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27/10/2023

Des nouvelles de Thierry Baudet, suite à l'agression dont il a été victime.

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Pays-Bas. Des nouvelles de Thierry Baudet, suite à l'agression dont il a été victime : il souffre d’une légère commotion cérébrale, mais se porte bien. Il est chez lui avec sa famille, qui est très choquée, et a besoin de temps pour se remettre. Une plainte a été déposée contre l'auteur de l'attaque.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/10/26/le-...)

"Les immigrés viennent, les vacanciers pas."

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Allemagne.

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"Les immigrés viennent, les vacanciers pas : tourisme plutôt que tourisme social ! L'Allemagne a besoin de nouvelles élections !"

"Fiscalité, Meloni fait marche arrière."

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Italie. Revue de presse. 

Les tensions au sein de la majorité sur la finalisation de la loi de finances, en vue de son adoption au Parlement, fait les gros titres : « Budget, tension entre les alliés » (Corriere della Sera), « Fiscalité, Meloni fait marche arrière » (La Repubblica)« Tensions au sein du gouvernement sur les retraites et les comptes courants » (La Stampa), « Les modifications pour les retraites et le changement sur le prélèvement automatique [des taxes sur les comptes courants des contribuables retardataires] » (Il Messaggero). La crise au Proche Orient est aussi citée en Une : « Les tanks à Gaza, le Hamas à Moscou » (Corriere), « Le plan des Etats-Unis et de l’UE : renforcer l’Autorité Palestinienne pour obtenir la paix » (Repubblica) « Le Hamas demande de l’aide à Poutine » (Stampa), « Le Pape à Erdogan : « deux peuples, deux Etats et un statut spécial pour Jérusalem » » (Sole 24 Ore). 

Les JT couvrent essentiellement le débat politique sur la finalisation de la loi de financesles frappes israéliennes sur Gaza, la visite des représentants du Hamas à Moscou, la fusillade dans le Maine et la décision de la BCE de ne pas hausser son taux directeur 

COMMENTAIRE, Corriere della Sera, M. Franco : « Un désaccord sur les comptes qui accroît la confusion » : « Qualifier la loi de finances qui doit être adoptée de simple "brouillon" est bien plus qu'une prise de distance. Dans le lexique de la Ligue, qui n'a pas obtenu grand-chose jusqu'à présent, cela apparaît comme une demande de la repenser en profondeur, et en particulier sur les retraites et les impôts. Il est vrai que le vice-président du Conseil et ministre Matteo Salvini a tendance à se distinguer sur presque tous les sujets abordés par Giorgia Meloni. Compétition électorale, dit-on. Mais dans ce cas, on devine un mécontentement plus profond que le gouvernement peine à gérer. Les mesures annoncées jusqu'à présent contredisent de manière frappante certaines des promesses du chef de la Ligue, qu’il a réitérées ces dernières semaines. Cela les incite à refuser, de façon préventive, des mesures controversées, comme celle qui prévoyait un prélèvement direct sur les comptes courants des citoyens qui ne payent pas leurs dettes avec le fisc. Pour Salvini qui théorise la "paix fiscale" et pour FI qui s'oppose à l'"oppression fiscale", cela sonnerait comme une gifle, confirmant leur perte de poids politique. Les critiques résument aussi les doutes de nombreux membres de la coalition de droite lorsqu'ils avertissent Meloni et Giorgetti (Ligue) que la ‘ loi Fornero ‘ sur les retraites doit être dépassée. Le texte en discussion est, au contraire, un pas en arrière sur la question des retraites anticipées. » 

ARTICLE, Corriere della Sera, M. Galluzzo « Meloni partage la ligne convenue au téléphone avec la quasi-totalité des pays du G7 » « La position de Giorgia Meloni s'est cristallisée il y a trois jours lors de l'appel téléphonique à six avec le Président américain, les deux alliés européens, Berlin et Paris, le gouvernement de Londres et le Premier ministre canadien. C'est au cours de cet appel que les chefs d'État et de gouvernement représentant la quasi-totalité du G7, qui sera coordonné l'année prochaine par l'Italie, ont raisonné sur le moyen terme et se sont fixé un objectif : identifier une classe dirigeante palestinienne faisant autorité, différente du passé et capable d'être un interlocuteur crédible pour l'Occident. Si ce raisonnement semble prématuré, c'est pourtant dans cette optique que la Présidente du Conseil s'est présentée hier après-midi à Bruxelles, peu avant le début du Conseil européen. Pour Mme Meloni, l'Occident a été distrait, en quelque sorte coupable, pendant trop longtemps. Cela s'est produit avec la Russie, cela pourrait se produire dans les Balkans entre le Kosovo et la Serbie, et cela se produit au Proche-Orient. Chaque fois que les grandes démocraties ont détourné le regard, ou n'ont pas suffisamment investi dans des efforts diplomatiques efficaces, les conséquences ont été lourdes. Mme Meloni a beaucoup insisté sur le rôle que l'Union européenne, avec ses faiblesses et ses fluctuations, n'a pas su jouer jusqu'à présent. Ce point a été est central et corollaire de l’échange qu'elle a eu avec ses principaux alliés, à commencer par Washington : "Je crois que l'un des outils les plus efficaces pour vaincre le Hamas est de donner une solution concrète et opportune à la question palestinienne, de donner plus de poids à l'Autorité palestinienne. C'est un rôle que l'UE peut jouer et certainement l'une des grandes clés à moyen terme". Bref, il s’agit d’une voie à tracer, à construire, mais qui ne peut être suffisant. ‘’Il y a un engagement, a-t-elle ajouté, en faveur de la désescalade, pour éviter un conflit qui pourrait prendre des proportions inimaginables. Il me semble qu'il y a une unité d'objectif et le débat servira certainement à comprendre concrètement ce que l'UE peut faire. Je pense que l'UE peut jouer un rôle important". Un espoir qui est aussi une sollicitation, puisque quelques heures plus tard, l’UE s'est retrouvée divisée pendant plusieurs heures sur le message à adresser à Israël : pour un cessez-le-feu humanitaire ou pour un cessez-le-feu tout-court, comme le souhaitent l'Espagne et la Belgique, identifiant ainsi une nouvelle division du Conseil en une nuit. Les chefs d'État et de gouvernement de l'UE ont déjà exprimé leur position sur la crise dans la déclaration adoptée le 15 octobre, dans laquelle ils condamnent les attaques terroristes du Hamas avec la "plus grande fermeté" ; ils demandent instamment la libération des otages ; ils soulignent le droit d'Israël à se défendre conformément au droit international et l'importance de garantir, à tout moment, la protection de tous les civils conformément au droit international humanitaire. Cependant, pour Meloni, ils devraient maintenant aller plus loin, "prendre une position de leader", ce qui, cependant, reste à construire. » 

ARTICLE, Il Foglio, S. Canettieri « Le dossier brûlant du Kosovo finit par unir Meloni, Macron et Scholz » : « Les vieilles habitudes changent, parfois. Pendant un an, une fois arrivée à Bruxelles, Giorgia Meloni n’avait même pas le temps d’enlever sa veste qu’elle retrouvait à huis clos le Polonais Morawiecki et le Tchèque Fiala. Cette fois-ci, ce n’est plus le cas. Avant le début du Conseil Européen, la Présidente du Conseil a passé une bonne heure avec O. Scholz et E. Macron à l’hôtel Sofitel. On fait savoir que cette concertation avait pour but de discuter de la manière d’éviter une nouvelle guerre, cette fois-ci en Europe et juste en face de l’Italie. Après le front ukrainien désormais cristallisé et celui explosif au Proche Orient ‘’il n’est pas possible de se permettre un conflit entre le Kosovo et la Serbie’’. Samedi dernier, les conseillers diplomatiques de l’Italie, de la France et de l’Allemagne se sont rendus à Pristina et à Belgrade. Les trois dirigeants européens, lors de deux rencontres différentes, ont parlé et écouté d’abord le président de la République Serbe, puis le Premier ministre de la République du Kossovo. L’objectif est d’avancer dans le dialogue. Meloni, Scholz et Macron demandent aux deux parties de confirmer leur engagement à mettre en place les propositions de l’UE et de s’abstenir de gestes pouvant compromettre le dialogue. Au Kosovo, au sein du contingent de l’ONU, qui maintenant est passé sous la direction de la Turquie, l’Italie compte le nombre le plus élevé de soldats. Ce détail n’est pas secondaire face à la possibilité d’une escalade. Les trois dirigeants européens logent donc dans le même hôtel, l’« Amigo », et d’autres réunions plus ou moins informelles pourraient se tenir à tout moment. Meloni porte avec elle le dossier immigration, qui toutefois ne devrait pas être abordé par ce Conseil européen. Meloni exprime néanmoins sa satisfaction pour la lettre d’U. von der Leyen sur les mouvements primaires et la défense des frontières. La route pour arriver à des actes concrets est cependant encore bien longue. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Article de Lionel Baland à propos de la naissance, autour de Sahra Wagenknecht, de la gauche anti-immigration en Allemagne et de l'éventuelle possibilité de l'émergence d'un front transversal entre les nationalistes et cette gauche.

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Allemagne.  La naissance, autour de Sahra Wagenknecht, de la gauche anti-immigration :

https://www.breizh-info.com/2023/10/27/225980/la-gauche-a...

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26/10/2023

Le président du Forum voor Democratie Thierry Baudet a été attaqué au parapluie.

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Belgique et Pays-Bas. Le président du parti patriotique néerlandais Forum voor Democratie et écrivain Thierry Baudet a été attaqué au parapluie, avant une conférence à Gand (Gent) en Belgique.

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(https://www.nieuwsblad.be/cnt/dmf20231026_96598541)

La CSU et les Électeurs libres ont conclu un accord afin de continuer à gouverner ensemble la Bavière.

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Allemagne. Bavière. La CSU et les Électeurs libres ont conclu un accord afin de continuer à gouverner ensemble la Bavière.

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(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/10/09/bav...)

Reform UK est donné à 8 %.

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Royaume-Uni. Reform UK est donné à 8 % au sein d’un sondage YouGov.

La Slovaquie arrête la livraison d'armes à l'Ukraine.

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Slovaquie. Le nouveau gouvernement réunissant deux partis sociaux-démocrates et le parti nationaliste SNS a décidé d'arrêter les livraisons d'armes à l'Ukraine. La Slovaquie se concentrera sur l'apport d'une aide humanitaire et civile. Le Premier ministre social-démocrate Robert Fico déclare : « L'arrêt immédiat des opérations militaires est la meilleure solution pour l'Ukraine. »

Giorgia Meloni : "Je gouverne depuis un an, je vais continuer pendant encore quatre ans."

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Italie. Revue de presse. 

Les nouveautés fiscales prévues par la loi de finances sont citées : « Retraites, des coupes à hauteur de 4% en cas de départ anticipé à 63 ans » (Sole 24 Ore), « Les contribuables retardataires se verront prélever de l’argent directement sur leur compte courant » (Stampa). 

ARTICLE, Corriere della Sera, de M. Guerzoni, « De l’affection pour son entourage et un ton dur pour les autres, ‘’la majorité est unie’’ dit Giorgia Meloni » : « Le matin, Giorgia Meloni remercie les sénateurs de ne pas avoir envenimé le débat et, le soir, après un passage par la Présidence de la République, elle hausse le ton et s’en prend aux partis d’opposition sur la question des migrants, des aides de l’Etat pour la rénovation énergétique, et du salaire minimum. ‘’Je gouverne depuis un an, je vais continuer pendant encore quatre ans et à la fin de mon mandat nous demanderons aux Italiens ce qu’ils en pensent. Cela ne plait peut-être pas à certains mais c’est comme ça que la démocratie fonctionne’’ tonne-t-elle devant le Parlement, où l’allocution face aux Chambres de la Présidente du Conseil se fait plus compliquée et tendue. Meloni s’est donc exprimée en vue du Conseil européen d’aujourd’hui et demain ‘’qui ne sera ni simple ni anodin’’. C’est sa première intervention publique depuis la séparation et les révélations sur le journaliste de Mediaset et ex-compagnon de Meloni, Andrea Giambruno, qui ont risqué de déstabiliser profondément le gouvernement. Giorgia Meloni tente de contenir son irritation et de rétablir les liens avec Forza Italia, le parti de la famille Berlusconi [qui détient également Mediaset]. Elle revendique une crédibilité qu’elle est convaincue d’avoir conquis également à l’internationale, et l’appui des électeurs italiens. Le ministre léghiste Giancarlo Giorgetti, qui occupe la place de Salvini absent, hoche de la tête et Tajani applaudit. Giorgia Meloni exprime sa ‘’solidarité envers les victimes et les otages’’ du Hamas et condamne ‘’sans ambiguïté’’ ses crimes et toute forme d’antisémitisme. Elle appelle à ‘’ne pas tomber dans le piège d’un affrontement entre civilisations qui aurait des conséquences inimaginables’’. L’Italie travaille pour une désescalade et une paix basée sur le principe de ‘’deux peuples, deux Etats’’. Israël a le droit de se défendre mais sa réaction ‘’ne peut pas être guidée par un désir de vengeance’’. Les civils palestiniens sont eux aussi ‘’de victimes du Hamas’’. Des propos contenus de la motion approuvée à la majorité aussi bien au Sénat qu’à la Chambre y compris, sur certains points, par le Parti démocrate, Italia Viva et Azione. Le conflit au Proche-Orient a contraint l’Italie à réhausser son niveau de sécurité. Pour Giorgia Meloni, il est urgent d’endiguer les flux migratoires clandestins, invoquant le risque des ‘’loups solitaires’’ : ‘’il y a un lien entre terrorisme et immigration, qui est la conséquence entre autres des politiques migratoires passées’’ dit-elle alors que la gauche conteste ce lien. S’ensuit le vif échange avec les démocrates sur l’immigration et les 5 Etoiles sur le salaire minimum et le bonus écologique, dont la Présidente du Conseil et ses ministres sortent toutefois satisfaits. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

25/10/2023

Krzysztof Bosak et Slawomir Mentzen ont été reçus par le président Andrzej Duda.

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Pologne. Les co-présidents du parti nationaliste Confédération Krzysztof Bosak et Slawomir Mentzen ont été reçus par le président conservateur (Indépendant, autrefois PiS) de la République Andrzej Duda.

Devant le président de la République, la Confédération a maintenu sa position selon laquelle elle n'a pas l'intention de participer à la formation d'un gouvernement formé par le conservateur Mateusz Morawiecki ou le libéral Donald Tusk.

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L'UDC obtient 5 sénateurs au premier tour.

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Suisse. Lors du premier tour de l’élection du Sénat ce 22 octobre 2023, l’UDC a obtenu 5 sièges sur les 33 attribués. 13 sièges doivent encore l'être au second tour.

Le gouvernement slovaque regroupant deux partis sociaux-démocrates et les nationalistes du SNS entre en fonction.

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Slovaquie. Le social-démocrate patriote Robert Fico a été nommé Premier ministre. La coalition gouvernementale comprend deux partis sociaux-démocrates et le parti nationaliste SNS.

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Robert Fico

Les ministres du parti nationaliste SNS sont Martina Šimkovičová pour la Culture et Tomáš Taraba pour l’Environnement. Le troisième ministre SNS sera celui des Sports et du Tourisme, à partir du 1 janvier 2024.

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Martina Šimkovičová

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Tomáš Taraba

Le candidat initial du SNS au ministère de l'Environnement, le climatosceptique Rudolf Huliak, a été refusé par la présidente de la République.

"Budget, des retraites plus basses et plus d’impôts."

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Italie. Revue de presse. 

La nouvelle loi de Finances fait la une de la presse « Loyers, retraites : les nouveautés » (Corriere della Sera), « Budget, des retraites plus basses et plus d’impôts » (La Stampa, Repubblica), « Le tour de vis sur l’âge de départ à la retraite » (Il Messaggero), « Réduction des charges salariales pour 9,9 milliards d’euros » (Sole 24 Ore). 

PREMIER PLAN, Corriere della Sera, d’E. Marro, “Logement, retraites et TVA, la nouvelle Loi de Finances » : « Le texte de la Loi de Finances en circulation depuis hier devrait être, à peu de chose près, définitif et être présenté au Sénat d’ici la fin de la semaine, soit avec environ deux semaines de retard par rapport à l’approbation en Conseil des ministres. En effet il n’a pas été facile de développer les différents chapitres annoncés, aussi bien pour des raisons techniques qu’à cause des tensions au sein de la majorité, notamment entre la Ligue et Fratelli d’Italia, par exemple sur la question des retraites. Sur ce chapitre, plusieurs restrictions ont été introduites, contrairement à ce que souhaitait la Ligue, en particulier sur les critères pour la retraite anticipée, la question des femmes et de l’âge du départ à la retraite en général. Forza Italia aussi aurait souhaité des mesures plus généreuses, notamment sur le montant des pensions minimum. Mais la Présidence du Conseil a été très stricte et s’est accaparé la rédaction de la Loi de Finances, y compris sur les retraites pour lesquelles le ministre de l’Economie, Giancarlo Giorgetti (Ligue) a soutenu les restrictions afin d’émettre un signal de rigueur à la Commission européenne et aux marchés, agences de notation comprises. De petits ajustements sont encore possibles et l’on attend encore le rapport du gouvernement sur toutes les entrées qui lui permettront de financer les mesures annoncées, notamment la réduction des charges salariales. Une précédente version du texte de la Loi de Finances avait revu cette coupe à la baisse, tenant compte des bénéfices engendrés par la réforme de l’impôt sur la fortune, pour un coût de plus 9,6 milliards sur 2024. La Présidence du Conseil a finalement imposé un retour à la promesse initiale, qui implique une dépense de 2 à 2,5 milliards d’euros supplémentaires. Le Parlement examinera donc bientôt ce budget à hauteur de 24 milliards et la Présidente du Conseil et le ministre de l’Economie ont la ferme intention de bloquer tout amendement éventuel dans le sens des dépenses. L’opposition se prépare quant à elle à mener la bataille, sur les retraites, sur la santé mais aussi sur le logement et les locations brèves et sur la hausse de la TVA sur les produits de la petite enfance. Les syndicats de travailleur CGIL et UIL sont sur le pied de guerre et tentent de rallier à leur cause le troisième syndicat, CISL, avant d’annoncer une éventuelle grève générale. Francesco Boccia du Parti démocrate critique le gouvernement pour des mesures anecdotiques et non structurelles, comme la réduction des charges salariales qui ne vaudrait que pour 2024. Giuseppe Conte, leader du Mouvement 5 Etoiles, dénonce quant à lui des mesures favorisant ‘’l’évasion fiscale et la corruption’’. »

ARTICLE, Repubblica, C. Vecchio : « Mattarella alerte sur l’abstentionnisme. Sur le PNRR : "Il est plus important encore que le Plan Marshall" » : « Au lendemain de l'élection d'Adriano Galliani (19% des voix) (Forza Italia) au Sénat avec une décourageante participation électorale, Sergio Mattarella alerte sur ‘’la tendance inquiétante du désengagement électoral‘’. Un désintérêt qui atteint aujourd'hui des proportions inquiétantes. Les électeurs ne vont plus voter. Le chef de l'État s'est exprimé hier soir à Gênes, devant trois mille maires venus de toute l'Italie pour la conférence annuelle de l’Association Nationale des Communes Italiennes. "Il faut poursuivre avec obstination l’objectif d’une implication croissante des citoyens, en lien direct avec la question de la légitimité des élus". Mattarella fait référence au débat parlementaire en cours sur la possibilité pour les maires d'effectuer un troisième mandat (soit douze ans au lieu de huit actuellement), la suppression du deuxième tour dans les grandes villes et l'abaissement du seuil d'éligibilité à 40%. En mars, la droite avait tenté de réformer ces règles et cette volonté reste intacte. En soulignant le rôle fondamental des maires et des communes, Mattarella a également insisté sur la prise en compte de leurs revendications dans les choix faits en lien avec le PNRR. Mattarella décrit le Plan national de Relance comme une "occasion historique pour le pays, avec la mobilisation de sommes énormes, encore plus importantes que celles du Plan Marshall". » 

ENTRETIEN, La Nazione, de Carlo Bonomi, président du principal syndicat patronal italien Confindustria, « La réduction des charges salariales est une bonne chose mais j’espérais que ce soit une mesure structurelle ; il faut davantage d’investissements. »  

ARTICLE, La Stampa, de M. Bresolin, « La double alerte lancée par les dirigeants européens : l’Italie bloque le Pacte de Stabilité et le MES » : « Lundi, lors d’une visioconférence, une double alerte a été lancée pour l’économie européenne. D’abord, l’année 2023 risque de se terminer sans un accord sur la réforme du Pacte de Stabilité, un sujet très sensible pour le gouvernement italien. Ensuite, on craint de plus en plus l’échec de la ratification du mécanisme de stabilité européen (MES), qui priverait les banques de la zone euro d’une protection à hauteur de 68 milliards d’euros. Ces deux préoccupations seront évoquées vendredi à Bruxelles lors du Conseil Européen. La Présidente du Conseil devra expliquer à ses partenaires comment elle entend procéder dans les prochaines semaines pour que sa majorité respecte un engagement auquel elle ne peut déroger. Ces deux sujets ont été évoqués lundi par Charles Michel, Ursula von der Leyen, Christine Lagarde et Paschal Donohoe. Des sources européennes confirment que le Président de l’Eurogroupe C. Michel entend soulever la question du MES vendredi. Les tentatives du ministre Giorgetti d’obtenir des garanties lors des réunions des ministres européens de l’Economie ont échoué. Dans le projet de résolution du Conseil Européen on peut lire que Bruxelles et les principales chancelleries européennes estiment fondamental de pouvoir disposer du MES dès 2024. Mme Lagarde a pour sa part mis en avant la nécessité de conclure l’accord sur la réforme du Pacte de Stabilité d’ici la fin de 2023. Madrid est en train de travailler à un compromis en vue du prochain Ecofin de novembre, après que l’Allemagne et les Pays-Bas ont rappelé la nécessité de fixer des objectifs plancher pour la réduction de la dette et rejeté la proposition italienne de ne pas inclure les investissements dans le calcul des dépenses. » 

ARTICLE, Avvenire, F. Fulvi, « Migrants, un message d’ouverture : plus de fonds pour les mineurs » : « En 2024, le fonds d’accueil des migrants sera augmenté : 200 millions d'euros supplémentaires seront destinés aux communes impliquées dans le plan de répartition et d'accueil des réfugiés et des mineurs non accompagnés. C'est ce que prévoit le projet de Loi de finances ; en 2025, la dotation passera à 300 millions tandis que pour l'année suivante, le fonds repassera à 200 millions. Après la ‘’politique de répression’‘ des Centres pour le rapatriement, le gouvernement a finalement décidé de soutenir les autorités locales qui avaient dénoncé à plusieurs reprises des difficultés à mettre en place des structures et des services face à l'augmentation constante des flux migratoires. La pression exercée par les maires sur les préfectures et le ministère de l'Intérieur a eu des effets concrets. La loi de finances prévoit également une contribution d'1 million d'euros, à partir de 2024, au Fonds national de santé pour renforcer la prévention et les soins aux migrants en situation de vulnérabilité sociale et économique. Au 23 octobre, selon les données du Viminale, 15.005 mineurs étrangers non accompagnés avaient débarqué en Italie depuis le début de l'année, sur un total de 141.519 arrivées clandestines. Selon les données annoncées par la Garante de l’enfance Carla Garavatti, l’âge moyen des mineurs migrants est d'environ 17 ans, "mais il est en train de reculer à 15-16 ans". Ils viennent principalement d'Egypte et sont presque tous de sexe masculin. La Garante a insisté sur la création de "structures de premier accueil également réparties sur le territoire national" ainsi que sur un premier entretien "dont les règles doivent être fixées par un décret". Il s'agit en effet d'un "moment important pour comprendre si le mineur veut rester en Italie ou non". »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Le gouvernement suédois met en place cinq centres de retour.

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Suède. Le gouvernement de centre droit soutenu de l’extérieur par les Démocrates suédois met actuellement en place cinq centres de retour pour les demandeurs d'asile déboutés et les étrangers expulsés ou extradés vers un autre pays :  « Le centre de retour de l'Office suédois des migrations n'est pas seulement un lieu de vie, mais une activité où les personnes reçoivent des conseils, une orientation et un soutien pratique pour rentrer. »

"L'argent liquide doit rester !"

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Autriche.

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"L'argent liquide doit rester !"

George Simion et sa femme Ilinca ont un enfant.

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Roumanie. Le président de l'AUR George Simion et sa femme ont fait baptiser leur premier enfant, Ana.

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24/10/2023

L'AfD donnée à 33 % en Saxe-Anhalt !

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Allemagne. Saxe-Anhalt. Les nationalistes de l'AfD sont donnés à 33 %.

(https://www.wahlrecht.de/umfragen/landtage/sachsen-anhalt...)

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CDU : démocrates-chrétiens

AfD : nationalistes

Die Linke : post-communistes

SPD : sociaux-démocrates

FDP : libéraux

Grüne : écologistes

Sonstige : autres

Les résultats de Mass-voll! lors des élections législatives.

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Suisse. Les résultats de Mass-voll! pour la Chambre des députés lors des élections législatives du 22 octobre 2023 :

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(https://www.breizh-info.com/2023/09/30/224903/nicolas-rim...)

Dóra Dúró a reçu Roman Fritz.

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Hongrie et Pologne. La vice-présidente de Mi Hazánk et du Parlement hongrois Dóra Dúró a reçu le député polonais de la Confédération Roman Fritz.

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 Roman Fritz et Dóra Dúró

"L'Allemagne a besoin d'une vraie politique de remigration !"

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Allemagne.

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Alice Weidel, co-présidente de l'AfD : "L'Allemagne a besoin d'une vraie politique de remigration !"

Foggia : défaite du centre droit lors des municipales.

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Italie. Lors des élections municipales à Foggia, la candidate du centre gauche à la mairie l’a emporté avec 52,78 %. Le candidat du centre droit a obtenu 24,76 %.

Le centre droit obtient 8 sièges au sein du Conseil municipal.

Le M5S, qui se présentait au sein du centre gauche, a décroché 12,32 %.

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(https://www.money.it/elezioni-amministrative-foggia-2023-...)

"Les alliés sont en mauvaise posture mais le parti de Meloni est en excellente santé. Tel pourrait être le résumé du mini-tour électoral qui s'est déroulé dans le Trentin Haut-Adige."

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Italie. Revue de presse.

Les pressions de Washington pour qu’Israël reportent son intervention terrestre dans la Bande de Gaza ainsi que les difficultés internes du Premier ministre B. Netanyahou « Biden s’oppose aux opérations [de terre] à Gaza » (Repubblica), « Israël, la fronde contre Netanyahou » (La Stampa), sont aussi citées.

PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de P. Valentino, « Entrée de la Suède dans l’OTAN, le feu vert d’Erdogan. » 

PREMIER PLAN, Corriere della Sera, d’E. Marro, « Le gouvernement reporte [le vote du] décret sur l’énergie, les dossiers des retraites et du travail font l’objet de tensions entre la Ligue et Fratelli d’Italia » : « Le Conseil des ministres italien a approuvé deux nouveaux décrets en lien avec la réforme fiscale. En revanche, le décret ‘’énergie’’, prévoyant notamment le prolongement d’un an des aides sur les factures de gaz et d’électricité, ne sera examiné que la semaine prochaine, en théorie. Le décret comprend également des mesures de soutien aux énergies renouvelables et pour les deux unités de regazéification. Un report nécessaire pour mettre au point certains détails techniques mais aussi, comme l’a souligné le ministre de l’Environnement Gilberto Pichetto Fratin (Forza Italia), afin de ‘’trouver un point d’équilibre’’ sur les questions les plus délicates tel que le maintien des aides pour les entreprises les plus énergivores ou sur le traitement des déchets nucléaires. Le ‘’point d’équilibre’’ doit aussi être trouvé sur certains chapitres de la Loi de Finances : bien qu’approuvé en Conseil des ministres le 16 octobre, elle n’a pas encore été présentée aux Chambres. Or, avant, il faut mettre fin aux tensions croissantes en la Ligue et la Présidence du Conseil, notamment sur les retraites et la réduction des charges salariales. La Ligue n’a vraiment pas apprécié les changements apportés à sa proposition phare de réforme des retraites (‘’quota 104’’) qui réduisent le montant de la pension nette et écarte la possibilité de partir à la retraite à 64 ans, ni la réduction des charges salariales qui s’annonce moins ambitieuse que prévue. Ces nouveautés ont également mis en colère deux des principaux syndicats de travailleurs, CGIL et UIL, qui appellent à manifester alors que le troisième, la CISL, veut attendre de voir le texte définitif. Le ministre de l’Economie lui-même, pris entre les tensions entre la Ligue et Fratelli d’Italia et la nécessité de maintenir l’équilibre des comptes publics, n’a pas confirmé la révision sur les charges fiscales. La communication du ministère est confuse, les échéances annoncées dans un communiqué ayant été modifiées par deux fois hier. » 

ANALYSE, L. Palmerini, Sole, « Salvini en perte de vitesse au Nord : ‘’nous avons besoin de plus d'autonomie et de moins de ponts’’ » : « Les alliés sont en mauvaise posture mais le parti de Meloni est en excellente santé. Tel pourrait être le résumé du mini-tour électoral qui s'est déroulé dans le Trentin Haut-Adige - et l'élection partielle dans la circonscription sénatoriale qui appartenait à Berlusconi. Le résultat des élections a été amer, surtout pour la Ligue, qui chute de façon assez alarmante, tandis que Fratelli d’Italia dépasse tout le monde, même là où - jusqu'à présent – le parti se trouvait en bas de l'échelle. Il faut dire qu'à Monza et à Brianza, Adriano Galliani (Forza Italia) a gagné, certes, mais avec une participation de moins de 20% des citoyens.  Ces résultats, même s'ils sont le pur produit de dynamiques locales, donnent néanmoins l'image d'une coalition où la présidente du Conseil est totalement aux commandes : elle se confirme, un an après, comme étant à la fois le moteur et l'essence de la victoire. L'opposition reste sur la touche, à l'exception de l'élection du maire de Foggia, obtenue en coalisant toutes les forces de centre-gauche. Et cela aussi est un signe. Pour revenir à la majorité, pour Salvini c’est un avertissement. Jetons un bref coup d'œil sur les résultats. Dans le Trentin, la victoire revient au gouverneur sortant de la Ligue, Fugatti, qui, grâce à sa liste, a drainé des voix et endigué la montée de Frères d'Italie (qui gagne environ 11 points, Forza Italia est autour de 2%) tandis que la Ligue s’est effondrée de près de 14 points. Un effondrement similaire a eu lieu dans le Sud-Tyrol, où la Ligue est passée de 11 à 3 %, perdant environ 24 000 voix, tandis que Forza Italia passait sous la barre des 1 % et que Frères d'Italie devenait le premier parti avec 6 %.  Qu'est-ce qui n'a pas fonctionné ? A y regarder de plus près, la version lepéniste de Salvini semble en phase avec un climat local qui a récompensé la droite et même les no-vax qu’il affectionne. Masi si le Nord lui tourne le dos, c’est peut-être parce que "sa" Ligue ne représente pas ces territoires. En effet, l'autonomie régionale reste au second plan alors que Salvini ne fait que parler du pont sur le détroit de Messine : un changement de priorités qui lui fait tort en ‘’Padanie’’ [région de la plaine du Po, fief historique de la Ligue] et dans l'extrême nord. A tel point que Fugatti a constitué une liste à part, justement pour enraciner son expérience de gouvernement en la dissociant de la ‘’marque’’ Ligue.  Il est certain que dans ces régions, les signes de déconnexion avec la base électorale inquiètent les administrateurs locaux qui voient Frères d'Italie les dépasser et craignent de perdre progressivement leurs fiefs administratifs. Nous verrons si c'est la leçon à tirer de ces élections et si Salvini commencera à parler davantage d'autonomie et moins de pont sur le détroit... » 

ARTICLE, Corriere della Sera, C. Zappieri « Trente, Fugatti confirmé à la tête de province. La Ligue (re)dépasse Fratelli d’Italia ; FI et M5S en baisse » : « Maurizio Fugatti (Ligue) a été confirmé à la tête de la province autonome de Trente, franchissant le seuil des 50 % (51,82), soit cinq points de plus qu'en 2018, même si cette fois, il était soutenu par une coalition de droite élargie au Parti autonomiste du Trentin-Tyrol (8,8). Le centre-gauche s'est présenté avec une coalition très large, une alliance qui allait du Pd à Italia Viva, d'Azione à Avs jusqu'à la liste ’’Campo base’’ du candidat qui s'opposait à Fugatti, le maire de Rovereto Francesco Valduga, mais qui n'a jamais été dans le jeu. Il peut se consoler avec deux chiffres : le score de 37,5% d'hier représente une belle progression de 12 points par rapport à il y a cinq ans ; le PD, avec 16 % (contre 13,9 précédemment) est le premier parti. Dans la compétition entre les forces politiques, l'élément marquant du vote de dimanche est qu’en deuxième position se trouve la Lega-Fugatti Presidente, qui conquiert 13,07 % (contre 27,09 en 2018) et en troisième position Fratelli d'Italia avec 12,33 % (ce qui marque un bond exponentiel par rapport aux 1,45 % d'il y a cinq ans). C'est précisément ce résultat inattendu qui permet au président sortant et à tout le parti de la Ligue de crier victoire, ou du moins de souffler de soulagement, par rapport à l'effondrement enregistré il y a seulement un an, lorsque Fratelli d'Italia avait obtenu deux fois plus de voix. L'équilibre des forces entre les deux alliés du gouvernement a donc été rétabli. Frères d'Italie confirmera la vice-présidente Francesca Gerosa et un siège supplémentaire au sein du Conseil. Quant à Giorgia Meloni, elle se réjouit que la coalition unie "remporte un autre résultat très positif". Et peu importe qu'un autre parti de la coalition, Forza Italia, se soit perdu en cours de route (seulement 2 %) et n'aura probablement pas de siège au Conseil. Le même sort a été réservé au Mouvement 5 étoiles, réduit à un consensus minimal (1,9). Italia viva (1,46) et Azione (1,42) ont également obtenu des pourcentages minimes. »

(Traduction : ambassade de France à Rome) 

23/10/2023

Résultats des élections pour le Parlement du Tyrol du Sud/Haut-Adige.

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Italie. Tyrol du Sud/Haut-Adige (Province de Bozen/Bolzano). Lors des élections de ce 22 octobre pour le Parlement de la province de Bozen/Bolzano, les partis patriotiques suivants obtiennent :

partis germanophones

Südtiroler Freiheit : 4 sièges (soit + 2) 

Die Freiheitlichen : 2 sièges (=)

partis italophones

Fratelli d‘Italia : 2 sièges (soit + 1)

Lega Salvini Alto Adige Südtirol – Uniti per l’Alto Adige : 1 siège (soit – 3)

M5S : 0 siège (soit – 1)

Centro destra : 0 siège

 

En pourcentages, la Ligue, qui participait à l’exécutif, a fortement reculé et Frères d’Italie a progressé.

Parmi les élus figurent Sven Knoll de Südtiroler Freiheit et Ulli Mair de Die Freiheitlichen.

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Sven Knoll

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Ulli Mair

(https://landtagswahlen.provinz.bz.it/de/elected)

(https://elezioniprovinciali.provincia.bz.it/it/elected)

Le nouveau futur parti de gauche populiste et opposé à l'immigration de Sahra Wagenknecht est donné à 12 %.

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Allemagne. Le nouveau parti de gauche populiste et opposé à l'immigration de Sahra Wagenknecht, le BSW, est donné à 12 % et le parti patriotique AfD à 18 %. Le BSW prend 5 points à l'AfD.

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SPD : sociaux-démocrates

Union : CDU : démocrates-chrétiens et CSU : sociaux-chrétiens

Grüne : écologistes

FDP : libéraux

AfD : patriotes

Die Linke : post-communistes

BSW : gauche patriote

Sonstige : autres

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/10/23/sah...)

Maurizio Fugatti de la Ligue est élu président de la province autonome de Trente, à la tête du centre droit.

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Italie. Trentin (Province autonome de Trente). Maurizio Fugatti de la Ligue est élu président de la province autonome de Trente, à la tête du centre droit, lors des élections du 22 octobre.

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Au sein du Parlement de la province, les listes du centre droit obtiennent 1 siège pour le président de la province Maurizio Fugatti et pour :

Lega Fugatti Presidente : 5 sièges

Fratelli d'Italia : 5 sièges

Noi Trentino per Fugatti Presidente : 4 sièges

Partito Autonomista Trentino Tirolese – PATT : 3 sièges

La Civica : 2 sièges

Fassa : 1 siège

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Le M5S, qui se présentait seul, n'obtient pas d'élu.

(https://www.elezioni-2023.provincia.tn.it/Risultati/Seggi...)