28/03/2009
Klagenfurt (Carinthie, Autriche) : le maire conservateur, battu par les nationalistes, quitte la politique.
Le maire de Klagenfurt, battu lors des élections municipales par le candidat nationaliste du BZÖ, quitte la politique. Harald Scheucher était actif en politique depuis 25 ans et maire de Klagenfurt depuis 12 ans.
Étant en 1989 l’homme fort du parti conservateur (ÖVP) en Carinthie, il ne put (au même titre que les sociaux-démocrates) contrer la montée en puissance de Joerg Haider. Il décida, suite au succès de Joerg Haider, de conclure une coalition entre son parti (ÖVP) et celui (à l’époque, le FPÖ) de Joerg Haider. Il rendit possible l’élection de Joerg Haider au poste de gouverneur et une longue amitié naquit entre les deux hommes.
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Carinthie : la municipalité de Wolfsberg sera gouvernée par une coalition sociale-démocrate-nationale (SPÖ - BZÖ).

Á Wolfsberg, municipalité de Carinthie (Autriche), le maire (élu directement par les électeurs) est social-démocrate. Wolfsberg sera, au cours des six prochaines années, gouvernée par une coalition entre les sociaux-démocrates (SPÖ) et les nationalistes (BZÖ) qui disposent d’une représentation équivalente au sein du conseil municipal.
19:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
27/03/2009
Traitement des ordures : une nouvelle avancée du gouvernement italien.



Article de Fulvio Bufi dans le Corriere della Sera :
« Berlusconi allume l’incinérateur : l’Etat est là »
« Cette fois, Berlusconi n’avait pas de casquette à poser sur sa tête. Mais pour entrer dans l’histoire en tant que premier président-incinérateur il peut faire beaucoup mieux : peu après minuit, c’est lui qui a appuyé sur le bouton lançant l’incinérateur d’Acerra. Il devrait traiter 16 000 t par an et produire de l’énergie pour environ 200 000 familles. Guido Bertolaso qui s’était vu confier la mission de résoudre la crise des déchets à Naples et en Campanie ne cache pas son enthousiasme : « nous avions un rêve : Naples propre et je crois que nous y parvenons ». Pour Berlusconi, cet incinérateur « prouve que l’Etat est présent, que l’Etat recommence à jouer son rôle et à défendre le droit, même s’il faut utiliser la force. »
20:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie : les nationalistes sont majoritaires dans le pays.




Voici les résultats d’un sondage organisé, à la veille du premier congrès national du Peuple de la Liberté, par Euromedia Research.
• Peuple de la Liberté : 43,1%
• Ligue du Nord : 10,7%
• Mouvement pour l'Autonomie, la Droite, Flamme tricolore : 2,1%
• UDC : 5%
• PD : 22,4%
• Italie des valeurs : 7,3%
• Gauche libérale : 2,4%
• Gauche européenne : 4,9%
Les partis nationalistes : Peuple de la Liberté + Ligue du Nord + Mouvement pour l'autonomie + la Droite + Flamme tricolore = 55,9%.
Le Peuple de la Liberté (Silvio Berlusconi, Gianfranco Fini, Alessandra Mussolini) et la Ligue du Nord (Umberto Bossi) gouvernent l'Italie.
Le Mouvement pour l'Autonomie est un parti qui présente des listes où la Ligue du Nord ne se présente pas. Ils ont 8 députés dans le Sud et sont associés à la coalition au pouvoir en Italie.
La Droite et Flamme tricolore sont des scissions de l'ancien parti Alliance Nationale. Ces deux formations ne font pas partie de la coalition au pouvoir.
L'UDC est un parti du centre, autrefois allié de Silvio Berlusconi.
Le PD + Italie des valeurs + Gauche libérale + Gauche européenne représentent la gauche.
14:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
26/03/2009
Le Peuple de la Liberté : premier congrès national.


16:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
25/03/2009
Filip Dewinter sur Foxnews.

Hier soir, la chaîne de télévision anglophone Foxnews a diffusé un reportage sur l’islamisation de Bruxelles. Le public a pu voir l’interview du bourgmestre socialiste pro-immigré de Molenbeek, le socialiste Philippe Moureaux, et de Filip Dewinter (Vlaams Belang).
Le reportage a été diffusé à travers l’ensemble des États-Unis.
Filip Dewinter : « Dans 15 ans, Bruxelles sera la capitale de l’Eurabia.»
On peut remarquer que, lors de ce reportage réalisé en anglais, Filip Dewinter s’exprime très bien en anglais, alors que le bourgmestre socialiste s’exprime en français.
Voir le reportage :
http://www.youtube.com/watch?v=KQJqiKvwI2g
ou
http://www.youtube.com/watch?v=gI6Nm75jJLI
19:23 | Lien permanent | Commentaires (0)
Vlaams Belang : des emplois flamands pour les travailleurs flamands .

Filip Dewinter: “Le Vlaams Belang se profile, par cette prise de position, en tant que parti populaire social.”
En Flandre, 18.000 travailleurs sont actifs dans le secteur de l’automobile, dont 2.500 chez Opel à Anvers.

18:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
24/03/2009
Autriche : une nouvelle biographie (en allemand) de Heinz-Christian Strache, le chef de file du FPÖ.

« HC Strache. Sa montée, les hommes derrière lui, ses ennemis. »
Les auteurs sont les journalistes Nina Horaczek ("Falter") et Claudia Reiterer (ORF).
22:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
La réalisation du film anti-islamisation de pro Köln est terminée.

Á l’instar du Député néerlandais Geert Wilders et de son film Fitna, pro Köln a réalisé un film anti-islamisation en vue du congrès du 9 mai à Cologne.
(http://synthesenationale.hautetfort.com/list/samedi-9-mai...)
Une conférence de presse aura lieu mardi prochain à Cologne au cours de laquelle le film anti-islam sera présenté. Après deux mois de tournage et de montage, le film est terminé. Une diffusion massive du film à travers Internet, des emails et par DVD (10.000exemplaires) est planifiée.
21:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
23/03/2009
L'Alliance Nationale de Gianfranco Fini rejoint le parti de Silvio Berlusconi.
Voici un article du journal Le Monde qui explique la stratégie de Gianfranco Fini pour conquérir le pouvoir en Italie :
LE MONDE | 23.03.09 | 15h03 • Mis à jour le 23.03.09 | 15h36
Cette flamme tricolore s'est éteinte, dimanche 22 mars, à Rome. Et avec elle, ce passé sulfureux. En choisissant de dissoudre Alliance nationale (AN), Gianfranco Fini, son président, parachève sa mue et celle de son parti, qu'il a arraché à ses racines mussoliniennes pour le conduire vers une formation de droite moderne, européenne et atlantiste.
Le Mouvement social italien (MSI) est fondé 1946 par Giorgio Almirante (1914-1988) et des vétérans de la République sociale italienne, dernier et sanglant avatar du fascisme. Rejoint dans les années 1970 par les royalistes, le MSI compte, en 1972, 56 députés et 26 sénateurs. En 1987, malade, Almirante confie sa formation à Gianfranco Fini, qui en accélère la "défascisation". Candidat à la mairie de Rome en 1993, il est battu, mais obtient 46 % des voix. Ce demi-échec le pousse à dissoudre le MSI pour fonder Alliance nationale (AN) en 1995. Un an plus tard, AN devient le troisième parti italien. M. Fini se pose en leader d'une droite moderne et réformiste. Les résultats électoraux du parti se ressentent de ce recentrage : 99 députés en 2001, contre 68 en 2008, avant qu'ils ne fusionnent dans un groupe unique avec Forza Italia, de Silvio Berlusconi. (Corresp.)
Dès la semaine prochaine, AN confluera avec Forza Italia (FI) dans le parti du Peuple de la liberté (PDL), que présidera Silvio Berlusconi, lors d'un congrès constitutif dans la capitale italienne. "Nous avons fait les comptes avec notre passé, a lancé M. Fini à la fin de son discours prononcé de sa voix rauque de fumeur compulsif, aujourd'hui nous devons construire le futur."
Cette flamme tricolore, certains des 2 000 délégués du congrès de dissolution la portaient encore en épinglette au revers de leur veste ou en foulard autour du cou. Depuis la mort du Duce et la fondation du Mouvement social italien (MSI), elle symbolise le combat de ceux qui n'acceptent pas d'avoir été rejetés du mauvais côté de l'histoire. En 1994, lorsque M. Fini donne naissance à Alliance nationale, ils redoutent la banalisation mais ils se rassurent encore : la flamme est toujours là.
Tout change lorsque M. Fini devient ministre en 2001. En 2000, il lançait encore : "Personne ne peut nous demander d'abjurer notre matrice fasciste." En 2004, le fascisme est devenu "le mal absolu". Ce virage pousse les éléments les plus durs du parti (Alessandra Mussolini ou Franco Storace) à le quitter. Se rêvant en Sarkozy italien (il a signé la préface de la version italienne de Témoignages, parue en 2007), il profite de sa nomination, en 2008, à la présidence de l'Assemblée pour jouer la rupture, critiquant le "césarisme" de M. Berlusconi, et "l'ouverture", condamnant les amendements les plus répressifs des lois sur la sécurité. Le centre gauche applaudit. M. Berlusconi s'inquiète : "Il me met en difficulté."
Dimanche, les derniers nostalgiques d'un parti fasciste sont restés les bras croisés pendant que M. Fini redescendait de l'estrade, la larme à l'oeil. Aux propos de M. Fini sur la "société multiethnique et multi-religieuse", nouvel horizon de l'Italie, ils ont préféré les sorties plus carrées du maire de Rome, Gianni Alemanno, sur "l'identité culturelle italienne", ou celles de Roberto Menia, secrétaire d'Etat à l'environnement. "Je n'ai pas envie de me dissoudre", a lancé ce dernier, craignant comme beaucoup d'autres, qu'AN, qui aura 30 % des postes de direction du PDL, n'en devienne "un actionnaire minoritaire".
Pourquoi cette fusion, alors que tout oppose, culturellement et politiquement, les militants post-fascistes d'AN et les sympathisants post-idéologiques de M. Berlusconi ? Le culte de l'Etat contre celui du moins d'Etat ; la centralité du pouvoir contre la décentralisation ; la loi contre les arrangements ; le principe de la laïcité contre la docilité à l'égard de l'influence de l'Eglise en Italie... Des différences dont on imagine mal qu'elles ne se transforment pas en courants.
M. Fini n'avait pas d'autre choix. Présente dans tous les gouvernements de M. Berlusconi depuis 1995, AN n'a jamais pu dépasser 12 % des suffrages. Assez pour compter, trop peu pour gagner. L'ancien ministre des affaires étrangères a soutenu toutes les campagnes du Cavaliere. A l'Assemblée, ses députés sont affiliés au même groupe que ceux de Forza Italia. Ses lieutenants devenus ministres, ils sont désormais les plus ardents avocats du président du conseil.
Restait à jouer son destin personnel contre un parti devenu inutile. Son calcul : les élections législatives, prévues en 2013, ne pourront échapper à la droite ; M. Berlusconi, qui aura 77 ans, ne se présentera pas ; la bipolarisation est acquise. Dès lors, ce choix de M. Fini, âgé de 56 ans, est à la fois un acte de soumission au Cavaliere, qui a imposé la naissance d'un grand parti capable de rassembler à lui seul la majorité, et un défi. C'est à l'intérieur du PDL que se jouera l'après-Berlusconi.
Philippe Ridet
23:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
pro Köln passe à la télévision.

Vers 19h30, le magazine politique de la WDR a consacré un reportage au mouvement pro Köln. L’émission abordait la distribution de tracts par le mouvement pro Köln Jeunesse devant des dizaines d’établissements scolaires de la région.
On a pu voir que certaines écoles organisent des séances d’information contre le mouvement pro Köln et que d’autres n’hésitent pas à faire intervenir la police.
Certains enseignants et directeurs d’école, en Allemagne comme dans d’autres pays, tentent par tous les moyens de vicier la démocratie.
Le reportage (en allemand) : (les premières 5 minutes 45 secondes de l'émission)
http://www.wdr.de/themen/global/webmedia/webtv/getwebtvex...
Certaines images montrent des mouvements ultranationalistes qui n'ont rien en commun avec pro Köln. (On connaît les méthodes d'une certaine presse).
20:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
Carinthie : les nationalistes et les conservateurs forment une coalition.

Trois semaines après les élections pour le Parlement de Carinthie, les nationalistes (BZÖ) et les conservateurs (ÖVP) se sont mis d’accord.
Les chefs des deux partis en Carinthie : Uwe Scheuch (BZÖ) et Josef Martinz (ÖVP) ont rendu cette information publique cet après-midi.
Le BZÖ dispose d’une majorité absolue au sein du gouvernement de Carinthie (4 sièges sur 7) mais il ne dispose pas d’une majorité absolue au Parlement de Carinthie. Une alliance est donc nécessaire.
Le BZÖ conserve le domaine des finances et le poste de vice-gouverneur (premier remplacant du gouverneur), bien que l’ÖVP ait réclamé les deux postes. L’ÖVP obtient le tourisme, les relations avec les municipalités et l’économie.
Au sein du gouvernement du Land de Carinthie, les différents partis du Parlement du Land sont représentés (selon leurs poids respectifs) au sein du gouvernement du Land. Le Parti social-démocrate conserve donc deux sièges au sein du gouvernement.
Les compétences ont été redistribuées entre les partis au sein du gouvernement.
Gerhard Dörfler (BZÖ, successeur de Joerg Haider) doit être à nouveau gouverneur.
Le Parlement de Carinthie se réunira le 31 mars pour élire le gouverneur et désigner les membres du gouvernement.
20:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
22/03/2009
Italie : immigrés clandestins: 101 députés de droite contre Berlusconi (suite).


101 députés de droite signaient une lettre dans laquelle ils réclamaient le refus du décret sur la sécurité, et la révision de la norme qui rend obligatoire la dénonciation par les médecins des patients immigrés. Berlusconi se dit prêt à modifier la loi.
Umberto Bossi, ministre des Réformes et chef de file de la Ligue du nord, a déclaré à La Repubblica :
« C’est vrai, certains au sein de la Ligue sont mécontents, mais ce qui compte c’est que la loi sur le fédéralisme soit approuvée, c’est pour cela que nous luttons. Berlusconi a dit que nous ne pouvions pas avoir tout ce que nous voulions, mais c’est parce qu’en ce moment il doit se défendre des pressions du PdL, je sais que nous trouverons un équilibre, car nous sommes amis. Les clandestins doivent être jetés dehors, sans perdre de temps avec les tribunaux : il faudrait faire comme en Israël, mettre dehors les immigrés en situation irrégulière. Sur l’obligation de dénonciation des immigrés de la part des médecins, j’obéirai au commandant Maroni, le ministère de l’Intérieur sait ce qu’il doit faire. »
17:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
Carinthie : au total, 28 municipalités sont aux mains des nationalistes.

19 municipalités de Carinthie sont tombées aux mains du BZÖ lors du premier tour et 9, dont Klagenfurt, lors du deuxième tour de scrutin organisé il y a une semaine. Au total, 28 maires nationalistes (BZÖ) sont à la tête de municipalités en Carinthie.
En 2003, les nationalistes (à cette époque, FPÖ) avaient obtenu 21 maires en Carinthie.
15:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
Carinthie : les négociations se poursuivent.

Trois semaines après le scrutin en Carinthie, les négociations pour une coalition au sein du Parlement du Land se poursuivent. (Pour rappel : le BZÖ, parti fondé par le défunt Joerg Haider, détient une majorité absolue au gouvernement du Land, mais pas au sein du Parlement du Land).
Les sociaux-démocrates (SPÖ) ont rejeté une coalition avec le BZÖ (nationaliste). Les écologistes se sont montrés très réservés, malgré le fait que le BZÖ leur a proposé de disposer de plus de droits au Parlement de Carinthie.
L’ÖVP (conservateur) reste le seul parti qui se montre disposé à entrer dans une coalition avec le BZÖ (nationaliste). Les négociations visent à la constitution d’une coalition pour cinq ans.
L’ÖVP veut limiter le pouvoir du BZÖ (qui dispose d’une majorité absolue au sein du gouvernement de Carinthie). L’ÖVP exige également un département clé au sein du gouvernement du Land. Les négociations portent aussi sur la gestion des finances du Land.
14:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
21/03/2009
L’Alliance nationale disparaît.


Ce week-end a lieu, à Rome, le congrès de dissolution de l’Alliance Nationale. Le parti va disparaître au profit du parti Peuple de la Liberté.
Au Parlement européen, le Peuple de la Liberté appartiendra au groupe PPE.
Voici les faits qui ont mené à l’élaboration du nouveau parti :
(Extrait du Figaro du 13 mars 2009, L'inoxydable popularité du Cavaliere) :
Sa résurrection la plus spectaculaire remonte à l'automne 2007. Romano Prodi dirige le gouvernement depuis mai 2006. Silvio Berlusconi a le pressentiment que sa coalition de centre gauche ne tiendra pas. Dans l'ombre, il tente de débaucher des petites formations de la majorité pour le faire tomber. Il annonce à ses partenaires qu'il faut se préparer à des élections anticipées. Ceux-ci n'y croient pas et pensent au contraire qu'il est temps de lâcher Berlusconi. Son principal allié, Gianfranco Fini, patron du parti Alleanza nazionale, sonne la charge dans une lettre au Corriere della Sera, puis dans une interview à La Repubblica. Ses lieutenants s'en prennent à Forza Italia : le divorce semble acquis. L'entourage de Silvio Berlusconi perd espoir. Pas le Cavaliere. Le 18 novembre, 48 heures après la déclaration de guerre de Fini, il déboule avec sa Mercedes sur une place de Milan où se tient une réunion politique. Là, au milieu de la foule, il se dresse sur le seuil de la portière et annonce tout de go : «Ici, aujourd'hui, naît officiellement le parti du Peuple de la Liberté (PdL), un parti ouvert et contre les vieilles perruques de la politique.»
Son audace et sa prescience paieront. Romano Prodi tombera en janvier 2008, Gianfranco Fini acceptera d'inscrire ses candidats sur les listes du Popolo della Libertà (PdL) et, le 14 avril, le centre droit remportera les élections anticipées. L'épilogue de ce que la presse a baptisé la «Révolution du marchepied» se déroulera le 27 mars prochain. Ce jour-là, Alleanza nazionale disparaîtra pour se fondre dans le grand parti berlusconien... «Le Peuple de la Liberté, c'est le legs de Berlusconi à la République italienne, souligne l'écrivain-journaliste Bruno Vespa, fin connaisseur de la scène transalpine. En le fondant dans ces circonstances, il a prouvé à tous sa capacité politique.»
14:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
20/03/2009
Suisse : persécutions à l'encontre du président de l'UDC (suite) :

DÉCISION ARBITRAIRE AU CONSEIL NATIONAL (UDC) Le Conseil national a décidé aujourd'hui de ne pas lever l'immunité parlementaire de la conseillère nationale Meier-Schatz et de l'ancien conseiller national Glasson alors que le Ministère public demandait cette levée. Cette décision est d'autant plus choquante qu'au début de cette semaine ce même Conseil national a levé l'immunité parlementaire de Toni Brunner, président de l'UDC, sans qu'une demande n'ait été faite dans ce sens. Cette "jurisprudence parlementaire" est une injure à notre Etat de droit. En réalité la décision de la Grande Chambre est parfaitement arbitraire et inspirée par des motifs partisans. Pour protester contre ce règlement de compte politique, le groupe UDC a quitté la salle en bloc. Dans l'affaire Meier-Schatz et Glasson, le procureur extraordinaire Thomas Hug avait demandé la levée de l'immunité parlementaire. Le Conseil national s'y est opposé aujourd'hui par 99 voix contre 88. Or, contrairement à la conseillère nationale Meier-Schatz et à l'ancien conseiller national Glasson et à bien d'autres membres du Parlement, Toni Brunner n'a pas publié des informations confidentielles. Cette perception sélective de l'égalité des droits est une honte pour une institution législative comme le Conseil national. Une telle instrumentalisation politique de la loi sur le Parlement est intolérable; elle constitue une violation grossière de l'esprit de la loi et ne doit en aucun cas se répéter. Caspar Baader, chef du groupe parlementaire UDC, l'a condamnée en ces termes: "Il ne s'agissait pas de droit et de justice, mais de bas motifs de vengeance politique." Le Conseil national s'est érigé en procureur, ignorant superbement le principe élémentaire de la séparation des pouvoirs. On reproche à Madame Meier Schatz et à Monsieur Glasson la violation du secret de fonction, la tentative de contrainte et la formation d'une association contraire à la loi. Malgré la gravité des délits reprochés et, par conséquent, la demande du procureur de lever l'immunité de ces deux personnes, le Conseil national a refusé de suivre cette demande. Il a ainsi prononcé des jugements purement politiques: immunité pour les "gentils", levée de l'immunité pour le "méchant" président de l'UDC. Cette attitude arbitraire a incité le groupe parlementaire UDC à quitter la salle du Conseil national en signe de protestation. Berne, 20 mars 2009 |
16:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
19/03/2009
Immigrés clandestins: 101 députés de droite contre Berlusconi.



Voici un communiqué de l'AFP :
ROME - Cent un députés de la majorité de droite ont envoyé une lettre à Silvio Berlusconi pour protester dans une démarche sans précédent en Italie contre le projet d'autoriser les médecins à dénoncer leurs patients lorsqu'ils les soupçonnent d'être des immigrés clandestins.
Les députés, membres du parti de M. Berlusconi, le Peuple de la liberté (Pdl), jugent "inacceptable" cette mesure actuellement en discussion au Parlement, dans la lettre dont l'AFP a obtenu copie jeudi.
Cette fronde est dirigée par Alessandra Mussolini, petite-fille du Duce et l'un des chefs de file de l'extrême droite qui est également chirurgien de profession.
Le Sénat, dans le cadre d'un projet de loi sur la sécurité, a adopté un amendement présenté par le parti anti-immigration de la Ligue du Nord, levant l'obligation du secret professionnel pour les médecins pour leur permettre de dénoncer un patient qui serait en situation irrégulière.
Or, selon les députés signataires, cette mesure obligerait en fait les médecins, ainsi que tous les fonctionnaires, à dénoncer les clandestins, sous peine de poursuites judiciaires.
Rappelant que le gouvernement a créé en mai dernier un délit d'immigration clandestine, les parlementaires expliquent que médecins et fonctionnaires refusant de signaler les clandestins se rendront coupables du délit de "non-dénonciation".
Le ministre de l'Intérieur Roberto Maroni, l'un des responsables de la Ligue, s'est dit "franchement surpris" par cette lettre, se défendant de vouloir obliger les médecins à dénoncer leurs patients.
Les députés soulignent en outre que la mesure affecterait "les femmes enceintes et les enfants" et conduirait à les "priver de soins médicaux" et à les écarter du "système éducatif".
Lundi, 200 médecins ont manifesté mardi à Rome pour dénoncer ce projet, qui a provoqué une levée de boucliers parmi les associations catholiques.
Depuis son retour au pouvoir en mai dernier, le gouvernement Silvio Berlusconi a fait de la lutte contre l'immigration clandestine l'une de ses priorités, faisant adopter une série de mesures très controversées.
(©AFP / 19 mars 2009 12h24)
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Belgique : la Fnac boycotte le livre de Filip Dewinter.

Il y a deux semaines, Filip Dewinter présentait son nouveau livre : Inch’Allah? L’islamisation de l’Europe (livre en néerlandais).
Certaines librairies de Flandre et de Bruxelles refusent de diffuser le livre, malgré la forte demande du public. La Fnac et les librairies du groupe De Standaard (plus d’une centaine de librairies) ne proposent pas le livre à la vente. Au sein de ces magasins, les clients n’ont qu’une possibilité pour obtenir le livre : le commander.
Les centrales d'achat de différents groupes de magasins refusent de prendre le livre.
Filip Dewinter a déclaré : « Le boycott du livre Inch’Allah? De islamisering van Europa signifie que l’index, la liste noire des livres interdits est réinstaurée. Les seules mesures plus extrémistes, en ce domaine, que le système puisse organiser, ce sont les autodafés. »
.
La FNAC vue par le Vlaams Belang :


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18/03/2009
Pays-Bas : Geert Wilders : « je veux devenir Premier ministre ».
19:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
Norvège : le Parti du progrès donné premier parti du pays.

Dans un sondage d’opinion, le Parti du progrès est de retour en première position, avec 30,9%. Les partis du gouvernement, dont le Parti du travail, perdent tous des supporters.
« C’est très encourageant. Nous sommes de retour au niveau que nous avions atteint il y a six mois. Le gouvernement a montré de manière répétée son incapacité à surmonter les problèmes que la Norvège rencontre et les électeurs demandent un changement » a déclaré Siv Jensen, la présidente du Parti du progrès.

19:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pro Köln et pro NRW rencontrent du succès auprès des jeunes.

Pro Köln et pro NRW distribuent des tracts devant les écoles de Rhénanie du Nord - Westphalie depuis 3 semaines. Face au succès de l’opération, celle-ci est prolongée. Certains professeurs tentent d’empêcher la distribution. Malgré cela, le contact avec les étudiants est positif.

Á l'instar des jeunes pro NRW ( Rhénanie du Nord - Westphalie ) du Bergisches Land, divers groupes de pro Jeunesse se sont formés au sein de différentes villes du Land de Rhénanie du Nord - Westphalie.
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17/03/2009
Italie : Le congrès de dissolution de l'Alliance Nationale aura lieu dans cinq jours.



Deux tendances différentes s’expriment au sein du Peuple de la Liberté : celle de Berlusconi et celle de Fini. Pour Silvio Berlusconi, l’important est de gouverner en relation directe avec le peuple, en restreignant les prérogatives du Parlement.
Gianfranco Fini, le président de la Chambre, défend les prérogatives parlementaires face aux empiètements de Silvio Berlusconi. De plus, Gianfranco Fini n’adhère pas à certaines mesures qui émanent de la Ligue d’ Umberto Bossi et qui ciblent les immigrés.
Gianfranco Fini vise la succession de Berlusconi à la tête de l’État. Il se place en position en se démarquant d’autres dirigeants de son parti qui n’hésitent pas à évoquer certaines sympathies pour le régime de Benito Mussolini, d’avant 1938.
Silvio Berlusconi a 72 ans et Gianfranco Fini 57 ans.
.
Le congrès de dissolution de l'Alliance nationale aura lieu dans 5 jours.
22:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
Espagne : l'Alternative Espagnole publie le numéro 39 de son magazine digital.
Alternative Espagnole publie le numéro 39 de son magazine digital d'information.

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Les persécutions à l'encontre du président de l'UDC se poursuivent.

l'etat de droit foulé au pied
au conseil national
(UDC) Le Conseil national a maintenu aujourd'hui sa décision de lever l'immunité parlementaire du conseiller national Toni Brunner. Il s'agit là d'une condamnation anticipée aux motivations purement politiques dont le but est de discréditer le président de l'UDC et tout le parti. Dominé par le centre-gauche, le Conseil national foule une fois de plus au pied les principes élémentaires de l'Etat de droit.
Pierre Cornu, procureur fédéral extraordinaire, n'a pas demandé aux Chambres fédérales de lever l'immunité parlementaire du président de l'UDC et conseiller national Toni Brunner. Néanmoins, le plénum de la Grande Chambre a demandé cette levée déjà durant la dernière session d'automne. Le Conseil des Etats s'y est opposé en décembre 2008. Aujourd'hui, le Conseil national a maintenu sa position par 96 voix contre 75 et 14 abstentions.
Dans l'affaire Meier-Schatz et Glasson, le procureur compétent, Thomas Hug, a requis la levée de l'immunité des deux élus, mais la Commission des affaires juridiques du Conseil national s'y est opposée. Le plénum tranchera cette semaine. Or, contrairement à la conseillère nationale Meier-Schatz, à l'ancien conseiller national Glasson et à d'autres membres du Parlement, Toni Brunner n'a pas publié des informations confidentielles.
La manière dont le centre-gauche politique manipule la loi sur le parlement devient franchement insupportable. Le Conseil national s'est fait procureur pour procéder à une condamnation anticipée de Toni Brunner. Le principe de la séparation des pouvoirs passe aux oubliettes. Obnubilés par leur besoin irrésistible de nuire au conseiller national Toni Brunner et à l'UDC, ces milieux politiques n'hésitent même pas à miner l'Etat de droit.
Berne, 17 mars 2009
NB: Le Conseil national = le Parlement. Conseiller national = député.
21:24 | Lien permanent | Commentaires (0)