


CDU : démocrates-chrétiens
AfD : nationalistes
Die Linke : post-communistes
Grüne : écologistes
SPD : sociaux-démocrates
FDP : libéraux
Électeurs libres
BSW : gauche-anti-immigration
Sonstige : autres
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Allemagne. Pour la 32ème fois, le gros mot de l’année a été désigné. « Remigration » est choisi comme le gros mot de 2023, même s’il n’a dominé dans les médias qu’à partir de janvier 2024.

18:31 | Lien permanent | Commentaires (0)

Allemagne. La co-présidente de l'AfD Alice Weidel rencontre des agriculteurs qui manifestent devant la Porte de Brandebourg à Berlin.

Alice Weidel
18:01 | Lien permanent | Commentaires (0)

Allemagne. Est. Les présidents des groupes des élus du parti nationaliste AfD au sein des 5 Parlements des États de l'Est prennent position en faveur de la "remigration" en indiquant que cette dernière est à l'ordre du jour et sera appliquée lorsque l'AfD sera au pouvoir.

17:25 | Lien permanent | Commentaires (0)


Allemagne. Mon intervention dans Ligne Droite de Corentin Perrigny sur Radio Courtoisie à propos du complot médiatique monté contre l'AfD.

15:53 | Lien permanent | Commentaires (0)


Italie. Revue de presse.
La campagne pour les élections régionales, sur fond de débat autour de la réforme sur l’autonomie différenciée des régions, fait les gros titres de plusieurs quotidiens : « Le gouvernement oublie le Sud, les ZES privées de 20 milliards d’euros » (La Repubblica), « Meloni rêve de s’imposer en Vénétie avec un « doge brun » après l’ère de Zaia » (Domani), « Elections régionales, c’est le bras-de-fer [au sein de la droite] » (Mattino), « Le général Vannacci se porte candidat pour la Ligue » (Il Giornale). Les primaires du Parti républicain américain sont également citées : « Trump lance sa campagne électorale, entre spectacle et menaces » (Corriere della Sera), « Iowa, Trump promet du pétrole et des frontières fermées » (Repubblica).
ARTICLE, La Repubblica, L. De Cicco « Elections régionales : après le bras-de-fer pour la Sardaigne, celui pour la Basilicate commence » : « Ce sera un anniversaire plutôt tendu pour Giorgia Meloni, qui fête aujourd’hui ses 47 ans, puisqu’il faudra retrouver l’unité au sein de la majorité. Les alliés sont fébriles, après une semaine de tensions avec la Ligue qui voulait imposer son candidat en Sardaigne pour les régionales, c’est maintenant au tour de Forza Italia, qui fait pression pour imposer son candidat en Basilicate. La question de la limite des trois mandats reste en suspens et Fratelli d’Italia ne souhaite pas l’éliminer, au grand dam du président de la Vénétie, le léghiste Luca Zaia. Matteo Salvini perçoit cela comme un véritable affront à son égard. Il revient donc à Meloni de faire retomber la tension au sein de la coalition, même si elle n’a aucune intention de faire marche arrière sur un point : à droite, les rapports de force ont changé et c’est désormais Fratelli d’Italia qui mène le jeu. Meloni rencontrera ses alliés Tajani et Salvini demain, en Conseil des ministres. Avant ou après, une réunion cruciale sur les élections régionales devrait se tenir. Meloni veut toutefois exclure des discussions la limite des trois mandats, et ce malgré les pressions de la Ligue, qui a déjà déposé une proposition de loi à la Chambre. La stratégie de Fratelli d’Italia serait alors de laisser en suspens ce texte, sans l’approuver avant l’échéance de 2025, lorsque se tiendront les élections en Vénétie. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)

Giorgia Meloni
15:40 | Lien permanent | Commentaires (0)

Allemagne. Le chancelier social-démocrate Olaf Scholz et le ministre écologiste des Affaires étrangères Madame Annalena Baerbock ont pris part à Potsdam à une manifestation contre le parti patriotique AfD.

23:16 | Lien permanent | Commentaires (0)

Suisse. L'UDC porte plainte contre les mots croisés du Nouvelliste :
https://www.rhonefm.ch/valais/plainte-penale-coupe-de-sub...
21:37 | Lien permanent | Commentaires (0)

Allemagne. Marie-Agnès Strack-Zimmermann, tête de liste du parti libéral FDP pour les élections européennes, précise qu'elle a déclaré : « Plus le tas de merde est gros, plus il y a de mouches dessus ! » à propos de la situation politique actuelle, tout en ne mentionnant pas de parti.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/01/14/une...)
21:09 | Lien permanent | Commentaires (0)

Allemagne. Thuringe. Circonscription de Saale-Orla. Lors du premier tour de l'élection de l'administrateur d'arrondissement, le candidat de l'AfD Uwe Thrum arrive premier, mais n'atteint pas les 50 %. Le deuxième tour aura lieu le 28 janvier 2024.

Die Linke : post-communistes
AfD : nationalistes
CDU : démocrates-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates (candidate qui se présente en tant qu'indépendante pour le SPD)

"Fort pour l'endroit/la région !"
20:19 | Lien permanent | Commentaires (0)

Allemagne. Marie-Agnès Strack-Zimmermann, député et membre de la direction du parti libéral FDP, estime que le parti patriotique AfD est un « tas de merde ».

17:58 | Lien permanent | Commentaires (0)

Pays-Bas. Rotterdam. Leefbaar Rotterdam conduit une enquête auprès de personnes qui ont voté, lors des élections municipales de 2022, pour la première fois pour ce parti, afin de connaître leur motivation.
16:59 | Lien permanent | Commentaires (0)


Allemagne.

SPD : sociaux-démocrates
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
AfD : patriotes
Die Linke : post-communistes
Électeurs libres
BSW : gauche anti-immigration
autres
15:18 | Lien permanent | Commentaires (0)

Portugal. André Ventura est réélu président de Chega.
00:21 | Lien permanent | Commentaires (0)

Autriche. Les patriotes du FPÖ sont donnés à 32 % pour des élections législatives.

FPÖ : patriotes
SPÖ : sociaux-démocrates
ÖVP : conservateurs/sociaux-chrétiens
NEOS : libéraux
écologistes
00:13 | Lien permanent | Commentaires (0)

Autriche. Le FPÖ a tenu sa rencontre du Nouvel An.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/12/12/ren...)
15:07 | Lien permanent | Commentaires (0)

Allemagne. 350 personnes ont manifesté devant la Chancellerie à Berlin en faveur d’une interdiction de l’AfD.
13:30 | Lien permanent | Commentaires (0)

Pologne. Des partisans du parti conservateur Droit et Justice (PiS) sont descendus dans la rue à Varsovie ce jeudi 11 janvier 2024 pour protester contre la prise de contrôle de la télévision publique par le nouveau gouvernement.
21:37 | Lien permanent | Commentaires (0)

Pays-Bas. Le dirigeant du PVV Geert Wilders a reçu dans son bureau à la Chambre des députés l’ambassadeur d’Ukraine et lui a exprimé son respect pour le combat conduit par le peuple ukrainien pour la liberté et la récupération totale de sa souveraineté nationale.
21:28 | Lien permanent | Commentaires (0)


Pays-Bas. Mon intervention sur TV Libertés au sein du sujet de Nicolas de Lamberterie portant sur la situation politique aux Pays-Bas et la tentative de formation d'un gouvernement dirigé par Geert Wilders (à partir de 10'40'') :
19:18 | Lien permanent | Commentaires (0)



Italie. Revue de presse.
La crise au Proche-Orient fait les gros titres de plusieurs quotidiens : « Gaza, le bras-de-fer sur le génocide » (La Repubblica), « Israël à la barre » (Avvenire), « Les navires de l’Europe dans la Mer Rouge » (Stampa), « ONU, un procès aux victimes » (Giornale), « Israël accusé de génocide à La Haye » (Domani). D’autres sujets sont également cités « Elections régionales, aucun accord n’a été trouvé » (Corriere della Sera), « Automobile, la Chine est le leader mondial avec 30 millions de véhicules vendus » (Sole 24 Ore). Enfin, le remaniement gouvernemental en France est cité en Une et dans les pages intérieures de certains quotidiens « Paris, le virage à droite » (La Repubblica), « La France d’Attal rêve d’un renouveau » (La Stampa), « Attal surprend la France et nomme comme ministre son ex-compagnon » (Messaggero).
ARTICLE, Sole 24 Ore, L. Palmerini « L’ombre des arrivées clandestines en 2023 plane sur la réunion consacrée aux flux migratoires » : « Il était question d’un déjeuner entre les dirigeants de la majorité pour faire le point sur les élections régionales. Or, le Palais Chigi a précisé hier qu’il s’agissait en réalité d’une réunion entre Meloni et les deux vice-présidents du Conseil Tajani (Forza Italia) et Salvini sur le dossier migratoire et que les candidatures n’avaient pas du tout été évoquées. Visiblement, il est encore trop tôt pour aborder le dossier le plus chaud du moment, celui des élections régionales. Mieux vaut se concentrer sur celui des migrants, s’agissant du plus important engagement de Meloni sur lequel elle est en compétition avec son allié Salvini. ‘’Je ne suis pas satisfaite des résultats’’ a-t-elle reconnu lors de la conférence de presse du 4 janvier. Comment la blâmer ? En 2023, première année de son gouvernement, les arrivées ont augmenté malgré des mesures mises en place rapidement. Il y a d’abord eu le décret sur les ONG, considérées comme un facteur d’attraction, puis le décret contre les passeurs après la tragédie de Cutro, et enfin l’accord avec la Tunisie où elle s’était rendue avec Ursula von der Leyen, sans obtenir de succès. L’année dernière, le record des 155 000 arrivées a terni la stratégie mélonienne. C’est ce qui explique l’annonce surprise de l’accord avec Tirana, avec la création de deux centres de détention entièrement aux frais de l’Italie. Le Parlement italien devra ratifier cet accord : le gouvernement veut accélérer sur ce dossier malgré les critiques exprimées par certains juristes. Il est évident qu’elle doit pouvoir mener sa campagne électorale en se targuant d’avoir obtenu des résultats avec les premiers navires de migrants débarquant en Albanie. La candidature de Meloni dépend aussi de cela : seules des solutions fortes pouvant être revendiquées justifieront sa candidature comme tête de liste. Il y a aussi le « Plan Mattei », l’autre dossier majeur de la stratégie Meloni. Lors de la conférence de presse du 4 janvier, elle avait affirmé que son ‘’objectif est de travailler sur l’Afrique’’, or, jusque-là, l’exécutif n’a travaillé que sur la gouvernance. Il faut donc accélérer et c’est ce qu’on a vu lors de la réunion d’hier. La campagne électorale coïncidera avec la saison printanière et estivale et il faudra à tout prix éviter les images de débarquements sur les côtes italiennes. »
ARTICLE, Avvenire, D’Angelo et Marcelli, « L’UE met en garde l’Italie sur l’abolition de l’abus de pouvoir » : « Les polémiques ont fini par arriver jusqu’à Bruxelles. Le porte-parole de la Commission européenne Christian Wigand assure être ‘’au courant’’ de la réforme de la justice italienne sur les délits pouvant concerner l’administration et des changements qui pourraient ‘’dépénaliser d’importantes formes de corruption et avoir un impact sur la capacité d’identifier des cas de corruption’’. L’UE continuera ainsi de ‘’suivre la suite des étapes’’ de la réforme, soulignant que ‘’la lutte contre la corruption est une priorité majeure de la Commission Européenne’’. En Italie, le dirigeant du M5S Giuseppe Conte a alerté sur la possibilité que cette réforme puisse ‘’effacer quelques 3 600 sentences de condamnation’’, tandis que les sénateurs 5 Etoiles de la Commission justice ont évoqué ‘’un démantèlement des normes contre la corruption et les délits des cols blancs notamment avec la réforme sur les écoutes qui demeurent l’obsession de la droite, d’Azione et d’Italia Viva’’. Au sein du PD, malgré la ligne officielle de la direction, certains maires démocrates se sont félicités de ce projet de réforme. C’est la responsable pour les affaires juridique Deborah Serracchiani qui a rappelé les membres de son parti à l’ordre : ‘’l’abrogation de l’abus de pouvoir est une mauvaise réponse à une demande légitime’’. »
ARTICLE, Repubblica, D. Longhin « L'ancienne aciérie Ilva revient à l'État : ‘’Mittal doit se retirer, un divorce consensuel ou la nomination d’un commissaire" » : « L'ère ArcelorMittal dans l'ancienne usine Ilva est terminée. Pour le gouvernement Meloni, il n'y a pas d'autre solution. Le géant franco-indien, qui a remporté l'appel d'offres en 2017, doit quitter Acciaierie d'Italia à Tarente. Au cours des quatre derniers mois, la perspective a changé : d'abord, l'exécutif a essayé de calmer le jeu et de faire en sorte que l'actionnaire majoritaire reste. Aujourd'hui, la seule voie possible est celle de la séparation. Une voie que le ministre des Entreprises, Adolfo Urso, avait déjà indiqué dans la matinée lors d'une réunion au Sénat, en parlant d'"une intervention radicale", de la nécessité de "changer l'équipage à la barre de l'ex-Ilva pour inverser le cours des choses". Urso avait souligné qu'"il n'est plus possible de partager la gouvernance avec ArcelorMittal". Le divorce peut se faire de manière consensuelle, avec une solution partagée par les juristes d'Invitalia et d'ArcelorMittal, qui demande une compensation à l'Etat, d'ici mercredi prochain. Sinon, pour le gouvernement, la rupture aura lieu de toute façon. Dans ce dernier cas, le recours à la gestion extraordinaire et à une tutelle de l’Etat par la nomination d’un commissaire n'est pas à exclure. Une solution, que l'exécutif peut activer à tout moment, mais qui, pour les syndicats, "serait un désastre". Le 18 janvier, les secrétaires des trois syndicats de la métallurgie seront à nouveau réunis au Palais Chigi. C’est une question de stratégie : la volonté de rechercher une solution juridique qui satisfasse tous les acteurs est réelle, et éviterait ainsi le poids de la surcharge judiciaire. "Nous travaillons activement pour tracer le chemin sur l'avenir de l'usine dans un cadre clair et défini qui a comme premier objectif d’assurer la continuité de la production de l'usine", explique le Palais Chigi. L'exécutif a également garanti la protection de l'emploi et la sécurité des travailleurs ; une façon d’attirer également de nouveaux partenaires industriels privés. Le gouvernement, comme l’a affirmé le secrétaire d’Etat Mantovano, a souligné qu'en toute circonstance, l'État apportera l'argent nécessaire pour soutenir les activités de l’ex-Ilva. »
ARTICLE, Il Foglio, D. Carretta « Meloni peut jouer un rôle de médiateur entre l’Union et Orban » : « A Bruxelles comme dans les autres capitales européennes, on s’attend à ce que Meloni puisse intervenir rapidement en utilisant sa proximité politique avec Orban pour pousser ce dernier à lever son véto au paquet d’aides à l’Ukraine. D’après Bloomberg, la présidente du Conseil italien serait en train de travailler en coulisses. Elle aurait offert pour ce faire son accord à l’entrée du parti Fidesz dans le groupe souverainiste des Conservateurs et Réformateurs Européens (ECR) après les élections du 9 juin. C’est la course contre la montre car, en absence d’accord au prochain Conseil Européen du 1er février, Kiev pourrait se retrouver sans argent pour payer les retraites et les salaires. Un ministre impliqué dans les négociations, qui souhaite rester anonyme, nous révèle que ‘’face à Orban, il est utile de miser sur Meloni car plusieurs choses se font en petit format’’. Ce qui se traduit par un dialogue à trois Scholz-Macron-Meloni avant le grand format du Conseil Européen. La Présidente du Conseil ‘’est pleinement engagée et représente un pont avec Orban en raison de son appartenance politique’’, fait-on savoir. Pour sa part, le Premier Ministre hongrois sait qu’il a besoin d’alliés en Europe. Ses relations avec Meloni sont bonnes. Par ailleurs, la Présidente du Conseil a toujours justifié les décisions adoptées par son homologue hongrois, même celles qui se retournaient contre l’Italie, comme le véto qu’il avait opposé aux conclusions sur les migrations lors du Conseil Européen de juin dernier. Avec la perte de son allié polonais le PiS, désormais à l’opposition, et avec un allié tel que le Slovaque Fico – qui n’est pas un poids lourd – Orban a besoin de protection. Pour sa part, Meloni sait qu’elle peut jouer plusieurs cartes avec Orban pour se rendre utile à la cause ukrainienne et pour augmenter son influence dans l’UE. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
14:12 | Lien permanent | Commentaires (0)

Allemagne. Selon un sondage Ipsos, 42 % des Allemands sont favorables à une interdiction de l’AfD. Ils sont 45 % dans l’Ouest et 32 % dans l’Est.
13:43 | Lien permanent | Commentaires (0)

Belgique. Le Vlaams Belang lance sa pré-campagne « Autre et mieux » pour les élections régionales, nationales et européennes de juin 2024. Le parti prône une politique socio-économique différente qui rende le travail à nouveau gratifiant et une politique migratoire plus stricte avec moins d'entrées et plus de sorties.

Le président du Vlaams Belang Tom Van Grieken : "Autre et mieux"
01:51 | Lien permanent | Commentaires (0)


Allemagne. Selon un des membres fondateurs du BSW Klaus Ernst, ce parti peut former une coalition avec tous les partis à l'exception des nationalistes de l'AfD.
18:20 | Lien permanent | Commentaires (0)



CDU : démocrates-chrétiens
AfD : nationalistes
Die Linke : post-communistes
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SPD : sociaux-démocrates
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BSW : gauche-anti-immigration
Sonstige : autres
17:35 | Lien permanent | Commentaires (0)


Allemagne. Thuringe. Les nationalistes de l'AfD sont donnés à 36 % et la gauche anti-immigration du BSW à 4 % pour les élections du 1 septembre 2024 pour le Parlement de Thuringe.
(https://www.wahlrecht.de/umfragen/landtage/thueringen.htm)

Die Linke : post-communistes
AfD : nationalistes
CDU : démocrates-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
BSW : gauche-anti-immigration
Sonstige : autres
14:35 | Lien permanent | Commentaires (0)