27/11/2023
Le Premier ministre suédois dénonce les propos du dirigeant des Démocrates suédois.
Suède. Le Premier ministre suédois du gouvernement de centre droit dénonce les propos du dirigeant du parti patriote les Démocrates suédois Jimmie Akesson qui a déclaré : « « Nous devons commencer à confisquer et à démolir les mosquées où se propage une propagande antidémocratique, anti-suédoise, homophobe, antisémite ou une désinformation générale. »
[Les Démocrates suédois soutiennent de l’extérieur le gouvernement de centre droit.]
23:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD monte encore !
Allemagne. Le parti patriotique AfD est donné à 23,5 % et le parti de gauche anti-immigration BSW à 6 %.
SPD : sociaux-démocrates
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
AfD : patriotes
Die Linke : post-communistes
BSW : gauche anti-immigration de Sahra Wagenknecht
Andere : autres
22:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
Markus Söder désire que des élections législatives anticipées soient organisées.
Allemagne. Le président de la CSU (Bavière) Markus Söder désire que des élections législatives anticipées soient organisées le 9 juin 2023, en même temps que les élections européennes. Les élections législatives doivent avoir lieu à l’automne 2025.
20:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'éclaireur PVV démissionne à la suite d'attaques de presse.
Pays-Bas. Gom van Strien du PVV a démissionné de sa fonction d’éclaireur. Il a expliqué que des « troubles ont surgi » autour de lui à la suite d'informations faisant état de fraudes signalées par son précédent employeur : « Ce week-end, des articles sont parus dans les médias sur mon travail passé, dans lequel mon intégrité est mise en question. »
Il nie les accusations portant sur le transfert d'actions vers une société au sein de laquelle des personnes proches de lui seraient actionnaires.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/11/24/le-...)
20:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD est donnée à 23 % et le BSW à 8 %.
Allemagne. Le parti patriotique AfD est donné à 23 % et le parti de gauche anti-immigration BSW à 8 %.
SPD : sociaux-démocrates
CDU : démocrates-chrétiens
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
AfD : patriotes
CSU : sociaux-chrétiens
Die Linke : post-communistes
Freie Wähler : Électeurs libres
BSW : gauche anti-immigration de Sahra Wagenknecht
Andere : autres
18:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
André Ventura : "Nous sommes un des pays d'Europe qui traite le plus mal les retraités."
Portugal. Le président du parti politique patriotique Chega, André Ventura, estime que de nombreuses personnes âgées vivent dans une pauvreté extrême, devant choisir entre se nourrir ou se soigner. Il ajoute : « Nous sommes un des pays d'Europe qui traite le plus mal les retraités, mais qui dépense le plus pour le système politico-administratif. Cela doit changer ! »
16:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
"L’accord avec la Tunisie fonctionne, 60.000 départs ont été empêchés."
Italie. Revue de presse.
La polémique soulevée par le ministre de la Défense Guido Crosetto (Frères d’Italie) évoquant l’existence d’un courant de magistrats voulant nuire au gouvernement Meloni est citée en Une : « Accusations contre la magistrature : c’est la polémique » (Corriere della Sera), « L’association nationale de la magistrature et les oppositions critiquent les propos de Crosetto » (La Repubblica), « Les juges anti-gouvernement deviennent un sujet » (Messaggero), « Crosetto évoque des complots et suscite la polémique avec la magistrature » (Domani), « De quoi le ministre Crosetto a-t-il peur? » (Fatto Quotidiano).
ARTICLE, La Repubblica, « La communauté juive : "Extradez les terroristes de l'attentat de la synagogue". L'appel au gouvernement après l'inclusion dans le registre des suspects de quatre Palestiniens pour l'attentat de 1982.
COMMENTAIRE, La Repubblica, C. Galli « Un complot désolant » : « Après les accusations du ministre Crosetto contre une partie de la magistrature, Il y a toute une série de questions et d’émotions qui se bousculent dans l’esprit de ceux qui croient que nous vivons dans une démocratie. On pourrait se demander les motivations, le timing et si quelqu’un au sein du gouvernement a décidé de déclarer la guerre à la magistrature pour commencer – voire continuer – un démantèlement de l’équilibre des pouvoirs. S’agit-il au contraire d’une défense préventive face à une attaque contre le gouvernement préparée par un noyau de magistrats politisés, décidés à s’en prendre à un système de pouvoir que les oppositions ne parviennent pas à briser ? Cette intimidation de la part d’un ministre – épaulé jusque-là par tout le gouvernemen t– ouvre un nouveau front. Crosetto le fait-il car il se croit intouchable ou bien car il est inquiet de l’ouverture imminente d’une enquête qui viserait un membre du gouvernement ? Ou bien, s’agit-il d’un « faux objectif » car la vraie cible n’est pas atteignable ? Enfin, le gouvernement est-il victime ou joue-t-il les victimes ? Il est légitime aussi de se poser la question de comment pourrait réagir le Chef de l’Etat, qui est aussi président du Conseil Supérieur de la Magistrature. Car, même si l’affaire devait être démontée ou minimisée par le ministre, une telle légèreté ne serait pas acceptable de la part d’une personnalité politique au long cours comme lui, non extrémiste (même s’il est le co-fondateur de Fratelli d’Italia). Quoi qu’il en soit, il s’agit d’une affaire déplorable. Le conflit entre la droite et la magistrature semble être une composante structurelle qui continue même après la disparition de Silvio Berlusconi. Si quelqu’un se réjouit d’un faux pas du gouvernement, il faudra aussi qu’il s’inquiète du fait que la démocratie républicaine est en train de perdre l’une de ses qualités essentielles : la transparence et la rigueur des mœurs institutionnels. Une clarification de l’affaire s’impose. »
ARTICLE, Corriere, V. Picolillo, « Des "notes" attribuées aux juges et aux procureurs - Nordio portera le dossier (contesté par les magistrats) en Conseil des ministres » : « Comme il l'avait annoncé, le ministre de la Justice, Carlo Nordio (Frères d’Italie), est prêt à présenter en Conseil des ministres la réforme du "dossier des magistrats" tant contestée par ces derniers. Une évaluation du travail des juges et des procureurs, que le Conseil Supérieur de la Magistrature devra suivre pour leur avancement de carrière. Il s'agit du décret législatif sur le système judiciaire, prévu par la réforme Cartabia. Les "bulletins de notes" des magistrats ne contiendraient pas seulement les jugements des chefs de bureaux judiciaires et les statistiques, mais aussi le résultat des demandes ou des mesures prises à différents stades du procès. C'est l'un des points les plus contestés par l'ANM, car il pourrait pousser les magistrats à rechercher un résultat facile plus que la vérité. Le texte prévoit des jugements tous les quatre ans en fonction des performances : excellentes, bonnes, insuffisantes, négatives. Dans ce dernier cas, le magistrat sera réévalué au bout d'un an. Pour les insuffisances, les sanctions vont de l'obligation de suivre "un stage de formation professionnelle" (comme pour les points du permis de conduire), à l'affectation du magistrat "à une fonction différente" dans le même bureau, en passant par l'exclusion des postes de direction "jusqu'à la prochaine évaluation". Et dans l'attente de la prochaine évaluation, après deux ans, la perte du "droit à l'augmentation périodique du traitement". Le magistrat qui recevra une nouvelle évaluation négative sera "libéré de ses fonctions". Le décret législatif marque le retour du ministre Nordio à son image de garant qui est restée, selon ses détracteurs, quelque peu ternie par les mesures récentes telles que le décret sécurité. »
ENTRETIEN, La Stampa, d’Adolfo Urso (Frères d’Italie), ministre des Entreprises et du Made in Italy, « L’industrie du futur passe par [le domaine spatial], l’homme doit retourner sur la lune. »
ENTRETIEN, Quotidiano Nazionale, Antonio Tajani, vice-président du Conseil, coordinateur de Forza Italia et ministre des Affaires étrangères, « L’objectif est d’accélérer sur toutes nos réformes » : « A mon sens, les trois réformes de la justice, de la loi électorale et de l’autonomie différenciée des régions vont de pair. La réforme de la justice, qui ne porte pas seulement sur la séparation des carrières mais qui est aussi une réforme de la justice civile, est vraiment urgente, ne serait-ce que pour le coût des procédures qui s’éternisent (et représentent un manque à gagner de 2 à 3% du PIB). Une justice juste et rapide permet en outre d’attirer des investissements. Nous devons accélérer, c’est le sens des propos de Crosetto, et dissiper tous les doutes et soupçons. Pour notre part, nous travaillons pour un centre-droit pro-européen avec une coalition des libéraux, des conservateurs et des populaires, mais les alliances européennes ne font pas partie du programme du gouvernement et les partis du gouvernement Meloni n’appartiennent pas aux mêmes familles. En Italie, nous travaillons bien avec la Ligue mais nous n’envisageons pas de faire de même en Europe avec des partis comme celui de Geert Wilders ou Marine Le Pen car les distances sont trop grandes. Pour compter en Europe, l’Italie a besoin du PPE et donc que Forza Italia soit fort. Les récents sondages confirment notre montée dans les intentions de vote. Nous rassemblons et les adhésions augmentent dans toute l’Italie, dans tous les secteurs, la société civile contribue aux programmes et aux nouvelles idées, alimentant le débat pour l’avenir de l’Italie. L’objectif est de convaincre les abstentionnistes et d’élargir vers le centre l’aire du centre-droit. Sur la Loi de Finances, nous voulons défendre le droit au logement et maintenir les aides sur l’achat du premier logement, travailler sur les retraites des médecins et infirmiers et de certaines catégories de fonctionnaires, réduire la pression fiscale, soutenir le secteur de l’édition. Concernant le Pacte de stabilité nous estimons que certaines dépenses liées à des décisions européennes, comme sur la transition écologique et la guerre en Ukraine, que nous approuvons, devraient être exclues du calcul. Nous aurons l’occasion d’en discuter et d’autres pays sont avec nous, comme la France, car le Pacte ne doit pas porter seulement sur la stabilité mais aussi sur la croissance. »
SONDAGES, La Stampa, d’A. Ghisleri, « L’Italie qui ignore les féminicides, pour 1 personne sur 4 l’urgence n’existe pas » : « Pour 35,8% des Italiens les féminicides sont un problème lié à la dégradation de la société et de ses valeurs, et ce notamment pour 40% des hommes et même 43,6% des hommes âgés de 45 à 64 ans. En revanche, pour 30,2% des interrogés, il s’agit d’un phénomène culturel et étroitement lié au contexte familial. Un jeune homme sur deux (18-24 ans) partage cette idée. Pour 22,3% des femmes et 25,6% des 18-24 ans, le problème est aussi qu’il n’est pas certain que les coupables soient punis et que souvent les condamnations sont trop légères ou faciles à contourner. 81% des femmes estiment que les féminicides sont une véritable urgence alors qu’un homme sur quatre y voit « simplement » un sujet sur lequel on insiste beaucoup. Une résistance à reconnaître le problème que l’on retrouve également chez les jeunes (32,9%). La condamnation des féminicides est la plus forte en Sicile selon ce sondage (84%), où l’on appelle tout particulièrement à éduquer la société et inculquer le respect et la non-violence. Suite aux violences subies puis au meurtre de la jeune Giulia Cecchettin, 1 femme sur 4 explique la vague d’émotion qui a touché le pays tout entier par le fait que l’on ne trouve pas de solution efficace pour faire face à ce phénomène. Si ces crimes relèvent de la responsabilité individuelle de ceux qui le commettent pour 46,7% des interrogés, 40,2% des femmes (contre 22% des hommes) est convaincu que la culture sexiste et patriarcale construite durant des siècles d’histoire est à la base de tels actes. Du reste, la moitié de la population (49,1%) est convaincue que la jalousie vis-à-vis de son partenaire est une preuve d’amour, et c’est plus particulièrement l’avis de 60% des hommes interrogés et de 73,1% des 18-24 ans. Les femmes ont la capacité de se rassembler et de dénoncer ces violences de toutes leurs forces comme on l’a vu ces derniers jours mais la fréquence de ces homicides continue à nous faire nous sentir impuissantes. »
ARTICLE, Repubblica Roma, L. D’Albergo : « Compte à rebours pour l’expo. Gualtieri va seul à Paris et Riyad prépare la fête » : « Derniers appels téléphoniques pour faire le point sur le défi lancé par Rome à Riyad en Arabie Saoudite et à Busan en Corée, puis le départ. Sachant que demain, les routes des protagonistes de l'Expo 2030 ne mèneront pas toutes à Paris. En France, invité par le Bureau international des Expositions, il y aura le maire Roberto Gualtieri. Seul. Giorgia Meloni restera à Rome. La Présidente du Conseil rencontrera Francesco Rocca, gouverneur du Latium de Fratelli d'Italia, cet après-midi. Puis au Bie, sauf changement de dernière minute, sera envoyée la secrétaire d’Etat aux affaires étrangères de Forza Italia, Maria Tripodi. Victime de l'isolement généré par le désengagement de la droite et du risque d'être désignée comme seul responsable de l'échec en cas de défaite, la commune de Rome fait profil bas. Mieux vaut - pour l'instant - se concentrer sur le vote : il y a 182 voix disponibles, mais il est impossible de faire des pronostics. Seule certitude : à Riyad, où la superstition n'a manifestement pas droit de cité, les princes saoudiens ont déjà préparé les feux d'artifice pour fêter la victoire. Le projet présenté au Bie par Rome est axé sur la durabilité, sur une idée de communauté. Riyad mise de son côté sur un portefeuille virtuellement illimité, tandis que Busan a aligné les grands noms de la technologie, de Samsung à Lg. Bref, chacun a fait campagne à sa manière. Mais venons-en aux certitudes : Rome peut compter sur les voix des Etats-Unis, du Brésil, de la Slovénie, d'Haïti et de bon nombre de pays africains. Elle a également recueilli le soutien de l'Union européenne. Mais pas de la France, qui est liée à Riyad. Du moins au premier tour. Lors du second tour, qui est le vrai objectif que Rome veut atteindre, tout peut changer. Au Palazzo Senatorio, on espère aussi voir partir au moins un ministre pour Paris. Pour avoir un dernier signe de soutien du gouvernement Meloni. Aujourd'hui, le compte à rebours commence officiellement. »
ENTRETIEN, Domani, dimanche 26.11.2023, de Matteo Piantedosi (Indépendant), ministre de l’Intérieur : (extrait) « L’accord avec la Tunisie fonctionne, 60.000 départs ont été empêchés » : « Ce que Meloni porte, ce ne sont pas des slogans de campagne, mais des accords internationaux similaires à tant d’autres conclus par le passé. Il s’agit de projets qui sont à un stade avancé de réalisation, comme dans le cas du mémorandum avec la Tunisie. Et comme l’a dit aussi Tajani, nous pouvons apporter des preuves documentées que rien n’a été fait à notre insu. Je viens juste de sortir d’une rencontre trilatérale avec mon collègue libyen et tunisien et l’un des thèmes centraux a été la mise en œuvre de la coopération. Je rappelle par ailleurs que le mémorandum a été signé en présence d’Ursula von der Leyen et de Mark Rutte. [Q :Mais Saied a remis en cause l’accord après l’avoir signé]. C’est faux. Il y a souscrit, et je le répète, nous avons de très bonnes relations de coopération. Aujourd’hui nous avons par exemple parlé de la réalisation d’un des points de l’accord : les renvois volontaires assistés par la Tunisie. La Tunisie, comme la Libye, pense qu’elle a un point commun avec l’Italie : le fait d’être un pays de transit. Un pays qui en quelque sorte subit le phénomène migratoire. Le MoU Europe-Tunisie veut être un cadre plus large pour une collaboration qui a pour objectif d’éliminer ces facteurs qui alimentent les crises socio-économiques, lesquelles sont souvent les causes du phénomène migratoire. Alors je vous rassure : je participe activement aux travaux, avec beaucoup de satisfaction. (..) Depuis le début de l’année, la Tunisie a réussi à empêcher le départ d’au moins 60.000 personnes, et ce malgré toutes les difficultés que le pays rencontre. Je suis témoin du fait qu’il y e un grand engagement et, malgré ce qu’on dit, [la Tunisie] prend en compte aussi la protection des vies humaines. Donc je ne crois pas qu’il n’y ait pas de signes tangibles des résultats atteints. Les départs sont toujours nombreux, mais, croisons les doigts, il pourrait s’agir du deuxième mois d’affilée où nous assistons à un léger fléchissement par rapport à la même période l’an passé ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Tom Van Grieken estime que Giorgia Meloni est décevante.
Belgique et Italie. Le président du Vlaams Belang Tom Van Grieken estime que le Premier ministre italien Giorgia Meloni (Frères d'Italie) est décevante et met en avant le fait que Matteo Salvini de la Ligue est l’allié du Vlaams Belang, tout en précisant que lorsque Matteo Salvini était ministre de l’Intérieur, des migrants étaient repoussés.
01:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
Jussi Halla-aho a tenu un discours au Parlement ukrainien.
Finlande et Ukraine. Le président du Parlement finlandais Jussi Halla-aho, du parti des (vrais) Finlandais, a tenu un discours au Parlement ukrainien lors d'une séance spéciale organisée en l'honneur de la Journée commémorative de l'Holodomor, une famine artificielle provoquée par le régime soviétique qui a causé la mort de millions d'Ukrainiens dans les années 1930.
00:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
26/11/2023
65 % des électeurs sont favorables à une coalition gouvernementale PVV-VVD-NSC-BBB.
Pays-Bas.
tous les électeurs
les électeurs du parti anti-islamisation PVV
les électeurs du parti des agriculteurs BBB
les électeurs des libéraux de droite du VVD
les électeurs du Nouveau contrat social (NSC) de Pieter Omtzigt
23:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
Deux personnes importantes du parti libéral de droite VVD se révoltent contre le refus de la dirigeante du parti de prendre part à un gouvernement avec le PVV de Geert Wilders.
Pays-Bas. Deux personnes importantes du parti libéral de droite VVD se révoltent contre le refus de la dirigeante du parti de prendre part à un gouvernement avec le PVV de Geert Wilders.
13:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le futur gouvernement néerlandais doit trouver une majorité à la Chambre des députés et aussi au Sénat.
Pays-Bas. Le futur gouvernement doit trouver une majorité à la Chambre des députés et aussi au Sénat. En effet, les Pays-Bas disposent d’un système parlementaire bicaméral. Le Sénat ne peut cependant pas amender les futurs textes qui lui sont transmis par la Chambre des députés, mais seulement les approuver ou les rejeter.
Les membres du Sénat ont été élus le 30 mai 2023 par les membres des conseils provinciaux élus le 15 mars 2023.
Auparavant, lorsque le système politique était stable, les résultats de la composition du Sénat et de la Chambre des députés étaient proches. Désormais, les électeurs changeant constamment d’avis, au fil des semaines, voire parfois des jours, les deux assemblées sont composées totalement différemment. Par exemple, le NSC de Pieter Omtzigt n'existait pas lors des élections provinciales.
150 députés :
75 sénateurs :
PVV : patriotes anti-islamisation
PvdA : travaillillistes / Groenlinks : écologistes
VVD : libéraux de droite
NSC : Nouveau contrat social, de Pieter Omtzigt [autrefois démocrate-chrétien (CDA)]
D66 : libéraux de gauche
BBB : parti des agriculteurs : agrariens de centre-droit
CDA : démocrates-chrétiens
SP : gauche de la gauche
Denk : centre-gauche multiculturaliste
FvD : Forum voor Democratie : patriotes
PvdD : parti pour les animaux
SGP : chrétiens protestants
CU : Christen Unie : sociaux-chrétiens
Volt : pro-européen
JA 21 : patriotes
BVNL : conservateurs-libéraux patriotes
50plus : parti des plus de 50 ans
Bij1 : gauche radicale multiculturaliste
OPNL : régionalisme
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/03/17/res...)
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/06/04/pay...)
12:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
25/11/2023
Des chauffeurs ukrainiens de camions préfèrent conduire plutôt que se retrouver sur le front.
Pologne et Ukraine. La Confédération, qui soutient les revendications des chauffeurs de camions polonais, explique que la concurrence déloyale en matière de prix pratiqués par les sociétés ukrainiennes de transport vient aussi du fait que les salaires des chauffeurs ukrainiens sont inférieurs à ce qu’ils sont en temps de paix, car de nombreux hommes fuient l’armée et préfèrent conduire pour ne pas se retrouver au front.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/11/23/krz...)
20:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
Robert Fico désire des négociations de paix.
Slovaquie. Le Premier Ministre social-démocrate Robert Fico estime que le conflit en Ukraine est devenu un conflit gelé pouvant durer encore de nombreuses années et ne pouvant pas être résolu par l'envoi d'armes à Kiev. En conséquence, il désire des négociations de paix.
Robert Fico
17:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
Jimmie Åkesson est réélu président des Démocrates suédois.
Suède. Jimmie Åkesson est réélu président des Démocrates suédois.
Jimmie Åkesson
17:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
Manfred Weber conduira la liste de la CSU pour les élections européennes.
Allemagne. Manfred Weber conduira la liste de la CSU [en Bavière] pour les élections européennes. Lors du congrès au cours duquel il a été couronné, il a attaqué verbalement le représentant de la tendance nationaliste de l’AfD Björn Höcke en dénonçant la volonté de ce dernier de mettre fin à l’Union européenne.
Manfred Weber
17:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le BSW cherche son futur nom et demande aux citoyens de lui envoyer des propositions.
Allemagne. Le BSW de Sahra Wagenknecht cherche son futur nom et demande aux citoyens de lui envoyer des propositions.
16:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Viktor Orbán prendra part à la cérémonie d’investiture du nouveau président argentin Javier Milei.
Hongrie et Argentine. Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán prendra part, le 10 décembre 2023 à Buenos Aires, à la cérémonie d’investiture du nouveau président argentin Javier Milei.
16:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
24/11/2023
Marine Le Pen estime que le fait qu’il y a ait après les élections européennes un ou deux groupes n’est pas le plus important, mais ce qui compte est que ces deux groupes votent ensemble.
Portugal, France, Allemagne. Marine Le Pen du Rassemblement national et le coprésident de l’AfD (Allemagne) Tino Chrupalla ont été reçus au Portugal par le parti patriote Chega dirigé par André Ventura.
Marine Le Pen estime que le fait qu’il y a ait après les élections européennes un ou deux groupes n’est pas le plus important, mais ce qui compte est que ces deux groupes votent ensemble.
Tino Chrupalla, André Ventura, Marine Le Pen
20:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le sénateur du PVV Gom van Strien désigné éclaireur pour la formation du gouvernement.
Pays-Bas. Le sénateur du PVV Gom van Strien est désigné éclaireur pour la formation du gouvernement. Les libéraux de droite (VVD) déclarent ne pas vouloir prendre part au prochain gouvernement à cause de leur défaite :
https://www.rtbf.be/article/elections-aux-pays-bas-geert-...
Gom van Strien
19:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Les léguistes fêtent l’exploit de l’allié [Geert Wilders] et l’invitent au meeting souverainiste."
Italie. Revue de presse.
Les JT couvrent essentiellement les suites de l’enquête liées au meurtre de Giulia Ceccherin, commis par son ex-compagnon, l’entrée en vigueur de la trêve entre Israël et le Hamas, les émeutes à Dublin à la suite d’une attaque au couteau ayant fait cinq blessés et les questions parlementaires à la présidente du Conseil hier au Sénat.
Sur X, le hashtag #Lollobrigida (du nom du ministre de l'Agriculture) continue de faire tendance en lien à la polémique suscitée par l’arrêt imposé à un train afin de se rendre à une cérémonie. [Parce que le train avait trop de retard, Francesco Lollobrigida (Frères d’Italie) a demandé à Trenitalia de faire stopper le train dans une gare où il n'était pas censé faire étape.]
ARTICLE, Corriere della Sera, A. Logroscino « Meloni, au Sénat contre tous : « sur la croissance, l’Italie fait mieux que les autres pays » : « La Présidente du Conseil a participé pour la première fois à la séance de questions parlementaires, hier, au Sénat. Plusieurs sujets ont été abordés, allant de l’accord sur les migrants avec l’Albanie à la Loi de finances. ‘’Pour 2024 nous prévoyons une augmentation prudente de la croissance à hauteur de 1,2%, mais aussi un ralentissement notamment de l’économie allemande qui aura un impact sur la nôtre’’, explique-t-elle. Matteo Renzi (IV) lui reproche de ‘’raconter la fable d’un pays qui connait une croissance extraordinaire alors que l’inflation pénalise la classe moyenne’’. Meloni réplique que ‘’La Commission Européenne prévoit pour l’Italie une croissance supérieure à la moyenne européenne à hauteur de 0,7%, cela n’arrivait pas depuis des années’’. Elle rassure ensuite les sénateurs sur le fait qu’il n’y aura pas de retards pour les projets du PNRR. Critiquée par Boccia (PD) sur « l’imbroglio des retraites des médecins », elle assure que ‘’les opérateurs de la santé ne seront pas pénalisés“ et que sur les retraites, en général, il y aura ‘’une réforme structurelle d’ici la fin de la mandature’’. Elle revendique ensuite la réduction des charges salariales, qui ont été prolongées dans la loi de finances, et lance une pique aux syndicats : ‘’je remarque un changement de posture : avant nous avions une grève générale tous les deux ans, maintenant ils en font deux par an’’. Un sénateur 5 Etoiles interroge la Présidente du Conseil sur le conflit en Ukraine : ‘’nous avons vu deux Meloni : celle qui, pendant un canular téléphonique de deux animateurs russes, dit qu’il faut trouver une issue acceptable pour les deux parties et une autre qui, devant le Parlement, affirme que le seul moyen de faire cesser la guerre est que la Russie se retire. Qui est la vraie Meloni ?’’. La Présidente du Conseil se dit ‘’consciente du fait que l’opinion publique soit lassée’’ toutefois, elle revendique le devoir pour ceux qui font de la politique de ‘’ne pas courir derrière la société, mais de la diriger’’ et reproche au M5S d’avoir changé d’avis ‘’au détriment d’une nation souveraine’’. Enfin, elle déclare qu’‘’une paix juste n’est possible qu’en gardant l’équilibre entre les forces sur le terrain, ce qui veut dire soutenir l’Ukraine’’. Sollicitée sur l’Albanie, elle parle d’‘’un accord innovant qui exprime un esprit de coopération européenne. Ce n’est pas un Guantanamo ou une déportation. L’Albanie n’est pas l’Allemagne nazie. Le seul « droit » violé est celui des passeurs’’. »
ARTICLE, Corriere della Sera, C. Bozza « Les léguistes fêtent l’exploit de l’allié et l’invitent au meeting souverainiste » : « Le triomphe du souverainiste Geert Wilders aux Pays-Bas se transforme en un tremplin inattendu pour Matteo Salvini. Le résultat électoral a été accueilli avec grand enthousiasme par la Ligue. Pour la stratégie de Salvini, cela représente un trophée solide pour relancer sa ligne dure, non seulement dans sa campagne électorale pour les européennes mais aussi dans le bras-de-fer (silencieux) engagé avec Giorgia. Meloni et celui (beaucoup plus évident) avec Forza Italia. […] Le 3 décembre, Salvini réunira à Florence la réunion des 9 groupes composant ID au parlement Européen. L’invité d’honneur pourrait être alors Wilders. Entretemps, Salvini subit les attaques de l’allié Forza Italia : Maurizio Gasparri fait remarquer que ‘’Wilders n’est pas compatible avec les valeurs du PPE’’. On assiste à une partie d’échecs très délicate, car, sauf coup de théâtre, Salvini ne pourra plus compter sur les 23 parlementaires élus en 2019 grâce au score de 34,3%. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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23/11/2023
Les électeurs du VVD et du NSC désirent une alliance gouvernementale avec le PVV.
Pays-Bas. Un sondage montre que les électeurs des libéraux de droite du VVD et du parti NSC de Pieter Omtzigt désirent une coalition avec le PVV de Geert Wilders, le NSC de Pieter Omtzigt et le parti des agriculteurs BBB.
Électeurs du VVD :
(vert : acceptable / rouge : inacceptable)
Électeurs du NSC :
PVV : patriotes anti-islamisation
Groenlinks : écologistes / PvdA : travaillillistes
VVD : libéraux de droite
NSC : Nouveau contrat social, de Pieter Omtzigt [autrefois démocrate-chrétien (CDA)]
D66 : libéraux de gauche
BBB : parti des agriculteurs : agrariens de centre-droit
SP : gauche de la gauche
PvdD : parti pour les animaux
CU : Christen Unie : sociaux-chrétiens
21:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les patriotes syndicalistes obtiennent des élus dans des organes représentatifs de l'université publique autonome de Madrid.
Espagne. Les patriotes syndicalistes obtiennent des élus dans des organes représentatifs de l'université publique autonome de Madrid.
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Lionel Baland intervient au sein du JT de TVLibertés à propos de la victoire du PVV de Geert Wilders.
Pays-Bas. Mon intervention au cours du JT de TVLibertés au sein du sujet de Nicolas de Lamberterie à propos des élections législatives néerlandaises qui ont vu la victoire du PVV de Geert Wilders (de 4’26’ à 11’10’’) :
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Krzysztof Bosak soutient les conducteurs polonais de camions qui manifestent à la frontière ukrainienne.
Pologne. Le co-président de la Confédération et vice-président de la Chambre des députés Krzysztof Bosak soutient les conducteurs polonais de camions qui manifestent à la frontière ukrainienne contre la « concurrence déloyale ukrainienne ».
Krzysztof Bosak
17:30 | Lien permanent | Commentaires (0)