Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

13/12/2023

La Commission européenne a décidé de débloquer 10,2 milliards de fonds européens pour la Hongrie.

Fidesz.png

Hongrie et UE. La Commission européenne a décidé de débloquer 10,2 milliards de fonds européens pour la Hongrie :

https://www.lalibre.be/international/europe/2023/12/13/lu...

"Meloni s’en prend au Parti démocrate et à Draghi."

FI-AN.jpg

Ligue.jpg

Italie. Revue de presse. 

L’audition d’hier de Giorgia Meloni à la Chambre des députés en vue du Conseil Européen fait la Une de plusieurs quotidiens : « Meloni attaque Mario Draghi qui « se faisait prendre en photo avec Macron et Scholz sans obtenir de résultats » » (Repubblica), « Meloni s’en prend au Parti démocrate et à Draghi » (Stampa), « Meloni répond aux questions européennes, incident avec Draghi » (Il Giornale). D’autres sujets sont cités : « Proche Orient : Biden revient sur son soutien à Netanyahou » (Corriere della Sera), « Loi de finances, davantage de fonds de cohésion alloués pour le pont sur le détroit de Messine » (Sole 24 Ore), « Dernières négociations sur le bonus pour la rénovation énergétique des logements » (Messaggero), « Fin de vie, premier suicide assisté en Italie réalisé dans une structure sanitaire publique » (Stampa, Avvenire).

Sur X, le hashtag # Draghi domine suite à la polémique qui a suivi les déclarations de la Présidente du Conseil à la Chambre des députés au sujet de l’ancien Président du Conseil. 

COMMENTAIRE, Corriere della Sera, M. Franco « [Pacte de Stabilité], le pari risqué de Meloni avec l’objectif de ne pas perdre » : « Le Conseil européen qui s’ouvre demain sera difficile pour tous les pays, notamment pour l’Italie, à en croire les propos de Meloni qu’elle a tenus hier à la Chambre. Ceux-ci révèlent qu’elle craint que l’issue du conseil ne soit pas forcément celui qu’on attend, qu’il ne faut pas le considérer comme acquis et qu’il sera peut-être décevant pour l’Italie. Quand Meloni déclare que ‘’ le match est encore ouvert malgré une négociation très difficile’’, elle est consciente que le meilleur résultat possible sera un compromis au rabais. Les critiques à l’encontre du gouvernement Draghi doivent être lues dans ce contexte, comme un avant-goût d’une campagne électorale. Il est vrai aussi que la pression provient également de ses alliés de coalition. Les rapports entre la Ligue de Salvini et « leur » ministre de l’Economie sont encore tendus. Le « non » sec de Giorgetti (Ligue) à la demande de prolongation du bonus pour la rénovation énergétique des bâtiments est un message adressé surtout à sa coalition. Les attaques du dirigeant léguiste contre l’UE, avec l’alliance de l’ultradroite eurosceptique, ne représente pas un bon passeport pour Meloni. Cela suscite encore plus de doutes sur la solidité de la coalition de gouvernement. Mais c’est surtout le refus de ratifier le MES qui pose problème. La tentative de conditionner la ratification à des concessions sur les investissements provoque des doutes et de l’irritation. Cette stratégie pourrait-elle rapporter des résultats ? C’est en tout cas ce qu’espère le gouvernement italien. A ce stade, on n’entrevoit que les inconnues et les précédents ne sont pas encourageants. Meloni a précisé que ‘’l’Italie ne demande pas une modification des règles pour dépenser sans limite mais parce que le contexte est encore exceptionnel et des règles cohérentes avec la situation seraient ainsi nécessaires’’. C’est une posture qui pourrait converger avec les intérêts de la France, mais qui se heurte à ceux des pays du Nord. Si les jeux ne sont pas faits, un match nul représenterait déjà une victoire. » 

ARTICLE, Corriere della Sera, V.Piccolillo : « Musk sera l’invité surprise au meeting annuel de Fratelli d’Italia. Les partis d’opposition s’insurgent contre le Tg1, accusé de faire de ‘’la publicité pour Fdl” : « Le patron de X, Elon Musk est l’invité surprise au meeting de Fratelli d’Italia qui se tiendra à Rome. Meloni et Musk ont déjà échangé sur les réseaux sociaux. Elon Musk avait exprimé son opinion sur la question de la natalité en déclarant que “l’Italie est en train de disparaitre”. Meloni avait répondu : “en continuant ainsi nous vivrons dans une société sans enfants, qui s’effondrera, mais c’est positif qu’une personne ayant autant de visibilité qu’Elon Musk en parle”. Une rencontre en juin s’était déroulée au Palais Chigi où ils ont pu discuter pendant une heure et demie, toujours au sujet de la natalité en Italie mais aussi de l’intelligence artificielle. Pendant ce temps, le PD et l’Alliance verdi-sinistra protestent contre le Tg1 (JT de Rai Uno, ndlr) pour son sujet sur le rassemblement de Fratelli d’Italia, en lui faisant “une publicité énorme. Le Tg1 est et doit être de l’information, il ne doit pas appartenir à un parti”. “Le Pd a l’habitude de contrôler (ce JT), il faut qu’il se resigne au pluralisme” réplique Igor Lezzi (Ligue). Les données des 5 mois de la direction Chiocci au Tg1 montrent “une forte présence de l’opposition, du jamais vu dans l’histoire du journal télévisé”. Le Pd reste tout de même en tête du classement en ce qui concerne le “temps de parole ”dans toutes les éditions avec 16,9% contre 15,1% pour Fdl. » 

ENTRETIEN, Quotidiano Nazionale, Adolfo Urso (Frères d’Italie), ministre des entreprises et du Made in Italy « Sur l’IA nous soutiendrons une stratégie commune aux co-investissements » : « ‘’L'Italie a pleinement soutenu la présidence japonaise du G7 et nous allons maintenant poursuivre le travail précieux qu'elle a accompli dans le cadre du processus sur l’IA d'Hiroshima avec la mise en œuvre des principes directeurs internationaux, afin de parvenir à un code de conduite international pour les organisations qui développent des systèmes d'intelligence artificielle avancés. L'intelligence artificielle doit être sûre, sécurisée et fiable dans le monde entier, selon une vision centrée sur l'homme, fondée sur des valeurs démocratiques et ne jamais nuire aux communautés. Nous avons l'intention d'explorer les différents rôles de l'intelligence artificielle dans la cybersécurité et, dans ce domaine, nous travaillerons également pendant la présidence italienne du G7 pour promouvoir l'adoption par les différents acteurs impliqués d'une stratégie pluriannuelle de co-investissement dans les domaines stratégiques des technologies de nouvelle génération. En ce qui concerne les matières premières critiques, nous travaillons avec le ministre Pichetto Fratin (Forza Italia) sur une carte actualisée des mines qui pourront contribuer aux objectifs européens communs et au cadre législatif pour favoriser l'activité des entreprises, y compris le recyclage, où elles sont à l'avant-garde en Europe. L'Italie jouera son rôle, en tant que protagoniste. En ce qui concerne le pacte de stabilité, l'Italie adopte une position sérieuse et responsable en Europe. Le thème central pour nous reste celui de l'investissement, et donc du développement. Des règles trop strictes seraient un obstacle à la croissance" ». 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Nigel Farage a terminé troisième dans I'm a Celebrity.

Reform UK.jpg

Royaume-Uni. Nigel Farage est rentré d’Australie à Londres ce 13 décembre, après avoir participé à l’émission I'm a Celebrity Get Me Out of Here ! Il a terminé troisième de la série de cette année.

(https://www.itv.com/imacelebrity)

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/12/09/nig...)

Guy Parmelin et Albert Rösti ont été réélus ministres.

UDC.jpg

Suisse. Les UDC (SVP en allemand) Guy Parmelin et Albert Rösti ont été réélus ministres.

UDC 1.jpg

Guy Parmelin et Albert Rösti

12/12/2023

Les députés du futur parti de Sahra Wagenknecht ont fondé un groupe.

BSW.jpg

Allemagne. Les dix députés ayant quitté le parti post-communiste Die Linke afin de créer le futur parti de gauche anti-immigration autour de Sahra Wagenknecht ont fondé un groupe dont cette dernière est élue présidente. La reconnaissance de ce groupe a été demandée.

Le parti doit être lancé le 8 janvier 2024 et le congrès est prévu le 27 janvier 2024.

[Un groupe est moins qu'un groupe parlementaire.]

W 1.jpeg

Sahra Wagenknecht 

Elon Musk prendra part à l'Atreju.

FI-AN.jpg

Italie. Elon Musk prendra part à l'Atreju, la fête politique organisée par l'organisation de jeunesse de Frères d'Italie, le parti du Premier ministre Giorgia Meloni.

Musk 1.jpeg

Rencontre du Nouvel An du FPÖ.

FPÖ.jpg

Autriche. Le FPÖ tiendra sa rencontre annuelle du Nouvel An en Styrie, à Premstätten, le 13 janvier 2024, en présence du président fédéral du FPÖ Herbert Kickl et du président du FPÖ de Styrie Mario Kunasek.

FPÖ 1.jpeg

"Les flux migratoires en direction de l’Europe ont atteint des records au cours des douze derniers mois, Frontex lance l’alerte."

FI-AN.jpg

Ligue.jpg

Italie. Revue de presse. 

Le dernier jour de travaux de la COP28 et notamment la proposition des Emirats Arabes Unis fait la Une de plusieurs quotidiens : « Cop28, les cheiks défendent les carburants fossiles et l’Europe menace de mettre son véto » (Repubblica), « Le pétrole pendant encore 30 ans » (Avvenire), « Fin du tabou du pétrole » (Il Giornale). D’autres sujets sont cités « Proche Orient : l’Europe propose des sanctions contre le Hamas » (Corriere della Sera), « Migrants et entreprises, le revers de l’UE [aux demandes du gouvernement italien] » (Stampa), « Fonds européens, 40 décrets manquent à l’appel » (Sole 24 Ore), « La visite du président ukrainien V. Zelensky aux Etats-Unis : ‘’interrompre les aides serait un cadeau pour Poutine’’ » (Messaggero). 

Les JT couvrent essentiellement les déclarations de Giorgia Meloni sur les avancées dans la négociation du nouveau Pacte de Stabilité et les polémiques autour du MES, la visite du président Zelensky à Washington, la disparition du journaliste russe Navalny de sa cellule, la poursuite du conflit au Proche-Orient, la conclusion des travaux de la COP28 et l’absence d’accord sur les énergies fossiles. 

COMMENTAIRE, Corriere della Sera, M.Franco, « Les reports sur le MES ralentissent le tournant pris par la Présidente du Conseil » : « Que ce soit une arme de pression pour obtenir quelque chose en plus sur la réforme d’un Pacte de Stabilité défavorable, c’est compréhensible. D’ailleurs il ne faut pas être surpris qu’il y ait un bras-de-fer en cours avec l’opposition. Auquel s’ajoute la Ligue, qui est stricte sur le “non”. Cependant, la façon dont Giorgia Meloni continue de renvoyer la ratification du MES, tout en sachant qu’elle est contrainte de l’accepter pour ne pas éveiller l’hostilité de la part de l’UE, est une autre chose. Cela souligne une nouvelle phase pour son parti Frères d’Italie toujours plus convaincu que le virage modéré se fera de façon très graduée. Il y a une compétition avec un extrémisme de droite à ne pas sous-estimer. Le “non” au MES est une thématique identitaire qui peut encore s’avérer utile. Par ailleurs, il y a encore un an et demi, Meloni qualifiait le MES de “corde au cou” pour l’Italie et une sorte d’”antichambre du commissariat financier”. Le ministre Tajani précise que le problème est le “contexte” dans lequel sera approuvé le MES. Ce même mot a été utilisé par Meloni comme prétexte pour le renvoi de la ratification. Meloni s’est défendue hier lors d’un entretien avec l’ANSA : “Mais s'il avait été urgent, la gauche aurait pu décider quand elle était au gouvernement”. La crainte est que cette approche puisse favoriser d’autres tensions avec l’UE. » 

ENTRETIEN, Il Foglio, de Fabio Rampelli (Frères d’Italie), vice-président de la Chambre « II n’y a aucun préjugé contre le MES » : « Fratelli d’Italia n’a jamais eu de préjugés sur le MES. Quant à sa ratification, il faudra voir. Il faut qu’il soit lié à d’autres choses. Il est clair qu’il n’est pas possible de le faire sans une modification du pacte de stabilité garantissant un cadre européen différent. À ce moment-là, si l'UE le considère comme indispensable, si possible avec quelques modifications, par exemple une modification qui démocratise l'instrument, nous ne pourrons pas nous y opposer. Mais il faut alors le placer dans ce contexte. Nous faisons partie des différentes nations composant cette institution supranationale qui s’appelle Union Européenne et il est juste que les victoires et les concessions puissent s’alterner, sans devoir signer un chèque en blanc. Avec le MES, le gouvernement est en train d’agir de cette manière et je crois qu’il s’agit d’une méthode – qui n’a pratiquement jamais été adoptée pendant des décennies – avec laquelle l’Etat italien devrait interagir avec l’UE. Contrairement à ce que certains disent, nous ne sommes ni autoritaires ni anti-européens, nous sommes en train de faire ce que font d’autres Etats : nous sommes en train de défendre les intérêts de l’Italie. Quant à la ratification du MES, l’orientation est celle de la reporter, en raison d’un nombre de décrets qui nécessitent d’être adoptés par le Parlement, outre les travaux sur la loi de finances. Ce n’est pas une stratégie du report. Comme tous le savent, cela fait l’objet d’un échange entre notre Présidente du Conseil et la Commission, pour trouver une solution sur un système plus large, un contexte pouvant faire du MES un instrument utile. En revanche, sans une modification du Pacte de stabilité qui soit satisfaisante, d’autres circonstances pourraient contribuer à créer une tempête parfaite.’’ »

ANALYSE, Sole 24 Ore, L. Palmerini « La nécessité de faire le point sur la politique étrangère, du MES à Kiev en passant par Vox » : « La première année a été cruciale pour Meloni, notamment en politique étrangère, car il était nécessaire d’obtenir de la crédibilité et surmonter les méfiances qui étaient pourtant présentes. Sur ce point, Meloni n’a pas déçu car la ligne italienne atlantiste a été confirmée tout comme la ligne européenne, malgré son passé et quelques déclarations récentes. Plein soutien à Kiev, donc, ainsi qu’à Israël, dans le sillage de la ligne ‘’deux peuples, deux Etats’’, et dialogue ouvert avec l’Europe, comme quand Meloni a déclaré hier qu’elle entrevoyait une « lumière » sur le Pacte de Stabilité. Tout va donc bien ? Il y a, en effet, beaucoup d’inconnues et d’ambiguïtés à dissiper avant de pouvoir dire cela. Au-delà de la question du MES, il y a d’autres dossiers pouvant être glissants. Sur l’Ukraine, si en 2024 Trump devait remporter les élections, Meloni devra corriger le tir. Si les Etats-Unis devaient faire un pas en arrière et laisser à l’Europe la tâche de faire respecter le droit international, Meloni serait-elle prête à soutenir un rôle plus fort de l’UE et donc une plus grande intégration ? Bref, un retrait de Washington – éventuel et pas du tout impossible – mettrait le gouvernement italien devant ses contradictions. Le MES n’est qu’un préambule sur les difficultés du gouvernement à changer de cap. Quand elle revendique pour l’UE ‘’un rôle non secondaire’’ sur Israël, cela implique une réforme de la gouvernance européenne. Or, sur ce point, elle n’a rien proposé. Elle s’est juste bornée à diluer un passé eurosceptique sans prendre de décision claire. Par ailleurs, au meeting annuel de Frères d’Italie, elle a invité Abascal le 17 décembre 2023 , le dirigeant de Vox. Ce dernier a suscité un tollé en expliquant à l'occasion de l'intronisation du nouveau président argentin que ‘’le peuple voudra un jour pendre par les pieds Pedro Sanchez’’. Ce même Sanchez que Meloni rencontrera pour négocier le Pacte de Stabilité. Les ambiguïtés font surface. En 2024, il y aura le retour des règles budgétaires et pour Rome, c’est la saison des pourparlers avec l’UE qui s’ouvre. Combien peut durer ce double registre mélonien ? » 

SONDAGES, La Repubblica, de V. Conte, « Les primes spécifiques pour le recrutement des femmes n’aboutissent qu’à peu d’embauches ; la parité au travail reste un vœu pieux. » 

ARTICLE, La Repubblica, d’A. Ziniti, « Les flux migratoires en direction de l’Europe ont atteint des records au cours des douze derniers mois, Frontex lance l’alerte » : « Avec l’automne, en octobre, novembre et probablement décembre, il y a eu une légère inflexion des arrivées clandestines par rapport au reste de l’année 2023. Toutefois, en Italie, les flux ont atteint des niveaux historiques, avec 153 000 arrivées enregistrées par le ministère de l’Intérieur, soit un peu moins que le record de 181 000 arrivées clandestines en 2016. C’est par l’Italie que sont arrivés plus de la moitié des migrants entrés clandestinement en Europe, 355 300 au total. Après la pandémie, la route de la Méditerranée centrale est devenue la plus empruntée, avec un changement perpétuel des points de départ, des modalités, des embarcations, ou des nationalités des migrants. Au cours des onze premiers mois de l’année, le flux a augmenté de 60% sur cette route, un échec donc pour le gouvernement Meloni qui a axé sa politique migratoire sur la lutte à l’activité des ONG et sur les accords avec les pays de départ et de transit. Un résultat plus que décevant même si en novembre il y a eu une baisse de 24%. Frontex indique toutefois que sur l’ensemble des routes migratoires la baisse a été de 25%, soit 20 000 personnes en moins. Les trois nationalités les plus représentées sont les Syriens et les Afghans, mais aussi et c’est nouveau, les Guinéens (18 000), plus nombreux que les Tunisiens (17 000). Les victimes sont plus nombreuses elles aussi, avec 2500 décès enregistrés pour 2023 en Méditerranée centrale. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

11/12/2023

Le Parti du Peuple danois dénonce la restriction à la liberté de brûler le Coran.

DF.jpg

Danemark. Le député du Parti du Peuple danois Mikkel Bjørn Sørensen déclare, à propos de l’interdiction de brûler le Coran au Danemark, que le pays se plie désormais aux exigences des régimes dictatoriaux du Moyen-Orient de restreindre la liberté d'expression danoise.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/12/07/le-...)

Le PiS et la Confédération votent contre le fait que Donald Tusk soit Premier ministre.

PiS.jpg

Suwerenna Polska.png

Konfederacja.jpeg

Pologne. Le PiS et la Confédération votent contre le fait que le libéral Donald Tusk soit Premier ministre.

Tusk 1.jpeg

Les 18 députés de la Confédération ont voté contre le gouvernement PiS.

PiS.jpg

Konfederacja.jpeg

Suwerenna Polska.png

Pologne. Le gouvernement conservateur de Mateusz Morawiecki (Droit et justice - PiS) n’a pas obtenu la confiance lors du vote à la Chambre des députés. 190 ont voté pour, 266 contre et 4 n’ont pas voté.

Les 18 députés de la confédération (nationalistes) ont voté contre.

Pologne 1.jpeg

Pologne 2.jpeg

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/11/29/art...)

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/10/18/le-...)

"Tensions autour du Mécanisme européen de stabilité (MES), la majorité se divise sur le report de la ratification."

FI-AN.jpg

Ligue.jpg

M5S.jpg

Italie. Revue de presse. 

Plusieurs sujets se partagent les Unes ce matin : « Tensions autour du Mécanisme européen de stabilité (MES), la majorité se divise sur le report de la ratification et les oppositions dénoncent une « farce » » (Corriere della Sera). 

ENTRETIEN, Il Messaggero, d’Antonio Tajani (Forza Italia), vice-Président du Conseil, ministre des Affaires étrangères et coordinateur de Forza Italia, « Aux élections régionales nous présenterons les Présidents de régions sortants, et il n’y aura pas de troisième mandat possible » : « Sur la ratification du Mécanisme européen de stabilité, un mois de plus ou de moins ne change rien. C’est une question de politique macro-économique, le calendrier importe peu. L’Europe doit soutenir l’économie réelle et même si Forza Italia est favorable à une ratification du MES, cela ne suffit pas, il faut parfaire le système global également formé par le Pacte de Stabilité, l’union bancaire et l’harmonisation fiscale. Sur ces deux derniers points, je m’attends à des ouvertures de la part des autres pays membres. J’ai notamment abordé le sujet lors de la dernière visite à Berlin et j’appelle tous les partis italiens à réfléchir à leur projet en matière d’union bancaire et de fiscalité. Quant à la négociation sur le Pacte de Stabilité, nous n’accepterons pas les propositions néfastes pour l’Italie. Les pays frugaux ne sont pas des pays industriels mais doivent tenir compte de nos positions et de nos critiques en tant que deuxième pays industriel d’Europe, partagées également par d’autres pays, comme la France. J’espère qu’un accord pourra être trouvé d’ici Noël mais pas si les règles nous pénalisent, autrement on risque de provoquer les mêmes dégâts énormes qu’en 2008. Au Parlement européen, la majorité idéale serait composée selon moi des Populaires, des Conservateurs et des libéraux. L’UE fonctionne différemment de l’Italie et l’on peut appartenir à des familles politiques différentes, ceci dit je n’ai rien contre la Ligue qui serait la bienvenue sans problème dans la famille politique du PPE. En revanche nous ne voulons pas de l’AfD ni de Le Pen car nous avons des valeurs différentes et personne ne s’allierait avec eux. Les intentions de vote pour Forza Italia sont en croissance constante d’après tous les sondages, notre objectif est de dépasser les 10%. Berlusconi a laissé un fort héritage politique en mesure de lui survivre, le Congrès du parti se réunira les 23 et 24 février prochains à Rome. Lors des prochaines élections régionales [en Sardaigne, Basilicate, Abruzzes, Ombrie et Piémont], nous respecterons l’usage qui est de présenter à nouveau les présidents sortants, nous ne prétendons pas à ce que davantage de candidats Forza Italia soient présentés pour le centre-droit. De nombreux ministres et de bons présidents de régions sont issus de Fratelli d’Italia, ce n’est pas le moment de polémiquer. Je suis contre la possibilité d’effectuer un troisième mandat, comme le voudraient notamment les présidents léghistes Zaia et Fedriga mais aussi De Luca (Parti démocrate) et Toti (Italie au centre). Concernant la Loi de Finances, nous parviendrons la faire voter dans les temps. Forza Italia a soulevé la question des retraites, du logement et de la sécurité. L’inflation recule et il est temps d’abaisser également les taux d’intérêts. Nous travaillerons sur ce point de façon à demander à la BCE une intervention rapide. » 

ENTRETIEN, La Repubblica, de Gilberto Pichetto Fratin (Forza Italia), ministre de l’Environnement et de la Sécurité énergétique, « Nous sommes favorables au nucléaire mais pas à de nouvelles centrales. » 

ARTICLE, Corriere della Sera, M. Galluzzo, « Accord sur le Mes : Meloni exige d’abord des réponses sur le budget de l’UE et le Pacte de stabilité ». « La discussion à la Chambre des députés sur la ratification du Mes est prévue pour le 14 décembre. Le jour même, Meloni sera à Bruxelles, occupée au Conseil européen par le dernier sommet de l’UE de l’année. Il y a tout juste deux mois, Christine Lagarde avait demandé à Meloni des nouvelles sur le Mes et sur le retard italien. La première ministre avait rassuré la BCE ; l'Italie approuvera le Mécanisme de stabilité dès lors que Rome aura vu les résultats atteints concernant le budget européen et le Pacte de stabilité. L’opposition pointe du doigt le Palais Chigi, Gelmini juge le renvoi éternel d’un vote au Parlement comme une “farce”, une perte de crédibilité spectaculaire et constante de l’Italie. Meloni ne partage pas cet avis, au contraire, elle est convaincue qu’à la fin, dans le chapitre numéro un du “paquet” de la révision du budget, l’Italie puisse s’attendre à un résultat élogieux, comme couronnement d’un an de demandes concernant l’immigration. L’objectif est celui d’avoir un chiffre rond compris entre 2 et 8 milliards d’euros, pour la dimension externe des politiques migratoires de l’Union européenne.  Un résultat dont l’Italie profiterait et qu’elle pourrait présenter comme une victoire, permettant de mieux faire passer la pilule de la ratification du MES. »

ENTRETIEN, La Verità, de Marco Zanni, chef de groupe de la Ligue au Parlement Européen « Ceux qui insistent avec les règles contraignantes cherchent à nous arrêter » : « ‘’Après la pandémie, tous les pays se sont endettés de manière importante. L’austérité du Pacte de Stabilité actuel, qui sera rétabli le 1er janvier 2024, sera encore plus insoutenable surtout maintenant que la politique monétaire est restrictive. Le rôle d’amortisseur joué par les banques centrales dans l’achat de dette publique est en train de diminuer. Enfin, tout le monde parle de transition numérique, énergétique et environnementale comme de la plus grande transformation industrielle. Or, pour ce faire, il faudra des centaines de milliards d’investissements. Comment feront les pays membres pour trouver les couvertures ? ils devront faire des réductions de dépenses, y compris dans les investissements. Cela fait des dizaines d’années que la Ligue rappelle que l’austérité est contre-productive. Maintenant, on commence à reconnaitre que nous avons raison. La proposition de révision du Pacte de Stabilité, au-delà des chiffres et des « zéro virgule », doit changer de stratégie, il faut miser sur le moteur de la croissance. Dans la nouvelle proposition, il y a des mécanismes d’application qui sont même plus contraignants, laissant moins d’espace pour une négociation de bon sens entre un Etat membre et la Commission. Mais cela est possible, en revanche, avec le pacte actuel. Notre famille d’appartenance européenne, Identité et Démocratie, fait peur car notre projet pourrait chambouler les équilibres de pouvoir qui ont dirigé l’Union pendant toutes ces années. Les rumeurs sur Draghi à la tête de la Commission Européenne ? La Ligue a payé un prix important en termes de popularité en entrant dans son exécutif et le soutenir maintenant n’aurait pas de sens. Draghi a de bonnes qualités mais certainement pas politiques. Il faut faire des compromis et des accords, chose qu’il n’est pas en mesure de faire ou qu’en tout cas il ne veut pas faire. Enfin, quant aux carburants synthétiques [que la Commission voudrait imposer] la technologie nécessaire n’est actuellement pas disponible et ils devront se rendre à l’évidence que c’est du biocarburant dont on a besoin.’’ » 

ARTICLE, La Stampa, F. Grignetti « Le tour de passe-passe sur les migrants mineurs » : « C’est une mesure voulue, ayant une forte valeur symbolique et fortement politique. Le gouvernement a décidé de récupérer de l’argent sur le fonds destiné aux migrants, notamment sur les mineurs non accompagnés, afin d’obtenir plus de fonds pour financer les retraites des agents de police et du personnel des forces armées. C’est ainsi que le fonds pour les mineurs, à hauteur de 68 millions d’euros, connaitra une baisse d’environ 15 milliards dans la version définitive de la loi de finances. Les demandeurs d’asile âgés de 16 à 18 ans seront automatiquement fléchés sur l’échelon des adultes : le coût par jour de la prise en charge d’un mineur varie de 70 à 100€ par jour (et autour de 30€ pour les adultes). L’argent épargné ne sera plus versé aux municipalités gérant l’accueil des migrants. Il s’agit d’un escamotage légal car, normalement, les mineurs ont droit à un parcours spécial, prévoyant un grand nombre de garanties et un traitement particulier. Il s’agit donc d’une grosse économie, au vu du phénomène migratoire de mineurs non accompagnés (16 000 sont arrivés en Italie cette année, auxquels s’ajoutent les 10 000 arrivées de l’année passée). Pour M. Biffoni, maire PD de Prato et responsable des affaires migratoires de l’ANCI (association nationale des mairies d’Italie) ‘’c’est un choix inacceptable du point de vue éthique et politique’’. » 

ARTICLE, La Stampa, A. Ghisleri « L’année 2024 inquiète un Italien sur deux, seuls les jeunes demeurent optimistes » : « Selon un sondage d’Euromedia Research, dans un contexte de conflit au Proche Orient et d’autres sources d’instabilités géopolitiques, un Italien sur quatre (25,3%) déclare « attendre de voir » ce qui se passera en 2024. Parallèlement, l’optimisme et la confiance pour 2024 augmentent (17,8%), tout comme le sentiment de peur (17%) et de colère (10,3%). L’optimisme se retrouve surtout parmi les personnes ayant un revenu élevé (36,6%), tandis que les catégories moins favorisées se déclarent plus résignées que la moyenne (23,6% contre 17.7% pour les réponses globales) ou déclarent davantage que les autres avoir peur (22,8% contre 17%) ou éprouver de la colère (13,4% contre 10.3%). Toutefois, face à un choix cornélien entre optimisme et pessimisme, seules 36,5 % des personnes interrogées déclarent aujourd'hui envisager 2024 avec confiance, contre 37,3 % en janvier dernier. Parmi les personnes les plus optimistes, figurent les électeurs des partis composant la majorité (28,7% pour Fdi, 27,4% pour la Ligue et 26,2% pour Forza Italia), contrairement aux électeurs des partis d’opposition (16,9% du PD ; 15,3% du M5S et 4,9% pour +Europa et Alleanza Verdi Sinistra). Par rapport à janvier 2023, la côte popularité de Meloni se situe aujourd’hui à 39,7% (+1,9 points en un an) ; alors que celle du gouvernement fléchit légèrement, et s’établit à 35,5% (-0,1). » 

ARTICLE, E. Mauro, La Repubblica« Le nouveau désordre mondial » : « Le changement de scénario autour de la guerre russe en Ukraine n'a pas seulement une signification stratégique et militaire, mais immédiatement politique : et même morale. Et l'Occident risque de sortir bien titubant de cette guerre européenne qui porte en réalité sur l'avenir du monde. Formellement, le cœur de l'engagement à soutenir Kiev tient, mais en réalité en coulisses on sent une tendance différente : en Amérique, les Républicains ralentissent l'aide et paralysent le fonds de 60 milliards proposé par Biden, en attendant Trump ; en Europe, Orbán bloque par son veto le paquet de 50 milliards de soutien à l'Ukraine, comptant sur l'appui de la nouvelle droite en Slovaquie et aux Pays-Bas. Partout, le souverainisme excite les égoïsmes nationaux, voyant dans les accords de solidarité le fantôme des nouveaux internationalismes à fuir. Mais même à gauche, la noblesse du mot "paix" met en sourdine les solutions qui pourraient nous rapprocher de la fin du conflit, à n'importe quel prix, puisque les Ukrainiens paieraient directement la facture. En Italie aussi, à droite comme à gauche et dans l'opinion publique, déjà affectée par la pression constante de la crise et maintenant touchée par la guerre, se divise. Comment, et avec quelles conséquences, arriver à sa fin, cela n'a pas d'importance, et en tout cas n'est pas dit. Le mot le plus noble de l'histoire de l'humanité - la paix - recouvre tout. Sans comprendre qu'une paix injuste basée sur l'abus n'est pas une pacification mais une usurpation.  La guerre radicalise en fait toutes nos contradictions, nous obligeant à les regarder en face. Nous ne réalisons pas qu’elle nous concerne aussi : et nos réactions assurent déjà à Poutine que les démocraties ne sont pas à la hauteur des valeurs auxquelles elles prétendent croire. Le Kremlin se félicite que "les 500 ans de domination occidentale sur le monde touchent à leur fin”, comme l’a annoncé hier le ministre des affaires étrangères Lavrov. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Thuringe : le FDP, la CDU et l'AfD votent une nouvelle fois ensemble.

AfD.jpg

Allemagne. Thuringe. Les libéraux du FDP et les démocrates-chrétiens de la CDU ont, une nouvelle fois, modifié, au sein du Parlement de Thuringe, une législation avec le soutien des élus de l’AfD. Cette fois, la modification législative a pour objectif de rendre plus difficile la construction d’éoliennes dans les bois, au détriment des arbres.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/09/14/thu...)

Tom Van Grieken est réélu président du Vlaams Belang.

VB.jpg

Belgique. Flandre. Tom Van Grieken est réélu président du Vlaams Belang.

10/12/2023

District d’Oder-Spree : deux élus rejoignent le groupe de l'AfD.

AfD.jpg

Allemagne. Brandebourg. District d’Oder-Spree. Deux élus du Conseil de circonscription, qui siégeaient sans groupe, rejoignent le groupe AfD. Un siégeait autrefois au sein  du groupe post-communiste Die Linke et l’autre déjà au sein du groupe AfD, qu'il avait quitté. L’AfD a désormais 11 élus et est première, devant les sociaux-démocrates du SPD qui comptent 10 élus.

Santiago Abascal est présent en Argentine pour l’investiture du nouveau président.

Vox.jpg

Argentine et Espagne. Le dirigeant de Vox (Espagne) Santiago Abascal est en Argentine pour l’investiture du nouveau président Javier Milei.

Viktor Orbán est présent en Argentine pour l’investiture du nouveau président.

Fidesz.png

Argentine et Hongrie. Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán est présent en Argentine pour l’investiture du nouveau président argentin Javier Milei.

O 1.jpeg

Viktor Orbán et Javier Milei

09/12/2023

Nigel Farage prend part à une émission de téléréalité.

Reform UK.jpg

Royaume-Uni. Une émission de téléréalité, préambule au possible retour du Brexiter Nigel Farage :

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/royaume-uni-une-emissi...

Nigel 1.jpeg

Nigel 2.jpeg

Nigel Farage

Le parti post-communiste Die Linke a perdu son statut de groupe à la Chambre des députés.

BSW.jpg

Allemagne. Le parti post-communiste Die Linke a perdu son statut de groupe à la Chambre des députés, à la suite du départ de dix députés vers le futur parti de gauche anti-immigration Die Linke de Sahra Wagenknecht. Plus de 100 collaborateurs de Die Linke seront au chômage à partir du mois de mars 2024.

Meeting électoral final du Rassemblement national (serbe).

Dveri.jpg

SSZ.png

Serbie. Le Rassemblement national, constitué du Parti serbe des gardiens du serment (CC3 ou SSZ) et de Dveri, a organisé un rassemblement électoral final en vue du scrutin législatif du dimanche 17 décembre 2023.

RNS 1.jpeg

RNS 2.jpeg

Milica Đurđević Stamenkovski (Parti serbe des gardiens du serment - CC3 ou SSZ) et Boško Obradović (Dveri)

RNS 3.jpeg

RNS 4.jpeg

(https://nacionalnookupljanje.rs/)

Rassemblement international à Belgrade à l'invitation du Rassemblement national (Serbe).

SSZ.png

Dveri.jpg

Mi Hazank.jpg

Възраждане.jpg

AfD.jpg

Serbie et UE. Milica Đurđević Stamenkovski (Parti serbe des gardiens du serment - CC3 ou SSZ) et Boško Obradović (Dveri), qui sont les dirigeants du Rassemblement national (Serbie), estiment nécessaire la formation d’une alliance plus large de forces souverainistes issues de pays d’Europe afin d’arrêter la crise des migrants. Ils ont organisé, ce 9 décembre 2023, à Belgrade un conférence à laquelle ont pris part le dirigeant de Mi Hazánk (Notre patrie) László Toroczkai (Hongrie), le dirigeant de Renaissance Kostadin Kostadinov (Bulgarie) et le député fédéral de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) Rainer Rothfuss.

RNserbe.jpg

Milica Đurđević Stamenkovski (SSZ), Boško Obradović (Dveri) et AndrejMitic (Dveri)

Auparavant, les représentants de ces partis ont déposé une couronne de fleurs devant le monument à la mémoire de Milica Rakić, une jeune fille décédée lors des bombardements de l'OTAN en 1999.

Belgrade 1.jpeg

Kostadin Kostadinov, László Toroczkai et Milica Đurđević Stamenkovski et, agenouillé, Rainer Rothfuss

(https://nacionalnookupljanje.rs/)

Pays-Bas : l'éclaireur estime que quatre partis doivent se parler et d'abord de questions de principes.

PVV.jpg

Pays-Bas. L’éclaireur PvdA (travailliste) Ronald Plasterk estime que les partis anti-islamisation PVV, des agriculteurs BBB, NSC (Nouveau contrat social) de Pieter Omtzigt et libéral de droite VVD doivent se parler. Avant de discuter de contenu, ceux-ci doivent parler de questions de principes.

Les questions de principes portent sur les positions du PVV mises de côté, comme l’interdiction du Coran et des mosquées, sur le fait de déterminer si les positions de ces quatre partis ne sont pas trop éloignées et quel type de gouvernement/coalition faut-il former – le VVD et le NSC préférant soutenir de l’extérieur un exécutif auquel ils ne prendraient pas part.

08/12/2023

"Un gouvernement FPÖ se serait occupé depuis longtemps de faire chuter le prix du carburant !"

FPÖ.jpg

Autriche. 

FPÖ 2.jpeg

Herbert Kickl, président du FPÖ : "Un gouvernement FPÖ se serait occupé depuis longtemps de faire chuter le prix du carburant !"

Vladimir Poutine se présentera à l’élection présidentielle de mars 2024.

Russie Unie.jpg

Russie. Les médias russes annoncent que Vladimir Poutine se présentera à l’élection présidentielle de mars 2024.

L'AfD de Saxe classée "extrémiste de droit certain".

AfD.jpg

Allemagne. Saxe. L’Office de Saxe de protection de la Constitution classe désormais l’AfD de Saxe en tant qu’« extrémiste de droit certain ». La principale raison de cette décision est la conception du peuple qu’aurait l’AfD de Saxe qui, selon cet organisme saxon, n'est pas compatible avec la Constitution. Elle estime que, « pour de nombreux élus de l’AfD, l'acquisition de la nationalité allemande est liée exclusivement à des ‘’critères ethno-biologiques’’ ou ‘’culturels’’ », ce qui viole la garantie de la dignité humaine inscrite dans la Constitution.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/11/10/sax...)