « Choc en Europe après la tentative d’assassinat contre un Premier ministre »  (Corriere della Sera), « Du sang au cœur de l’Europe » (Repubblica), « Fusillade contre le Premier ministre slovaque, selon le suspect : « Fico veut la dictature » » (Stampa), « L’attentat qui secoue l’Europe » (Messaggero). La mise sous bracelet électronique de la militante italienne Ilaria Salis détenue en Hongrie est aussi largement citée « Salis, le tournant d’Orban, mais elle restera en Hongrie » (Repubblica), « Salis est libre mais le père critique le gouvernement italien » (Corriere), « Le gouvernement Meloni obtient la libération d’Ilaria Salis » (Giornale). Les suites de l’enquête pour corruption visant le président de la région Ligurie Giovanni Toti et les données de l’Istat sur la pauvreté sont aussi citées en une. 

ENTRETIEN, Libero, d’Antonio Tajani, vice-Président du Conseil, ministre des Affaires étrangères et coordinateur de Forza Italia, « Le mérite [de l’assignation à résidence d’Ilaria Salis, détenue italienne en Hongrie,] revient à l’Ambassade italienne, pas à ceux qui ont fait du bruit. » 

COMMENTAIRE, La Repubblica, S. Folli « La force du « non » de la sénatrice Liliana Segre et les marges étroites pour adopter la réforme du Premierato » : « L’intervention de Liliana Segre sur les dangers d’une ‘’autarcie’’ liés au projet mélonien de « Premierato » va-t-elle secouer le Parlement ou est-elle destinée à tomber dans l’oubli ? La réponse n’est pas simple, tout comme la question. L’autorité morale de la Sénatrice nous pousse à réfléchir avec attention à ses propos. Segre a été témoin des atrocités du siècle dernier et son jugement dur contre cette réforme à la fois ambitieuse et lacunaire ne peut être ignoré. Le chemin parlementaire de la réforme (qui prévoit 4 votes) est long et semé d’embûches. On a encore du temps pour adopter des améliorations, à condition que l’on veuille modifier le texte au lieu de le rejeter en bloc car jugé dangereux pour les équilibres démocratiques. Le discours de Segre, en raison de son autorité morale, est ouvert à ces deux possibilités. La sénatrice a exprimé un sentiment partagé dans notre pays parmi ceux qui craignent une aventure à l’aveugle. Il est utile aussi de rappeler qu’il s’agit d’une personne qui est très proche du Président de la République Mattarella. Cela ne veut certainement pas dire que l’intervention de la sénatrice dans l’hémicycle ait été concordée avec le Quirinal. Le Chef de l’Etat s’est toujours abstenu d’interférer dans les travaux du Parlement, notamment en matière de réformes constitutionnelles. Toutefois, dans son for intérieur Mattarella a probablement apprécié les propos de la sénatrice. C’est cet aspect que le gouvernement Meloni devrait considérer quand le texte sera discuté au Parlement avec les amendements éventuels. En ce moment, c’est le bras-de-fer ouvert entre les partis, mais il est vrai aussi que nous sommes à trois semaines des élections européennes. Rappelons aussi la proposition d’un groupe de réformistes du PD : l’introduction d’un second tour pour les deux candidats recueillant le plus de suffrages. Cela empêcherait l’élection directe d’un président du Conseil disposant d’une base électorale trop faible. Cela mettrait aussi les bâtons dans les roues à la coalition de droite qui a toujours été contre le système à deux tours. Pour ce faire, il faudrait une posture plus souple de la part des oppositions et une attitude constructive de la part de la droite. Cela représenterait un avantage à la fois pour Meloni (à qui plusieurs demandent un sursaut pour modifier le visage de cette droite et relancer son leadership) et pour le centre gauche (qui obtiendrait un résultat politique important : un premier pas vers une identité retrouvée). » 

ENTRETIEN, Il Giornale, de Gilberto Pichetto Fratin (Forza Italia), ministre de la transition énergétique : « Sans l’énergie nucléaire, l’Italie est dans une impasse. »  

ENTRETIEN, Sole 24 Ore, de Paolo Gentiloni, commissaire européen à l’Economie, « L’Italie doit être consciente des réformes et des investissements prévus par le Plan de Relance national » : « La politique économique reste le talon d’Achille de l’Italie. Alors que le gouvernement italien se hâte de préparer un plan pluriannuel de redressement de la dette qui est difficile, sur la base des nouvelles règles budgétaires, Bruxelles continue de suivre de près la bonne mise en œuvre du Plan de Relance national. Bruxelles examine en ce moment la demande présentée par Giorgia Meloni pour le versement d’une cinquième tranche, à hauteur de 10,5 milliards d’euros. Pour l’instant, l’Italie a reçu 102 milliards d’euros et en a dépensé à peine 46. Le commissaire Paolo Gentiloni déplore un manque de prise de conscience des acteurs italiens quant à la nécessité de concrétiser les réformes et les investissements. ‘’Le respect des délais est important, et les engagements pris sur l’adoption de réformes et les investissements le sont encore plus. Le processus est en cours et la conclusion est encore lointaine. Pour le moment, l’Italie respecte plus ou moins le calendrier prédéfini. Mais je crois que tous les acteurs italiens doivent être bien conscients de la nécessité de mener les réformes prévues et les investissements attendus. Puisque vous posez la question, je dirais que cette prise de conscience n’est pas suffisante actuellement’’. Le commissaire Gentiloni est convaincu que le NextGenerationEU doit être répliqué, par exemple dans le domaine de la défense : ‘’nous avons besoin de financements publics communs, sinon nous serions la seule région au monde à ne pas en avoir besoin’’ insiste-t-ilPour Gentiloni, ‘’la question des objectifs communs et des financements communs devrait être posée dès cette année’’ après les élections européennes. Sauf imprévu, Bruxelles devrait annoncer en 2025 le montant de l’ajustement budgétaire demandé aux Etats. Paolo Gentiloni souligne que les nouvelles règles budgétaires européennes ne prévoient pas d’indications sur la méthode de la part de la Commission, ce serait à chaque pays de ‘’faire des propositions et négocier avec la Commission’’ les trajectoires d’ajustement sur quatre ou sept ans. ‘’Chaque trajectoire sera définie de manière concertée, c’est important pour que les règles soient crédibles et applicables, d’autant que dans les faits elles sont plus flexibles que les précédentes’’ explique le Commissaire qui rappelle que ‘’la flexibilité vaudra aussi pour les pays visés par une procédure pour déficit excessif’’. Pour l’Italie, ce n’est pas anodin, Giorgia Meloni vise un déficit de 3,6% du PIB en 2025 contre les 4,3% cette année, excluant toutefois certaines mesures appliquées en 2024, comme la réduction des charges salariales. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Robert Fico est dans un état stable.

Slovaquie. Le Premier ministre Robert Fico est dans un état stable ce jeudi matin après l'opération subie suite à cette agression. Il serait dans un coma pharmacologique mais sa vie ne serait plus en danger.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/05/15/rob...)

15/05/2024

Pays-Bas : un accord de coalition a été trouvé.

PVV.jpg

Pays-Bas. Un accord a été trouvé pour un gouvernement de coalition entre quatre partis : le PVV anti-islamisation de Geert Wilders, le parti des agriculteurs BBB, le parti libéral de droite VVD et le Nouveau contrat social NSC.

NL 1.jpeg